ACTUALITÉ - 2010
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"Il est bon qu'une Nation soit assez forte de tradition et d'honneur pour trouver le courage de dénoncer ses propres erreurs. Mais elle ne doit pas oublier les raisons qu'elle peut avoir de s'estimer elle-même. Il est dangereux en tout cas de lui demander de s'avouer seule coupable et de la vouer à une pénitence perpétuelle." Albert Camus |
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Voir dans "Propos
mensongers et Ripostes " la page : "81
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Ce qu'il faut savoir et se
souvenir...
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Notre amie Claudine Dupont Tingaud a été relaxée
dans le procès en diffamation que lui ont fait M.Mehdi Lalaoui, René
Vautier, Olivier Le Cour Grandmaison...
C'est une petite victoire pour elle, merci aux témoins du procès, le Général Faivre, J.P. Péroncel-Hugoz, Roger Jeannin, Philippe de Massey; A. Raffard de Brienne, au témoignage de Dillinger pour les soins apportés à la population autochtone, la scolarisation, etc... Sans oublier Me PICHON : " Or, M.M.LALLAOUI, René VAUTIER
et Oliver LE COUR GRANDMAISON revendiquent une conception engagée
de l'histoire .Ils ne sont donc ni historiens ni objectifs. Monsieur Laloui
est réalisateur et écrivain. Il est par ailleurs élu
de gauche. Monsieur VAUTIER est compagnon de route du parti communiste
et est cinéaste engagé. Enfin Monsieur Le Cour Grandmaison
enseigne le droit à l'Université du Maine (notamment le
droit public, constitutionnel et communautaire) ainsi que la sociologie
et la philosophie politique. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages anti-colonialistes
notamment " Coloniser exterminer " et est chroniqueur régulier
pour le journal " l'Humanité ". A convaincu les juges... Ne cessons jamais de clamer la vérité, même si quelques uns seulement l'entendent. Une première victoire au bout d'un long tunnel |
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Ecrivez votre mécontentement à:
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Madame , Monsieur Je vous exprime mon indignation et ma déception devant la "bourde inexcusable " ( espérons au moins que ce ne soit pas une manoeuvre perverse d 'une ou plusieurs personnes au sein du groupe responsable de ces publications en direction des jeunes de certains pays européens ) que représente l 'occultation totale dans cet agenda des fêtes chrétiennes tout en mentionnant toutes les autres y compris celles qui concernent directement .. bien peu d 'européens . Au delà du manque de respect pour les fidèles d''une des religions ( pas vraiment minoritaire en Europe ), cette grossière bévue ne peut que surprendre et indigner une grande majorité d' Européens qui connaissent encore un peu l' histoire de l' Europe ou qui ouvrent leurs yeux en se déplaçant dans les pays européens et donc qui savent ou qui voient quand même que l'Europe a des racines chrétiennes et de nombreux édifices chrétiens dans son patrimoine . Les réactions commencent à s'amplifier car pendant les fêtes de fin d 'année cette diffusion étaient passée un peu inapperçue ... Au delà de la légerté pour ne pas dire bétise ou d 'un sectarisme anti-chrétien totalement qui seraient totalement déplacé et inacceptable de la part de responsables au sein de "la Commission européenne, qui pourrait penser que ce serait normal d'envoyer à des "jeunes " un calendrier avec une telle omission ? Il n 'y a quand même pas qu'une seule personne qui a conçu , vérifié et organisé la diffusion de ce calendrier. N' 'y a- t il eu aucun filtre qui a permis d'éviter cette monstruosité ? Cela n 'est rassurant sur le fonctionnement de cette institution au pouvoir supranational. Est-ce ainsi que l' on espère, à Bruxelles, convaincre les ressortissants de notre Union européenne que le projet européen est dans de bonnes mains ? Ce calendrier sera- t- il retiré dans les délais les plus brefs et rediffusé éventuellent après modification? Des sanctions vont elles être prises à l 'encontre des responsables ? Si ce n 'était pas le cas on ne pourrait plus parler de bourde d 'un ou plusieurs "innocents". Gilles Bonnier |
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NDLR: reçu ce texte par Internet sous la responsabilité de Manuel GOMEZ... | ||||||||||
Il n'y a pires aveugles que ceux qui ne veulent pas
voir !! M. Estrosi au lieu de consacrer une grande partie de votre énergie
à l'édification d'une statue à l'effigie de Gaulle
(imposteur devant l'Histoire) et décision qui risque de vous coûter
votre mairie de Nice, mais je l'espère, vous devriez plutôt
vous intéresser aux incidents, aux insultes, aux crachats, dont
sont victimes les chrétiens de votre cité
à
moins que vous ne soyez pas au courant ou que vous préfériez
ne rien voir ni entendre.
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Une procession malmenée dans le Vieux Nice
: témoignage d'un catholique inquiet
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Interview paru sur le site de l'Observatoire de l'islamisation. Louis (prénom modifié) est un père de famille
qui a tenu à communiquer son indignation concernant de graves intimidations
qu'ont subies une centaine de catholiques qui processionaient dans les
rues de Nice le 8 décembre dernier. Son témoignage devrait
alerter la municipalité UMP sur les dangers de l'irresponsable
politique migratoire menée actuellement (170 000 visas accordés
chaque année aux seuls Algériens, engagement de Fillon). Joachim Véliocas: Cela doit être très beau.Cependant
tout ne s'est pas passé comme prévu, pouvez-vous nous raconter
? JV: Et la police municipale qu'a-t-elle fait ? Comment cela se passera-t-il les prochaines années, allez vous demander une escorte policière pour la procession comme en Syrie ou en Egypte ? L: Les policiers municipaux n'ont pas réagi. Une partie des évènements a d'ailleurs pu leur échapper car ils précédaient la procession. Je pense que nous continuerons cette procession annuelle mais la décision appartient à nos abbés. Nous savons tous que si nous nous défendons, il y a un risque d'interdiction de la procession les années suivantes pour " risque de trouble à l'ordre public ", ce qui serait un comble mais enfin. Pour ma part, je ferai cependant mon possible d'une part afin que la sécurité, principalement celle de nos femmes et de nos enfants, soit mieux assurée, mais surtout d'autre part pour décourager les musulmans de commettre des sacrilèges. JV: Merci pour votre témoignage, qu'en cette vigile de Noêl
la Très Sainte Vierge veille sur Nice comme Elle veilla sur son
Fils. 2010 : 16 500 agressions recensées à Nice Interview paru sur le site de l'Observatoire de l'islamisation. |
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Treize ? Cela porte malheur !
Treize généraux et officiers chiliens actifs durant
la dictature de Pinochet ont été condamnés, par défaut,
à Paris, à des peines allant de 15 ans à la perpétuité
pour la disparition de quatre Français. Le Procureur général
de Paris, François Falleti, de proclamer fièrement : "
La France n'oublie pas ses ressortissants victimes de faits d'une gravité
aussi exceptionnelle. " Et l'avocat général, Pierre
Kramer, note " qu'on se situe dans un contexte qui se rapproche du
crime contre l'humanité ". Que cela est bien dit, juste et
nécessaire. Jamais, vraiment ? Pas le moindre doute ? Aïe
! Ce procureur, cet avocat général n'ont-ils pas la plus
petite mémoire historique ? Nos assassinés, nos disparus,
n'étaient-ils donc pas des " ressortissants français
" ? Victimes de " faits d'une gravité exceptionnelle
" ? La chasse au roumi du 5 juillet 1962 ne se situe-t-elle pas dans
un " contexte qui se rapproche du crime contre l'humanité
" ? Lorsque Roberto Pesle, fils d'un disparu chilien, Etienne, s'écrit
avec toute sa douleur toujours vive après 37 ans : " Mon père
n'est pas officiellement mort, ma mère n'est pas officiellement
veuve ! " ne reconnaissons-nous pas le cri de désespoir des
familles des disparus d'Algérie, tout au long de l'année
1962 et aussi avant et après ? Pourquoi notre cri n'est-il jamais
recueilli par un procureur, par un avocat général ? |
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Josette BOUSSOMMIER
Enseignante à Oran - Gambetta Jo est partie. C'est une grande Dame de notre Histoire qui disparait. Elle nous a quittés pour les vacances de Noël. Comme elle le faisait du temps de notre enfance. Mais aujourd'hui, le retour sera bien triste. Elle ne reviendra plus. Elle nous a si souvent accompagnés durant notre enfance que l'on se sent un peu orphelins d'avoir perdu notre Maîtresse que l'on appelait, encore aujourd'hui, M'dame. J'ai eu tant de plaisir à échanger avec elle, ces dernières années, des messages plein de tendresse attachés au souvenir de notre cher pays et de notre ville natale. Un vide immense m'envahit. M'dame ne m'écrira plus. J'ai beaucoup de chagrin. Je voudrais présenter à sa famille et ses proches amis, au nom de tous les lecteurs des Petits échos de l'Echo d'Oran, nos condoléances attristées. http://echodupays.kazeo.com/LES-CARNETS-DE-L-ETAT-CIVIL/Jo-est-partie,a2099561.html |
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Projet de film avec l'ouvrage d'Anne Cazal " le ravin rouge " Sté de production : http://communiques-presse.com/acap-one-societe-de-production-audiovisuelle-reduction-impot-sur-la-fortune/09/05/2009/ L'action se passe à Ben-Chicao, un village d'Algérie,
Situé au sud de l'Atlas, à une centaine de kilomètre
d'Alger, à 20 km de Médéa Le Ravin Rouge d'Anne Cazal, ce livre destiné à devenir un film si la Société ACAP one parvient à collecter suffisamment de fonds pour lancer le projet, voici un résumé rédigé par Anne Cazal elle-même et commenté par Boualem Sansal. ANNE CAZAL |
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A diffuser, merci de la part d'alain sanders Dans la nuit du 18 au 19 décembre Le camp harki de la place Edouard-Herriot Dans Présent du 8 décembre dernier, nous annoncions une nouvelle étape dans le combat de Zohra et Hamid pour obtenir du président Sarkozy qu'il tienne les promesses du candidat Sarkozy : la reconnaissance de la responsabilité de l'Etat gaulliste dans le génocide des harkis. A savoir, dans la nuit du 18 au 19 décembre, place Edouard-Herriot (derrière l'Assemblée nationale) où Zohra et Hamid galèrent depuis dix-neuf mois, la reconstitution d'un camp d'accueil (sic) des harkis en 1962. Une grande tente. Des barbelés tout autour. Des braseros, car il fera froid. Des sacs de couchage. Et un appel, lancé en priorité aux femmes de France, femmes, filles, petites-filles de pieds-noirs, femmes, filles, petites-filles de harkis. Et, plus largement bien sûr, à tous ceux - hommes et femmes de toutes origines - qui nous donneront cette nuit pour dire à Zohra et Hamid que nous les aimons et que nous les soutenons. Il y a quelques jours, Zohra m'appelle : - Tu sais qui est la première personne qui a répondu à ton article ? Une dame âgée de 95 ans. Pour me dire qu'elle serait à nos côtés dans la nuit du 18 au 19 décembre - Et ? - J'ai essayé de l'en dissuader, bien sûr. Elle n'a rien voulu savoir ! J'ai eu beau évoquer son âge, le froid, la fatigue, elle n'a rien voulu entendre : " Si les jeunes ne se mobilisent pas, c'est à nous de donner l'exemple. Alors, je serai là. Chaudement vêtue, ne vous inquiétez pas. " Combien serons-nous ? Trente, cinquante, cent ? Plus de cent, cela serait un magnifique cadeau de Noël et un formidable signe de mobilisation. Et le rappel aux politiques et aux médias de ces harkis parqués dans des camps de la honte, effectivement entourés de barbelés Voilà. Vous savez tout. Pour plus de détails, vous pouvez m'appeler ou appeler Zohra et Hamid. D'autant que nous avons besoin de " bras " pour nous aider à tout mettre en place. On peut, en principe, avoir toutes les excuses du monde, voire les plus dérisoires, pour ne pas donner une nuit à nos frères de combat. Mais ceux qui répondront à notre appel et viendront partager ces quelques heures de fraternité, pourront se regarder dans leur miroir. Pour ma part, je l'ai indiqué, je serai sur place vers 22 heures, 22 h 30. Dans cette nuit de l'Avent où, au chevet de la grande bâtisse nationale, lambris dorés et chauffage au max, on laisse mourir deux fils de France. o Téléphone de Zohra et Hamid : 06 09 31 60 17. ALAIN SANDERS |
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Monsieur le Maire,
Il semblerait que vous ayez l'intention de faire ériger une
statue de de Gaulle dans votre commune ! Allons ! Qui peut raisonnablement accorder le moindre crédit
à la mémoire de cet ancien président ? JP.P |
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Collectif d'Associations niçoises de Rapatriés
Nice le 18 novembre 2010
Pour le " Centre d'Etudes Pied-Noir " (C.E.P.N.) Pour le
" Centre de Documentation Historique sur l'Algérie (C.D.H.A.)Délégation
de Nice |
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Chers amis, Nous vous avons signalé, il y a quelque temps, le projet du maire de Nice, ci-devant ministre de l'Industrie, qui veut faire ériger une statue de De Gaulle d'une hauteur de 3m70 avec nos impôts (coût : 320000 euros) : " La statue sera installée sur un piédestal en rocher de granit du Turini, symbole des combats, le Général sera en marche descendante en direction de la mer, orienté vers la fontaine de la place Masséna et l'oeuvre de Bernar Venet qui sera repositionnée. " Nous vous avons également signalé qu'un collectif s'était formé pour s'opposer à l'érection de cette statue et nous avons demandé à toutes les associations et amicales de rejoindre notre collectif. Or, pour le moment, peu de présidents se sont manifestés pour soutenir notre action et si une demande massive ne parvient pas au maire de Nice, il estimera (à juste raison?) que le sujet n'intéresse pas les Pieds-Noirs. Même s'il s'agit d'un combat symbolique, il a son importance. Nous vous demandons, par conséquent, de signer et de faire signer la pétitoon ci-jointe et d'adhérer au collectif créé à Nice. Merci. Cordialement, J. Revel-Mouroz |
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Chers Amis, Pour l'anniversaire en 2012 de notre triste départ de notre terre natale et aussi pour laisser une trace de notre belle histoire, et répondre à certains réalisateurs comme Bouchareb...(du reste il a dit dans une interview : les Pieds Noirs n'ont qu'à faire un film...) nous tentons de monter un film tiré d'un très beau livre (histoire vécue) d'Anne Cazal : Le Ravin Rouge. Livre sensible, vrai, d'amour..ce sera notre DROIT de REPONSE.... Pour amorcer le montage, nous comptons sur nos compatriotes pour nous aider au départ. Ensuite nous avons des pros : producteur,scénariste, réalisateur... qui feront très bien le travail. Un film: il faut deux ans minimum pour le réaliser, et le budget prévu pour celui ci est minime : entre 5 et 6 millions d'euros.... Dans un premier temps, c'est à nous de rémunérer
le scénariste/ Nous espèrons 30 000euros...via l'association
de Pierre Barisain (Droit de Mémoire). Pour cela, chaque compatriote,
particulier, ou associations (qui sera citée dans le générique
du film)... peut nous aider...Certains généreux pourront
aussi faire des déductions fiscales. Tout est précisé
dans le bon de participation joint (pour ceux d'entre vous qui ne peuvent
l' imprimer,il suffit de recopier de le bon sur une feuille blanche et
de suivre le processus)... Voilà, nous comptons sur vous, pour
participer, transmettre aussi papier en le photocopiant,, par le net..par
vos blogs ou revues.... ce document.. |
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Aux côtés de Zohra et Hamid Est-il besoin de vous dire ce que vivent - si on peut dire - Zohra et Hamid en ces temps où le froid a pris de l'avance sur l'hiver ? " Comment les aider ? ", me demandez-vous régulièrement (1). Eh bien, autant que faire se peut, en se tenant à leurs côtés, en prenant de leurs nouvelles (2), en leur rendant visite sur la petite place Edouard-Herriot, dernière oasis de l'honneur français. Aller plus loin ? C'est possible. En passant la nuit du 18 au 19 décembre à leurs côtés. Et, comme elles ont parfois l'âme plus solidement chevillée au corps que certains hommes, nous faisons d'abord appel aux femmes. Aux femmes pieds-noires, aux femmes, filles, petites-filles de harkis, aux femmes de France. Le 18 décembre dans la journée - et là, nous avons besoin de bras ! - nous reconstituerons place Edouard-Herriot, au chevet de l'Assemblée nationale, un camp harki de 1962. Une grande tente. Des barbelés tout autour. Des braseros. Si Dieu veut, de quoi manger et se tenir chaud. Des sacs de couchage, des petits matelas de mousse. Et là, dans cette nuit qui précédera de quelques jours la nuit de Noël, nous témoignerons tous ensemble. Pour rappeler ce que fut le calvaire des harkis, ceux qui avaient pu échapper aux horreurs FLN, parqués dans des camps, effectivement entourés de barbelés alors qu'ils auraient dû être reçus à bras ouverts. Comme des frères. Parce que sont nos frères. Et pour passer un long moment avec Zohra et Hamid, qui résistent et témoignent depuis plus de dix-huit mois - près d'un demi-siècle après l'exode - dans des conditions de misère difficilement descriptibles. C'est un véritable défi ? Oui. Il est à la mesure d'un combat qui, pour nous, est prioritaire. Si cinquante, soixante, cent hommes et femmes se portaient volontaires pour cette nuit pour la France, la justice et la vérité, ce serait une véritable victoire. Pour ma part, je serai sur place vers 22 heures, 22 h 30. Un défi. Parce que, j'ai eu l'occasion de le dire, la honte et la rabia au bord des yeux, le rassemblement du 16 novembre n'a pas été un succès. Oh, je sais qu'on peut avoir toutes les excuses du monde. Un rendez-vous incontournable. Un sanglier sur le feu. L'éloignement. Mais je veux croire que quelques dizaines de jeunes femmes, et autant de jeunes hommes, et tous ceux qui n'ont pas la mémoire courte, auront à cur de se mobiliser. Une nuit. Pas un mois, pas une semaine, pas deux jours. Une nuit. Cet événement sera une bonne mise en jambe avant le grand rassemblement prévu début 2011 (j'en reparlerai) dans le Sud de la France avec les communautés pieds-noires et harkies et les anciens combattants. Le temps presse. Et nous avons une occasion de faire entendre nos voix. On ne pourra pas nous refaire le coup du candidat Sarkozy et de ses promesses (la reconnaissance de la responsabilité de l'Etat français dans le génocide des harkis) vite passées à la trappe par le président Sarkozy. Une nuit. Pour bousculer enfin les lignes. (1) J'attends toujours - et eux d'abord - des nouvelles de Secours de France. (2) Leur téléphone : 06 09 31 60 17. ALAIN SANDERS Article extrait du n° 7237 du Mercredi 8 décembre 2010 |
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8° JOURNEE NATIONALE OFFICIELLE EN HOMMAGE
AUX CIVILS ET MILITAIRES « MORTS POUR LA FRANCE »
DURANT LA GUERRE D'ALGERIE ET LES COMBATS DU MAROC ET DE TUNISIE 06550 La Roquette-sur-Siagne |
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Nous sommes réunis, aujourd'hui 5 décembre pour rendre
hommage aux morts pour la France de la guerre d'Algérie et des combats
du Maroc et de Tunisie. C'est en effet le décret du 26 septembre
2003 qui a institué une journée nationale d'hommage aux "
morts pour la France " pendant la guerre d'Algérie et du Magreb.
Instaurée en 2003 par le secrétaire d'Etat aux Anciens Combattants, Hamlaoui Mekachera, cette commémoration a engendré une polémique sur le choix de la date. En effet, le 5 décembre ne correspond à aucun événement connu de la guerre d'Algérie. Les mauvaises langues disent que l'unique raison de ce choix est que Jacques Chirac, alors président d la République, était libre ce jour-là ! Il venait d'inaugurer un mémorial, quai Branly à Paris, consacré aux militaires "morts pour la France". "En fonction de l'agenda du Président, ça aurait aussi bien pu être le 4 ou le 6 décembre...", a déclaré le secrétaire d'Etat. "C'est bien la première fois que l'inauguration d'un monument devient une date historique", s'insurgent les opposants à ce choix qui militent pour la reconnaissance officielle du 19 mars 1962, date du cessez-le-feu au lendemain des accords d'Evian. Mais cette date fait aussi polémique, parce que le 19 mars 1962 est fêté en Algérie comme étant la victoire contre la France, "La guerre ne s'est pas terminée à la date du cessez-le-feu. Il y a encore eu des milliers de morts après", expliquent les défenseurs du 5 décembre. Comme quoi, cette " guerre " est particulière. Elle a longtemps refusé de dire son nom, on parlait d'évènements d'Algérie, de rébellion, de maintien de l'ordre et il a fallu attendre un vote de l'assemblée nationale le 10 juin 1999 pour entériner le nom de " Guerre ". Elle a donc aussi attendu plus de 40 ans pour trouver une date de commémoration puisque cette dernière a été rendue officielle en 2003, soit 41 ans après la fin des hostilités réelles le 2 juillet 1962. Si cette " guerre " est singulière à bien des égards, elle ne présente malheureusement aucune originalité en matière de morts, de souffrances et de larmes. Aujourd'hui, nous sommes réunis pour nous recueillir en pensant d'abord aux victimes. Aux 24 000 jeunes Français, appelés pour la plupart, qui ont donné leur vie pour défendre une terre qui souvent leur était étrangère et aussi aux 150 000 musulmans qui ont donné la leur pour libérer leur pays. Et je ne voudrais pas qu'on oublie ceux qui, après avoir combattu aux coté des Français ont été abandonnés en 1962, après avoir été désarmés et qui furent massacrés parfois avec femme et enfants. Le gouvernement de la France n'est pas sorti grandi de cette sinistre opération qui a coûté la vie à plus de 100 000 harkis. Heureusement que quelques officiers ont désobéi aux ordres et sont revenus avec leurs " supplétifs " comme on les appelait. Parfois, l'honneur est sauvé par quelques-uns qui savent refuser l'inacceptable. N'oublions pas non plus, en ce jour de souvenir, les rapatriés qui ont du abandonner leur terre et leurs biens, ni les populations civiles innocentes qui ont payé un lourd tribut à cette guerre. Combien de blessés, de handicapés, de traumatisés, marqués à jamais par les horreurs des attentats, les menaces, les enlèvements et les violences diverses ? Cet instant est donc l'occasion d'exercer notre devoir de mémoire et d'avoir une pensée émue pour tous ceux qui ont donné leur vie ou été marqués dans leur chair ou dans leur être, lors de ce conflit. C'est aussi l'occasion de réfléchir sur la difficulté de conduire des guerres, quelque soit leur légitimité, sur des terres étrangères, où la population vous considère, à tort ou à raison comme occupant. C'est pourquoi, je vous demande de vous recueillir à la mémoire de ceux qui sont morts pour la France en Algérie, en ayant une pensée pour nos soldats qui combattent aujourd'hui contre le terrorisme et pour la paix en Afghanistan et ailleurs. |
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Jacques POUPLOT 1° adjoint au Mairie La Roquette_sur-Siagne NDRL: Nous ne sommes pas d'accord avec 2 phrases: "Une terre qui leur était étrangère!" Pour un Provençal, les ch'tis sont des étrangers... "Une guerre menée contre ceux qui sont ressentis "à tort ou à raison comme occupants" ".. |
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Je viens de recevoir cette lettre et je vous la fais
partager Une lettre d'un pied noir qui en dit long . Je ne suis pas un colonialiste ! Je n'ai colonisé personne. Je n'ai exploité personne. J'ai eu le bonheur ou le malheur de naître sur cette terre comme mon père, mes grands-pères et les pères de ceux- ci. Comme d'autres sont nés Bretons, Corses ou Basques, à Clichy ou ailleurs. Je n'y suis pour rien ! Le hasard des destinées, les vicissitudes de l'existence des hommes qui naissent quelque part. Je ne suis pas un "colon" ! Les miens n'avaient pas de terre. Pas un are ! Je le serais, je n'en aurais pas forcément honte. Bien au contraire ! Il y en eut d'admirables. Pas de biens, pas d'acquis sonnants et trébuchants. Une lignée d'ouvriers, d'employés et de pécheurs. Des vies laborieusement passées à attendre une paye maigrichonne qui se faisait désirer. Pas d'opulence donc mais pas de détresse non plus. Seulement l'espoir que ce qui ne réussissait pas aujourd'hui, finirait bien par s'accomplir demain. Pas d'exigences non plus, ni d'ambitions démesurées, simplement l'espérance que l'avenir des enfants serait un peu mieux, demain. La culture du travail fut le seul champ labouré et les journées de labeur bien longues et bien mal récompensées. Vivre était déjà si beau. Profiter des joies simples qu'offraient la mer, les paysages, les casse-croûte entre amis, les fragrances et la lumière, si belle. Je ne suis pas un fasciste, ni un adepte de la Staviska. Les quelques 16 et quelque pour cent de mes compatriotes qui ont sacrifié les plus belles années de leur jeunesse et aussi leurs vies, pour empêcher qu'elle étende son ombre sur le monde, devrait m'en donner acte. Mes anciens en ont fait partie et je reste fidèle à leur combat. Et si les sectaires de tous horizons, veulent m'y crucifier, libre à eux. Je les laisse faire, même si la position est des plus inconfortables. Je ne suis pas un raciste ! Je n'ai humilié personne. Un historien disait récemment, qu'entre communautés, en Algérie, " on était frères, mais on ne serait jamais beaux-frères ". Pourtant il est des beaux-frères qu'on déteste et des frères qu'on respecte. J'ai partagé les jeux des gosses qui m'entouraient sans distinction
d'origine ou de religion. Et s'il se trouve qu'il n'y eut pas plus de
métissage, à qui la faute quand les filles de treize ans
sont voilées et chaperonnées par père et frères
? Penser quArabes soient d'une pureté d'âme absolue qui leur ferait, dans leur intégralité, être étrangers aux turpitudes combinardes et aux exclusions ethniques, serait un mensonge supplémentaire qui viendrait contredire le sacro-saint principe d'égalité entre les " races ", entre les peuples, entre les hommes. Celui qui veut que les sentiments humains soient les choses les mieux partagées au monde. Je ne suis pas un nostalgique de la colonisation ! Je l'ai dit maintes fois. Je ne suis que son produit. La colonisation ne m'a apporté que la douloureuse décolonisation. Quant aux miens, elle leur a donné l'opportunité de vivre sur une terre magnifique, qu'ils avaient contribué, modestement sans doute, à faire vivre et dans laquelle ils espéraient reposer en paix, l'heure venue. Mais que de privations et que de sacrifices, de générations en générations. Je ne suis pas un étranger. Du moins je l'ai cru bien longtemps. Je suis né français de père et de grands-pères français, sur une terre française, du moins je le croyais. Je n'ai pas obtenu ma nationalité par un quelconque tour de passe-passe. Chez moi on célébrait la France. On apprenait la Marseillaise et pas seulement le premier couplet que des Français, des vrais eux, ânonnent en esquivant la moitié des paroles qu'ils ne connaissent pas, ou qui se refusent à chanter ce chant " sanguinaire et barbare ". Chez moi trois choses faisaient se découvrir les hommes : Le passage d'un corbillard, la présence d'une femme et les accents de l'hymne national. Je dis " chez moi " parce que ce n'est pas ici. Les brimades et les " tâtillonneries " administratives me l'ont bien fait sentir. J'ai lu une réflexion qui disait qu'il serait bon " de tourner la page et de changer de comportement vis à vis des Algériens ". Quelle page devrions- nous tourner ? Celle du " grand vent de l'histoire " ? Et changer quel comportement ? Le peuple algérien a payé un lourd tribut au FLN. Et pour que le mythique soulèvement du peuple algérien uni comme un seul homme contre " l'occupation française ", devienne vérité historique d'état, il a fallu que la terreur permanente fasse basculer les masses du coté des vainqueurs. Rien de bien nouveau, l'histoire des peuples fourmille d'exemples. Qu'aurions nous fait nous ? Sans doute la même chose. Je ne suis pas décidé à retourner chez moi, même si l'envie me hante parfois et si mes nuits se peuplent de rêves symboliques et des souvenirs réels. Peut-être irais-je un jour. Mais je n'irai pas exécuter une danse du ventre dans le burnous coutumier. D'abord parce que je suis un piètre danseur et ensuite parce que l'habit traditionnel me tombe mal, même s'il est bien coupé et enfin parce que, si je respecte la culture orientale, je ne me sens pas obligé de participer à une mascarade de circonstance. Si c'est ce comportement-là qu'il faut adopter, pour tourner la page, ce sera sans moi. En revanche, j'aimerais, seul ou bien accompagné, comme un touriste un peu particulier, visiter les lieux de mon enfance, bien que majoritairement en ruines, découvrir les paysages inconnus, humer les parfums inoubliables, voir la mer, " à l'envers ", tournée de l'autre coté, prendre contact avec les autochtones que je n'appellerai pas indigènes, bien entendu et si possible, serrer des mains fraternelles. Je connais le respect, ayant été bien élevé, je connais le racisme aussi, parce que je l'ai subi. Je vis l'esprit entre deux terres. Je n'ai pas à être culpabilisé sans cesse parce que ma mémoire n'est pas morte et que je suis fidèle à mes origines. Qu'ils piétinent les fleurs de cimetières, ils en ont l'habitude ! Pour mes souvenirs, ils peuvent toujours courir.
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Association Nationale des Français d'Afrique du Nord, d'Outre-Mer
et leurs Amis (ANFANOMA) 23 rue Poliveau 75005 PARIS Tél 0145740991 5 DECEMBRE, HOMMAGE AUX VICTIMES CIVILES ET MILITAIRES DE LA GUERRE D'ALGERIE, DU MAROC ET DE LA TUNISIE L'ANFANOMA invite les Adhérents de ses Sections et appelle ses Compatriotes " rapatriés " à participer activement aux cérémonies nationales organisées partout en France, à Paris et dans chacun des départements. Elle rappelle que la Commission " Favier ", réunissant les principales associations d'Anciens Combattants, a retenu cette date du 5 décembre, volontairement neutre, pour trancher le différend 19 Mars/16 Octobre. Seule l'obstination et l'idéologie animent quelques dirigeants minoritaires et les pousse à continuer à s'opposer à ce choix raisonnable. Libre à eux d'organiser seuls, à la date qui leur convient les cérémonies associatives de leur choix, à la condition expresse que les Autorités civiles et militaires n'y apportent pas la caution de l'Etat. Les Français rapatriés quant à eux se recueilleront, dans le calme et la dignité, à la mémoire des Militaires, morts pour la défense de territoires alors français et pour la protection des populations. Ils se recueilleront aussi à la mémoire de leurs Compatriotes morts ou disparus, assassinés tout au long de ces années noires, avant comme après l'indépendance de ces territoires. Ils s'inclineront aussi en souvenir de leurs Anciens qui, pour les plus chanceux, reposent dans leurs cimetières abandonnés, mais aussi à la mémoire de ceux dont les corps ont été déplacés ou, pire encore, n'ont jamais eu de sépulture. Ils n'oublieront pas non plus les Harkis et leurs proches, sacrifiés pour leur engagement à nos côtés. Yves Sainsot, Président national |
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DIMANCHE 5 DECEMBRE JOURNEE NATIONALE D'HOMMAGE AUX MORTS POUR LA FRANCE EN ALGERIE FRANCAISE TUNISIE ET MAROC Le RNFAA a toujours refusé cette date, choisie par le gouvernement français. Sachant qu'elle n'a aucune valeur symbolique pour les combattants qui ont donné leur vie pour le maintien de la France en Algérie et le refus de l'Etat de faire figurer dans les colonnes du Mémorial du quai Branly, nos " morts pour la France ". Néanmoins, devant les assauts répétés de la FNACA et autres gauchistes sympathisants du FLN au pouvoir en Algérie, réclamant aux autorités françaises, le rétablissement de la date du 19 mars, pour commémorer nos frères tombés courageusement sous les balles de l'ennemi, nous nous devons d'être unis face aux collaborateurs du FLN. En choisissant, pour l'heure, cette journée nationale, nous devons montrer notre détermination à rejeter la date que les communistes voudraient rétablir pour honorer, conjointement à l'Algérie du FLN, l'abandon de notre communauté livrée, par cet acte, au génocide qu'elle a connu. Aussi, le RNFAA vous engage à honorer, ce 5 décembre 2010, dans toutes les villes et villages de France, nos victimes civiles et militaires restés sur cette terre qui nous a été volée. Le Directoire |
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RéAgir Résister et Agir Pour la défense de nos identités Communiqué aux associations, presse et radio
amies et
les amis par Internet (à Quimper ce 30 novembre 2010) |
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ASAF 25 novembre 2010 18 rue de Vezelay 75008 Paris Site : www.asafrance.fr COMMUNIQUE A l'occasion de la célébration du 92ème anniversaire
de l'armistice du 11 novembre 1918, deux présidents d'association
d'anciens combattants - la FNACA d'une part et l'UFAC d'autre part - ont
exprimé ou cautionné des textes qui constituent une véritable
offense à cette journée d'hommage, instant privilégié
d'unité et de fierté nationales. Face à ces déclarations, l'ASAF souhaite qu'une réponse
claire et ferme soit adressée par les dirigeants de notre pays. |
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Lettre à Christian ESTROSI Maire de Nice.
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Monsieur le Maire,
Nous vous faisons part de la déception qui touche notre communauté
niçoise, mais aussi P.A.C.A. et nationale, de voir ériger
dans notre ville de Nice une statue du général De Gaulle. Mais l'autre visage de Charles De Gaulle, celui que nous avons connu
à partir de 1958, nous est profondément haïssable.
Celui-là, c'est l'homme de la trahison et de l'abandon. Trahison
lorsqu'il a crié fortement devant les Français d'Algérie
(d'origine européenne et Français-musulmans fraternellement
rassemblés) " Je vous ai compris ", ou encore "
La France de Dunkerque à Tamanrasset ". Pendant que nous applaudissions
et chantions La Marseillaise, il pensait déjà à la
chronologie de l'abandon. Lui, celui de 1939-1945, avait oublié
que l'Armée d'Afrique avait fortement participé à
la libération du territoire métropolitain : entre 1943 et
1945, 170000 Français d'A.F.N. ont été mobilisés,
soit 16% de la population européenne d'A.F.N. (par comparaison,
pour la même période, ont été mobilisés
700000 métropolitains, soit 1,70% de la population métropolitaine).
Au combat, les pertes dans les rangs des européens d'A.F.N. se
sont élevées à 10% de l'effectif, pour 6% des métropolitains). Abandonnés, il nous a fallu quitter notre pays avec chacun une valise, laissant des maisons pleines de nos souvenirs, nos cimetières où reposaient des générations des nôtres (dont les tombes furent bientôt profanées ou rasées). En métropole, notre installation ne fut pas toujours facile : recherche d'un logement, d'une activité professionnelle, hostilité dans certaines villes. De plus, selon la très officielle A.N.I.F.O.M., nous n'avons été indemnisés qu'à 52% de la valeur de nos biens, alors que les métropolitains ont été dédommagés à partir de 1945 à 100% de leurs pertes dues à la guerre (ce qui laisse à penser que nos dirigeants ne nous considèrent pas comme des Français à part entière). Nos frères harkis, le petit nombre qui avait pu atteindre la métropole, ont eux été parqués dans des baraquements. Tous ces faits historiquement avérés, Monsieur le Maire, sont encore trop traumatisants pour nous. Vous devinez donc que nous n'acceptons pas de voir ériger dans notre ville de Nice une statue en l'honneur de celui qui nous a trahis et abandonnés. Nous souhaiterions vous rencontrer sur ce sujet, et, dans cette attente,
nous vous prions d'agréer, Monsieur le Maire, l'assurance de notre
considération Pour " Les Amitiés Oraniennes " Pour le " Cercle Algérianiste de Nice " Claude RAYMOND Michèle SOLER Pour le " Centre d'Etudes Pied-Noir " (C.E.P.N.) Pour le
" Centre de Documentation Josseline REVEL-MOUROZ Gérald LEGER |
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Le collectif des associations (Cercle, CEPN, CDHA et Amitiés
oraniennes) ayant signé et envoyé leur lettre à M.
Estrosi, merci de ne pas envoyer ce document à titre personnel mais
au nom des associations qui veulent se joindre à notre démarche. Il leur appartient donc, en reproduisant le contenu de cette lettre, d'y adjoindre le nom et la signature du président de l'association et de l'envoyer directement au maire de Nice. |
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RAPPEL.
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FRANÇAIS ! ALGERIENS ! Voici un rappel succinct des étapes d'une trahison sciemment organisée contre les Français d'Algérie, que les différents gouvernements et les médias, complices des deux côtés de la Méditerranée, cachent à nos deux peuples depuis un demi-siècle : Michel DEBRE en Novembre 1956 " Que les Algériens se rappellent que l'abandon de la souveraineté Française en Algérie est un acte illégitime qui met tous ceux qui s'en rendent complices hors la loi et tous ceux qui s'y opposent, quel que soit le moyen employé, en état de légitime défense ! " Charles DE GAULLE ( après le " Je vous ai compris ") Le 4 juin 1958 " Dans toute l'Algérie, il n'y a que des Français à part entière ! " Le 5 juin 1958 L'Algérie est une terre Française, organiquement et pour toujours !" Le 6 juin 1958 à Mostaganem " Vive l'Algérie Française ! " Le 7 juin 1958 -Oran OUI,OUI,OUI, La France est ici pour toujours, Elle est ici avec sa vocation millénaire qui s'exprime aujourd'hui en trois mots : Liberté, Egalité, Fraternité .vive Oran, ville que j'aime et que je salue, bonne, chère grande ville d'Oran, grande ville Française !" Le 30 octobre 1959 " A quelle hécatombe condamnerions nous ce pays si nous étions assez stupides et assez lâches pour l'abandonner ! " Août 1959 Le drapeau du FLN ne flottera jamais sur Alger, moi vivant ! " 3 mars 1960 " L'indépendance réclamée par Ferhat Abbas et sa bande est une fumisterie ! " 22 octobre 1960 " Les insurgés voudraient que nous leur passions la main. Cela nous ne le ferons jamais ! Puis soudain revirement total car nous le savons maintenant, son plan,
mûri en secret depuis 1954, s'installe, une défaite politique
est consommée, l'armée qu'il n'a cessé d'encourager
à détruire l'ennemi, attisant ainsi la haine, est mise sur
la touche, il n'est plus question de l'Algérie Française
mais de l'Algérie Algérienne, provoquant un épiphénomène
clandestin qui durera 11 mois : l'OAS, réaction contre l'insoutenable
trahison et légitimée par la déclaration de Michel
DEBRE de novembre 1956. Alain ALGUDO |
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Mon cher Hervé,
Quitte à me répéter, je pense que 2012 sera pour
nous - hélas - l'année du souvenir et de la communion avec
nos disparus et notre passé. RC Puig |
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Mes cher amis, J'ai de plus en plus de mal à voir notre "communauté"
être éclaboussée Alors que la France cherche par tous les moyens à
favoriser une Algérie Boycotter toutes ces associations et leurs projets
de "grande fête" sera le Nobeline
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Au Figaro :
Messieurs, Vous avez cru pouvoir publier récemment en large publicité
une lettre ouverte de la FNACA, - cette demande est d'abord basée sur la nécessité
d'une réconciliation avec l'Algérie à l'image du
rapprochement d'après guerre avec la république fédérale
allemande. Mais c'est vouloir ignorer que ce rapprochement n'était
rendu possible que par l'élimination totale du régime nazi
et la volonté de rapprochement de l'Allemagne elle même.
Or la situation de l'Algérie est à l'opposé : elle
est toujours sous la coupe du F.L.N., qui fut et surtout qui reste l'ennemi
déclaré de la France, attaquée par le président
algérien jusque devant notre parlement . On pourrait noter que
la R.D.A. et son régime hostile n'ont jamais fait, eux, l'objet
d'un vrai rapprochement diplomatique avec la France Nous nous permettrons de rappeler ici que la FNACA est née de la fraction idéologique qui, pendant les événement d'Algérie, a activement aidé les terroristes du F.L.N. et objectivement participé à la défaite de notre pays. Ce qui donne une coloration indécente à sa demande La célébration de la date du 19 mars serait considérée par les Français d'Algérie de toutes confessions, unanimes, comme une insulte à leur encontre, qui ne resterait évidemment pas sans réaction. Nous posons donc la question de savoir s'il est vraiment nécessaire de cultiver des germes de désunion supplémentaires ? et nous étonnons de constater que le Figaro se prête à cette opération de propagande . Persuadé que l'honnêteté vous fait un devoir de publier notre protestation, et dans l'espoir de cette publication, je vous prie de croire, Messieurs, à mes sentiments distingués M.Lagrot Hyères le 1/11/2010 |
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Opération 5 décembre contre 19 mars
Par décret du 28 septembre 2003, une journée nationale de commémoration des morts de la guerre d'Algérie-Maroc-Tunisie est fixée au 5 décembre, suite à l'avis d'une commission présidée par M FAVIER et regroupant les représentants du monde combattant. Cette date a été confirmée par la loi du 23 février 2005. Un monument national, situé au Quai BRANLY à PARIS a été inauguré par le Président CHIRAC. Quelle était la situation avant cette date ? La quasi-totalité des associations d'Anciens Combattants, à l'exception de la FNACA (Fédération Nationale des Anciens Combattants d'Algérie (Tunisie Maroc) et de l'ARAC (Association Républicaine des Anciens Combattants) commémorait le 16 octobre, date de l'inhumation à la nécropole nationale de Notre-Dame de Lorette, des cendres du soldat inconnu d'Algérie. Estimant que la querelle des dates, vieille de 45 ans, était révolue, les associations dans leur plus large majorité s'est ralliée à cette date neutre du 5 décembre. Les FNACA et ARAC donnaient alors ordre à leurs sections de boycotter le 5 décembre Le gouvernement laisse la liberté aux associations dissidentes de commémorer - à titre associatif - toute autre date (voir la lettre du SEDAC du 20 septembre 2007 et le dossier joint.) Des inconscients persistent à dire - ce qui est exact - que le 5 décembre ne correspond à aucune date de la guerre d'AFN. Certains revendiquent le 15 juin, débarquement de Sidi Ferruch d'autres le 13 mai D'autres n'en veulent pas ''parce que c'est une date des gaullistes'' J'en passe et des meilleures ! Cependant, nous devons être pragmatiques et réalistes : si le 5 décembre n'est pas plus fréquenté et actif qu'actuellement, que croyez-vous qu'il arrivera ? Ce sera le 19 mars qui sera officialisé dès qu'il y aura alternance et là, cette date honnie sera dé-fi-ni-ti-ve ! Il n'y a aucune autre solution possible. " Mieux vaut tenir que courir " Prenez vos responsabilités ! Encouragez vos enfants, vos amis, vos élus, à donner au 5 décembre la vraie dimension que les Anciens d'Algérie, du Maroc et de Tunisie ont voulu qu'il ait ! NON au 19 mars ! OUI au 5 décembre ! Relayez cette campagne ! Merci.
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28 / France Les élus se moquent de Toi et de nous ! Quel cinéma ! Je sais bien qu'il ne fallait pas s'attendre
à grand-chose mais c'est du pire avec Alain Juppé qui revient
! Le remaniement de Nicolas Sarkozy n'est qu'un retour au RPR chiraquo-gaullien,
c'est-à-dire le parti qui faisait du pied à Bouteflika,
nous a valu cette espèce de repentance diffuse, sournoise que nous
subissons encore, et
et, qui risque de se révéler
au grand jour dans les mois à venir. En effet sur qui miser pour
les prochaines élections, sinon sur le fondamentalisme oriental
- eh oui ! - qui nourrira la campagne présidentielle en récompense
d'une allégeance de plus en plus flagrante : la France des mosquées,
d'une burqa dont on ne veut plus parler et de la langue arabe imposée
aux policiers. Nous sommes mal partis. Alors, il faut le dire haut et
fort pour que la réponse à ce " coup de l'éventail
" que le pouvoir nous impose soit à la hauteur du défit
qu'il nous lance. Exit la crise, dit l'Elysée, préparons
2012. Nous aussi nous devons préparer le renouveau : une France
meurtrie par ses pairs mais libérée de ses fantasmes communautaires. |
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Cercle algérianiste national Fédération des Cercles
algérianistes
Chers amis algérianistes, Quelques jours seulement après notre retour de ce grand rassemblement de Béziers qui s'est tenu en présence de 1500 des nôtres, c'est une bien triste nouvelle qui frappe notre grande famille algérianiste : celle de l'annonce du décès de notre ami Jo Sohet, ancien président national du Cercle, qui s'est éteint à Nouméa ce mercredi 10 novembre 2010. Jo Sohet rejoint ainsi, sur cette terre de Nouvelle-Calédonie
qui fut son dernier refuge, Jean Brune. Nous rendrons, bien sûr, hommage à Jo dans le prochain numéro de notre revue. Notre ami Yves Magnon, président du Cercle algérianiste de Nouméa lui rendra, en mon nom et en votre nom à tous, un hommage lors des obsèques qui devraient se dérouler ce lundi 15 novembre 2010 en Nouvelle-Calédonie. Très fidèlement à tous.
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LE TEMPS BENI DES COLONIES
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Communiqué Presse et radios N.C
LA FEDERATION NATIONALE des CERCLES ALGERIANISTES, Monsieur JO SOHET Une veillée se déroulera le dimanche
14 novembre à partir de 18H Les obsèques et les honneurs militaires auront
lieu le LUNDI 15 novembre à 15H30 |
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Lettre ouverte à M. Benjamin STORA Monsieur, |
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" De Gaulle " la grandeur de la France
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Non " Ce n'est pas notre histoire " que France 2 nous a présenté hier soir " c'est votre histoire " que vous nous avez conté, c'est l'histoire que vous manipulez à votre gré en occultant tous les témoignages des personnes encore vivantes susceptibles de présenter un de Gaulle qui ne correspond nullement à l'icône glorieuse que vous avez offerte au Français. Les seuls témoignages retenus sont ceux qui encensent de Gaulle, qui le couvrent d'un concert de louanges (Merci à Mme Lopez qui était la seule à représenter les absents et qui l'a fait avec dignité). En témoin principal un certain monsieur qui avait eu l'honneur de serrer la main du " général " en 1960 à Londres la belle affaire !! Où sont les dizaines de témoignages que vous avez reçu et qui prouvaient que de Gaulle n'était pas l'homme providentiel et irréprochable, l'homme au dessus des partis, l'homme qui s'identifiait à la France ? N'était-ce pas plus intéressant pour les Français de présenter le témoignage de ce journaliste qui " couvrait " la tournée des popotes organisée en 1959 par de Gaulle lorsque celui-ci affirmait, en réponse à une question du colonel Bigeard et devant de très nombreux officiers supérieurs (pas encore à la retraite) : Moi vivant jamais le drapeau algérien ne flottera sur Alger. Vous nous avez, malgré vous, présenté un de Gaulle menteur (de l'avis même de ses plus ardents défenseurs présents sur le plateau) puisqu'il savait avant de prendre le pouvoir en 1958 qu'il donnerait l'indépendance à l'Algérie. Mais ses mensonges, ses parjures, sont pour eux la preuve du grand homme politique qu'il était. Tous ces témoins qui défendaient sa mémoire hier soir se sont bien gardés de nous présenter le de Gaulle raciste et anti-sémite qu'il était réellement. Permettez-moi de réparer cet oubli messieurs les gaullistes. Voici quelques unes de ses déclarations : Les juifs : "Certains même redoutaient que les juifs, jusqu'alors dispersés, mais -qui étaient restés ce qu'ils avaient été de tout temps, c'est à dire un peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur, n'en viennent, une fois rassemblés dans le site de leur ancienne grandeur, à changer en ambition ardente et conquérante les souhaits très émouvants qu'ils formaient depuis dix-neuf siècles." (Conférence de presse du 27 novembre 1967) . Les Arabes : ."Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de Musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisons l'intégration, si tous les Arabes et Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! " (Cité par B. Stora, Le transfert d'une mémoire, Ed. La découverte, 1999) . - de Gaulle n'a pas souhaité une Algérie Française par pur racisme, en témoignent ces affirmations : " Il naît chaque année 800.000 enfants en France, 600.000 en Algérie, avec des mariages exclusivement islamistes. Il est impossible à la France d'absorber un apport humain aussi massif et aussi hétérogène sans qu'elle soit atteinte dans sa personnalité et son unité. Il est donc extrêmement dangereux de prétendre faire de l'Algérie une province française. Et puis ces gens-là (les Arabes) ne sont pas des Français, ne seront jamais des Français. " Je veux aujourd'hui l'informer (à titre posthume en ce qui le concerne) qu'il s'est trompé sur toute la ligne. Si l'Algérie était restée terre française les Arabes n'envahiraient pas progressivement la France. Ils seraient restés avec " nous " dans les trois départements français d'Algérie et la France ne serait pas aujourd'hui confrontée à tous " ses " problèmes d'intégration, de mosquées, d'islamisme, de voile et de burka et des prochains problèmes bien plus graves qui l'attendent . Sans doute de Gaulle n'a pas pris le temps d'y réfléchir suffisamment. Là ou il se trouve actuellement qu'il médite ces paroles de Mahomet (le Coran) : " J'écarterai de la foi l'homme injuste et superbe. La vue des miracles ne vaincra point son incrédulité. La vraie doctrine nui paraîtra fausse. Il prendra le chemin de l'erreur pour celui de la vérité. " Les nègres : "Vous savez, cela suffit comme cela avec vos nègres. Vous me gagnez à la main, alors on ne voit plus qu'eux : il y a des nègres à l'Élysée tous les jours, vous me les faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner. Je suis entouré de nègres, ici. [ ] Et puis tout cela n'a aucune espèce d'intérêt ! Foutez-moi la paix avec vos nègres ; je ne veux plus en voir d'ici deux mois, vous entendez ? Plus une audience avant deux mois. Ce n'est pas tellement en raison du temps que cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l'extérieur : on ne voit que des nègres, tous les jours, à l'Élysée. Et puis je vous assure que c'est sans intérêt." (Entretiens avec Jacques Foccart, 8 novembre 1968. cité dans ses Mémoires, tome 2) Voilà le portrait d'un de Gaulle plus vrai, d'un de Gaulle qui a utilisé la stratégie du mensonge et de la trahison pour prendre le pouvoir en se servant d'un million de Français d'Algérie, et je ne parle pas de ses crimes et de ses impostures car ce serait bien trop long. Peut-être qu'un jour en parlera-t-on à la télévision sur une chaîne qui ne sera pas nationale. |
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La version "maison"
de l'émission comme elle s'est déroulée le 4 novembre
à Paris
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Vous trouverez en cliquant sur le lien ci dessous : http://comite-veritas.com/newss/pop_news.asp?id=374 une nouvelle concernant l'enjeu du procès intenté
à Claudine Dupont-Tingaud. |
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Ainsi, des États généraux, réunissant tous ceux, délégués de collectifs comme d'associations responsables mais réellement représentatives des attentes légitimes de la grande majorité de nos compatriotes, parait en effet comme la voie incontournable susceptible de définir des réponses concrètes, juridiques, historiques et morales, en dépassant les seules préoccupations de l'indemnisation, qui restent à satisfaire envers le plus grand nombre des Français d'Algérie. Mais la réussite d'une telle entreprise implique que l'organisation d'une telle réunion, échappant à la main mise des seules associations " habilitées " , par les gouvernements successifs, réactualise la représentativité réelle et la légitimité associative dont les ressources propres sont un des éléments non négligeables ; en bref qu'un tel congrès soit réellement représentatif des délégués désignés par un vote formel ou adhérents réels d' associations numériquement définies, et, ce faisant, de la légitimité de leurs attentes. III - S'agissant de la " Fondation de la mémoire de la
guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de Tunisie ",
le RNFAA n'adhère pas aux nouveaux objectifs annoncés, le
19 Octobre dernier, par Mr Hubert FALCO, qui s'avèrent éloignés
de la définition première, à savoir " la vérité
historique et les responsabilités, notamment, celle de l'État
français dans les drames intervenus après le 19 mars 1962
", condition qui nous paraît le préalable indispensable
à " la réconciliation de toutes les mémoires,
en France et en l'Algérie ". Il est vain, dans ces conditions, d'espérer qu'une " Fondation
" qui accommoderait la mémoire de la France par le refus de
la vérité, puisse apporter, par des concessions diplomatiques
aux mensonges , la paix et la sérénité à des
populations nourries, tant dans les banlieues que dans les villes, d'
une véritable haine de la France et du " souchien ".
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Montpellier, le 31 octobre 2010 Objet : Lettre ouverte de la FNACA N/Ref : PR/PB/10/10 Monsieur le Président de la République Palais de l'Elysée 75000 PARIS Monsieur le Président de la République, Nous apprenons l'existence d'une lettre ouverte de la FNACA rédigée à votre intention par le 29ème congrès de cet organisme. Cette annonce est parue dans "Le Figaro" du 29 octobre 2010. Il vous est demandé, après l'imposture, le parjure et la forfaiture que nous avons subis en priorité en 1962, d'ajouter l'ignominie de la commémoration du 19 mars qui vit la victoire militaire de notre armée transformée en une capitulation en rase campagne de nos soldats. Cette publication, sans doute payante, montre que" les Deniers
de Judas continuent de remplir les escarcelles de la trahison".
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Contre la statue de De GAULLE
à Nice: signez la pétition
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Est-ce une arme secrète des imans d'Orient ? Une manière de transformer Paris ou Rome en Sodome et Gomorrhe du XXI ième siècle afin de mieux les punir ? Les services secrets européens feraient mieux de se pencher sur ce sujet au lieu de surveiller les ordinateurs des journalistes. En effet, ces filles venues du Sud perturbent ! D'abord, en commençant par les " footeux " français, tristes acteurs du mondial 2010. Maintenant, c'est l'Italie qui est prise d'assaut - je ne sais si le terme est juste -. Voilà Berlusconi surpris la main dans l'engrenage ! Je me pose la question : A qui le tour maintenant ? L'Orient des mille et une nuits sera-t-il fatal à l'Occident par favorites téléguidées ? Il y a peut-être une autre réponse. Ces jeunes maghrébines en ont assez de la chape de plomb qui pèse sur la religion musulmane et des exigences des intégristes, ses étudiants du Coran qui interdissent aux femmes toute liberté individuelle, toute émancipation, tout droit à l'étude, en ne les considérant que comme des ventres à produire de futurs esclavagistes. Robert Charles Puig / novembre 2010
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APPEL SOLENNEL. Vous êtes tous informés de la récente création du Rassemblement National des Français d'Algérie et de leurs Amis (RNFAA). C'est notre dernière chance de nous réunir sous une seule entité avant 2012, cinquantenaire de l'abandon de l'Algérie Française, et donc de nous adresser d'une seule voix à nos gouvernants, députés, sénateurs, préfets et maires, lors de toutes manifestations ou circonstances qui motiveront notre intervention. Il n'est plus temps de tirer la couverture à soi, cette époque
est révolue, des centaines d'associations n'ont pas encore souhaité
participer à ce rassemblement. Pourquoi ont-elles été
créées ? Pour défendre la cause des Français
d'Algérie, des Pieds-noirs, ou pour bénéficier des
diverses subventions nécessaires pour obtenir leur silence ? Il
ne faut pas craindre de l'écrire : tous les adhérents à
ces associations qui pensent ainsi défendre notre cause se leurrent.
Seul un rassemblement national pèsera au moment des discutions. |
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Grèves d'octobre décrites par les USA...
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RÉSUMÉ Quelles ont été les conditions du retour au pouvoir du général de Gaulle ? Comment interpréter le "Je vous ai compris" du 4 juin 1958 ? De Gaulle savait-il déjà qu'il devrait abandonner l'Algérie, alors qu'il a été replacé au pouvoir par ceux qui voulaient garder l'Algérie Française ? Pourquoi a-t-il abandonné les Français d'Algérie et les Harkis au moment de l'indépendance de l'Algérie ? De l'invention par De Gaulle d'une méthode pour revenir au pouvoir quand on n'a aucune chance de gagner les élections, à son impuissance à imposer sa solution en Algérie, ce film approfondit les questions soulevées par le docu-fiction de Serge Moati... |
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eysilia 31/10/2010 21:17 DE GAULLE Le 5 Juillet 1962 à Oran, le Général de Gaulle a abandonné ses nationaux aux mains des assassins, ce massacre est toujours occulté, il avait donné ordre au Général Katz de ne pas intervenir-malheureusement l'histoire ne retient que ses discours trompeurs et oublie la tragédie du peuple PN- 40 ans après sa mort de Gaulle est toujours intouchable - il a trahi la confiance des Français d'Algerie. Fille de disparu rescapée toujours à la recherche de la vérité , je me bats depuis 47 ans, et toujours l'amnésie auprés des gouvernements successifs |
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Une trahison parmi d'autres Et si l'on parlait de l'affaire Si Salah Si Mohamed. Juin 60, répondant à la "paix des braves" voulue par De Gaulle, ces deux principaux chefs de l'ALN, responsables des willayas d'Alger et de Constantine, les deux plus importantes, se rendent à Paris, rencontrent le chef de l'Etat et offrent leur reddition. C'en était fini du conflit. D'autant plus que sur le terrain la victoire française était une réalité. A partir de ce moment, l'Algérie aurait pu rester française, avec sans doute des aménagements. Mais De Gaulle était pressé de se débarrasser du "boulet algérien". Il envoya immédiatement des émissaires prévenir le GPRA au Caire. Et bien sûr, à peine revenus chez eux, Si Salah et Si Mohamed se firent égorger. Terminée la "paix des braves". Les métropolitains doivent comprendre que si pendant encore 2 ans des appelés se sont fait tuer c'est à cause de la folie criminelle d'un seul homme. Je rappelle cet épisode pour ceux qui se moquent du massacre des Pieds-Noirs et des Harkis. De Gaulle a aussi trahi les métropolitains... ! |
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Bonsoir,
Je vous communique une info à diffuser autour de vous : la messe pour nos morts sera célébrée par le père Caruana (d' Oran) le mercredi 3 novembre à 18 heures en l'église du Sacré-Coeur à Antibes. Venez nombreux et diffusez... Amitiés à tous. Monique |
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SECONDE LETTRE OUVERTE A CHRISTIAN ESTROSI MAIRE DE NICE.
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Chers Amis,
Suite aux pourparlers menés depuis fin juin avec le maire de
Marignane l'ADIMAD a signé début juillet une convention
pour la remise en place dans le cimetière de la ville de la Stèle
démantelée en novembre 2008. JF Collin |
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Essai sur l'origine de l'appellation "PIEDS NOIRS"
Sur le déclin des années 50, les membres de notre communauté,
de prime abord passablement étonnés, entendirent prononcer
pour la première fois ces deux mystérieux vocables associés,
venus on ne savait d'où et instillés par on ne sait qui.
On leur susurrait aussi que cette dénomination concernait exclusivement
les descendants de ces groupes européens issus des rives nord de
la Méditerranée, Français, Espagnols, Italiens où
Maltais, venus nombreux en Algérie dans le sillage de l'Armée
d'Afrique aux fins de coloniser ce pays C'est un article de l'algérianiste, dédié au Musée Historique Franchet d'Espérey d'Alger qui m'a récemment rappelé une visite effectuée, précisément durant ces années 50, à ce même musée. Une vaste salle y était consacrée au Corps de débarquement de 1830. A l'intérieur d'une grande vitrine, on pouvait admirer de nombreux mannequins montrant éloquemment d'une façon spectaculaire, toutes les tenues de ces premiers soldats, ancêtres de l'Armée d'Afrique. Et là, dès l'abord, ce qui frappait intensément le regard, plus encore que la diversité des uniformes colorés aux boutons de cuivre coruscants, c'était l'éclat presque agressif qui caparaçonnaient pieds et jambes de la majorité de ces figurants de cire. Souliers, guêtres, demi bottes, bottes montantes, toutes ces noirceurs d'ébène étincelaient, briquées à mort. " A la glace de Paris" ! se serait exclamé un petit cireur de la Place de l'Aoud* à cette vue. Une idée prenait germe déjà dans mon esprit lorsque
je quittai le Musée : une relation logique existait elle entre
l'aspect insolite des buffleteries qui gainaient pieds et jambes des Depuis des temps immémoriaux, les Djazaïrois n'avaient
pu observer, dans leur environnement, que des individus équipés
d'un éventail restreint de chaussures. Dans les campagnes du Fahs,
les fellahs allaient pieds nus où, au mieux, rustiquement appareillés
de bough'arous, rectangles de peau de buf ou de chèvre liés
à même le pied, tous poils dehors. Le résultat de ce réexamen se présente ainsi comme une pièce de théâtre classique charpenté par la non moins classique règle des trois unités d'action, de lieu, et de temps : l'investissement d'El Djezaïr par les Français, le 5 Juillet 1830. Le 5 Juillet, à 13 heures, en vertu de la convention d'armistice
signée la veille par le dey Hussein, les troupes françaises
firent leur entrée dans la ville. Occupant le front de mer et les
positions extérieures, d'importants éléments de deux
divisions accédèrent à la cité par les portes
de l'ouest et de l'est (Bab el Oued et Bab Azoun) tandis que le général
de Bourmont, son état major et son escorte, précédés
par d'autres unités, entraient par la porte du nord (Bab Jdid),
allant occuper la Casbah et ses environs. La jonction devait s'opérer
au centre de la ville. Les rues de celle ci étaient désertes.
Seuls quelques boutiquier gardaient leurs échoppes ouvertes. Toute
la population djazaïroise se massait sur les terrasses et derrière
les moucharabieh, encore muette de stupeur après la destruction,
réputée impossible du Fort de l'Empereur qui protégeait
" Alger la bien gardée ". Tous guettaient l'arrivée
des vainqueurs. Ainsi, ce jour là, au même moment, toute la population autochtone d'El Djezaïr rassemblée, put voir défiler à ses pieds les vainqueurs des hordes du dey Hussein. Il est hors de doute qu'à la découverte choc de la partie vestimentaire de ces nouveaux venus qui fascinait les Djazaïrois, une même exclamation stupéfaite et réductrice à la fois ait fusé, spontanément, de tous les points de la ville : "Tous ces Roumis ont les pieds noirs" De ce moment, ainsi que les jours suivants, chez les citadins, l'expression el rejlin kah'la "les pieds noirs" dut caractériser les vainqueurs. Sans que ceux ci pussent en être informés, pour l'excellente raison que l'Armée ne comptait d'autres arabisants qu'un peloton d'interprètes formés à l'arabe littéraire ou à celui des Echelles du Levant, lesquels éprouvèrent quelques difficultés à traduire l'arabe dialectal algérois. Une seconde raison, non moins excellente, aggravait l'incompréhension entre les deux parties : nul francisant parmi les Djazaïrois, hormis une poignée de négociants du cru, au vocabulaire français restreint ayant commercé avec des homologues marseillais. Une troisième raison explique aussi le défaut de trace écrite sur l'apparition de cette dénomination: le 5 Juillet était le premier jour de la prise en charge d'El Djezaïr par l'autorité française succédant "au pied levé" à l'administration ottomane. D'où résulta une assez longue période de flottement pour ne point parler de chaos, temps propice à une occultation de toute demarche linguistique. De cette situation de fait, on peut aisément en inférer que les termes "Pieds Noirs" ne furent jamais prononcés en français dans l'Alger de 1830. De plus, semble t il, l'utilisation en interne de ce surnom n'eut qu'une durée limitée, ceci expliquant également son défaut de notation. En effet, simple traduction d'une image visuelle ne comportant nulle connotation raciale, religieuse ou même péjorative, "el rejlin kah'la" fut sans doute rapidement supplanté par le terme "roumis" (étrangers, chrétiens ) qui, chargé de xénophobie et d'intolérance religieuse, pouvait se cracher comme une insulte. Pourtant, son souvenir fut il retenu par certaines mémoires, puisque parvenu jusqu'à nous. Et ce, très probablement, par le canal de la tradition orale familiale mauresque. Imaginons, par souci de simplification, qu'un descendant à la quatrième génération d'une de ces familles (1830 1950), enfin frotté de français, ait eu l'idée de traduire el rejlin kah'la dans cette langue. S'il n'éprouva point de nécessité d'en clamer le résultat sur les toits, il dut cependant s'en ouvrir auprès de ses coreligionnaires. Et bientôt, à l'orée des années 50, d'autres individus aux buts bien précis, s'en emparèrent, l'utilisant comme les prémisses de l'alternative qui nous fut fort aimablement proposée peu de temps après : la valise ou le cercueil ! Peut être aussi, comme certains l'ont pensé, ces deux termes ressuscités afin de cibler une population donnée, ont ils d'abord traversé la Méditerranée pour nous revenir, diffuses par le truchement de ces "idiots utiles" que le F.L.N. recrutait, nombreux, parmi les Français, notamment les journalistes "engagés" chargés de couvrir les "évènements" d'Algérie. Mis à part quelques esprits réalistes ayant subodoré la vérité, nul n'a su, au vrai, ce que signifiaient les deux termes "Pieds Noirs". Comme toujours, en pareil cas, les hypothèses avancées après coup ont fleuri, nombreuses, plus ou moins heureuses ou délirantes. Fantaisies censées éclairantes qui ont ajouté plutôt leurs ténèbres à l'obscurité. Pour clore cet essai, je rappellerai la boutade d'un humoriste des années 60 qui déclarait plaisamment : "La France a perdu l'Algérie, mais elle a conservé le couscous et la merguez". A ce bref inventaire j'ajouterai : "et les Pieds Noirs" dont l'emblème, tel un pavillon corsaire, claquera longtemps encore au vent de l'Histoire !! Gaston PALISSER *Place de l'Aoud, (Place du Cheval) - Place du Gouvernement |
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CENTRE D'ETUDES PIED-NOIR C.E.P.N. Josseline Revel-Mouroz Monsieur Christian Estrosi Monsieur le maire, J'ai bien reçu votre lettre en date du 8 octobre et je souhaite vous apporter quelques précisions concernant " le rôle du général De Gaulle dans l'histoire de notre pays. " De Gaulle, c'est : - près de 3000 morts à Mers el Kébir " acte
nécessaire " De Gaulle, c'est aussi le refus d'accueillir les Harkis et leurs familles sur le territoire français et, pour ceux qui avaient réussi à s'embarquer pour la France, ce sont des années passées dans des camps cernés de barbelés, dans des conditions indignes De Gaulle, c'est aussi ce " terrible exode " qu'il avait été incapable de prévoir De Gaulle, c'est aussi le cynisme " Ils vous intéressent, vous, ces Mohamed et ces Fernandez ? " C'est aussi le mensonge et le parjure : " Il n'y a plus ici, je le proclame en son nom et je vous en donne ma parole, que des Français à part entière Vive Mostaganem, Vive l'Algérie française " C'est aussi le racisme : " Alors, Joxe, vous avez bientôt fini avec vos bicots ? " Et c'est une certaine idée de la démocratie : " La dictature que j'ai exercée et que je ne manquerais pas de prolonger ou de ressaisir si la patrie était en danger. " C'est pourquoi je persiste à dire qu'il est particulièrement
indécent d'ériger une statue à la mémoire
d'un homme politique qui a été désavoué deux
fois par le pays. Vous rappelez l'action de Jean Médecin en faveur des Français
obligés de fuir les pogroms dans leur pays natal. Jamais Jean Médecin
ne nous a infligés une pareille provocation. Je vous prie d'agréer, monsieur le Maire, mes salutations distinguées.
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Depuis 1963, chaque année une prière spéciale est dite le 11 NOVEMBRE sur la tombe du Colonel Jean BASTIEN-THIRY pour tous ceux qui sacrifièrent leur vie à
la défense de l'Algérie française Vous êtes invités à cette cérémonie qui aura lieu le JEUDI 11 NOVEMBRE 2010 à 15 heures Cercle Jean BASTIEN-THIRY - B.P. 70 - 78170 La Celle
Saint Cloud |
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LE MEMORIAL NATIONAL DU QUAI BRANLY
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NOUS N'OUBLIERONS JAMAIS
Madame, monsieur, Le Maire de Nice ayant décidé d'utiliser nos impôts
pour ériger une statue du général De Gaulle, nous
lui avons fait part de notre sentiment : Nous sommes ainsi condamnés à une double peine : non seulement nous devons subir la présence de cette statue qui nous rappellera tous nos malheurs, mais encore on nous oblige à la financer. C'est trop. Désormais, nous nous nous verrons dans la triste obligation de ne plus mettre les pieds dans ce quartier et dans ses commerces. Nous espérons que vous comprendrez notre émotion, dont le maire de Nice a refusé de tenir compte. Quartier de la Libération Josseline REVEL-MOUROZ CEPN |
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Autre pétition, celle de Josseline REVEL-MOUROZ
du CEPN.
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Monsieur Christian Estrosi Maire de Nice 5, rue de l'Hôtel de Ville 06364 NICE Cedex 4 Monsieur le Maire, Ayant appris par la presse locale que vous aviez l'intention de faire ériger une statue au général De Gaulle, nous, Français d'Algérie - Pieds Noirs et Harkis - tenons à vous faire part de notre légitime émotion. En effet, si ce projet voyait le jour, nous considérerions qu'il s'agit d'une provocation et d'une insulte à nos morts, à nos disparus et aux souffrances que nous avons subies du mois de mai 1958 au mois de juillet 1962 : fusillade du 24 janvier 1960, fusillade du 26 mars 1962, abandon des harkis, abandon des Français d'Oran le 5 juillet 1962, pendant que des accords secrets visaient à protéger le pétrole. Alain Duhamel a eu le courage de dire, au bout de plus de quarante ans, que l'acte de trahison le plus retentissant avait été commis par De Gaulle à l'égard des Français d'Algérie. Par conséquent, nous vous demandons instamment de renoncer
à ce projet par respect pour ceux qui se sont réfugiés
à Nice et dans les Alpes Maritimes en 1962 avec un " sentiment
d'incompréhension et même de révolte ", selon
vos propres paroles en juin 2010. |
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Cercle algérianiste national
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Dernière nouvelle: Claude ROCHETTE et Jean-Claude
PONS refusent que cette pétition soit présentée à
Théoule le 1° novembre 2010 au Mémorial de NDA
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CONTRE L'ELEVATION D'UNE STATUE De Charles De Gaulle à NICE
Monsieur Christian ESTROSI |
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LE COLLOQUE DE LA HONTE EST ANNULE ! Devant la ferme opposition d'associations de rapatriés, dont, particulièrement, le Comité VERITAS, qui ne peut concevoir que la charrue soit mise avant les bufs, c'est-à-dire qu'il soit fait état de " paix des mémoires " alors que le contentieux ne peut être réglé qu'après avoir délivré la vérité historique des geôles où le gaullisme de droite comme de gauche la tient enfermée, et avoir révélé à la France entière que sa situation catastrophique actuelle relève des erreurs et des crimes du passé, nous somme heureux d'apprendre à nos compatriotes que, sur les instances du député Elie Aboud, Président de la commission chargée des rapatriés à l'Assemblée Nationale, le colloque du 27 octobre organisé par la MAFA et l'ARMR à Paris est annulé. Il est des vérités qu'il faut dire, entendre, et reconnaître, avant de parler de la paix des mémoires parce que, si l'on veut reconstruire sur des bases solides, on ne peut pas le faire sur les équivoques nées du mensonge, et il n'existe pas d'autre moyen de rendre la France à elle-même que d'apporter mythe actuel les corrections indispensables que commandent l'intelligence et la volonté de défendre les libertés fondamentales qu'on a voulu détruire, et dont nous demeurons les ultimes garants. Après la reconnaissance de la vérité historique, ce qui implique. la reconnaissance par l'Etat français de la responsabilité du Chef de l'Etat de l'époque et de ses thuriféraires dans la tragédie que les Français d'Algérie de toutes ethnies ont vécue notamment à cause de la collusion de l'Etat français et des terroristes du FLN dans une violation commune des accords d'Evian entérinés pas les Français de métropole, ce qui a conduit aux enlèvements, aux meurtres et aux massacres de centaines de milliers des leurs, nous irons, nous-mêmes, et spontanément, vers la paix des mémoires. Il ne peut en être autrement. POUR LE COMITE VERITAS : |
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La suite de la mise au point du Comité VERITAS,
ainsi qu'un mot de notre Vice Président Alain ALGUDO
déstiné au député de l'Hérault Elie ABOUD. |
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Alain MARTIN
Monsieur Christian ESTROSI Armenonville le 19 octobre 2010 Monsieur le maire, |
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Bonsoir,
Je me permets de vous contacter car je souhaiterais partager une découverte époustouflante que j'ai faite récemment avec la sortie d'un roman "je ne vous oublie pas" d' Emmanuel Sabatie. J'étais sous le choc, moi-même fille de harki j'étais loin de m'imaginer que mon père a échappé à tout ça, aux horreurs, aux massacres, à l'enfer et à tous ce qui s'est passé en Algérie... Et en même temps, l'auteur a réussi à nous faire revivre cette période avec une émotion si forte qu'on ne peut pas rester insensible. (Je n'ai fait que pleurer...). C'est un livre qu'il faut recommander et à faire connaître car j'aurais l'impression qu'on nous crache encore dessus et qu'on excitera jamais comme l'a été déjà mon père qui n'est plus ! Un livre qui nous donne enfin la parole, à nous qui ne l'avons jamais eu. Une vraie reconnaissance. Amicalement Alina |
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Oran 5 juillet 1962. Photo prise vers 10 heures 30
/ 10 heures 45; que veut dire cette banderole??
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Il est des films que je vais voir par plaisir, d'autres que je vais
voir par devoir professionnel. " Hors la loi " est de ces derniers.
Je m'attendais au pire. Je n'ai donc pas été déçu.
C'est un film comme il s'en tournait en Union soviétique à la gloire de Lénine et de la construction du socialisme. Cela se base sur des références historiques exactes, mais avec une vision si déformée que cela devient de la propagande. Le FLN est présenté comme ayant recours au meurtre, mais la réalité, l'atrocité barbare de la plupart des meurtres commis par les assassins du FLN ne sont ni montrées ni même évoquées. Le FLN est même comparé, plusieurs fois, à la résistance française des années 1940-1945. Si on oublie les femmes éventrées, les hommes émasculés, les gens au crâne défoncé avec les instruments les plus divers, les égorgements, les bombes déposées dans des cafés, si on oublie en somme, la quasi totalité des assassinats perpétrés par le FLN, la référence peut être exacte. Si on réintègre ces assassinats, elle devient insultante, et se met à ressembler comme deux gouttes d'eau sale à toutes les tentatives de faire passer les terroristes d'aujourd'hui pour des résistants. Les Français montrés dans le film sont des pieds-noirs tirant sur des gens désarmés depuis leur balcon ou des policiers sadiques au comportement dignes de nazis. Une " porteuse de valises " apparaît pendant quelques plans, présentée comme une écervelée désirant surtout coucher avec un militant arabe qui repousse ses avances : c'est normal, elle est blonde L'idée que le FLN incarne la liberté et la dignité est répétée avec insistance. Les harkis ne sont pas décrits comme des êtres humains et n'apparaissent que sous la forme de cadavres entassés qu'on aperçoit après le mitraillage d'un convoi. La place des femmes est conforme à ce qu'elle est dans le monde musulman : la maman voilée qu'on respecte, d'un côté, et, de l'autre, des prostituées. En tant que Français, je suis sorti de la salle imprégné d'un profond dégoût devant ce qui est tout à la fois une falsification et une incitation à la haine. J'ai pensé aux Français qui iront voir ce film en se disant qu'ils participent à un " devoir de mémoire " et qui pratiqueront l'autoflagellation en songeant que, tout de même, la France a commis des crimes ignobles vis-à-vis du peuple algérien. J'ai pensé, surtout, à tous les jeunes issus des " banlieues de l'islam ". Quel message leur est-il transmis par l'intermédiaire de ce genre de film ? Comment pourraient-ils vouloir, après l'avoir vu, s'intégrer ? Comment ne pourraient-ils pas sentir en eux de la détestation et du mépris ? Comment n'auraient-ils pas envie d'une forme de " revanche ", qui pourrait être la participation à une émeute ou à des agressions ? Le film s'achève sur la " joie " de l'indépendance en 1962. Le sort de ceux qui ont dû choisir entre la valise et le cercueil et qui ont tout perdu, n'est pas évoqué, bien sûr. Pour ceux qui ont fait le film, il a sans doute été généreux de ne pas les assassiner sur place. Le sort des Algériens qui avaient choisi la France, massacrés de manière ignoble par les gens du FLN, n'est pas évoqué non plus. Ce que l'Algérie est devenue depuis l'indépendance est, bien entendu, passé totalement sous silence. S'il avait dit que l'Algérie était un pays construit par la France, et détruit par le FLN, le film se serait rapproché de la vérité, mais aurait perdu sa raison d'être. S'il avait fallu dire que les méthodes du FLN étaient des pratiques barbares dont tous les terroristes djihadistes se sont inspirés ensuite, le film aurait été plus proche de la vérité encore, mais il n'aurait pas pu être tourné. Et, s'il l'avait été, il aurait été décrit comme un film d'" extrême-droite ", bien sûr. Diverses organisations islamiques et " antiracistes " auraient appelé à son boycott immédiat. J'ai vu dans " Des hommes et des dieux " un symptôme de la mort qui vient. Je vois dans un film comme " Hors la loi " un symptôme inverse, mais symétrique. Les ferments de sécessions et de petites guerres civiles sont disséminés jour après jour. Nous sommes dans un pays qui se suicide doucement et qui perd peu à peu toutes ses immunités. C'est un phénomène qui touche tout le continent européen. Je le constate avec révolte et avec une infinie tristesse. Guy Millière pour les 4 Vérités hebdo le 13 octobre 2010 |
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" Appel pour le 19 mars
2011 10h00 à Bayonne au Monument aux Morts "
Aussi chaque année depuis bientôt 50 ans, les municipalités en grande majorité de Gauche et malheureusement de plus en plus de Droite, autorisent la FNACA à utiliser les Monuments aux Morts pour commémorer l'IGNOBLE tout en préservant leur électorat... Vous n'êtes pas s'en savoir, que le 19 mars 2010, je me suis présenté seul en haut des remparts de la ville de Bayonne au dessus du Monuments au Morts avec une banderole (voir pièces jointes) pour dénoncer cette mascarade de cérémonie, j'ai été aussi agressé par ces pseudo-soldats membres de la FNACA locale qui m'ont promis le pire (menaces de morts, propos racistes, coups...) une plainte a été déposée au commissariat de Bayonne. Cette année, toujours le 19 mars, je compte avec votre aide (où seul s'il le faut) contre-manifester à nouveau, lors de cette cérémonie de la HONTE, plusieurs personnes déjà m'ont assurées de leur présence, plusieurs associations qu'elles soient du 64, 40, 32, 65.... se sont elles aussi manifestées et pensent organiser des bus pour acheminer tout le monde à Bayonne. Combien serons-nous ? Beaucoup de personnes et d'associations dans le Sud-Est dénoncent ces cérémonies, il faut reconnaitre qu'ils sont plus nombreux et plus concentrés sur le bassin méditerranéen. Alors nous les Pieds noirs, les Harkis, les Anciens Combattants habitant l'Aquitaine soyons présent ce 19 mars 2011 et les 19 mars suivant...de façon que les pouvoirs publics prennent la pleine mesure que ces cérémonies assassinent un peu plus chaque année nos Morts qui sont aussi les leurs,quelques soient leur origines, civils musulmans, européens, ainsi que les militaires, appelés du contingent, harkis... En 2011, je dois impérativement montrer que mon action de l'année dernière n'était pas un " Pétard Mouillé " Être présent à Bayonne le 19 mars 2011 serait une preuve que (je) nous ne renoncerons jamais en mémoire des nôtres et que chaque année nous devrons choisir une Préfecture, une Sous-Préfecture dans les départements qui composent l'Aquitaine et ainsi nous faire entendre....Faire en sorte également de faire débaptiser les rues, squares, places....portant le nom " 19 mars 1962 Cessez le Feu " et s'il le faut déboulonner tous ces panneaux MAUDITS après les avoir répertorié et mettre tout en uvre pour quand une nuit ces panneaux disparaissent de la voie public, certains s'y sont déjà essayés il faut les imiter... " NE JAMAIS RENONCER SURTOUT FACE AUX MENSONGES ET NE PLUS LAISSER SALIR LA MÉMOIRE DES NÔTRES " Dans l'espoir de vous compter parmi nous le 19 mars 2011 à Bayonne. Très amicalement, Jean-Yves BARRERE / 06 11 28 46 52 / jyves.barrere@orange.fr |
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SAMEDI 9 OCTOBRE MAISON DU
SEMINAIRE A NICE: APRES-MIDI DU LIVRE P.N.
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Rombières et fascistes ; de Deferre à
Mennucci
Dans une émission de FR3 suivant la sortie à Marseille du film " Hors la loi ", le vice président du conseil régional, un certain Patrick Mennucci, s'est trouvé opposé à des Français d'Algérie lui reprochant d'avoir financé en grande partie ce film foncièrement anti français et falsification historique démontrée. Le débat, animé, était illustré par les images de la manifestation de protestation qui a salué la sortie du film dans une salle marseillaise, à laquelle s'était heurté le vice président en question. Ce débat n'a donné lieu qu'aux autosatisfactions affichées du représentant du conseil régional, heureux d'avoir financé, aux frais de ses contribuables, cette " uvre " algérienne. Position totalitaire, qu'aucun argument ne venait justifier, et pour cause Ces échanges pourraient ne relever que du dialogue de sourds auquel les gens de l'establishment nous ont habitués, si monsieur Mennucci ne s'était cru autorisé à brandir l'insulte en traitant les manifestants de la veille de " rombières et de fascistes ".Une pareille dialectique dans la bouche d'un élu en dit long sur le degré moral et intellectuel où se situe l'institution régionale, sur la vulgarité du personnage et son mépris de ses semblables. On peut noter aussi que, dans un contexte médiatique où le plus banal dérapage prend des proportions nationales ( pensons à Georges Frèche, qui n'en n'a pas dit le quart ), nul journaliste, nul politique, n'a cru devoir réagir. Il est des communautés qu'on peut " stigmatiser ", le mot est à la mode, sans risque et à loisir . Relevons aussi que l'insulteur n'est que le digne successeur de Gaston Defferre, maire de la ville qui, en 1962, voulait nous " pendre, fusiller et rejeter à la mer ". Sur le fond, on peut observer que les " rombières " présentes sont sans doute les filles, petites filles ou veuves des libérateurs de la Provence en 1944. Elles ont survécu aux attentats, aux enlèvements, aux crimes des amis de Mennucci ; se faire insulter publiquement par un élu local après s'être fait insulter par un Algérien FLN, sans réagir, était peut être trop leur demander. Quant aux " fascistes ", on peut se demander en quoi le fait de protester contre une falsification historique sur l'Algérie relève de ce qualificatif ? si les mots ont un sens, le fascisme est une doctrine politique sans aucun lien avec notre affaire ; d'ailleurs, les Français d'Algérie ont, historiquement, manifesté plus que bien d'autres leur hostilité à cette doctrine. M. Mennucci n'est pas seulement un irresponsable du débat politique,
mais aussi , ce n'est pas sans lien, un crasse ignorant : il y avait de
quoi sursauter à l'entendre proférer que Marseille fut libérée
par les Sénégalais ! sans doute les Pieds Noirs de Monsabert
au débarquement de 1944 n'étaient ils pas assez blancs pour
que la confusion fut possible
. les voilà morts deux fois,
par la grâce du " libéré "
On a pu remarquer que les voyous du FLN présents à la manif de Marseille n'ont pas eu droit à qualificatif de la part de l'insulteur. Asinus asinum fricat, comme on disait au temps où l'on allait à l'école : mais ça, Mennucci ne peut pas comprendre !
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Draguignan, le 28 septembre 2010
Lettre ouverte
Raphaël PASTOR
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Félicitations à tous les contradicteurs des faussaires
et menteurs de l'Histoire
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Perpignan va réaliser ce que Marseille a été incapable
de faire ! : PERPIGNAN Les Français d'Algérie auront leur centre de mémoire Hier, la majorité du conseil municipal, sur fond d'interjections et d'exclamations de la part des opposants, a voté la création du Centre de documentation des Français d'Algérie. Le sujet était vaste. Il s'agissait pour Maurice Halimi de présenter au vote des conseillers municipaux la constitution d'un Pôle Muséal mettant en lien et en cohérence avec notre territoire et son histoire, tous les musées de la ville et l'Ecole d'art de Perpignan (HEART). Mais au coeur de ce projet ambitieux qui ne pouvait que recueillir des avis favorables, se nichait la pomme de la discorde. Et depuis le temps que dure la polémique, ce n'était pas hier qu'elle allait marquer le pas. Dans les rangs du public, des associatifs de gauche brandissaient une fois de plus leurs pancartes et leurs banderoles hostiles au "Musée de l'OAS", comme ils appellent le Centre de documentation des Français d'Algérie. Lequel fera partie du dispositif du Pôle Muséal, et sera situé dans l'ancien couvent de Sainte-Claire. Leurs interjections gêneront souvent la bonne compréhension des arguments développés, y compris ceux des élus de leur bord politique. "Laboratoire de pensée sur les exils" Pourtant, Maurice Halimi, adjoint à la culture, remontait loin dans le temps et la culture pour parler de "l'intelligence de l'altérité" revendiquée par Perpignan. Et Raymond Sala, conseiller délégué au patrimoine, trouvait de belles phrases pour dire notre histoire faite de strates superposées, fondues dans le creuset des siècles. Quant à Suzy Simon-Nicaise, elle était toute émotion pour rappeler "l'arrachement" des Français d'Algérie et des Harkis (eux aussi Français). Enfin, au-delà des discours, il y a eu ce gage donné par la municipalité, ces quelques mots : "Laboratoire de pensée sur les exils", ajoutés à l'appellation Centre de documentation des Français d'Algérie. Pour bien montrer ce qu'exprimera à la fin des débats le maire, Jean-Marc Pujol : "Ce centre se veut un lieu de réconciliation des mémoires, il porte en lui le début d'une réflexion sur les mémoires partagées et croisées, sur tous les exils". Et donc, pas seulement sur l'exil des Pieds-Noirs. Auparavant, le maire, Maurice Halimi et Suzy Simon-Nicaise, avaient reçu l'entier soutien de Jean-Paul Alduy qui en appelait à Camus pour "s'opposer à la posture des révolutionnaires qui légitiment tous les fanatismes aveugles", et qui évoquait les exils avec un émouvant choix de citations de "Camus l'Africain". C'est Nicole Gaspon, conseillère municipale PC (Nouvelle Union avec la gauche), qui ouvrait la salve des interventions nourries de l'opposition, interventions qui se révéleront plus longues que nombreuses au demeurant. Le Cercle algérianiste en question"C'est l'exclusivité du partenariat de la municipalité avec le Cercle Algérianiste que je conteste, c'est une association qui a une vision réductrice de l'histoire", lançait Mme Gaspon. Dans son intervention, Jean Codognès (Union pour Perpignan) condamnait "un message univoque" et réclamait comme conditions de faisabilité du Centre : "un conseil scientifique autonome, un partenariat ouvert au-delà du Cercle Algérianiste, et la propriété par la collectivité du fonds de recherche". Jacqueline Amiel-Donat mettait en garde contre " le danger d'ouvrir la porte d'une histoire qui divise encore, qui attise les haines", et dénonçait une convention déséquilibrée où l'apport de la collectivité est plus important que celui du Cercle Algérianiste. Olivier Amiel intervenait aussi pour questionner le maire sur le projet de stèle dédiée aux Harkis et sur le devenir de celle "de l'OAS". Enfin, un élu de l'équipe municipale, Fouzi Bouhadi, créait un léger moment d'étonnement en rendant un vibrant hommage à Abd-El-Kader. L'opposition, cependant, eut des votes nuancés : Clotilde Ripoull et Jean Codognès votèrent contre le Centre de documentation (mais pas Romain Grau). Nicole Gaspon et Jacqueline Amiel-Donat votèrent également contre, ainsi que le reste de leur équipe, sauf Olivier Amiel et Jordi Vera qui s'abstinrent. Quant au Pôle Museal, il fit l'unanimité. |
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HORS LA LOI OU L'APOLOGIE DU DJIHAD
CONTRE LE FILM HORS LA LOI Dans son édition du 10 juillet 2010, le journal La Provence
annonçait, pour le 19 ou 20 septembre à Marseille, la première
nationale du film Hors la loi, une faveur que la région PACA aurait
obtenue en tant que généreuse donatrice de 150 000 €
prélevés sur le budget de la culture, mais aussi, comme
on pouvait le lire sur le blog du Vice-Président du conseil régional
en charge de la culture, " pour le soutien moral et intellectuel
au réalisateur, victime malgré lui d'une polémique
aux relents racistes " ! |
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Bonjour Monsieur Castano
En réaction à votre article sur les événements
d'Oran du 5 juillet 1962, intitulé "les Responsabilités",
et repris sous l'intitulé "Oran...5 juillet: la version d'un
pied noir", sur le site de Mohamed Benchicou, Le MATIN DZ, j'ai l'honneur
de vous informer que le bureau d'Oran de la LADDH, la Ligue Algérienne
pour la défense des droits de l'homme, pense sincèrement
à lancer une compagne pour un appel à témoins sur
les tragédies du 5 juillet 1962 à Oran. Nous voulions la
lancer le 5 juillet 2010, mais faute de temps et de préparation,
son lancement a annulé et reporté pour une date non encore
décidée. |
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PETITION
CONTRE L'ELEVATION D'UNE STATUE Monsieur Christian Estrosi,
Monsieur le Maire, Ayant appris par la presse locale que vous avez l'intention d'élever une statue au général De Gaulle dans votre commune, nous, Français d'Algérie - Pieds Noirs et Harkis - tenons à vous faire part de notre indignation légitime. En effet, si ce projet voyait le jour, nous considèrerions
qu'il s'agit d'une provocation et d'une insulte à l'Armée
d'Afrique qui a libéré la France, à nos morts civils
et militaires en Algérie, aux disparus, aux prisonniers français,
militaires et civils, abandonnés au mains du FLN en 1962 , aux
souffrances endurées et aggravées après Mai 1958
puis démesurées à compter de Mars 1962 : Pour répondre à votre évocation de la " France à genoux " qu'il aurait relevée, vous vous gardez bien de retenir la division des français et la décapitation de l'Armée accomplies par deux fois en 1945 et en 1962 ; avec dans les geôles remplies par des tribunaux d'exception, des Officiers Généraux, des Officiers, des Sous-officiers, des Soldats et des Patriotes, les plus glorieux de France, dont, en 1962, des Compagnons de la Libération. Par conséquent, nous vous demandons instamment de renoncer à ce projet par respect pour les Français attachés à leur patrie, pour ceux qui se sont réfugiés à Nice et dans les Alpes Maritimes après un exode honteux pour la France, qui restera une tache dans notre Histoire, et l'abandon de 15 départements devenus français avant les Alpes Maritimes.
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Madames, Messieurs les responsables des éditions
Nice-matin
Abonné de votre journal depuis plus de 40 ans, (Abonné N°446162), je suis scandalisé du peu de place que vous consacrez dans votre édition de ce jour a la cérémonie qui s'est déroulée a FREJUS, hier 27 Aout 2010 a la mémoire des 2 soldats morts pour la France en Afghanistan le 23 aout dernier, en présence du Président de la République, (1/4 de page environ) par rapport a la publicité que vous consacrez sur 3 pages a l'affaire ZAHIA, c'est vrai que c'est plus vendeur . L'importance et la façon dont vous appréhendez ces 2 évènements démontre si besoin était encore aujourd'hui combien les valeurs de patriotisme et de respect sont des sujets abstraits et explique certainement, ce n'est pas la seule raison, me direz-vous, le désarroi de notre jeunesse qui perds ses repères un peu plus chaque jour. En tant qu'ancien combattant ayant servi notre beau pays qu'est
la FRANCE, Je pense que c'est très grave et regréttable
et je me devais de vous le dire.. |
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28 août 2010
Je pense qu'il n'est plus nécessaire de faire l'apologie du Général Salan, car depuis plus d'un demi-siècle il est logé dans nos curs et dans nos mémoires. C'est justement de mes souvenirs que je vais vous parler.
Le Général Salan était un homme simple, comme tous
les grands de ce monde. La dernière fois que j'ai croisé son regard, j'y ai ressenti une fermeté inhabituelle, le Général avait compris comme beaucoup d'entre nous, que nous avions perdu notre guerre, mais il est resté malgré tout présent jusqu'à son arrestation, et c'est ce chef-là que je garderai en mémoire pour le temps qu'il me restera à vivre. N'oublions pas cet homme d'exception, la relève du souvenir n'est peut-être pas encore arrivée, mais, de toute façon nous le retrouverons. Les grands de ce monde ne meurent pas, ils s'absentent.
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Samedi 28 août 2010 Libération de Toulon par Raoul SALAN le 28 août 1944. Les niçois et Azuréens furent nombreux à participer à cette manifestation pour rendre hommage au général Raoul Salan. Un car affrété à l'initiative du Cercle Algérianiste des A.M. et du Collectif "Non au 19 mars 1962", conduisit 45 personnes venant des Alpes Maritimes au Carrefour Raoul Salan. Parmi les fidèles habitués de ces déplacements, citons le doyen Cyr ASCIONE président de l'ANFANOMA MOUGINS et Vice-Président de l'ACUF des A.M., ainsi qu'Armand BENESIS de ROTROU (ancien du Commando GEORGES) De nombreux autres sympathisants les ont rejoints par leurs propres moyens. Tous participèrent à cet hommage plein de ferveur rendu à Raoul Salan, grand soldat et grand patriote. A l'issue de la cérémonie, un repas pris au Cercle des Officiers sous-mariniers, réunit les participants avant de reprendre le car. Un grand merci aux organisateurs de cette magnifique journée. |
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19 / France
où vas-tu ?
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1 De plus en plus souvent, je ne peux prononcer ce mot : France, sans me sentir vexé et outragé du sort qu'il subit. Ainsi, le discours de récupération d'un électoral définitivement perdu de Grenoble, malgré tout, plein de bon sens et de logique, même s'il a été prononcé sous la forme théâtrale d'une tirade de Matamore, met le pays en transe et l'Etranger nous montre du doigt. Voilà que nous sommes au ban des Nations, accusés, alors que nous traînons depuis des décennies ce laxisme d'Etat avec des étrangers en positions irrégulières à l'intérieur de nos frontières. Si les Roms sont en France, comme d'autres groupes magrébins ou africains, c'est bien parce que depuis des lustres les gouvernements successifs leur ont permis d'investir le territoire et de vivre dans des conditions catastrophiques : camps insalubres, ou sans papier en dehors des lois de la République. Tout à coup, les élus se réveillent et Nicolas Sarkozy veut prendre des " mesures " pour stopper cet envahissement. Il proclame - en grand maître de l'information - toute une série de décisions quelques fois inapplicables au nom de notre Constitution et il fausse le jeu de cette sécurité que nous recherchons. Les Roms ne sont qu'une partie de la termitière qui nous étouffe. La masse des " libertaires " la plus dangereuse se trouve, semble-t-il l'oublier, dans les banlieues. Par son intervention, le président a surtout voulu allumer un contre-feu et protéger l'outrance des " affaires " où le pouvoir s'enlise : la Bettencourt-story les dérives de certains Ministres l'impuissance de la police à régler les problèmes des cités cette crise économique que les finances publiques ne peuvent pas juguler, pour cause d'un train de vie de l'Etat au-dessus de ses moyens. Déficit que l'on comblera avec l'argent du contribuable lambda, sans toucher au bouclier fiscal ! Il protège les " donateurs " du premier cercle d'une Divine Comédie, indigne de l'uvre de Dante. Consolons-nous. Il nous reste huit cercles pour les envoyer aux enfers. Les Roms ? Un prétexte qui excite les bien-pensants, comme les mouches sur le miel, après l'intervention permissive du discoureur. Le Pape y va de ses remarques. Se souvient-il qu'à une autre période de notre Histoire, l'église a pactisé avec le terrorisme en Algérie, sans que la Chrétienté n'y gagne rien. Bien au contraire ! L'assassinat des moines de Tibéhirine en est la preuve. D'autres voix s'élèvent. Raffarin, Boutin et surtout Villepin qui ne va pas dans ses envolées avec le dos de la cuillère. Il en rajoute en affirmant : " Une tache de honte sur le drapeau ". Là, je me pose une question. De quel drapeau s'agit-il ? Du drapeau gaulliste qui nous a menti, il y a presque un demi-siècle ? Du drapeau qui a renvoyé les Harkis et leurs familles au massacre, en Algérie, sans lever le moindre petit doigt ? De ce drapeau du 26 mars ou du 5 juillet 1962 ? De ce drapeau trempant dans le sang de victimes que l'on cherche toujours à occulter de l'Histoire ? De ce drapeau - dixit Gaston Deferre à l'Assemblée Nationale - qui voulait nous expulser vers les pays de nos lointaines origines, alors que deux fois, nous avons sauvé la France de la barbarie de l'Est !
Robert Charles Puig/ août 2010 |
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20 août 1955 / 20 août
2010
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VICTIMES DU MASSACRE DE LA MINE D'EL HALIA 20 AÔUT
1955 ( paru dans l'algérianiste n°95)
Les tués: ATZEI Emmanuel, 56 ans Les blessés: Mme d'Agro, 55 ans Les disparus: PUSCEDDU Armand, 57 ans |
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Le 20 août 1955, j'étais à El-Halia Le 20 août 1955, « une date terrible, une date inoubliable » dira Yves Courrière dans son « Histoire de la guerre d'Algérie » (éd. Taillandier). Ce jour-là, Zighout Youssef, le chef de la wilaya 2, lance la population civile de certains douars du Nord-Constantinois contre les Européens. A EI-Halia, petit centre minier près de Philippeville, trente-deux personnes sont assassinées dans des conditions barbares. Marie-Jeanne Pusceddu témoigne. Insoutenable horreur barbare. Quelle était la culpabilité
des enfants d'El-Halia ? Je m'appelle Marie-Jeanne Pusceddu, je suis Pieds-Noirs, née
à Philippeville en 1938 de parents français, d'origine italienne.
Mes parents étaient des ouvriers; toute ma famille, frères,
oncles, cousins, travaillait à la mine d'El-Halia, près
de Philippeville. Ce petit village d'El-Halia n'était qu'un village
de mineurs, d'artisans qui travaillaient dur dans la mine de fer. Les « événements d'Algérie » ont commencé en 1954. Mais pour nous, la vie était la même, nous ne nous méfions pas de nos amis arabes. Je me suis mariée le 13 août 1955, nous avons fait une belle fête et tous nos amis étaient là, notamment C..., le chauffeur de taxi arabe que nous connaissions bien... Avec mon mari, nous sommes partis en voyage de noces. Le 19 août 1955, avec mon mari André Brandy (ingénieur des mines employé au Bureau de la recherche minière d'Algérie), nous avons pris le taxi de C...pour rentrer à El-Halia. Pendant le trajet, C... nous dit : « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande ». Je lui répondis : « Quelle fête ? Il n'y a -pas de fête ». Je pensais qu'il plaisantait... Le lendemain, 20 août, tous les hommes étaient au travail à la mine sauf mon mari. Il était juste midi, nous étions à table, quand soudain, des cris stridents, les youyous des mauresques et des coups de feu nous ont surpris. Au même moment, ma belle-sur Rosé, sa petite dernière Bernadette (trois mois) dans les bras arrive, affolée, suivie de ses enfants, Geneviève 8 ans, Jean-Paul 5 ans, Nicole 14 ans, Anne-Marie 4 ans. Son aîné Roger, âgé de 17 ans, était à la mine avec son père. Avec ma mère, mon frère Roland de 8 ans, Suzanne ma sur de 10 ans, Olga mon autre sur de 14 ans et mon mari, nous avons compris qu'il se passait quelque chose de grave. Les cris étaient épouvantables. Ils criaient : « Nous voulons les hommes ». Je dis à mon mari : « Vite, va te cacher dans la buanderie ! ». Nous nous sommes enfermés dans la maison, mais les fellaghas
ont fait irruption en cassant la porte à coup de hache. À
notre grande stupeur, c'était C..., le chauffeur de taxi, «
l'ami » qui avait assisté à mon mariage. Je le revois
encore comme si c'était hier. Il nous a poursuivis de la chambre
à la salle à manger, puis dans la cuisine; nous étions
pris au piège. C..., avec son fusil de chasse, nous menaçait.
Il a immédiatement tire sur ma pauvre mère, en pleine poitrine,
elle essayait de protéger mon petit frère Roland. Elle est
morte sur le coup avec Roland dans ses bras, lui aussi gravement atteint.
Ma belle-sur Rosé a été tuée dans le
dos. Elle gardait son bébé contre le mur, ma jeune sur
Olga s'est jetée, dans une crise d'hystérie, sur le fusil,
il a tiré à bout portant. la blessant salement. Il nous
narguait avec son fusil. Un avion de tourisme est passé au-dessus du village et a donné l'alerte. L'armée est arrivée à dix-sept heures. Et là, nous sommes rentrés dans la maison pour constater l'horreur. Mon petit frère Roland respirait encore; il est reste cinq jours dans le coma et nous l'avons sauvé. Malheureusement, ma sur Olga a été violée et assassinée, ma sur Suzanne, blessée à la tête, elle en porte encore la marque. Puis l'armée nous a regroupés. Ma famille Azeï, tous massacrés au couteau, la sur de ma mère, son mari, ses deux filles dont l'une était paralysée, l'une des filles qui était en vacances avec son bébé a été, elle aussi/ assassinée à coups de couteau (c'est la fiancée de son frère, qui s'était cachée, qui a tout vu et nous l'a raconté). Le bébé avait été éclaté contre le mur. Puis, mon cousin a été tué à coups de fourchette au restaurant de la mine, le frère de ma mère. Pierrot Scarfoto a été, lui aussi massacré, en voulant sauver ses enfants, à coups de couteau, les parties enfoncées dans la bouche, ainsi que mon neveu Roger, âgé de 17 ans. Mon père, sourd de naissance, blessé à coups de couteau, s'était réfugié dans une galerie abandonnée. Il n'a pas entendu l'armée, on ne l'a retrouvé que quinze jours plus tard, mort à la suite de ses blessures. Il a dû souffrir le martyre. Mon jeune frère Julien a été également massacré. Treize membres de ma famille ont ainsi été martyrisés, massacrés par le F.L.N. Je suis restée à l'hôpital près de trois mois, j'avais fait une hémorragie interne avec infection, car les balles fabriquées étaient bourrées de poils, de bris de lames de rasoir. Nous avions échappé à la mort, mais pas à
la souffrance. Mon mari fut muté à Bougie, mais le chantier
ayant subi une attaque, il a dû fermer; puis à Ampère,
près de Sétif, et finalement au Sahara. Mais les Le fellagha meurtrier de ma famille a été arrêté, j'ai dû venir témoigner pendant trois ans en Algérie, car j'étais le seul témoin. Mon témoignage fut mis en doute, du moins la façon dont les miens ont été massacrés. Ils ont déterre ma mère pour voir si je disais la vérité, je n'en pouvais plus. On a retiré plusieurs balles et la seule chose de positive dans tout ce cauchemar, c'est le collier qu'elle portait et que l'on m'a remis; collier dont je ne me séparerai jamais. Marie-Jeanne Pusceddu
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Objet: présentation en salle du film Hors la Loi.
Le Secrétaire Général du RNFA: Pierre Barisain-Monrose,
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Portrait d'un assassin.
Le 19 janvier 1962, à Bône, un jeune garçon de
16 ans Noël Mei, avec l'un de ses camarades de classe, colle des
affiches "Algérie Française " sur un mur. Imaginez une seule seconde si cela se passait de nos jours dans l'une des banlieues sur un " tagger " inscrivant sur un mur " JE NIQUE LA FRANCE " !! Manu GOMEZ |
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INFORMATION http://www.capatv.com/?p=7144 1/ - Votre témoignage peut relever autant de l'anecdote que de l'émotion. Comment De Gaulle - son mythe, ses rites, son charisme, ses réformes, sa propagande, etc - s'est-il invité dans votre quotidien ? Quels souvenirs personnels s'attachent à la fabrication de la légende gaullienne ? Le " vécu " aura enfin la préséance sur les connaissances ! 2/ - Votre témoignage doit privilégier la valeur documentaire : il s'agit de relater un souvenir, de restituer un fait méconnu ou oublié et non de vous livrer à un billet d'humeur. 3/ - Votre texte doit enfin s'appuyer sur un support visuel pour alimenter le media web : photos de document ou objet d'époque, films, vidéos, enregistrement de votre témoignage par webcam Pour mettre votre témoignage au diapason de ce grand rendez-vous, consultez vite le lien France 5 qui lui est dédié : http://www.france5.fr/c-est-notre-histoire À vous maintenant de raconter " votre " De Gaulle
À vous de faire partie de l'histoire ! |
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18 / France
étonnante
surprenante
triste !
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Dans un récent article je citais l'article 23-7 du code civil
qui précise : "Le Français qui se comporte comme le
National d'un pays étranger peut perdre la nationalité française.
Pour cela, il faut pouvoir établir l'existence d'actes positifs
d'allégeance au pays étranger dont cette personne est ressortissante".
Rachid Bouchareb lui-même :"Ce film va rétablir une vérité historique longtemps confinée dans les coffres". Pascal Blanchard : "Je peux vous assurer que Rachid Bouchareb n'a pas trahi l'Histoire". Olivier Lorelle : "Je transmets l'histoire comme les algériens me l'ont racontée". Manuel GOMEZ |
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Le RNFAA communique :
Projet d'Appel à commémorer l'Action du Général
Raoul SALAN le 28 Août prochain au carrefour qui porte son nom :
" En ces temps où le devoir de sécurité qui
relève de la République Française est battu en brèche
en plusieurs points de son territoire national métropolitain et
ou ses valeurs fondamentales " Liberté, Egalité, Fraternité
" sont sérieusement agressées par une stratégie
de conquête islamiste fondamentaliste, le Rassemblement National
des Français d'Algérie et leurs Amis, inquiets de voir se
reproduire , tant dans les processus d'assaut que dans l'inefficacité
des répliques, les signes précurseurs de la défaite
politique de la France en 1962 en Algérie, tandis que la bataille
était militairement gagnée. Fred ARTZ |
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Le général André Soubirou, président
de l'AALP, a le regret de faire part du décès de Madame
JEANPIERRE, née Jeanine GAILLARD, veuve du chef de corps du 1er
REP.
Elle s'est éteinte pendant son sommeil dans la maison de retraite où elle séjournait depuis plusieurs années à SAINT RAPHAËL 83700. - Madame DEJEAN (06 16 46 85 90) tutrice assure l'organisation des obsèques : - Cérémonie religieuse en la cathédrale de ST RAPHAËL - 83700 - le jeudi 5 août 2010 , à 10 heures L'AALP sera présente à la cérémonie
à la cathédrale et déposera une gerbe au nom de l'Amicale.
Constantin LIANOS Vice-président du comité de coordination des Associations des Anciens Combattants et des Victimes de Guerre de Marseille et des Bouches du Rhône Tél: 06 63 80 78 50 www.monsieur-legionnaire.org |
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Sur le net, à propos de la récente condamnation du tortionnaire khmer Douch, circule actuellement les hallucinantes diffamations suivantes, dont l'auteur donne l'adresse mail suivante : piednoirdalgerie@yahoo.fr : " Et, à quand le tour des criminels
de l'OAS qui tuaient sans distinction dans les villes et villages? Nous avons été tentés de traiter par le mépris
de telles abjections tant elles sont contraires à la réalité
des faits, puis la fameuse maxime " Diffamez, diffamez, il en restera
toujours quelque chose " nous a rappelé la nécessité
de répliquer et d'inviter tous nos amis internautes à faire
de même.
Jean-Marie AVELIN Alain ALGUDO Jean-François COLLIN |
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CONTRE PROPOSITION DE LOI SOUMISE PAR PIERRE BARISAIN
DOCUMENT A ENVOYER A TOUS LES ELUS DE DROITE DANS VOS CIRCONSCRIPTIONS QU'ILS SOIENT DEPUTES, CONSEILLERS GENERAUX OU REGIONAUX ET SENATEURS TOUS LES PARLEMENTAIRES, DE LA DROITE DITE MODEREE, A LA DROITE LA PLUS A DROITE, DOIVENT ETRE INVITES A SIGNER CE PROJET DE LOI NOUS COMPTONS SUR VOTRE DILIGENCE |
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PROPOSITION DE LOI fixant l'interdiction de dénomination de lieux publics de quelque destination qu'ils soient, portant le nom de Jacques Duclos, Maurice Thorez et tout autre membre du Parti Communiste, ayant déserté face aux troupes allemandes ou collaboré avec l'ennemi de septembre 1939 à juin 1941, donc en temps de guerre PRÉSENTÉE Sénateurs (Envoyée à la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, sous réserve de la constitution éventuelle d'une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.)
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs, Le Parti Communiste, s'abritant derrière les lois d'amnistie votées dans un but d'apaisement, occulte la Pacte germano-soviétique qu'il salua, alors que les buts d'Hitler étaient manifestes. De même, il passe sous silence la sabotage de notre effort de guerre en 1939-1940, ses appels à la désertion et à l'insoumission, la destruction de nos appareils de combat, en entrainant la mort de nos pilotes de chars comme d'aeronefs. Non content de dissimuler ces faits qui relèvent de la haute Trahison en temps de guerre, il magnifie ceux qui en furent les chefs, en donnant le nom de ces responsables à des établissements d'Enseignement, tels de Colléges Jacques Duclos à Vaux en Velin, ou encore Lycée et Collège Maurice Thorez, dans de multiples communes, ou encore Parc François Billoux à Marseille.. Faut-il rappeler que Maurice Thorez , secrétaire général du PC, mobilisé sur le Front, en pleine guerre , a déserté face à l'ennemi, via la Belgique et la Suède, jusqu'en Russie, où il arrive le 8 novembre 1939 ? Faut-il rappeler qu'il est resté durant toute la guerre à Moscou, puis réfugié dans l'Oural, et que Joseph Staline le restitua au Général De Gaulle en novembre 1944, en lui demandant: « Quand le fusillez vous ? » De même, faut-il rappeler que Jacques Duclos, député
communiste , après le pacte germano-soviétique et la déclaration
de guerre, le Parti étant dissous par Édouard Daladier le
26 septembre 1939, n'est pas mobilisé en raison de son âge.
Il quitte la France en guerre, et fait partie du groupe de l'équipe
dirigeante qui se rassemble à Bruxelles autour d'Eugen Fried, le
délégué de l'IC. Selon les termes du "Maitron",
dictionnaire biographique du mouvement ouvrier, "Une nouvelle fois,
il se montra totalement fidèle à l'URSS, à Staline,
à l'IC et soutint fermement Maurice Thorez". Jacques Duclos
restera à Bruxelles d'octobre 1939 à juin 1940. Faut-il rappeler que François Billoux, député communiste, qui faisait partie des parlementaires communistes internés en 1939, a demandé, par lettre au maréchal Pétain, de comparaître comme témoin à charge au procès de Riom, en pleine guerre... L'indignation du monde combattant est d'autant plus vive que l'État français, bienveillant à l'égard des anciens factieux de 1939-1940 dont il accepte toutes les formes d'héroïsation, s'est toujours montré hostile à la reconnaissance pleine et entière du sacrifice des combattants de l'OAS, trompés par les promesse et les forfaitures du Chef de l'Etat en 1961-1962, comme l'a dénoncé le 2ème personnage du dit Etat, Gaston Monnerville. La représentation nationale est en droit de s'inquiéter et a le devoir de réagir face à un désordre mémoriel générateur de transgressions de la vérité historique et de divisions entre les Français. La proposition de loi sur laquelle il lui est demandé de se prononcer aura pour effet, si elle est adoptée, de permettre au Gouvernement de restaurer son image de garant des valeurs républicaines et de prévenir les initiatives, nationales ou locales, susceptibles, 70 ans après ces faits indignes, de raviver la discorde entre ceux qui ont souffert de la trahison du pari Communiste, et ceux qui ont su en profiter à la faveur de l'amnistie accordée par le Général De Gaulle en 1944. Dans cette perspective, cette proposition de loi : 1°) consacre, en la légalisant, la vocation originelle mémorielle de tout Etablissement public 2°) porte reconnaissance par la France des crimes de guerre commis par le Pari Communiste en 1939-1940, soumis aux ordres du Kommintern ou en son nom, quelles qu'en aient été les victimes,sur tout le territoire français, et favorise la mise en oeuvre des poursuites pénales à l'encontre des auteurs ou complices du délit d'injure ou diffamation dirigée contre la mémoire des dites victimes . 3°) tend à restreindre le périmètre des cérémonies commémoratives ayant pour objet de glorifier les auteurs d'agissements inacceptables, même en temps de guerre, commis par le Parti Communiste ou en son nom, et dont l'apologie publique, plus ou moins explicite, est de nature à porter atteinte, d'une part, aux principes du respect dû aux familles de victimes et de la nécessaire sauvegarde de l'ordre public, et, d'autre part, aux règles de décence et de neutralité applicables aux lieux où elles se déroulent.
PROPOSITION DE LOI
Article 1er Toute attribution de noms de responsables du Parti Communiste français en 1939-1940-1941, tels que Maurice Thorez, Jacques Duclos ou François Billoux, à un lieu public ou tout autre Etablissement est interdite. Article 2 La France reconnaît les souffrances subies par l'ensemble des victimes des crimes de guerre, sabotages et attentats commis par le Parti Communiste, approuvant le pacte Germano-soviétique, en 1939, 1940 et 1941, jusqu'à l'entrée en guerre de la Russie soviétique. Par dérogation aux dispositions du premier alinéa de l'article 34 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, toute injure ou diffamation dirigée contre la mémoire d'une victime du Parti communiste expose son auteur à la mise en oeuvre des sanctions prévues en application, selon le cas, des articles 31, 32 ou 33 de la loi précitée, que celui-ci ait eu ou non l'intention de porter atteinte à l'honneur ou à la considération des héritiers, époux ou légataires universels vivants. Article 3 Sont interdits les hommages publics aux responsables du PC du 26 septembre 1939, date de son interdiction par le Gouvernement légal du Président du Conseil radical Daladier, jusqu'à l'entrée en guerre de l'URSS ( 22 Juin 1941) lorsqu'ils prennent la forme d'inscriptions, images, effigies, plaques, stèles ou monuments dédiés, sur le domaine public, à l'organisation ou, nominativement, à l'un ou l'autre de ses membres, vivants ou décédés. Sont également interdites les cérémonies honorant la mémoire des membres du parti Communiste, interdit légalement, lorsqu'elles se déroulent devant les monuments aux morts, à l'intérieur ou aux abords de cimetières et en d'autres lieux publics et qu'elles s'accompagnent de prises de parole tendant, soit à ériger les membres de cette organisation en martyrs et héros de la lutte contre l'agresseur nazi, soit à valoriser les actes dont ils se sont rendus coupables. La sanction applicable à toute personne ayant participé ou prêté son concours à la réalisation d'une infraction aux dispositions du présent article est celle prévue au cinquième alinéa de l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
Note de Pierre Barisain : Si vous êtes d'accord, transmettez ce texte à votre élu
de droite et demandez lui de déposer notre contre-proposition à
la Chambre des Députés et au Sénat. PS: A ceux que cette triste époque intéresse, qu'ils étudient l'histoire de Paul Nizan, intellectuel de pointe du PC , avant-guerre, sorti de Normale -Sup, démissionnaire du Parti Communiste pour cause de Pacte germano-soviétique en Aout 1939, mort pour la France à Dunkerque le 23 mai 1940 et ostracisé durant 30 ans par le Parti comme un "traître" et un "policier" ( 1970) ! La mémoire de Nizan et le PCF Suite à sa rupture avec le communisme, il subit des attaques nombreuses et violentes de la part du parti : en mars 1940, Maurice Thorez signe, dans le journal Die Welt (édition allemande de l'organe de la Troisième Internationale), un article intitulé « Les traîtres au pilori », et qualifie Nizan « d'agent de la police ». Durant l'Occupation, un texte émanant du PCF clandestin parle du « policier Nizan ». L'offensive s'amplifie après la guerre ; Louis Aragon participe activement à la marginalisation de Nizan avec son livre Les Communistes (1949), roman dans lequel il apparaît comme un traître sous les traits du policier Orfilat. C'est la réédition, en 1960, d'Aden Arabie, avec une préface de Jean-Paul Sartre, qui permet la réhabilitation de l'écrivain. En 1966, pour la réédition des Communistes, Aragon supprime le personnage d'Orfilat. À la fin des années 1970, le PCF accepte de remettre en cause les accusations qu'il avait portées contre Paul Nizan. |
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Madame ou Monsieur le Sénateur, Je viens de prendre connaissance de la proposition de loi N°618 du 7 juillet 2010 visant à fixer la destination du Mémorial national de la guerre d'Algérie. Aussi bien l'exposé des motifs que les trois articles de cette proposition de loi, révèlent manifestement votre méconnaissance totale du drame qui s'est déroulé et que nous avons vécu de 1954 à 1962 en Algérie. Ancien combattant d'A.F.N. et Français d'Algérie moi-même, je mesure l'ampleur de l'endoctrinement et de désinformation dans lesquels votre idéologie vous a conduit, vous privant de toute objectivité. Comment peut-il en être autrement lorsque vous affirmez des faits et évènements historiques alors que les historiens eux-mêmes (les vrais) avouent leur incapacité "d'écrire l'Histoire"en l'absence de documents d'archives nationales qui sont encore scellées? Est-ce vraiment honnête de donner une interprétation erronée à une page de notre histoire, d'incriminer tel ou tel organisme uniquement afin de masquer la responsabilité des véritrables auteurs de ces massacres? Comme moi, subsistent encore de nombreux témoins visuels prêts à intervenir pour rétablir la vérité, toute la vérité mais rien que la vérité sur ce lamentable gâchis auquel les Pouvoirs Publics Français de l'époque nous ont impitoyablement plongés. Je vous demande donc de faire abstraction, un court instant, de votre idéologie qui vous aveugle et de substituer les connaissances erronées que vous avez acquises par la version objective et réelle des évènements qui ont été appelés : La guerre d'Algérie. Elus de la République française, je vous présente mes respectueuses salutations. Guy PIERSON |
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Lettre ouverte
Au-delà de l'indignation et du dégoût que nous inspire votre proposition de loi, nous constatons que depuis la troisième République française, notre pays est entré en dégression morale, humanitaire, civique. En effet, quand la troisième République a totalement amnistié les communards de 1871- (vers 1881-1882) il fut interdit à tout mouvement politique de faire publiquement état des crimes et délits antérieurs de la période de la Commune dans leur idéologie fondatrice. Il fut interdit, aussi, de stigmatiser le culte rendu par certains citoyens (amis, descendants) aux communards vivants ou morts, y compris ceux qui furent fusillés pour crime de sang : La loi d'amnistie a rendu légal " l'hommage rendu par ceux qui le désirent au mur des fusillés du cimetière du père Lachaise qui est bien un lieu public ". Aujourd'hui, Mesdames et Messieurs les Sénateurs, vous qui vous prétendez, dans ce pays, les champions des Droits de l'Homme, seriez prêts à bafouer les textes et les lois accordant amnistie aux patriotes français qui ont choisi de prendre les armes soutenus par tout un peuple français dont ils incarnaient la volonté de vivre français sur leur terre française. Le texte des accords d'Evian précisait, dans les dispositions communes aux deux parties, que " Nul ne pourra faire l'objet de mesures de police ou de justice, de sanctions disciplinaires, ou d'une discrimination quelconque, en raison d'actes commis à l'occasion des événements survenus en Algérie avant le jour de la proclamation du cessez-le-feu.
La loi du 23 octobre 1982 rétablissait dans leurs droits et leurs grades tous les militaires et les civils restant sous le coup d'une condamnation après l'amnistie de 1968. Votre proposition de loi, Mesdames et Messieurs les Sénateurs, va à l'encontre des textes de loi qui interdisent toute discrimination publique infamante à l'encontre de citoyens français totalement amnistiés, ce qui est le cas pour tous les membres de l'O.A.S. vivants ou morts. On ne voit pas comment une semblable tolérance ne serait pas accordée aux amis proches et descendants des membres l'OAS après le précédent de la Commune, De même l'évocation des événements d'Algérie reste libre de toutes les interprétations : nous sommes en démocratie et toute entrave à la liberté d'opinion nous rapprocherait dangereusement de régimes totalitaires trop connus, dont certains auteurs de ce projet de loi scandaleux semblent avoir gardé la nostalgie. Vouloir définir un politiquement correcte dans la rédaction de l'Histoire, et créer un délit de négationnisme fut toujours le propre des républiques populaires du joug desquelles tous les peuples en Europe se sont débarrassés depuis plus de vingt ans. Mais, puisque les auteurs de ce projet font référence au général De Gaulle, il faut rappeler que ce dernier avait déploré publiquement en mars 1959 que le FLN eut assassiné plus de 1.500 civils français (mille cinq cents), hommes femmes et enfants, depuis le début de la guerre d'Algérie. (Discours de Charles De Gaulle Plon 1970 tome III) . Sur quel monument mémoriel pourront être inscrits les noms de ces victimes qui ont continué à se multiplier, jusqu'après de cessez-le-feu et même après la déclaration d'indépendance ? En vous épargnant le couplet sur les millions de morts du communisme à l'échelon mondial, nous appelons, aujourd'hui, tous les Parlementaires qui ont une once de cur et d'esprit, à voter contre cette proposition de loi inconsistante et servile. Votre abjection nous interdit toute formule de politesse.
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Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs,
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Les Sénateurs amis du
F.L.N....
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SÉNAT SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2009-2010
Enregistré à la Présidence du Sénat le 7 juillet 2010PROPOSITION DE LOI fixant la destination du Mémorial national de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie et relative à la mémoire des victimes de l'OAS (Organisation armée secrète), PRÉSENTÉE Par M. Guy FISCHER, Mmes Nicole BORVO COHEN-SEAT, Éliane ASSASSI, M. François AUTAIN, Mme Marie-France BEAUFILS, MM. Michel BILLOUT, Jean-Claude DANGLOT, Mmes Annie DAVID, Michelle DEMESSINE, Évelyne DIDIER, M. Thierry FOUCAUD, Mmes Brigitte GONTHIER-MAURIN, Gélita HOARAU, M. Robert HUE, Mme Marie-Agnès LABARRE, M. Gérard LE CAM, Mmes Josiane MATHON-POINAT, Isabelle PASQUET, MM. Jack RALITE, Ivan RENAR, Mmes Mireille SCHURCH, Odette TERRADE, MM. Bernard VERA et Jean-François VOGUET, etc . ________________________________________ |
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REPONSE
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LETTRE OUVERTE
A Madame Nicole BORVO COHEN-SEAT, Sénateur, Présidente
du groupe Communiste , Républicain, Citoyen et des Sénateurs
du Parti de gauche Madame la Présidente, Je ne peux laisser passer sans réagir la proposition de loi
" fixant la destination du Mémorial national de la guerre
d'Algérie
et relative à la mémoire des victimes
de l'O.A.S.", co-signée par les 24 sénateurs constituant
votre groupe, que vous avez déposée le 7 juillet dernier. |
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Bien Chers Amis,
J'ai le plaisir de vous informer que le conseil d'administration national du Cercle algérianiste réuni à Béziers les 12 et 13 juin 2010 a procédé à la nomination officielle de notre ami Bernard Cini, président du Cercle algérianiste de Valence, comme secrétaire général du Cercle algérianiste et donc membre du bureau national du Cercle. Il aura pour mission, outre la préparation des conseils d'administration et des assemblées générales, de veiller à la bonne marche administrative de notre association, en liaison à Narbonne avec Monsieur Jean Pagès, qui contribue depuis de nombreuses années déjà au bon fonctionnement du secrétariat général. Bernard Cini pourra également en tant que de besoin représenter, à la demande du président, au même titre que les deux vice-présidents nationaux, le Cercle algérianiste tant sur le plan associatif qu'institutionnel, il aura également pour tâche d'être en relation permanente avec les présidents de Cercle pour toute question liée au fonctionnement général de notre association. Par ailleurs, le conseil d'administration a accepté à l'unanimité ma proposition de nomination de notre ami Yves Naz comme rédacteur en chef de L'algérianiste, le confirmant ainsi dans son action, déjà ancienne, de pilotage du comité de lecture de la revue, formé d'une quinzaine de bénévoles. La direction de la revue, organe d'expression du Cercle algérianiste, revient comme il est de droit dans les associations au président qui en assume déjà la responsabilité juridique et financière. Je demeure, bien sûr, à votre entière disposition pour répondre à toute question liée à l'organisation du Cercle et vous assure de ma fidèle amitié algérianiste. Thierry Rolando |
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Mais aujourdhui, cest un appel au secours et cest
urgent que nous lançons. Pour Zohra qui est gravement malade.
Elle est asthmatique et a besoin de soins. Quand la police, sur ordre
du préfet Gaudin, a confisqué la camionnette qui servait
de refuge à Zohra et à Hamid, elle a embarqué les
médicaments, les
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Lucienne-Grâce GEORGES - GUITER
A reçu le PRIX RENAISSANCE de POESIE 2010 |
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I N V I T A T I O N
Dans le cadre des cérémonies commémorant les Massacres d'Oran et de Constantine, je vous invite à prendre part à la manifestation qui se déroulera le :
18 H 19 H
Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression
de mes salutations distinguées. Le Député-Maire |
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France Tes gants ne sont plus blancs.
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UNE PLACE HONTEUSE A SISTERON...
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Roger SONCARRIEU Auteur de " Ma vérité sur la guerre d'Algérie " et de " Guerre d'Algérie : j'en ai assez " (éditions Dualpha) rogersoncarrieu@yahoo.fr à Monsieur Daniel SPAGNOU,
Monsieur le Député-Maire, Je viens faire suite à mon courriel du 29 juin relatif à l'inauguration récente de la place du 19 mars à Sisteron. Je viens en effet de découvrir en complément, par le biais de l'Internet, que vous êtes en fait un député affichant les couleurs de l'UMP, membre d'un groupe d'études " rapatriés " : ma surprise est donc d'autant plus grande ! Naïvement, je pensais en effet que les élus UMP se situaient plus à droite qu'à gauche sur l'échiquier politique Dans la mesure où vous cautionnez une place du 19 mars 1962, inaugurée avec le concours de la FNACA - Fédération nationale des Anciens combattants en Algérie - j'avoue que je ne sais plus quoi penser ! La coloration politique de la FNACA est pourtant bien connue. Vous pouvez pour cela consulter un petit ouvrage paru en 1972 intitulé " Le fichier du Parti communiste " de Daniel Peyrac (Guy Authier, éditeur). Vous pourrez ainsi lire en page 64 que la FNACA fait partie des associations classées comme " filiales " du Parti communiste. Au même titre que la Fédération des officiers de réserve républicains, que la Fédération des sous-officiers de réserve républicains, que l'Association républicaine des anciens combattants et victimes de guerre (ARAC), que l'Association nationale des anciens combattants de la résistance (ANACR) ou encore de la Fédération nationale des déportés internés, résistants et patriotes (FNDIRP). Et il ne s'agit là, bien sûr, que des associations concernant l'armée et les anciens combattants. En son temps, la revue " Est et Ouest " avait aussi consacré quelques pages aux " associés " du Parti communiste. En outre, plusieurs parmi les dirigeants de la FNACA se sont, par le passé, portés candidats à des élections sous l'étiquette du PC. Et il faut savoir aussi que la FNACA a tenu à plusieurs reprises un stand lors de la Fête de l'Humanité. Parallèlement, vous n'êtes par ailleurs pas sans savoir que, pendant la guerre d'Algérie, le Parti communiste était plutôt du côté du FLN et des porteurs de valises que du côté de l'Armée française. Enfin, lors des réunions qui ont été tenues au ministère afin de déterminer le choix d'une date pour honorer la mémoire des combattants d'Algérie, l'ensemble des associations patriotiques, et notamment celles représentant les combattants d'Afrique du nord, a été d'accord pour que ce ne fût pas le 19 mars - sauf la FNACA, bien entendu. De ce fait, c'est donc la date du 5 décembre qui a été retenue et qui est aujourd'hui la date officielle pour honorer plus particulièrement la mémoire des morts d'Algérie-Tunisie-Maroc dans le calendrier des manifestations. Bien sûr, et éloignés de toute considération politique, cela n'empêche pas de " braves anciens combattants d'Algérie " d'adhérer à la FNACA sans trop connaître les tenants et les aboutissants de l'association, de demander à leurs élus (tout de même sur le conseil de leur fédération nationale) de donner à des places ou des rues le nom de " 19 mars 1962, date du cessez-le-feu en Algérie " et d'organiser chaque année une manifestation commémorant cette date. La proposition de loi déposée à l'Assemblée nationale le 29 avril 2010 par plusieurs députés de la majorité " visant à établir la reconnaissance par la France des souffrances subies par les citoyens français d'Algérie, victimes de crimes contre l'humanité du fait de leur appartenance ethnique, religieuse ou politique " démontre clairement qu'une situation d'exactions et non de cessez-le-feu a perduré bien au-delà du 19 mars 1962. Je vous prie d'agréer, Monsieur le Député-Maire, l'expression de mes salutations distinguées.
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Roger SONCARRIEU Auteur de " Ma vérité sur la guerre d'Algérie " et de " Guerre d'Algérie : j'en ai assez " (éditions Dualpha) rogersoncarrieu@yahoo.fr à Monsieur Daniel SPAGNOU,
Monsieur le Député-Maire, J'ai eu l'occasion de lire dans la presse (journal " La Provence " du 21 juin 2010) le compte rendu de l'inauguration récente de la " Place du 19 mars 1962 ", à Sisteron. Comme vous semblez être un maire attentif aux événements qui ont marqués l'histoire, je suppose que vous ne tarderez pas à inaugurer une " Place du 22 juin 1940, date de l'armistice ", lors du conflit 39-45. Les parallèles sont en effet nombreux entre ces deux dates qui, ni l'une, ni l'autre n'ont marqué la fin d'une guerre. Savez-vous, Monsieur le Député-Maire, que l'Algérie a, le 19 mars 1997, émis un timbre commémoratif qui indique " 19 mars, Fête de la Victoire " ? Savez-vous, Monsieur le Député-Maire, qu'il y a eu plus de morts en Algérie après le 19 mars 1962 que pendant les huit années de conflit qui les ont précédées ? Militaires morts ou enlevés, morts du 26 mars à Alger, morts du 5 juillet à Oran, sans oublier les 150 à 200 000 Harkis et leurs familles massacrés, enlèvements, disparitions, etc. Cela fait beaucoup de morts après un soi-disant cessez-le-feu Savez-vous, Monsieur le Député-Maire, que les services du ministère des Anciens combattants délivrent des cartes du combattant aux appelés ayant servi (à quoi, on se le demande ?) en Algérie jusqu'au 2 juillet 1962 ? C'est là reconnaître que la situation - qui sera quelques années plus tard reconnue comme une situation de guerre - a duré au moins jusqu'au 2 juillet et, de ce fait, c'est aussi reconnaître que le cessez-le-feu du 19 mars n'en était pas un. En quoi cette date est-elle digne de commémoration, je me le demande et je vous le demande ? Enfin, Monsieur le Député-Maire, savez-vous que la date officielle retenue pour un hommage aux morts d'Algérie et d'Afrique du Nord est le 5 décembre et que la date du 25 septembre a, quant à elle, été choisie pour honorer les Harkis et les supplétifs qui avaient choisi de servir la France ? A quand donc, à Sisteron, une place du 22 juin 1940 ? A moins que vous ne préfériez débaptiser la place du 19 mars pour, simplement, lui donner le nom de " Place des anciens combattants d'Algérie " ? Je vous prie d'agréer, Monsieur le Député-Maire,
mes salutations. |
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Gaston Bautista J'apprends à l'instant le décès de notre ami
Gaston Bautista, Algérianiste convaincu et soutien toujours fidèle
de notre action qui fut le créateur de l'association du Souvenir
des Disparus en Algérie. |
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Halte aux faussaires de l'Histoire!
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LETTRE OUVERTE A MONSIEUR ERIC ROUSSEL,HISTORIEN
Monsieur et cher collègue, Je lis dans le Figaro du 18 juin ,sous votre signature dans l'article intitulé :L'ELAN DU 18 JUIN ,le passage suivant:"... grâce a l'initiative du Général,la France se retrouva aux côté des vainqueurs face au Reich annihilé".L'initiative en question est le célèbre Appel du 18 juin bien connu. En écrivant ceci je crains que vous n'affirmiez une chose qui n'est pas vraiment exacte. Si la France s'est retrouvée à la table des vainqueurs c'est grâce à l'Armée d'Afrique.Les campagnes de Tunisie et d'Italie ainsique le débarquement en Provencefurent pour ses soldats des moments de Gloire. Ces opérations s'accompagnèrent de lourdes pertes qui frappèrent les Pieds-Noirs surmobilisés comme vous le savez, et les Musulmans qui combattaient sous le drapeau tricolore.C'est leur sacrifice qui permit à la France de garder son rang de puissance.Weygand,Juin,De Lattre de Tassigny sont les soldats à qui nous le devons. L'Appel du 18 juin a eu ses mérites mais sa portée n'est pas comparable.Il est par contre irremplaçable dans la création et l'entretien de la légende gaulliste comme l'avait compris Alain Peyrefitte que vous citez d'ailleurs. Veuillez agréer cher collègue l'expression de ma réelle estime et mes déférentes salutations, Jean MONNERET. ________________________________________ |
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Suite aux mensonges diffusés par les Médias ce jour, je vous rappelle que c'est le Général DE LATTRE de TASSIGNY qui fut le PREMIER résistant : le 12 juin 1940 au Maroc il reconstituait l'Armée d'Afrique pendant que le colonel usurpateur se sauvait et se cachait derrière un micro à Londres Voici la phrase
de DE LATTRE frauduleusement attribuée à 2gol : "
La France a perdu une bataille, mais la guerre continue
"
(Info recueillie dans une " lettre de VERITAS " |
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France
et Toi alors ?
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Bonsoir Mr le Maire,
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Demain, l'anniversaire du fameux appel du colonel réfugié
à Londres... |
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Tract de VERITAS diffusé à Marseille
le 13 mai 2008
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J'accuse...
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J'accuse Charles De Gaulle d'avoir, volontairement et sciemment, violé
la Constitution Française dont il était le garant... J'accuse Charles De Gaulle d'avoir donné l'ordre d'abandonner,
après les avoir désarmés, les Harkis à la
vindicte des égorgeurs du FLN qui ont perpétré le
génocide de plus de cent cinquante mille de ces soldats français...
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CENTRE D'ETUDES PIED-NOIR Nice, le 16 juin 2010 C.E.P.N. Josseline Revel-Mouroz 14, avenue Alfred de Vigny 06100 Nice à Monsieur le Premier Ministre Monsieur le Premier Ministre, Le Premier Ministre britannique, David Cameron, a présenté
des excuses aux familles des victimes de la fusillade de Londonderry,
le 30 janvier 1972. Il a déclaré que ce massacre n'était
ni justifié ni justifiable et que les conclusions du rapport Saville
étaient " choquantes ". - aucune sommation n'a été faite aux civils par les
militaires avant d'ouvrir le feu Le Premier Ministre britannique a fait preuve d'un courage qui a manqué
aux hommes politiques français depuis plus de 48 ans.
ENTRE 65 ET 80 MORTS 14 MORTS AU MOINS 150 BLESSES 13 BLESSES RIEN 1998 : ouverture d'une enquête RIEN 2010 : rapport Saville RIEN 2010 : excuses du Premier Ministre
Je vous prie d'agréer, monsieur le Premier Ministre, l'expression
de ma haute considération. |
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ROGER HOLEINDRE Président du Cercle National des Combattants LETTRE OUVERTE Á M. JAMEL DEBBOUZE ET Á SES AMIS ACTEURS ET CINÉASTES ! Messieurs Vous avez presque tous la double nationalité. En grande > > majorité néanmoins, vous êtes nés en France Vous avez acquis des métiers prestigieux, en France, et pour certains d'entre vous, vous avez fait fortune en France. > > > > Alors, une question lancinante m'obsède jour et nuit : Vous êtes > > bien ici de votre plein gré ? Personne ne vous a obligé à venir chez > > nous ? et personne ne vous empêche de repartir ? Si vos parents ont cru bon de quitter leur pays d'origine pour s'installer sur le territoire français, c'est bien parce qu'ils savaient que leur vie, dès lors, et celle de leurs enfants, seraient meilleures ici qu'outre Méditerranée ? > > > > Alors, dans vos films, pourquoi cette hargne, cette volonté > > constante de vouloir "touiller" le pus des plaies de notre Histoire, > > en faisant toujours porter le principal des fautes par la France ? > > > > Dans le film " Indigènes ", tout n'était pas mauvais, mais l'esprit > > était faux. Vous avanciez comme argument "massue" le fait que la > > retraite de ces soldats était ridicule. C'est vrai : Mais elle l'est pour tous les soldats, car il y a la retraite du combattant et la retraite pour 15 ans de service minimum. Elles n'ont rien à voir l'une avec l'autre. A titre d'exemple : Moi, j'ai été résistant, j'ai fait 3 séjours de guerre en Indochine, plus l'Algérie. Je suis médaillé militaire, j'ai plusieurs citations ; j'ai été 2 fois blessé au combat, et je touche 212,19 € de pension tous les 6 mois, soit environ 35 € par mois, et je n'ai même pas la Légion d'Honneur ! > > > > Les troupes Nord africaines n'ont jamais été " la chair à canons " > > comme vous voulez toujours le laisser entendre. Vous oubliez > > sciemment les 170 000 pieds-noirs qui, avec les indigènes, presque tous volontaires, composaient l'Armée d'Afrique. Les unités d'élite "blanches" ont payé plus que le prix du sang et de l'honneur. > > > > Vous n'êtes pas sans savoir que, le 7 février 2010, le Parlement algérien a déclaré qu'il allait faire adopter une proposition de loi, "criminalisant" les 130 années de présence française en Algérie. Le sieur Bouteflika compte pour cela demander des milliards d'euros de dédommagement à la France, avec en plus des excuses de la repentance le reniement de tout ce qui fut notre passé. > > > > En voilà assez ! Il vous faut donc savoir quelle est votre position > > quand la France est ainsi attaquée, bafouée. Il vous faut, que vous > > le vouliez où non, choisir votre camp ! Vous ne pouvez pas être ici et là-bas, tout du moins en paroles ! Le dernier film de M. Rachid Bouchareb, " Hors La Loi " commence, lui, par des erreurs flagrantes, des oublis, des affirmations qui sont des contrevérités historiques. Ce monsieur sait ce qu'il fait, ce qu'il dit. Ne déclarait-il pas le 21 juin 2009 au journal El-Watan à Alger vouloir " rétablir la vérité historique " et ainsi " déballer tout " à travers ce long métrage de 2h30, dont 25 minutes seraient consacrées aux évènements du 8 mai à Sétif et Kerrata (Oui 25 minutes !). A Sétif, tout a commencé par des mini échauffourées, des défilés revendicatifs, et ce dès le 1er mai 1945. Tout avait été programmé par le congrès des " Amis du manifeste algérien ", car le FLN n'existait pas alors. > > > > De marche pacifique en marche de la dignité, tout a basculé dans le > > drame avec les tueries et les atrocités, le 8 mai 1945, et cela au > > nom du Djihad, aux cris de " Á bas la France ", " Vive l'indépendance ". > > > > Le commissaire de police Oliviéri, débordé, jeté au sol par les > > émeutiers, a tiré en l'air pour se dégager. En l'air ! Pas dans le > > tas ! Ce qui transpirait alors c'était la haine du roumi mise au goût du jour par la radio du Caire depuis des semaines. Cela donna des scènes de violences inouïes, de mutilations effroyables, n'épargnant ni les femmes, ni les enfants en ce jour de fête de la Victoire, au milieu des hurlements hystériques et des "youyous" des femmes. C'était la folie ! Jusque dans les maisons envahies les Européens furent éventrés, émasculés, les femmes et les fillettes violées ! Les bébés découpés en morceaux à la hache !Dans la foulée, aux 400 Européens dont 300 femmes et enfants massacrés, s'ajoutaient déjà 800 musulmans, connus pour leur amour de la France, dont de nombreux anciens combattants forcés d'avaler leurs médailles ! Oui, la réaction des civils fut anarchique et sanglante, mais n'était-ce pas ce que voulaient les instigateurs de la révolte ? Car ils étaient seuls ! > > > > Á cette époque, l'Algérie était presque totalement dépourvue de > > troupes. Dans les jours qui suivirent ce furent en partie des unités > > musulmanes en formation qui rétablirent l'ordre, alors qu'ailleurs, souvent, des ouvriers arabes sauvaient leurs patrons. Quand l'armée intervint en plus grand nombre, 10 000 armes furent récupérées ! > > > > Voilà messieurs, les vérités que votre film escamote ! Si vous > > désirez la liste, les massacres que par la suite le FLN perpétua, > > bien souvent sur des musulmans qui refusaient de renier la France, je me tiens à votre disposition pour ce faire. En voici déjà quelques exemples El Halia hommes, femmes, enfants, débités à la hache, le 20 août 1955, rien que des ouvriers, des mineurs, chrétiens et musulmans. Des bébés cloués sur les portes des granges avec des pioches. Le massacre de Palestro le 18 mai 1956, où des appelés tombés dans une embuscade ont été non seulement tués, c'était la guerre, mais mutilés, les yeux crevés, le sexe tranché mis dans la bouche, le ventre ouvert. Le massacre de Melouza, le 28 mai 1957, où toute la population musulmane de la Mechta-Kasba fut exécutée par le FLN, 300 cadavres et 150 blessés, du seul fait qu'ils appartenaient au MNA, mouvement politique concurrent, mais "nationaliste". > > > > Les noms de tous ces lieux où furent perpétrés des attentats > > horribles restent gravés dans les mémoires de tous les pieds-noirs, > > de tous les musulmans qui servirent la France, de tous les soldats qui firent leur devoir ! C'est-à-dire tous ceux que le dépravé ministre Frédéric Mitterrand, ose traiter, dans Le Parisien, de nervis d'extrême droite une saloperie de plus ! Ajoutant que ce film n'est pas historique, mais une fiction ! Mes souvenirs, eux, ne sont pas une fiction ! J'entends encore comme une longue litanie, au milieu des corps déchiquetés baignant dans des mares de sang, des pieds, des jambes, des bras, des têtes, des tripes étalées partout éclaboussant les murs les cris et les pleurs de gens du peuple, hébétés, hommes rudes en pleurs, gamines mignonnes dans leur robe de bal, devenant folles de douleur ! > > > > Rendons donc hommage à toutes ces victimes innocentes que vous et > > vos amis oubliez du stade municipal d'Alger, du stade d'El-Biar, du casino de la Corniche, du Clos Salembier, d'Hussein-Dey, de la Redoute, de la Casbah et de tous ces quartiers d'Alger qui virent périr des centaines de martyrs. > > > > Il aura fallu que la télévision française ose (et elle a osé) donner > > une tribune à toutes ces poseuses de bombes. Certaines vivent chez > > nous, en France, comme vous messieurs, mais aucune d'elles n'a fait preuve du moindre regret, du moindre remord, ne serait-ce que vis-à-vis du piètre résultat, du calamiteux résultat de l'INDÉPENDANCE ALGÉRIENNE. Qu'ont donc fait les dirigeants algériens de l'Algérie prospère que De Gaulle leur a donnée avec en plus, en prime, le Sahara, son gaz et son pétrole qui n'ont jamais, jamais, été algériens. Le remerciement fut le massacre de 100 000 harkis soldats français, et l'enlèvement de milliers d'Européens, dont certains seraient, aujourd'hui, toujours vivants. > > > > M. Bouteflika ose comparer la présence française en Algérie à > > l'occupation allemande en France ! A ma connaissance, au départ des > > troupes du Reich, 5 millions de Français ne sont pas partis s'installer en Allemagne. > > > > Pour mes amis et moi-même, la guerre d'Algérie est terminée, le > > peuple algérien est indépendant les problèmes de l'Algérie sont ses problèmes. > > > > Si nous refusons la repentance, nous refusons aussi qu'il soit dit > > et écrit que cette guerre, que notre armée a gagnée militairement, > > fut un combat sanglant entre l'armée française et la totalité de la population d'Algérie. > > > > Cela est faux ! Comme le reste ! > > > > Messieurs, je ne vous salue pas, je vous plains. > > > > |
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Amis, visionnez les deux premières vidéos
relatives à la manifestation de Nice et consultez le commentaire
qui suit l'intervention d'Agnes Rampal. N'hésitez pas à
vous exprimer à votre tour, cela va lui faire énormément
plaisir
Je vais également y placer le mien.
Bien amicalement - José |
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Chers tous Pour votre info, voici, sur cette affaire, la question d'un sénateur et la réponse faite par un ministre, enregistrées en vidéo. A défaut d'avoir donné lieu à
une déclaration formelle aux médias comme le souhaiterait
le Général Antoine LECERF, ces déclarations sont
disponibles sur un site internet, accessible par tous les internautes.
Une bonne manière de soutenir la démarche du GCA Lecerf, non ? Par l'information et l'expression de notre indignation auprès de nos concitoyens et de nos élus afin de faire pression en vue de combler toute éventuelle lacune de notre arsenal juridique en matière d'outrage à la Nation.
Soutenez le général Antoine LECERF en faisant passer autour de vous. |
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Le Président A Monsieur Patrick MARTELLINI Objet : Votre lettre du 19 mai à M. Hervé CUESTA Monsieur le Maire,
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Vendredi 4 juin Nice
Tribunes et salles Table Ronde Jean Claude Perez Assemblée Générale RNFA Deux Premiers rangs empêchés : REVEL-MOUROZ Josselime - RYTER-LEONELLI
Bernadette -
HCFA DELEGUES LOCAUX |
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Madame,
Après lecture de votre article concernant la page publicitaire
de Jeune Pied Noir, je souhaite vous faire part de quelques remarques
: tout d'abord, je vous informe que je n'ai pas participé à
la collecte concernant cette publicité car je ne souhaitais pas
offrir à votre journal l'occasion de s'enrichir à mes frais. Je ne sais pas si vous l'avez remarqué, mais, de toutes les victimes des différentes tragédies du 20e siècle, nous sommes les seules à devoir PAYER pour INFORMER nos concitoyens de ce que nous avons subi. Alors que ceux qui sont à l'origine de nos souffrances bénéficient d'une publicité gratuite, même lorsqu'il s'agit d'une opération commerciale, comme un film, par exemple. Vous écrivez que la "déontologie" et les "valeurs" du Monde exigent que vous refusiez notre argent, fruit d'une collecte parmi des gens qui ne descendent pas au Martinez quand ils vont à Cannes. Admettons. Mais cette même déontologie et ces mêmes valeurs devraient vous commander de refuser notre argent que vous recevez généreusement sous la forme de subventions, directes ou indirectes, grâce à nos impôts. Ce qui signifie que nous payons DEUX FOIS le droit d'informer. Vous écrivez également, que la publicité de JPN est "passée à travers les mailles du filet". Jolie métaphore, mais pourquoi ne pas utiliser le simple mot de "censure"? Alors, les pelés, les galeux que nous sommes aimeraient justement que vous fassiez preuve de votre attachement à certaines valeurs (la transparence, notamment) et que vous rendiez publics les montants exacts de toutes les subventions dont votre journal bénéficie. "Pelés, "galeux", pourquoi? Souvenez-vous : lors du référendum du 13 avril 1962, avaient pris part à ce référendum le département de la Guyane, les territoires des Comores, de Nouvelle-Calédonie, des Nouvelles-Hébrides, de Polynésie, de Saint-Pierre et Miquelon et des îles Wallis et Futuna A L'EXCLUSION des principaux intéressés, c'est-à-dire les habitants des départements français d'Algérie. Je ne me souviens pas d'avoir entendu les tenants de vos valeurs et de votre déontologie s'indigner de ce procédé inique qui enlevait toute valeur constitutionnelle à ce référendum. Heureusement, il nous reste un moyen hautement démocratique
pour nous exprimer, comme nous l'avions fait à l'époque
: le concert de casseroles. Je pense que vous ne verrez aucun inconvénient
à ce que nous vous en fassions bénéficier un de ces
jours. |
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Les 5 et 6 juin 2010 le Cercle Algérianiste
et AFN Collection seront à Cimiez pour le Soleil des deux Rives...
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Bonjour, Je tiens à vous informer que le 4 juin 2010, à 14 H 30, je conduirai une table ronde à la maison du Séminaire, salle Bréa, 29 boulevard Franck Pilatte à Nice. Cette table ronde va se diviser en deux parties : PREMIERE PARTIE : une conférence dont le titre est le suivant "L'ALGERIE FRANCAISE : UTOPIE OU SAUVEGARDE Il s'agit en réalité d'un exposé introductif, que j'ai rédigé dans le but de rappeler les origines négligées de l'agression dont la France fut victime durant la guerre d'Algérie.... du 16 avril 1945 au 5 juillet 1962 inclus. Dans cette conférence, une riposte, historiquement argumentée, sera proposée, en particulier à l'entreprise de désinformation dont nous sommes l'objet, désinformation qui concerne tout particulièrement la tragédie du 8 mai 1945 dans le Constantinois.
Eventuellement, les participants à cette table ronde et moi-même, répondrons aux questions du public. Votre appui, par votre présence, est souhaité bien évidemment. Cette réunion du 4 juin est organisée à l'initiative du Rassemblement National des Français d'Algérie d'une part, et grâce au concours de Michèle SOLER, d'autre part, la très efficace présidente du Cercle Algérianiste de Nice et des Alpes-Maritimes, que je remercie pour le concours qu'elle apporte constamment à la défense de ce que l'on appelle " La Mémoire de l'Algérie française ". Encore une fois, je compte sur votre appui.
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LES LARMES DU DRAPEAU
J'ai longuement flotté sur les Champs de Bataille, Résistant bravement aux coups de la mitraille ; Maintes fois ma voilure épongea dans le vent Le Sang des Soldats morts, les Pleurs des Survivants. Au sommet du Pays je dressais mes Couleurs, Témoignage vibrant de la Foi, de l'Honneur. Les Anciens devant moi soulevaient leur Chapeau, Qu'y a-t-il de plus Beau que l'Amour d'un Drapeau ? Mais la Honte survint par un soir gris d'hiver : Ma Hampe fut brisée par des mains étrangères. Lacérés, mes beaux plis sanglotaient en silence En voyant que ces doigts s'attaquaient à la France. Devant la foule haineuse, on me jeta à terre. Un instant je pensais : " nous sommes donc en Guerre ! " Mais en guerre un Etendard a ses défenseurs, Ici nul n'accourut pour calmer ma douleur ! Les uniformes bleus trépignaient de colère, Mais leur Chef, tout là-haut, préservant sa Carrière, Me laissa sans mot dire aux mains de mes bourreaux : Je mourus sans qu'une arme quitte son fourreau. Ce soir je regrettais de porter ces Couleurs, |
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Le protocole de la ville de
Cannes nous a interdit de prononcer ce texte...
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Nous vous remercions chaleureusement d'être venus aussi nombreux
et pour beaucoup d'aussi loin, pour affirmer votre volonté de défendre
nos valeurs de Citoyens et de Français. Nous sommes réunis aujourd'hui, 21 mai, pour deux motifs : Le premier résulte du fait que ce soir va être projeté à Cannes, dans le cadre de son prestigieux Festival, le Film " Hors la Loi " produit par Rachid BOUCHAREB. Ce film, présenté par l'Algérie mais cofinancé à 59% par des organismes français, constitue en effet sous couvert d'une Saga, à travers les erreurs historiques, les outrances et les caricatures qu'il comporte, un outrage au monde combattant, à l'ensemble des rapatriés et à notre mémoire de citoyen français. Nous ne prétendons pas être les censeurs de la création artistique ni les détenteurs de la vérité historique mais, après les multiples et récentes atteintes à notre passé ou à notre drapeau, nous pensons avoir le droit et le devoir de crier haut et fort " halte là ! cela suffit ! ". Le second motif puisque ce film relate les tragiques événements qui se sont produits en mai 1945 dans le Constantinois, c'est que nous voulons autour de ce monument honorer les morts du 8 mai 45 qui ont été au départ, rappelons le, d'innocentes victimes européennes lynchées, égorgées, mutilées et pour certaines violées au cours du véritable " Djihad " qui a marqué ces tragiques journées qui auraient du être des jours de liesse puisque le 8 mai 45 marquait la capitulation de l'Allemagne nazie. Nous vous invitons donc maintenant à accomplir, dans la dignité et le recueillement, ce devoir de mémoire. Le Collectif Vérité Histoire Cannes 2010. |
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Communiqué de JEAN Paul GAVINO (artiste chanteur Pied Noir) Etant en pleine répétition pour mon futur spectacle à Paris , je ne peux pas être avec vous .. Sachez que je suis de tout coeur avec vous .. De tout coeur dans votre manifestation et contre l'utilisation du film "Hors la Loi" qui représente la France au festival de Cannes . Vu l'aide apportée par la France dans le Budget de ce film c'est bien elle qui est représentée au Festival .. et non pas l'ALGERIE Je sais que ce dépôt de gerbes au monument aux morts est obligatoire vu l'ambiance et la situation mais je pense que les politiques encore une fois nous manipulent pour que l'on ne fasse pas trop de vagues.... Nous avons la chance d'avoir les médias du monde entier pour parler et dénoncer la DESINFORMATION de notre histoire. Ne laissons pas cette chance qui nous est offerte... Encore une fois indirectement on défend DE GAULLE car c'est bien lui qui a donné l'ordre de représsion et jamais nous .. Nous nous avons subi , nous subissons mais nous ne subirons plus . Il faut prêter serment pour s'engager et se battre tous ensemble pour forcer ce mur de JERICHO installé en France et l'abattre. Nous le pouvons si nous restons unis. Que Notre Dame d'Afrique - que Notre dame de santa Cruz et que St Augustin veille et nous aide à affronter avant de disparaître tous ces faussaires qui veulent parler et réécrire l'histoire et notre histoire à leur façon. CELA NOUS L ACCEPTERONS JAMAIS. Que Dieu nous garde. JPGAVINO. |
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LE PORTEUR DE FEU DE BROADWAY.
Bien des commentaires ont suivi l'attentat déjoué à New-york et l'arrestation de son concepteur:le nommé Faisal Shahzad.Beaucoup sont centrés sur sa personnalité et le fait qu'il était un citoyen américain apparemment bien intégré. Le magazine Time a souligné un autre point:ce qui se serait passé si la voiture piégée avait explosé à l'endroit où elle se trouvait,au coin de Broadway et de la 45éme rue.Informons-nous. "La voiture se serait transformée en un explosif liquide en ébullition.(En raison de la présence d'un fût de propane à l'intérieur)L'explosion n'aurait duré que quelques dixièmes de seconde mais elle aurait engendré une boule de feu susceptible de balayer tout le carrefour.L'onde de choc se serait répandue dans toutes les directions à une vitesse comprise entre 3.700 et 4.500 mètres par seconde.En rencontrant les parois des immeubles environnants,elle se serait répercutée 10 fois plus vite.Toute personne présente dans un rayon de 400 mètres,_un alignement de 5 immeubles_eût couru le risque d'être touchée par l'effet shrapnell de millions d'éclats de verre volants. Beaucoup de ceux qui seraient morts auraient péri dans des conditions horribles.Un journaliste de Time familiarisé avec les ravages causés par les voitures piégées à Baghdad,explique que les victimes se retrouvent nues car la boule de feu fait fondre leurs vêtements en même temps que leur peau."Time Magazine.17 mai 2010. Chacun comprendra le caractère diabolique du terrorisme qui repousse les limites du crime et de la haine à des frontières encore indépassées.Ces hommes /(puisqu'il s'agit d'hommes)Albert Camus les appelait Les Fils de Caïn.Rappelons encore une fois que les gens visés par ces actes sont des civils,passants,hommes,femmes,enfants,vieillards n'ayant aucune responsabilités politiques ou militaires.Simplement visés pour leur appartenance à une nationalité,une race ou une religion. Aussi est-il triste que toute une production cinématographique française passée,actuelle,et sans doute hélas future puisse faire l'éloge de gens qui,durant la Guerre d'Algérie,utilisèrent ces méthodes.Les responsables de cet état de choses devront des comptes aux futures victimes. Jean Monneret. Le 19 mai 2010. ________________________________________ |
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A l'attention de Mme Mathilde Lignot-Leloup et de M. Maxime Tandonnet,
conseillers auprès du président de la République
Après la présentation programmée du film " Hors-la-loi " au festival de Cannes, voici que le l'hebdomadaire " Le Point " du 6 mai nous informe d'un possible défilé de l'armée algérienne le 14 juillet 2012, sur les Champs-Elysées, à Paris. Cela devient de la provocation et je m'élève haut et fort contre une telle initiative venant de l'ambassadeur de France à Alger. Ce serait une véritable offense à tous les soldats et à tous les civils morts pour la France en Algérie - Français de souche européenne aussi bien que Français de souche nord-africaine. Et ce défilé est tout aussi insupportable à imaginer pour les repliés d'Algérie, Pieds-noirs, Harkis, musulmans fidèles à la France, ainsi que pour les anciens combattants d'Algérie. Il est urgent qu'un démenti officiel soit apporté à la déclaration de M. l'ambassadeur Xavier Driencourt. Je vous prie d'agréer, Madame et Monsieur les conseillers, l'expression de mes salutations. Roger Soncarrieu |
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Monsieur le Procureur de la République de
Nice,
" On peut rire de tout, observait Desproges, mais pas avec tout
le monde. " L'aphorisme fut assez commenté pour n'y point
revenir, sinon pour observer que c'est bien le sens du verbe rire qui
fait aujourd'hui débat. Mais s'agit-il encore de rire ? Ne s'agit-il pas plutôt de ricanement ? "méprisant et sarcastique ", ou alors " stupide, sans motif ou par gêne " dit le dictionnaire. Je ne m'aventurerais pas, Monsieur le Procureur, à pleurnicher
sur un passé magnifié et comme tel réputé
meilleur que le présent. Il arrive parfois qu'en dépit des méthodes pédagogiques
en vigueur, certains élèves aient retenu quelques bribes
de l'enseignement moral qui leur fut dispensé. Un jeune photographe participe à un concours photo organisé par la FNAC de Nice sur le thème " politiquement incorrect ". Son cliché représente un homme de dos, pantalon sur les chevilles, se torchant le cul dans un drapeau français. Après que diverses personnes physiques ou morales se furent
émus de cette provocation, plainte fut déposée auprès
du Procureur de la République et la photo retirée. L'affaire
ne serait que lamentable si elle en restait là. Le courageux commerçant directeur de la FNAC se fend quant à lui d'une formule de circonstance : " sincèrement désolé ". Mais c'est à vous, monsieur le Procureur de la République, que revient la palme de l'indignité, pour avoir déclaré irrecevable la plainte au prétexte que ce cliché constituait une "uvre de l'esprit" (sic) Ainsi, Monsieur le Procureur de la République, vous estimez que le fait de s'essuyer le cul sur le symbole de la Nation relève de la création intellectuelle ! A la réflexion, cela prouve deux choses : d'une part à
quel niveau anatomique vous situez l'esprit, ce qui est passablement inquiétant
chez un représentant de la Justice ; Ce qui m'incite à clore cette missive en vous disant, Monsieur le Procureur de la République, qu'au sens le plus littéral du terme, je vous emmerde. Vous voudrez bien prendre en compte qu'il s'agit de ma part, non d'une uvre intestinale mais purement intellectuelle et que je n'encours par conséquent de votre part qu'un classement sans suite. Hugues Vial |
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ASSEZ DE RUSES ET DE COUPS DE JARNAC
Après 1962, le courant lepéniste a maintes fois perturbé les élections nationales en déstabilisant les lignes de forces traditionnelles (Droite, Gauche) hexagonales. En 2008, Nicolas SARKOZY a siphonné les voix frontistes des Français d 'Algérie en exaltant la Dette morale de la France envers les Rapatriés. Cette " Arlésienne " a été couramment utilisée. Trompé une fois de plus, l'électorat désormais convoité a fui les listes sarkoziennes aux élections régionales. Cette désertion électorale a soufflé un vent de panique sur une Droite nationale qui, pendant près d'un demi siècle, a traité par l'indifférence et le mépris, une entité française pourtant fidèle à sa cause. Les élections présidentielles se profilent déjà à l'horizon 2012 et les manoeuvres de séduction deviennent impératives afin de circonscrire un gisement de voix " indispensables " notamment dans la région P.A.C.A à forte densité " pied-noir ". L'entreprise devient impérative. Ainsi, à Nice, le Ministre et Maire Christian ESTROSI inaugure une " Maison des Rapatriés " et organise, début Juin, une " kermesse " avec tous les ingrédients consensuels " du couscous merguez à la famille Hernandez ". A Cannes, à l'occasion du Festival et de la présentation du film vomitif " HORS LA LOI " du réalisateur franco-algérien Rachid BOUCHAREB, des membres du Conseil municipal de cette ville et le Député des Alpes Maritimes Lionnel LUCA proposent une manifestation silencieuse au Monument aux Morts, le 21 Mai. Ainsi, après un demi siècle de surdité malveillante, de condamnations, d'enfermement, de cynisme, voilà soudain que se développe une courtisanerie dont l'opportunité feint d'être naturelle A ces sollicitudes s'ajoute une proposition de loi visant à établir la reconnaissance par la France " des souffrances subies par les citoyens français d'Algérie, victimes de crimes contre l'Humanité... ". Cette proposition de loi déposée seulement par cinq députés n' aucune chance d'aboutir. Elle va se heurter à l'hostilité ou à l'indifférence de la quasi totalité parlementaire. Manoeuvres dilatoires ou intoxication ? Sans doute, les deux... Afin de sortir de ces chemins embourbés de ruses et d'arrières
pensées, le R.N.F.A. demande au Gouvernement de résoudre
la Dette morale désormais reconnue par la condamnation de la trahison
et de la malveillance gaulliste. Cette Communauté n'a jamais démérité
de la Patrie notamment dans les conflits de 1914/1918 et 1939/1945. |
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LE 8 MAI 1945- Sétif - Guelma - Le Constantinois
- Début des 17 années de la Guerre d'Algérie.
De l'évidence du processus Islamique, prémices de la guerre d'Algérie et de la montée intégriste musulmane aujourd'hui dans le monde. Cet ouvrage de plus de 450 pages est la 5° réédition de la vérité sur le début de la guerre d'Algérie avec de nouvelles preuves de la préméditation du massacre des Européens, la détermination de les exterminer et de bouter les chrétiens hors des rives sud de la Méditerranée. Des précisions sur le nombre exact des victimes, 120 témoignages sur la barbarie et les atrocités, etc. Il est la référence face aux mensonges, à la désinformation aux affabulations. Depuis sa sortie, aucune contestation n'a jamais été portée sur ses textes et ses témoignages. Il importe de donner à ce livre la plus large diffusion pour
mettre un terme aux manipulations de la vérité par des idéologues
pervertis, des politiciens sans scrupules et un pouvoir sans courage,
qui par le biais d'une repentance larvée compromet la grandeur
de la France, l'honneur de son armée dans ce que le monde du XIXéme
et XXéme siècle avait reconnu comme l'Empire Occidental
vecteur de paix et de civilisation. Commande : Maurice Villard - 8, Impasse Foujita 34500 Béziers-
Nous vous saurions gré, de bien vouloir, en faire la plus large annonce dans vos publications et sur votre site internet. Merci d'avance. Maurice Villard |
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OPERATION "YES, WE CANNES" DU 21 mai 2010
à CANNES...
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Cercle algérianiste national Fédération des Cercles algérianistes Narbonne, Le 9 mai 2010
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7 mai 2010 - Lettre ouverte à M. le président de la République
Certes, personne n'a jusqu'ici, vu le film. Le scénario laisse cependant supposer beaucoup de choses qui vont plus dans un sens anti-français que dans le sens d'une véritable objectivité. S'il est dit que ce film ne serait pas une vision officielle de l'histoire, son réalisateur indique cependant que " Hors-la-loi, c'est pour rétablir une vérité historique " Le Service historique de la Défense, dans une note signée
du général Robert, relève, quant à lui, un
certain nombre d'erreurs dans le scénario du film, notamment : Par ailleurs, il semble que ce film insiste particulièrement sur le rôle des porteurs de valises français, porteurs de valises qui, en prenant partie pour le FLN, n'étaient rien moins que des traîtres à leur patrie, c'est-à-dire à la France. Nos enfants apprendront ainsi que c'est en servant la cause ennemie que l'on devient un héros ! Enfin, il est difficile d'admettre que ce film soit financé à hauteur de 59 %par le Centre national du cinéma français et que le Conseil régional de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur ait cru bon d'y ajouter une somme de cent mille euro. Nous vivons dans un pays où tout ce qui va à l'encontre des intérêts de la France est glorifié, nous vivons dans un pays où le rôle de l'Armée française en Algérie est systématiquement dénigré. On a tout à fait l'impression que, derrière chaque soldat envoyé en Algérie, se cachait en fait un affreux tortionnaire. Nous vivons dans un pays où l'hymne national et le drapeau français sont régulièrement bafoués sans que les auteurs de ces " agressions " soient inquiétés. Nous vivons dans un pays qui a du mal à reconnaître que les Pieds-noirs, installés de l'autre côté de la Méditerranée à partir de 1830, ont transformé des terres incultes en un pays prospère qui prit alors le nom d'Algérie. Contrairement à que disent ou écrivent certains, la France n'a pas à rougir de son passé en Algérie. Je comprends mal que l'on accepte la diffusion de films tels que ceux que nous présentent Monsieur Bouchareb ou encore nos chaînes de télévision, avec des émissions comme " Droit d'inventaire " ou d'autres à la gloire des poseuses de bombes : c'est une honte ! Pour mémoire, Mme Danièle Minne, poseuse de bombes, coule des jours heureux comme enseignante retraitée de l'Education nationale ! Cela alors que certains anciens prisonniers du FLN " rescapés " (il y en a eu quelques uns) vivent dans des conditions déplorables. Mettre systématiquement en avant les tortures de l'Armée française sans jamais parler des crimes du FLN, mettre en avant une présence française en Algérie réductrice (pour ne pas dire négative) sans jamais en montrer les aspects positifs, c'est tout simplement falsifier l'histoire. Monsieur le président de la République, j'ai mal à ma France. En espérant que de bonnes décisions seront prises par rapport à la diffusion de ce film, je vous prie d'agréer l'expression de mes salutations distinguées. Roger Soncarrieu |
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Merci à Alain AVELIN...
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La pensée du jour ??
Cicéron - 55 AVANT JÉSUS CHRIST - MORALITE : la crise dure depuis 2065 ANS ! C'est rassurant !!
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THEOULE-SUR-MER - MEMORIAL DE NDA 1° MAI 2010
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Le 1er mai 2010 Le Bureau du Cercle Algérianiste de Fréjus/Saint-Raphaël, ayant pris connaissance de la projection du film "Hors la loi" au prochain Festival de Cannes, s'associe entièrement à l'action de protestation à laquelle participent le député Lionel Luca, l'UNC Cannes et d'autres associations. Le Cercle Algérianiste de Fréjus/Saint-Raphaël se tient prêt à soutenir, aux côtés des participants, toute action en ce sens. Le Président Jean Marchioni |
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Mes chers amis,
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Cher Amis,
Tout d'abord permettez-moi de vous remercier, au nom de sa famille, pour tous les témoignages de soutien à l'intention de Mohamed BELLEBOU. Nous venons de dépasser le millier de mails, lettres et fax en provenance de toute la planète rapatriée. Mohamed reçoit aussi beaucoup de courriers et se fait un honneur d'y répondre. C'est essentiel pour lui et cela lui permet de rendre moins pénible son incarcération. N'oublions pas qu'il est à l'isolement pour des raisons de sécurité face à une population carcérale hostile aux membres de notre communauté. Merci aussi pour les mandats et dons qui nous sont adressés et qui lui permettent de " cantiner " ou de pourvoir à ses frais de défense. Mohamed me fait vous dire que cette solidarité lui va droit au coeur. Afin de préparer son procès en appel à TOULOUSE, pour lequel nous attendons la date, et donner une autre dimension à l'aspect politique de cette affaire, nous venons d'engager Maître Gilbert COLLARD. Nous travaillons activement avec lui et la famille de Mohamed dans l'élaboration de sa défense qui nous permettra, je l'espère de le compter prochainement de retour parmi nous. Ce travail a un prix, celui de notre détermination. Nous venons aussi de décider l'organisation d'un grand rassemblement de soutien, et d'appel à la clémence, qui aura lieu à Toulon, Place de la Liberté, le samedi 8 mai 2010 à 15h. Vous trouverez, dans les heures qui viennent, sur le site du comité de soutien, toutes les informations concernant cette manifestation. Nous espérons vous y voir nombreux. Ou à défaut de pouvoir vous joindre à nous, de faire circuler cette information au plus grand nombre et en priorité à ceux qui ne dispose pas d'internet. Ce rassemblement sera un test grandeur nature pour le rassemblement qui sera organisé le jour du procès en appel à TOULOUSE.
Cordialement, Lahcène BOULAM 06.42.88.15.64 |
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Et voilà pourquoi je t'écris. A propos des disparus en
Algérie, Pierre BOZ évoque une archive sonore (qu'il a du
écouter sans aucun doute) qui se trouve à Genève, aux
archives du Centre International de la Croix-Rouge. "Les archives du CICR à Genève conservent des documents sur les enlèvements qui ne peuvent être transcris ou reproduits, tant l'horreur décrite est insupportable. Il y a, en particulier, le témoignage d'une jeune femme musulmane Oranaise, enregistré sur bande magnétique le 25 juillet 1963 par un des membres de la Croix-Rouge internationale sur les enlèvements, de femmes enceintes, de gendarmes, de prêtres, de religieuses, d'hommes et de femmes, d'enfants européens raflés le 5 juillet à Oran et sur les routes qui menaient à la ville. Cette femme raconte tous les sévices, jusqu'aux exécutions à coups de hache, subis par les malheureux enlevés, auxquels elle a été obligée d'assister, son propre père ayant été tué quelques mois auparavant par les soldats français." [Chapitre: les disparus en Algérie, page 46] De la part de Jacques BERNARD |
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Merci à ceux qui pourront se déplacer à Genève pour rechercher cet enregistrement aux Archives du CICR; puisque la France va être poursuivie pour "crimes de la Colonisation" nous devons prouver la barbarie du F.L.N. H.C. |
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27 février 2010 - Lettre ouverte à
Monsieur le secrétaire d'Etat à la Défense et aux
Anciens combattants
Vous répondez, je cite : " Les associations d'anciens combattants ont bien entendu la liberté d'organiser des manifestations publiques correspondant à des anniversaires d'évènements qu'elles jugent dignes de commémoration. Parmi ces dates, figure l'anniversaire du 19 mars. Les préfets doivent veiller au déroulement de ces manifestations dans de bonnes conditions d'ordre et de sécurité. Ils peuvent y participer, en fonction de leur appréciation du contexte local. Le niveau de représentation de l'autorité militaire est décidé selon les mêmes critères, en liaison avec les préfets. Ces règles sont rappelées dans une circulaire aux préfets du 19 février 2009, qui reste applicable ". Ayant été militaire en Algérie (*), permettez-moi de vous faire part de ma surprise. Surprise que vous acceptiez que la date du 19 mars soit l'objet de manifestations patriotiques dignes de commémoration visant à honorer la mémoire des combattants français morts en Algérie, alors que l'Algérie a fait de cette même date sa " fête de la victoire " - un timbre poste a même été édité en 1977, à cette occasion. Certes vous rappelez que la date " officielle " d'hommage aux morts pour la France reste le 5 décembre de chaque année, mais autorités civiles et militaires peuvent gentiment participer aux dépôts de gerbes effectués le 19 mars en fonction du contexte local ! 19 mars, cessez-le-feu en Algérie ? Il y a eu plus de morts en Algérie après le 19 mars que pendant les huit années de conflit qui ont précédées, vous le savez tout aussi bien que moi : 26 mars à Alger, 5 juillet à Oran, 150 à 200 000 harkis et leurs familles massacrés, enlèvements, disparitions, etc. 19 mars, cessez-le-feu en Algérie ? Alors, pourquoi vos services délivrent-ils des cartes du combattant aux appelés ayant servi (à quoi, on se le demande ?) en Algérie jusqu'au 2 juillet 1962. Vous reconnaissez ainsi que la situation, qui sera quelques années plus tard reconnue comme une situation de guerre, a duré au moins jusqu'au 2 juillet et, de ce fait, vous reconnaissez aussi que le cessez-le-feu n'existait pas ? En quoi cette date, qui est une capitulation politique, est-elle digne de commémoration, je me le demande et je vous le demande ? " Fêter " le cessez-le-feu du 19 mars, ce n'est ni plus ni moins que vouloir aussi " fêter " l'armistice de juin 1940. Si d'aventure, les associations d'anciens combattants voulaient commémorer cette date, leur répondriez-vous de la même façon en indiquant que la date officielle concernant la guerre de 39-45, c'est le 8 mai 1945 mais que rien ne s'oppose à ce que des gerbes soient déposées au pied des monuments aux morts de France, le 22 juin de chaque année ? Que je sache, l'armistice de 1940 n'a jamais beaucoup été médiatisé et il y a peu de rues ou de places baptisées " 22 juin 1940, signature de l'armistice ". Les accords de Genève du 21 juillet 1954 qui ont mis fin à la guerre d'Indochine ne sont, eux, pas beaucoup plus " fêtés " ! Alors pourquoi la date du 19 mars bénéficie-t-elle de certaines " faveurs " et de laisser-faire de la part du gouvernement français ? Enfin, pour terminer, je rappelle aussi que l'ensemble des associations d'anciens combattants a opté pour la date du 5 décembre, non pour le 19 mars. Les dirigeants de la FNACA - puisque c'est de la FNACA qu'il s'agit - ont toujours milité pour l'indépendance de l'Algérie, alors il est vrai que, pour eux, les 18 et 19 mars sont des jours qui se fêtent ! Je vous prie d'agréer, Monsieur le secrétaire d'Etat, l'expression de mes salutations bien françaises. Roger Soncarrieu |
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Un témoignage de première main. Voilà matière
à écrire pour les historiens,( les vrais ). Petites précisions
personnelles, ( toujours pour d'éventuels historiens ): La briqueterie
en question s'appelait ''Briqueterie Altérac'', située au
sud de Maison-Carrée ( Harrach ). Pour les mines, il s'agissait des
mines de fer du Zaccar, près de Miliana-Marguerite. Le piquant de cette histoire, c'est d'apprendre que l'infortuné et miraculé militaire( métropolitain ) fut, par la suite, poursuivi pour désertion... Il n'y a pas de doute, nous sommes bien en France. P.S. |
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André AUSSIGNAC, originaire de Bordeaux, militaire appelé
en Algérie, était venu relater en détail son enlèvement
par le F.L.N., après lindépendance, et le calvaire
inhumain quil a subi dans une mine de fer près de Miliana,
avec dautres français civils ou militaires. > > Le
témoignage écrit ci-dessous correspond tout à fait
à ce quil avait dit lors de cette conférence. André
Aussignac, 68 ans, appelé du 23e Rima à Alger, a été
déclaré disparu le 21 juillet 1962 par larmée
française. En novembre 1963, le sénateur Étienne Dailly a évoqué mon cas au Sénat (Journal officiel du 24 novembre 1963, p. 2572). Quelques jours auparavant, la Sécurité militaire mavait menacé pour que je me taise. Mon histoire gênait. Je me suis tû jusquà aujourdhui. Joffre ce témoignage à la mémoire de mes compagnons qui ont été sacrifiés. » |
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Madame, Votre groupe se réjouit que l'on s'occupe de la disparition d'un opposant tchadien. Moi aussi. Mais je dois vous rappeler qu'en 1962, des milliers de personnes ont disparu en Algérie avant et après les "accords" d'Evian. Les familles des disparus sont aujourd'hui encore, 48 ans après, dans l'ignorance de ce qui est arrivé à leurs proches. Des centaines d'entre elles ont été enlevées et massacrées le 5 juillet 1962 à Oran alors que l'armée française avait reçu l'ordre, du plus haut niveau de l'état, de ne pas intervenir pour protéger nos ressortissants. Nous attendons, 48 ans après, qu'un élu ou parti politique condamne cette non-assistance à personnes en danger et demande une commission d'enquête. Josseline Revel-Mouroz Centre d'Etudes Pied-Noir Dans un e-mail daté du 26/03/2010 11:14:43 Paris, Madrid, sblatmann@gsan.org a écrit : Communiqué du groupe socialiste, radical et citoyen à l'Assemblée nationale L'Assemblée s'investit enfin dans la politique extérieure de la France Gaëtan Gorce François Loncle Vice-présidents du groupe SRC ..... |
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Lettre ouverte A Monsieur le Sénateur Pierre-Yves Collombat
Casier de la poste 15, rue de Vaugirard 75291-Paris cedex 06
Guy PIERSON |
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Cercle algérianiste national
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Simone VEIL reconnaît le "crime d'Etat" du 19 mars
1962 et la responsabilité de Pierre MESSMER, simple exécutant
des ordres du général DE GAULLE et de Georges Pompidou Extrait du discours de Simone Veil à l'Académie Française discours prononcé le 18 mars 2010, devant trois Présidents de la République, dont Nicolas SARKOZY, président en exercice. Extrait du discours de Mme Simone VEIL prononcé hier 18 mars 2010 - 48 ans après le 18 mars 1962, jour de la signature des "accords" d'Evian entre trois ministres français Louis Joxe, Jean de Broglie, Robert Buron, et Krim Belkacem, représentant le seul FLN (et les 10 millions de Français d'Algérie !) - qui, évoquant la personnalité de son prédécesseur, Pierre Messmer, a abordé la question des harkis: "Mesdames et Messieurs, on ne peut non plus évoquer ces temps de malheur sans aborder un douloureux dossier. Ancien magistrat, m'étant beaucoup investie pour améliorer la condition des prisonniers du F.L.N. en Algérie et en métropole, je n'en suis que plus à l'aise pour aborder une autre page tragique de notre histoire. En Algérie, des musulmans avaient accepté de servir dans l'armée française. On les appelait les " moghaznis ", ou plus communément les " harkis ". Leurs effectifs s'élevèrent à 90 000 hommes et leurs familles. Les accords d'Évian stipulaient qu'aucun Algérien ne serait inquiété pour ses engagements passés, notamment dans l'armée française. Les autorités françaises voulurent croire à ce traité et mirent tout en uvre pour qu'il fût respecté. Pour nombre d'officiers français, ce fut un déchirement d'abandonner à leur sort des hommes qui avaient partagé leurs combats. Certains décidèrent leur rapatriement en métropole. Après y avoir un temps consenti, et ouvert des camps d'hébergement, les autorités françaises publièrent des instructions très strictes mettant fin au rapatriement. La plupart des harkis durent ainsi rester en Algérie, en butte à l'opprobre et souvent à d'horribles représailles. Quel fut le nombre de victimes ? Les historiens s'opposent encore sur ces chiffres. La tragédie de ces familles entières abandonnées laisse en tout cas une tache indélébile sur notre histoire contemporaine. Une nouvelle fois, Pierre Messmer se plia à la rigueur d'État, au devoir d'obéissance. Plus secrètement, il souffrit de ce drame, évoquant même dans des entretiens ultérieurs avec Philippe de Saint-Robert une situation de " non-assistance à personne en danger " Le Président de la république Nicolas SARKOZY doit tenir
son engagement du 31 mars 2007 et reconnaître la responsabilité
de l'Etat français dans les crimes dont ont été victimes
les Français d'Algérie après les "accords"
d'Evian du 19 mars 1962. |
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Après lecture de la réponse de M. le secrétaire d'Etat à la Défense et aux Anciens combattants à propos de la commémoration de la date du 19 mars, commémoration en fait laissée à l'appréciation des préfets et du contexte local, je découvre une réponse venant de votre part, toute aussi ambiguë. Il s'agit de la réponse faite à la question de M. Bernard Carayon - question et réponse (référencées sous le n° 65906) ont été publiées au Journal officiel des débats parlementaires de l'Assemblée nationale du 16 mars 2010. Vous indiquez - je cite - que " Le 18 novembre 2009, à la suite du match de football Algérie-Egypte, 4000 individus se rendaient, dans une atmosphère festive, place du Capitole à Toulouse. A l'occasion de ce rassemblement, des personnes escaladaient la façade de l'hôtel-de-ville et enlevaient un drapeau français et un drapeau européen placés à son fronton pour les remplacer par des drapeaux algériens " et vous ajoutez plus loin " Pour autant, la profanation des symboles de la République est inacceptable et ne peut que susciter la plus ferme réprobation ". D'après ce que j'ai compris, les fonctionnaires de police présents sur place avaient l'ordre de ne pas intervenir. Certes, vous indiquez que le drapeau français n'a pas été brûlé comme d'autres sources l'avaient laissé entendre et qu'il s'agissait d'un événement " festif ". On peut toutefois se demander à partir de quand on peut estimer que ce qui symbolise notre République française est bafoué, à partir de quand on peut estimer qu'il y a outrage méritant sanction et non pas seulement " la plus ferme réprobation ". Dans quel autre pays tolérerait-on que l'emblème national soit enlevé d'un édifice public pour être remplacé par un autre drapeau ? Voulez-vous imaginer un groupe de jeunes qui, le soir où notre équipe de France de handball est devenue championne du monde, aurait voulu (dans une atmosphère festive, bien sûr) aller décrocher le drapeau algérien d'un quelconque consulat et le remplacer par un drapeau français ? Et je n'ose même pas penser à ce qui se serait passé si ce genre de plaisanterie avait eu lieu sur la façade d'un édifice public, en Algérie Ou plutôt si, puisque fin 2008, cinq lycéens - lycéens de nationalité algérienne - en classe terminale à Alger ont, dans une salle de classe inoccupée, enlevé le drapeau algérien qui était dans un cadre pour dessiner à la place un drapeau français et écrire dessous " vive la France ". Ils ont été immédiatement exclus du lycée. Accusés d'atteinte à l'emblème national, ils ont en outre été condamnés à un an de prison ferme et à une amende de 500 000 dinars chacun. Monsieur le ministre je suis scandalisé, tant par la commémoration autorisée d'un 19 mars 1962 qui offense la mémoire des milliers de morts et disparus après cette date et ne respecte en rien les termes du décret du 26 septembre 2003 (instituant une journée nationale d'hommage aux " morts pour la France " en AFN le 5 décembre de chaque année), que par le laxisme affiché lors de la manifestation de Toulouse. Après le non-respect des accords d'Evian et du cessez-le-feu, l'Algérie et ses ressortissants (à moins que, dans certains cas, il s'agisse de " nouveaux Français " en mal d'Algérie) continuent aujourd'hui à ne rien respecter, ni notre drapeau, ni notre hymne national. Même sans en prendre le nom, notre " repentance ", qui a largement commencé, est en train de devenir sans limite Ce sont là, je vous l'assure, des réflexions partagées par bon nombre de Français pour qui l'honneur, la dignité, la tradition militaire, l'héritage de nos glorieux anciens, nos trois couleurs, bref tout ce qui représente notre " identité nationale ", a encore quelque valeur. Roger Soncarrieu |
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26 MARS 2010
A Béziers, nous saurons nous souvenir de ce geste courageux renouvelé. |
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26 mars 2010 à PEGOMAS
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Amis de PEGOMAS et des environs
J'ai parlé de Français d'Algérie tués
le 26 mars à Alger en omettant " la rue d'Isly " et tout
à l'heure Simone GAUTIER vous précisera pourquoi notre version
est bien différente de la version officielle
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CHAIRE ALGERIANISTE AU CUM A NICE - JEUDI 25 MARS
2010.
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Si vous virez Eric ZEMMOUR du FIGARO,vous allez subir une vrai catastrophe
industrielle. Mr DASSAULT en est- il conscient? Alain A. |
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Les accords déviants
" Le monde au sein duquel nous nous sommes formés à
la vie et à la pensée est un monde foudroyé "
dit Paul Valéry dans son discours d'intronisation à l'Académie
Française
Il est instructif de lire avec attention l'exposé de René
Mayer concernant les soi-disant accords d'Evian. Ces " accords "
sans aucune validité juridiques puisque signés, comme je
l'ai publié dans le tome III de l'Agonie d'Oran par un seul envoyé
du G.P.R.A. et récusés dès leur proclamation par
ce même G.P.R.A. dont les membres qui n'avaient d'ailleurs aucune
légitimité furent renvoyés à leurs chères
études par le véritable interlocuteur caché de De
Gaulle, le FLN. |
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LETTRE OUVERTE de BARRERE Jean-Yves à la FNACA de Bayonne
Oui, j'ai agi seul, à Bayonne les années précédentes je me contentais de klaxonner pendant la cérémonie là j'ai fait un peu plus fort. Après avoir accompli mon geste, je suis redescendu comme j'étais monté et, là, j'ai eu droit au merveilleux accueil dont vos adhérents semblent pouvoir être capables, à savoir agresser une personne seule en lui tombant à 7/8 dessus et en tenant des propos racistes : " On aurait mieux fait de laisser les pieds-noirs seuls, ils auraient fini comme les Harkis, égorgés . " ou " On va te mettre 2 cartouches dans le buffet " et encore " Les Harkis on s'en branle, ce sont des Arabes... ". Tout cela en me donnant des coups, toujours à 7/8 contre un, en me saisissant les parties avec la promesse de " On va te les arracher et te les mettre dans la bouche .. ". Ca sent le déjà vu... De vraies méthodes du FLN... Et dire que parmi mes agresseurs, si cela se trouve et il y a de grandes chances pour que cela soit le cas, aucun d'entre eux n'a jamais tenu un fusil, ni ne s'est battu, plus occupés qu'ils devaient être à attendre la quille. Mais, pauvres d'esprit que vous êtes, un soldat, un vrai, c'est quelqu'un qui sait se battre et qui est capable de le faire à un contre un .pas à la façon FNACA ..Mon grand-père paternel né en 1897 a fait 14-18, il a été gazé et en est décédé en 35 dans d'atroces souffrances. Mon grand-père maternel né en 1910 a fait 39-45 et ensuite l'Algérie et mon père né en 1935 a fait l'Algérie ils ne se seraient jamais comportés comme des lâches .. Je vous donne donc à nouveau RDV le 19 mars 2011 pour une opération encore plus spectaculaire que celle-ci en espérant qu'à l'avenir les pouvoirs publics prendront la mesure de la gravité à laisser faire ce cirque de cérémonies et les feront tout simplement interdire, pour qu'enfin les morts de l'après 19 mars 1962 puissent reposer en paix. Bayonne le 25 mars 2010
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Scandale à BAYONNE...
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VENDREDI 19 MARS 2010: LES
MEMBRES DU COLLECTIF "NON au 19 mars 1962" se sont déplacés
à CLAVIERS puis à ROQUEBRUNE-SUR-ARGENS...
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D'autres photos...
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http://picasaweb.google.fr/lh/sredir?uname=Gnafront&target=ALBUM&id=5450454190072531953&authkey=Gv1sRgCLXfqMXqjOSscA&feat=email | ||||||||||
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MARLEIX
ne sait plus quoi faire pour plaire à la FNACA...
Merci à Jean-Louis GRANIER de B.E.O. Story... |
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Madame le député, J'ai bien reçu votre communiqué et vous en remercie. Le 9 février vous avez voté, "avec plusieurs" de vos collègues, contre un projet de loi autorisant l'approbation d'une convention de partenariat entre la France et l'Algérie. Il me semble que TOUS les membres de votre famille politique auraient dû en faire autant. Non seulement, le président algérien multiplie les provocations à notre égard, mais il a l'indécence de venir se faire soigner chez nous, à l'instar d'une de ses poseuses de bombes. Je vous signale que nos cimetières, ou ce qu'il en reste, sont dans un état lamentable et que la France ne fait rien pour remédier à cet état de choses. Au même moment, à Fromelles (ci-joint ma lettre au président de la République, restée sans effet) Selon les estimations qui ont suivi les premières fouilles, l'été dernier, entre 225 et 400 corps de combattants de la Première Guerre mondiale pourraient être ainsi exhumés d'ici à la fin du mois d'octobre. Sur place, une partie de l'équipe d'Oxford Archaeology aura pour mission d'en identifier le plus grand nombre possible grâce à des études anthropologiques ou via des tests ADN. Le gouvernement australien a déjà identifié, grâce souvent à leurs descendants, 191 soldats supposés être enterrés à Fromelles. Un nouveau cimetière militaire sera créé dans le centre du village pour accueillir les soldats. Son ouverture est prévue officiellement le 19 juillet 2010, date anniversaire de la bataille de Fromelles, en 1916. Ce sera une première depuis quelque 50 années. (La Voix du Nord 5-5-09) D'autre part, j'apprends que le maire UMP de Solliès-Pont doit inaugurer vendredi un Square du 19 mars 1962, pour obéir sans doute aux ukases d'une association d'anciens combattants qui nie le fait que la guerre d'Algérie ne s'est pas terminée le 19 mars 1962 et qui commémore une date considérée comme celle de la victoire sur la France par le FLN. Si cette information est exacte, nos compatriotes sauront s'en souvenir. Je vous prie d'agréer, madame le député, mes salutations distinguées. Josseline Revel-Mouroz Centre d'Etudes Pied-Noir - Nice |
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Alain SANDERS dans PRESENT
de mardi 16 mars 2010, réagit aux derniers propos de Nicolas DUPONT-AIGNAN...
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Il insulte nos morts ! Le 26 mars prochain, à 14 h 30, heure précise du déclenchement
du massacre de la rue d'Isly (26 mars 1962), une cérémonie
- due à l'opiniâtreté de Nicole Ferrandis - aura lieu
au monument aux morts du quai Branly où seront inscrits les noms
des victimes de cette fusillade. |
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Samedi 6 mars: "Eclairage sur la Journée
du 26 mars 1962 à Alger" par Claude ROCHETTE.
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Conférence du Cercle Algérianiste de
Nice.
Sous la houlette souriante de la Présidente, Michèle
Soler, le 6 mars 2010, Claude Rochette, président de l'Association
du 26 mars 1962 et de l'Association de Notre-Dame d'Afrique, est venu
à Nice donner une remarquable conférence intitulée
: " Eclairage sur la journée du 26 mars 1962 à Alger.
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PAR QUI SONT-ELLES MORTES?
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Simone GAUTIER à Hubert FALCO Cannes le 7 mars 2010 Monsieur Hubert FALCO Secrétaire d'Etat aux anciens Combattants 37 rue de Bellechasse 75700 Paris 07 SP Objet : Alger 26 mars 1962 Quai Branly Monsieur le Secrétaire d'Etat, J'ai l'honneur et le regret de vous demander de ne pas faire figurer le nom de mon mari sur la colonne du quai Branly. J'ai lu attentivement votre discours du 5 décembre 2009 et
je me suis retrouvée dans les paroles que vous avez prononcées
en première partie. Mais ensuite rien ne correspond à ce
qui fait ma demande depuis si longtemps et va même à l'opposé
de mes aspirations à me faire comprendre. Et d'autre part, que va-t-il se passer pour les familles qui n'auront
pas eu l'honneur de lire ou d'entendre votre discours du 5 décembre?
Je reste solidaire de ces familles dans l'ignorance, comme de celles qui
manifesteraient leur refus.
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A l'attention de M. Wladyslas MAREK Président de la FNACA Monsieur le Président, Nous vous prions de trouver, ci-joint, la lettre ouverte que nous venons de vous adresser aussi par télécopie et courrier. Si vous ne daignez pas nous répondre directement, nous espérons que vous aurez la courtoisie de répondre au Président de la République qui - comme la majorité des Français - refuse lui aussi de considérer le "crime d'Etat" du 19 mars 1962 comme date officielle "acceptable" pour honorer les victimes civiles et militaires françaises de la guerre civile d'Algérie. Restant à votre disposition pour tout débat radio-télévisé qui pourrait être organisé par d'autres médias libres comme Radio Courtoisie qui vous l'a si aimablement proposé depuis plusieurs années. Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes salutations distinguées. Bernard COLL - Secrétaire général de JPN Animateur depuis 1981 de la campagne nationale "Vérité sur le 19 mars 1962" Co-auteur avec Mme Taouès TITRAOUI du "Livre des Harkis" (JPN -1991), voir pour les activités depuis 29 ans de JPN notre site : http://pagesperso-orange.fr/jeunepiednoir/jpn.wst - Tel : 01 69 41 01 12 - 06 80 21 78 54 |
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37, rue Gâtinais
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Les gens de la FNACA ont vraiment la mémoire sélective: ils pleurent les soldats du Contingent tués par l'OAS suite à une "bavure" le 23 mars 1962; mais ont complètement oublié leurs camarades massacrés par le FLN dans l'embuscade de Palestro le 4 mai 1956. Il est vrai que les armes qui ont servi à tuer ces innocents provenaient du vol d'un camion d'armes perpétré par l'aspirant MAILLOT (communiste) le 4 avril 1956...
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Deux communiqués en l'espace de quelques jours, le Comité
directeur de la FNACA gâte décidément l'Association
des Familles des Victimes du 26 mars 1962 et nous conduit à la
présente mise au point.
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Rassemblement National des Français d'Algérie
2 Mars 2010
Monsieur le Président de la République Palais de l'Elysée PARIS
J'ai l'honneur de vous faire part de la riposte du R.N.F.A. au deuxième communiqué de la F.N.A.C.A en date du 17 Février 2010. Au nom des Français d'Algérie, le R.N.F.A. s'élève avec indignation contre ce communiqué dont les termes sont volontairement mensongers et provocateurs. Cette Association dont le but politique est avéré ,tente de vampiriser l'opinion publique. Notre Communauté est enfermée depuis près d'un demi-siècle dans le ghetto d'un opprobre sans cesse attisé par de fantaisistes objecteurs de conscience. La surenchère croît devant la passivité de l'Etat, encouragée par la disproportion des alliances politiques et des Pouvoirs publics complaisants. S'abritant sans cesse derrière le fallacieux "respect des Institutions républicaines ", la F.N.A.C.A. oublie volontiers, sans le moindre complexe , que cette " Communauté indigne " a libéré la France du joug nazi, seulement quinze ans auparavant. Leur devoir accompli au prix de pertes, de souffrances et d'abnégations jamais brandies à la moindre occasion, ces combattants ignorés furent recouverts du voile épais de l'oubli. Leur discrétion est restée à la mesure de leur humilité. Aujourd'hui, en leur nom, nous mettons en garde ceux qui par de venimeux prétextes , déforment à dessein la " VERITE " du drame de l'Algérie française et falsifient " L'HISTOIRE ". Nous demandons avec insistance au Gouvernement d'intervenir et de prendre les mesures indispensables afin de préserver une paix sociale qu'aucun chantage sur un prétendu " Devoir de mémoire et d' Honneur des hommes " ne saurait compromettre. La patience a des limites. Elle médite en silence cette phrase de Jacques BREL : " On a vu souvent rejaillir le feu d'un ancien volcan qu'on croyait éteint "... Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, à l'expression de mes respectueuses salutations. COPIES à : Monsieur François FILLON, 1er Ministre Secrétaire général, Pierre BARISAIN |
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27 février 2010 - Lettre ouverte à
Monsieur le secrétaire d'Etat à la Défense et aux
Anciens combattants
Vous répondez, je cite : " Les associations d'anciens combattants ont bien entendu la liberté d'organiser des manifestations publiques correspondant à des anniversaires d'évènements qu'elles jugent dignes de commémoration. Parmi ces dates, figure l'anniversaire du 19 mars. Les préfets doivent veiller au déroulement de ces manifestations dans de bonnes conditions d'ordre et de sécurité. Ils peuvent y participer, en fonction de leur appréciation du contexte local. Le niveau de représentation de l'autorité militaire est décidé selon les mêmes critères, en liaison avec les préfets. Ces règles sont rappelées dans une circulaire aux préfets du 19 février 2009, qui reste applicable ". Ayant été militaire en Algérie (*), permettez-moi de vous faire part de ma surprise. Surprise que vous acceptiez que la date du 19 mars soit l'objet de manifestations patriotiques dignes de commémoration visant à honorer la mémoire des combattants français morts en Algérie, alors que l'Algérie a fait de cette même date sa " fête de la victoire " - un timbre poste a même été édité en 1977, à cette occasion. Certes vous rappelez que la date " officielle " d'hommage aux morts pour la France reste le 5 décembre de chaque année, mais autorités civiles et militaires peuvent gentiment participer aux dépôts de gerbes effectués le 19 mars en fonction du contexte local ! 19 mars, cessez-le-feu en Algérie ? Il y a eu plus de morts en Algérie après le 19 mars que pendant les huit années de conflit qui ont précédées, vous le savez tout aussi bien que moi : 26 mars à Alger, 5 juillet à Oran, 150 à 200 000 harkis et leurs familles massacrés, enlèvements, disparitions, etc. 19 mars, cessez-le-feu en Algérie ? Alors, pourquoi vos services délivrent-ils des cartes du combattant aux appelés ayant servi (à quoi, on se le demande ?) en Algérie jusqu'au 2 juillet 1962. Vous reconnaissez ainsi que la situation, qui sera quelques années plus tard reconnue comme une situation de guerre, a duré au moins jusqu'au 2 juillet et, de ce fait, vous reconnaissez aussi que le cessez-le-feu n'existait pas ? En quoi cette date, qui est une capitulation politique, est-elle digne de commémoration, je me le demande et je vous le demande ? " Fêter " le cessez-le-feu du 19 mars, ce n'est ni plus ni moins que vouloir aussi " fêter " l'armistice de juin 1940. Si d'aventure, les associations d'anciens combattants voulaient commémorer cette date, leur répondriez-vous de la même façon en indiquant que la date officielle concernant la guerre de 39-45, c'est le 8 mai 1945 mais que rien ne s'oppose à ce que des gerbes soient déposées au pied des monuments aux morts de France, le 22 juin de chaque année ? Que je sache, l'armistice de 1940 n'a jamais beaucoup été médiatisé et il y a peu de rues ou de places baptisées " 22 juin 1940, signature de l'armistice ". Les accords de Genève du 21 juillet 1954 qui ont mis fin à la guerre d'Indochine ne sont, eux, pas beaucoup plus " fêtés " ! Alors pourquoi la date du 19 mars bénéficie-t-elle de certaines " faveurs " et de laisser-faire de la part du gouvernement français ? Enfin, pour terminer, je rappelle aussi que l'ensemble des associations d'anciens combattants a opté pour la date du 5 décembre, non pour le 19 mars. Les dirigeants de la FNACA - puisque c'est de la FNACA qu'il s'agit - ont toujours milité pour l'indépendance de l'Algérie, alors il est vrai que, pour eux, les 18 et 19 mars sont des jours qui se fêtent ! Je vous prie d'agréer, Monsieur le secrétaire d'Etat, l'expression de mes salutations bien françaises. Roger Soncarrieu |
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lettre ouverte d'Anne Cazal,
adressée au Président de la République Nicolas Sarkozy,
suite a ses propos tenus hier... |
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" Nous ne laisserons tomber aucun de nos compatriotes pris par des terroristes. Nous ne laisserons tomber aucun Français, quelles que soient par ailleurs les erreurs qu'il ait pu faire, qui se trouve dans l'épreuve. LES FRANÇAIS SONT RAMENES A LA MAISON C'EST UN ENGAGEMENT CONSTANT. ".
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A tous mes amis Pied-noirs
Bonjour cher(e) compatriote, http://reportage34.skyrock.com/
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Le texte " Un
faux anniversaire pour un faux armistice" plus bas a bien été
expédié en version papier à tous les maires de + de
5000 habitants il y a environ 3 semaines avec un courrier d'accompagnement.
Il a également été expédié dans les mêmes
conditions aux associations PN et AC pour qu'ils relaient le message , en
particulier auprès des municipalités de moins de 5000 habitants
. C'est ce texte signé René Mayer qui a suscité un certain nombre de réactions venant de tous les horizons politiques . Le titre " Un faux anniversaire pour un faux armistice" a été repris par le général Fournier de l'ASAF avec un texte un peu plus long , mais pour l'essentiel sur les mêmes thèmes. A récupérer auprès du général Pinard-Legry. Au travers de l'émission de Radio Courtoisie que j'anime, j'ai bien l'intention d'enfoncer le clou y compris en présence de Marek, s'il veut bien accepter notre invitation, ce dont je doute . C'est un combat difficile, mais ne baissons pas les bras . Bien cordialement |
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Comment peut-on en arriver là ?? Est-cela être
de bons Français?
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Merci de protester par mail: mairie.simorre@wanadoo.fr soit un courrier à Mairie de SIMORRE 32420 Simorre Tél.: 05 62 65 30 22 |
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Monsieur le Maire, Votre conscience devrait vous ramener à la raison en pensant
à tous ceux qui ont contribué par leur sacrifice au rayonnement
de la France - particulièrement en Algérie J'attendrai avec patience votre décision avant de vous saluer. Yvon Médina. |
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19 mars 1962 : un faux anniversaire pour un faux armistice
En faisant état auprès des élus locaux du nombre dadhérents quelle revendique sur leur territoire, en se présentant faussement comme la seule organisation à représenter les soldats du contingent envoyés en Algérie, elle obtient souvent satisfaction de la part délus qui ne sont pas toujours bien informés. Ceux qui osent protester contre la célébration d'une date aussi discutable sont présentés par la FNACA et par les partis qui la soutiennent comme des adversaires de la paix, des «fascistes», voire des tueurs. Le 26 mars 2008, décorations pendantes et drapeaux en tête, des délégations danciens combattants de lArmée dAfrique remontaient les Champs-Élysées pour aller sous lArc de Triomphe raviver la flamme et rendre hommage à leurs morts. Désireux de me joindre à eux, j'ai dû traverser un rideau de jeunes contre-manifestants communistes. Battez tambour, résonnez trompettes ! Ils scandaient : « O-A-S, a-ssa-ssins ! O-A-S, a-ssa-ssins ! » Rien de moins! Je ne me suis pas vraiment senti concerné. Je nai jamais fait partie de lOAS, ni assassiné personne. Et, pour parler dassassinat, la date du 26 mars m'a paru mal choisie par ces jeunes gens (2) . Sils avaient fait moins de vacarme, jaurais pu leur apprendre bien des choses qui se sont déroulées alors qu'ils nétaient pas nés et que javais déjà été lieutenant à El Milia. Créé en 1961 pour venir en aide aux victimes de la guerre dAlgérie, le « Secours de France » poursuit cette mission, majoritairement en faveur des anciens harkis et de leurs familles. On trouvera, ci-après, publié par lassociation, un texte de M. René Mayer, pied-noir, polytechnicien et haut fonctionnaire, qui participa à lélaboration et à la mise en oeuvre du plan de Constantine. Il rétablit la vérité politique et juridique sur ce quil est convenu dappeler les « accords dEvian » et le cessez-le-feu, décidé lors de sa signature, avec effet au 19 mars 1962. René MAYER
Ce jour du 19 mars 1962, il avait été convoqué à Bône par le Préfet. Ce dernier voulait, je suppose, commenter à lintention des élus du département les « accords » dÉvian dont lencre nétait pas encore sèche. Le gendre d'Henri lui servait de chauffeur. Après la réunion chez le Préfet, sur la route du retour, à la sortie de la ville, à hauteur de l'embranchement vers Morris, Henri Vernède et son gendre ont été arrêtés par un barrage. Tous deux ont été sauvagement massacrés. Si ce double assassinat navait pas été emblématique de cette journée que la FNACA entend célébrer, je ne me serais pas permis dévoquer ce lamentable drame dans ces colonnes. Le temps des revanchards. Les « accords » dÉvian étaient censés ramener la paix. Larmée française avait reçu lordre de rester cloîtrée dans ses cantonnements, et de nintervenir quen cas de légitime défense. Le champ était donc libre pour que déferle une violence qui depuis des mois ne s'était plus manifestée dans ce département pacifié. Les ouvriers de la onzième heure forment toujours des revanchards de la pire espèce Dans lannée qui a suivi le prétendu « cessez-lefeu
» du 19 mars 1962, il y eut plus denlèvements, dassassinats
et de disparitions, tant de musulmans profrançais que de civils
européens, que durant les années de guerre précédentes.
Le pire massacre fut, bien sûr, celui des Harkis. Larmée
française avait reçu lordre de les désarmer.
Il lui était également et formellement interdit de les embarquer
pour les mettre à labri en Métropole (4). Ils firent
lobjet de massacres massifs précédés des plus
sauvages tortures. Général FOURNIER |
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à ANTIBES
Samedi 27 mars à 18 H. en l'Eglise du Sacré Coeur, messe pour les victimes du 26 mars et autres victimes de l'Algérie française. Venez nombreux, ne les oublions pas. Bien fidèlement. |
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LE NIHILISME DE LA F.N.A.C.A.
Ces bradeurs du Passé National ont-ils conscience de leur sacrilège ? Savent-ils que la France fut contrainte en 1830 de faire la chasse aux barbaresques qui écumaient la Méditerranée occidentale avec la bienveillante complicité des Turcs maitres d'EL DJEZAÏR ? Pendant longtemps la navigation commerciale paya un lourd tribut à une flibuste rendue dramatiquement célèbre par les Frères BARBEROUSSE. Les navires étaient attaqués, pillés et alimentaient un prospère marché aux esclaves. Il fallut mettre fin à une situation de plus en plus préjudiciable et il s'avéra que la prise d'EL DJEZAÏR devint une condition essentielle à l'anéantissement de la piraterie. La France n'avait aucune vocation pour conquérir et s'installer dans des territoires hostiles, dangereux et insalubres. Elle y fut contrainte. Le Maréchal BUGEAUD entreprit dés lors la conquête de ces territoires qui devinrent plus tard l'Algérie. ISLY représente une victoire âprement acquise LE 18 Août 1844 sur l'Emir ABD EL KADER et le Sultan du Maroc MOULAY ABD EL RAHMAN : épisode valeureux de l'Histoire de France, l'éradiquer sans raison constitue une offense et une provocation à la mémoire collective. Viendrait-il à l'esprit d'effacer VERDUN sans offenser les soldats morts pour la France en 1914/1918 ? Par ailleurs, le 19 Mars, ce faux cessez le feu, a conclu une des plus importantes défaites du pays. Sur le plan militaire et civil, le nombre des victimes ( tués et disparus) les exactions survenues après cette date, constituent un incontestable mépris de la " Vérité historique ". La F.N.A.C.A feint d'ignorer que cette date du 19 Mars représente pour le peuple d'Algérie la victoire des " Moudjahidines " F.L.N. sur l'armée française. Un timbre national algérien a été émis afin de consacrer cette date à la mémoire et à la reconnaissance de la Victoire du F.L.N. Comment peut-on accorder une considération française à cette date dés lors que " TOUT FUT PERDU EN ALGERIE "... Les conséquences de cette défaite furent humiliantes et dramatiques. Les massacres de milliers de civils, l'extermination de harkis, la disparition d'appelés etc... connurent une ampleur que le pouvoir gaulliste a dissimulé. La F.N.A.C.A. par son emprise tentaculaire, impose ses dictats , les Pouvoirs publics courbent l'échine et jouent les " PONCE PILATE ". La France s'est ainsi trouvé des meneurs d'opinion dont la surenchère défie un peu plus la " Réalité historique ". La place du 19 Mars à SIMMORE dans le Gers vient d'agrandir la brèche où vont s'engouffrer les démolisseurs mémoriels de la France. Etienne MUVIEN |
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Cannes le 12 février 2010 Monsieur Aymeri de Montesquiou Monsieur le Sénateur et Président des Maires du Gers, Nous venons d'apprendre que la place d'Isly de Simorre (32 240) sera
prochainement débaptisée pour prendre le nom de "place
du 19 mars", en fonction d'un arrêté municipal. Il s'agit donc, là, d'un procédé d'éradication ethnique des Français d'Algérie. copie à Mr Luc Chatel Ministre de l'Education nationale |
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RAPPEL: |
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Lundi 15 février 2010
au Palais de Justice de Marseille.
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Un adhérent de lUNC 13, a engagé
des poursuites contre Monsieur Dutoit, ex-maire et député
des 15 et 16ème arrondissements de Marseille.
Monsieur Dutoit, non content davoir inauguré une plaque pour " La fin de la guerre dAlgérie", utilise un blog pour faire du négationnisme sur la réalité dune guerre qui ne sest pas arrêtée le 19 mars, et qui a continué avec une férocité et une ardeur que les "Marsiens" ont su trouver pour gage de leur tout récent héroïsme Le plaignant demande simplement que M. Dutoit cesse de répandre sur le blog, des contre-vérités nuisibles à la compréhension dune page sanglante de lAlgérie, si génante pour certains, quils en seraient tenté de la cacher. |
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Le Comité de Liaison des Associations Nationales de Rapatriés (CLAN-R) a la tristesse de vous faire part du décès de maitre Roland Blanquer, l'un de ses vice-présidents. Roland Blanquer était le Président de la plus ancienne association de Français d'Algérie, l'Algérienne, créée en 1951, devenue le Cercle des Anciennes Provinces Françaises d'Algérie (CAPFA). Depuis notre exil, Roland Blanquer s'est dépensé sans compter au service de la cause des Rapatriés. Nous perdons un ami cher. Sa présence va considérablement nous manquer.
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Les Harkis. Venez à nous, encor, tout comme vos aïeux Vous êtes leurs enfants, de leur sang généreux Ainsi parlait la France, experte en l'Art des Mots... En répandant leur sang, devant moi, devant nous, Ils étaient en avant, les plus fiers guerriers Et une fois de plus, la France les trahit Car une fois encor, désarmés et floués Et de mille façons, écorchés et
brûlés, ...Certes, cela est vrai, quelque minorité Car par le Général, ainsi fut décidé Jean SAURE |
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CERCLE POUR LA DÉFENSE DES COMBATTANTS D'AFRIQUE FRANÇAISE
DU NORD Secrétariat National : Association Soutien à l'Armée Française (ASAF) 18, rue de Vézelay 75008 PARIS - Tél/Fax : 01 42 25 48 43 Fédération Nationale des Anciens d'Outre-mer et anciens
Combattants des Troupes de Marine - Association Soutien à l'Armée
Française - Association des Anciens des Affaires Algériennes
et Sahariennes (les SAS) - Union nationale des Parachutistes - Droits
des Religieux Anciens Combattants - Promotion " Victoire 1945 "
- Association " La Kouma " - Union Nationale des Anciens Combattants
d'Indochine, des TOE et d'AFN - Conseil National des Français Musulmans
-Union de Blessés de la Face et de la Tête " Gueules
Cassées " - Fédération des Sociétés
des Anciens de la Légion Etrangère - Union nationale des
Combattants - Souvenir de l'Armée d'Afrique - Union Nationale de
l'Arme Blindée Cavalerie Chars - Amicale des Anciens des Services
Spéciaux de la Défense Nationale - Fédération
Nationale des Associations Parachutistes - Fédération Nationale
de l'Artillerie - Fédération André ______________________________________________________________ Le Général (2s) Henri PINARD LEGRY Monsieur Hervé MORIN,
Le décret N°2003-925 du 26 septembre 2003, confirmé
par la Loi N°2005-158 du 23 février 2005, fixe au 5 décembre
la journée nationale d'hommage aux combattants d'Afrique du Nord.
Ce jour-là de nombreuses cérémonies officielles sont
organisées, partout en France, souvent avec la participation active
de détachements des forces armées. Général Henri Pinard Legry Copie à :
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La communauté des Français Rapatriés perd un de
ses défenseurs Hommage à Me Roland BLANQUER Nous avons appris le décès jeudi 11 février de notre ami Me Roland BLANQUER, Président du Cercle des Anciennes Provinces Français d'Afrique du Nord - CAPFA, anciennement l'ALGERIENNE, et Président de l'Académie d'Outre-mer. Jeune Pied-Noir rend hommage à cet infatigable défenseur des Français d'Afrique du Nord et adresse à son épouse, Mme Anne-Marie BLANQUER, qui a toujours accompagné efficacement le combat de son époux, et à ses enfants ses sincères condoléances et ses dévouées amitiés. Nous vous invitons à vous associer nombreux à la Messe qui aura lieu en sa mémoire Lundi 15 février à 11 heures en l'Eglise du Val de Grâce à Paris Un faire-part paraîtra dans le Figaro du samedi 13 février 2010 |
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Savez-vous qu'une Place d'ISLY va étre rebaptisée
"Place du 19 mars 1962" à Simorre 32240?
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Certains préfèrent
une défaite à une victoire... Devinez qui??
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Le Comité de Liaison des Associations Nationales
de Rapatriés (CLAN-R)
a la tristesse de vous faire part du décès de maitre Roland Blanquer, l'un de ses vice-présidents. Roland Blanquer était le Président de la plus ancienne association de Français d'Algérie, l'Algérienne, créée en 1951, devenue le Cercle des Anciennes Provinces Françaises d'Algérie (CAPFA). Depuis notre exil, Roland Blanquer s'est dépensé sans compter au service de la cause des Rapatriés. Nous perdons un ami cher. Sa présence va considérablement nous manquer.
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Cercle algérianiste national Fédération
des Cercles algérianistes 8 février 2010
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Mme Malika MEDDAH Présidente départemental du var membre du bureau national, chargée d'information
Monsieur Hamlaoui Mekachera, en tant que ministre, n'a pas aux yeux des Harkis exercé sa fonction avec toute la vigueur souhaitée, même s'il a parfois donné l'illusion de nous défendre, il n'a jamais intégré totalement ce que pouvait être notre ressenti au niveau des conditions de notre exil. Il était officier de l'Armée Française et pour lui le départ d'Algérie et l'intégration en France se sont, somme toute, passés dans d'assez bonnes conditions. Il n'a pas connu les camps, il n'a pas subi cet isolement au quel nos parents et nous avons été soumis. Dans ses réactions ou déclarations nous nous sommes parfois sentis trahis. Même s'il a défendu la loi de Février 2005, nous avons trouvé que c'était avec le courage des faibles. L'article 33 s'est avéré totalement inefficace, preuve en est que monsieur Falco remet l'ouvrage sur le métier pour des sanctions dignes de ce nom dans le cadre des injures proférées vis-à-vis des Harkis, y compris par des hommes politiques de tous bords. Nous souhaiterions être totalement éclairés sur les fonctions et la ou les missions dévolues à monsieur Mekachera, ce qui nous permettra de savoir si nous devons lui faire confiance ou pas. Je ne peux pas affirmer que nous le verrions revenir avec joie ! Notre revendication essentielle restant que le massacre des Harkis soit reconnu officiellement par le gouvernement.
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Alain AVELIN de VERITAS communique:
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LES VENINS DE LA FNACA
De surenchère en exigence, elle impose ses diktats. Contournant l'évidence, elle célèbre le 19 mars par des cérémonies rendues pseudo officielles avec la présence des Maires et de certains Préfets. Elle feint d'ignorer que cette date est nationalement consacrée en Algérie et représente la victoire des moudjahidines du FLN sur l'armée française. A partir de cette date, la France vaincue a littéralement tout perdu en Algérie y compris la moindre considération. Nullement dans le monde à la fin d'un conflit, notamment celui de 1939/1945, aucune des puissances inclues n'a commémoré le jour de la capitulation. La FNACA ne s'embarrasse pas de ces considérations si impudiques soient-elles . Par ailleurs, ne veut-elle pas faire obtenir la Carte du Combattant pour tout séjour de quatre mois en Algérie commencé avant le 2 juillet 1962 ? En clair, pour tous ceux enrôlés après la cessation des combats afin de satisfaire à leurs obligations militaires. Nous sommes loin, très loin des Anciens Combattants de l'armée d'Afrique de la guerre 1939/1945 mobilisés pendant plus de quatre ans. Eux n'ont pas connu de FNACA et sitôt démobilisés, renvoyés dans leur foyer, ils furent à jamais oubliés par les gouvernements, les médias, les populations libérées etc etc... Nul ne fit le moindre geste de reconnaissance à leur égard. Par contre, à peine quinze ans plus tard, ils furent mis au pilori infamant de la colonisation. Mais là n'est pas le principal objet de cette mise au point. L'impudeur de la FNACA dépasse les bornes quand elle prétend s'opposer à l'inscription sur la stèle du quai Branly des noms des victimes civiles honteusement mitraillées par les soldats français le 26 mars 1962 à Alger. Elle prétend que " cette initiative serait ressentie comme une insulte à l'armée française restée loyale à l'égard des institutions républicaines dans cette période perturbée par les exactions de l'OAS ". La grandiloquence de ces propos prêterait à sourire s'ils n'étaient pas aussi vipérins. Une armée française mitraillant soudainement et sans raison une foule compacte, pacifiste, avec une sauvagerie inouïe, achevant les blessés, poursuivant ceux réfugiés sous des portes cochères ou sur les marches de la Grande Poste, représente pour la FNACA, le respect des institutions républicaines. Que peut bien représenter une cervelle fichée contre un mur, des flaques et des rigoles de sang maculant une chaussée jonchée de chaussures, de sacs, de vêtements, bref un vaste champ de morts et de désolation ? La FNACA, semble-t-il, n'en a cure !!! Elle se barde de loyauté à l'égard du " Pouvoir "... Quel membre de votre Organisation a entendu un mot d'ordre provocateur, décelé une attitude belliqueuse ? Hormis les paniers de victuailles destinés aux proscrits de Bab El Oued, a-ton trouvé l'ombre d'une arme dissimulée dans les vêtements de ces 80 malheureuses victimes ? Cette foule pacifiste nullement provocante, portant fièrement les drapeaux tricolores, n'était-elle pas aussi patriote que vous prétendez l'être ? Vous osez affirmé que cette manifestation constituait une insulte à l'armée française. Or, il se trouve qu'il y avait des citoyens ayant libéré la France du joug nazi. Ils n'ont émis aucune condition et ont offert leur vie sans préjuger " de leur loyauté républicaine " afin que vous puissiez aujourd'hui vous indigner que leurs noms figurent sur une stèle funéraire ? Comment osez-vous contester l'inscription de ces martyrs, morts par la France et non " pour la France " ? Bientôt, les contestataires d'une FNACA outrancière et impudique vont disparaître. Vous pourrez à loisir blasphémer, condamner, exclure et triompher. Rien ne s'opposera plus à la gloire d'une Nation dont vous serez les dignes représentants...
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Les barricades d'Alger
L'hebdomadaire " Valeurs Actuelles " dont nous n'avons pas
oublié le numéro consacré " aux blessures des
Pieds Noirs " publie dans le numéro 3817 du 21/27 janvier
2010, sous la plume de Claude Jacquemart, un long article retraçant
la semaine des barricades du 24 janvier 1960 à Alger. 17h. Debrosse, de plus en plus nerveux, craint que le complot, si
minutieusement monté ne vienne à lui échapper. Alors,
il fait regrouper les gendarmes sur l'esplanade du G.G. et, par un tirage
au sort des plus douteux, décide que chargeront en tête les
gendarmes d'Alger. Il lui reste à envoyer à la 10° DP
un ordre de mouvement précisant l'horaire et les itinéraires
d'intervention. Tout est prêt pour sa manuvre, y compris deux
fusils-mitrailleurs servis par des CRS et installés sur les murets
bordant l'esplanade du G.G. Nous en reparlerons. Il reste à Debrosse
à convoquer le commissaire Trouja et lui ordonner de faire les
sommations réglementaires précédant l'ouverture du
feu par les forces de l'ordre. Trouja est abasourdi. Il sait que la manifestation
est en train de se disloquer et qu'il est inopportun de faire des sommations
inutiles. Bien sûr, Trouja ne sait pas quelle partition on veut
lui faire jouer, mais, entrevoyant un mauvais coup, il s'éclipse. De lui-même, le feu s'arrête. Sur la place, un grand silence
; même les oiseaux se sont tus et sur les corps allongés
plane un nuage bleuté qui s'accroche aux arbres
C'est alors
que les paras arrivent sans avoir à reprendre à leur compte
un combat qui a cessé ; il n'y a plus ni gendarmes ni manifestants. Naturellement, cette affaire provoqua de violentes explications entre Debrosse et Lafargue soit devant le général Crépin qui a remplacé Massu au corps d'armée d'Alger, soit même devant le tribunal militaire au " procès des barricades ". Ce fut même la violence des propos de Debrosse qui nous donna l'idée du complot, le vrai, celui dirigé contre les Algérois. En effet, sans lui, on n'aurait eu qu'à se féliciter de ce retard qui aurait pu sauver des vies. Il serait temps maintenant d'en venir à la question des fusils-mitrailleurs des CRS. Ce ne sera qu'au cours du vaste procès dit " des barricades " que nous apprendrons l'existence indiscutable de ces deux armes et leur utilisation pendant la fusillade. C'est vers la moitié de ce si long (5 mois) procès que fut appelé à la barre le capitaine La Bourdonnais qui, après quelques propos sans importance, ajouta : " Au début de la fusillade, je suis sorti du G.G. sur le forum et j'ai vu deux FM tirer en direction de la grande poste ". L'instant fut dramatique. Nos juges, militaires pour les deux tiers d'entre eux, bondirent de leurs sièges réclamant au témoin d'autres détails. Le bâtonnier Charpentier déclara solennellement : " C'est maintenant que le vrai procès de l'Algérie française va s'ouvrir ". La Bourdonnais continua : " C'est même moi qui ai fait cesser le feu à l'un d'entre eux en mettant réglementairement ma main sur la ligne de mire ; l'autre FM c'est le colonel Godard qui s'en est occupé. " De fait, nous nous aperçûmes qu'aucun d'entre nous n'était poursuivi pour fusillade, sauf Ortiz, mais il était absent et seulement jugé par contumace. Il fallut toute la dialectique habile de l'avocat général Mongin pour convaincre le Président du tribunal que cette question ne devait pas paraître aux débats puisqu'aucun des inculpés présents n'était en cause. Le commandant Debrosse put cesser d'éponger ses mains moites. Le colonel Godard (directeur de la sûreté d'Alger) vint confirmer les dires de son adjoint et d'autres témoins parlèrent de tirs de mitrailleuses. La question n'était plus à l'ordre du jour pour moi, comme pour la plupart des co inculpés., la cause était entendue et ce d'autant plus que le colonel Godard mais aussi le général Jacquin, avaient eu tous deux l'idée de recueillir au pas de tir les étuis des balles. Ils provenaient tous des lots délivrés la veille aux CRS. Pour être complet, je dois ajouter que, le 24 janvier dans la
soirée, je fus convoqué ainsi que mon adjoint, le commandant
Grisoni, par le général Challe. Il était dans son
bureau et une crise de goutte qui l'obligeait à rester en pantoufles
ne contribuait à calmer sa fureur. Dés notre arrivée,
il éructa : " On m'a fait un enfant dans le dos. J'ai relevé
le colonel Fonde de son commandement et je l'ai expédié
en métropole. Jusqu'à nouvel ordre, c'est le colonel Meyer
qui assurera l'intérim. " Le complot des barricades déjoué, - à quel prix
! - il n'en demeurait pas moins que les circonstances qui l'avait naître
persistaient, même après la dissolution de U.T. Plus que
jamais, le général De Gaulle avait toujours besoin de briser
la symbiose armée/population pour que devienne possible son mauvais
coup. Ce sera la fusillade de la Rue d'Isly. Ce jour-là, des éléments
de tirailleurs ouvriront le feu sur une foule pacifique, non armée.
Ce sera un carnage. Amis pieds-Noirs, n'oubliez jamais. Ce texte a été publié dans le journal de l'Amicale Royal Auvergne, je n'ai pas gardé mention de la date de cette publication. On peut donc conclure de ces divers exposés non seulement la préméditation et l'organisation du complot ourdi par De Gaulle et ses sbires mais encore, une fois de plus, le meurtre de Français, qu'ils soient CRS d'Alger par les CRS venus tout exprès et de manifestants, jusqu'alors pacifiques. Et l'utilisation du " mystérieux coup de feu " qui n'a de mystère que pour ceux qui ne veulent rien voir. Cela ayant bien réussi, on réitérera le scénario le 26 mars et en bons élèves de De Gaulle, le FLN le 5 juillet. Je n'ai aucune compétence en matière militaire, je livre
donc ces documents à l'Histoire. Geneviève de Ternant
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Il s'appelle Philippe Henri Jean Antoine GAUTIER et il a été
assassiné par l'Armée française, sur des ordres venus
du sommet de l'Etat, un lundi 26 mars 1962, au Plateau des Glières,
à Alger. Il a perdu la vie dans ce massacre collectif, aujourd'hui
encore tenu dans un grand silence, silence de plomb tout au long de ces
années de plomb qui durent depuis 48 ans. Mais je témoignerai
coûte que coûte pour obtenir Vérité et Justice
dont j'ai appris qu'elles sont des valeurs de la République. Alors, oui, j'ai bien lu et relu l'intervention de Monsieur Hubert FALCO, Secrétaire d'Etat à la Défense et aux Anciens Combattants, ce 5 décembre 2009 au Quai Branly à Paris. En reprenant les paroles de Monsieur le Secrétaire d'Etat, je dirai, de celui qui serait honoré aujourd'hui " comme victime civile", qu'il a d'abord été lieutenant au long cours dans la marine marchande et ensuite "appelé du contingent", oui, il a servi la France à l'un des moments les plus douloureux de son histoire", oui. Oui," il a tenu", oui, il a vu ses camarades tomber, oui, dans les djebels il a traversé les plus terribles épreuves, celles qui marquent à jamais ....Oui .. Les citations disent de lui, notamment : - l'enseigne de Vaisseau du commando de marine Trépel, officier d'élite, chef de section, s'est montré en toutes circonstances un chef remarquable ... S'est particulièrement distingué ..Oued Bou Kiou (Nemours) ... Djebel Krannoufa ((Aflou) ... la Gaada d'Aflou ...sur le Béni Smir (frontière marocaine) .... Sidi Hamana ... Meharza .... Il était au service de la République. Et puis en signe de reconnaissance sans doute, deux ans après l'avoir rendu à la vie civile, les tirailleurs en place rue d'Isly ou bien les gardes mobiles au bas du Plateau des Glières, le fusillent d'une balle en pleine tête, comme un chien puant et galeux, lui si valeureux. Il ne parlera plus, et moi non plus, dans cet indicible, dans ces rêves d'angoisse récurrents où je refais son chemin pour m'effondrer avec lui, où je retourne à la morgue submergée de cadavres, noyée dans leur sang. J'attends, jour après jour, que la vérité soit dite, soit révélée, soit rendue publique, pour délivrer sa mémoire engloutie dans les ténèbres, pour que la vérité éclate en pleine lumière et que cette lumière illumine le présent en permanence. Alors, son nom, sur une colonne du Quai Branly, est un refus de la Vérité, un déni de Justice et son drame à jamais enfoui au plus profond des ténèbres. Son nom ne signifie plus rien de ce drame. Car honorer sa mémoire c'est d'abord sortir la vérité du silence, obtenir la justice, et, à ce moment-là, à ce moment-là seulement, la mémoire de sa personne en tant que victime pourra être honorée. Car il est très précisément une victime du 26 mars, jour où des Français tuent des Français. Alors quoi qu'il m'en coûte, je continuerai de témoigner, je ne veux plus, jamais, qu'on me fasse taire car je réclame, sur ces années de plomb, sur ce silence de la vérité, sur ce déni de justice, sur ce mutisme verrouillé de la préméditation, je réclame de régler mes comptes avec l'Etat français. Aujourd'hui, jour de douleur accrue, je ne peux que m'exprimer en son nom, seul, comme abandonné à son destin tragique. Les preuves matérielles existent bien pourtant, dans ces archives tenues secrètes, dans ces témoignages irréfutables. Il ne peut y avoir d'amnistie pour cet assassinat imprescriptible dans le temps. Et son nom, son nom à lui, sur une colonne, efface à jamais toutes les preuves de cet assassinat, commis sur ordre du plus haut sommet de l'Etat français. Cette colonne me signifie que le drame est prescrit. Or il ne peut y avoir d'amnistie pour le bourreau dont j'ai juré d'aller cracher sur la tombe. Je n'éprouve aucun sentiment de vengeance, je suis seulement remplie de douleur et d'une profonde colère. Oui, comme le dit Monsieur le Secrétaire d'Etat, "nous leur devons respect et reconnaissance... qui ne se satisfont pas de mots. il leur faut des preuves. ..... Parce qu'un peuple qui n'a pas de mémoire, un peuple qui ne regarde pas son passé avec le regard exigeant de la vérité, c'est un peuple qui se ment sur lui-même, sur ce qu'il est, c'est un peuple "sans avenir'. Il ne peut y avoir de respect et de reconnaissance de victimes civiles par un pouvoir qui se tait sur cet assassinat, par un peuple qui ne regarde pas cet assassinat avec le regard exigeant de la vérité, un peuple qui se ment sur lui-même, sur ce qu'il est ... Et pour moi, la colonne du Quai Branly est "sans avenir". Et ce pauvre fusillé, à la triste histoire, toi peuple de France qu'on exhorte à la lucidité, saches bien, que victime une première fois d'une trahison d'Etat, il l'est une deuxième fois, par toi-même, pour toujours, en toute impunité de l'assassinat commis. Assassinat éradiqué, on n'en parlera plus. Exactement comme à Mustapha! Il ne restera plus que des victimes en vrac, sur une colonne, comme elles l'étaient à la morgue de Mustapha lorsqu'on a chassé les familles parce qu'il n'y avait plus rien à voir, il ne s'était rien passé. Il ne peut y avoir de reconnaissance du statut de victimes s'il n'y a pas reconnaissance publique de cet assassinat collectif sur des ordres français et en bonne place dans les livres d'histoire de l'école et de l'université républicaines. Son nom sur la colonne du Quai Branly est pour moi la signature du "crime parfait". J'ai reçu, à cur ouvert, des assurances de compassion de la signature même du Président de la République, mais j'ai encore écrit et j'ai reçu à nouveau des assurances de compassion sous la signature du Commissaire en Chef de la marine de l'Etat Major de la Présidence. J'ai encore écrit ma volonté d'obtenir Justice et Vérité et non la compassion, mais je n'ai obtenu qu'une assurance d'intérêt pour toutes les victime civiles tombées pendant le conflit algérien. Je ne veux ni réparation, ni repentance, ni commémoration du souvenir des victimes civiles et encore moins de compassion, que ce soit pour les morts ou les vivants, quelles que soient les bonnes intentions. Il s'agit de ne jamais oublier, il s'agit que la lumière de la Vérité nous éclaire en permanence, il s'agit de la reconnaissance d'un assassinat collectif sur un ordre d'Etat sur ses nationaux. Et cela ne figure pas sur la colonne du Quai Branly. Et enfin que faire des deux petites filles en robe rouge authentifiées à la morgue par les médecins de l'hôpital Mustapha, de la mère et de son bébé assassinés chez Natalys. Victimes escamotées écrira Francine DESSAIGNE, car tout ne se trouve pas dans les papiers officiels puisque rendues à la sauvette à leur familles. Combien sont-elles ces victimes escamotées qui ne figureront pas sur la colonne du Quai Branly? Il y aura donc toujours des bonnes victimes et des mauvaise victimes. Il y aura donc toujours des victimes intéressantes au service de ceux qui font l'Histoire et des victimes sans aucun intérêt qui peuvent disparaître dans le gouffre de l'oubli. Il faudra bien qu'éclate au grand jour, un beau jour, serai-je encore de ce monde, le vrai visage de "ce tueur en série" comme le dit si bien l'un de notre communauté. Ses complices, ou ses défenseurs ou ses admirateurs ou ses héritiers, seront alors heureux, en paix, car ils montreront la colonne du Quai Branly en signe de conscience pure et vierge. La colonne du Quai Branly c'est la cuvette de Ponce Pilate pour " s'en laver les main". Et là-haut dans les cieux, le Père tout puissant verra le traitre trahi à son tour par les siens. Je serai là. Car il faudra, absolument, qu'en ce monde, on entende que dans ces ténèbres, la douleur est sans fond, est sans fin. Alors en me référant à Camus dont c'est la grande année, je dirai pour en finir, " leur Mémoire n'est pas au service de ceux qui font l'Histoire mais au service de ceux qui la subissent". Je demande que la Vérité soit inscrite sur la colonne du Quai Branly, là où devraient défiler les noms des morts du 26 mars 1962 à Alger avec la mention "Alger 26 mars 1962 - Un assassinat d'Etat - De Gaulle président de la République." Simone GAUTIER |
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Association de soutien à larmée
française 15 Janvier 2010
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RéAgir Résister et Agir Pour la défense de nos identités Communiqué de Presse
Une fois encore la justice, en cours d'Appel de Rennes le 12 janvier
2009, a donné raison aux falsifications mensongères des
" experts " autoproclamés de l'Histoire de notre pays
en ne levant aucun des chefs d'accusation que m'avait valu la lettre ouverte
" J'ACCUSE " , écrite à la suite du festival du
Film de Douarnenez ( 2007)sur le thème " LES COLONIES "
malgré la présentation des témoignages de tous bords
rendant hommage à notre passé en ce domaine. Et bien que
la veille, les obsèques de Philippe Séguin, Président
de la Cour des Comptes, se soient achevées dans la cour des Invalides
sur la musique des " AFRICAINS ", rappel de la contribution
des citoyens de nos territoires d'outremer à la défense
de la " mère-patrie " qui m'a valu d'être évacuée
de la salle d'audience. Claudine Dupont-Tingaud Quimper, le 17 janvier 2010 |
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Association des Amis d' Algérianie Maison des Associations du 7ème arrondissement 4 rue Amélie, 75007 PARIS membre du Comité de Liaison des Associations Indépendantes et Revendicatrices de Rapatriés) algerianie@free.fr http:// lesamisdalgerianie.unblog.fr Renseignements : Tel : 06 89 34 30 02 Paris, le 14 janvier 2010 Samedi 30 janvier 2010 Dès 15 h 30 Maison des Associations du 7ème arrondissement 4 rue Amélie, 75007 PARIS Métro : La Tour Maubourg ; RER C : Invalides Le Général Maurice FAIVRE présentera : Les 1000 villages de Delouvrier Le Ltd-colonel Armand Bénésis de Rotrou présentera : Commando Georges et LAlgérie daprès Seront projetés les témoignages : le dernier engagement par Hélie de Saint Marc et le drame des harkis par Maurice Faivre Seront évoqués les Sections Administratives Spécialisées La Légion Etrangère, le sacrifice des Harkis, les officiers rebelles et lOAS. À 19 h 00 dîner amical Restaurant LA POULE AU POT 121 rue de lUniversité, PARIS (7ème) Bien amicalement, le Président t Gérard GARCIA Prochains rendez-vous Les 26 et 27 Mars 2010 pour la commémoration de la fusillade du 26mars1962 en Alger puis un évènement de soutient au combat mené par Nicole Guiraud face aux poseuses de bombes « Quelle que soit la cause que lon défend, elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle dune foule innocente ou le tueur sait davance quil atteindra la femme et lenfant » Albert CAMUS _______________________________________________________________ FICHE DE RESERVATION (à renvoyer avant le 27 janvier 2010) M. Mme Tel : - participeront au repas, accompagnés de .. Personnes : 30 € - conférence : 5 € Chèque global à l'ordre de : Association des Amis d'Algérianie (adresse en en-tête)Association des Amis d' Algérianie |
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Le dernier juif d'Oran est mort
Le Figaro du lundi 25 janvier 2010 consacre quelques lignes au décès
de celui qui était considéré comme " le dernier
juif d'Oranie " depuis le départ de la presque totalité
de nos compatriotes de confession israélite lors de l'exil de juillet
1962, lors du massacre du 5 juillet et par la suite lorsque de nombreuses
villes comme Tlemcen ou Mascara ou la communauté juive était
implantée depuis la nuit des temps, bien avant que Mahomet vienne
au monde, se vidèrent de leurs habitants par l'assassinat ou par
la fuite : " La valise ou le cercueil " ! Geneviève de Ternant |
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France
où es-tu ?
Fin d'année 2009 : un policier meurt en service commandé;
des voitures brûlent, comme en 2008 ! Silence radio et TV. Le peuple
n'a pas le droit à la vérité ! Janvier 2010 / Robert Puig |
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RAPPEL. (tiré du site B.E.B. Story de Jean-Louis
GRANIER
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Depuis le mois de mai 2009, ces filles et fils de harkis ont quitté
le sud pour s'installer près de l'Assemblée Nationale, place
Edouard-Herriot. Ils dorment dans leur voiture, vivent sur le trottoir, décidés à aller jusqu'au bout pour faire entendre leurs revendications. Ecouter et faire écouter, à vos amis.
Rappel des faits. 31 mars 2007. Avide de voix, le candidat Sarkozy s'engage à reconnaître, en cas de victoire, les éminentes responsabilités de l'Etat français dans l'interminable tragédie des Harkis : serments trahis, interdiction de rapatriement, désarmement, abandon, massacre, puis aliénation des rescapés dans des camps, enfin mépris et calomnie Deux ans plus tard, l'heureux élu n'a pas tenu ses engagements. Alors le 5 mai 2009, trois " assiégeurs " Harkis débarquent au Palais Bourbon. En guise de réponse, l'Elysée se claquemure dans le silence. Les députés défilent devant les trois fils de Harkis dans l'indifférence, comme le Elie Aboud le président du groupe d'études parlementaire sur les Rapatriés d'Algérie Zohra, Abdallah et Hamid vivent chaque jour supplémentaire passé sur le trottoir comme une nouvelle injure du pouvoir sarkozyen. Le 24 novembre 2009, date de l'enregistrement ils se voulaient confiants. Ils accusent aujourd'hui le chef de l'Etat de cynisme et de duplicité. Paris le 24 novembre 2009 |
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Cercle algérianiste national Fédération des Cercles
algérianistes
Cette initiative serait ressentie selon elle comme « une véritable
insulte à larmée française ». La FNACA
affiche ainsi, à nouveau, son mépris pour les drames et
les souffrances des Français dAlgérie. Pour cette
association il y aurait parmi nos compatriotes, des victimes acceptables
et dautres qui ne le seraient pas, en particulier les femmes, les
enfants et les vieillards assassinés le 26 mars 1962 rue dIsly
à Alger. |
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COMMUNIQUE DE PRESSE
L'Association des Familles des Victimes du 26 mars 1962 et de leurs Alliés dénonce l' agression de la F.N.A.C.A. contre ses Martyrs Par communiqué de presse, le comité national de la F.N.A.C.A.
s' élève contre l' inscription des noms des " victimes
civiles du drame L'Association des Familles des Victimes du 26 mars 1962 et de leurs
Alliés rappelle que cette tragédie n' a frappé que
des civils qui Elle s' indigne de voir encore, 48 ans après ce drame, les
responsables de cette seule association d' anciens combattants tenter
L'Association des Familles des Victimes remercie toutes les autres
associations d'Anciens Combattants pour leur compréhension Nicole Ferrandis |
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JOURNEE COMMEMORATIVE DES BARRICADES D'ALGER 24 JANVIER 1960 INVITATION Le Collectif R.N.F.A. organise le 23 Janvier 2010, à Cagnes sur Mer, une manifestation du Souvenir à l'occasion du 50 ème anniversaire des Barricades d'Alger. Cette insurrection, face au délitement engendré par le pouvoir gaulliste fut une action conjointe d'Unités de la Territoriale et des civils en dissidence. Certains vont se révéler les Chefs historiques du combat pour l'Algérie Française. Après avoir dressé des barricades et occupé l'enceinte des Facultés d'Alger, soutenus par une partie de l'Armée et la quasi totalité de la population, les " Insurgés " durent se rendre afin d'éviter un affrontement terriblement meurtrier avec l'Armée fidèle à DE GAULLE et les gardes-mobiles aux ordres du gouvernement. 19 des principaux acteurs furent arrêtés, emprisonnés et jugés. Six d'entre eux en fuite furent condamnés à de lourdes peines, dont Ortiz, Lagaillarde, Susini et Ronda. Ces valeureux résistants restent à jamais gravés dans une mémoire collective reconnaissante. Ce douloureux événement fut incontestablement le prélude de l'agonie de l'Algérie Française. Déroulement de cette manifestation :
La Coordination du R.N.F.A. entend rester fidèle au code de l'honneur et appelle au Rassemblement du Souvenir afin que le Devoir de Mémoire se perpétue sans défaillir. RNFA |
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Cher monsieur le Ministre ,
Le problème de l'identité nationale se cible en ce moment même sur l'Islam. Et pourquoi ? Parce que la France n'a pas retenu les enseignements de ce qui s'était passé lorsque le gouvernement français a appliqué le décret Crémieux en 1870. Les indigènes n'ont pas pris la nationalité française , ils estimaient qu'elle n'était pas compatible avec leur religion.
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On m'apprend qu'a Grenoble, la place Hoche va être débaptisée
pour être rebaptisée du nom de Pierre Fugain, le père
de Michel Fugain. Il faut rappeler que Pierre Fugain , communiste, décoré du une cravate de Commandeur de la Légion d'Honneur a également reçu la plus haute distinction de la république Algérienne , pour son aide au FLN durant la guerre d'Algérie. Il faut choisir l'un ou l'autre mais ce serait un scandale que le général Hoche laisse sa place à un porteur de valises FLN . Cordialement, Henri Cabanac |
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Merci à Raymond MOLTO - TÉMOIGNAGE
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