ACTUALITÉ - 2016

 

   
   
 

"Il est bon qu'une Nation soit assez forte de tradition et d'honneur pour trouver le courage de dénoncer ses propres erreurs. Mais elle ne doit pas oublier les raisons qu'elle peut avoir de s'estimer elle-même. Il est dangereux en tout cas de lui demander de s'avouer seule coupable et de la vouer à une pénitence perpétuelle."

Albert Camus

   
   
 
   
 
CELA FAIT 54 ANS QUE NOUS LE DISIONS. J.J. JORDI LE CONFIRME APRÈS LECTURE DES ARCHIVES...
   
 
   
 
STOP AUX MENSONGES...
   
 
   
 

"...Que les Français, en grande majorité aient, par référendum, confirmé, approuvé l'abandon de l'Algérie, ce morceau de la France, trahie et livrée à l'ennemi, qu'ils aient été ainsi complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d'Algérie, de leurs familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats qui avaient une confiance totale en nous et ont été torturés, égorgés, dans des conditions abominables, sans que rien n'ait été fait pour les protéger cela je ne le pardonnerai jamais à mes compatriotes.
"La France est en état de péché mortel.

Elle connaîtra un jour le châtiment."

 

 
Maréchal Alphonse JUIN 2 juillet 1962
   
 
   
 
19 mars: date honteuse d'une défaite honteuse...
 

A la lumière des événements en cours, il devient clair que cette guerre prétendument anti colonialiste, n'était que la première phase
d'une guerre ethnique et religieuse
dirigée contre l'Occident chrétien, et qui se poursuit en France de nos jours.

La date du 19 Mars est d'autant plus symbolique, comme celle d'un pays qui, décrétant un cessez le feu qu'il savait unilatéral, a décidé lui même de sa défaite.

Michel LAGROT

   
 
 
 
RAPPEL EVIDENT: Complicité PCF-FLN
   
 
   
 
http://www.atlantico.fr/decryptage/8-mai-1945-ces-municipalites-communistes-qui-choisissent-celebrer-morts-algeriens-setif-en-oubliant-victoire-alliee-dimitri-2691171.html
 

 

   
 
Voici un lien d' Eric SAFRAS à envoyer aux Mairies Communistes, ou tout autre "pleurnichard" d'une repentance pour la répression des 9, 10 et 11 mai 1945 dans le Constantinois

Vous aurez noté que tous ces journaleux kolabos parlent du "massacre du 8 mai 1945" et ne parlent pas des vraies Victimes des Barbares Indépendantistes: Européens et F. Musulmans fidèles à la France.

"Leurs morts" sont dus à la répression qui a suivi les jours suivants pour rétablir l'ordre de la République
Tous ces amnésiques oublient de préciser que les ministres communistes étaient les donneurs d'ordre sous la Présidence de de gaulle charles

Tant que nos Témoins seront en vie, il faudra le marteler!

Ces faussaires de l'Histoire nous détestent: nous ne leur feront pas de cadeau!
HC

 
http://manifpn2012.canalblog.com/archives/2015/04/23/31939120.html
   
 
   
 

 

 

   
   
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

vidéo de 3 minutes sur LCI :

http://www.dailymotion.com/video/x563lry_alep-eric-denece-denonce-la-falsification-de-l-information_news?fbc=349

 
 
 
 
 
 
Revue n° 112 de l'ASAF: l'Evènement
 
 
 
 
 
 

Subject: Boualem SANSAL : son allocution du 13 décembre 2016 devant les adhérents de  Fondation Varenne - A méditer !
 
Boualem Sansal :, né le 15 octobre 1949 à Theniet El Had, petit village des monts de l’Ouarsenis, est un écrivain algérien d'expression française, principalement romancier mais aussi essayiste, censuré dans son pays d'origine à cause de sa position très critique envers le pouvoir en place. Il habite néanmoins toujours en Algérie, considérant que son pays a besoin des artistes pour ouvrir la voie à la paix et à la démocratie. Il est en revanche très reconnu en France et en Allemagne, pays dans lesquels ses romans se vendent particulièrement bien, et où il a reçu de nombreux prix.
 
Boualem Sansal a une formation d'ingénieur à l'École nationale polytechnique d'Alger ainsi qu'un doctorat d'économie.
 
Il a été enseignant, consultant, chef d'entreprise et haut fonctionnaire au ministère de l'Industrie algérien. Il est limogé en 2003 pour ses prises de position critiques contre le pouvoir en place particulièrement contre l'arabisation de l'enseignement1.
 
Son ami Rachid Mimouni (1945-1995) l'encourage à écrire. Boualem Sansal, bien que grand lecteur, ne se vouait pas à l'écriture. Il commence pourtant à écrire en 1997, alors que la guerre civile bat son plein. Il cherche à entrer dans l'esprit de ses compatriotes, pour tenter de comprendre puis d'expliquer ce qui a mené à l'impasse politique, sociale et économique de son pays, et à la montée de l'islamisme.
 
En 1999, il publie son premier roman, Le Serment des barbares, qui reçoit le prix du premier roman et le prix Tropiques. Cet ouvrage connait un très grand succès de librairie : Boualem Sansal est invité au printemps 2000 au Festival du premier roman de Chambéry et, en été, au festival Les Nuits & les Jours de Querbes. Depuis, il multipliera les rencontres avec ses lecteurs, en France ou en Allemagne.
 
Son livre Poste restante, Alger, une lettre ouverte à ses compatriotes, est resté censuré dans son pays. Après la sortie de ce pamphlet, il est menacé et insulté1, mais il décide de rester en Algérie. Un autre de ses ouvrages, Petit éloge de la mémoire, est un récit épique de l'aventure berbère.
 
En 2003, Boualem Sansal est rescapé du séisme meurtrier qui a touché sa région à Boumerdès. Après avoir été porté disparu pendant un certain temps, il est retrouvé grâce à un appel lancé par la télévision algérienne.
 
Son troisième roman, Dis-moi le paradis, publié en France en 2003, est une description de l'Algérie post-colonisation, à travers les portraits de personnages que rencontre le personnage principal, Tarik, lors de son voyage à travers ce pays. Le ton est très critique envers le pouvoir algérien, se moquant de Boumediene, critiquant ouvertement la corruption à tous les niveaux de l'industrie et de la politique, l'incapacité à gérer le chaos qui a suivi l'indépendance, et attaquant parfois violemment les islamistes. Ce livre est l'une des raisons qui ont conduit le pouvoir à limoger l'auteur de son poste de haut fonctionnaire au ministère de l'Industrie algérien.
 
En 2005, s'inspirant de son histoire personnelle, il écrit Harraga3, (Harraga qui signifie « brûleur de route », surnom que l'on donne à ceux qui partent d'Algérie, souvent en radeau dans des conditions dramatiques, pour tenter de passer en Espagne). Pour la première fois, les personnages principaux sont deux femmes : Lamia, médecin pédiatre qui vit dans la misère à Alger, et Cherifa qu'elle recueille alors que cette dernière est enceinte de cinq mois. (Cherifa est arrivée chez Lamia sur le conseil du frère de celle-ci, Sofiane, qui est en route pour entrer en Espagne clandestinement). Encore une fois, le ton est très critique envers le pouvoir algérien4 : l'argent du pétrole coule à flots, mais, l'argent étant accaparé par une minorité de dirigeants, le peuple est dans la misère et les jeunes vont tenter leur chance ailleurs, pendant que ceux qui ne peuvent pas partir restent dans la misère et la peur.
 
Boualem Sansal est lauréat du grand prix RTL-Lire 2008 pour son roman Le Village de l'Allemand sorti en janvier 2008, roman qui est censuré en Algérie, car il fait le parallèle entre islamisme et nazisme. Le livre raconte l'histoire du SS Hans Schiller, qui fuit en Égypte après la défaite allemande, et se retrouve ensuite à aider l'armée de libération algérienne, pour finalement devenir un héros de guerre et se retirer dans un petit village perdu5. Le livre s'inspire d'un destin réel, découvert par la presse dans les années 1980.
 
En 2007, il reçoit le prix Édouard-Glissant, destiné à honorer une œuvre artistique marquante de notre temps selon les valeurs poétiques et politiques du philosophe et écrivain Édouard Glissant : ce prix récompense les œuvres développant une réflexion sur le métissage et toutes les formes d’émancipation, celle des imaginaires, des langues et des cultures.
 
Le 9 juin 2011, il remporte le prix de la paix des libraires allemands, pour la manière dont il « critique ouvertement la situation politique et sociale de son pays »6. En mars 2008, il choisit de se rendre au Salon du livre de Paris, malgré la polémique soulevée dans le monde arabe quant au choix d'Israël comme invité d'honneur et l'appel au boycott venant des pays arabes et de certains intellectuels. Il s'en explique par la formule : « Je fais de la littérature, pas la guerre », et en ajoutant : « La littérature n'est pas juive arabe ou américaine, elle raconte des histoires qui s'adressent à tout le monde. » Ce choix aggrave sa situation en Algérie.
 
En 2011, il publie un nouveau roman, Rue Darwin, l'histoire d'une famille prise dans la guerre d'Algérie. C'est un livre très personnel, écrit trois mois après la mort de sa mère8. Le personnage de Yaz ressemble beaucoup à Boualem Sansal ; par ailleurs, la rue Darwin est une rue où l'auteur a vécu dans son enfance, à cent mètres de la maison d'Albert Camus.
 
Boualem Sansal est également connu pour ses propos critiques envers toute forme de religion, et l'islam en particulier : « La religion me paraît très dangereuse par son côté brutal, totalitaire. L'islam est devenu une loi terrifiante, qui n'édicte que des interdits, bannit le doute, et dont les zélateurs sont de plus en plus violents. Il faudrait qu'il retrouve sa spiritualité, sa force première. Il faut libérer, décoloniser, socialiser l'islam. »
 
En février 2012, il fait partie du jury de la Berlinale 2012, sous la présidence de Mike Leigh et aux côtés de Anton Corbijn, Asghar Farhadi, Charlotte Gainsbourg, Jake Gyllenhaal, François Ozon et Barbara Sukowa.
 
En mai 2012, il participe à la troisième édition du Festival international des écrivains à Jérusalem, suscitant de nombreuses critiques dans le monde arabe9,10. Il fait un récit plein d'humour de son voyage.
 
En juin 2012, il reçoit le prix du Roman arabe pour son livre Rue Darwin, avec l'opposition des ambassadeurs arabes qui financent le prix. Le 13 juin 2013, l'Académie française lui décerne le grand prix de la francophonie, doté de 20 000 euros. Ce prix est « destiné à “couronner l’œuvre d’une personne physique francophone qui, dans son pays ou à l’échelle internationale, aura contribué de façon éminente au maintien et à l’illustration de la langue française” ».
 
Du 6 au 8 octobre 2012, Boualem Sansal et l'écrivain israélien David Grossman se sont retrouvés à Strasbourg, avec le soutien du Centre Nord-Sud du Conseil de l’Europe, et ont lancé « L’appel de Strasbourg pour la paix » dans le cadre du 1er Forum mondial de la démocratie organisé par le Conseil de l’Europe. Près de 200 écrivains venant de cinq continents ont depuis signé cet appel, et se sont déclarés prêts à s’engager pour faire progresser la paix et la démocratie partout dans le monde.
 
Il habite près d'Alger, dans la ville de Boumerdès.
 
Il obtient en 2015 le Grand prix du roman de l'Académie française pour son roman 2084 La fin du monde publié chez Gallimard. Ce roman de science-fiction crée un monde fondé sur l'amnésie et la soumission à un dieu unique. Inspiré de 1984 d'Orwell, le pouvoir religieux extrémiste a lancé une nouvelle langue, l'abilang.
 
 
 


 
 
 
 
Contrairement aux dires de la FNACA, la guerre d'Algérie n'a pas cessé le 19 mars 1962...
 
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Lettre ouverte
 

à Patrick MENNUCCI, député PS des Bouches-du-Rhône et à ses 68 collègues, partisans de la reconnaissance publique de la responsabilité de la france dans le massacre du 1è octobre 1961, à Paris

Monsieur le Député,
Vous avez récemment déposé une proposition de loi cosignée par soixante-huit de vos collègues du groupe socialiste, visant à « reconnaître publiquement la responsabilité de la France dans le massacre causé par la répression de la police française le 17 octobre 1961 à Paris, de manifestants algériens réclamant l'indépendance de leur pays ».
Nous en prenons acte.
Toutefois, les Français d'Algérie, nombreux pourtant dans votre ville de Marseille, qui ont contribué à son essor à la suite du drame de l'arrachement à leur terre natale et à l'exode, s'étonnent aujourd'hui de votre démarche à sens unique.
Reconnaître la responsabilité de la France dans la répression de la manifestation du 17 octobre 1961, et laisser dans l'ombre cette même responsabilité dans le drame de la fusillade de la rue d'Isly à Alger, qui fit plus de quatre-vingts morts le 26 mars 1962, et dans celui de la journée du 5 juillet 1962 à Oran, qui vit des centaines de Pieds-Noirs enlevés et assassinés, relève d'une vision hémiplégique de l'Histoire.
Toutes les douleurs et tous les drames sont respectables, et les Français d'Algérie ne peuvent que se sentir blessés et injuriés par votre démarche volontairement partisane.
Nous n'osons imaginer que le martyre subi par des centaines de Pieds-Noirs au cours de ces deux journées, du fait de la responsabilité de la France, n'ait pas droit de cité dans votre esprit et dans celui de vos collègues.
'histoire de la guerre d'Algérie, Monsieur le Député, ne s'écrit pas en noir et blanc, et il est dommage que votre compassion et votre humanisme ne s'expriment qu'à sens unique.

Veuillez agréer, Monsieur le Député, l'expression de notre considération.

Thierry ROLANDO
Président national du Cercle algérianiste

Cliquez ici pour télécharger au format pdf


 
C'est avec un peu de retard du à la transmission de photos, que je vous présente nos derniers reportages.
Vous reconnaitrez et les lieux et les diverses personnalités !
Beaucoup de recueillement, de fleurs , de gerbes et de chants patriotiques.
Désolé si dans mon introduction je ne parle que de la teneur du discours officiel.....il est mal passé
auprès de nombre de nos amis !
Merci à tous nos photographes....une telle répartition de nos présences pose parfois problème !
Georges Viéville - B.Destrait- Yves Marthot - François Sanchez - Guy Montaner
Guy MONTANER
 
 
 
 
 
La GARDE 83130
 
 
05 décembre 2016 Toulon et alentours
 
 
5 décembre à Beaucaire
 
 
En visionnant cette vidéo on comprendra mieux du moins je l’espère, que tant que la législation sur la nationalité ne sera pas revue (supprimer le droit du sol pour remettre le droit du sang), la situation en France et en Europe ne fera que s’aggraver et amener toutes nos structures socio-économiques et institutions à la ruine (SS, retraite, CAF, niveau scolaire, chômage, logement, réapparition de certaines maladies endémiques qui avaient disparues depuis 6 décennies etc...).
 
Un pays qui perd sa culture et son identité parce que diluées dans un multiculturalisme, est un pays qui disparaît. On y est presque; encore un peu de patience.
 
Et aucun candidat à la présidentielle de 2017 hormis Marine LE PEN n’a évoqué cette problématique qui pour moi est la priorité des priorités.
 
M. LP
 
 
 
Soutien à Francis LANGLOIS, élu de la Mairie d'Hayange, bousculé par les "démocrates de la Fnaca"...
 
 
 
 

J'ai eu l'occasion souvent, ces derniers mois, de transmettre des éditoriaux publiés par le Figaro et rédigés par mon ancien étudiant, Pierre Vermeren, désormais professeur à la Sorbonne et grand spécialiste du Maghreb contemporain.

Avant d'intégrer Normale Sup, Vermeren fut mon étudiant en khâgne à Nancy. Il a entamé ensuite une superbe carrière qui l'a amené de l'agrégation d'histoire à une thèse remarquée sur la formation des élites marocaines et tunisiennes au temps des protectorats. Sa nomination à l'université de Paris I Sorbonne ne fut que justice, il y a quelques années.

 Dans son édition d'hier, le Républicain lorrain a publié une page magazine le concernant, je vous la transmets ci-joint en PDF. Il se trouve ici honoré comme historien lorrain puisque né dans la petite ville de Stenay au nord de Verdun. Il a le bon goût de me citer, j'y suis naturellement sensible, merci de ne pas prendre cela pour l'expression du péché d'orgueil !

 Ce sera pour vous tous  l'occasion de faire la connaissance de cet historien particulièrement rigoureux  qui eut comme maître des gens venant de différents horizons mais qui est toujours particulièrement honnête et impartial.

 Au cercle algérianiste de Reims, il nous a honoré à deux reprises de sa présence et je rappelle qu'il a signé la pétition concernant le massacre oublié du singulier 1962 à Oran.

 Bien sincèrement à tous

 Jean-Pierre Pister

Cercle algérianiste de Reims
 
 
Contre les mensonges des communistes et du F.L.N.
 
 
 
 
Christine TASIN:
Un grand bravo à cette femme courageuse et réaliste qui ne mâche pas ses mots. Cela vaut la peine de faire l’effort de l'écouter jusqu'à la fin.
 Plus qu'inquiétant.
 
 
…En histoire contemporaine, se pose inévitablement le problème des interférences avec le domaine politique et certaines questions sont, par définition, sensibles, l’Histoire coloniale en est un parfait exemple. J’ai eu, ainsi, à traiter de l’Algérie à plusieurs reprises, y compris lors de ma dernière année, en 2009-2010, avec une question qui portait sur « la Méditerranée aux XIXe et XXe siècles ». Avec des étudiants dotés d’un minimum d’esprit critique, il est loisible de présenter, de façon nuancée et équilibrée, les différentes faces de la colonisation. Montrer la complexité du peuplement de l’Algérie, parler aussi bien du problème de la société, du statut et de la terre indigènes que de la mise en valeur du pays par les Européens : autant d’éléments qu’il est possible d’intégrer dans un cours. Pour la seconde guerre mondiale, montrer ce qu’un film, comme Indigènes, recèle de contre-vérités ne suscite, dans l’auditoire, aucun murmure. Embrayer sur les années 1954-62 peut apparaître, a priori, plus difficile. Je ne me suis jamais censuré pour parler des crimes du FLN et de la pratique systématique du terrorisme, dans le bled aussi bien qu’en milieu urbain. J’ai ainsi cité, pour les années 1956-1957, les attentats du Milk Bar et du Casino de la Corniche, à Alger dont mes « khâgneux » n’avaient jamais entendu parler. J’ai mentionné également le massacre des villageois algériens de Melouza par le FLN. Cela ne m’a pas empêché de rappeler certains excès inévitables du côté français. J’ai évoqué, dans un silence absolu les souffrances des Pieds-Noirs : fusillade de la Rue d’Isly, enlèvements du printemps et de l’été 1962, « Saint-Barthélemy oranaise » du 5 juillet 1962.Enfin, j’ai réservé à la tragédie des harkis la place qui convenait. A contrario, je n’ai jamais fait l’impasse sur les insuffisances du système colonial, sur les écarts de niveau de vie entre les différentes communautés, sur les occasions ratées telles que le projet Blum-Violette de 1936, sur les réformes structurelles qu’on a trop tardé à engager, avant le plan de Constantine d’octobre 1958. Ferai-je preuve d’immodestie en disant que mes étudiants m’ont été reconnaissants de leur tenir un discours inhabituel pour eux mais qu’ils étaient capables de recevoir ?

Jean-Pierre Pister
Agrégé d’Histoire – Professeur de Chaire supérieure honoraire
 
 
 
 
 
Historiquement incorrect...
Liste d' esclaves Français
 
 
 
Chers amis,

Comme au cours des années précédentes, la Maison de France d´Alicante fera déposer le lundi 5 décembre à 13 h, une gerbe aux pieds des sculptures "¡Grcias, Alicante!" (Explanada de España, jouxtant la place Canalejas) dans le cadre de la commémoration de la "Journée Nationale d´Hommage aux Morts pour la France pendant la Guerre d´Algérie et les combats au Maroc et en Tunisie" (Décret nº 2003-925 du 26 septembre 2003.).

Nous vous invitons donc, chers amis, à participer nombreux à cette brève mais très symbolique cérémonie.

À bientôt,

Nicole Breton-Almira
Présidente de la Maison de France d'Alicante

Prochaine circulaire: "Lundi 12 décembre: signature du livre de Mme Colette Coll
 
 

Pour essayer de faire comprendre aux lobotomisés de métropole ce que nous ont appris les 8 ans de "guerre d'Algérie", voici l'action de "loups solitaires" qui se préparent dans l'hexagone (après Sid Ahmed Ghlam,Yassin Salhi,Ayoub El Khazzani, Adel Kermiche et  Abdel Malik Petitjean )

 

15 Août 1956:

 Cinq attentats individuels ont lieu à Alger, un seul est réussi. Dans les quatre autres cas, la foule lynche littéralement l'auteur. Le cas réussi concerne René Almanza, instituteur et son épouse, qui, sur leur scooter, alors qu'ils se dirigeaient vers les plages, furent victimes d'une crevaison. L'assassin, un jeune, arrêté peu après, raconte au tribunal que, pour faire partie du F.L.N. il devait tuer deux français. Sous prétexte d'aider René Almanza à réparer sa roue, il l'abattit froidement d'une balle dans la tête, puis tira sur sa femme qui tentait de s'interposer. La veille, il avait tué de la même manière un retraité qui prenait le frais devant chez lui.

http://jeanjviala.free.fr/1956_Aout.htm

 

Autre enseignement de la guerre d'Algérie: les provocations !

 

Se méfier des incitations qu'elles viennent du Pouvoir socialiste, des néo-gaullistes ou de militaires en retraite, à agir en contre-terrorisme, pour servir des intérêts occultes.

 

Exemple: 10 Août 1956: l'attentat de la Casbah

 

Michel Fechoz, représentant chez Renault, dépose une charge de plastic ( 16 morts, 32 bléssés) rue de Thèbes au nom du "Comité des 40" dirigé par André Achiary, préparée par Philippe Castille, décédé en decembre 2015 . Résistant. Parachutiste au 11è Choc détaché auprès du «SDECE». Capitaine de réserve. Membre de l'Organisation de résistance de l’Algérie française «ORAF» dont il est le cofondateur avec René Knecht 

On sait maintenant qu'il s'agissait d'une opération de contre terrorisme gaulliste, menée par Castille, lequel, le 16 janvier 1957 , toujours gaulliste, essayera de tuer Salan, général trop républicain à leurs yeux. Condamné pour ces faits, en prison au moment des barricades, il est libéré lors de la semaine des barricades, rejoint Madrid où il s'expliquera avec Salan, avant de rejoindre l'O.A.S. Les porteurs de valise affirment mensongérement qu'il s'agit là du premier attentat à la bombe à Alger (sous entendu : ces salauds de pieds noirs ont commencé) on se reportera aux bombes de 1 novembre 1954, à celles de fin novembre 1954 à Oran, celles de juin 1955 dans deux cinémas de la casbah d'alger, destinées à renforcer les interdictions d'y aller du FLN, celle d'avril 1956 à Philippeville, celle du 10 juin à Constantine, etc... Et le mois passé, à Alger, deux bombes nombreux blessés, il s'agit en particulier d'un autobus qui explose avenue du 8 novembre

 
 

JOUBEAUX Lyonel

13170 Les Pennes Mirabeau


à Monsieur Michel AMIEL

Sénateur-Maire des Pennes Mirabeau



Monsieur le Sénateur-Maire, je viens vous remercier de m'avoir invité à l'inauguration des nouveaux locaux du CCAS et je vous félicite pour cette belle action.


Le sujet de ma lettre se rapporte au discours que vous avez prononcé concernant l'arrivée des Arméniens à Marseille. Vous citiez les paroles du maire socialiste de l'époque - (1892 à1902 et de 1919 à 1931) et qui fut aussi le premier sénateur socialiste, élu en 1906 à entrer au sénat,

Cela ne l'a pas empêcher de dire, dans un de ses discours du 23 octobre 1923, je le cite tout comme vous, de dire les propos suivant : « l'on annonce que 40,000 arméniens sont en route vers nous, ce qui revient à dire que la variole, le typhus et la peste se dirigent vers nous; s'ils ne sont pas déjà en germe pullulants depuis l'arrivée des premiers de ces immigrants démunies de tout réfractaire aux mœurs occidentales, rebelles à toute mesure d'hygiène, immobilisés dans leur indolence résigné, passive, ancestrale. La population de Marseille réclame du gouvernement qu'il interdise vigoureusement l'entrée des ports français et qu'il rapatrie sans délai ces lamentables troupeaux humains, gros danger public pour le pays tout entier».


Pourquoi remonter si loin : un autre Député – Maire, Gaston Deferre n'a pas été tendre avec l'arrivée des rapatries d'Algérie.

Début juillet 1962, il fait comprendre en termes très vifs aux rapatriés d'Afrique du Nord, qu'il perçoit comme un soucis d'insécurité, qu'ils ne sont pas les bienvenus à Marseille et qu'ils aillent se réadapter ailleurs.

Pas question d'inscrire les enfants à l'école, car il n'y a pas assez de place pour les petits marseillais.

Ils fuient, tant pis pour eux, en tout cas je ne les recevrai pas ici, d'ailleurs nous n'avons pas de place, rien n'est prêt.

Le 22 juillet 1962 Gaston Deferre poursuit ses anathèmes sur Paris-Presse: «Français d'Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs, il faut les prendre, les fusiller, les rejeter à la mer. Jamais je ne les recevrai dans ma cité.

Dans le centre de Marseille une inscription sur un grand panneau «LES PIEDS NOIRS A LA MER»

Il n'était pas le seul, De Gaule disait en parlant du Général Jouhaud «Ce n'est pas un français comme vous et moi, c'est un pied-noir ».


Voila Monsieur le Sénateur Maire un petit rappel de l'histoire que j'ai malheureusement vécue.

Recevez quand même mes sincères salutations et tout le respect que je dois à vos fonctions .


Les Pennes Mirabeau, le Lundi 21 Novembre 2016

Lyonel Joubeaux, français de souche

 
 
 
 
 
 
 
Manu GOMEZ accuse de gaulle...
 
 
 
 
 
LE VIVRE ENSEMBLE....
 
FAIRE SUIVRE AFIN D’OUVRIR LES YEUX A CEUX QUI NE VEULENT PAS VOIR LA RÉALITÉ
C'EST DU DIRECT PAS DE MONTAGE

Bientôt chez nous…
 LE VIVRE ENSEMBLE !
Sapin de Noël dans un Centre commercial en Suède
   
 
Discours du Général Christian Piquemal pour rendre hommage aux policiers pendant la manifestation contre la création d'un camp de clandestins à Rocquencourt ...
 
 
 
 
 
 
 
En complément à la partition de la prière du para qui est aussi le chant de l'EMIA (Ecole Militaire Inter-Armes à Coetquidan, formant les officiers Terre de recrutement interne) 

Pour l'instant, encore personne (du moins à ma connaissance) ne les a attaqués avec ce chant qui se nomme très officiellement... La Prière!

Clément CHARRUT

Cliquez et patientez

 
 
 
 
 
 
J'adresse à ceux que cela peut intéresser l'enregistrement vidéo d'une conférence que j'ai prononcée le 7 novembre à Paris dans le cadre d'un colloque de l'Association des Historiens qui a pour thème : la dimension religieuse de la guerre d'Algérie :
 
 
 

Mort de René Rossey, né à Tunis, l'un des derniers commandos Kieffer !

20 Mai 2016, 18h11 | MAJ : 20 Mai 2016, 18h09


René Rossey était l'un des sept derniers survivants du commando Kieffer. AFP / Ludovic Marin


Il était l'un des derniers survivants du commando Kieffer, ces 177 fusiliers marins des Forces françaises libres qui ont participé au débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944.

Deux mois après la disparition de Louis Bégot, également membre du commando, René Rossey est décédé jeudi à 89 ans, a-t-on appris ce vendredi auprès d'associations d'anciens combattants.

«Avec sa mort, ils ne sont plus que six encore vivants», note Marc Laurenceau, le président de l'association Dday-overlord, qui déplore la perte d'un homme «très jovial», qui incarnait «la joie de vivre».

René Rossey est né en Tunisie en août 1926. Il est encore mineur quand il s'engage au sein des Français libres, sous les ordres du commandant Philippe Kieffer. «J'ai falsifié mon âge en disant que j'avais plus de 17 ans», racontait-il dans le documentaire «Les Français du jour J», réalisé par son petit-fils.

«Je suis parti défendre la France, alors que je ne l'avais jamais vue»

«Il disait toujours : "Je suis parti défendre la France, alors que je ne l'avais jamais vue"», ayant grandi de l'autre côté de la Méditerranée, se souvient Marine Salvar-Kieffer, la petite-fille du commandant Kieffer, qui voyait «tous les 6 juin» René Rossey pour les cérémonies commémoratives. «Mais l'an passé, pour la première fois, il n'est pas venu», se souvient-elle, regrettant avec son décès «une part d'histoire qui s'en va» pour la France, mais aussi la disparition d'un pan de son histoire personnelle.

Le défunt «était un homme d'une modestie hors pair», qui «racontait son histoire de manière tellement modeste que c'en était touchant», souligne Michelle Guilmeau, épouse d'Yves Guilmeau, le secrétaire de l'Amicale nationale des fusiliers marins et commandos. «La dernière fois que je l'ai vu, il était en fauteuil roulant. Mais il restait souriant, affable, remerciant toujours les gens qui s'intéressaient à lui.»

Les membres du commando Kieffer, intégré au Royal Marine Commando n° 4, sont les seuls Français en uniforme à avoir débarqué sur les plages de Normandie le jour J. Portant le nom du capitaine de corvette Philippe Kieffer, qui a constitué ce groupe de volontaires, le commando, entraîné en Écosse, a débarqué le 6 juin 1944 à Sword Beach.

«Une fois démobilisés, on les a largués dans la nature, avec un petit pécule, et ensuite, "Débrouillez-vous !"», raconte Yves Guilmeau. Et de poursuivre : «Comme ils étaient sous commandement anglais, on ne les a véritablement reconnus en France qu'en 1980.» Expliquant les motifs l'ayant poussé à s'engager, René Rossey, un temps SDF une fois la guerre terminée, déclarait : «On était Français, pas de cœur simplement, mais pour défendre le pays.»

 

 
 

Que du bonheur !

Enfin voilà une Nation qui prend 'l"establissement" par la peau de fesses et l'envoie au diable. Après le "Brexit" où les Anglais ont su agir par leurs bulletins de vote, les USA-boys and girls n'ont pas fait de quartier avec la politique politicarde et gangrénée de leur pays. Ils ont fait le ménage malgré les médias et le monde people de la côte Ouest. Un coup rude et mérité qui ressemble à ce que nous espérons, attendons ici, chez nous.

Jamais deux sans trois. Sur la liste des prévisions de tempêtes politiques nous sommes le "Trois".

En effet pour les USA nous n'avons eu que des médias qui badaient devant Hillary, vouaient Donald aux enfers et aux supplices de Tantale...

Bien entendu, nos hommes politiques de droite et gauche, sauf Marine, suivaient le canard dans sa danse... tous pour une Amérique qui ne change rien pour faire la même chose chez nous...

Après un Hollande, un Juppé ! Après le socialisme de bas étage, le gaullisme mou.

Ils l'ont tous "in the baba" pour employer une expression anglaise et j'espère que cela est bon signe.

J'ai vu la tête de nos médias aux USA, ceux qui depuis des semaines jouaient Hillary contre Donald... j'espère que ce dernier leur donnera fissa un billet retour pour Paris.

Rien n'a marché comme prévu pour nos sondeurs nos élus de pacotille et nos journaleux de gauche.

Vite que notre peuple se réveille aussi... L'urne n'est pas loin et le bulletin dans notre main ne doit pas trembler pour éliminer les mécréants d'une politique à l'ancienne LRPS pour une France du renouveau avec des têtes nouvelles.

R C PUIG

 

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04 novembre 2016

Je n'en reviens pas. Les débats des LR et du centre d'hier, (pourquoi du centre ?) n'ont rien apporté de neuf. Chacun avec sa petite musique pour ne pas froisser le voisin... Car... qui sait si celui qui sera l'élu ne le prendra pas dans son équipe...

Une chose triste, désagréable a retenu l'attention dans l'émission : la place prise pas Bayrou, le traitre.

Il a semblé qu'une partie de l'émission lui rendait hommage tellement il a été question de son personnage comme tout à coup le nombril des droites.

Bayrou le sans "parti" au sens véritable du terme et le chef d'un orchestre sans musicien, le MOU-Dem. Voilà comment il faut qualifier cet individu : le MOU-dem ! Faut-il oublier qu'il a fait perdre la droite en 2012 en votant Hollande, en demandant de voter Hollande dont nous subissons la catastrophique politique.

Une seule chose comptait : des bananes sous les pieds de Sarkozy. En vérité, le MOU-Dem n'a pas été le seul à en glisser sous les semelles de l'ancien président... Que vient faire Baroin qui n'a rien fait de positif en 2012 et qui, aujourd'hui, peut se demander s'il ne regrette pas son choix de rejoindre Sarko... En 2012 avec de nombreux UMP il y avait un silence qui a tué la droite... Il y a l'éternel Raffarin "délégué" à l'Algérie par Hollande, et il y a eu plein d'autres UMP avec la branche des socialistes, anciens porteurs d'oranges au FLN mais devenus ministres sous Sarkozy. Une erreur ! Une gifle anti-droite. D'ailleurs beaucoup ont crée des place du 19 mars dans leurs fiefs... Et là, dans leur spectacle à sept voix qui parle de l'Algérie, demande des comptes au FLN, exige des comptes et du respect au lieu de retourner chacun sa veste, comme face au Qatar ou l'Arabie saoudite...

Demain au train où se trouve le pays qui semble avoir échangé son honneur pour des dattes orientales et à cause d'un tel silence nous auront une partition : une partie salafiste et l'autre sans gloire.

Cela veut dire qu'avec Jupé nous aurons un Hollande-bis ! Est-ce que le peuple veut cela ?

Robert PUIG
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Une pensée aux Morts de la Toussaint Rouge: Notre Dame de Cap Falcon à Toulon
 
 
 
 
 
 
 
 

Notre Armée, complice des Politiques, et des pourritiquement corrects??

HC

 
 

L’inacceptable soumission du pâtissier
> > >
> > > > L’affiche trônait au-dessus du comptoir : " nous garantissons à notre  aimable clientèle que toutes nos pâtisseries sont réalisées avec de la gélatine de poisson."
> > > 
> > > Surpris par cette affiche que je n’avais jamais vue, j’interrogeais la fille du pâtissier sur la raison de cette surprenante et récente annonce.  Un peu gênée, elle m’expliqua qu’il avait été décidé de remplacer la  gélatine de porc par de la gélatine de poisson pour une question d’hygiène.
> > > 
> > > Devant cette explication embarrassée et peu convaincante, je lui demandais  alors si cela n’avait pas été décidé pour se soumettre aux exigences de clients musulmans. L’air presque soulagé, elle m’indiqua qu’effectivement il s’agissait de se conformer à leur demande de pâtisseries hallal.
> > > 
> > > Voilà le fin mot de l’histoire. Pour satisfaire quelques clients minoritaires et qui n’ont aucun droit à exiger que la loi musulmane s’applique dans les commerces, ce pâtissier bien connu des environs d’Aix les Bains a donc accepté de se soumettre et de soumettre la grande majorité de ses autres clients, à une loi religieuse, la charia, qui ne possède en effet aucune légitimité juridique à s’appliquer en France, pays laïque par excellence.
> > > 
> > > Mais les confidences n’étaient pas terminées. La fille du pâtissier, qui semblait en avoir gros sur le cœur, poursuivit en m’expliquant que cette aberration était allée plus loin. Leurs clients musulmans avaient ensuite exigé que dans leur magasin de Chambéry, ils fermassent la porte commune que ce pâtissier avait avec un commerce vendant des spécialités savoyardes, fromage et charcuterie. En effet, ces clients « exotiques » craignaient que les parfums et senteurs émanant de ces charcuteries, qui enchantent les papilles de tout bon savoyard ou simple gourmet, rendent impures les pâtisseries voisines.. !
> > > >
> > > >
> > > Voilà comment une simple question de vie quotidienne rend mieux compte que tous les grands discours de l’affrontement de deux civilisations où la plus minoritaire essaye et réussit, grâce à la complicité et au renoncement du plus grand nombre, à imposer ses propres lois et codes culturels. Il est donc nécessaire de rappeler à ce pâtissier bien connu qu’islam en arabe veut dire soumission et que rien ne l’oblige en France à se soumettre à la loi de cette religion partagée par seulement 4 à 6 millions de personnes sur, il faut le rappeler, 66,6 millions de Français !
> > > 
> > > Marcel GIRARDIN


Conseiller municipal de Voglans

 
 
Chers amis,

Philippe de Villiers a fait état dans son livre d’un projet de partition du territoire au bénéfice de zones islamisées autonomes.

Nous avions dans un article éditorial de la Voix des Français  du 6 octobre 2000 (Publié dans « Assaut contre l’occident chrétien » en 2007 chez Godefroy de Bouillon) annoncé l’inéluctabilité de la chose ce qui faisait scandale dans nos rangs et pourtant…

Il faut rétablir les faits car à cette époque Philippe de Villiers que le bureau de Renaissance 95 – La Voix des Français, son président Paul Lambert en tête, rencontre n’était pas favorable au fait aborder le problème de l’immigration en public et d’autres comme Jacques Myard balayait d’un revers de main, le verbe haut, la dangerosité de l’islam en France.

Nous avons perdu 20 ans par la faute des politiques.



La Francité à l’ombre des minarets

Surprise, fin août, d’apprendre, tout à trac, l’érection d’une mosquée à Nice, la divulgation d’un courrier privé de Jacques PEYRAT, Sénateur-Maire de Nice, et sa mise en cause par la classe politique locale.

Surprise aggravée par le contenu du grief : le refus de financer un lieu de culte par des fonds publics, au nom de la laïcité et des lois qui la fondent dans ce domaine.

Indignation, enfin, d’assister à l’hallali des vertueux contre l’homme qui refuse de financer l’Islam et que tous, du PCF au RPF mettent au pilori.

Frisson de voir, prosterné sur la place Masséna, la centaine de mahométans convoqués par les altesses des minarets, les recteurs des mosquées de Lyon et de Paris, sous l’œil ténébreux et terriblement sourcilleux de Mohammed RAFAÏ, conseiller municipal RPR, qui n’hésite pas à déplorer de ne pouvoir « blanchir » Jacques PEYRAT, son patron politique du département « qui déshonore notre cité »

Pas une voix pour défendre le Maire, ni au nom de la laïcité, ni au nom de la chrétienté, ni au nom du danger avéré.

Cette dilution des consciences fait irrésistiblement songer aux Byzantins discourant du sexe des anges pendant le siège mis par les Turcs devant Constantinople. Alors, il faut se rendre compte que toutes les lois de la démocratie vont jouer contre l’européanité dans ce pays, contre la civilisation gréco-latine qui en constitue le socle, contre l’espérance chrétienne qui l’avait forgée.

La VOIX des FRANÇAIS, qui eut le mérite de s’être élevée seule contre le sinistre annoncé d’une France romaine et chrétienne, laïque et européenne, doit examiner les risques que les futures directives européennes en matière d’immigration et de lutte contre la discrimination font peser sur notre peuple.

A cet égard, la VOIX des FRANÇAIS n’ayant pas le pouvoir d’Etat pour s’opposer aux lois dangereuses que l’on concocte à Bruxelles, se doit de rassembler les Français d’Europe pour les mettre en état de résister aux pertes d’identité et de puissance qui les menacent.

Un article récent du Figaro, signé par Pierre VILLAS (professeur émérite de l’Université des sciences sociales de Toulouse) et sous le titre « quelles garanties pour le droit des minoritaires » éclaire l’avenir :

« ….Evitera-t-on alors (après les décisions de l’Union Européenne prises sous la Présidence française) le passage d’une société uni culturelle – qui doit déjà tenir compte des revendications culturelles corse, alsacienne, antillaise, basque, bretonne, occitane – à une société pluriculturelle ? Chacun ayant droit à la reconnaissance de son identité culturelle et donc à la liberté de l’enseignement, à la liberté religieuse, aux libertés publiques, notamment d’association, il en résultera un droit à être représenté, à s’auto administrer. »

On conviendra qu’il détaille avec la froideur de l’entomologiste le processus en cours et qu’il faut s’y attacher : ne représentons-nous pas la seule association qui regroupe les « majoritaires » et qui aurait la mission de les « représenter » le cas échéant ?

Plus loin, le professeur VELLAS précise : « ( tout ce qui précède)…débouche sur un changement progressif dans la structure de l’Etat, qu’il s’agisse d’un fédéralisme personnel dépourvu de territoire spécifique…..ou qu’il s’agisse d’un fédéralisme territorial. »

Où la « majorité » actuelle serait-elle chez elle « territorialement », je n’en sais rien, mais pour exister encore « personnellement » elle devra avoir anticipé ces bouleversements pour dominer « …la question de savoir qui élaborera les lois et les règlements… »

Enfin, avant de conclure, je crois qu’il faut livrer la fin des réflexions objectives de notre professeur « …Le passage d’un Etat unitaire, monoculturel à un Etat pluriculturel, de type fédéral ou non, sans risque de sécession, est d’autant plus difficile que les différences linguistiques, culturelles, religieuses, sociales et économiques sont importantes.

« Il convient donc de prendre en compte les problèmes qui ne manqueront pas de se poser du fait d’une augmentation des flux migratoires, pour en étudier la nature, pour évaluer les conséquences, pour prévoir l’évolution qui en résultera et se prémunir des risques qui pourraient en découler. »

Le professeur VELLAS parlait du droit des « minorités », je pensais, en le lisant, au droit des Peuples, minoritaires ou majoritaires. Les Français d’Europe sont d’autant plus fragiles qu’ils sont majoritaires, il faut qu’ils se réveillent, qu’ils se reprennent à admirer l’œuvre de leurs ancêtres, qu’ils s’organisent et défendent leur Identité et leur Patrimoine.

Qu’on me comprenne, se préparer n’est pas accepter, s’organiser n’est pas renoncer. Quoique l’avenir nous réserve, la terre de France et au delà, celles d’Europe, nous appartiennent, nous sommes les descendants de leurs indigènes fameux qui couvrirent la Terre de beautés.

Rome et Athènes doivent être nos phares dans la tâche immense qui nous attend. Mettons nous en chemin, la route sera longue mais l’avenir sourit aux audacieux.

                                              G.CLEMENT

Paris, le 6 octobre 2000

 
 

Ce très joli texte en réponse à notre navrante ministre de l’éducation.


Najat, si tu savais...

Si tu savais Najat, comme on était fiers et heureux, nous les Rinaldi, les Fernández, les
Perez, les Ribolowski, les Sebbah, les Piemontesi, les Garcia, les Campana, les Navaro,
d'écouter notre maître d'école nous parler de nos ancêtres gaulois qui avaient combattu
les armées de César à Alésia et de nos ancêtres Francs donnant naissance à la France avec
le baptème et le couronnement de Clovis notre premier roi.
Si tu savais petite Najat, ministre inculte de l'Education Nationale, comme c'était bon,
pour les petits français de neuf ans que nous étions, de faire mordre la poussière aux
Anglais aux côtés de notre ancêtre Bertrand Duguesclin, connétable de France, de
chevaucher aux côtés de notre ancêtre Bayard, le chevalier sans peur et sans reproche.
Si tu savais microscopique Najat, qui lit un livre par an mais traite les membres de
l'Académie Française de "pseudo Z' intellectuels", comme c'était pénible pour nous de
souffrir en sonnant du cor avec notre ancêtre Roland le Preux, mortellement blessé à
Ronceveaux en assurant les arrières de Charlemagne, comme c'était grisant de partir pour
les Croisades avec notre ancêtre Saint Louis.
Évidemment que nous savions, nous qui avions des noms si difficiles à prononcer ou à
écrire, que nos héros n'étaient pas nos ancêtres et que nos ancêtres avaient eu d'autres
héros.
Mais c'était si bon de croire le contraire, rien qu'une heure par semaine.
On était si fiers de faire partie spirituellement de cette Histoire là.
Penses tu, inculte, haineuse et revancharde petite Najat, que ton cerveau formaté dans
les années Mitterand et lessivé depuis trente ans à l'eau de Javel de SOS racisme et de
Terra Nova, sera capable un jour de comprendre cela ?"""

 
 
Coup de gueule d'Alain SANDERS!
 
 
 
Le 17 octobre 1961, ce n'était une "marche pacifique"... On ne va pas nous refaire le coup de la "marche pacifique de scouts, un certain 8 mai 1945" ??...
 
 
 
 
 
 
 

http://magoturf.over-blog.com/2016/10/que-cela-vous-plaise-ou-non-c-etait-du-terrorisme.html

Les autorités algériennes s’offusquent et s’irritent dès qu’on leur rappelle les crimes commis par certains d’entre-eux lors de ce que l’on nomme à présent « la guerre d’Algérie ».
(Source : El Watan du 19 octobre).

 
Le leader du FLN, Ferhat Abbas, n’a pas hésité à s’écrier : « La France a commis un crime : elle a livré le peuple algérien aux tueurs et aux assassins »…ne l’oubliez pas !
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Mariage "discret" à Aix-en-Provence...
 
 
 
 
 
 
20 septembre 2016
Baptême du Rond-Point des ANCIENS COMBATTANTS à FONSEGRIVES

Je vous prie de trouver ci-après un lien pour visualiser les photos de la cérémonie de Dimanche 18 septembre: 

 

Il ferait bon d'entendre cette chanson sur nos ondes!!!

Écoutez jusqu’au bout ... 
La fin super émouvante.
Les gens se lèvent ....
Bravo, mille fois bravo.
Lui faire faire le tour de France.
Il faut transférer dans toute la France, a tout rompre, sans retenue !
Ce qu'on ne risque pas d'entendre à la télé...
Amicalement.

Marc DESAPHY

       www.youtube.com/embed/shBxm5x6QTs

 
 
Extrait de Riposte Laïque.
 
 
RAPPEL: 1935/2015, Ca suffit!
06 mai 2015
A la 5' 2gol est démasqué!!

 
 
Le Figaro du 13 septembre 2016: article de Pierre VERMEREN "Les troupes coloniales dans la grande Guerre".
 
 
 
Fawzia Zouari, écrivaine et journaliste tunisienne, docteur en littérature française et comparée de la Sorbonne.
a publié dans « Jeune Afrique » cet article:
> « Il y a des jours où je regrette d’être née arabe. »
> Les jours où je me réveille devant le spectacle de gueules hirsutes prêtes à massacrer au nom d’Allah et où je m’endors avec le bruit des explosions sur fond de versets coraniques.   
Les jours où je regarde les cadavres joncher les rues de Bagdad ou de 
Beyrouth par la faute des kamikazes; où des cheikhs manchots et aveugles s’arrogent le droit d’émettre des fatwas parce qu’ils sont pleins comme des outres de haine et de sang; où je vois des petites filles, les unes courir protéger de leur corps leur mère qu’on lapide, et les autres revêtir la robe de mariée à l’âge de 9 ans.   
Et puis ces jours où j’entends des mamans chrétiennes confier en sanglotant que leur progéniture convertie à l’islam refuse de les toucher sous prétexte qu’elles sont impures.Quand j’entends pleurer ce père musulman parce qu’il ne sait pas pourquoi son garçon est allé se faire tuer en Syrie. À l’heure où celui-ci parade dans les faubourgs d’Alep, kalachnikov en bandoulière, en attendant de se repaître d’une gamine venue de la banlieue de Tunis ou de Londres, à qui l’on a fait croire que le viol est un laissez-passer pour le paradis. 
Ces jours où je vois les Bill Gates dépenser leur argent pour les petits 
Africains et les François Pinault pour les artistes de leur continent, 
tandis que les cheikhs du Golfe dilapident leur fortune dans les casinos et les maisons de charme et qu’il ne vient pas à l’idée des nababs du Maghreb de penser au chômeur qui crève la faim, au poète qui vit en clandestin, à l’artiste qui n’a pas de quoi s’acheter un pinceau.Et tous ces croyants qui se prennent pour les inventeurs de la poudre alors qu’ils ne savent pas nouer une cravate, et je ne parle pas de leur incapacité à fabriquer une tablette ou une voiture.Les mêmes qui dénombrent les miracles de la science dans le Coran et sont dénués du plus petit savoir capable de faire reculer les maladies.   
Non ! L’Occident, ces prêcheurs pleins d’arrogance le vomissent, bien 
qu’ils ne puissent se passer de ses portables, de ses médicaments, 
de ses progrès en tous genres. Et la cacophonie de ces « révolutions » qui tombent entre des mains obscurantistes comme le fruit de l’arbre.  
Ces islamistes qui parlent de démocratie et n’en croient pas un mot, 
qui clament le respect des femmes et les traitent en esclaves. Et ces gourdes qui se voilent et se courbent au lieu de flairer le piège, qui revendiquent le statut de coépouse, de complémentaire, de moins que rien ! Et ces « niqabées » qui, en Europe, prennent un malin plaisir à choquer le bon Gaulois ou le bon Belge comme si c’était une prouesse de sortir en scaphandrier ! Comme si c’était une manière de grandir l’islam que de le présenter dans ses atours les plus rétrogrades.  
Ces jours, enfin, où je cherche le salut et ne le trouve nulle part, même pas auprès d’une élite intellectuelle arabe qui sévit sur les antennes et ignore le terrain, qui vitupère le jour et finit dans les bars la nuit, qui parle principes et se vend pour une poignée de dollars, qui fait du bruit et qui ne sert à rien !   
Voilà, c’était mon quart d’heure de colère contre les miens... Souhaitons que l'Occident ouvre les yeux.





MAJ en cours... Probmèmes avec Windows 10...
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Une Algérie incroyablement sale : l'autre peuple plastic

par Kamel Daoud

Quelque chose de triste qui vous prend au ventre, vous met l'encre de la colère dans les yeux. D'insultant. De terrible comme révélation sur les siens face à leur terre : des milliers de bouteilles d'eau minérale, emportées par les vents, roulant sur l'asphalte. Des sachets bleus, de la saleté, des détritus. Une terrible saleté sur les plages algériennes, contrastant avec le bleu infini, le sable et les youyous de l'Indépendance. Pas la saleté habituelle qui dure depuis des ans, mais quelque chose de plus ample, grave. On ne sait pas quoi écrire sur le phénomène : le regarder, en souffrir et s'interroger : pourquoi les Algériens, en majorité, sont-ils sales ? Le dire blesse l'image édulcorée que l'on se fait de soi et des siens au « nom du peuple» et de la fiction. Mais c'est ainsi : nous sommes sales. Encore plus depuis que l'argent gratuit a libéré les excès de consommation. On vend du pétrole, on achète, on dévore puis on baisse la vitre de la voiture pour jeter ses déchets, ses emballages et ses sachets dans le « Dehors». Cet espace de personne, de la prédation, de la poubelle, de la vacance, du butin ou de l'abandon. Comparé au « Dedans algérien» : lieu des soi et des siens, de l'intime, du sentiment de propriété, du beau ou de la convivialité. 

De mémoire du chroniqueur, jamais les spectacles de la saleté n'ont été aussi énormes, catastrophiques. Comme s'il s'agit d'une volonté conscience de faire mal à la terre, de se venger. Expression sinistre de la mort de l'âme et de la complète débilité de la majorité. Lien brisé et méprisant envers l'environnement. Fallait-il libérer ce pays avec du sang pour, au final, le noyer dans la saleté ? Pourquoi cette absolue inconscience ? L'Ecole ? La Religion ? Le rejet de toute autorité ? Le lien maladif entre l'Algérien et l'Administration assimilée à une autorité exogène ? La certitude que l'on va aller au paradis et que ce pays n'est qu'une salle d'attente ? La surconsommation ? La négligence de l'autorité publique ? A la fois, en vrac, en tout. Il y a de tout dans la poubelle de l'âme. 

Et face à cette saleté inconcevable, on rêve presque de dictature dure : amende énorme pour la moindre bouteille de plastique jetée. Prison pour le sachet bleu ou la poubelle lancée hors de la poubelle. Il ne faut plus se jouer des sociologies faciles, il faut punir. Le crime est énorme. Il faut sévir et rééduquer les gens aux habitudes de base : se laver les mains, respecter le feu rouge comme s'il s'agissait d'un dieu tricolore, ne pas jeter ses ordures n'importe où et avoir le culte de l'hygiène et de la propreté. Car cela devient honteux et scandaleux ce pays vu par le train, la voiture ou aux bords des eaux ou dans ses espaces publics. Un assassinat de l'espace et de la terre que l'on va laisser aux enfants à venir. 

Il en va de l'acte de chacun. Pas comparé aux autres, mais la sphère fermée de la responsabilité individuelle. Il en va aussi de la mission de tous : école, administrations, pouvoirs publics. Il faut sauver au moins ce pays de ses ordures. Car c'est un déluge, un raz de marée, une honte. Après des années de guerre, un millénaire d'attente et tant de sacrifices, en venir à habiter une décharge publique avec un drapeau, est une honte. Car désormais, c'est ceci le pays : des sachets bleus, des décharges, des poubelles éventrées partout, un peuple au trois quart ignare, insouciant de la terre à transmettre, bigot, sale, incivique et intolérant. La civilisation commence par l'hygiène et l'hygiène n'est pas aller se laver les pieds dans les mosquées que l'on construit par milliers, puis jeter ses déchets au visage de la terre rare et malheureuse. 

Une honte. De chacun par chacun, de tous. La terre appartient à ceux qui la respectent. Si on en est incapable, autant la redonner aux colons. 


 
 
 
 
 

lundi 5 septembre 2016

Ainsi donc, la cérémonie s’est ouverte avec l’allocution de bienvenue de Hervé Cuesta, Puis, Simone Gautier a lu un texte de Jean-Pierre Pister et a rendu compte des courriers envoyés aux évêques de France…Résultat très en dessous de ce que la charité chrétienne aurait pu susciter… Notre ami Régis (...) suite
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Sans compter tous les autres attentats auxquels nous avons eu droit !.............

54 ANS après, on prend les mêmes et on continue...


PAS D'AMALGAMES, NI DE HAINE

ET ENCORE MOINS DE PENSÉES INAPPROPRIÉES ...

FAITES LA PROVISION DE BOUGIES ET DE FLEURS...

ENFIN DORMONS TRANQUILLES !!!


Daesch menace nos plages !

Rien de nouveau sous le soleil de la France ...



Souvenez vous:

16 juillet 1958


Sur une plage de Ténés, un commando FLN tire sur les baigneurs, en blessant grièvement 7 dont une toute jeune fille qui devra être amputée.

28 Août 1958:

Dans l'Isère, deux terroristes se font sauter avec leur bombe.

Premiers kamikazes

9 Avril 1959 :

Sur la route de la plage, à Bérard, deux automobiles sont mitraillées, 2 morts, 4 blessés laissés pour morts.

19 septembre 1959 :

Sur une plage de Bône, un groupe de rebelle mitraille consciencieusement les baigneurs depuis la route littorale, une morte Mme Tubiana, 12 blessés.

10 juillet 1960:

Deux obus sur la plage de Castiglione, deux morts.

Mitraillage des voitures qui se rendent à la plage du Chenoua, 14 morts, pour la plupart des jeunes gens, et 8 blessés

31 juillet 1960:

Action d'éclat du F.L.N. sur la plage du Chénoua. Un petit groupe de terroristes massacrent à l'arme automatique tous les baigneurs, dont quatre soldats de Saint Amand les Eaux en permission, alignés contre un mur et fusillés. Le gardien musulman a droit à l'égorgement, les seuls survivants étaient cachés dans un cabanon de plage, ils ont passé des dizaines de minutes à entendre les coups de feu et les râles des victimes. Une enfant de quatorze ans profite des attentions multiples et tournantes des héros FLN avant d'être assassinée à son tour.

27 août 1961 :

Bône plusieurs grenades jetées sur les plages, 12 blessés et un mort Paul Michel Renault

3 Septembre 1961:

Explosion d'une mine sur la plage de Zéralda, deux enfants sont tués.

Mais tout cela c'était en Algérie..., donc cela ne compte pas !!!

ALLEZ , UN ULTIME PETIT EFFORT, faites un don à nos courageux français qui actuellement participent au sauvetage de braves gens en Méditerranée en provenance de Lybie et d'ailleurs !

 
 
02_08_2016
 
 
Var-Matin du 31 Juillet 2016 ( page 12 ) :

Titre " Chrétiens et Musulmans se serrent les coudes "

Réponse :

" Ah bon !

Donc ils vont faire disparaître :

- les 6 à 700 versets qui encouragent la violence à l'égard des mécréants .

- les 170 fois où le verbe Qatala ( tuer en Arabe ) figure dans les textes sacrés .

- les 19 fois où le prophète ordonne de tuer et de combattre les infidèles , pendant le djihad .

Parce qu'elle est là la véritable cause de leur violence . Et aussi longtemps que les textes nourriciers ne seront pas expurgés , rien ne changera

Il faut être sot à lier pour le croire . Et je vois , hélas , qu'il n'en manque pas .

Et , tant que j'y suis , je rappelle à l'intention de ceux qui se mettent au service du phénomène migratoire , dont on voit qu'il pose de sérieux problèmes , que le délit de trahison existe toujours " .

R . LALANNE

 
 
Général Antoine Roch Albaladéjo Ancien De La Légion Etrangère :
Quelques éléments de réflexion sur l'affrontement avec les islamistes.


L'armée est souvent mieux informée que le peuple

Il faut parfois écouter les militaires..Surtout quand ils parlent en connaissance de cause : Ils savent mieux que les journalistes ce qu'est la guerre et QUI est l'ennemi... et ils n'ont pas d'électorat à séduire, eux...
Alors écoutons ce qu'ils ont à dire.... dans leur domaine de compétence, et tâchons d'en tenir compte.
Beaucoup d’entre nous pensent comme lui.
Ça y est, même de hauts gradés commencent à en parler...

Général Antoine Roch Albaladéjo Ancien De La Légion Etrangère :
Quelques éléments de réflexion sur l'affrontement avec les islamistes.

1° Ouvrir les yeux et admettre une bonne fois pour toutes que les islamistes ont déclaré la guerre à l'occident, avec la France en première ligne. Se persuader que cette guerre ne se fera pas sans mort, sans prise d'otages, d’autres attentats, qu'elle se fera aussi chez nous et donc qu'il faudra nous montrer plus vigilant et moins vulnérable y compris émotionnellement. Savoir que notre ennemi trouvera parmi nous des sympathisants et des complices dans tous les milieux et en plus grand nombre que ce ne fut le cas pour le FLN.
2° Cesser de reculer devant les exigences toujours plus grandes de ces extrémistes et de leurs complices, qui, en affaiblissant notre culture et en imposant la leur, cherchent surtout à tester et à saper notre esprit de résistance.
3° Agir en portant le fer là où apparaît un furoncle :
une immigration débridée qui rend insolubles les problèmes du logement, du chômage, de la dépense publique, ça se contrôle.
des barbus, des imams ou des rappeurs qui appellent à la guerre sainte, à la haine et au crime,ça se sanctionne.
- des quartiers qui caillassent les représentants de l'État, qui rackettent les artisans, ça se neutralise.
de discrètes écoles coraniques qui forment les djihadistes de demain, ça se ferme.
- des clandestins, ça s'expulse, surtout les délinquants.
- des subventions à toutes ces associations qui font leur beurre dans l'anti-France, ça se supprime, et .....on revoit nos programmes d'histoire, on jette la repentance aux orties, on laisse la transparence aux vitriers ........etc. etc.
Et ne me dites pas qu'il s'agit là de racisme, de fascisme ou d'extrême droite!
Il s'agit de légitime défense et de résistance dans le respect de la loi, ni plus, ni moins !
Vous pensez sans doute que ce n'est pas demain la veille ?......
Je crois néanmoins que, sans un sursaut, le pays de la douceur de vivre, le plus beau pays du monde, risque fort de disparaître dans d'atroces soubresauts ou dans une coupable et morne résignation, pour être remplacé par une autre que certains, et pas des moindres, semblent appeler de leurs vœux, on se demande pourquoi, et qui commence à faire peur..
Mais je me trompe peut-être... J'aimerais tellement avoir tort...
Enfin, réfléchissez, ne soyez ni sourds, ni aveugles, ni muets.

Général Antoine Roch Albaladéjo Légion Étrangère

 

 

 
Voici un lien d' Eric SAFRAS à envoyer aux Mairies Communistes, ou tout autre "pleurnichard" d'une repentance pour la répression des 9, 10 et 11 mai 1945 dans le Constantinois

Vous aurez noté que tous ces journaleux kolabos parlent du "massacre du 8 mai 1945" et ne parlent pas des vraies Victimes des Barbares Indépendantistes: Européens et F. Musulmans fidèles à la France.

"Leurs morts" sont dus à la répression qui a suivi les jours suivants pour rétablir l'ordre de la République
Tous ces amnésiques oublient de préciser que les ministres communistes étaient les donneurs d'ordre sous la Présidence de de gaulle charles

Tant que nos Témoins seront en vie, il faudra le marteler!

Ces faussaires de l'Histoire nous détestent: nous ne leur feront pas de cadeau!
HC

 
 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

LETTRE OUVERTE A TOUS NOS ENFANTS ET PETITS ENFANTS PIEDS-NOIRS -


Quelques jours avant ou quelques jours après l’indépendance de l’Algérie, anciens Départements Français, vos parents ont du se décider à quitter cette terre pour rejoindre dans leur grande majorité la métropole, pour rester Français et échapper bien légitimement à de grands dangers.

Souvenez-vous de l’expression "la valise ou le cercueil.."

Pour vous sauver du cercueil, Chers enfants, nous avons choisi la valise et par avion ou navire nous avons rejoint cette encore grande inconnue pour certains d’entre nous, que nous portions dans nos coeurs "LA FRANCE". Inconnue territorialement s’entend, à part pour ceux qui y étaient venus y faire leur service militaire, pour y combattre l’ennemi en 14/18, et pour la libérer au cours de la deuxième guerre mondiale de 1939/1945, guerres dans lesquelles vos grands pères et pères ont connu l’honneur de ne pas avoir déposé leurs armes et des les avoir portées haut et fiers, comme des lions courageux jusqu’à la victoire de 1945, et pour d’autres qui avaient eu le plaisir d’y venir en vacances ou en voyages d’affaires. Cette France nous la connaissions à travers les récits de nos grands parents et parents et par nos études scolaires et universitaire et nous portions son histoire dans nos pensées comme un symbole de "LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE" sous l’étendard de la République Française.

Vous ètes arrivés enfants en France où vous y ètes nés, et parfois vous vous interrogez sur cette expression Pieds-noirs que l’on utilise pour nous qualifier et que nous utilisons aussi entre-nous. Vos parents ont du garder une petite pointe de cet accent enjoué et les expressions qui nous caractérisent. Une certaine pudeur nous empêchent parfois, pour vous éviter le passage de la guerre d’Algérie et ses souvenirs douloureux, de vous enseigner exactement qui nous sommes vraiment.

D’abord des Français de souches et des Français par option volontaire, de toutes origines européennes. Nos ancêtres lors de la conquête de l’Algérie arrivaient de France, d’Espagne, d’Italie, des Baléares, de Corse et d’autres pays d’ Europe, pour s’établir sur ce pays dont les terres en friches s’offraient à nos travaux..

Pourquoi la France a-t-elle conquis l’Algérie ?.... Dans un raccourci, indiquons que par suite d’un incident diplomatique insultant à l’ égard du Consul de France de la part du le Dey d’Alger,( ville qui se trouvait sous domination turque) pour relever notre honneur, mais surtout parce que les pays d’Europe en expansion étaient persuadés de devoir, au nom de l’humanité et de son bien-être économique, de porter le flambeau de leur civilisation et de leur savoir faire, dans des pays que l’on pourrait considérer de nos jours comme des pays hyper-sous-développés.Il était important aussi pour notre commerce d’assainir la méditerranée des pirates qui abordaient et pillaient quantité de navires et de nous assurer une place forte en Afrique du Nord.

Une fois établis dans le pays, vers 183O environ, peu à peu au fil du temps nous nous sommes mariés entre Français-Italiens-Espagnols-Corse, et tous autres européens et on nous appelaient bien souvent les Européens d’Algérie. Pour ces raisons de mariages entre européens, nous avons dans une même famille des blonds aux yeux bleux, des châtains roux aux yeux verts et des bruns aux yeux noirs..

Sur nos tables familiales se présentent tous les plats d’Europe, nous sommes gourmets : paëlla, rizotto, pates en sauce tomate, civets, tomates-poivrons-aubergines-courgettes facies ou finement cuisinées, petits patés au fromage, à la viande, ou à la soubessade, beignets salés ou sucrés, cocas et pizzas à la tomate et aux poivrons ... viandes roties ou en sauce fines, etc... je ne peux pas tout citer, mais je n’oublierai pas notre gourmandise pour les fruits de mer et les poissons, sans oublier les délicieuses pâtisserie parfumées à la fleur d’oranger, les mounas de Pâques, les mantécaos à la cannelle, les oreilletes bien dorées, etc...Nous sommes de bons mangeurs et nous aimons aussi les fruits frais, pastèques, melons, raisins, abricots, prunes, oranges, mandarines et les confitures, sans oublier tous les fruits secs ; Enfin nous savons aussi tenir nos verres à l’apéritif avec l’anisette et la khémia, et nous apprécions les bons vins pendant le repas et les liqueurs à la fin, avant le caouah !

Nous sommes comme on dit "des bons vivants", nous avons une bonne fourchette et savons lever notre verre dans les bonnes occasions. Ah ! j’allais oublier le couscous...... aijourd'hui servi sur les plus prestigieuses tables françaises.
La cuisine, comme la littérature et les arts, fait partie de notre culture et c’est autour d’une bonne table que l’on fait plus ample connaissance, que les langues se délient et que finalement on s’aperçoit que patos ou pieds-noirs c’est du pareil au même pour ce qui est de l’appéciation des mets et des bons vins. Pour l’appréciation de nos idées politiques c’est parfois autre chose.... mais enfin en gens bien éduqués nous sommes tolérants des deux côtés, mais nous avons le souci d’informer et de remettre poliment les pendules cérébrales et intellectuelles à l’heure quand il le faut.

Enfants et petits enfants de pieds-noir vous appartenez à une dynastie de travailleurs, vos ancêtres en Algérie ont défrichés de leur mains des terres incultes et des marais pestilentiels ou sur des boues et eaux infestées régnaient la malaria, le paludisme et bien d’autres maladies mortelles à l’époque et dont des centaines sont morts quelques temps après leur arrivée et pendant quelques décennies ensuite, en attendant que tout le pays fût assaini.

Puis peu à peu ces travailleurs ont planté des cultures, céréales, vignes, jardins potagers, jardins fruitiers, plantes et fleurs, des arbres venus de France et ils ont construit des maisons, des routes, des villages, des écoles, des hôpitaux, établit des commerces et des entreprises, créer des musées, des théatres et des opéras, des lieux de cultures et de distractions. Tout celà ne s’est pas fait en un jour ... il a fallu beaucoup de sueur et d’huile de coude. Ils y avaient aussi des médecins,des pharmaciens, des ingénieurs, des hommes d’affaires et de lois, des fonctionnaires, des marins, des transporteurs, des travailleurs artisans, maçons, mécaniciens, tailleurs et spécialistes de tous les métiers qui ne ménageaient pas leurs temps pour édifier l’oeuvre commune.

Certains villages de basse kabylie, construits par les Alsaciens et les Lorrains arrivés en Algérie vers 1870 ressemblaient comme deux gouttes d’eau à certains villages anciens que vous pouvez visiter en Alsace et en Lorraine. D’autres villages ou hameaux du début de la conquête, construits par les Espagnols et les Mahonnais au coeur de leur cultures, rappelaient l’Espagne et les Baléares. Je pense tout particulièrement au Hameau de Bou Hamédi, près du Fondouk, avec ses maisons basses aux murs blanchis à la chaux.
Les arbres que vos ancêtres avaient plantés et acclimatés venaient de France et des pays d’Europe et peu à peu cette terre hostile, fertilisée et caressée par leurs mains travailleuses était devenue notre Belle France d’Algérie.

Les habitants originaires du pays ont acceptés pour certains d’entre eux, de travailler avec nous, d’autre pas. Pour ces derniers, nos moeurs étaient trop occidentales et ils craignaient qu’à l’exemple des européennes leurs femmes ne s’instruisent et s’émancipent et c’est pourquoi tout en vivant en bonne entente socialement dans la vie publique de tous les jours, nous vivions de façon parrallèle nos vies privées, nous dans nos coutumes et traditions et eux dans les leurs ; les différence de religions, éléments qui comptaient à l’époque, rendaient tout mariage impossible entre les deux communautés.Celà n’a pas empêché de solides amitiés de se forger. Il y a eu très peu, presques pas, de mariages mixtes Français et musulmans, sauf dans quelques rares grandes familles évoluées et tolérantes. Mais pour le travail et les affaires, grandes et petites, nous nous étions habitués progressivement à travailler ensemble en bonne efficacité et entente.

Nous avons vécu là-bas pendant cinq, six générations en moyenne ; vos grands-pères et pères sont venus à deux reprises en France et en Europe faire leur service militaire et surtout faire la guerre de 14/18 et celle de 39/45 pour défendre la France (la Mère Patrie) contre ses ennemis de l’époque, et ceux qui n’y sont pas morts tués au combat sont revenu chez eux en Algérie, quelquefois avec une fiancée Française "de France" qu’ils n’ont pas manqué d’épouser.
Nous étions citoyens à part entière et quand la France était en danger nous étions tous présents sous le même drapeau tricolore. C’est ce que l’on appelle le patriotisme et ce que j’appelle moi "l’honneur d’être un homme".> Les valeurs militaires, celle du courage et de l’honneur ont été injustement bafouées par des politiciens de bas étages, incapables et félons : ne vous laissez pas intoxiquer par leur propagande de faux-intellectuels.

Mais vous, que feriez-vous si votre pays et votre famille étaient attaqué par un ennemi féroce ? .. Laisseriez-vous égorger vos pères, mères, épouses et enfants, Laisseriez-vous envahir votre pays les bras croisés .... Je suis sûre que non. Il ne s’agit pas d’attaquer, nous sommes pacifistes, mais de savoir se défendre.
Pour le moment ici nous sommes relativement en paix. Alors, chacun d’entre vous selon votre personnalité, vos qualités, vos goûts, vos tendances et possibilités, choissisez un but ; profitez de votre temps d’enfance, d’adolescence et de jeune adulte pour vous instruire, apprendre un métier ou un art, sans oublier de vous distraire sainement : la fête fait aussi partie de la vie ; tout est utile pour votre avenir et pour le pays. Ne perdez pas votre temps précieux, évitez les excès de verbiage pseudo-intellectuels ou politiciens, les polémiques oiseuses, n’entrez pas dans de vaines querelles partisanes, utiliser vos forces et votre intelligence pour vous livrer à des actions concrètes, constructives, utiles pour vous-mêmes, pour votre entourage et l’environnement. Il vous faut comme l’on dit "se situer dans le paysage" Vous faites partie d’un ensemble qui demain formera l’Europe nouvelle. Notre Belle Algérie de France par ses divers composant en était le prélude, nous avons déjà tous travaillé ensemble... Vous avez votre mot à dire, qu’il soit de vérité et de justice ; vous êtes en France et dans tous les pays d’Europe légitimement chez vous, par descendances, coutumes et traditions. Ne vous laissez pas marchez sur vos pieds-noirs,soyez fiers de vos ancêtres proches et lointains.

Nous les vieux pieds-noirs, de l’ombre de notre soir, nous vous tendons le flambeau. Avec des gestes et des mots tout simples qui peuvent vous paraître dépassés dans notre époque moderne, mais les modes passent et l’esprit demeure. Nous sommes la génération "mémoire-relais", et avant de partir vers notre nuit, nous vous souhaitons : Bonne vie et longue route enfants et petis enfants pieds-noirs.

A vous la charge, maintenant, de transmettre cette précieuse mémoire -

Bonne chance.

 
 

Piqure de rappel à diffuser sans réserve surtout auprès des plus âgés de nos compatriotes métropolitains responsables (aux conséquences "boomerang" dramatiques) d'un vote lors du référendum du 8 avril 1962 d'où nous avions été exclus !
Bel exemple de "Démocratie Gaulliste !"
Une différence fondamentale nous sépare : Eux ont alors applaudi sur notre malheur et beaucoup nous méprisent encore.
Nous, aujourd'hui, nous pleurons les victimes des mêmes barbares !!
A.ALGUDO


La malédiction du Maréchal Alphonse Juin

« ... Que les Français, en grande majorité aient, par referendum, confirmé, approuvé l'abandon de l'Algérie, ce morceau de la France, trahie et livrée à l'ennemi, qu'ils aient été ainsi complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d'Algérie, de leurs familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats qui avaient une confiance totale en nous et ont été torturés, égorgés, dans des conditions abominables, sans que rien n'ait été fait pour les protéger : cela je le pardonnerai jamais à mes compatriotes :
La France est en état de péché mortel.
Elle connaîtra un jour le châtiment. »
Maréchal Alphonse JUIN, 2 juillet 1962           

 
 
 

CE 14 JUILLET 2016 NICE

 

Ce silence ! Il y avait la foule, les gens qui riaient, qui chantaient, qui se poussaient par blague... Les GENS...

Un bruit, une explosion ? Et ce silence... Non, là, c’était à Oran, ma ville, mon amour...Reviens à toi ! Ce n’est plus ta ville, c’est l’autre, si belle... C’est Nice d’épreuves, de joies, de pleurs C’est Nice la Belle-Aimée. Nice de sourires, de joies, de la mer... du mauvais côté. Je ne m’y suis jamais habituée, la mer n’est pas du bon côté, mais c’est beau, si beau, si insouciant...

Non, pas d’explosion, même pas de bruit, un camion fou que conduit un homme qui n’est pas fou ; Une haine de 19 tonnes... Ce silence.

Et puis, les cris, inarticulés, partout le même Ô Munch ! Et puis, le cri primal : Maman !
Des voix qui s’éteignent en murmurant « Maman »...

Ô Seigneur ! N’ai-je pas vu assez de cadavres ? N’ai-je pas enjambé assez de morts dans ma ville pour continuer, continuer, continuer... VIVRE !
Ô Seigneur, Fallait-il encore donner des vies au Moloch ? Fallait-il encore dans la ville de rire, d’insouciance, la ville du feu d’artifice qui s’éteint dans une dernière étincelle, fallait-il donc CELA ? CELA que je ne peux plus nommer...
Oui, CELA, ces pauvres morts après tant de pauvres morts par la volonté d’un fou ? Non, il n’était pas fou. Il était guidé par la Malin, Satan au masque...

C’était une nuit de 14 juillet. Pour quelle Bastille sont morts ces pauvres morts de la Promenade ?

Geneviève de Ternant

 
 
 

De Gaulle, traître intégral. Il est bon de rappeler qui fut en réalité Charles De Gaulle.

C’est à partir de 1916 que l’on commence à parler d’un certain...

https://lorrainenationaliste.com/2015/08/19/de-gaulle-traitre-integral/

 

Affaire du "carrefour du développement", 1° scandale du règne Mitterrand



Christian Nucci, jeune ministre délégué à la Coopération et au développement, se fixe comme une de ses premières missions de redynamiser le bi-mensuel Actuel Développement, revue des coopérants publiée par son ministère. Le 29 juin 1983, il crée une association loi 1901, l'Acad « Association Carrefour du développement », spécialisée dans les problèmes d'information sur le Tiers Monde et qui se voit chargée d'éditer cette revue. Nucci place des personnes de confiance dans cette association (à sa tête Michèle Bretin-Naquet, professeur de psychologie et une de ses conseillères, et comme trésorier son chef de cabinet, Yves Chalier) qui compte une trentaine de salariés[1].

En 1984, le président de la République François Mitterrand charge Nucci de superviser l’organisation d’un sommet international des chefs d’État africains qui doit se tenir le 11 et 12 décembre à Bujumbura, au Burundi mais la ville ne possède pas la moindre infrastructure dimensionnée pour accueillir un tel événement. Le montage de l’opération est délégué à l'Acad qui reçoit 80 millions de francs de fonds publics. Chalier, après un voyage de repérage, réalise que ce budget est insuffisant pour financer notamment la mise en place de lignes hertziennes ou le pont aérien chargé d'acheminer groupe électrogènes, cabines de conférences. C'est dans ce contexte qu'est mise en place une comptabilité fictive avec des fausses factures qui servent à couvrir d'autres dépenses[2] : 1,4 millions de francs pour Chalier (achat d'un appartement à Quimper, d'un studio à Paris, dons et prêts à sa maîtresse ou à son ex-femme) ; 20,5 millions de francs pour Nucci (financement des affiches de sa campagne électorale de 1986, règlements de ses cotisations au parti socialiste, réceptions faramineuses offertes à des dignitaires africains dans sa villa de Beaurepaire) ; financement de l'opération Manta ; 3,3 millions pour l'achat et la restauration d'un château en Sologne, prétendument destiné à la formation de cadres africains, par Chalier et la sous-préfète du Cher, Marie-Danielle Bahisson, la rumeur voulant que ce centre de formation serve à abriter un bordel pour les personnalités africaines[3]. La Cour des Comptes enquête depuis octobre 1985 sur la comptabilité de l'Acad, si bien que l'association est dissoute le 31 janvier 1986.

À la suite des élections législatives de 1986, le premier Ministre Jacques Chirac nomme Michel Aurillac nouveau ministre de la coopération. Ce dernier reçoit un rapport de la Cour des Comptes qui révèle que l'Acad affiche un trou d'un « peu plus de 20 millions de francs ». Aurillac annonce publiquement ces irrégularités à la presse le 2 juin. L’affaire du Carrefour du développement est lancée[4].

L'affaire porte sur un détournement de 27 millions de francs entre 1984 et 1986. Inculpé de détournement de fonds, de faux en écritures publiques et privées par la commission d'instruction de la Haute Cour de justice, Christian Nucci bénéficie d'une loi d'amnistie sur les délits de financement illégal de campagnes électorales (loi prise dans le même cadre que celle relative au financement des partis politiques français, votée le 15 janvier 1990 spécialement pour lui et les élus socialistes impliqués dans l'affaire Urba) : la Haute Cour rend un non-lieu le 4 avril 1990 tout en regrettant que « pour la première fois de Notre République, on amnistie des faits criminels »[5]. Mais la Cour des Comptes le déclare le 30 septembre 1992 « débiteur envers l'État » de 20,463 millions de francs (soit 3,119 millions d'euros) d'argent public détourné solidairement avec Yves Chalier. Ce dernier est condamné à cinq ans de prison en 1990 et placé en liquidation judiciaire le 6 mai 2010 tandis que Nucci, après une longue procédure judiciaire, rembourse mensuellement 1 524 euros depuis décembre 2000, devant encore 2,9 millions d'euros en 2013[6]. Jeune avocat, Arnaud Montebourg défend la présidente de l'association, Michèle Bretin-Naquet qui est relaxée[7]. (wikipedia)


NDLR: Question ? Christain Nucci né en 1939 faisait-il partie effectivement du reéseau Janson ?


Pierre BARISAIN

9 juillet 2016

 
 
Confidences d'un homme qui a le courage de se présenter à une tribune. Merci de faire suivre cette vérité de l'histoire, à contre-courant du « sens actuel de l’Histoire »…..

http://www.ina.fr/video/I09152596/lajos-marton-a-propos-de-l-attentat-du-petit-clamart-video.html

 
 
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/07/fn-foutez-moi-dehors-ce-sans-couilles.html
 
 

Cercle algérianiste national - Association culturelle des Français d’Afrique du Nord
1, rue Général Derroja 66000 Perpignan - Tél. 04 68 53 94 23
Courriel : secretariat@cerclealgerianiste.fr
Cercle algérianiste national
Fédération des Cercles algérianistes
Perpignan le 8 juillet 2016
Monsieur Manuel VALLS
Premier ministre
Hôtel Matignon
57 Rue de Varenne
75007 PARIS

 


Monsieur le Premier ministre,
La France, dans le cadre de sa politique de dialogue avec l’Algérie, vient de remettre à l’État algérien, une partie des archives couvrant la période de la guerre d’Algérie, qu’elle détenait.
Ce ne sont pas moins, semble-t-il, de vingt-deux volumes de documents diplomatiques français, partie intégrante de l’Histoire de France et des Français d’Algérie, dont s’est ainsi dépossédé notre pays.
Aucune information n’a été cependant donnée, sur le contenu réel de ces archives, dont la restitution peut porter préjudice, tant aux soldats de l’armée française, qu’aux Français d’Algérie et aux Harkis,
quand on connaît l’attitude revancharde de nombre de dirigeants algériens.

Quelles garanties, Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous apporter aux citoyens français sur ce point ? Cette démarche de la France nous amène également à vous poser officiellement la question de savoir, ce
qu’au titre de la réciprocité, s’est engagé à restituer le gouvernement algérien, comme archives? En effet, voilà plus de cinquante-quatre ans qu’un tiers des actes de l’état civil des Français d’Algérie
attend toujours d’être microfilmé, alors même que ces documents appartiennent au patrimoine affectif et familial des Français d’Algérie.
La France a-t-elle cédé une nouvelle fois aux exigences du gouvernement algérien, en sacrifiant les intérêts des populations européennes d’Algérie qui attendent, pour pouvoir reconstituer leur histoire,
leur parcours professionnel et tout simplement leur vie, que le gouvernement algérien veuille bien restituer ce qui leur appartient ?
C’est à toutes ces questions, Monsieur le Premier ministre, que nous aimerions obtenir un certain nombre de réponses, car la politique de dialogue que vous entendez mener avec l’Algérie ne peut se
faire dans l’opacité, au détriment des Français d’Algérie. De même, il nous semble indispensable que vous puissiez nous éclairer sur les résultats de vos négociations, pour permettre enfin que le sort de milliers de disparus européens
enlevés et assassinés par le FLN, ne soit pas laissé dans l’ombre pour céder au politiquement correct.

Cela doit être une exigence du gouvernement français, car la vérité historique doit concerner tous les drames et toutes les souffrances.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Premier ministre, l’expression de ma considération.
Thierry Rolando
Président national du Cercle algérianiste

 
 
 
08_07_2016

Michel Rocard et Réseau Jeanson

Le réseau Jeanson était un groupe de militants traitres à la Nation français, agissant sous les directives de Francis Jeanson, qui opéra en tant que groupe de soutien du FLN durant la guerre d'Algérie, principalement en collectant et en transportant fonds et faux papiers
Porteurs de valises du FLN
Le rôle principal du réseau consistait à agir en tant que cinquième colonne en collectant et en transportant des fonds et des faux-papiers pour les agents du FLN opérant dans la métropole, d'où leur surnom de « porteurs de valises ». La plupart de ses membres proviennent du monde médiatico-intellectuel, rassemblant chrétiens de gauche, trotskistes, syndicalistes ou communistes dissidents1.
Le réseau est démantelé en février 1960 et son procès s'ouvre le 5 septembre 1960. Six Algériens et dix-huit Français sont inculpés. Ils seront défendus par vingt-six avocats dont, le plus en vue, Roland Dumas qui s'efforcera de faire durer la procédure et de ridiculiser le tribunal. Cette stratégie s'avèrera payante auprès de l'opinion publique. Quinze des inculpés sont condamnés le 1er octobre à dix ans de prison, maximum de la peine ; trois sont condamnés à cinq ans, trois ans et huit mois. Neuf sont acquittés.
> Des intellectuels de gauche, avec le Manifeste des 121, apportent leur soutien aux porteurs de valises, dans un contexte où la position de l'État français est de moins en moins claire.
> Jeanson s'est toujours défendu d'avoir trahi la France, au contraire. Il justifie son attitude par la fidélité aux idéaux sur lesquels doit s'appuyer cette même communauté française2. En fuite à l'étranger, il est jugé par contumace en octobre 1960. Lors de ce procès, il est reconnu coupable de haute trahison et condamné à 10 ans de réclusion criminelle. Il est amnistié en 19663.
>

Françis JEANSON , Hélène CUENA, Dr. CHAULET et sa femme Anne-Marie, Jacques CHARBY , le professeur D'ALSACE et le professeur Pierre VEULLAY , les prêtres de la Mission de France: Abbés Pierre MAMET, Robert DAVEZIES, BOUDOURESQUE.
> Les acteurs Paul CRAUCHET ,André THORENT , Jacques RISPAIL , François ROBERT , Jacques MIGNOT , Jacques et Lise TREBOUTA , Serge REGGIANI , Catherine SAUVAGE , Roger PIGAUT , l'écrivain Georges ARNAUD , Georgina DUFOIX , Guy DARBOIS , Paul-Marie de la GORCE , Annette ROGER , Michel ROCARD , Jean DANIEL, Henri CURIEL et sa femme Rosette , Roland CASTRO , Hervé BOURGES , CASALIS , Gérard CARREYROU , Guy BRAIBANT , Pierre BOUSSEL , Marc BLONDEL , Christian BLANC , François AUTAIN , Pierre FRANK dit "Pedro", AlainGEISMAR , Jean GIOVANELLI , Bernard KOUCHNER , MarcKRAVETZ , Henri ALLEG , Françoise SAGAN , Bernard SCHREINER , Georges SUFFERT , Jacques VERGES , François MASPERO , Jacques MELLICK , Christian NUCCI , Claude OLIVENSTEIN , Jean—Marie PAUPERT , Jean-Louis PENINOU , Michel PEZET , René-Victor PILHES , Hubert PREVOT , Madeleine REBERIOUX , Pierre VIDAL-NAQUET .


 
 
A l'occasion du décès de Michel Rocard, les médias ont rapellé ses prises de position sur l'Algérie.
1. Sa première intervention est celle du Rapport pour la République algérienne associée à la France, rédigé avec Henry Frenay au printemps de 1957.
Reçu à l'ENA en 1956, M.Rocard adhère au Comité social d'étude et d'action pour la paix en Algérie.
Il s'oppose à la politique algérienne de Guy Mollet et Robert Lacoste, et anticipe la création en sept.1958 d'un Parti socialiste autonome, précurseur du PSU.
Il estime que l'armée est hostile à la population algérienne, laquelle appuie totalement le FLN ; ceci est une erreur historique en 1958 (fraternisation du 16 mai et avis de Mohammed Harbi).

2. Sa deuxième intervention est la rédaction le 17 février 1959 d'une Note sur les centres de regroupement, à l'attention du Délégué général de la France en Algérie.
Affecté en Algérie en septembre 1958, M.Rocard a été informé par Jacques Bugnicourt, officier SAS à Orléansville, du déplacement des populations dans des centres de regroupement, afin qu'ils ils échappent au contrôle du FLN.
Cette note, diffusée par le Monde du 18 avril, fait état de la situation tragique du million d'Algériens déplacés, qui sont menacés par la famine et par la mortalité infantile élevée (un enfant sur mille tous les deux jours ! ).
M. Rocard n'a visité qu'une quinzaine de Centres de regroupement, principalement dans l'Orléansvillois,
alors qu'il y en a déjà plus de mille.
Il souligne qu'un crédit de 100 millions de nouveaux francs a été demandé pour soutenir ces regroupements.

Réalité historique (1).
3. Les médias semblent ignorer les réactions négatives du Délégué général Delouvrier, qui déclare le 16 mai 1959 qu'il n'a pas donné mandat de faire ce rapport, et que la mortalité infantile dans les regroupements est inférieure à ce qu'elle était dans les anciennes mechtas.
En août 1959 Delouvrier écrit à la Ligue des droits de l'Homme que la Note de Rocard constituait une information partielle, et que le but des regroupements consistait à créer 1000 nouveaux villages destinés au développement économique et social de l'Algérie, dans le cadre du plan de Constantine.
Grâce aux regroupements, la scolarisation des jeunes musulmans passe de 15% en 1954 à 40% en 1960 et 65% en 1961.
4. Un compte-rendu sur les centres de regroupement avait été demandé par le général Salan à 5 Inspecteurs généraux, dont la synthèse avait été confiée au préfet R. Martin ( 31 janvier 1959).
M. Rocard semble ignorer ces C.R.. D'autre part Eric Westphall, affecté au cabinet Delouvrier, dément l'existence d'un crédit exceptionnel de 100 millions (1 miliiard planifié en 1959).
Affecté à la Direction de l'Agriculture, J. Bugnicourt rédige en 1960 un rapport favorable aux nouveaux centres ruraux (les 1000 villages), sans faire référence au rapport de son ami Rocard.
Le GPRA publie des critiques virulentes des regroupements de populations, qu'il assimile à des camps de concentration; mais les C.R. des wilayas et des mintakas reconnaissent la réalité : "Nous sommes coupés de tout ;
la population ne nous suit plus ". C'est une des causes de la révolte de Si Salah.
5. Il est apparu que pour des raisons de sécurité, certains regroupements ont été opérés sans préparation,
et que certains n'étaient pas viables (article Macaigne dans le Figaro du 22 juillet 1959). Ils seront interdits par le
Délégué général en mai 1960.
Des jugements négatifs ont été publiés ultérieurement par des historiens qui ne les ont pas visités : Bourdieu en 1964,

Cornaton en 1967, Ageron en 2000, Kamel Kateb en 2001.
Xavier de Planhol, géographe universitaire, a visité les villages blidéens en 1959-60, et publié un mémoire favorable aux regroupements : le niveau de vie moyen s'est sensiblement relevé; les resserrements ont permis l'instauration d'une vie communautaire et le développement d'infrastructures matérielles et scolaires.
Les autorités militaires reconnaissent à la fois les difficultés rencontrées et les réussites de l'opération en matière de sécurité et de développement (généraux Beaufre, Olié, Gambiez, Parlange, Vanuxem, colonel Trinquier). Le
général Rondot, expert du renseignement, fait l'éloge de "l'extraordinaire entreprise de construction humaine "
qu'il a vue dans le centre créé par le colonel de Saint-Simon. Rares sont les avis défavorables des chefs de SAS.
90% des personnes déplacées ont préféré en 1962 rester dans les nouveaux villages, qui selon Bruno Etienne, sont devenus les villages socialistes de la Révolution algérienne.

(1) - Maurice Faivre. Les 1000 villages de Delouvrier. Protection des populations musulmanes contre le FLN.
Esprit du Livre, 2009.
- Xavier de Planhol. Les nouveaux villages de l'atlas blidéen. PUF 1961.
- Archives de Delouvrier (1DV17), de l'armée de terre (1h1096 - 2576) , de l'outremer (15 CAB /143),
de la Commission de Sauvegarde (F60-3156) et du CICR (BAG 251 008 012).
- ouvrages des auteurs cités.,

 
 
Le 5 Juillet 1962 fut la journée la plus meurtrière de toute la guerre d'Algérie.
Ce jour-là pourtant ce n'était déjà plus la guerre, mais la première fête de l'indépendance !

Certains en ont entendu parler, d'autres jamais, beaucoup préférant de pas savoir.

Pourtant les faits sont avérés. Les Oranais de plus de 60 ans ont tous assisté à des horreurs.

Et leurs enfants aussi savent qu'il s'est passé quelque chose ce jour-là...

J'attends le jour où l'un de ces enfants algériens, l'écrivain Kamel Daoud par exemple, saura faire montre de son talent sur ce sujet tabou qui a valu la censure à mon dernier film Algérie, histoires à ne pas dire, où 45' lui sont consacrées.


En attendant, il faut lire, et faire lire Requiem pour un massacre oublié texte, superbement écrit, de cet autre enfant d'Oran qui, comme un million de ses compatriotes, pied-noirs et juifs, fut chassé de son pays en 1962 :


Oran, 5 juillet 1962: requiem pour un massacre oublié (1/2)
Combien de temps encore pour que la lumière soit faite?

Gérard Rosenzweig

Publié dans Le Causeur le 04 et le 05 juillet 2016

http://www.causeur.fr/oran-guerre-algerie-decolonisation-5-juillet-1962-1-38933.html

http://www.causeur.fr/oran-guerre-algerie-decolonisation-5-juillet-1962-2-38934.html


 
 
 
 
 
 
Rocard.

Rocard est mort et, bien sûr, toute la classe politique a fait part de son émotion,
non seulement la gauche profonde mais aussi tous les ténors de l’UMP dite Les Républicains !
Et pourtant, lisez ci-dessous qui était vraiment ce personnage qui fut premier ministre du président à la francisque d’argent.

Une rose pour le FLN

Le premier geste politique de François Hollande après avoir été désigné candidat officiel du parti socialiste,

est d'aller jeter une rose dans la Seine sur le pont de Clichy à Asnières, à la mémoire des manifestants FLN à Paris.
> Une manifestation interdite en pleine guerre d'Algérie le 17/10/61.
> Comment aller jeter une rose à cet endroit, et faire abstraction des actes sanglants du FLN en Algérie et en France.

Faut-il rappeler que le FLN a tué plus d'Algériens que toutes les manifestations les plus réprimées de cette époque.

Par ce geste il fait passer le FLN pour de pauvres victimes de la barbarie colonialiste française.
> Le FLN extorquait des fonds pour sa guerre, menaçait de mort, torturait, égorgeait et faisait exploser des bombes

tuant des innocents ici et là bas.

Nous n'avons aucune repentance à avoir, ni d'excuses ou de regrets à formuler.
> Pensons plutôt à toutes les victimes du FLN, à nos jeunes soldats morts en algérie, aux harkis lâchement abandonnés

et non récompensés de leur choix français au moment le plus critique de cette guerre.
> Honte aux politiques qui font les guerres, missionnent des agents au service de l'état dans les pires moments de la république pour les désavouer ensuite et cracher sur leurs tombes 40 ans après.

Ayons plutôt une pensée, à la mémoire des exactions commises par le FLN, ce ne serait que justice !

En ce qui concerne le FLN, à l'époque il y avait une autre voie possible vers une indépendance ( de toutes façons inéluctable), dans le calme, sans les horreurs commises sur les "pieds noirs" et les Harkis qui auraient décidé de rester en Algérie; c'était de s'entendre avec l'ALN !!

Mais De Gaulle qui méprisait les uns et les autres les a envoyé à la boucherie, comme il a su le faire pour tous ceux qui se mettaient en travers de sa route de Pétain à Leclerc...

N'oublions pas non plus que les "porteurs de valise" de l'époque s'appelaient Michel Rocard, Laurent Dumas, Badinter etc etc...

Tous de grands patriotes !! ils auraient mérité douze balles dans la peau pour avoir trahis leur patrie !!

Les Français ont la mémoire courte et terriblement sélective... et, depuis;

ils ont tous été admis dans l'ordre de la Légion d'Honneur?. C'est pas beau, çà ???

Liste non-exhaustive des porteurs de valises (réseau Jeanson)
Françis JEANSON , Hélène CUENA, Dr. CHAULET et sa femme Anne-Marie, Jacques CHARBY , le professeur D'ALSACE et le professeur Pierre VEULLAY , les prêtres de la Mission de France: Abbés Pierre MAMET, Robert DAVEZIES, BOUDOURESQUE.
> > Les acteurs Paul CRAUCHET ,André THORENT , Jacques RISPAIL , François ROBERT , Jacques MIGNOT , Jacques et Lise TREBOUTA , Serge REGGIANI , Catherine SAUVAGE , Roger PIGAUT , l'écrivain Georges ARNAUD , Georgina DUFOIX , Guy DARBOIS , Paul-Marie de la GORCE , Annette ROGER , Michel ROCARD , Jean DANIEL, Henri CURIEL et sa femme Rosette , Roland CASTRO , Hervé BOURGES , CASALIS , Gérard CARREYROU , Guy BRAIBANT , Pierre BOUSSEL , Marc BLONDEL , Christian BLANC , François AUTAIN , Pierre FRANK dit "Pedro", AlainGEISMAR , Jean GIOVANELLI , Bernard KOUCHNER , MarcKRAVETZ , Henri ALLEG , Françoise SAGAN , Bernard SCHREINER , Georges SUFFERT , Jacques VERGES , François MASPERO , Jacques MELLICK , Christian NUCCI , Claude OLIVENSTEIN , Jean?Marie PAUPERT , Jean-Louis PENINOU , Michel PEZET , René-Victor PILHES , Hubert PREVOT , Madeleine REBERIOUX , Pierre VIDAL-NAQUET .

 
 
Ces guignols siphonnent les voix des Français nationaux, le temps d'être élus et, dès qu'ils ont retrouvé leur cher pouvoir, ils se moquent du peuple.

Toute la 5 ème est fondée sur le mensonge , à commencer par le fameux "Je vous ai compris" alors que De Gaulle traitait déjà avec le FLN via Mohamed V, Bourghiba, Masmoudi, G. Palewski, Pompidou, Tricot, à Genève, Tunis et le Caire et savait qu'il mettrait Ben Bella au pouvoir, 3 ou 4 ans après, puisqu'il l'a dit à son collaborateur technique ,le polytechnicien Jean Méo de la promotion de Bastien-Thiry !

Pierre BARISAIN

 

 
 
Chers amis du Collectif,

Paru ce matin dans Causeur.fr, voici la première partie de mon article sur le massacre du 5 juillet 62.

Rien de nouveau, bien sûr. Comme je l'ai dit, juste un tout petit pas de plus vers la reconnaissance officielle...

Bien amicalement à chacun de vous, et ma gratitude à JP LLEDO.
G. Rosenzweig

 
 
Manu GOMEZ
 
 
 
LE CALVAIRE DES ORANAIS

Fin juin soixante-deux, ma ville est moribonde.
Oran qui fut si vivante est à l'agonie.
Elle vit ses derniers jours dans une tristesse profonde.
Elle respire très mal, son cœur est en arythmie.

Au port, des cuves de mazout sont incendiées.
Une fumée noire opaque enveloppe la ville,
Un spectacle sinistre, impossible à oublier.
Les pieds-noirs, ces damnés, se préparent à l'exil.

Les derniers commandos de notre Résistance
Viennent de partir en hâte vers les côtes espagnoles.
Les malheureux Oranais sont en désespérance.
L'Armée française ne peut plus jouer son rôle.

Depuis le dix-neuf mars, jour maudit des pieds-noirs,
Le pouvoir gaullien n'a plus qu'un seul ennemi :
Les factieux d'Algérie, poussés au désespoir.
Face aux fellaghas barbares, De Gaulle s'est soumis.

Attentats et enlèvements sont le lot incessant
Des pieds-noirs accablés, sans aucune protection.
Des personnes enlevées sont vidées de leur sang,
Jusqu'à une mort lente, bien pire qu'une exécution.

Il existe au Petit Lac un hôpital précaire
Où exerce le sinistre Jean Larribère.
À ce communiste notoire, salopard renégat,
Il lui faut du sang pied-noir pour les fellaghas.

Dans un climat de peur et d'anxiété,
Oran vit les premiers jours de l'indépendance.
Jusqu'au quatre juillet, on a pu constater
Que le F.L.N. veut nous mettre en confiance.

Est créé un comité de réconciliation
Pour donner l'impression d'une concorde rétablie.
Ce n'est qu'une duperie, une mystification,
Pour leurrer les naïfs, mais surtout les roumis.

Or, le cinq juillet, on a très vite réalisé
Que le calme relatif des quatre dernières journées,
C'était pour nous tromper, nous "apprivoiser"
Avec des mots apaisants sans cesse serinés.

La tuerie du cinq juillet fut préméditée.
La fête de l'indépendance servit d'alibi
Aux assoiffés de sang qui, avec avidité,
Se ruèrent comme des fous sur les pieds-noirs honnis.

Preuve que le massacre fut prévu et combiné :
Des civils sont armés, couteaux ou armes à feu.
Ils sont venus en ville bien déterminés
À nous trucider en poussant des cris haineux.

Cette chasse au faciès blanc n'est pas spontanée.
Elle est simultanée dans bon nombre de quartiers.
Barbares par atavisme, ces maudits forcenés
Abattent pareillement hommes, femmes,enfants, sans pitié.

En uniforme de combat, de nombreux musulmans
Parcourent les rues du centre et, sans discernement,
Mitraillent tout ce qui bouge avec une rage effrénée.
Les fameux "marsiens" se montrent les plus déchaînés.

Ils entrent dans des boutiques, des restaurants, des bars,
Chargent les personnes qui s'y trouvent dans des camions,
Vociférant des insultes en sinistres barbares.
Ce sont là les fiers soldats de la rébellion ...

Les victimes de la rafle sont directement conduites
Au commissariat central ou au stade municipal.
D'autres sont amenés dans la cité maudite
Du Petit Lac où les attend une issue fatale.

De nombreuses victimes subissent le pire des calvaire.
Pendues par la gorge à des crochets de boucherie,
Certaines endurent le martyre pendant une longue agonie.
Les nouveaux maîtres se délectent de leur sadisme pervers.

Sur un ordre criminel de non intervention,
Ils sont abandonnés, sans aucune protection,
Ces pieds-noirs exécrés par un pouvoir infâme,
Un pouvoir revanchard, sans conscience et sans âme.

Jusqu'à dix-sept heures, l'Armée française est restée
Consignée dans les casernes, sans porter secours
Aux Français qui étaient enlevés ou tués
Par des hordes sanguinaires comme dans une chasse à courre.

C'est un des épisodes des plus déshonorant
De ce vil gouvernement qui a refusé
De porter assistance à ces Français d'Oran,
En danger de mort, selon l'ordre de l'Elysée.

Parmi les officiers, il y eut des exceptions.
Certains ont désobéi à la hiérarchie
Et ont pu ainsi sauver des centaines de vie,
Mais ils furent sanctionnés pour leur transgression.

Une mention spéciale pour Monsieur Rabah Khélif.
Lieutenant français, pour son courage admirable.
Ce brillant soldat mérite tous les superlatifs.
Son acte de bravoure restera inoubliable.

Ce jour-là, des musulmans sont intervenus
Pour sortir du guêpier des civils innocents
Dont le tort était d'être là au mauvais moment.
Ils méritent notre estime ces braves inconnus.

Cinquante-quatre ans après, la France des "droits de l'homme"
Ne veut pas reconnaître sa culpabilité
Dans cette chasse aux pieds-noirs, ou aux roumis, c'est tout comme.
Pourtant ce massacre de masse est une réalité.

Jean-Paul Ruiz
4/07/2016

 
 
03 Juillet 2016 La Seyne-sur-mer:
 
 
 



Cercle algérianiste national
Sauvegarder, défendre, transmettre l'histoire et la mémoire
des Français d'Algérie


Lettre ouverte à


Monseigneur Henri TEISSIER, ancien Archevêque d'Alger




Monseigneur,
Le 27 février dernier, vous honoriez de votre présence, une cérémonie du souvenir au cimetière Saint Eugène d’Alger, cher aux français d’Algérie qui comptent tant des leurs, enterrés dans ce lieu, emblématique de leur présence sur cette terre d’Afrique du Nord.
Cette cérémonie, Monseigneur, avait cependant un goût particulier puisqu’il s’agissait de rendre hommage, en présence de leaders du FLN, à Fernand IVETON, ancien terroriste et poseur de bombes de la bataille d’Alger.
Cette présence, vous le comprendrez, a blessé et heurté nombre de familles de français d’Algérie, victimes des attentats notamment à Alger, dont les civils innocents connurent pendant de longues années, les ravages causés par le terrorisme aveugle.
Et, comme si la symbolique n’était pas suffisamment forte, vous avez tenu, sans doute pour complaire aux autorités du pays, à lire une lettre de l’aspirant MAILLOT, déserteur de l’armée française qui emporta dans les rangs du FLN, les armes destinées à tuer les européens d’Algérie.
Sans doute me répondrez-vous, Monseigneur, que la compassion est une vertu chrétienne qui transcende les idéologies et ne tient pas compte des engagements politiques des individus, mais cela nous oblige cependant à vous demander solennellement, quelles initiatives vous comptez prendre pour rendre hommage aux centaines de vos frères en chrétienté, enlevés et assassinés à Oran un terrible jour de juillet 1962, le 5 très exactement, et que leurs parents ne revirent jamais.
Allez-vous leur rendre de la même manière, en homme de courage bravant les ukases des gouvernants algériens, un hommage mérité, eux qui furent pour l’essentiel, des femmes, des enfants, des hommes innocents choisis aveuglément, juste pour ce qu’ils étaient, des pieds-noirs, des chrétiens aussi, issus du petit peuple d’Oranie?
Allez-vous vous souvenir que tous les morts méritent le même respect, le même hommage mémoriel, la même compassion, ou allez-vous détourner le regard comme le fit en son temps Monseigneur Duval, abandonnant ceux dont il avait la charge, les laissant à leurs drames et à leurs souffrances, pour répondre à l’appel des nouveaux maîtres du pays?
C’est à ces questions, en effet, que les milliers de familles de disparus dont les blessures n’ont jamais été refermées et qui pleurent encore les êtres chers assassinés, et avec eux, tous les français d’Algérie, aimeraient avoir une réponse.
Nous sommes convaincus, Monseigneur, que vous aurez à cœur de nous dire, vous qui en êtes l’une des expressions, comment en 2016, l’Eglise d’Algérie peut faire œuvre d’équité et rassembler dans ses prières tous ceux dont elle a eu la charge et dont le destin a été à jamais brisé.

Thierry ROLANDO
Président national du Cercle algérianiste


Association culturelle des Français d'Afrique du Nord
1, rue Général Derroja 66000 PERPIGNAN - Tél. 04 68 53 94 23
Courriel : contact@cerclealgerianiste.fr

 
 
Bravo à Manu GOMEZ et au Cercle Algérianiste du Gers:
 
 
2016_06_25
André Suarès, fin linguiste, fut d'une lucidité parfaite dans un monde d'aveugle. Rien n'a changé.... Bonnes Pâques. Geneviève de TERNANT

à méditer et à resservir le cas échéant aux Bobos et autres dévoyés:

Être un refuge aux proscrits, quoi de plus touchant ? Offrir aux malheureux un asile, ouvrir un lieu de repos où les persécutés puissent reprendre haleine ; passer aux yeux du monde entier pour cette terre humaine, la seule enfin où l’homme n’est d’abord pas un ennemi pour l’homme, sa victime ou sa proie, quoi de plus beau ? […] En retour, il faut que les infortunés se sentent quelques devoirs envers ceux qui les sauvent. S’ils n’ont pas le cœur assez bien placé ni assez de goût pour se créer des obligations plus délicates, au moins faut-il qu’ils s’en connaissent une : celle de se plier aux lois de leur nouvelle demeure, si peu digne d’eux qu’ils la jugent. La première loi qu’un peu d’âme devrait leur imposer est le devoir de se taire. […] Ils ne vivent ici que par la grâce de l’amitié qu’on leur prête, et ils agissent en constants ennemis.

 

 
 
25 juin 2016
Le jour se lève…
La libération des peuples est avancée.


A la fin de la deuxième guerre mondiale, les pays d’Europe, ravagés par l’offensive allemande puis par celle des alliés, se sont réunis sous l’aile américaine comme les poussins sous leur poule. Puis, ils se sont regroupés sous l’impulsion des « européistes » Jean Monnet et Robert Schuman.

Cette quiète convalescence fut appréciée des peuples épuisés, chassés par surcroît de leurs territoires d’outre-mer, et occupés à rassasiés âme et corps, sevrés qu’ils étaient par dix ans de saccages. Quand on a faim, on ne s’occupe guère des intentions du distributeur de la manne, et aussi accepte-t-on sans rechigner les dons.

Puis vint la mise en place de structures à vocation soi-disant économique comme la communauté du charbon et de l’acier (CECA) et de la Communauté des Etats Européens (CEE). Comme rien ne changeait dans leur environnement immédiat, que les gouvernants continuaient à feindre de maintenir la souveraineté de leurs états respectifs, on mena ainsi, dans le contexte contraignant de la guerre froide, les peuples jusqu’au traité de Maastricht.

Entre temps, même l’Angleterre s’approcha du piège doré, avec crainte et réticence s’y installa, puis récrimina quant aux conditions qu’on voulait lui imposer. Mais elle demeura, secrétant ainsi quelques chiens heureux que les loups qui venaient leur faire une causette fuyaient aussitôt, mais de moins en moins nombreux.

Le référendum français de 1992 fut perdu de très peu par les partisans de la souveraineté – c’est à dire de la liberté – par la faute de Philippe Seguin qui se montra tétanisé par un François Mitterand malin et déjà malade.

Nul ne perçut cette même année que les peuples se réveillaient dans l’ancienne Yougoslavie et que la guerre de libération débutait.

La fuite en avant pour accroître le nombre des pays membres alla jusqu’à l’ambition d’intégrer la Turquie dont l’entrée signifierait la désintégration de la civilisation européenne, qui, elle, existe.

La ruine des pays limitrophes à cause de l’euro et des endettements nécessaire pour qu’ils pussent tenir leur rang ne fit point réfléchir la « nomenklatura » en place à Bruxelles et Strasbourg. On mit des gauchistes à la tête de la commission (Barroso ou Solana) et lentement apparurent les contours de projet dément qui soutendait l’Union Européenne : le changement des peuples et leur soumission au joug d’une organisation mondiale à venir qu’on baptiserait « gouvernement » le jour venu. Cette semaine d’ailleurs, l’ONU vient de lancer l’idée de la mise en place d’une « police mondiale » qui est une pierre de plus dans cette direction.

Les portes de l’Europe – et celle des Etats-Unis – furent grande ouvertes et les hordes se mirent en marche « des bouts de l’univers » comme s’écrit Camille dans Horace.

Les vigies des « villages gaulois » qui, dés 1992, avaient alerté l’opinion sans être entendues, puis en étant montrées du doigt, furent rejointes en 2005 par des pans d’opinion qui donnèrent, en France, aux Pays-Bas et en Irlande, des réponses négatives aux référendums sur la Constitution européenne et autres sujets intégrateurs.

Les dirigeants politiques professionnels, qui forment désormais la classe gouvernementale, ignorèrent les « non » massifs exprimés, contournèrent cette opposition et perdurèrent dans ce qu’on peut appeler désormais une trahison des clercs. Et les catastrophes s’accumulèrent que la crise financière de 2008 favorisa.

La Grèce surtout, mais le Portugal, l’Espagne, l’Italie et d’autres contrés à l’est ne pouvaient survivre sous la monnaie unique qu’on aurait pu nommer le « mark » tant elle en avait la couleur. Mais rien n’y fit. L’Allemagne de Merkel imposa de poursuivre « par le fer et par le sang » comme l’aurait dit Bismarck (Durch Eisen und Blut).

Alors commença, enfin, la révolte des peuples. Et le référendum britannique eut lieu. 52% des électeurs demandèrent que la Grande Bretagne se retirât de l’Union Européenne.

Il est au fond normal que ce soit les Anglais qui tirent les premiers. C’est dans leur nature et on les y enragea au moins une fois. Nigel Farage, ce talentueux tribun qui mit si souvent la face des européistes à nue dans le grand cirque de Strasbourg, a mené campagne et ses compatriotes l’ont suivi.

« Il vaut mieux être le premier dans son village que le second à Rome » dixit César. La formule reste vraie et les Britanniques ont choisi de sortir de l’Union Européenne pour redevenir eux-mêmes. A présent, nul ne peut nier que Bruxelles ou Strasbourg n’ont plus de légitimité et que leurs prétentions doivent être soumises au feu des urnes dans chaque pays membre.

Surtout si on s’avise de ce qui se passe aux Etats-Unis sous l’impulsion de Donald Trump. Là encore, le peuple se soulève et semble décidé à recouvrer sa souveraineté avant qu’il ne soit trop tard.

Si juin est le début de la débâcle (au sens propre du terme) en Europe, novembre peut-être celle du monde, avec le retour d’une Terre de nations libres de faire la loi chez elles, libres d’avoir les amis qu’elles souhaitent et libres de pratiquer les mœurs qu’elles chérissent.

« Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà »

Georges Clément
Comité de Lépante
Ancien président du Comité francilien de défense du franc
Ancien membre du Conseil national souverainiste

 
23 juin 2016
Chapitre XV: Le cycle de l'adieu
 
 
Pour NOS Disparus, ne rêvons pas... D'après les gouvernements français et algérien, il n'y aurait pas eu de disparus entre 1954 et 1963....
HC
 
 
 
RAPPEL
Cercle algérianiste du Gers, le 25 décembre 2014:

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjf8KSEyrzNAhXFWywKHfB7A68QtwIINjAD&url=https%3A%2F%2Fwww.youtube.
com%2Fwatch%3Fv%3D3eZK9fpGv7I&usg=AFQjCNEdmQcrA11_u--O4_wIH0EwdZfMrQ

 
La France paie encore l'alliance de charles 2gol et des communistes en 1945...
 
 
Français, réveillez-vous!!
HC
 
 
Manu GOMEZ
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Une ignominie de plus, à mettre sur le compte de l'homme du 19 mars 1962...
22 juin 2016
 
 
Obsèques d'un grand Ami de la recherche de la Vérité.
 
 
 
 
Le Massacre de la rue d'Isly était bien prémédité...
 
 
Chapitre XIV: Le cycle de l'adieu
 
 
PDF de cette commission.
 
 


Temps d’orage chez les footeux !


Voilà que cela recommence ! Nous avons eu l’affront de 2010 et nos « champions » en grève en Afrique du Sud et nous voilà en 2016 dans le monde du football plongé dans une autre tourmente médiatique. C’est un « franco-étranger » à double nationalité, qui sème la zizanie. Il ne reconnait pas sa faute et accuse. Il se prend pour un des nombrils de la sphère footballistique et marque un but contre le moral de l’équipe de France et l’Euro 2016. Bien entendu, il trouve des soutiens : ceux qui ont eu un problème avec la France et qui trouvent là un moyen facile de se venger. Auraient-ils pu attendre la fin du « 2016 » ? Non, l’occasion est trop belle de jeter une peau de banane dans les pieds de l’équipe de France et de créer ainsi un sentiment de malaise. En effet, comment peut réagir une équipe qui se trouve tout à coup confrontée à cette guerre du communautarisme, du racisme et de la bêtise ?
Souvenons-nous des « quotas » où Laurent Blanc s’est trouvé piégé il y a deux trois ans ! Cela avait fait une bombe chez les footeux, comme si à l’image de nombreux pays aux ethnies diverses, il y avait eu un partage des « genres » : un peu blanc, un peu noir et un peu pour chaque couleur de peau. Le problème a duré assez de temps pour que certaines langues vipérines trouvent de quoi alimenter leurs sacs à étrons.
Mais d’où vient le mal ? Les centres de formations de la FFF sont pleins de ces gens qui veulent devenir des vedettes, mais qui ne se servent de la France, de ses centres de formations, des finances du peuple et de leur identité française que pour obtenir un diplôme qui leur permet de retourner dans le pays d’origine de leurs parents en faisant un bras d'honneur à ceux qui leur ont enseigné l’art des dribles. Souvenons-nous de l’équipe FLN dont parle avec admiration France 2, oubliant les morts de la guerre d’Algérie. La faute à qui ? Je déclare coupable la FFF ! Elle est entre de mauvaises mains. Celle d’un humanisme collectiviste pratiquant depuis des années la lâcheté et l’illusion qui lui font fermer les yeux sur le communautarisme qui gangrène le monde du foot... Il faut se plier à la viande halal lors des repas, il faut des chambres à part, il faut un muezzine à disposition et par-dessus tout, ne pas chanter la Marseillaise lors de réunions nationales ou internationale et montrer ainsi que le «  Je ni... ta mère » n’est pas que dans de vulgaires chansons.
Aujourd’hui la polémique grandit parce qu’un joueur qui a trempé dans une drôle d’affaire de « sexe-partie », puis soumis à une enquête judiciaire, aurait voulu le beurre et l’argent du beurre, ainsi que la sélection pour l’Euro 2016. Sous l’influence d’une bande de « copains » certainement imprégnés d’une religiosité de surface, il s’est laissé entraîner dans la combine d’un chantage minable. Il y a un retour de manivelle qu’il n’accepte pas, et il faudrait, aux yeux de certains, lui donner le feu vert de la sélection sans le résultat de l’enquête. Même un ancien ministre, « fan » du « genre », s’en mêle. Il donne raison avec quelques « people » à un footballeur qui ne mérite que le silence pour ne pas dire le mépris d’avoir lancé son incantation juste avant l’Euro 2016. Une sorte de haine et de méchanceté idiote. Je me permets de reprendre la phrase d’Yves Thréard dans le « Figaro » du 02/06/2016 qui dit bien et clair ce que beaucoup pensent « Bercé par la culture de l’excuse, B... pratique le racisme à rebours qui consiste à toujours rejeter la faute sur l’autre pour nier la sienne. »

Robert Charles PUIG à Nice, le 03 juin 2016

 
 

Message lu par son auteur : Pierre Garidou lors de notre protestation contre l'apposition d'une plaque pour le 19 mars au Passage d'Agen

Mon pauvre drapeau,

je te regarde je vois que tu es triste, comme moi, tu pleures; je vois couler le long de ta hampe des larmes: des larmes rougies par le sang de tous ces soldats qui sont morts et que tu as recouverts dans un dernier hommage.

Le crêpe noir que tu arbores aujourd’hui, est le signe que tu n’as rien oublié; comme toi je me recueille en pensant à tous ceux qui ont cru et défendu la France en Algérie.

A l’époque tu portais haut et fier les valeurs de ton pays tu flottais sur tous les continents et tu étais respecté.

Pauvre drapeau, lorsque tu te battais jusqu’à ta dernière goutte de sang dans les djebels tu n’imaginais pas qu’un jour on puisse t’associer à la plus grande forfaiture que ton histoire a connue.

Ne regarde pas partir la triste copie qu’on a faite de toi et qu’on emmène commémorer une plaque qui rappelle l'abandon de notre terre natale l'exode et les massacres de nos frères et soeurs?

Comme toi, j’ai le cœur gros mais comme toi je ne baisserai pas la tête parce que tous les deux nous ne voulons pas que notre France, celle de l ’honneur, du courage et de la fidélité à la parole donnée, soit bafouée.

Honte à ceux qui ont oublié les massacres des civils, des militaires et des harkis après le 19 mars 1962-

Honte à ceux qui ont oublié la patri,e pour ne penser qu'à la quille.

 

 
 
 
 
Archives du général Goubard - Source Francine Dessaigne

http://www.alger26mars1962.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=173:3-5-liste-nominative-des-tirailleurs-de-la-section-du-4eme-rt-en-place-au-plateau-des-glieres&catid=43&Itemid=136

 
 
 
 
 
11 mai 2016
Bonjour Monsieur Thierry BEZER,


Je vous félicite pour le sujet de samedi 14 mai, "le voile de la discorde" dans votre très bonne émission:
"la voix est libre" sur FR3-Provence-Alpes.
Est-ce que vous aurez la possibilité, vous ou un de vos invités, de dire que la situation actuelle en France comme en Europe, est la conséquence directe de la forfaiture de de gaulle Charles?
Durant les folles journées d'espoir de mai 1958, avant que cela ne devienne "l'espérance trahie", les femmes françaises musulmanes de la Casbah d'Alger, sont venues sur le Forum bruler leur haïk.

Elles avaient soif d'émancipation de la femme. Avec la victoire (politique) du FLN, ces femmes sont retournées quelques siècles en arrière. Quelle tristesse de voir en France, dans les grandes surfaces de la PACA, des jeunes-filles d'à peine 20 ans, revêtir un voile presque intégral?

Merci de m'avoir lu.

Cordialement

 
 
 

Ne jamais oublier, pardonner encore moins!
HC

 
 
Comme beaucoup de mes concitoyens j'ai été scandalisé d'apprendre votre décision de convier un rappeur qui, dans les paroles de ses " chansons "a montré du mépris pour la France, pour "animer" un concert dans votre ville.
Est - ce que ce type de musique est bien adapté à la solennité de la commémoration des tueries de la Guerre de 14 - 18 ? NON !
Je connais bien Verdun et sa région. Je m'y suis rendu et y vais assez souvent pour faire découvrir jusqu'où la bêtise humaine pouvait aller. *
A chaque fois que je vais sur les champs de bataille, je suis profondément ému, en voyant ses milliers de tombes alignées et je ne peux m'empêcher d'avoir les yeux embués en pensant à tout ces jeunes qui ont sacrifié leur vie pour notre Liberté.
Avez vous pensé une seule seconde à eux avant de prendre votre décision totalement inepte ? NON !
Merci de faire en sorte que ce concert qui n'a rien de culturel ni pour la Région, ni pour le lieu, ni pour l’évènement célébré, soit PUREMENT et SIMPLEMENT ANNULE .
Salutations
Pierre Evrard

* au vu de votre décision... les limites sont loin d'être atteintes. Hélas ! Et je terminerai par un trait d'humour. On a coutume de dire que souvent le hasard fait bien les choses. Dans le cas présent M. HAZARD a fait l'inverse

http://www.huffingtonpost.fr/2016/05/12/black-m-verdun-etat-gouvernement-mairie_n_9933332.html

 
 
 
 

Belle conférence de René Lazard au Cercle Algérianiste de Nice aujourd'hui 7 mai; l'orateur a expliqué la stratégie napoléonienne cartes à l'appui et a captivé son auditoire par sa connaissance du sujet ( il a parlé près de 2 heures sans la moindre note!)... Le général Choux est intervenu suite à une question pour exposer l'organisation de l'armée française de l'époque et des années 1940 jusqu'à aujourd'hui. Nous avons tous passé un agréable moment, et l'association <Pour le Panache> était également représenté avec son président, l'ami Daniel Mathieux, et l'épouse de ce dernier dans de magnifiques costumes impériaux.

Nous recommencerons surement l'expérience!

 
 
 
 
 
 
05-05-2016
 
 

Vivement que la Vérité éclate et que les statues du Menteur, soient déboulonnées

HC

 
 
Premier mai à Notre-Dame d'Afrique, sur le site du Cerclle Algérianiste de Nice
http://nice.algerianiste.free.fr/pages/theoule_mai_2016/theoule16.html
 
 

Notre Maman du ciel, Notre Dame d’Afrique, Mère de Dieu et Mère des Hommes, nous réunit cette année encore en ce lieu.
Nous avons répondu à son appel car Elle nous invite une fois de plus à nous rapprocher de son Fils bien aimé, Notre Seigneur Jésus Christ. Elle nous invite à venir sur cette colline pour y déposer nos fardeaux et recevoir sa consolation. Elle est vraiment Mère, et Elle ne saurait faillir à la mission que son Divin Fils lui a confiée alors même qu’Il se trouvait sur la Croix dans l’accomplissement total du don de sa Personne pour le salut du monde.
Nous ne doutons pas que les prières que nous Lui avons adressées ne sont pas restées lettres mortes, et que, même si elles n’ont pas été exaucées de la manière que nous l’aurions désirée, le Cœur de Jésus, par l’intercession de la Vierge Marie, s’est ouvert à chacune de nos demandes pour laisser s’épancher la compassion et la miséricorde divines.
Oh, je crois savoir tout ce que vous avez pu venir lui confier de vos peines, mais aussi de vos joies, de vos espérances pour les vôtres ou pour vous-même. De vos inquiétudes face à un horizon des plus sombres où dominent le rejet de Dieu avec comme conséquences la guerre, la haine, la déshumanisation de la société, la désintégration de la famille…Et en plus, pour nous Pieds-Noirs et Harkis, la souffrance d’une plaie toujours ouverte, 54 ans après la perte de notre pays, l’Algérie. Le mensonge, la trahison, la manipulation n’ont cessé de poursuivre leur œuvre pour couvrir le crime commis par celui qui avait su si bien nous abuser et par ses complices de tous bords, dont les survivants ou les descendants idéologiques travestissent de manière éhontée cet abandon. L’Algérie c’était la France, mais pour nier cette réalité ils n’hésiteront pas à déconnecter les consciences, à laver les cerveaux et, en refaisant l’histoire, à culpabiliser toute une nation qui, depuis, ne cesse de se repentir d’une faute qu’elle n’a pas commise. Opération mortifère qui conduit à la négation de la patrie et de toutes les valeurs qui s’y rapportent. Mais, plus grave encore, pour que la mise à mort spirituelle soit complète, il s’agit aujourd’hui de couper la France, et avec elle tout l’occident, de ses racines chrétiennes, d’une culture et d’une société édifiées sur le christianisme. Comme je vous le disais l’an dernier, l’Algérie a été l’un des pions de l’échiquier sur lequel se jouait la stratégie de la destruction de l’occident chrétien. Face aux forces des ténèbres qui se déchaînèrent alors, notre petit peuple lutta autant qu’il le put ; de véritables héros se révélèrent et n’hésitèrent pas à donner leur vie dans un combat inégal ; nous pouvons en être fiers ; d’autres, nombreux, innocents et sans défense furent fauchés, victimes d’un holocauste dont le but était de rendre impossible toute survie, quelle qu’elle soit, de ce qui avait été construit durant ces 130 années de labeur, de courage, de persévérance et de découvertes mutuelles entre les différentes composantes de la population de l’Algérie française. Dans une allocution à l’occasion du cinquantième anniversaire de l’église de Notre d’Afrique à Carnoux en Provence, Mgr Jean-Marc Aveline, évêque auxiliaire de Marseille et lui-même Pied-Noir né à Sidi bel Abbès en 1958, évoque « le mélange culturel qui nous a façonnés chrétiens, juifs et musulmans, là-bas, sur l’autre rive, jusqu’à ce qu’un vent sournois venu d’ailleurs, éveillent les méfiances, brisent les amitiés et distille la haine ». Oui, il fallait creuser un abîme entre les communautés et le terrorisme y est parvenu. Quel constat 54 ans après : une Algérie au bord du gouffre, et une France qui a perdu son honneur et son identité. Puis-je citer encore Mgr Aveline lorsqu’il dit que, retournant là-bas ces dernières années, « il a pensé avec tristesse que ce n’est sans doute pas lorsqu’elle était française que l’Algérie avait été la plus malheureuse ». Même si, bien sûr, les choses devaient continuer de changer. Mais il y avait certainement d’autres voies ! Et j’ose ajouter d’autres voies que l’abandon lâche et criminel du pays entre les mains des égorgeurs.
Hélas, nous ne referons pas l’histoire. Cependant il nous faut vivre le présent et lutter pour l’avenir, celui de nos enfants, de nos familles et de notre patrie. Mais nous savons aussi que l’avenir est entre les mains de Dieu. Bien sûr, une telle pensée ne doit pas nous plonger dans le fatalisme d’un Mektoub qui nous réduirait à une attente passive des événements. Mais bien au contraire à une mobilisation générale pour agir avec Dieu et par sa grâce à l’édification d’un monde nouveau. Quelles sont les armes pour mener ce combat : en tout premier lieu et d’une manière urgentissime, la prière. En particulier la prière à Marie. C’est Elle, Notre Dame d’Afrique, qui nous conduira dans la défense de notre foi et de notre patrie. Et justement, pour chacun de nous, s’impose la redécouverte de cette foi chrétienne et son approfondissement. Vivez véritablement votre foi. Je vous lance un mot d’ordre : « Occupez vos églises ; ne les laissez pas vides. » Si vous les remplissez, elles seront autant de bastions solides qui empêcheront les ténèbres d’envahir notre monde. C’est là que vous puiserez la force et le courage nécessaires pour faire face à l’adversaire et pour ne pas craindre de vous affirmer chrétiens.
Que Notre Dame d’Afrique et tous les saints d’Afrique du Nord… nous aident à être fidèles à Dieu et à son Eglise.

 Amen.

Monseigneur Jean-Yves MOLINAS

 
 
 
 
 
 
 
10h30 - 10h45 MAGAZINE
Le frère Yves Combeau accompagnera les téléspectateurs durant cette première
partie d’émission.
- Les tablettes de la foi : épisode « Le pardon »
- Reportage « La foi des bâtisseurs » : Afin d’introduire le lieu de la
célébration, nous découvrirons l’histoire de l’église Notre-Dame-d’Afrique à
Carnoux-en-Provence, qui fête ses 50 ans. Après l’indépendance de l’Algérie
et du Maroc, ce sont en effet les rapatriés qui ont créé l’église, puis qui
se sont investis dans la paroisse.

10h45 - 11h40 MESSE
La messe est célébrée en l'église Notre-Dame-d'Afrique Carnoux-en-Provence
(13)
Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille, donnera l'homélie.

 

 
 
Très belles cérémonies en l'honneur de la Légion Etrangère à Nice ce samedi 23.
Après la messe à Notre-Dame-du-Port, les participants ont gagné le Monument aux "Morts pour la France" de la Ville de Nice.
Le cortège, Légion en tête, puis parachutistes "bérêts rouges", s'est ensuite dirigé, suivi du public, vers le Jardin Albert-1er? où la musique de la Légion Etrangère a joué plusieurs airs traditionnels dont le "Boudin", les "Africains"...

L'après-midi, Jacques Peyrat, lui-même légionnaire, qui était présent toute la matinée, a prononcé une conférence sur la "colonisation française" rappelant qu'il s'agissait au départ d'une idée de gauche (Jules Ferry) et qu'il n'était pas d'accord pour quelque forme de repentance que ce soit.

Il a rappelé que grâce aux DOM-TOM, la France avait le second domaine maritime au monde, après les U.S.A..

A propos de l'Algérie, il a rappelé qu'au départ de nos compatriotes, ces territoires qui avaient été civilisés par la France, comptaient près de 10 millions d'habitants, alors qu'en 1830, ils n'étaient environ
100 000!

Didier ASIN

 
 
Depuis les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, la France est en état d'urgence. Si le gouvernement actuel avait vraiment la ferme volonté de débusquer les armes de guerre qui sont détenues en grande quantité dans les quartiers de non droit, ce sont des actions comme celle que l'on peut voir sur cette vidéo qu'il faudrait appliquer et là, ce seraient des tonnes d'armes et de munitions qui serait trouvées et de nombreux djihadistes qui seraient arrêtés.

Pour lutter contre l'OAS, De Gaulle avait demandé d'utiliser tous les moyens et cela a été fait avec zèle par ses sbires, les gardes mobiles et les barbouzes qui, après avoir isolé les quartiers ciblés, ont opéré des perquisitions musclées avec brutalité, voire avec haine. Mais Hollande est trop lâche pour prendre des mesures draconiennes pour arrêter et désarmer les djihadistes qui se planquent dans les quartiers de non droit.

L'OAS se battait pour lutter contre le lâche abandon d'une province française et aussi, après le 19 mars 1962, pour défendre les Français d'Algérie que De Gaulle avait livrés au FLN. Dans sa lutte, l'OAS menait des attaques et des attentats ciblés contre les complices de De Gaulle et contre le FLN ce qui n'est pas le cas des djihadistes qui s'en prennent à des civils innocents, hommes, femmes, enfants et veulent en tuer le plus grand nombre possible. Alors que la France est en guerre contre ces terroristes sanguinaires, les mesures adéquates ne sont pas prises par le gouvernement actuel. Pauvre France !

Il est bien dommage que nous n'ayons pas un gouvernement qui soit capable de neutraliser les terroristes qui commettent ou qui ont l'intention de commettre des attentats aveugles. Cela avait été fait, avec réussite, pendant la bataille d'Alger en 1957. C'est une question de volonté et de moyens.

Jean-Paul Ruiz

 
 
Ce dimanche 24 avril 2016 : grande Messe à 10 heure 45 à CARNOUX-EN-PROVENCE, pour les 50 ans de l'église
NOTRE DAME d'AFRIQUE et de la rénovation de la statue.
VENEZ NOMBREUX.

Rolande CARO

 
 
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2012/01/07/2675099_lettre-ouverte-a-michel-onfray-concernant-l-article-sur-camus-que-lui-a-consacre-le-point.html
 

Lettre ouverte en réponse à l’article de Michel ONFRAY sur CAMUS



J’ai beaucoup d’estime pour Michel Onfray et j’ai assisté avec intérêt à quelques conférences à Caen, je n’interviendrai donc absolument pas sur les jugements philosophiques ou culturels qu’il porte et interprète sur Albert Camus.
Ce que je lui reproche en revanche c’est de s’être prononcé sur des sujets qu’il ne pouvait forcément maîtriser puisqu’il n’a pas connu Camus.
J’ai rencontré Albert Camus pour la première fois en 1946 à la rédaction du quotidien Alger Républicain et c’est lui qui m’a permis de débuter comme « pigiste » à la page des sports de ce journal. A cette époque j’étais lycéen, comme il l’avait été, au Lycée Bugeaud. J’ai eu le privilège de retrouver Albert Camus fin 1958 lorsque je suis rentré à la rédaction du quotidien L’Aurore, à Paris. Nous avons pris l’habitude de nous retrouver une fois la semaine notamment à la Brasserie Lipp et j’ai eu l’occasion de réunir autour d’une table Camus, Ahmed Rafa, le premier général franco-algérien de l’armée française, à l’époque colonel, et Pierre Blanchar, l’acteur de cinéma très connu. C’est donc à ce titre que j’interviens afin de rétablir quelques vérités. Certaines très superficielles mais d’autres essentielles pour la mémoire d’Albert Camus.
Tout d’abord Albert Camus n’a jamais été se recueillir à la basilique Notre-Dame d’Afrique et cela pour deux raisons, il n’était pas pratiquant et il fallait une voiture pour y aller et à l’époque Camus n’en avait pas. L’Algérie n’a pas été la terre de sa famille depuis 1830 mais bien plus tard (voir mon livre Camus l’Algérois). Camus n’a jamais habité le quartier de Bab-el-Oued mais la rue Bab-el-Oued, au 16, quartier de la Victoire, au-dessus de l’épicerie « La Croix Bleue » et face au « Café de l’Étoile » qui appartenait à mon grand-père, et cela durant six mois, en 1932 chez ma mère. Camus connaissait très bien cette rue Bab-el-oued qu’il traversait chaque jour pour se rendre au Lycée Bugeaud, car le tram des CFRA qui le transportait de Belcourt avait son terminus place du Gouvernement. Il en parle longuement dans « Le premier homme ».
Camus n’a jamais donné des cours à Oran à des enfants juifs interdits de scolarité par le régime de Vichy et cela pour une raison bien simple : les juifs n’ont jamais été interdits de scolarité en Algérie, je peux en témoigner puisque j’allais à l’école entre 1941 et 1945 et que mes amis s’appelaient Lellouche, Safrani et Cohen.
Enfin, et là les raisons de mon intervention sont plus graves, Michel Onfray affirme que « Camus s’est rendu volontairement, sur place, au mépris des risques encourus pour sa vie, mais aussi secrètement, discrètement » lors d’une conférence qui s’est tenue en janvier 1956 dans un local situé place du Gouvernement. Cela est totalement faux. Camus lui-même m’a affirmé que certains de ses amis de gauche (voir mon livre Camus l’Algérois) lui avaient tendu un véritable guet-apens et qu’il n’aurait jamais du participer à cette réunion encadrée par un service d’ordre FLN. Qu’à cause de sa présence un fossé s’était créé entre lui et les Pieds-Noirs ‘’ses frères’’ et qu’il en était encore mortifié près de trois ans plus tard.
Mon livre, "Camus l’Algérois", est gracieusement à la disposition de Michel Onfray et de votre rédaction du Huffington Post.

Très cordialement.
Manuel GOMEZ

 
 

19 mars 1962 date du cesser le feu : l’article http://guy.perville.free.fr/spip/article.php3?id_article=386 et l’intervention de Guy Pervillé.


La phrase : "Aucun conflit ne s’est arrêté instantanément à partir de la date qui en annonçait irrémédiablement la fin".
Entraîne de ma part quelques remarques :
Certes, à la fin de la première guerre mondiale il a pu y avoir des exceptions de fantassins isolés qui ont pu tirer encore quelques coups de feu contre d’autres militaires faute d’avoir entendu le clairon sonnant la fin de la guerre. De même on a découvert 50 ans après la fin de la seconde guerre mondiale des combattants japonais (un ou deux) perdus dans la jungle : on en a parlé comme de cas invraisemblables, le manque de communication étant évident. Tel n’est pas le cas en Algérie : la communication était omniprésente radio, haut-parleurs, télévision, « téléphone arabe » a fortiori dans les grandes villes.
Le cessez-le-feu ne concerne que des combattants, ici il s’agit de massacres de civils désarmés. Évidemment il n’y eut plus de coups de feu seulement des égorgements, des enlèvements, des viols, des exécutions sommaires par ébouillantage, émasculations, esclavage tant sexuel qu’au travail, etc.
Par ailleurs le fait d’emmener des groupes de civils devant les militaires français l’arme au pied aurait du, pour des gens civilisés, éveiller quelques doutes sur la continuation de la guerre.
Il semble au contraire que ce fut le signal d’une boucherie vengeresse en même temps que le désir d’une implication de lâches qui n’avaient pas pris le maquis et qui voulaient se donner bonne figure face aux réels combattants.
Cette exultation naît d’autant plus facilement que militairement le FLN était battu, tous s’appliquent à le reconnaître. Or les pourparlers montrent que c’est la France qui jette l’éponge contre toute logique, que le vainqueur avoue sa défaite et c’est cela qui est une première dans l’histoire des guerres. Comment s’étonner alors des exactions de ces pseudos héros, mais véritables lâches, qui s’exercent sans risques d’opposition armée devant même les militaires français passifs ? C’était un moyen de montrer encore plus sa force, son impunité, sa supériorité sur un pays comme la France qui venait de perdre son honneur, sa dignité. Il ne faut pas confondre magnanimité et lâcheté. Cette déliquescence n’a cessé de s’aggraver depuis, et nous mener où nous en sommes.
Comment s’étonner, alors, que l’Algérie fête cette date comme une victoire ?! Et chez nous de pauvres ignares reconnaissent cette date comme une libération, plus exactement comme la quille nationale, en quelque sorte. Heureusement que nos aïeux n’ont pas fêté Waterloo ou Trafalgar ! Il est vrai qu’à l’époque la France était un grand pays honorable. Les temps changent !
En revenant sur cette phrase initiale, je constate qu’elle est toujours valable : le conflit ne s’est toujours pas arrêté. En effet les gouvernants algériens l’ont fait savoir dès le lendemain : « Ce n’est que le début », « nous vaincrons avec le ventre de nos femmes » (et j’ajouterais avec ceux des nôtres également, quand on voit le nombre de pères qui retournent au Maghreb avec leurs enfants nés de « mariages » mixtes)…, le terrorisme actuel en France et en Europe, l’embrigadement de certains de nos jeunes au combat pour le djihad sans que nos gouvernements ne prennent de mesures simples et efficaces : expulsions des imams non gratta et autres auteurs injurieux contre les emblèmes de la République, multirécidivistes,…
On remarque en effet que rien n’a changé : bombes dans les bars, restaurants, salles de spectacles, entraînant fouilles à l’entrée des magasins, Sécurité Sociale, restrictions des rassemblements, casseurs impunis, crainte de sortir le soir et tout le reste!!!
Adrien BISCOS
La Seyne/mer, 18 avril 2016

 
 
 
 
Le 19 mars, date funeste dans notre histoire


Certes, il n'est pas très productif de ressasser le passé quand on regarde l'avenir très incertain qui nous menace, mais cette date du 19 mars 1952, célébrée par François Hollande, marque le déclin inexorable la place de la France dans le monde, de ses ambitions, et de sa grandeur.

Contrairement à la parole et aux promesses données, un président de la république, de Gaulle, a privé sa propre armée, pourtant maîtresse du terrain, d'une évidente victoire.

Contrairement à l'honneur, il a abandonné les populations indigènes, qui avaient été nombreuses à nous être fidèles, combattants comme les harkis ou civils et anciens combattants, sachant très bien le sort atroce qui leur serait réservé.

Contrairement à ses engagements, il a abandonné ses propres nationaux (anciens combattants, 20 ans plus tôt, des campagnes de Tunisie, d'Italie et de France jusqu'en Allemagne) : tous ont été livrés, pieds et poings liés, aux couteaux vengeurs du FLN.

De Gaulle a abandonné 130 ans de travail de mise en valeur agricole de l'Algérie, sans parler d'autres réalisations, comme les voies de communications, les barrages, les ports, l'éducation et l'éradication de nombreuses maladies...(La syphilis, etc...)

D'un trait de plume, l'oe??uvre Française en Algérie passait aux oubliettes.

Laissés, oubliés, le pétrole et la gaz du Sahara que nous avions trouvés et qui auraient pu apporter une totale indépendance énergétique de la France... Oubliée aussi, la position stratégique de l'Algérie, porte de l'Afrique.

Les accords d'Evian ont été un chiffon de papier sur lequel se sont essuyées les mains sanglantes des égorgeurs du FLN, promus comme uniques interlocuteurs (et quels interlocuteurs...). Du fait de ces accords à sens unique, les Algériens bénéficient encore en France d'avantages sociaux particuliers.

Dés le 19 mars 1962, l'armée a dû rester l'arme au pied avec interdiction formelle d'intervenir, fût-ce pour protéger les populations.

Le 5 juillet, à Oran, malgré le massacre de centaines d'Européens et de musulmans profrançais, sur ordre du général Katz, l'armée est restée figée.

De Gaulle a même fait tirer sur une foule désarmée ; il a utilisé sa police et ses barbouzes pour étouffer toute velléité de résistance.

Avec une telle politique, comment voulez-vous que le monde (musulman) vous respecte ?

Voici 54 ans, le pouvoir a été vil et lâche.

Rien n'a changé. Le président actuel se vautre dans la repentance et célèbre une défaite.

Nous payons cash cette politique désastreuse.

Hugues TAVEL

 
 
14 avril 2016
 
 
 
 
Stop aux mensonges du F.L.N....
 
 
 


HONTE ?


Honte, c’est sûr ! Puis de l’étonnement, de la bassesse, du déshonneur face à cette attitude socialiste. A contrario, n’est-ce pas un sentiment d’indignation qui anime le peuple de France devant cette honte de voir le gouvernement de la République « laisser faire » des manifestants épris de haine contre une loi ? De plus on s’aperçoit combien il y a deux poids et deux mesures entre les manifestations contre le « mariage pour tous » des années 2012 / 2013, où les opposants à cette loi inique avaient été malmenés, emprisonnés par dizaines et aujourd'hui où ces manifestants de gauche font la « loi des rues ». Ils cassent, brûlent, attaquent les policiers à coups de barres de fer, de pierres et de mortiers. Ils insultent, mentent et blessent, mais le pouvoir n’en trouve que huit à emprisonner à Paris.
Drôle de justice en ce mois d’avril 2016, qui interpelle et fait passer en jugement des policiers en position de légitime défense, parce que submergés d’agresseurs qu’il ne faut ni toucher ni punir.
Honte donc à cette gauche au pouvoir face à celle des rues et que le gouvernement « laisse faire ».
Une quasi révolte des « bolcheviques » de la gauche la plus extrême contre un François Hollande qui n’a, peut-on supposer, que ce moyen pour rameuter les socialistes dispersés à son secours, en accusant finalement et pourquoi pas, une certaine droite de provoquer ces troubles. Il y parviendra, ne pouvant accuser sa gauche... et déjà certains journalistes biberonnant au relativisme de gauche s’y lancent.
Mais le peuple qui a perdu l’élection de 2012 sur de fausses promesses, se laissera-t-il abuser par les mensonges socialistes ? Acceptera-t-il de confondre les extrémistes trotskistes avec la droite ? Le mensonge socialiste s’apparente au mensonge gaulliste qui a berné le peuple sur l’Algérie française, et la mascarade continue !
Manuel Valls va ces jours-ci à Alger. Dans sa démarche, il y a comme une soumission du PS face à son vieux complice du FLN, sur le dénigrement de l’Histoire de France.
Comment traduire ce voyage ? Abjection, indignité, humiliation, opprobre ?
Sans réagir face aux interdictions algériennes de recevoir certains journalistes – Le Monde ou Canal + – qui ne sont pas mes références, que va chercher Valls à Alger ? Il est dans la continuité des discours de François Hollande de 2012 vers une repentance déguisée envers les algériens, et c’est sans un seul brin de retenue qu’il accepte les diktats d’un pays qui méprise la Métropole.
Il est évident que s’il avale sans broncher les couleurs de ce déshonneur, c’est que son voyage cache une autre pensée socialiste bien plus odieuse et méprisable.

En jouant la marionnette élyséenne à Alger et en rencontrant un Bouteflika invisible aux propres yeux de son peuple, il prépare l’élection de 2017.
Après la reconnaissance du 17 octobre 1961, celle du 19 mars 1962, les socialistes et leur porteur de valises, Valls, montrent au FLN, combien ils attendent des algériens un « bon » vote pour la prochaine présidentielle en faisant élire un Hollande, un Valls ou un autre socialiste – cela reste à définir – qui mangent à la même auge un avoine amer pour un nouveau quinquennat plein de chausse-trapes, d’attrape-couillons ou de pièges à cons !
Les français mordront-ils à l’hameçon PS ?
C’est à craindre face à l’effacement de la droite dont le seul jeu consiste à se tirer dans les pattes, sans entendre la voix de la raison et la recherche d’une unité introuvable.

Robert Charles PUIG / avril 2016

 
Durant ce mois pourri de mars, battons nous encore plus, contre le 19 mars...
 
 
Certains pays n'ont pas essayé d'effacer leurs racines chrétiennes, leurs traditions, leur culture, leur fierté d'être espagnol, leur amourde leur armée, et cela donne une nation en pleine osmose avec ceux qui
les protègent. Ils sont surs de leur légion, qui sont tous Espagnols. Je suis certain que personne ne viendra se poser la question s'il faut faire la crèche de Noël, ou les processions traditionnelles de Pâques.

François PAZ

https://www.youtube.com/watch?v=itFpKscjCms

 
 
 
 
La Garde: 54° anniversaire du massacre de la rue d'Isly à Alger, 26 mars 1962.
 
 
 
 
 
 
 
Faut-il être communiste pour commémorer une défaite française??
 
 
BFMTV 18 MARS 2016 - SEQUENCE COMPLETE
 
 
 
 
 
TOULON 54° anniversaire du massacre de la rue d'Isly à Alger, 26 mars 1962.
 
 
 
 
 
 
 
 
Robert Ménard a présidé une cérémonie très émouvante en cette triste journée du 26 Mars. Il a prononcé ce discours que je vous transmets avec plaisir. Amitiés. Marie-Pascale Rizo

Discours de Robert Ménard, maire de Béziers, prononcé lors de la cérémonie organisée à la mémoire des Français victimes du massacre de la rue d'Isly :

"Mesdames, Messieurs,
Mes chers amis,

Voilà exactement 54 ans, le 26 mars 1962, l'armée française tirait sur des Français d'Algérie. 67 morts, 200 blessés.

Le soir même, le général de Gaulle prenait la parole à la télévision. Il exhortait les Français à dire oui au référendum sur l'autodétermination – l’indépendance en fait - de l'Algérie.

Le président d'un État dont les forces de l'ordre venaient d'assassiner 67 civils prononçait, osaient prononcer ces mots : « En faisant sien ce vaste et généreux dessein, le peuple français va contribuer, une fois de plus dans son Histoire, à éclairer l'univers ».

Mots grandiloquents, mots emphatiques, mots de morgue, mots de mensonge. En fait d'univers éclairé, c'était une nuit sans étoiles et sans lune qui s'abattait sur les Français d'Algérie et sur les harkis. Une nuit d'effroi et d'agonie, de rapts, d'égorgements, de viols. Pour tout un peuple, il n'y aura plus jamais d'aurore sur cette rive de la Méditerranée.

Trois mois plus tard, c'était l'exode d'un million de Français fuyant les couteaux et les balles des barbares avec lesquels ce même général de Gaulle avait signé un accord. Trois mois plus tard, des dizaines de milliers de harkis étaient abandonnés à leurs assassins. Ils allaient mourir dans une orgie de violence…

Un demi-siècle a passé. Deux générations. Beaucoup sont morts qui n'auront jamais revu leur terre natale, goûté ses fruits gorgés de soleil, senti de nouveau l'odeur des eucalyptus, ri à gorge déployée sur les plages de leur enfance.

Pourquoi revenir sur cette période autrement qu’en déposant symboliquement, protocolairement, une artificielle couronne d'hommage, sertie de phrases creuses et mornes ? Pourquoi se livrer à ce qui peut ressembler à un combat d'ombres évanouies contre des spectres sans linceul ? Pourquoi ? Parce que rien n'est achevé. Rien n'est clos. Tout revient.

Le passé, vous savez, le passé se déverse dans l'avenir. Il est un torrent qui n'oublie rien et qui charrie en ses eaux toutes les fautes, tous les renoncements, tous les mensonges. Un jour, le torrent resurgit à la surface et l'on s'aperçoit alors que ce que l'on croyait disparu voyageait, souterrain, en silence. Il n'est pas rare dans l'histoire - car l'histoire n’a ni morale ni fin - qu'une génération doive payer pour une autre. C’est bien ce qui nous menace aujourd’hui…

Le massacre de la rue d'Isly, comme le dieu Janus, a, au fond, deux visages. Isly est à la fois un commencement et une fin. Une porte d'entrée et une porte de sortie. Isly est la puissance et la gloire, mais aussi la faiblesse et la honte.

Puissance, car s'il existait à Alger une rue d'Isly, c'est parce qu'auparavant, il y avait eu une bataille d'Isly. Le 14 août 1844, aux confins de l'Algérie, 11 000 Français avaient vaincu 25 000 Marocains. Battus, en déroute, ces Marocains abandonnèrent l'émir Abdel Kader et ses tribus épuisées. L'Algérie pouvait devenir française. Isly, c'est donc une victoire fondatrice, c’est l'Empire, c'est la France sûre d'elle, de sa force, de sa langue, de sa civilisation.

Mais, depuis le 26 mars 1962, Isly est aussi le symbole de la France qui fuit, de la France qui se ment à elle-même, de la France qui meurt…

A cinquante ans de distance, nous vivons des faits similaires. Les événements de 2015 à Paris – ou à Bruxelles - sont l'écho des événements d'Algérie de 1954 à 1962. Hier déjà, le fanatisme islamiste galvanisait ceux qui s'appelaient entre eux, non pas des fellagas, mais des moudjahidines.

Ce fanatisme qui a fait le tour de l'Orient campe désormais dans nos villes. Le dire n'est pas faire un contre-sens historique, mais un raccourci libérateur qui mène d'une vérité à une autre, pour faire comprendre les liens qui existent et qui expliquent ce qui se passe et ce qui risque de se passer.

Certains nous accusent d'instrumentaliser l'histoire au prétexte que nous lui donnons un sens qui n'a pas le bonheur de leur plaire. Mais il y a une différence entre ces gens et nous. Pour la plupart d'entre eux, l'histoire, ce sont des livres, des films, des cours... Pour nous, l'histoire, cette histoire, c'est notre histoire. Nos familles ont payé du prix de l'exil, du prix des larmes, du prix du sang, le droit de dire cette histoire.

Eux parlent ou écrivent, nous, nous avons vécu. Et ils voudraient encore, ils voudraient en plus que nous nous taisions ? Que nous les écoutions nous expliquer la guerre d'Algérie tout en nous excusant de ne pas être morts comme tant des nôtres ?

Nous ne nous tairons jamais. Et encore moins au regard des événements de 2015 et de ce début d'année. Et encore moins devant, face à ce qui vient à nous.

L'islamisme, cela commence par des insultes - « sale français » -, cela continue par des mosquées fanatisées, ça se termine par des attentats. Croire que nous n'avons en face de nous que quelques fous, commandés de loin, c'est se leurrer. L'islamisme se cache dans chacune de nos villes, chaque jour renforcé par l'afflux de migrants. Les musulmans qui refusent leur loi seront les premiers à devoir fuir ou mourir. Puis - ou en même temps - ce sera notre tour. La France est en première ligne. C'est donc de France que partira, que doit partir la résurrection de l'Europe.

Voilà pourquoi nous sommes ici aujourd'hui. Voilà pourquoi nous n'étions pas là, il y a une semaine, pour le 19 mars.

Nous ne commémorons pas le 19 mars parce que nous ne sommes pas des traîtres.

Nous ne commémorons pas le 19 mars parce que nous ne crachons pas sur nos morts.

Nous ne commémorons pas le 19 mars parce que nous nous voulons des Français dignes de ce nom.

Chers amis, mes amis, ceux de la rue d'Isly sont morts en martyrs de l'Algérie française. D'autres sont tombés en héros pour sauver l'honneur de la France sur cette terre abandonnée. Ne les oublions jamais.

Dans les temps qui viennent, nous devons conserver en nous la mémoire des uns et l'exemple des autres. Et alors, nous saurons que nous ne marcherons jamais seuls sur le chemin du combat.

Vive la France ! Vive la plus grande France ! Vive la France toujours et encore !"

 
 
 
 
ALGER 26 MARS 1962

LE PIÈGE MACHIAVÉLIQUE

Quartier attaqué par des avions en piqué,
Appartements dévastés par des tirs de grenade
Et d'armes lourdes, de pauvres gens paniqués,
C'est bien pire que s'ils avaient subi une tornade.

Depuis trois jours, le quartier de Bab-el-Oued
Fait l'objet d'un blocus car il est assiégé
Par les forces de l'ordre et n'obtient aucune aide.
En manque crucial de vivres, les familles sont piégées.

Par solidarité, de nombreux Algérois
Veulent se rendre dans ce quartier pour y apporter
Leur cordial soutien à ce peuple en désarroi
Qui doit être secouru et bien réconforté.

Une manifestation est donc organisée.
Mais les Algérois ignorent qu'un horrible traquenard
A été ourdi par le monstre de l'Elysée
Qui veut anéantir ces "pieds-noirs braillards".

Une foule pacifique, brandissant des drapeaux,
Portant des paniers de vivres et médicaments,
Est bloquée rue d'Isly et tombe dans le panneau.
Elle va être victime du pire des châtiments.

Posté devant Havas, sans aucune sommation,
Un tirailleur ouvre le feu sans qu'au préalable
Il y ait eu menaces ou vociférations.
C'est le point de départ d'une tuerie effroyable.

Pendant près d'un quart d'heure, les fusils mitrailleurs
Des tirailleurs musulmans, sans discontinuer,
Vont assassiner, avec avec un sadisme rageur,
Des civils innocents, touchés de plein fouet.

Hommes, femmes, enfants, vieillards, s'écroulent sur le pavé.
Vidant chargeur sur chargeur, ces soldats sanguinaires
Sont de vrais barbares : des blessés sont achevés.
Ils tirent à bout à bout portant, ces monstrueux sicaires.

Cette tuerie préméditée, c'est de l'abattage.
Plus de deux cents blessés et des dizaines de morts.
Le premier responsable de cet infâme carnage
Est l'immonde De Gaulle qui n'éprouve aucun remords.

À la hâte, par camions, les cadavres sont enlevés.
Les familles ne peuvent pas récupérer les corps.
On veut cacher que des blessés ont été achevés.
Les cercueils sont enterrés en un temps record.

Jusqu'à aujourd'hui, cet authentique crime d'Etat
N'a pas été reconnu par les gouvernements
Successifs depuis qu'on est parti de là-bas.
C'est une chape de plomb qui empêche tout jugement.

Elle n'est pas intervenue, la justice humaine.
Je suis certain que Là-Haut, le Justice divine
A sévèrement jugé tous ceux qui, avec haine,
Ont fait triompher leurs convictions assassines.

Jean-Paul RUIZ
24/03/2015

Les principaux responsables de ce crime d'État :

En premier lieu : Charles De Gaulle, président de la République.

Ses complices à Paris : Michel Debré, premier ministre,
Roger Frey, ministre de l'intérieur, Pierre Messmer, ministre de la défense.

Ses complices à Alger : Christian Fouchet, haut commissaire de la République,
Vitalis Cros, préfet de police de la place d'Alger, les généraux
Ailleret et De Menditte.

 
 
CERTAINES CITATIONS SONT CONNUES. IL EST BON DE SE LES REMETTRE EN MEMOIRE.


Voici ce qu'ont écrit à ce propos des Algériens d'hier et d'aujourd'hui, dont d'anciens ennemis de la présence française :

Abderrahmane Farès, notaire dès 1936, président de l'Assemblée Algérienne en 1953, il prend la tête de l'exécutif provisoire en avril 1962 :
"S'il est en Algérie un domaine où l'effort de la France ne se discute pas, c'est bien celui de l'enseignement. On doit dire que l'école a été un succès certain. Les vieux maîtres, les premiers
instituteurs, ont apporté toute leur foi pédagogique, sans arrière-pensée, et leur influence a été extrêmement heureuse."

Augustin-Belkacem Ibazizen, premier bâtonnier kabyle en 1937, Croix de feu, conseiller de l'Union Française, officier de réserve : "La scolarisation française en Algérie a fait faire aux Arabes un bond de
mille ans."

Boualem Sansal, écrivain algérien : "En un siècle, à force de bras, les colons ont, d'un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux.
Seul l'amour pouvait oser un pareil défi... Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous qui sommes ses enfants."


Bachir Ben Yamed, journaliste franco-tunisien, ancien directeur de Jeune Afrique : "A son indépendance, nul pays extérieur au monde occidental, Japon et Afrique du Sud exceptés, ne disposaient d'une
infrastructure aussi développée que celle de l'Algérie."

Ferhat Abbas, pharmacien, président du GPRA, premier président de l'Algérie indépendante : "L'oeuvre de la France est admirable ! Si elle était restée vingt ans de plus, elle aurait fait de l'Algérie
l'équivalent d'un pays européen."

Malika Boussouf, écrivain et journaliste, ancienne rédactrice en chef et actuellement éditorialiste du quotidien Le Soir d'Algérie : "Si lesPieds Noirs n'étaient pas partis en masse,
l'Algérie ne serait peut-être pas dans l'état désastreux dans lequel elle se trouve."

Hocine Aït Ahmed, un des chefs historiques du FLN : "Chasser les Pieds Noirs a été plus qu'un crime, une faute, car notre chère patrie a perdu son identité sociale.
Avec les Pieds Noirs et leur dynamisme, je dis bien les Pieds Noirs, et non les Français, l'Algérie serait aujourd'hui une grande puissance africaine, méditerranéenne... Hélas !"

Hocine Aït Ahmed, à nouveau : "Il y a eu envers les Pieds Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents
et dont l'Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens."

Hocine Aït Ahmed, toujours lui, avec cette cinglante adresse à tous ces salauds de porteurs de valise, qui - aujourd'hui encore, et même plus que jamais - continuent
à vomir leur haine de traîtres victorieux sur la colonisation et les Pieds Noirs : "La propagande française présentait les Pieds Noirs comme des négriers faisant suer le burnous.
Ils refusaient, soi-disant, l'accès à l'école aux enfants arabes. Pour ma part, je me souviens d'avoir eu autant de camarades de classe de toutes communauté confondues:
catholique, musulmane, juive et protestante, et ce, tant à Alger que dans le bled... voire plus dans ce dernier."


Elle est dans ces propos aussi détachés que désintéressés, la vérité sur la colonisation algérienne...

 
 
 
 


Le 19 mars 1962-Communiqué de la FONDATION MARECHAL DE LATTRE


Le 19 mars 1962 ne fut pas un « cessez- le - feu en Algérie

Comme la majorité des associations patriotiques, La Fondation Maréchal de Lattre qui, depuis sa création, a apporté son soutien aux soldats combattants en Algérie et aux victimes de cette guerre, ne peut que s’étonner que le Président de la République ait choisi ce 19 mars 2016 et le Mémorial du quai Branly pour commémorer la mémoire des victimes militaires et civiles de la guerre d’Algérie.

Il s’agit en effet du jour anniversaire d’un « cessez-le-feu » proclamé le 19 mars 1962 mais qui, respecté par la seule Armée française, n’empêcha pas un déchainement de violences, d’assassinats et de disparitions de plusieurs dizaines de milliers de Harkis avec leurs familles et de Pieds noirs, tous civils sans défense.

535 militaires français furent également assassinés après cette date.

Dans le contexte national actuel et connaissant les émotions entourant la mémoire des victimes de ce conflit fratricide dont les plaies ne se referment que très difficilement, on ne peut qu’approuver la réserve que les Chefs d’Etat de la Vème République ont observée sur le sujet et regretter ce choix du Président de la République actuel d’honorer de sa présence une cérémonie, à cette seule date, à l’exclusion de celle qui depuis 2002 est une journée nationale d’hommage aux Morts pour la France, célébrée à Paris au Mémorial du quai Branly, chaque 5 décembre.

Gilles Bonnier
secrétaire général

Paris le 15 mars 2016

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
CONTRE-CEREMONIES POUR LA DATE DE LA HONTE.
 
NICE
   
VALREAS
 
 
Cette semaine, La Voix est Libre a lieu le 19 Mars, jour anniversaire du cessez-le-feu en Algérie qui a suivi les accords d’Evian du 18 Mars 1962. Depuis de nombreuses années, la polémique est vive autour de cette question : "Faut-il commémorer cette date du 19 Mars ?". Certains pensent que c’est une date historique. Les autres expliquent que les combats et les violences se sont poursuivis bien après. Cette année, la polémique est encore plus vive puisque pour la première fois un Président de la République – François Hollande – participera aux commémorations officielles samedi après-midi à Paris. De nombreuses associations (pieds noirs et harkis) critiquent cette présence présidentielle.
La Côte d’Azur est particulièrement concernée par ce débat. La communauté pieds noirs y est très importante. Et puis la plupart des élus de droite du département boycottent la cérémonie officielle qui aura lieu à Valbonne (et pas à Nice comme les autres années). Certains ont même écrit au Président de la République pour manifester leur désapprobation.
 
 
 
 
 
 
Monsieur le Président de la République,


Il y a bien longtemps que je désirais vous adresser cette lettre ouverte… Je pensais pourtant que… tout compte fait… cela ne servirait à rien.
Mais j’apprends par la presse que vous comptez, cette année, pour l’anniversaire du 19 Mars 1962, donner à cette forfaiture… en étant présent à la cérémonie… une certaine dimension historique !
Cela est proprement incroyable… honteux… voire dégueulasse !
En effet, vous n’êtes pas sans savoir que tout ce que racontent les tueurs du FLN et les “porteurs de valises”, (physiques ou moraux) dont les prototypes les plus emblématiques sont M. Benjamin Stora et les communistes de la FNACA est faux, et que par votre présence, vous officialisez des mensonges d’Etat.
M. Chirac et M. Sarkozy, vos deux prédécesseurs, pourtant pas très courageux en l’occurrence, n’avaient pas osé aller jusque là. Mais vous, vu votre “popularité”, vous n’avez plus rien à perdre !
Eux aussi, pourtant, ont été à plusieurs reprises pleurnicher à Alger… et se repentir… sans aucune honte sur le dos de la France…comme vous… pour des raisons exclusivement électoralistes, appel du pied… aux plusieurs centaines de milliers de binationaux qui vivent chez nous… après nous avoir chassés de “chez eux”. MM. Chirac et Sarkozy s’étaient gardés d’officialiser cette date, car ils savaient… comme vous-même… qu’elle marquait en fait le commencement… des tueries… enlèvements… séquestrations…. de milliers de civils européens, auxquels s’ajoutèrent des dizaines de milliers d’anciens soldats français d’origine musulmane qui, avant de se battre à nos côtés sur la terre algérienne, avaient été des nôtres dès 1870… puis en 1914-1918… en 1940-1945… et en Indochine.
Ils représentaient en nombre, et volontairement eux, juste avant ces accords odieux, cinq fois plus que les soldats FLN de la dite “Armée de Libération Nationale”… dans les maquis algériens… en Tunisie… et au Maroc.
Car face à tous ces mensonges, ces trucages, ces faux… que disaient réellement ces fameux et douteux accords… que le FLN n’a jamais respectés :

LES ACCORDS D’EVIAN
DE L’INDEPENDANCE DE L’ALGERIE (Extraits non tronqués)
(…) L’Etat algérien souscrira sans réserve à la Déclaration universelle des droits de l’homme, et fondera ses institutions sur les principes démocratiques et sur l’égalité des droits politiques entre tous les citoyens sans discrimination de race, d’origine ou de religion. Il appliquera notamment les garanties reconnues aux citoyens de statut civil français.

DES DROITS ET LIBERTES DES PERSONNES ET DE LEURS GARANTIES
Dispositions communes
Nul ne pourra faire l’objet de mesures de police ou de justice, de sanctions disciplinaires ou d’une discrimination quelconque en raison :
? d’opinions émises à l’occasion des évènements survenus en Algérie avant le jour du scrutin d’autodétermination,
? d’actes commis à l’occasion des mêmes évènements, avant le jour de la proclamation du cessez le feu.
Aucun Algérien ne pourra être contraint de quitter le territoire algérien, ni empêché d’en sortir.
Leurs droits de propriété seront respectés. Aucune mesure de dépossession ne sera prise à leur encontre sans l’octroi d’une indemnité équitable préalablement fixée.

DE LA COOPERATION ENTRE LA FRANCE ET L’ALGERIE (Extraits non tronqués)
Les relations entre les deux pays seront fondées dans le respect mutuel de leur indépendance, sur la réciprocité des avantages et l’intérêt des deux parties.
L’Algérie garantit les intérêts de la France et les droits acquis des personnes physiques et morales dans les conditions fixées par les présentes déclarations. En contrepartie, la France accordera à l’Algérie son assistance technique et culturelle, et apportera à son développement économique et social une aide financière privilégiée.

LES ACCORDS D’EVIAN ET LE PETROLE DU SAHARA (Extraits non tronqués)
Dans les départements actuels des Oasis et de la Saoura, la mise en valeur des richesses du sous-sol aura lieu selon les principes suivants :
? La coopération franco-Algérienne sera assurée par un organisme technique de coopération saharienne. Cet organisme aura un caractère paritaire. Son rôle sera, notamment, de développer l’infrastructure nécessaire à l’exploitation du sous-sol ; de donner un avis sur les projets de loi et de règlements à caractère minier ; d’instruire les demandes relatives à l’octroi des titres miniers ; l’Etat algérien délivrera les titres miniers et édictera la législation minière en toute souveraineté.

- Les intérêts français seront assurés notamment par :
- L’exercice, suivant les règles du code pétrolier saharien, tel qu’il existe actuellement, des droits attachés aux titres miniers délivrés par la France.
- La préférence, à égalité d’offre, aux sociétés françaises dans l’octroi de nouveaux permis miniers, selon les modalités prévues par la législation minière algérienne.
- Le paiement en francs français des hydrocarbures sahariens à concurrence des besoins d’approvisionnement de la France et des autres pays de la “zone franc”.
Faut-il répéter éternellement qu’aucun article de ces accords ne fut jamais respecté par le FLN.
Faut-il aussi répéter… réécrire… clamer… que tous les prisonniers politiques incarcérés à la suite d’activités en rapport avec ce conflit… “Evènements d’Algérie” ou “guerre d’Algérie” devaient être libérés… De Gaulle fit immédiatement sortir de prison les gens du FLN… pendant que les défenseurs de l’Algérie française, du Sahara et des populations qui ne voulaient pas de la terreur des amis de M. Bouteflika… restèrent encore des années derrière les barreaux.
Sur le terrain, ce fut le désastre. Et le mot est faible ! Il se passa dès cette date des choses horribles. Tout fut couvert par Charles De Gaulle et ses sicaires ! Celui-ci, du début à la fin mentira à tout le monde. Il embraya immédiatement après le soulèvement populaire d’Alger du 13 mai 1958. Celui-ci était dû au fait… qu’en Tunisie… trois jeunes soldats français du contingent… venaient d’être fusillés par le FLN. Il demanda à ses hommes de main d’essayer de prendre le train en marche. Très rapidement, il fit dire au général Salan… que… ce qu’il faisait “était remarquable et dans le sens voulu pour l’honneur et la sauvegarde de la France”.
C’est lui, et lui seul, qui demanda de préparer un largage massif de parachutistes sur Paris… Il s’inquiètera même de savoir… si les généraux d’Alger voyaient assez grand quant aux effectifs qui seraient engagés. Comment cela s’appelle-t-il ? Un PUTCH !
On connait la suite honteuse qui vit cet homme… “Le plus grand des Français”… “Le visionnaire”, etc… raconter n’importe quoi… et prendre le pouvoir de façon tout à fait cavalière pour ne pas dire antidémocratique… tout du moins vis-à-vis de la démocratie française telle qu’elle nous est racontée.
Il en remit des tonnes… Ainsi à L’Echo d’Alger du 24 octobre 1958 : « Quelle hécatombe connaîtrait l’Algérie si nous étions assez stupides et assez lâches pour l’abandonner. »
Au général Bigeard, le 27 août 1959 : « Moi vivant, jamais le drapeau FLN ne flottera sur l’Algérie. »
Il fit même constamment des déclarations racistes qui aujourd’hui vaudraient de sérieux ennuis à leurs auteurs.
A Delbecque : « Vous nous voyez mélangés avec des musulmans ? Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des arabes ? »
A Alain Peyrefitte : « Les musulmans ? Vous êtes allés les voir ? »… « Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. »
Et toujours au même : « Vous croyez que le corps français peut absorber 10 millions de musulmans, qui demain seront 20 millions et après demain 40 ? Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais… Colombey-les-Deux-Mosquées ! »
Pourtant quand, dernièrement encore, Mme Morano, dont je ne suis pas électeur, cita des déclarations du “grand homme”… elle se fit insulter… ridiculiser… et… chose nouvelle, des plumitifs stipendiés signèrent dans leur feuille de choux des articles disant que… tout ce qu’elle attribuait au général… était faux ! (sic)
Que se passa-t-il réellement sur le terrain après, le 19 mars ?
A la fin de la semaine qui suivit… le 26 mars… le “Premier résistant de France” tel un dictateur de République bananière, fit mitrailler, rue d’Isly à Alger, une foule de civils… seulement armés de drapeaux tricolores, et qui ne demandaient qu’une chose : Rester Français sur leur sol. La tuerie fut horrible… Une centaine de morts… Deux cents blessés. Elle dura 12 minutes.
Que faisaient donc dans la rue tous ces civils ? Ils désiraient soutenir moralement la population de Bab El Oued. La signature des soi-disant accords d’Evian avec des membres du FLN ne représentant qu’eux-mêmes… avait plongé les populations d’Algérie, pieds-noirs et musulmans fidèles, dans le désespoir et le malheur, et c’est dans ce quartier populaire qui vota un temps communiste, que le refus de l’abandon prit toute sa force et sa détermination. Abandonnée pour abandonnée, la population décida d’interdire ses rues aux forces de l’ordre qu’elle considérait comme… “passées à l’ennemi”.
Dans un tel climat de haine, alors qu’aux cris « Algérie française », des cortèges arabes répondent par « Vive l’Algérie algérienne », Vive “De Gaulle, le drame ne pouvait qu’arriver. Il arriva ! Le 23 mars 1962, des coups de feu vont être échangés. A Paris, De Gaulle est fou de rage. Il donne des ordres drastiques et, tel un Bachar el-Assad, ordonna d’employer tous les moyens contre une partie de son peuple. Aussitôt l’armée et la gendarmerie encerclent ce quartier, y pénètrent à grands renforts de blindés, écrasant les voitures… éventrant les devantures de magasins. A la 12-7, les troupes tirent sur les fenêtres les balcons, dans les rues, sur les façades des maisons. A plusieurs reprises, chose quand même inouïe… et bien cachée depuis… l’aviation, en rase motte, mitraille les toits. Les perquisitions se succèdent, les appartements sont, non pas fouillés, mais saccagés. Les blessés, les malades ne sont pas soignés. Les morts ne sont pas enterrés. Il n’y a plus de ravitaillement… Bal El Oued est transformée en véritable ghetto hermétiquement fermé, sur la populace comme dirait votre ami Jospin.
Pourtant un grave problème demeurait… Le désarmement des harkis ! Dans beaucoup de cantonnements, les soldats supplétifs sentent que des choses bizarres se trament… mais jamais… au plus profond d’eux-mêmes… ils ne penseront que De Gaulle… va les livrer au FLN.
Déjà, beaucoup d’officiers de SAS et de secteurs subodorent que des choses graves, et totalement impensables se mettent en place. Beaucoup décident en urgence de tout tenter pour expédier leurs hommes et leurs familles en métropole. Incroyablement, la vindicte de De Gaulle et de ses barons… ne s’exerce pas contre les tueurs et les égorgeurs du FLN qui sévissent dès lors dans toute l’Algérie, mais contre les officiers qui tentent de sauver leurs hommes, et par extension leur honneur.
Des mesures draconiennes sont immédiatement prises aussi contre les harkis qui auraient l’outrecuidance de croire aux bruits qui commencent à circuler. C’est à ce moment que M. Louis Joxe, Ministre d’Etat chargé des Affaires algériennes, et grand féal de De Gaulle, se déshonorera en signant plusieurs télégrammes qui sont… des condamnations à mort pour 150 000 musulmans fidèles à la France et ainsi livrés à la vindicte du FLN.
Télégramme n° 125/IGAA, ultra secret (16 mai 1962) :
« Le ministre d’Etat Louis Joxe demande au haut commissaire [en Algérie] de rappeler que toutes initiatives individuelles tendant à installation métropole Français musulmans sont strictement interdites. En aviser urgence tous chefs SAS et commandants d’unités. »
Comme cet ordre paraissait n’avoir eu que peu d’effets, Joxe le doublait d’une directive plus explicite, le 15 juillet 1962 :
« Vous voudrez bien rechercher, tant dans l’armée que dans l’administration, les promoteurs et les complices de ces entreprises de rapatriement et faire prendre les sanctions appropriées. Les supplétifs débarqués en métropole en dehors du plan général seront renvoyés en Algérie. Je n’ignore pas que ce renvoi peut être interprété par les propagandistes de l’OAS comme un refus d’assurer l’avenir de ceux qui nous sont restés fidèles. Il conviendra donc d’éviter de donner la moindre publicité à cette mesure. » (sic)
Dans de nombreux cantonnements, des convois de camions arrivent… certains sont pleins de caisses… d’autres vides. Des “officiers”du matériel (Oui, des “officiers”) expliquent aux harkis rassemblés… « Nous vous amenons de nouvelles armes en meilleur état. Mettez tout votre vieil arsenal dans les camions vides, de façon que l’on puisse vous distribuer le nouveau matériel. » Les hommes s’exécutent. Puis, dès qu’ils sont désarmés… les salauds s’enfuient les laissant désemparés.
? Dans le port de Nemours, près de la frontière marocaine, des dizaines de supplétifs français sont émasculés, jetés dans des fûts d’huile bouillante, enterrés vivants dans du ciment, avec seule la tête qui émerge.
? En juillet 1962 : Le commando “Georges” formé par Bigeard et composé uniquement de jeunes fellaghas ralliés à la France et opérant dans la région de Saïda, doit embarquer à Oran pour la Métropole.
Ils sont désarmés et renvoyés sur Saïda… Arrêtés par le FLN, ils sont torturés, enterrés debout, vivants. Seule leur tête sort du sol et la population est invitée à venir déféquer sur eux. Ils mettront des jours à mourir !
? En juillet 1962 : A Philippeville, dans le port, la Harka de Beni Bechir, de la SAS de Mareuil, très bonne unité militaire, est à bord d’un bateau en partance pour Marseille.
Un commandant de l’ALN exige son débarquement. Le commandant du bateau refuse. Une heure après, l’officier du FLN revient… avec un ordre écrit du général de Corps d’Armée de Constantine… un général français… donnant ordre de débarquer manu militari les harkis et de les livrer au FLN. Débarqués de force malgré leurs cris et leurs supplications, ils sont tous égorgés sur la place Demarqué à Philippeville.
Devant tous ces drames horribles, De Gaulle reste impassible, dans la mesure où les ordres viennent de lui. Les supplétifs français musulmans continuent à être désarmés par les troupes françaises qui restent sur place, alors que les accords d’Evian que le FLN n’a jamais respectés stipulaient : « Tout musulman pourra opter librement pour la nationalité française… rester en Algérie et bénéficier de l’amnistie totale… ou rejoindre la métropole. »
La situation est aussi désastreuse pour les Européens et les Musulmans de l’administration, très nombreux, qui servaient la France avec honneur et fidélité. En fait, rien de sérieux n’est prévu pour eux.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, il existe une date bien précise qui semble être le début exact de l’épidémie d’enlèvements… Ceux-ci en effet atteignent leur apothéose le 5 juillet 1962 à Oran, où les tueries se déclenchent et prennent une ampleur inégalée.
Il y eut, Monsieur le Président de la République, après le cessez-le-feu et l’indépendance… en deux mois et demi… plus d’enlevés et de disparus… qu’entre novembre 1954 (début des “évènements”) et le 19 mars 1962… soit huit années !
C’est pour cela, Monsieur le Président, que votre date du 19 mars ne veut rien dire… et est une insulte supplémentaire aux malheurs des Français d’Algérie, toutes confessions confondues. En effet, le 5 juillet 1962, la ville d’Oran a connu une véritable Saint-Barthélemy. Ce fut véritablement… une chasse aux Européens… où tous les moyens furent employés… pour massacrer des populations civiles qui n’avaient qu’un tort... être françaises ! Des cortèges sans fin d’Européens, les mains en l’air, sont conduits vers le lieu dit…le Petit Lac… et massacrés par une foule en délire, sans qu’aucune autorité FLN n’intervienne… et sans que l’individu commandant la région… le sinistre général Katz… qui dispose pourtant encore de 18 000 hommes, ne fasse quoi que ce soit. Il se contentera de survoler la ville en hélicoptère… et même longuement… les lieux des massacres. Il donna finalement ordre à ses officiers de… absolument pas intervenir !
Il faut savoir que M. de Gaulle lui attribua une étoile supplémentaire. Ce “brave homme” n’hésita pas d’ailleurs… à déclarer publiquement… « Je n’ai fait qu’obéir aux ordres formels du Chef de l’Etat ». Le seul soldat qui fit son devoir fut un officier musulman qui sauva des dizaines d’Européens… Katz, déchaîné, lui déclara… « Vous ne seriez pas musulman je vous casserais et vous mettrais au trou ! » Il y eut malheureusement de nombreux “petits Katz” dans cette époque démente. Il faut savoir que sur les milliers d’hommes, de femmes, d’enfants enlevés… ceux qui furent retrouvés étaient généralement morts de façon atroce.
Les services de renseignements français, savaient très souvent où étaient détenues les personnes disparues… L’ordre drastique tombait tous les jours… Interdiction de bouger ! Les femmes françaises enlevées étaient toutes livrées à la prostitution. Des maisons closes servant de centre de repos (sic) aux tueurs du FLN… étaient connues ; parfois même le nom des femmes qui y étaient détenues… chair à plaisir, violées à longueur de journées et de nuits. Pire encore, un certain nombre de français enlevés étaient déclarés donneurs de sang… et saignés à blanc. Ceux retrouvés, ressemblaient à des momies.
Tous les renseignements nécessaires à la récupération d’une grande partie des internés étaient entre les mains des services français. Mais M. Joxe (toujours lui et toujours sur la brèche) sortit une nouvelle “note de service”… Un télégramme très explicite… qui interdisait à tous les services français, civils ou militaires, d’intervenir ! Il écrira même sans que jamais personne ne lui demande des comptes par la suite… « Je serai pour ma part hostile à une intervention quelconque de la Croix Rouge internationale dans tout ce qui concerne les arrestations et détentions d’Européens. » Ce texte était connu du gouvernement puisqu’il émane d’un de ses membres et était daté du 2 avril 1962.
M. le Président, pour exposer seulement une partie de cette très sombre et honteuse vérité, sachez qu’à chaque enlèvement d’un homme, d’une femme, d’un enfant… courageusement (dans un tel climat de haine, de peur et de désespoir)… des civils européens courraient vers les patrouilles françaises pour les alerter… et que chaque fois… oui, chaque fois… les chefs de patrouille répondaient « Nous avons des ordres draconiens. Nous n’avons plus le droit d’intervenir dans des affaires comme celle-là !  Le maintien de l’ordre dépend maintenant du FLN !»
Il y eut même mieux, c’est-à-dire bien pire ! Des hommes évadés d’un camp de détention du FLN et qui s’étaient réfugiés… dans une caserne de gendarmes mobiles… ont été remis à leurs bourreaux. Dès décembre 1961, Charles De Gaulle, Président de la République française avait approuvé la création d’équipes de barbouzes… fait débloquer les fonds et donner ordre au Haut commissaire, Christian Fouchet, de faire en sorte que … « l’intendance suive ». Fut ainsi créé… pour travailler avec le FLN, une police parallèle, la Mission C (pour “choc”) commandée par M. Bitterlin, représenté en métropole par un avocat… le sieur Lemarchand… et supervisé sur le terrain en Algérie par un authentique vrai flic, directeur de la police judiciaire. Tout ce beau monde, dès ce moment ne travailla plus qu’au profit du FLN et transmettait à ceux-ci… des listes… vraies ou fausses… de citoyens français catalogués comme partisans de l’Algérie française ! C’est ainsi que le chef FLN, Si Azzedine, responsable de la zone autonome d’Alger travailla dès cette époque avec tous les services officiels ou “barbouzards” du gouvernement officiel de la France.
Il reçut régulièrement dès lors, de l’envoyé spécial de De Gaulle, le Préfet Vitalis Cros, des listes de dénonciations de Français… Nom… Prénom… Age… Adresse… et même pseudonyme. Dès cet instant, et officiellement, il fut décrété que les “barbouzes” et le FLN… n’avaient plus qu’un seul ennemi commun… Les Français qui refusaient de larguer l’Algérie et le Sahara.
Et que dire M. le Président de ceux qui à cause… de cette ignoble trahison… tombèrent aux mains du FLN. Je vous laisse le soin de réfléchir sur leur sort.
Plusieurs de mes amis sont passés par là… Attachés nus sur des lits en ferraille… Battus… Torturés…Sodomisés avec des bouteilles de Perrier… Tourmentés inlassablement pendant des jours et des nuits en présence, souvent, d’officiers supérieurs de la gendarmerie. Tout cela a été constaté… certifié…enregistré par tout le corps médical français… d’Alger et d’ailleurs en Algérie. Ce fut le cas de mon ami Ziano, loque humaine à sa miraculeuse libération.
Et tout cela, M. le Président de la République, pour en arriver où ? et à quoi ?
Le 19 juin 1965, Ben Bella, premier Président de la République algérienne est arrêté et jeté en prison pour des années. Ce sont les hommes de la sécurité militaire, véritable Gestapo, aux ordres de son ex-chef d’état-major, Boumediene, qui ont monté l’affaire. Cet acte dictatorial ne gêne personne dans l’ensemble des démocraties, et surtout pas en France où pas un seul homme de la mouvance mondialiste et humaniste… pas un seul de vos amis… n’élève la voix.
Dans les années qui suivirent l’emprisonnement de Ben Bella… Boumediene, comme prévu, “muscla” son régime et sabota sciemment les “accords”. Les biens français, abandonnés lors de l’exode tragique des “pieds-noirs”, de “biens vacants” sous Ben Bella, devinrent des “biens d’Etat” sous son régime.
Sans préavis, dès 1968, quatorze des sociétés françaises de distribution du pétrole saharien, notre pétrole, sont nationalisées. Puis de mois en mois, les meilleures entreprises françaises, les plus modernes, les plus rentables, toutes garanties par les accords d’Evian, sont à leur tour nationalisées… sans que Paris ne dise rien… sans que la moindre mesure de rétorsion ne soit prise contre les biens algériens en France… qui sont, dans le domaine hôtelier entre autre, colossaux.
Le 24 février 1971, le pétrole saharien est nationalisé. Nous n’intervenons pas plus. Boumediene pourtant (cela est prouvé) pense que la France, cette fois-ci, va prendre le mors aux dents. Il pense que le gouvernement de Paris va expulser le trop-plein de travailleurs algériens. Des mesures sont même prises par toutes les wilayas pour accueillir les refoulés. Rien ! De grands rires sonores s’élèvent dans le ciel algérien.
Les chefs FLN qui savaient depuis longtemps ce qu’ils devaient penser du courage politique des dirigeants français se rient de nous et nous méprisent.
Aujourd’hui l’Algérie retourne au chaos après dix longues années de guerre civile qui connut tous les excès et fit deux cent mille morts… des vrais, ceux-là ! Les milliards que nous leur avons donnés, ou laissé prendre, c’est-à-dire le pactole que représentaient… notre gaz, notre pétrole (car tout cela ne fut jamais algérien)… ont été dilapidés, pillés, détournés.
Pour obtenir la paix civile, il a fallu… aux satrapes au pouvoir à Alger… acheter à prix d’or, tout ce que produisait avant l’Algérie française… et le distribuer à perte.
Cette Algérie, qu’ils ont récupérée en état de marche, est en ruines ! La chute des prix des hydrocarbures va mettre ce régime à genoux… et déjà les “jeunes” de là-bas… savent où ils vont aller… Chez nous ! Nous leur devons bien cela… puisque tout est de notre faute ! Il faut absolument que nous leur donnions des visas !
Nous les avons (à vous entendre, vous et vos amis, M. le Président) tellement malmenés, tellement pillés ! Pendant 130 ans, ils ont connu l’enfer, et le sieur Bouteflika, même grabataire, en remet une couche chaque jour… A l’entendre, il parait que « l’occupation française en Algérie, fut pire que l’occupation allemande en France ! » (sic). La seule différence c’est qu’au départ des Allemands, des millions de Français n’ont pas pleuré pour aller s’installer outre Rhin
Parfois, pensant à ma jeunesse, aux combats qu’avec tant d’autres jeunes… de toutes races et de toutes religions… nous avons mené pour l’honneur de la France sous le drapeau tricolore… je réfléchis à ce qu’aurait pu être notre pays… si nous n’avions pas été gouvernés par des gamellards soucieux seulement de “leur carrière politique” !
Car se sont bien des traîtres qui ont laissé entendre… et ont finalement fait croire… à ceux que vous appelez les “jeunes des banlieues”… que toutes ces “conneries” étaient la vérité… et qu’en plus… leurs grands-pères avaient battu l’armée française… alors que la seule vérité est que notre armée, que ce soit avec ses appelés ou ses engagés, a gagné militairement la guerre dite d’Algérie et que seul… Charles De Gaulle l’a perdue, volontairement, politiquement pour tenter, avec l’aide de M. Adenauer, de devenir le chef de la “troisième force mondiale” entre le bloc américain et, à l’époque, le bloc soviétique.
Devant les tribunaux d’exception qui prétendaient nous juger… alors qu’ils n’étaient qu’au service de la trahison et de l’abaissement de notre patrie… debout, face à eux, sans faiblir, ni baisser la tête, nous leur avons dit, les yeux dans les yeux… Vous ne voulez pas de l’Algérie française, vous aurez la France algérienne. Nous espérions pourtant, au fond de nos cœurs de soldats… que cette horreur n’arriverait pas. Mais malheureusement pour la France, cela se réalise.
Oui M. le Président, grâce à vous et à vos amis qui faites passer vos idéaux politiques nauséeux et criminels… avant l’intérêt du peuple de France…NOTRE PATRIE EST EN DANGER… Comme le général Katz… prenez votre hélicoptère… Regardez dans nos rues… Ils sont là… et les autres arrivent !
Mais il est vrai que vous avez autre chose à faire, n’est-ce-pas ? Il vous faut déjà débloquer des milliards (alors que nous sommes en faillite)… pour tenter de récupérer votre électorat en charpie… Continuer à changer notre peuple, puisqu’il vote mal… et déchristianiser la France.
Beau programme en effet, digne de la Haute Cour !
Voilà ce que je voulais vous dire M. le Président.
Je ne vous salue pas… Je le regrette… mais il faudra bien que notre peuple, et surtout notre jeunesse, que vos amis et vous-même avez déboussolée et rendue apatride sache que des citoyens de ce pays, simplement hommes du peuple… ne se résignent pas et appelent à la résistance afin que face au désastre que vous nous concoctez… SURVIVE LA FRANCE ETENELLE ET CHRETIENNE !

Roger HOLEINDRE
Président du Cercle National des Combattants

 
 
 
 
Objet: Lettre ouverte d’un Français d’Algérie à Nicolas SARKOZY : Ôtez votre masque !

Lettre ouverte d’un Français d’Algérie à Nicolas SARKOZY au sujet du 19 mars : Ôtez votre masque !

Les médias vibrionnent de votre posture au sujet du 19 mars, notamment avec le soutien d’un journal ami qui promet une pétition, dont le fichier des signataires servira demain à rappeler aux Français d’Algérie, qu’à l’instar de votre grand maître « Vous nous avez compris ! ». Mais nous ne nous ferons pas avoir cette fois, en dehors de quelques représentants avides de prébendes et de gogos servant de piétaille aux cérémonies d’élus prétendus républicains. Car les Français d’Algérie n’oublieront pas ce que fut votre compréhension à leur égard du temps de votre présidence.

Bien sûr, nous ne pourrions qu’approuver votre réaction à la trahison du néo porteur de valises au profit du FLN et d’une association masquée du P.C.F. Mais il faudrait que nous vous croyions sincère. Au moins, eux, se battent sous leurs vraies couleurs et nous n’attendons pas d’amitié ou de pitié de leur part, ni pour notre Histoire, ni pour nos Victimes et leurs familles.

Vous dites « La guerre d’Algérie a été un événement dramatique, des hommes et des femmes portent encore dans leur souvenir comme dans leur chair la trace de cette Histoire vivante, ne déclenchons pas une guerre des mémoires ». Mais qu’en était-il de vos valeurs républicaines, de votre appétence à plus de démocratie, de votre espoir de réconciliation entre Français et de Paix interne, mais surtout de votre compassion envers des familles françaises meurtries depuis 54 ans, lorsque vous leur avez interdit d’honorer leurs Morts à deux reprises ? Vous étiez Ministre de l’Intérieur (2006), puis Président de la République (2007), lorsque vous nous avez refusé le Ravivage de la Flamme le 5 juillet par l’association ALLO (Anciens du lycée Lamoricière d’Oran) que je présidais. Cette cérémonie, et pas une manifestation qui peut toujours dégénérer, avait pourtant été autorisée par le Comité de la Flamme et son président de l’époque, le Général Jean COMBETTE. Il s’agissait d’honorer les trois mille Oranais disparus et massacrés le 5 juillet 1962. Ils furent pendus à des crocs de bouchers, éviscérés, égorgés, brulés vifs, lynchés, fusillés, etc., quand, en tant que femmes, elles ne finirent pas dans les bordels du FLN. Cet Hommage était aussi élargi à tous nos Disparus de la Guerre d’Algérie (Pieds Noirs et Harkis). Ces Victimes étaient-elles pour vous moins honorables que celles de Toulouse, de Charlie, du Bataclan, des cafés et de l’hyper Cacher, voire même que celles des tours de New York ?

Votre prétexte fut celui de risques de « troubles à l’Ordre public ». Nous n’étions pourtant que quelques centaines de gens présents à cette cérémonie, dont des familles de Disparus. Nos tempes étaient depuis longtemps blanchies. Nous fûmes, sur votre ordre, stoppés et empêchés de raviver la Flamme par des centaines de CRS, casqués et armés. Ce fut, semble-t-il, la seule fois où le Public ne fut pas autorisé à accéder au Monument, sauf du temps des Nazis, peut-être !

Or le 5 juillet 2006, à la même heure, vous faisiez fi de « tout trouble à l’Ordre public », en laissant des hordes de voitures venues des banlieues monter et descendre à toute vitesse les Champs Élysées, passagers penchés à l’extérieur, vociférant des cris, klaxons, drapeaux algériens flottants au vent. L’Algérie allait jouer un match important dans le cadre de la Coupe du Monde. Mais pire, toujours faisant fi de tout « trouble à l’ordre public », vous laissiez se dérouler une manifestation anti-israélienne en bas de la même avenue, à proximité des ambassades américaine et israélienne, lors de laquelle furent proférés des slogans et insultes contre les Juifs.

Par notre double interdiction, vous niiez, alors, la douleur des familles, « leur souvenir comme dans leur chair ». Vous bafouiez la Mémoire des victimes, foulant aux pieds la Loi qui fait « obligation à l'État de permettre la tenue des manifestations de ceux qui la respectent ».

Je déposais deux plaintes au nom d'ALLO. En 2009, le Préfet, ancien Saint-Cyrien, qui déshonorait ainsi son ancien uniforme, et l'État étaient doublement désavoués, c'est-à-dire vous-même. Vous étiez condamnés pour cette méprisable action, par deux jugements du Tribunal administratif. Les arrêtés d'interdiction étaient annulés (virtuel) et l'État condamné à verser deux fois 500€ à ALLO. Sans aucune vergogne, Préfet et État, c'est-à-dire encore vous, firent appels des deux jugements. Vous fûtes de nouveau condamnés en 2011, à hauteur cette fois de deux fois 1000€. Vous alliez enfin comprendre, les condamnations, pas nous. Aujourd’hui cette cérémonie se tient chaque année.

Oui, on ne vit donc pas ce qu’était votre sens de la Paix des Mémoires et de la réconciliation avec des familles françaises meurtries depuis 54 ans. Ces familles de Disparus subirent ainsi une quadruple peine, après les trois infligées par votre triste mentor : perdre les siens, sans savoir dans quelles horribles conditions, ni où gisent les corps martyrisés, voilà que vous leur interdisiez de les honorer. Cumul de peines que ne vivent pas les familles victimes de Mérah, chez Charlie ou du 13 novembre. Nous espérons pour elles que dans quelques années les terroristes n’enseigneront pas dans les universités, que les médias et le Cinéma ne leur offriront pas des tribunes et que nos politiciens n’iront pas un jour se prosterner au Monument des Martyrs d’un quelconque État Islamique, comme c’est le cas pour nous. Il est vrai que nos familles n’eurent, elles, jamais droit aux cellules psychologiques pour leur permettre de faire ce deuil que l’on demande à la moindre disparition, pas plus qu’elles n’eurent le droit aux comités d’accueils que l’on réserve aux Étrangers, surtout quand ils crachent sur la France. Mais il est vrai que vous obéissiez ainsi aux instructions comminatoires qui vous avaient été données par les habituels salisseurs de la France, par Mouloud AOUNIT, président du MRAP avant qu’il ne soit « sorti » pour positionnement trop communautariste, par la LDH de Toulon -ces prétendues associations droits de l'hommiques et anti racistes-, par la dénommée MOUSSAOUI, membre du PC et journaliste de l'Humanité, enfin par la Presse algérienne et son ami GAVOURY, dont les compassions ne vont qu’aux porteurs de valises et aux terroristes fellaghas. Mais il vous fallait bien plaire au terroriste-président algérien auprès de qui vous mendiiez, comme votre prédécesseur et votre successeur, la signature d’un traité dit « d’amitié franco- algérien » (sic).

Oui, que ne nous vous avons entendu vous élever contre cette « guerre des Mémoires », pour une France réconciliée et apaisée ? L’était-elle pour nous sous votre présidence ? Nous serions aujourd’hui plus enclins à croire que votre action n’est pas que politicienne et à la noblesse de vos anathèmes contre le président en exercice.

C’est pourquoi les Français d’Algérie, vos Compatriotes, n’oublieront pas. Pas plus qu’ils n’oublieront que les massacres intervenus après le 19 mars 1962 furent l’œuvre généreuse de celui dont vous revendiquez, comme bien d’autres, le sinistre héritage.

Jean-Pierre RONDEAU

Président de DEPATRIES

Président d’Honneur des Anciens du Lycée Lamoricière d’Oran

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ma nostalgie

J'aimerai rendre hommage a ces religieuses de la congrégation des sœurs de Never, qui maintenant sont au ciel, qui en 1939-1945 étaient résistantes et profondément harkis ; rendre hommage à tous ces poilus qui ont donnés leur vie pour la patrie ; rendre hommage à ces français d'Algérie qui ont été chassés de leur pays juifs, chrétiens, musulmans, pardonnez ma nostalgie.
Je les ai aimé, je les aime encore. Je les ai vus pleurer, ils doivent se retourner dans leurs tombes. Je les remercie pour leur noblesse d'esprit, jamais je ne les oublierai.

Il est dit "celui qui te fait du mal, bénis le". Je m'adresse à tous ceux qui ont fait de De Gaulle leur religion. Ils ont oubliés que c'était Monsieur Winston Churchill qui était la tête pensante. De Gaulle n'a jamais dirigé une brigade, pendant que sur le terrain des gens résistaient et ont été déportés, cet homme de Londres qui ne supportait pas qu'on lui fasse de l'ombre se prenait pour le gratin mais en réalité il était la sous-couche.
En 1945, il est rentré triomphant sur les Champs-Elysées et il a écarté tous les grands, pardonnez ma Nostalgie.
Il a récidivé, lui et son gouvernement, en Algérie, en disant "je vous ai compris" qui voulait dire "je vous ai trahie". Il a désarmé les harkis, lui et ses lieutenants, déshonoré, humilié et livré à l'ennemi. Cet homme était un égocentrique, un être cynique et inhumain avec du sang dans les mains, lui et les siens. Il a bien vécu pendant que d'autres ont tout perdu.

A ceux qui écoute la voix de leur maître, ils nous reproche d'être nostalgique, en ce qui me concerne, mon cœur est déchiré, je ne peux pas pardonner leur offense. Je n'ai pas besoin que certains religieux porteurs de valises me donnent des leçons, charité bien ordonné commence que par soi-même, si ils ne respectent pas leur famille et leurs grands-parents qui se sont battus pour la France, moi je les ai toujours profondément respecté, parce qu'ils étaient respectables.
A vous, qui nous reprochait sans cesse notre nostalgie, vous auriez mieux fait de vous occuper de la Nation Française au lieu de profaner les tombes de nos parents. Quand vous allez vous recueillir sur ceux de vos familles, pour la Toussaint, alors vous êtes nostalgique. Je me demande et je ne comprendrai jamais pourquoi, vous, petites gens, vous vous permettez d'assister aux cérémonies, n'oubliez pas, c'est de la nostalgie, pour nous c'est un devoir. Il est vrai que dans le troupeau il y a des agneaux, des chiens et des paons. On ne peut pas courir plusieurs lièvres à la fois, sinon on est un mauvais chasseur. J'aimerai dire aussi que la noblesse ne s'inscrit pas que dans un nom, on m'a toujours appris que dans la vie il y avait les chefs, les sous-chefs et les sous-fifres, ça en est assez d'insulter, de solder ce pays.
Comme dirait un honorable Colonel; "vous avez une mentalité de laqués", vous n'avez pensé qu'a vous et à vos intérêts, vous avez un portefeuille à la place du cœur. Je suis fille de Harkis, ça commence par un H comme Honneur. Dans ma famille et celles de vrais Harkis, j'aimerai vous dire qu'on a vécu dans la précarité et que mon père a été assassiné en 1968 avec tous les services qu'il a rendu à la Patrie. Ils sont allé jusqu'à lui voler ses décorations, pardonnez ma nostalgie, mais ça me fait très mal quand vous remettez des médailles ou dois-je appelé ça des pattes de fruits, à des gens peu méritants. J'ai honte de vous!
Pendant les élections, les Harkis vous intéresses, mais autrement toute l'année nous sommes considérés comme des Arabes. Vous dites qu'ils réclament toujours quelque chose, mais que je sache, les migrants ne se sont pas battus pour les couleurs tricolores et à eux, à tous ces hommes, ils sont tous jeunes, des gaillards, incapables de se révolter dans leur pays mais ils viennent ici avec la complicité de certaines associations, pour prostituer la France, alors pardonnez ma nostalgie quand je vois tout cela, je pense à celles et ceux qui doivent se retourner dans leur tombe.

Dernière chose, comme des inconscients vous ne respectez pas beaucoup la tombe du soldat inconnu, il faut dire qu'il y a une chose qui ne s'achète pas, c'est un cerveau. Et on m'a toujours appris qu'il ne fallait pas se défroquer devant des petites gens. Nous ferons tout pour sauver notre Nation! Vous insultez même l'armée française, ils ne sont pas vos sujets, mais vous êtes bien contents qu'ils vous escortent et que grâce à eux, si il n'étaient pas là pour organiser le devoir de mémoire, je veux parler des cérémonies, alors tout resterait dans l'oubli. Eux aussi, je pense qu'ils sont nostalgiques, Dieu merci! Ils sont la parade, et non des pantins. Arrêtez de les sous-estimer! Quand au défilé du 14 Juillet, c'est bien le seul jour où les communistes applaudissent l'armée française, pardonnez ma nostalgie.
Je finis par, il est dit "dans le champs des Africains et si quelqu'un venait à y toucher, nous serions là pour mourir à ses pieds". Je suis en colère, je suis révoltée, je suis dépassée, mais je sais et je pense que d'autres partagent mes idées.

Voilà ma profonde nostalgie, Vive la France!

ps: Il était né dans un château, mais sa cervelle était étroite. On dit qu'a Colombey-les-Deux-Eglises il y a deux Eglises, mais il n'y a qu'une cloche.

Ben-Brahim Dalida

 
 
 
 
16 mars 2016
 
 
 
 
Notre "bon Président de la République" a-t-il lu cette proposition, avant son projet de déshonorer la France, le 19 mars prochain?
 
 

Metz le 16 mars 2016
Monsieur François Hollande
Président de la République
Palais de l’Élysée
55, Rue du Faubourg Saint-Honoré
750008 ¨PARIS.
Monsieur le Président de la République,


Tous les Français soucieux de rigueur historique ne peuvent qu’être étonnés, voire scandalisés, devant votre décision de présider une cérémonie soi-disant mémorielle, le 19 mars prochain. Le Premier Magistrat de notre pays ne peut, effet, ignorer la réalité des événements qui se sont produits en Algérie du mois de mars jusqu’à la fin de l’année 1962. Les prétendus « accords » d’Evian n’étaient qu’un simple protocole sans valeur juridique, récusé par le GPRA à Tripoli et jamais mis en oeuvre par les futures autorités algériennes. De mars à décembre 1962, il y eut plus de victimes civiles et militaires, européennes et musulmanes qu’entre la « Toussaint rouge » du 1er novembre 1954 et le 19 mars 1962 : enlèvements, exsanguinations, disparition de plus de 3000 personnes dont plus de 500 prisonniers militaires jamais restitués en dépit des conventions internationales, massacre d’au moins 80000 harkis dans les conditions les plus inhumaines.


Nous permettrez-vous, Monsieur le Président de la République, de vous rappeler la fusillade de la Rue d’Isly à Alger, le 26 mars 1962 et ses quatre-vingts victimes tuées à bout portant par des
forces de l’ordre ayant reçu l’ordre de tirer sur une foule désarmée dont le seul crime était de vouloir rappeler son attachement à la mère-patrie ? Nous permettrez-vous de mentionner le « massacre
oublié » de ces centaines de Français enlevés et massacrés à Oran le 5 juillet 1962, entre 11 Heures et 17 Heures, sans qu’intervienne, à aucun moment, l’autorité militaire française encore présente sur
place, en la personne du Général Joseph Katz. ? Celui-ci avait sous son commandement, une garnison de plus de dix-huit mille hommes, consignés jusqu’en fin d’après-midi. Le Général De Gaulle aurait qualifié cette tragédie de simple « avatar » dans une conversation avec son Premier Ministre, nous tenons cette précision du fils de Président Pompidou lui-même.

Récemment, lors de votre voyage d’Etat en Argentine, vous avez, Monsieur le Président de la République, manifesté, à juste titre, votre sympathie et votre respect pour les personnes disparues au temps de la dictature militaire entre 1978 et 1982, un drame révélé au monde entier par la Asociación Madres de Plaza de Mayo. Est-il utopique d’espérer du Chef de l’Etat une semblable compassion à l’égards de ces milliers de Pieds-Noirs, musulmans fidèles à la France, militaires du contingent, harkis, victimes de tous ces crimes commis après les Accords d’Evian ?

Non, Monsieur le Président de la République, la guerre d’Algérie n’a pas pris fin le 19 mars 1962. Penser et dire le contraire ne peut qu’accentuer la douleur de ces milliers de familles dont le travail de deuil se révèle impossible après cinquante-quatre ans.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président de la République, à travers votre personne, la considération que nous portons à la haute fonction que vous exercez..


Danielle Pister-Lopez,
Agrégée de Lettres, Maître de Conférences des Universités Cum Merito-Université de lorraine
Présidente de l’Amicale des Pieds-Noirs de Moselle, vice-présidente du Cercle algerianiste de
Champagne et du Grand-Est


Jean-Pierre Pister,
Agrégé d’Histoire, Professeur de Chaire supérieure honoraire-Khâgne, lycée H. Poincaré de Nancy.
5, rue du 16ème Chasseurs 57070 METZ

 
 
19 MARS 1962 : DATE MAUDITE

Il n'y a pas eu d'accords, Evian fut un leurre.
C'est un mensonge d'État qui a fait le malheur
Des Français d'Algérie de toutes origines,
Qui furent vilipendés, roulés dans la farine.

La capitulation qui fut signée à Évian,
C'était un abandon brutal et humiliant
D'une terre que nos pionniers avaient sortie du néant,
Au prix d'un dur labeur titanesque, exténuant.

Cette capitulation fut une totale soumission
À un seul signataire dictant ses conditions.
Il fallait vite larguer le "boulet algérien",
Y compris les richesses du sous-sol saharien.

Le faux cesser-le-feu fut unilatéral.
Après le dix-neuf mars, la solution finale
Des caïds F.L.N. c'était d'éliminer
Ces satanés roumis, maudits enracinés.

Les harkis furent victimes d'une effroyable boucherie,
Massacrés avec la plus grande sauvagerie.
Par dizaine de milliers, ils payèrent de leur vie
Leur fidélité, furent désarmés et trahis.

Vingt-six mars à Alger : honte au régime gaullien
Qui oblige l'Armée à tirer sur des citoyens
Qui manifestent "armés" de drapeaux tricolores.
Une fusillade punitive : des dizaines de morts.

Cinq juillet à Oran : c'est la chasse aux pieds-noirs.
Katz, le "boucher d'Oran" met l'Armée sous l'éteignoir.
Les Français d'Algérie, sans aucune protection,
Sont les cibles des fellhouzes, sans aucune distinction.

Après le dix-neuf mars, cinq-cent-trente-deux soldats
De l'Armée française sont tués ou enlevés.
Aucune contestation n'a été soulevée
Par le pouvoir gaulliste contre les fellhagas.

L'actuel chef de l'État veut célébrer cette date.
Une fois de plus et de trop, chez cet homme on constate
Sa tendance à salir la mémoire de nos morts,
À souiller l'honneur de la France sans aucun remords.

Les fractures et souffrances de la guerre d'Algérie
Ne sont pas effacées, elles viennent d'être ravivées
Par le comportement d'un être dont la fourberie
L'incite à bafouer et à récidiver.

Coupable de réveiller des souvenirs cruels,
Le Chef des Armées s'apprête à commettre
Un acte vil et ignoble pour lequel il excelle.
Sa vraie mentalité est celle d'un piètre traître.

Les victimes dont les noms sont gravés au Mémorial
Ne méritent aucunement que la France commémore
Une date qui nous rappelle l'épouvantable spirale
Où tant d'innocents Français ont trouvé la mort.

Insulte pour les familles, victimes d'une forfaiture.
Insulte pour les pieds-noirs, insulte pour les harkis.
Insulte à la mémoire de nos morts sans sépulture.
Une commémoration empreinte d'ignominie.

Le summum de cette journée de l'indignité
Serait de décerner la légion d'honneur
À celui (*) qui désire tant réhabiliter
Les harkis afin de mettre fin à leur malheur.

Jean-Paul Ruiz
16/03/2016

(*) : Bien sûr, vous avez deviné, il s'agit de Bouteflika,
le patient intermittent du Val-de-Grasse, qui se comporte
envers la France et les harkis en grand pourfendeur et provocateur.
Le président algérien, ancien fellhaga, adjoint direct de Boumédienne, est bien placé pour avoir connu l'existence des massacres, des enlèvements, des tortures, des camps de prisonniers qui étaient pire que des bagnes, les bordels où étaient détenues des femmes européennes, les expropriations
manu-militari etc ...

J'ai voulu terminer mon texte par cette dernière strophe
sous les traits de la dérision et de l'ironie. (JPR)

 
 

Monsieur le Maire de CUERS

Pour l'Algérie du FLN, le 19 mars marque la "défaite" de la France. Où a-t-on vu, à part dans une nation à tendance masochiste ou collabo, un pays qui commémorerait ce que l'ennemi d'hier
célèbre comme une victoire? (Cf PJ) Même l'Allemagne qui a pourtant renié le nazisme ne commémore pas sa capitulation! Au delà des positions doctrinaires ou de principe de la FNACA et de ceux qui l’inspirent ou la noyautent, il y a aussi une réalité bien peu glorieuse: Le prétendu "cessez le feu" c'était avant tout pour certains, "la quille" et la fin du danger, tout au moins pour ceux qui n'étaient pas planqués. C'était la fin du risque pour eux; pas pour les autres, ils s'en fichaient! Cela relevait tout simplement de l'égoïsme, le même qui a caractérisé "l'accueil" des Français d'Algérie par la métropole quelques semaines plus tard… A peine 17 ans après que les Français d'AFN soient venus en masse libérer l’Europe et la France! Je vous suggère de célébrer aussi désormais le 22 juin 1940 puisque là également il s'agissait du lâche soulagement d'une majorité de Français et d'une approbation de la majorité parlementaire.

Vous remerciant pour l'attention que vous aurez bien voulu porter à ce courrier, recevez monsieur le maire ma considération désabusée et attristée.

Clément Charrut

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Le 19 mars 1962. Date fatidique annonçant une fin de Grande France. Des français vendent à Evian des Français au terrorisme du FLN algérien. Ils bradent plus qu'ils vendent, sous l'exigeance de De Gaulle, non seulement un territoire de la terre nationale, mais en prime, ils donnent le Sahara toujours considéré dans les livres d'Histoire comme une terre à part.

Nos patriotes, ce jour là ont été assassinés, certains lâchement achevés par des soldats en tenues militaires françaises.

C'était des éléments de la Willaya IV, comme le sigle inscrit sur leurs casques le signalait.

Ce 19 mars 1962 n'a jamais été un jour de cesser le feu en Algérie. Il a été le signal de massacres plus importants dans les villes, comme Alger, Oran, et dans le bled, mais une partie de la Métropole ne veut pas en entendre parler, ne veut pas connaître la vraie histoire d'une Honte d'Etat.

Bien entendu, nos voix s'élèvent pour dénoncer le mal et la trahison, mais nos voix aussi fortes soient-elles ne peuvent atteindre le niveau de cette propagande gouvernementale indigne, de Chirac à Hollande, qui méprise notre passé et notre honneur de vrais Français, ceux qui respectent les trois couleurs et l'hymne national.

Pour cette raison, nous devons subir, mais jusqu'à quand, les affronts des socialo-gaullistes qui renient cette page d'Histoire entre 1954 et 1962.

Ils sont de gauche, ils sont gaullistes et n'ont qu'une idée, notre fin, notre disparition de cette Histoire de France tellement malmenée par une éducation nationale qui ne veut pas parler des journées glorieuses du pays mais seulement de ses erreurs, ses fautes. Pour cela, l'armée d'Afrique est occultée de ses victoires et celle d'Algérie traitée coupable de ses actes.

Cette honte française va plus loin. Nos gouvernants vont jusqu'à la repentance face à un Boutéflika toujours aussi hargneux et agressif et une population algérienne ignorante de son passé et des bourreaux FLN qui ont supprimé une partie des leurs, mais qu'il faut flatter de sa fausse victoire en 1962.

La France se perd dans son mea culpa anti Nation avec des personnes qui nient le rôle des Pieds-noirs en Algérie française, avec des éléments de certaines associations communistes qui considèrent le 19 mars 1962 comme une victoire et un cesser le feu qui ignore la suite des évènements : les morts, les disparitions, les femmes, les enfants enlevés et la torture des militaires français dans les camps de la mort du FLN.

Il y a une chape de silence qui veut oublier notre passé et pour témoignage, ce rôle trouble que va jouer Hollande ce prochain 19 mars en se présentant à une cérémonie parisienne qui pour nous est un affront de plus. Il nous provoque et démontre combien il préfère l'alliance avec le diable algérien que l'honneur d'un passé français qu'il faut absolument effacer .

Est-il le seul ? Ils sont nombreux ceux de la gauche et de la droite qui n'entendent pas nos cris, notre colère et notre rôle de gardien de l'Algérie française dans la pensée du peuple français.

J'apprends qu'un de nos patriotes à qui le maire de Cagnes sur Mer voulait rendre un hommage, a vu les conseillers municipaux de gauche refuser de s'associer à l'hommage. C'est ainsi que bientôt soixante ans après l'ignominie gaulliste, nous sommes encore soumis aux contrevérités et à la critique de la gauche. Ils n'ont rien compris et se soumettent en grand nombre à l'envahissement des migrants, aujourd'hui.

Leur humanisme pervers et leur mentalité rétrograde perdent la Nation. Il y a de la "Soumission" comme l'écrit Houellebecq; il y a un fatalisme de vaincu comme le souligne Boulalem Sansal dans 2084, mais nous, nous accusons ce 19 mars 2016 et Hollande qui va y être présent à cette manifestation, en collusion avec le diable FLN.

Participer à ce 19 mars, c'est habiller d'oripeaux la réputation de la France; c'est renier que des pionniers, pendant 132 ans, ont fait d'une terre sans drapeau un pays moderne; c'est apostasier les mensonges de Sétif, les assassinés d'Alger et d'Oran; le martyr des Harkis et des supplétifs musulmans renvoyés en Algérie pour être massacrés par le FLN ou parqués dans des camps en France, sans avenir pour leurs enfants.

Alors, ce jour là, je souhaiterai que les gaullistes et les socialo-communistes oublient ce qu'ils sont, des renégats de l'histoire, et deviennent un instant humains et respectueux de l'Histoire de France.

La Nation et son peuple, lorsque leurs yeux seront ouverts, souhaiteront autre chose. C'est le sujet de mon prochain livre : Mondiarabie. Un livre où le pays redresse la tête pour vaincre le mal venu d'Orient.

Cordialement. Robert Charles PUIG

 
 
C'EST LA VIE

En cette fatale année soixante deux on était '' dégoutés de la vie '',
quelle '' vie de chien '' se disait on, on était comme dans une '' fin de vie ''
car le risque était fort de '' passer de vie à trépas '',
et dans cette '' vie d'enfer '' on s'est douté pour qui sonnait le glas.
On nous avait mené '' la vie dure '' mais on devait s'en sortir,
il a donc fallu tenir '' au péril de sa vie '' et puis partir
pour '' reprendre vie '' et en quelque sorte '' renaître à la vie ''
et malgré tout '' donner un sens à notre vie '',
et même si on pensait que '' la vie n'était pas un long fleuve tranquille ''
on a du quitter tristement Alger notre belle ville.
Obligés de '' prendre la vie du bon côté ''
il fallait '' redonner vie '' à notre existence et se jeter dans une '' nouvelle vie '',
on se rassurait en se disant '' tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir ''
pour bien '' regarder la vie en face '' mais en quittant notre belle Histoire.
On ne devait pas trop '' se compliquer la vie '' mais plutôt '' prendre la vie du bon côté ''
même si '' les choses de la vie '' ne nous avaient pas épargnés,
il fallait alors '' changer de vie '' ou de '' mode de vie '' 
pour cela essayer d'avoir un bon '' train de vie '' ou du moins '' gagner sa vie ''.
On rêvait de voir un jour la '' vie en rose '' qui nous aurait été offerte comme un cadeau
mais sans penser à '' une vie de patachon '' ,'' de pacha '' ou '' de château '',
nous voulions enfin '' couler une vie heureuse '' en se souhaitant '' longue vie ''
et en se promettant alors que '' jamais de la vie '' on oublierait notre '' ancienne vie ''.


Robert Voirin

 
 
Mensonge d' EVIAN
Monsieur le Président,

J’ai l’honneur de porter à votre connaissance l’horreur et la douleur que je ressens à la lecture des informations concernant votre projet de commémoration, reçues par le net.

Vous devez vous rendre au quai Branly, ce 19 mars, pour prononcer un discours, devant le Mémorial National de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie.

Il s’agirait bien d’une journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc.

C’est ce que vous affirmez n’est-ce-pas ?

En réalité, Monsieur le Président, je vous plains. Il se fera évident que vous êtes fort mal informé pour glorifier une telle date. Il s’agit de la commémoration d’un impudent mensonge d’État.

Tous les anciens combattants le savent, les avez-vous interrogés ? Le savent, aussi, tous ceux qui ont vécu cette époque et qui n’ont pas manqué d’accomplir leur devoir de transmission des faits, bien au-delà de leurs générations.

Ce 19 mars 1962 est la date de la signature des soi-disant accords d’Evian, ce sinistre mensonge d’État. Vous ne pouvez pas ignorer, en effet, que ce 19 mars 1962, ne fut en réalité que « l’accord » de poursuivre l’horreur dans laquelle nous, les Français d’Algérie, fûmes plongés, de même que les Harkis et autres musulmans pro-français, en toute conscience.

Vous ne pouvez pas ignorer que la signature du 19 mars 1962 ne fut qu’un paraphe du sang et tous les chantres pseudo-historiens dont - malheureusement pour votre connaissance - vous vous entourez, n’y changeront rien.

J’ai l’honneur de vous remettre, en pièce jointe, le courrier que j’ai adressé à vos prédécesseurs à propos d’un de ces massacres qui suivirent, le massacre du 26 mars 1962, Plateau des Glières à Alger. C’est au cours de cette tuerie, au milieu d’une humble foule de femmes, d’enfants, de vieux messieurs portant fièrement leurs décorations, que le père de mes enfants fut assassiné, sur un ordre venu du sommet de l’État.

J’ai refusé que le nom de mon époux soit inscrit sur la colonne du Quai Branly.

Par cette lecture vous comprendrez à quel point je suis heureuse, aujourd’hui, eu égard à la cérémonie que vous entendez y tenir, que le nom de mon époux ne figure pas sur cette colonne. Sa mémoire ne participera pas au déshonneur posthume, -de la souillure-, infligé à la mémoire de tous ceux dont les noms sont énumérés là.

Comment pouvez-vous prétendre représenter la France et les Français dans la commémoration d’une paix qui a provoqué deux fois plus de morts que durant tout le conflit ?

Quelle paix allez-vous évoquer devant les familles des Disparus.

Vous ne servez pas la paix en nous donnant une image de morgue. Et plus qu’un déni de mémoire, car là, il existe bien quelque chose, vous utilisez le déplacement de la mémoire, le plus horrible qui puisse exister, cette tentation d’éradiquer tout un peuple, tout un pan de l’Histoire de l’humanité à laquelle nous appartenons.

Quoique vous tentiez, nous existons.

Tous les échos douloureux, qui vous parviennent à l’évocation de cette date funeste, ainsi que ma propre douleur contribueront, je l’espère, à votre méditation sur le sujet.

Tout en comptant sur votre compréhension, je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président, les respectueuses salutations dues à votre charge.

Simone GAUTIER

 
 
 
 
 
Le Quai Branly, créé au départ pour honorer les Morts des guerres d'A.F.N., avec l'assentiment de 29 associations sur 31, ainsi que les victimes civiles innocentes (commémorations du 5 décembre) est devenu par le jeu des lobbys communistes, le symbole de la félonie...
François PAZ
 
 
 
 



Pourquoi célébrer une défaite, un abandon le 19 mars 1962 ?

Pour culpabiliser Pieds-noirs et Harkis ?

Arrêtons de nous flageller dans la repentance, la France a construit l'Algérie, créé sa richesse, trouvé du pétrole...

La France devrait être fière de son oeuvre!

Pourquoi se complaire dans la culpabilité ?

Le 19 mars 1962 est commémoré comme une victoire en Algérie...

Une victoire sur qui ???

Gérard BENIGNI

 
 
 
 
 
 
 
 
 
Il paraît que le Président de la République compte donner beaucoup d'éclat aux cérémonies de cette journée nationale... Où va-t-on !!!

Le Sénat a adopté jeudi la proposition de loi socialiste, très controversée, qui consacre le 19 mars 1962 - jour du cessez-le-feu en Algérie - comme journée nationale du souvenir «des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie». Le texte a été approuvé par 181 voix contre 155. La gauche a voté pour, le centre et la droite contre. La proposition de loi est définitivement adoptée par le Parlement.
Auparavant existait une journée d'hommage consacrée aux seuls «morts pour la France» pendant la guerre d'Algérie, instituée en 2003. À l'époque, afin de réconcilier des mémoires fragmentées, Jacques Chirac avait choisi une date neutre, le 5 décembre, jour où il avait inauguré le Mémorial consacré aux 24.000 militaires français tués pendant le conflit, quai Branly, à Paris.
Le rapporteur de la proposition de loi, Alain Néri (PS, Puy-de-Dôme), a défendu le 19 mars par la nécessité de «rendre hommage aux deux millions d'appelés du contingent mobilisés pendant le conflit». Ses collègues de la majorité sénatoriale ont estimé que cette date permettait de rendre hommage à toutes les victimes.
Un «risque grave de division entre Français»
Les sénateurs UMP, pour leur part, se sont opposés à cette date. Ils ont considéré que choisir le 19 mars revenait à occulter que plusieurs milliers d'Européens et quelque 80.000 harkis ont été tués après le cessez-le-feu. Et ils ont accusé la gauche d'utiliser l'histoire à des fins partisanes alors que François Hollande doit se rendre en Algérie en décembre.
Rapatriés et harkis ont exprimé leur hostilité à ce texte. Les anciens combattants, pour leur part, sont divisés. L'Union nationale des combattants (UNC), qui se veut apolitique, et trente autres associations - elles compteraient 1 200 000 adhérents au total - voient dans le choix du 19 mars un «risque grave de division profonde entre Français». En revanche, la Fédération nationale des anciens combattants d'Algérie (Fnaca), plutôt à gauche et qui revendique 350.000 membres, marque son «attachement indéfectible» au 19 mars.
La proposition de loi que vient d'entériner le Sénat avait été approuvée par l'Assemblée nationale début 2002, lorsque Lionel Jospin était premier ministre. L'UMP a estimé que le choix de la gauche sénatoriale de reprendre un texte vieux de plus de dix ans l'exposait à une censure du Conseil constitutionnel.
 

Pourquoi la présence de Hollande Quai Branly le 19 mars prochain est-elle si scandaleuse ?
Officialisation de cette date le 6 septembre 2012, c'était déjà une insulte à la mémoire de tant des nôtres assassinés après les accords d'Evian.
Mais que le chef de l'Etat y participe, c'est un signe très fort. Car sont exclus de facto de la communauté nationale, que le président de la République est pourtant censé représenter dans sa totalité, les Pieds-Noirs et Harkis dont il méprise... non pire, dont il nie... les dizaines de milliers de morts et de disparus de l'après 19 mars.
Certes, nous avons l'habitude. Mais là l'injure est maximum.
Exigeons que les noms de tous nos morts défilant sur les colonnes du Quai Branly soient immédiatement retirés, au moins pour cette journée. Qu'ils ne soient pas assassinés une seconde fois en étant associés à cette abjecte "commémoration".
Et pour une fois, ne cherchons pas d'excuses pour ne pas assister aux cérémonies du 26 mars. Montrons que ce 19 mars est un leurre puisque, 1 semaine après, des dizaines des nôtres étaient tués et des centaines d'autres blessés lors de la fusillade de la rue d'Isly. L'armée française qui tire sur des civils français désarmés dans une ville encore française. Ce seul événement devrait suffire à faire reculer n'importe quel politique quant à une célébration du 19 mars. Mais pas le premier d'entre eux. Et comme on dirait chez nous, le rouge de la honte il lui monte même pas à la figure !

LVD

 
 
Ouverture du Bureau de Camerone 2016

Bonjour, nous avons le plaisir de vous informer que l'inscription à la cérémonie de commemoration de Camerone 2016 à la Maison mère à Aubagne, sera ouvert au personnel du quartier Viénot et leurs familles à compter du 08 février 2016.

Formulaire d'inscription quartier Viénot: http://camerone.legion-etrangere.com/fr/reservation/reservation_1.php

Le formulaire d'inscription réservé aux amicales et au grand public seront disponible à compter du 22 février 2015.

Formulaire réservé aux amicales: http://camerone.legion-etrangere.com/fr/reservation/reservation_2.php

Formulaire réservé au grand public: http://camerone.legion-etrangere.com/fr/reservation/reservation_3.php

Vous aimez la Légion étrangère: n'hésitez pas à diffuser ses informations par mail et sur les réseaux sociaux !

Cordialement,

Le bureau Camerone

 
 
 
 
MEMOIRE D' ALGERIE EN VIDEO

Attention : Document unique à conserver

"BIBLIOTHEQUE "SUR L'ALGERIE : remarquable !!!

Cliquer sur le lien ci dessous.

http://jeanyvesthorrignac.fr/crbst_41.html#anchor-Alfrancaise

 
 
 
 
 
 
 
Le cycle de l'Adieu - Chapitre IX
 
 
 
DATES A RETENIR ET A DIFFUSER

Manifestations organisées par le Cercle Jean Bastien-Thiry pour le 53emc anniversaire de sa mort:

Vendredi 11 mars à 18 heures: messe en l’église Sainte Odile, 2 av. Stéphane Mallarmé, 75017 Paris .

Dimanche 13 mars à 15 heures: cérémonie au cimetière de Bourg-la-Reine (92) sur la tombe de Jean Bastien-Thiry

Autres messes pour Jean Bastien-Thiry:

- A Fondettes: messe le vendredi 11 mars à 9 heures. A Fréjus : messe le vendredi 11 mars à 8h45 en la cathédrale de Fréjus

- A Hames-Boucres (62): messe le dimanche 13 mars à 8h45 à la chapelle Sainte Victoire

- A Marseille: messe le vendredi 11 mars à 17 heures en la basilique du Sacré-Cœur (av. du Prado 13008)

- A Meylan (38): messe le mardi 8 mars à 11 heures au Prieuré St Pierre Julien Eymard, 22 chemin du Bachais

- A Montluçon: messe le dimanche 6 mars à 10h30 à la chapelle Notre Dame de Fatima, 10 passage Bretonnie. A Nancy : messe le vendredi 11 mars à 18h30 à la chapelle du Sacré Cœur, 65 me maréchal Oudinot

- A Nice: messe le vendredi 11 mars à 18h30 à la chapelle de la Visitation, 17 place Sainte Claire

- A Paris: messe le mercredi 9 mars à 18 heures en l’église Notre Dame de Grâce de Passy

- A Toulon: messe le vendredi 11 mars à 18 heures en la cathédrale de Toulon

- A Toulouse : messe le vendredi 11 mars à 18hl5 en l’église du Feretra.

Autres messes commémoratives:

- A Paris: messe le jeudi 7 avril à 18h30 en l’église St Nicolas du Chardonnet (75005) pour les victimes du 26 mars et tous les martyrs de l’Algérie Française.

- A Antibes: mercredi 30 mars: messe à 18h en l’église du Sacré-Cœur pour tous les martyrs de l’Algérie Française

- A Montauban: vendredi 18 mars à l0h: messe en l’église Saint Jacques pour tous les martyrs de l’Algérie Française.

 
 
Merci pour toutes les actions qui seront entreprises pour faire connaitre cette nouvelle. Je n'ai pas ménagé mes forces pour faire revenir notre Vierge dans sa communauté religieuse. Je ne pensais pas réussir à la faire entrer dans un refuge aussi magnifique . La Cathédrale de Toulon, classée au monument historique. Elle a accompagné ma famille des années et lorsque elle m'a été remise, j'étais convaincu qu'elle n'appartenait pas a une personne, ni a une famille, mais a l'église. Mon message sur ma lettre du don: Par sa présence, elle continue de rassembler les Chrétiens du monde et qu'elle prolonge ses messages d'Amour, de Paix et de souvenirs à tous ceux qui l'ont rencontrée et côtoyée dans ce pays d' Algérie. Je me trouve aujourd'hui apaisé, je sais qu'elle est en sécurité, et àla Chapelle du Saint Sacrement, elle va passer son premier Noël, depuis son rapatriement en cette année 2015, auprès du Christ . Qu'elle apporte à tous ses visiteurs sa bénédiction .
Claude ACHARD

 
 
 
 

Dalida BEN-BRAHIM

Quant le drapeau est en berne, malheureusement les gens chantent la Marseille, quant il flotte dans les airs ils ne le voient pas. Je m'adresse a tous ceux qui se nettoient l'arrière train avec le drapeau tricolore, celui de nos parents, de nos grands-parents et de nos amis. A ces religieux de tous bords, ces skisophréne qui ont mis notre pays en danger, ce qui disent "on aime tous le monde, mais surtout pas la France" cela ne prennent pas de risques, mais ils sont contents que ce noble pays soit leur résidence secondaire.

La Nation Française n'est pas une prostituée, on ne tendra pas l'autre joue, que l'on m'explique comment des migrants qui traversent la mer sur des bateaux pneumatiques ou des barques, ne sont ils pas capable de se rebeller contre leur régime. Il y a quelques années, la Marseillaise a été sifflé, cela continu depuis, personne n'a rien dit. Si nous, Patriotes Français, on faisait pareil contre leur hymne nationale, on serait rapidement sanctionnés. Il en va de même pour ce qui concerne le fait de brûler notre drapeau, le drapeau de celles et ceux qui sont morts pour la Patrie. On ne se soumettra pas, nos ancêtres se sont battus, notre devoir est de soutenir nos soldats, la défense nationale, premier ministère de France. "Les politiques font leur religions, les religieux font leur politique" nous ne sommes plus des enfants et nous ne laisserons surtout pas les religieux dicter notre conduite.

A ceux qui ont fait l'école des Fanatiques, nous leur diront non! Dieu est bon, il est miséricordieux, il n'a pas demandé à ces gens de devenir véreux.

Et la Vierge Marie n'est pas souillée par des gens qui ne risqueraient pas de la vénérer, c'est à se demander si ils ont aimé leur mère.

Notre combat est de défendre la France! Rassemblons nous, la devise du commando George était "chassez la misère", la misère c'est eux. Ma devise est "il ne suffit pas de dire, il suffit d'agir!"

VIVE LA FRANCE QUE J'AIME ET QUI JE PENSE NOUS AIMONS TOUS!

Dalida BEN-BRAHIM

 
 
 
 
 
 
 

C'était en 1900....

 
 
Yannick bonjour.

Votre débat avec Nadine Morano m’a interpellé quand vous avez comparé les réfugiés avec nous Pieds Noirs et Harkis..

Savez vous que nous sommes exilés et non pas réfugiés – Savez vous que nous étions Français comme vous ???

Savez vous que c’est 2Gol qui nous a obligés à l’exil avec la complicité du FLN

Savez vous que les FRANÇAIS D’Algérie ont participé à une grande échelle au sursaut économique de la France .

Savez vous que nombre d’agriculteurs ont acheté des fermes au dessus de leur prix avec un emprunt et sans aide du gouvernement .

Savez vous que les indemnisations touchés par les Pieds Noirs se résument à des clopinettes ..

Quand est ce que les Historiens – les hommes politiques vont-ils rétablir la VÉRITÉ concernant l’histoire de France ..

Notre Histoire Monsieur et aussi VOTRE HISTOIRE !!!

Je vous joins une diaporama avec une chanson dont le titre OU ÉTIEZ VOUS EN 62 ??? décrit fort bien l’accueil plus que glacial de la France envers ses propres compatriotes d’Algérie..

Ça Monsieur nous l’oublierons JAMAIS …

En espérant que ce mail vous rendra moins ignare qu’auparavant .

Belle écoute.
https://www.youtube.com/watch?v=ZdQBTMC3OJo&feature=youtu.be
La dernière chanson de Jean-Paul GAVINO

 
 
 
 
 
 
21 février 2016
 
 
Il y a 100 ans, le 21/02/1916, Verdun découvrait l’enfer. Un carnage qui dura 300 jours. Dans un Devoir de Mémoire, ayons une pensée pour les centaines de milliers de soldats français qui en furent victimes! Sans leur sacrifice, sans doute, aujourd’hui, serions-nous en train de parler d’autre chose !!!
Pour avoir une idée de ce qu’ils endurèrent, ne manquez pas l’extraordinaire documentaire (Apocalypse Verdun) programmé ce soir par A2 (21:00) ...


Pour mémoire :
Au cours de la Première Guerre mondiale, l’Armée d’Afrique envoie plus de 300 000 soldats combattre en Europe (190 000 Maghrébins et 150 000 Européens) juifs et chrétiens et les unités d’Afrique du Nord participent à toutes les grandes opérations.

Jean-Pierre PENALBA

 
 
 
 
 
 
 
 
 
Chers amis,

Rentré de Paris où je suis intervenu au meeting de Rungis le 7 février, le lendemain de l'arrestation du général PIQUEMAL, j'ai préparé et envoyé hier un communiqué que je vous adresse en pièce jointe.

Je vous communique par ailleurs le lien url qui vous permettra de suivre mon discours prononcé à cette occasion. Vous pouvez retransmettre l'ensemble de ces informations à vos propres contacts.

https://www.youtube.com/watch?v=A1o2c5eJbfc

Bien cordialement.
Antoine MARTINEZ

 
 
 
 
 
 
 
Oeuvre française en Algérie et Medias...
 
 
N'étant en aucun cas soumis au sacro-saint devoir de réserve sur lequel, du reste, il y aurait fort à dire je transfère ce lien significatif.
Cet évènement me ramenant quelques années en arrière lorsque l'on enchainait voire assassinait des patriotes défendant les couleurs de la France. Hergé
https://youtu.be/myPhsRbBWSI
 
 
 
 
CE N' EST UN SECRET POUR PERSONNE: LA COMPLICITE DES COMMUNISTES AVEC LE F.L.N.

Année 1956

 
 
Etude n° 6 Les conséquences actuelles de la première faute d'Achard.
 
 
Retour en arrière sur le 40 ° Congrès national du Cercle Algérianiste à Carcassonne.
 
 
 
 
 

Raphaël DELPARD parle de son livre "Les Oubliés de la guerre d'Algérie"

Chaire algérianiste de Nice C.U.M. 28 novembre 2008

https://youtu.be/19cxOTydQyA Les oubliés de la guerre d'Algérie
https://youtu.be/rDcWLSOStOw Les corps des soldats
https://youtu.be/oJJo8Dl4lsE Oeuvre française en Algérie et Medias...
 
 

Retour en arrière:
Étrange, j'ai eu beau regarder les JT des uns et des autres
C’est incroyable que ce genre d’info soit passé sous silence !!!
Petit rappel de l’omerta pratiquée par nos médias !
Cela s’est passé le 13 novembre à Paris. Vous l’avez vu quelque part dans les médias ? Pourquoi les médias, si prompts à critiquer, n’en ont-ils pas parlé ? Avaient-ils des ordres ? Regardez ce reportage tourné par un média étranger. Cela demande une réponse. Mais il n’y en aura pas, nous sommes déjà censurés.

C’est étrange, TFI et les autres, n’en parlent pas. Les journaux ne disent mots. Cela s’appelle de la rétention d’informations, mais cela commence à bouger !
Vous pouvez faire tourner le lien ci-après en boucle.

http://www.liveleak.com/view?i=f17_1352976528

 
 
Allons-nous avoir des nouvelles de nos Soldats Disparus??
 
 

Bonjour à toutes et à tous.

J’ai le regret de vous faire part du décès le 26.01.2016 à l’hôpital d’ORANGE, du capitaine (ER), ancien de la Légion Etrangère, Guy BRANCA, dans sa 90° année . Il était grand officier de la légion d’Honneur depuis 2012 et titulaire de la croix de guerre des T.O.E. et de la croix de la valeur militaire avec douze citations. Il était domicilié avec son épouse, chemin du Péage, vers la chapelle de Gabet à ORANGE.
Ses obsèques religieuses seront célébrées le lundi 1er février 2016, à 10 heures 30, à la cathédrale Notre Dame de Nazareth à ORANGE. L’inhumation est prévue à BOCCOGNANO (Corse du Sud).
Le comité d’Orange et Haut Vaucluse sera représenté par son président (avec drap mortuaire et drapeau du comité). Les sociétaires souhaitant y participer voudront bien être porteur de leurs décorations.
Les condoléances peuvent être transmises à constantin.lianos@monsieur-legionnaire.org, qui transmettra à Mme BRANCA.

Avec mes sentiments les meilleurs.

Lieutenant colonel (ER) Etienne PROST-A-PETIT,
Président du comité d’Orange et Haut Vaucluse de la SMLH
Tél 06.58.08.42.14 – 04.90.11.06.43
 
 
 
 

https://www.youtube.com/watch?v=ON30bzJIHx4

Constatez la démocratie au Sénat...

 
 
A propos du camarade URVOAS", une lettre ouverte de 2011 restée sans réponse...

Lettre ouverte en date du 11 juillet 2011 à M. Jean-Jacques Urvoas, député du Finistère,
à propos des noms donnés à certaines rues ou places.

Monsieur le député,
Dans votre question n° 98827, vous mentionnez le déroulement d’une cérémonie donnant le nom du colonel Château-Jobert à une place, à l’école des troupes aéroportées. Vous indiquez qu’en tant qu’ancien chef de l’OAS, cette cérémonie « porte (je cite) gravement atteinte à la mémoire de l’ensemble des victimes, françaises et algériennes, civiles et militaires, de cette organisation criminelle ».
Monsieur le ministre de la défense et des anciens combattants a parfaitement répondu à votre question concernant le colonel Pierre Château-Jobert, militaire à la carrière exceptionnelle, par ailleurs amnistié en 1968 (réponse en date du 28 juin 2011).
En revanche, je n’ai pas lu dans le Journal officiel des débats parlementaires que vous ayez interpellé de la même manière le ministre de la défense et des anciens combattants lorsque le nom de Nadia Guendouz a été donné à une rue de la commune de Saint-Ouen. Pourtant, en tant qu’infirmière, poète, mais aussi et surtout membre du FLN, cela « porte gravement atteinte à la mémoire de l’ensemble des victimes, françaises et algériennes, civiles et militaires, de cette organisation criminelle ».
Je n’ai pas lu dans le Journal officiel des débats parlementaires que vous ayez interpellé de la même manière le ministre de la défense et des anciens combattants lorsque le nom de rues ou places du « 19 mars 1962, date du cessez-le-feu en Algérie » est donné ici ou là. Pourtant le fait que le cessez-le feu du 19 mars n’ait pas été respecté par le FLN et qu’il y ait eu lieu en Algérie de très nombreux enlèvements et morts (plus même que pendant les huit années de confit) « porte gravement atteinte à la mémoire de l’ensemble des victimes, françaises et algériennes, civiles et militaires, de cette organisation criminelle ». Le FLN, qui commémore chaque année le 19 mars 1962 en Algérie, a même fait de cette date sa fête de la victoire.
Je n’ai pas lu non plus dans le Journal officiel des débats parlementaires que vous ayez interpellé de la même manière le ministre de la défense et des anciens combattants lorsque le nom de rues ou places « Ho Chi Minh » est donné ici ou là. Pourtant, cela « porte gravement atteinte à la mémoire de l’ensemble des victimes, françaises et indochinoises, civiles et militaires, de l’organisation criminelle » que dirigeait M. Ho Chi Minh.
Et je pourrai encore allonger cette liste du nom de quelques dictateurs sanguinaires dont le nom figure en bonne place dans certaines de nos communes…
Je vous prie d’agréer, Monsieur le député, l’expression de mes salutations.
Roger Soncarrieu,
Auteur de « Ma vérité sur la guerre d’Algérie » et de « Guerre d’Algérie : j’en ai assez » (Editions Dualpha)

 
Monsieur le Ministre, faites attention, que Monsieur Zitouni ne vous fasse pas une "olive"!
 
 
 

Le droit de dire, de penser et d’écrire
C’est ma liberté d’expression ! Est-elle celle qui permet de... s’exprimer librement ? De donner libre cours à un point de vue ou de décrire des moments de vie ou de deuil sans que cela soit mis à l’index par les nouveaux « bien-pensants » du socialisme, après ceux du gaullisme ?
La liberté d’expression ? Il me semble qu’elle ne soit pas toujours la règle exacte, avec des limites imposées.
Dans les années 1958 / 62 avec l’étouffement du patriotisme pied-noir... Dans les années qui suivirent, le voile noir de la honte sur les massacres des Harkis au moment de l’indépendance en l’Algérie et le refus des autorités gaullistes de les recevoir en terre de France, puis le silence sur certains d’entre-eux, arrivés sur le sol français et qui, malgré les décisions d’Etat à les renvoyer en Algérie, demeurèrent longtemps enfermés dans des ghettos en Métropole.
La liberté d’expression ? 1990, la loi Gayssot qui réprime la négation des crimes contre l’humanité ; 2001, la loi Taubira sur l’esclavage ; 2005, la loi sur la reconnaissance des rapatriés, sauf l’article 4 affirmant le rôle positif de la présence française d’Outre-mer, que Jacques Chirac fit supprimer par le Conseil constitutionnel. Il y a comme un voile de pudeur qui réglemente la vérité historique au profit d’une propagande d’Etat arrangée, détournée du réel. Il faut paraître à la fois faux humaniste et savoir mentir aux populations.
Permettez-moi de revenir sur un temps passé... le massacre du 26 mars 1962 à Alger. Il y a eu un livre blanc dénonçant les tueries de ce jour là. (Le livre interdit / Edition Atlantis / Collection France-Algérie).


Ce livre fut interdit par le suppôt gaulliste du Rocher noir, le sieur Fouchet, comme furent interdites les révélations sur le massacre d’Oran du 5 juillet...  ! Le droit de dire, de penser, d’écrire ? C’est ma liberté, mais pas celle de ceux qui nous gouvernent. Ils exigent de gérer autoritairement et le droit à la Liberté d’expression et le droit à connaître les vérités ? Un voile impudique pour étouffer l’Histoire derrière des mensonges.

Le droit de dire, de penser et d’écrire ! La liberté d’expression, sous la coupe des politiciens, a une voilure rétractable. De nos jours, en régime PS, différents acteurs de la vie politique, du monde des écrivains ou de la presse sont victimes de leurs propos et condamnés par les « Torquemada » au service de la gauche.
Pourquoi ? Parce qu’ils refusent de colporter les mensonges du pouvoir, ou d’imposer au peuple le « prêt-à-penser » socialiste. Ils parlent vrai, écrivent juste et sont mis en péril, presque « hors la loi ». Je m’avance beaucoup sur ce sujet sensible, mais pourquoi pas passibles de la prochaine loi, si elle est votée, sur la déchéance de la nationalité que le pouvoir veut appliquer aux binationaux et aux autres français de souche ou de cœur ? Notons qu’en élargissant le cercle de cette loi, Hollande est sûr de son abandon. Encore une promesse sans réalisation mais là, le président sauve son parti de l’éclatement et se sauve aussi d’un tremblement politique à gauche. Déjà Valls joue à l’esquive sur ce sujet !
En attendant, lorsqu’il y a liberté d’expression, il ne s’agit que de flèches empoisonnées contre l’opposition PS. Nicolas Sarkozy ou Marine Le Pen en sont les cibles ! Les procès pleuvent et les non-lieux aussi... La presse écrite ? « Valeurs actuelles » pour des articles qui gênent l’illogisme du pouvoir... Des écrivains, des romanciers ? Ils ont le tort d’être réalistes, d’affirmer des valeurs, une identité différente de celle du PS. Alors ils sont visés par les flammes d’un « Fahrenheit 451 ». Des noms ? Eric Zemmour, Alain Finkielkraut, Michel Houellebecq, Michel Onfray, pourtant dit de gauche, Richard Millet, Renaud Camus, Philippe de Villiers.

Il y en a bien d’autres que les délateurs du temple de la « pensée unique » feraient bien monter sur l’échafaud ou immoler au nom de l’ancien temps du Front populaire, car la liberté d’expression, hier comme aujourd’hui est une sorte de serpent des mers qui ne sert que les pouvoirs en place, et dont sait pleinement profiter la gauche aujourd’hui au pouvoir.

Nous aurons encore le temps d’entendre des promesses, d’avaler des couleuvres, d’écouter Valls jouer du pipeau, mais ne nous faisons pas d’illusion, jamais la liberté de dire, de penser ou d’écrire, c’est à dire la liberté d’expression ne seront libérées du poids d’une idéologie relativiste, sous le règne des socialistes.
Comme dernier exemple, l’Histoire de France déformée et présentée d’une façon tronquée de sa réalité par la ministre de l’éducation nationale. Elle détourne semble-t-il dans ses directives, les valeurs et la gloire des actions passées de la Nation, pour n’en montrer que les aspects les plus négatifs... Pour que des jeunes ne se sentent plus patriotes ? Pour « faire » le jihad et renier le pays où ils sont nés ? C’est à réfléchir, mais n’est-ce pas la suite de l’esprit soixante-huitard socialo-débridé qui déjà apostasiait notre histoire pour le chaos mondialiste ?

Robert Charles PUIG / janvier 2016

 
 
Réponse à des Faussaires de l'Histoire...
Ce référendum était anti-constitutionnel ... De Gaulle était un dictateur...
 
 

Bonjour à toutes et à tous.

J’ai le regret de vous faire part du décès le 26.01.2016 à l’hôpital d’ORANGE, du capitaine (ER), ancien de la Légion Etrangère, Guy BRANCA, dans sa 90° année . Il était grand officier de la légion d’Honneur depuis 2012 et titulaire de la croix de guerre des T.O.E. et de la croix de la valeur militaire avec douze citations. Il était domicilié avec son épouse, chemin du Péage, vers la chapelle de Gabet à ORANGE.
Ses obsèques religieuses seront célébrées le lundi 1er février 2016, à 10 heures 30, à la cathédrale Notre Dame de Nazareth à ORANGE. L’inhumation est prévue à BOCCOGNANO (Corse du Sud).
Le comité d’Orange et Haut Vaucluse sera représenté par son président (avec drap mortuaire et drapeau du comité). Les sociétaires souhaitant y participer voudront bien être porteur de leurs décorations.
Les condoléances peuvent être transmises à constantin.lianos@monsieur-legionnaire.org, qui transmettra à Mme BRANCA.

Avec mes sentiments les meilleurs.

Lieutenant colonel (ER) Etienne PROST-A-PETIT,
Président du comité d’Orange et Haut Vaucluse de la SMLH
Tél 06.58.08.42.14 – 04.90.11.06.43

 
 

Quel dommage que ce ne soit pas l'extrême-droite qui ait commis ces agressions!!
Les Féministes, sont atterrées!!

 
 
 
 
 
 
 
 
A Calais, c'est la guerre des sédentaires contre les nomades...
 
 
Et PAN, pour les gaullistes! Re-PAN, pour les PN-gaullistes...
http://www.valeursactuelles.com/tous-gaullistes-sauf-moi-56411
 
 

Je vous recommande ces 2 liens: vous pourrez ainsi vous débarrasser du bourrage de crâne coco-bobos-gaullos-charlots-socialauds....


https://www.youtube.com/watch?v=Ce3Ve_Fxxb4&feature=player_embedded#t=3

https://www.youtube.com/watch?v=V0dUtMNiZRs&feature=player_embedded#t=0

 
 
Ne cherchez plus, pourquoi les MERDIAS ne diront jamais la vérité...
http://www.observatoiredesgaspillages.com/2014/05/montants-des-aides-a-la-presse-2013/

 
 
« L’OTAN est devenue une menace pour la sécurité des Européens, car elle les empêche de trouver leur autonomie stratégique. Ils s’en remettent, à tort, aux Américains pour les défendre. »

. « Depuis trop longtemps, les hommes politiques ont oublié l’intérêt général de la France vite sacrifié sur l’autel des intérêts politiciens; c’est la première raison de la désorganisation de l’armée française. »


. « La France ne s’en sortira que si elle recrée l’Etat régalien qui a été bradé au profit de l’Etat providence. Les armées, la police, la justice, la diplomatie sont aujourd’hui dans un état lamentable. »


Général Vincent Desportes, expert en stratégie (in Le Figaro, 15 janvier 2016)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
21 janvier 2016
La Pensée du Jour : Page noire de la France...

"Je meurs innocent de tous les crimes qu'on m'impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France."

Dernières paroles prononcées par le Roi Louis XVI à l’instant de son exécution.

 
 
 
 
Ils ne vont pas lui donner les clefs de la caisse, sinon elle va commencer par faire les comptes et découvrir tous les cadavres dans les placards avec les Baumettes en ligne de mire
pour les sortants et Estrosi ne veut pas ennuyer ses obligés du P.S!!!
La droite et la gauche mangent dans la même gamelle. C'est une mafia politicienne ! Tant que les gens baisseront leur caleçon et continueront de voter pour eux...

https://www.youtube.com/watch?v=AuD7h8bB-WQ
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Membre de la Fédération Nationale André Maginot – Groupement 250

Le Président

Paris, le 11 Janvier 2016

N° 16- 01008 / UNP

Monsieur le Président de la République

Au cours du mois de Janvier 2016 vous avez voulu témoigner la reconnaissance de la Nation aux victimes des attentats lâchement perpétrés à Paris il y a un an.

Le dimanche 10 Janvier, quelques semaines seulement après la terreur semée au Bataclan et au cœur de la capitale, vous avez dévoilé une plaque « A la mémoire des victimes des attentats terroristes de janvier et novembre 2015, à Paris, Montrouge et Saint-Denis » portant la mention « Ici même, le peuple de France leur rend hommage. »

Parce qu’à un moment de leur existence, ils ont choisi de mettre leur vie au service de la France, les parachutistes réunis au sein de l’Union Nationale des Parachutistes sont particulièrement sensibles aux exigences du combat que mène notre pays contre le terrorisme.

Ils mesurent pleinement l’importance de la cohésion nationale, du soutien populaire et de la reconnaissance dans cette guerre.

C’est dans cet esprit, qu’ils se sont associés par leur présence et avec leurs drapeaux à toutes les manifestations d’hommage qui ont été organisées partout en France.

Dans cette longue guerre contre le terrorisme, 568 soldats de nos trois armées ont perdu la vie au cours des dernières décennies :

- 10 au Mali
- 12 en Irak
- 27 en Côte d’Ivoire
- 89 en Afghanistan
- 116 en Ex-Yougoslavie
- 156 au Tchad
- 158 au Liban

Depuis plusieurs années un projet de monument commémoratif rappelant le souvenir de ses combattants des opérations extérieures n’avance pas.

Pire, il semble aujourd’hui totalement oublié !

Ce qui a été décidé et réalisé pour honorer la mémoire des victimes du terrorisme ne peut-il donc pas être mis en œuvre pour 568 soldats qui, eux n’ont pas perdu la vie par malchance, mais l’ont délibérément mise au service de leur pays en allant combattre le terrorisme sur tous les territoires où la République les a envoyés au combat.

Eux aussi, sont tombés pour notre liberté, notre sécurité, notre liberté d’expression !

En leur nom et pour leurs familles, l’Union Nationale des Parachutistes a l’honneur de vous demander qu’au cours de 2016 vous présidiez l’hommage solennel auquel ils ont droit et qui a déjà beaucoup trop tardé et inauguriez, enfin !, ce lieu de mémoire qui permettra de rappeler à la France le sacrifice de ces héros anonymes.

Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de notre très haute considération.

Thierry CAMBOURNAC

Général d’armée (2s)
Président de l’union Nationale des Parachutistes


 
 
Message du Président national

Chers camarades,

Au cours du mois de Janvier le Président de la République a multiplié les hommages aux victimes des attentats terroristes de l'année dernière, allant jusqu'à inaugurer quelques semaines après un lieu de mémoire pour honorer les victimes des tueries de Novembre.

S'il n'est nullement dans l'intention de l'UNP de contester en quoi que ce soit le bien fondé de ces cérémonies et hommages, force est de constater qu'une fois encore la République fait deux poids deux mesures puisque plus de 500 soldats morts en opération au cours des dernières décennies attendent toujours que soit érigé à Paris le monument qui doit perpétuer leur sacrifice.

Ce que l'on a su faire pour 115 victimes du terrorisme ne peut-il être fait pour 568 militaires des trois armées qui ont accepté de faire le sacrifice de leur vie pour notre sécurité, notre liberté d'opinion et notre liberté tout court ??!!

C'est pour rappeler cette exigence de reconnaissance que j'ai adressé au Président de la République la lettre ci jointe.

En toute fraternité parachutiste,

Thierry CAMBOURNAC
Général d'armée (2s)

 
 


DERNIER CAMERONE LE 30 AVRIL 1962 à SIDI-BEL-ABBES

https://www.youtube.com/watch?v=xoCExKxsbmo

 
 

LETTRE OUVERTE

Suite aux déclarations du docteur Patrick Pelloux, urgentiste et chef du SAMU parisien.



Pour ceux qui désirent réagir (éventuellement en envoyant aussi des photos éloquentes de nos victimes françaises
par le FLN, pendant la guerre d'Algérie) :

Merci d'adresser au jeune médecin du SAMU M. Patrick Pelloux, vos remarques, critiques, et autres "renseignements complémentaires" sur l'histoire de la guerre d'Algérie (Algérie qui fut française jusqu'en 1962) et celle du terrorisme
FLN qui fit de très nombreuses victimes civiles françaises (morts et blessés) de toutes ethnies,.. ceci bien avant les attentats á Paris, celui de Charlie Hebdo, celui du Bataclan, etc.

Coordonnées en bas de page.


Le sympathique Patrick Pelloux est un jeune médecin urgentiste qui, comme il le dit lui-même, n'a jamais connu la guerre - et c'est tant mieux pour lui.
Mais de là à affirmer publiquement que "jamais en France on n'avait pris en charge une dame avec des balles de kalashnikov dans le corps ! Jamais on n'a vu des mômes avec les jambes déchiquetées" est excessif, et subjectif. Il
se peut que l'équipe du Dr Pelloux n'ait vécu cette horreur que pour la 1ére fois lors des récents attentats sur le sol français, c-à.d en fait hexagonal. Mais ce n'est pas la première fois que de tels attentats ont lieu en France, il y a eu
des précédents avec la rue des Rosiers, le métro St-Michel, et j'en passe...! Le docteur Pelloux était sans doute trop jeune pour avoir vécu ces horreurs. Et il n'était peut-être même pas né pour avoir vécu les monstrueux attentats commis par le FLN contre des civils français de toutes ethnies de 1954 á 1962 sur le sol d'Algérie qui, n'en déplaise à certains, était français à part entière comme tous les autres départements de France...! Mais le Dr Pelloux n'a sans doute jamais entendu parler de cette période, de ce chapitre de l'Histoire de son pays. Ou peut-être ne considère-t-il pas les Français d'Algérie, eux aussi victimes civiles du terrorisme, comme des Français à part entière ?

La mise à l'écart symbolique de ces victimes hors de la communauté nationale, l'occultation systématique pratiquée depuis des décennies sur leurs drames et leurs souffrances, identiques mais bien antérieurs à ceux de Charlie et du Bataclan, ne font-ils pas partie - comme l'a écrit récemment Boualem Sansal - d'un "génocide mémoriel" organisé ?


On ne peut comprendre vraiment le présent qu'en étudiant le passé..
Par conséquent, nous ne pouvons que conseiller à M. Patrick Pelloux de se mettre à l'étude de l'histoire du terrorisme non seulement dans l'hexagone mais aussi dans les territoires ex-français, où le nombre de victimes civiles françaises
dépasse tout ce qu'il a pu imaginer jusqu'ici...
Il pourrait ainsi compléter ses lacunes historiques et obtenir une image plus exacte du terrorisme, devenu aujourd'hui
un fléau planétaire.

En tant que président du SAMU 75, il ne pourra qu'y gagner, en renforçant sa liberté de jugement !


Nicole Guiraud
victime à 10 ans de l'attentat FLN du Milk Bar - à Alger 1956

 
 
Faisons des économies.....?

Trouvez vous cela normal : Personne ne parle .

Un président normal , mais un trou du cul qui pète plus haut . jusqu' ou L'IGNOMINIE DE NOS GOUVERNEMENTS IRA T ELLE?
Chaque jour un nouveau sujet surgit et aucune radio exprime qq observations.
Imaginez ce que nous aurions entendu , les précédents mandats.
La France est elle sous un régime démocratique , équivalent à celui de l'Arabie Saoudite ou du Quatars.
aurons nous un média plus courageux en ces temps de dictature ..
Les journalistes à la bottes , des radio silencieuse , une opposition aphone , triste record. Ce n'est pas le mur que nous allons heurter
mais le gouffre dans lequel nous sombrons sans broncher.
En 4 ans le peuple a été muselé, la presse à la botte , les Français cocufiés . "L'anchois" tu es très fort mais plus dur sera ta chute.
Quant aux affidés le moment venu soyez assuré une milice va s'en occuper Certains pensent préférable de les envoyer dans des camps
de préparation ou servirent de patté ou de trou du cul a leurs maitres...

Lentement , trop lentement sans doute .. mais surement, soyons en convaincus l'évolution et la logique reprendront place.
A trop vouloir. ils arriveront rapidement au terminus de leur mégalomanie.
Nous pleurerons et crierons adieu notre Paix - adieu la bien bienpensance., la force reprendra sa place . Celle du talion trouvera sa place mais celle de la vérité.
aura un prix. les règlements de comptes un temps muselés , exploseront d'un coup. Adieu la bien bienpensance, il faudra dans l'urgence trouver sa juste place.

 
 
 
 
 

 
 
Lettre de Bernard ZELLER.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
   
 

De Gaulle, traître intégral. Il est bon de rappeler qui fut en réalité Charles De Gaulle.

C’est à partir de 1916 que l’on commence à parler d’un certain...

https://lorrainenationaliste.com/2015/08/19/de-gaulle-traitre-integral/

   
 
   
 
Confidences d'un homme qui a le courage de se présenter à une tribune. Merci de faire suivre cette vérité de l'histoire, à contre-courant du « sens actuel de l’Histoire »…..

http://www.ina.fr/video/I09152596/lajos-marton-a-propos-de-l-attentat-du-petit-clamart-video.html

   
 
   
 
   
 
   
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/07/fn-foutez-moi-dehors-ce-sans-couilles.html
   
 
   
 

Cercle algérianiste national - Association culturelle des Français d’Afrique du Nord
1, rue Général Derroja 66000 Perpignan - Tél. 04 68 53 94 23
Courriel : secretariat@cerclealgerianiste.fr
Cercle algérianiste national
Fédération des Cercles algérianistes
Perpignan le 8 juillet 2016
Monsieur Manuel VALLS
Premier ministre
Hôtel Matignon
57 Rue de Varenne
75007 PARIS

 


Monsieur le Premier ministre,
La France, dans le cadre de sa politique de dialogue avec l’Algérie, vient de remettre à l’État algérien, une partie des archives couvrant la période de la guerre d’Algérie, qu’elle détenait.
Ce ne sont pas moins, semble-t-il, de vingt-deux volumes de documents diplomatiques français, partie intégrante de l’Histoire de France et des Français d’Algérie, dont s’est ainsi dépossédé notre pays.
Aucune information n’a été cependant donnée, sur le contenu réel de ces archives, dont la restitution peut porter préjudice, tant aux soldats de l’armée française, qu’aux Français d’Algérie et aux Harkis,
quand on connaît l’attitude revancharde de nombre de dirigeants algériens.

Quelles garanties, Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous apporter aux citoyens français sur ce point ? Cette démarche de la France nous amène également à vous poser officiellement la question de savoir, ce
qu’au titre de la réciprocité, s’est engagé à restituer le gouvernement algérien, comme archives? En effet, voilà plus de cinquante-quatre ans qu’un tiers des actes de l’état civil des Français d’Algérie
attend toujours d’être microfilmé, alors même que ces documents appartiennent au patrimoine affectif et familial des Français d’Algérie.
La France a-t-elle cédé une nouvelle fois aux exigences du gouvernement algérien, en sacrifiant les intérêts des populations européennes d’Algérie qui attendent, pour pouvoir reconstituer leur histoire,
leur parcours professionnel et tout simplement leur vie, que le gouvernement algérien veuille bien restituer ce qui leur appartient ?
C’est à toutes ces questions, Monsieur le Premier ministre, que nous aimerions obtenir un certain nombre de réponses, car la politique de dialogue que vous entendez mener avec l’Algérie ne peut se
faire dans l’opacité, au détriment des Français d’Algérie. De même, il nous semble indispensable que vous puissiez nous éclairer sur les résultats de vos négociations, pour permettre enfin que le sort de milliers de disparus européens
enlevés et assassinés par le FLN, ne soit pas laissé dans l’ombre pour céder au politiquement correct.

Cela doit être une exigence du gouvernement français, car la vérité historique doit concerner tous les drames et toutes les souffrances.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Premier ministre, l’expression de ma considération.
Thierry Rolando
Président national du Cercle algérianiste

   
 
   
 
   
 
  08_07_2016
 
Michel Rocard et Réseau Jeanson

Le réseau Jeanson était un groupe de militants traitres à la Nation français, agissant sous les directives de Francis Jeanson, qui opéra en tant que groupe de soutien du FLN durant la guerre d'Algérie, principalement en collectant et en transportant fonds et faux papiers
Porteurs de valises du FLN
Le rôle principal du réseau consistait à agir en tant que cinquième colonne en collectant et en transportant des fonds et des faux-papiers pour les agents du FLN opérant dans la métropole, d'où leur surnom de « porteurs de valises ». La plupart de ses membres proviennent du monde médiatico-intellectuel, rassemblant chrétiens de gauche, trotskistes, syndicalistes ou communistes dissidents1.
Le réseau est démantelé en février 1960 et son procès s'ouvre le 5 septembre 1960. Six Algériens et dix-huit Français sont inculpés. Ils seront défendus par vingt-six avocats dont, le plus en vue, Roland Dumas qui s'efforcera de faire durer la procédure et de ridiculiser le tribunal. Cette stratégie s'avèrera payante auprès de l'opinion publique. Quinze des inculpés sont condamnés le 1er octobre à dix ans de prison, maximum de la peine ; trois sont condamnés à cinq ans, trois ans et huit mois. Neuf sont acquittés.
> Des intellectuels de gauche, avec le Manifeste des 121, apportent leur soutien aux porteurs de valises, dans un contexte où la position de l'État français est de moins en moins claire.
> Jeanson s'est toujours défendu d'avoir trahi la France, au contraire. Il justifie son attitude par la fidélité aux idéaux sur lesquels doit s'appuyer cette même communauté française2. En fuite à l'étranger, il est jugé par contumace en octobre 1960. Lors de ce procès, il est reconnu coupable de haute trahison et condamné à 10 ans de réclusion criminelle. Il est amnistié en 19663.
>

Françis JEANSON , Hélène CUENA, Dr. CHAULET et sa femme Anne-Marie, Jacques CHARBY , le professeur D'ALSACE et le professeur Pierre VEULLAY , les prêtres de la Mission de France: Abbés Pierre MAMET, Robert DAVEZIES, BOUDOURESQUE.
> Les acteurs Paul CRAUCHET ,André THORENT , Jacques RISPAIL , François ROBERT , Jacques MIGNOT , Jacques et Lise TREBOUTA , Serge REGGIANI , Catherine SAUVAGE , Roger PIGAUT , l'écrivain Georges ARNAUD , Georgina DUFOIX , Guy DARBOIS , Paul-Marie de la GORCE , Annette ROGER , Michel ROCARD , Jean DANIEL, Henri CURIEL et sa femme Rosette , Roland CASTRO , Hervé BOURGES , CASALIS , Gérard CARREYROU , Guy BRAIBANT , Pierre BOUSSEL , Marc BLONDEL , Christian BLANC , François AUTAIN , Pierre FRANK dit "Pedro", AlainGEISMAR , Jean GIOVANELLI , Bernard KOUCHNER , MarcKRAVETZ , Henri ALLEG , Françoise SAGAN , Bernard SCHREINER , Georges SUFFERT , Jacques VERGES , François MASPERO , Jacques MELLICK , Christian NUCCI , Claude OLIVENSTEIN , Jean—Marie PAUPERT , Jean-Louis PENINOU , Michel PEZET , René-Victor PILHES , Hubert PREVOT , Madeleine REBERIOUX , Pierre VIDAL-NAQUET .


   
 
   
  A l'occasion du décès de Michel Rocard, les médias ont rapellé ses prises de position sur l'Algérie.
1. Sa première intervention est celle du Rapport pour la République algérienne associée à la France, rédigé avec Henry Frenay au printemps de 1957.
Reçu à l'ENA en 1956, M.Rocard adhère au Comité social d'étude et d'action pour la paix en Algérie.
Il s'oppose à la politique algérienne de Guy Mollet et Robert Lacoste, et anticipe la création en sept.1958 d'un Parti socialiste autonome, précurseur du PSU.
Il estime que l'armée est hostile à la population algérienne, laquelle appuie totalement le FLN ; ceci est une erreur historique en 1958 (fraternisation du 16 mai et avis de Mohammed Harbi).

2. Sa deuxième intervention est la rédaction le 17 février 1959 d'une Note sur les centres de regroupement, à l'attention du Délégué général de la France en Algérie.
Affecté en Algérie en septembre 1958, M.Rocard a été informé par Jacques Bugnicourt, officier SAS à Orléansville, du déplacement des populations dans des centres de regroupement, afin qu'ils ils échappent au contrôle du FLN.
Cette note, diffusée par le Monde du 18 avril, fait état de la situation tragique du million d'Algériens déplacés, qui sont menacés par la famine et par la mortalité infantile élevée (un enfant sur mille tous les deux jours ! ).
M. Rocard n'a visité qu'une quinzaine de Centres de regroupement, principalement dans l'Orléansvillois,
alors qu'il y en a déjà plus de mille.
Il souligne qu'un crédit de 100 millions de nouveaux francs a été demandé pour soutenir ces regroupements.

Réalité historique (1).
3. Les médias semblent ignorer les réactions négatives du Délégué général Delouvrier, qui déclare le 16 mai 1959 qu'il n'a pas donné mandat de faire ce rapport, et que la mortalité infantile dans les regroupements est inférieure à ce qu'elle était dans les anciennes mechtas.
En août 1959 Delouvrier écrit à la Ligue des droits de l'Homme que la Note de Rocard constituait une information partielle, et que le but des regroupements consistait à créer 1000 nouveaux villages destinés au développement économique et social de l'Algérie, dans le cadre du plan de Constantine.
Grâce aux regroupements, la scolarisation des jeunes musulmans passe de 15% en 1954 à 40% en 1960 et 65% en 1961.
4. Un compte-rendu sur les centres de regroupement avait été demandé par le général Salan à 5 Inspecteurs généraux, dont la synthèse avait été confiée au préfet R. Martin ( 31 janvier 1959).
M. Rocard semble ignorer ces C.R.. D'autre part Eric Westphall, affecté au cabinet Delouvrier, dément l'existence d'un crédit exceptionnel de 100 millions (1 miliiard planifié en 1959).
Affecté à la Direction de l'Agriculture, J. Bugnicourt rédige en 1960 un rapport favorable aux nouveaux centres ruraux (les 1000 villages), sans faire référence au rapport de son ami Rocard.
Le GPRA publie des critiques virulentes des regroupements de populations, qu'il assimile à des camps de concentration; mais les C.R. des wilayas et des mintakas reconnaissent la réalité : "Nous sommes coupés de tout ;
la population ne nous suit plus ". C'est une des causes de la révolte de Si Salah.
5. Il est apparu que pour des raisons de sécurité, certains regroupements ont été opérés sans préparation,
et que certains n'étaient pas viables (article Macaigne dans le Figaro du 22 juillet 1959). Ils seront interdits par le
Délégué général en mai 1960.
Des jugements négatifs ont été publiés ultérieurement par des historiens qui ne les ont pas visités : Bourdieu en 1964,

Cornaton en 1967, Ageron en 2000, Kamel Kateb en 2001.
Xavier de Planhol, géographe universitaire, a visité les villages blidéens en 1959-60, et publié un mémoire favorable aux regroupements : le niveau de vie moyen s'est sensiblement relevé; les resserrements ont permis l'instauration d'une vie communautaire et le développement d'infrastructures matérielles et scolaires.
Les autorités militaires reconnaissent à la fois les difficultés rencontrées et les réussites de l'opération en matière de sécurité et de développement (généraux Beaufre, Olié, Gambiez, Parlange, Vanuxem, colonel Trinquier). Le
général Rondot, expert du renseignement, fait l'éloge de "l'extraordinaire entreprise de construction humaine "
qu'il a vue dans le centre créé par le colonel de Saint-Simon. Rares sont les avis défavorables des chefs de SAS.
90% des personnes déplacées ont préféré en 1962 rester dans les nouveaux villages, qui selon Bruno Etienne, sont devenus les villages socialistes de la Révolution algérienne.

(1) - Maurice Faivre. Les 1000 villages de Delouvrier. Protection des populations musulmanes contre le FLN.
Esprit du Livre, 2009.
- Xavier de Planhol. Les nouveaux villages de l'atlas blidéen. PUF 1961.
- Archives de Delouvrier (1DV17), de l'armée de terre (1h1096 - 2576) , de l'outremer (15 CAB /143),
de la Commission de Sauvegarde (F60-3156) et du CICR (BAG 251 008 012).
- ouvrages des auteurs cités.,

   
 
   
 
Le 5 Juillet 1962 fut la journée la plus meurtrière de toute la guerre d'Algérie.
Ce jour-là pourtant ce n'était déjà plus la guerre, mais la première fête de l'indépendance !

Certains en ont entendu parler, d'autres jamais, beaucoup préférant de pas savoir.

Pourtant les faits sont avérés. Les Oranais de plus de 60 ans ont tous assisté à des horreurs.

Et leurs enfants aussi savent qu'il s'est passé quelque chose ce jour-là...

J'attends le jour où l'un de ces enfants algériens, l'écrivain Kamel Daoud par exemple, saura faire montre de son talent sur ce sujet tabou qui a valu la censure à mon dernier film Algérie, histoires à ne pas dire, où 45' lui sont consacrées.


En attendant, il faut lire, et faire lire Requiem pour un massacre oublié texte, superbement écrit, de cet autre enfant d'Oran qui, comme un million de ses compatriotes, pied-noirs et juifs, fut chassé de son pays en 1962 :


Oran, 5 juillet 1962: requiem pour un massacre oublié (1/2)
Combien de temps encore pour que la lumière soit faite?

Gérard Rosenzweig

Publié dans Le Causeur le 04 et le 05 juillet 2016

http://www.causeur.fr/oran-guerre-algerie-decolonisation-5-juillet-1962-1-38933.html

http://www.causeur.fr/oran-guerre-algerie-decolonisation-5-juillet-1962-2-38934.html


   
 
   
 
http://forgalus.free.fr/LE%20COIN%20DE%20JULES%20ESTEVE/2016%2007%2005%20SAINT%20LAURENT%20DU%20VAR-HOMMAGE%20A%20NOS%20MORTS%20ET%20DISPARUS%20DU%205%20JUILLET%201962%20A%20ORAN/index.html
   
 
   
 
http://www.nice-provence.info/blog/2016/07/03/rocard-mort-remords/
   
 
   
 
Rocard.

Rocard est mort et, bien sûr, toute la classe politique a fait part de son émotion,
non seulement la gauche profonde mais aussi tous les ténors de l’UMP dite Les Républicains !
Et pourtant, lisez ci-dessous qui était vraiment ce personnage qui fut premier ministre du président à la francisque d’argent.

Une rose pour le FLN

Le premier geste politique de François Hollande après avoir été désigné candidat officiel du parti socialiste,

est d'aller jeter une rose dans la Seine sur le pont de Clichy à Asnières, à la mémoire des manifestants FLN à Paris.
> Une manifestation interdite en pleine guerre d'Algérie le 17/10/61.
> Comment aller jeter une rose à cet endroit, et faire abstraction des actes sanglants du FLN en Algérie et en France.

Faut-il rappeler que le FLN a tué plus d'Algériens que toutes les manifestations les plus réprimées de cette époque.

Par ce geste il fait passer le FLN pour de pauvres victimes de la barbarie colonialiste française.
> Le FLN extorquait des fonds pour sa guerre, menaçait de mort, torturait, égorgeait et faisait exploser des bombes

tuant des innocents ici et là bas.

Nous n'avons aucune repentance à avoir, ni d'excuses ou de regrets à formuler.
> Pensons plutôt à toutes les victimes du FLN, à nos jeunes soldats morts en algérie, aux harkis lâchement abandonnés

et non récompensés de leur choix français au moment le plus critique de cette guerre.
> Honte aux politiques qui font les guerres, missionnent des agents au service de l'état dans les pires moments de la république pour les désavouer ensuite et cracher sur leurs tombes 40 ans après.

Ayons plutôt une pensée, à la mémoire des exactions commises par le FLN, ce ne serait que justice !

En ce qui concerne le FLN, à l'époque il y avait une autre voie possible vers une indépendance ( de toutes façons inéluctable), dans le calme, sans les horreurs commises sur les "pieds noirs" et les Harkis qui auraient décidé de rester en Algérie; c'était de s'entendre avec l'ALN !!

Mais De Gaulle qui méprisait les uns et les autres les a envoyé à la boucherie, comme il a su le faire pour tous ceux qui se mettaient en travers de sa route de Pétain à Leclerc...

N'oublions pas non plus que les "porteurs de valise" de l'époque s'appelaient Michel Rocard, Laurent Dumas, Badinter etc etc...

Tous de grands patriotes !! ils auraient mérité douze balles dans la peau pour avoir trahis leur patrie !!

Les Français ont la mémoire courte et terriblement sélective... et, depuis;

ils ont tous été admis dans l'ordre de la Légion d'Honneur?. C'est pas beau, çà ???

Liste non-exhaustive des porteurs de valises (réseau Jeanson)
Françis JEANSON , Hélène CUENA, Dr. CHAULET et sa femme Anne-Marie, Jacques CHARBY , le professeur D'ALSACE et le professeur Pierre VEULLAY , les prêtres de la Mission de France: Abbés Pierre MAMET, Robert DAVEZIES, BOUDOURESQUE.
> > Les acteurs Paul CRAUCHET ,André THORENT , Jacques RISPAIL , François ROBERT , Jacques MIGNOT , Jacques et Lise TREBOUTA , Serge REGGIANI , Catherine SAUVAGE , Roger PIGAUT , l'écrivain Georges ARNAUD , Georgina DUFOIX , Guy DARBOIS , Paul-Marie de la GORCE , Annette ROGER , Michel ROCARD , Jean DANIEL, Henri CURIEL et sa femme Rosette , Roland CASTRO , Hervé BOURGES , CASALIS , Gérard CARREYROU , Guy BRAIBANT , Pierre BOUSSEL , Marc BLONDEL , Christian BLANC , François AUTAIN , Pierre FRANK dit "Pedro", AlainGEISMAR , Jean GIOVANELLI , Bernard KOUCHNER , MarcKRAVETZ , Henri ALLEG , Françoise SAGAN , Bernard SCHREINER , Georges SUFFERT , Jacques VERGES , François MASPERO , Jacques MELLICK , Christian NUCCI , Claude OLIVENSTEIN , Jean?Marie PAUPERT , Jean-Louis PENINOU , Michel PEZET , René-Victor PILHES , Hubert PREVOT , Madeleine REBERIOUX , Pierre VIDAL-NAQUET .

   
 
   
 
CHIRAC, il y a 20 ans...
 
Ces guignols siphonnent les voix des Français nationaux, le temps d'être élus et, dès qu'ils ont retrouvé leur cher pouvoir, ils se moquent du peuple.

Toute la 5 ème est fondée sur le mensonge , à commencer par le fameux "Je vous ai compris" alors que De Gaulle traitait déjà avec le FLN via Mohamed V, Bourghiba, Masmoudi, G. Palewski, Pompidou, Tricot, à Genève, Tunis et le Caire et savait qu'il mettrait Ben Bella au pouvoir, 3 ou 4 ans après, puisqu'il l'a dit à son collaborateur technique ,le polytechnicien Jean Méo de la promotion de Bastien-Thiry !

Pierre BARISAIN

 

   
 
   
 
Chers amis du Collectif,

Paru ce matin dans Causeur.fr, voici la première partie de mon article sur le massacre du 5 juillet 62.

Rien de nouveau, bien sûr. Comme je l'ai dit, juste un tout petit pas de plus vers la reconnaissance officielle...

Bien amicalement à chacun de vous, et ma gratitude à JP LLEDO.
G. Rosenzweig

 
http://www.causeur.fr/oran-guerre-algerie-decolonisation-5-juillet-1962-1-38933.html
   
 
   
 
Manu GOMEZ
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/07/oran-5-juillet-1962.html
   
 
   
 
   
 
LE CALVAIRE DES ORANAIS

Fin juin soixante-deux, ma ville est moribonde.
Oran qui fut si vivante est à l'agonie.
Elle vit ses derniers jours dans une tristesse profonde.
Elle respire très mal, son cœur est en arythmie.

Au port, des cuves de mazout sont incendiées.
Une fumée noire opaque enveloppe la ville,
Un spectacle sinistre, impossible à oublier.
Les pieds-noirs, ces damnés, se préparent à l'exil.

Les derniers commandos de notre Résistance
Viennent de partir en hâte vers les côtes espagnoles.
Les malheureux Oranais sont en désespérance.
L'Armée française ne peut plus jouer son rôle.

Depuis le dix-neuf mars, jour maudit des pieds-noirs,
Le pouvoir gaullien n'a plus qu'un seul ennemi :
Les factieux d'Algérie, poussés au désespoir.
Face aux fellaghas barbares, De Gaulle s'est soumis.

Attentats et enlèvements sont le lot incessant
Des pieds-noirs accablés, sans aucune protection.
Des personnes enlevées sont vidées de leur sang,
Jusqu'à une mort lente, bien pire qu'une exécution.

Il existe au Petit Lac un hôpital précaire
Où exerce le sinistre Jean Larribère.
À ce communiste notoire, salopard renégat,
Il lui faut du sang pied-noir pour les fellaghas.

Dans un climat de peur et d'anxiété,
Oran vit les premiers jours de l'indépendance.
Jusqu'au quatre juillet, on a pu constater
Que le F.L.N. veut nous mettre en confiance.

Est créé un comité de réconciliation
Pour donner l'impression d'une concorde rétablie.
Ce n'est qu'une duperie, une mystification,
Pour leurrer les naïfs, mais surtout les roumis.

Or, le cinq juillet, on a très vite réalisé
Que le calme relatif des quatre dernières journées,
C'était pour nous tromper, nous "apprivoiser"
Avec des mots apaisants sans cesse serinés.

La tuerie du cinq juillet fut préméditée.
La fête de l'indépendance servit d'alibi
Aux assoiffés de sang qui, avec avidité,
Se ruèrent comme des fous sur les pieds-noirs honnis.

Preuve que le massacre fut prévu et combiné :
Des civils sont armés, couteaux ou armes à feu.
Ils sont venus en ville bien déterminés
À nous trucider en poussant des cris haineux.

Cette chasse au faciès blanc n'est pas spontanée.
Elle est simultanée dans bon nombre de quartiers.
Barbares par atavisme, ces maudits forcenés
Abattent pareillement hommes, femmes,enfants, sans pitié.

En uniforme de combat, de nombreux musulmans
Parcourent les rues du centre et, sans discernement,
Mitraillent tout ce qui bouge avec une rage effrénée.
Les fameux "marsiens" se montrent les plus déchaînés.

Ils entrent dans des boutiques, des restaurants, des bars,
Chargent les personnes qui s'y trouvent dans des camions,
Vociférant des insultes en sinistres barbares.
Ce sont là les fiers soldats de la rébellion ...

Les victimes de la rafle sont directement conduites
Au commissariat central ou au stade municipal.
D'autres sont amenés dans la cité maudite
Du Petit Lac où les attend une issue fatale.

De nombreuses victimes subissent le pire des calvaire.
Pendues par la gorge à des crochets de boucherie,
Certaines endurent le martyre pendant une longue agonie.
Les nouveaux maîtres se délectent de leur sadisme pervers.

Sur un ordre criminel de non intervention,
Ils sont abandonnés, sans aucune protection,
Ces pieds-noirs exécrés par un pouvoir infâme,
Un pouvoir revanchard, sans conscience et sans âme.

Jusqu'à dix-sept heures, l'Armée française est restée
Consignée dans les casernes, sans porter secours
Aux Français qui étaient enlevés ou tués
Par des hordes sanguinaires comme dans une chasse à courre.

C'est un des épisodes des plus déshonorant
De ce vil gouvernement qui a refusé
De porter assistance à ces Français d'Oran,
En danger de mort, selon l'ordre de l'Elysée.

Parmi les officiers, il y eut des exceptions.
Certains ont désobéi à la hiérarchie
Et ont pu ainsi sauver des centaines de vie,
Mais ils furent sanctionnés pour leur transgression.

Une mention spéciale pour Monsieur Rabah Khélif.
Lieutenant français, pour son courage admirable.
Ce brillant soldat mérite tous les superlatifs.
Son acte de bravoure restera inoubliable.

Ce jour-là, des musulmans sont intervenus
Pour sortir du guêpier des civils innocents
Dont le tort était d'être là au mauvais moment.
Ils méritent notre estime ces braves inconnus.

Cinquante-quatre ans après, la France des "droits de l'homme"
Ne veut pas reconnaître sa culpabilité
Dans cette chasse aux pieds-noirs, ou aux roumis, c'est tout comme.
Pourtant ce massacre de masse est une réalité.

Jean-Paul Ruiz
4/07/2016

   
 
   
 



Cercle algérianiste national
Sauvegarder, défendre, transmettre l'histoire et la mémoire
des Français d'Algérie


Lettre ouverte à


Monseigneur Henri TEISSIER, ancien Archevêque d'Alger




Monseigneur,
Le 27 février dernier, vous honoriez de votre présence, une cérémonie du souvenir au cimetière Saint Eugène d’Alger, cher aux français d’Algérie qui comptent tant des leurs, enterrés dans ce lieu, emblématique de leur présence sur cette terre d’Afrique du Nord.
Cette cérémonie, Monseigneur, avait cependant un goût particulier puisqu’il s’agissait de rendre hommage, en présence de leaders du FLN, à Fernand IVETON, ancien terroriste et poseur de bombes de la bataille d’Alger.
Cette présence, vous le comprendrez, a blessé et heurté nombre de familles de français d’Algérie, victimes des attentats notamment à Alger, dont les civils innocents connurent pendant de longues années, les ravages causés par le terrorisme aveugle.
Et, comme si la symbolique n’était pas suffisamment forte, vous avez tenu, sans doute pour complaire aux autorités du pays, à lire une lettre de l’aspirant MAILLOT, déserteur de l’armée française qui emporta dans les rangs du FLN, les armes destinées à tuer les européens d’Algérie.
Sans doute me répondrez-vous, Monseigneur, que la compassion est une vertu chrétienne qui transcende les idéologies et ne tient pas compte des engagements politiques des individus, mais cela nous oblige cependant à vous demander solennellement, quelles initiatives vous comptez prendre pour rendre hommage aux centaines de vos frères en chrétienté, enlevés et assassinés à Oran un terrible jour de juillet 1962, le 5 très exactement, et que leurs parents ne revirent jamais.
Allez-vous leur rendre de la même manière, en homme de courage bravant les ukases des gouvernants algériens, un hommage mérité, eux qui furent pour l’essentiel, des femmes, des enfants, des hommes innocents choisis aveuglément, juste pour ce qu’ils étaient, des pieds-noirs, des chrétiens aussi, issus du petit peuple d’Oranie?
Allez-vous vous souvenir que tous les morts méritent le même respect, le même hommage mémoriel, la même compassion, ou allez-vous détourner le regard comme le fit en son temps Monseigneur Duval, abandonnant ceux dont il avait la charge, les laissant à leurs drames et à leurs souffrances, pour répondre à l’appel des nouveaux maîtres du pays?
C’est à ces questions, en effet, que les milliers de familles de disparus dont les blessures n’ont jamais été refermées et qui pleurent encore les êtres chers assassinés, et avec eux, tous les français d’Algérie, aimeraient avoir une réponse.
Nous sommes convaincus, Monseigneur, que vous aurez à cœur de nous dire, vous qui en êtes l’une des expressions, comment en 2016, l’Eglise d’Algérie peut faire œuvre d’équité et rassembler dans ses prières tous ceux dont elle a eu la charge et dont le destin a été à jamais brisé.

Thierry ROLANDO
Président national du Cercle algérianiste


Association culturelle des Français d'Afrique du Nord
1, rue Général Derroja 66000 PERPIGNAN - Tél. 04 68 53 94 23
Courriel : contact@cerclealgerianiste.fr

   
 
   
 
Bravo à Manu GOMEZ et au Cercle Algérianiste du Gers:
 
https://www.youtube.com/watch?v=sBEc68MfFP0
   
 
   
  2016_06_25
  André Suarès, fin linguiste, fut d'une lucidité parfaite dans un monde d'aveugle. Rien n'a changé.... Bonnes Pâques. Geneviève de TERNANT

à méditer et à resservir le cas échéant aux Bobos et autres dévoyés:

Être un refuge aux proscrits, quoi de plus touchant ? Offrir aux malheureux un asile, ouvrir un lieu de repos où les persécutés puissent reprendre haleine ; passer aux yeux du monde entier pour cette terre humaine, la seule enfin où l’homme n’est d’abord pas un ennemi pour l’homme, sa victime ou sa proie, quoi de plus beau ? […] En retour, il faut que les infortunés se sentent quelques devoirs envers ceux qui les sauvent. S’ils n’ont pas le cœur assez bien placé ni assez de goût pour se créer des obligations plus délicates, au moins faut-il qu’ils s’en connaissent une : celle de se plier aux lois de leur nouvelle demeure, si peu digne d’eux qu’ils la jugent. La première loi qu’un peu d’âme devrait leur imposer est le devoir de se taire. […] Ils ne vivent ici que par la grâce de l’amitié qu’on leur prête, et ils agissent en constants ennemis.

 

   
 
   
  25 juin 2016
 
Le jour se lève…
La libération des peuples est avancée.


A la fin de la deuxième guerre mondiale, les pays d’Europe, ravagés par l’offensive allemande puis par celle des alliés, se sont réunis sous l’aile américaine comme les poussins sous leur poule. Puis, ils se sont regroupés sous l’impulsion des « européistes » Jean Monnet et Robert Schuman.

Cette quiète convalescence fut appréciée des peuples épuisés, chassés par surcroît de leurs territoires d’outre-mer, et occupés à rassasiés âme et corps, sevrés qu’ils étaient par dix ans de saccages. Quand on a faim, on ne s’occupe guère des intentions du distributeur de la manne, et aussi accepte-t-on sans rechigner les dons.

Puis vint la mise en place de structures à vocation soi-disant économique comme la communauté du charbon et de l’acier (CECA) et de la Communauté des Etats Européens (CEE). Comme rien ne changeait dans leur environnement immédiat, que les gouvernants continuaient à feindre de maintenir la souveraineté de leurs états respectifs, on mena ainsi, dans le contexte contraignant de la guerre froide, les peuples jusqu’au traité de Maastricht.

Entre temps, même l’Angleterre s’approcha du piège doré, avec crainte et réticence s’y installa, puis récrimina quant aux conditions qu’on voulait lui imposer. Mais elle demeura, secrétant ainsi quelques chiens heureux que les loups qui venaient leur faire une causette fuyaient aussitôt, mais de moins en moins nombreux.

Le référendum français de 1992 fut perdu de très peu par les partisans de la souveraineté – c’est à dire de la liberté – par la faute de Philippe Seguin qui se montra tétanisé par un François Mitterand malin et déjà malade.

Nul ne perçut cette même année que les peuples se réveillaient dans l’ancienne Yougoslavie et que la guerre de libération débutait.

La fuite en avant pour accroître le nombre des pays membres alla jusqu’à l’ambition d’intégrer la Turquie dont l’entrée signifierait la désintégration de la civilisation européenne, qui, elle, existe.

La ruine des pays limitrophes à cause de l’euro et des endettements nécessaire pour qu’ils pussent tenir leur rang ne fit point réfléchir la « nomenklatura » en place à Bruxelles et Strasbourg. On mit des gauchistes à la tête de la commission (Barroso ou Solana) et lentement apparurent les contours de projet dément qui soutendait l’Union Européenne : le changement des peuples et leur soumission au joug d’une organisation mondiale à venir qu’on baptiserait « gouvernement » le jour venu. Cette semaine d’ailleurs, l’ONU vient de lancer l’idée de la mise en place d’une « police mondiale » qui est une pierre de plus dans cette direction.

Les portes de l’Europe – et celle des Etats-Unis – furent grande ouvertes et les hordes se mirent en marche « des bouts de l’univers » comme s’écrit Camille dans Horace.

Les vigies des « villages gaulois » qui, dés 1992, avaient alerté l’opinion sans être entendues, puis en étant montrées du doigt, furent rejointes en 2005 par des pans d’opinion qui donnèrent, en France, aux Pays-Bas et en Irlande, des réponses négatives aux référendums sur la Constitution européenne et autres sujets intégrateurs.

Les dirigeants politiques professionnels, qui forment désormais la classe gouvernementale, ignorèrent les « non » massifs exprimés, contournèrent cette opposition et perdurèrent dans ce qu’on peut appeler désormais une trahison des clercs. Et les catastrophes s’accumulèrent que la crise financière de 2008 favorisa.

La Grèce surtout, mais le Portugal, l’Espagne, l’Italie et d’autres contrés à l’est ne pouvaient survivre sous la monnaie unique qu’on aurait pu nommer le « mark » tant elle en avait la couleur. Mais rien n’y fit. L’Allemagne de Merkel imposa de poursuivre « par le fer et par le sang » comme l’aurait dit Bismarck (Durch Eisen und Blut).

Alors commença, enfin, la révolte des peuples. Et le référendum britannique eut lieu. 52% des électeurs demandèrent que la Grande Bretagne se retirât de l’Union Européenne.

Il est au fond normal que ce soit les Anglais qui tirent les premiers. C’est dans leur nature et on les y enragea au moins une fois. Nigel Farage, ce talentueux tribun qui mit si souvent la face des européistes à nue dans le grand cirque de Strasbourg, a mené campagne et ses compatriotes l’ont suivi.

« Il vaut mieux être le premier dans son village que le second à Rome » dixit César. La formule reste vraie et les Britanniques ont choisi de sortir de l’Union Européenne pour redevenir eux-mêmes. A présent, nul ne peut nier que Bruxelles ou Strasbourg n’ont plus de légitimité et que leurs prétentions doivent être soumises au feu des urnes dans chaque pays membre.

Surtout si on s’avise de ce qui se passe aux Etats-Unis sous l’impulsion de Donald Trump. Là encore, le peuple se soulève et semble décidé à recouvrer sa souveraineté avant qu’il ne soit trop tard.

Si juin est le début de la débâcle (au sens propre du terme) en Europe, novembre peut-être celle du monde, avec le retour d’une Terre de nations libres de faire la loi chez elles, libres d’avoir les amis qu’elles souhaitent et libres de pratiquer les mœurs qu’elles chérissent.

« Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà »

Georges Clément
Comité de Lépante
Ancien président du Comité francilien de défense du franc
Ancien membre du Conseil national souverainiste

   
 
  23 juin 2016
 
 
Chapitre XV: Le cycle de l'adieu
   
 
   
 
Pour NOS Disparus, ne rêvons pas... D'après les gouvernements français et algérien, il n'y aurait pas eu de disparus entre 1954 et 1963....
HC
 
http://www.lexpressiondz.com/actualite/244016-negociations-avec-la-france-sur-le-sort-de-2-000-algeriens-disparus.html
   
   
 
   
 
RAPPEL
 
Cercle algérianiste du Gers, le 25 décembre 2014:

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjf8KSEyrzNAhXFWywKHfB7A68QtwIINjAD&url=https%3A%2F%2Fwww.youtube.
com%2Fwatch%3Fv%3D3eZK9fpGv7I&usg=AFQjCNEdmQcrA11_u--O4_wIH0EwdZfMrQ

   
 
La France paie encore l'alliance de charles 2gol et des communistes en 1945...
   
 
   
 
http://www.causeur.fr/orlando-et-magnanville-les-reflexions-d%e2%80%99alain-finkielkraut-38819.html
 
Français, réveillez-vous!!
HC
   
 
   
 
Manu GOMEZ
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/06/ca-va-mieux-en-france-il-l-affirme.html
   
 
   
   
   
   
   
   
   
   
 
   
 
Une ignominie de plus, à mettre sur le compte de l'homme du 19 mars 1962...
  22 juin 2016
 
http://fr.calameo.com/read/00481894509eca5cc0f1d
   
 
   
 
Obsèques d'un grand Ami de la recherche de la Vérité.
 
https://picasaweb.google.com/112961091018765267263/6297643564470689553
   
 
   
 
   
 
   
 
Le Massacre de la rue d'Isly était bien prémédité...
 
http://fr.calameo.com/read/004818945cb8bc6c63cbc
   
 
   
 
 
Chapitre XIV: Le cycle de l'adieu
   
 
   
 
 
http://fr.calameo.com/read/0000597298a6f04a27190
 
PDF de cette commission.
   
 
   
 


Temps d’orage chez les footeux !


Voilà que cela recommence ! Nous avons eu l’affront de 2010 et nos « champions » en grève en Afrique du Sud et nous voilà en 2016 dans le monde du football plongé dans une autre tourmente médiatique. C’est un « franco-étranger » à double nationalité, qui sème la zizanie. Il ne reconnait pas sa faute et accuse. Il se prend pour un des nombrils de la sphère footballistique et marque un but contre le moral de l’équipe de France et l’Euro 2016. Bien entendu, il trouve des soutiens : ceux qui ont eu un problème avec la France et qui trouvent là un moyen facile de se venger. Auraient-ils pu attendre la fin du « 2016 » ? Non, l’occasion est trop belle de jeter une peau de banane dans les pieds de l’équipe de France et de créer ainsi un sentiment de malaise. En effet, comment peut réagir une équipe qui se trouve tout à coup confrontée à cette guerre du communautarisme, du racisme et de la bêtise ?
Souvenons-nous des « quotas » où Laurent Blanc s’est trouvé piégé il y a deux trois ans ! Cela avait fait une bombe chez les footeux, comme si à l’image de nombreux pays aux ethnies diverses, il y avait eu un partage des « genres » : un peu blanc, un peu noir et un peu pour chaque couleur de peau. Le problème a duré assez de temps pour que certaines langues vipérines trouvent de quoi alimenter leurs sacs à étrons.
Mais d’où vient le mal ? Les centres de formations de la FFF sont pleins de ces gens qui veulent devenir des vedettes, mais qui ne se servent de la France, de ses centres de formations, des finances du peuple et de leur identité française que pour obtenir un diplôme qui leur permet de retourner dans le pays d’origine de leurs parents en faisant un bras d'honneur à ceux qui leur ont enseigné l’art des dribles. Souvenons-nous de l’équipe FLN dont parle avec admiration France 2, oubliant les morts de la guerre d’Algérie. La faute à qui ? Je déclare coupable la FFF ! Elle est entre de mauvaises mains. Celle d’un humanisme collectiviste pratiquant depuis des années la lâcheté et l’illusion qui lui font fermer les yeux sur le communautarisme qui gangrène le monde du foot... Il faut se plier à la viande halal lors des repas, il faut des chambres à part, il faut un muezzine à disposition et par-dessus tout, ne pas chanter la Marseillaise lors de réunions nationales ou internationale et montrer ainsi que le «  Je ni... ta mère » n’est pas que dans de vulgaires chansons.
Aujourd’hui la polémique grandit parce qu’un joueur qui a trempé dans une drôle d’affaire de « sexe-partie », puis soumis à une enquête judiciaire, aurait voulu le beurre et l’argent du beurre, ainsi que la sélection pour l’Euro 2016. Sous l’influence d’une bande de « copains » certainement imprégnés d’une religiosité de surface, il s’est laissé entraîner dans la combine d’un chantage minable. Il y a un retour de manivelle qu’il n’accepte pas, et il faudrait, aux yeux de certains, lui donner le feu vert de la sélection sans le résultat de l’enquête. Même un ancien ministre, « fan » du « genre », s’en mêle. Il donne raison avec quelques « people » à un footballeur qui ne mérite que le silence pour ne pas dire le mépris d’avoir lancé son incantation juste avant l’Euro 2016. Une sorte de haine et de méchanceté idiote. Je me permets de reprendre la phrase d’Yves Thréard dans le « Figaro » du 02/06/2016 qui dit bien et clair ce que beaucoup pensent « Bercé par la culture de l’excuse, B... pratique le racisme à rebours qui consiste à toujours rejeter la faute sur l’autre pour nier la sienne. »

Robert Charles PUIG à Nice, le 03 juin 2016

   
 
   
 

Message lu par son auteur : Pierre Garidou lors de notre protestation contre l'apposition d'une plaque pour le 19 mars au Passage d'Agen

Mon pauvre drapeau,

je te regarde je vois que tu es triste, comme moi, tu pleures; je vois couler le long de ta hampe des larmes: des larmes rougies par le sang de tous ces soldats qui sont morts et que tu as recouverts dans un dernier hommage.

Le crêpe noir que tu arbores aujourd’hui, est le signe que tu n’as rien oublié; comme toi je me recueille en pensant à tous ceux qui ont cru et défendu la France en Algérie.

A l’époque tu portais haut et fier les valeurs de ton pays tu flottais sur tous les continents et tu étais respecté.

Pauvre drapeau, lorsque tu te battais jusqu’à ta dernière goutte de sang dans les djebels tu n’imaginais pas qu’un jour on puisse t’associer à la plus grande forfaiture que ton histoire a connue.

Ne regarde pas partir la triste copie qu’on a faite de toi et qu’on emmène commémorer une plaque qui rappelle l'abandon de notre terre natale l'exode et les massacres de nos frères et soeurs?

Comme toi, j’ai le cœur gros mais comme toi je ne baisserai pas la tête parce que tous les deux nous ne voulons pas que notre France, celle de l ’honneur, du courage et de la fidélité à la parole donnée, soit bafouée.

Honte à ceux qui ont oublié les massacres des civils, des militaires et des harkis après le 19 mars 1962-

Honte à ceux qui ont oublié la patri,e pour ne penser qu'à la quille.

 

   
 
   
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/05/la-legitime-defense-interdite-en-france.html
   
 
   
 
Archives du général Goubard - Source Francine Dessaigne

http://www.alger26mars1962.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=173:3-5-liste-nominative-des-tirailleurs-de-la-section-du-4eme-rt-en-place-au-plateau-des-glieres&catid=43&Itemid=136

   
 
   
 
 
Chapitre XIII. Le cycle de l'Adieu.
   
 
   
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/05/13-mai-1958-un-coup-d-etat-reussi.html
   
 
  11 mai 2016
  Bonjour Monsieur Thierry BEZER,


Je vous félicite pour le sujet de samedi 14 mai, "le voile de la discorde" dans votre très bonne émission:
"la voix est libre" sur FR3-Provence-Alpes.
Est-ce que vous aurez la possibilité, vous ou un de vos invités, de dire que la situation actuelle en France comme en Europe, est la conséquence directe de la forfaiture de de gaulle Charles?
Durant les folles journées d'espoir de mai 1958, avant que cela ne devienne "l'espérance trahie", les femmes françaises musulmanes de la Casbah d'Alger, sont venues sur le Forum bruler leur haïk.

Elles avaient soif d'émancipation de la femme. Avec la victoire (politique) du FLN, ces femmes sont retournées quelques siècles en arrière. Quelle tristesse de voir en France, dans les grandes surfaces de la PACA, des jeunes-filles d'à peine 20 ans, revêtir un voile presque intégral?

Merci de m'avoir lu.

Cordialement

   
 
   
 
   
 
http://fresques.ina.fr/de-gaulle/fiche-media/Gaulle00011/discours-du-4-juin-1958-au-forum-d-alger.html

Ne jamais oublier, pardonner encore moins!
HC

   
 
   
  Comme beaucoup de mes concitoyens j'ai été scandalisé d'apprendre votre décision de convier un rappeur qui, dans les paroles de ses " chansons "a montré du mépris pour la France, pour "animer" un concert dans votre ville.
Est - ce que ce type de musique est bien adapté à la solennité de la commémoration des tueries de la Guerre de 14 - 18 ? NON !
Je connais bien Verdun et sa région. Je m'y suis rendu et y vais assez souvent pour faire découvrir jusqu'où la bêtise humaine pouvait aller. *
A chaque fois que je vais sur les champs de bataille, je suis profondément ému, en voyant ses milliers de tombes alignées et je ne peux m'empêcher d'avoir les yeux embués en pensant à tout ces jeunes qui ont sacrifié leur vie pour notre Liberté.
Avez vous pensé une seule seconde à eux avant de prendre votre décision totalement inepte ? NON !
Merci de faire en sorte que ce concert qui n'a rien de culturel ni pour la Région, ni pour le lieu, ni pour l’évènement célébré, soit PUREMENT et SIMPLEMENT ANNULE .
Salutations
Pierre Evrard

* au vu de votre décision... les limites sont loin d'être atteintes. Hélas ! Et je terminerai par un trait d'humour. On a coutume de dire que souvent le hasard fait bien les choses. Dans le cas présent M. HAZARD a fait l'inverse

http://www.huffingtonpost.fr/2016/05/12/black-m-verdun-etat-gouvernement-mairie_n_9933332.html

   
 
   
 
 
Chapitre XII - Le cycle de l'Adieu
   
 
   
 

Belle conférence de René Lazard au Cercle Algérianiste de Nice aujourd'hui 7 mai; l'orateur a expliqué la stratégie napoléonienne cartes à l'appui et a captivé son auditoire par sa connaissance du sujet ( il a parlé près de 2 heures sans la moindre note!)... Le général Choux est intervenu suite à une question pour exposer l'organisation de l'armée française de l'époque et des années 1940 jusqu'à aujourd'hui. Nous avons tous passé un agréable moment, et l'association <Pour le Panache> était également représenté avec son président, l'ami Daniel Mathieux, et l'épouse de ce dernier dans de magnifiques costumes impériaux.

Nous recommencerons surement l'expérience!

   
 
   
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/05/non-je-ne-voterai-pas-pour-alain-juppe.html
   
 
   
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/05/6-page-d-histoire-8-mai-1945-71eme-anniversaire-du-massacre-de-setif.html
   
 
   
 
05-05-2016
 
   
 
   
 
https://www.youtube.com/watch?v=ouUezaPv0qw&app=desktop

Vivement que la Vérité éclate et que les statues du Menteur, soient déboulonnées

HC

   
 
   
 
Premier mai à Notre-Dame d'Afrique, sur le site du Cerclle Algérianiste de Nice
http://nice.algerianiste.free.fr/pages/theoule_mai_2016/theoule16.html
   
 
   
 

Notre Maman du ciel, Notre Dame d’Afrique, Mère de Dieu et Mère des Hommes, nous réunit cette année encore en ce lieu.
Nous avons répondu à son appel car Elle nous invite une fois de plus à nous rapprocher de son Fils bien aimé, Notre Seigneur Jésus Christ. Elle nous invite à venir sur cette colline pour y déposer nos fardeaux et recevoir sa consolation. Elle est vraiment Mère, et Elle ne saurait faillir à la mission que son Divin Fils lui a confiée alors même qu’Il se trouvait sur la Croix dans l’accomplissement total du don de sa Personne pour le salut du monde.
Nous ne doutons pas que les prières que nous Lui avons adressées ne sont pas restées lettres mortes, et que, même si elles n’ont pas été exaucées de la manière que nous l’aurions désirée, le Cœur de Jésus, par l’intercession de la Vierge Marie, s’est ouvert à chacune de nos demandes pour laisser s’épancher la compassion et la miséricorde divines.
Oh, je crois savoir tout ce que vous avez pu venir lui confier de vos peines, mais aussi de vos joies, de vos espérances pour les vôtres ou pour vous-même. De vos inquiétudes face à un horizon des plus sombres où dominent le rejet de Dieu avec comme conséquences la guerre, la haine, la déshumanisation de la société, la désintégration de la famille…Et en plus, pour nous Pieds-Noirs et Harkis, la souffrance d’une plaie toujours ouverte, 54 ans après la perte de notre pays, l’Algérie. Le mensonge, la trahison, la manipulation n’ont cessé de poursuivre leur œuvre pour couvrir le crime commis par celui qui avait su si bien nous abuser et par ses complices de tous bords, dont les survivants ou les descendants idéologiques travestissent de manière éhontée cet abandon. L’Algérie c’était la France, mais pour nier cette réalité ils n’hésiteront pas à déconnecter les consciences, à laver les cerveaux et, en refaisant l’histoire, à culpabiliser toute une nation qui, depuis, ne cesse de se repentir d’une faute qu’elle n’a pas commise. Opération mortifère qui conduit à la négation de la patrie et de toutes les valeurs qui s’y rapportent. Mais, plus grave encore, pour que la mise à mort spirituelle soit complète, il s’agit aujourd’hui de couper la France, et avec elle tout l’occident, de ses racines chrétiennes, d’une culture et d’une société édifiées sur le christianisme. Comme je vous le disais l’an dernier, l’Algérie a été l’un des pions de l’échiquier sur lequel se jouait la stratégie de la destruction de l’occident chrétien. Face aux forces des ténèbres qui se déchaînèrent alors, notre petit peuple lutta autant qu’il le put ; de véritables héros se révélèrent et n’hésitèrent pas à donner leur vie dans un combat inégal ; nous pouvons en être fiers ; d’autres, nombreux, innocents et sans défense furent fauchés, victimes d’un holocauste dont le but était de rendre impossible toute survie, quelle qu’elle soit, de ce qui avait été construit durant ces 130 années de labeur, de courage, de persévérance et de découvertes mutuelles entre les différentes composantes de la population de l’Algérie française. Dans une allocution à l’occasion du cinquantième anniversaire de l’église de Notre d’Afrique à Carnoux en Provence, Mgr Jean-Marc Aveline, évêque auxiliaire de Marseille et lui-même Pied-Noir né à Sidi bel Abbès en 1958, évoque « le mélange culturel qui nous a façonnés chrétiens, juifs et musulmans, là-bas, sur l’autre rive, jusqu’à ce qu’un vent sournois venu d’ailleurs, éveillent les méfiances, brisent les amitiés et distille la haine ». Oui, il fallait creuser un abîme entre les communautés et le terrorisme y est parvenu. Quel constat 54 ans après : une Algérie au bord du gouffre, et une France qui a perdu son honneur et son identité. Puis-je citer encore Mgr Aveline lorsqu’il dit que, retournant là-bas ces dernières années, « il a pensé avec tristesse que ce n’est sans doute pas lorsqu’elle était française que l’Algérie avait été la plus malheureuse ». Même si, bien sûr, les choses devaient continuer de changer. Mais il y avait certainement d’autres voies ! Et j’ose ajouter d’autres voies que l’abandon lâche et criminel du pays entre les mains des égorgeurs.
Hélas, nous ne referons pas l’histoire. Cependant il nous faut vivre le présent et lutter pour l’avenir, celui de nos enfants, de nos familles et de notre patrie. Mais nous savons aussi que l’avenir est entre les mains de Dieu. Bien sûr, une telle pensée ne doit pas nous plonger dans le fatalisme d’un Mektoub qui nous réduirait à une attente passive des événements. Mais bien au contraire à une mobilisation générale pour agir avec Dieu et par sa grâce à l’édification d’un monde nouveau. Quelles sont les armes pour mener ce combat : en tout premier lieu et d’une manière urgentissime, la prière. En particulier la prière à Marie. C’est Elle, Notre Dame d’Afrique, qui nous conduira dans la défense de notre foi et de notre patrie. Et justement, pour chacun de nous, s’impose la redécouverte de cette foi chrétienne et son approfondissement. Vivez véritablement votre foi. Je vous lance un mot d’ordre : « Occupez vos églises ; ne les laissez pas vides. » Si vous les remplissez, elles seront autant de bastions solides qui empêcheront les ténèbres d’envahir notre monde. C’est là que vous puiserez la force et le courage nécessaires pour faire face à l’adversaire et pour ne pas craindre de vous affirmer chrétiens.
Que Notre Dame d’Afrique et tous les saints d’Afrique du Nord… nous aident à être fidèles à Dieu et à son Eglise.

 Amen.

Monseigneur Jean-Yves MOLINAS

   
 
   
 
 
Erratum- Chapitre XI
   
 
   
 
   
 
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwi8-4LOybnMAhXJDpoKHe15CHsQtwIIKTAB&url=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DMnsWVDah2yY&usg=AFQjCNGNLBr7dsVTGxQRIyrLvQD7cGCd_A&bvm=bv.121070826,d.bGs
   
 
   
 
10h30 - 10h45 MAGAZINE
Le frère Yves Combeau accompagnera les téléspectateurs durant cette première
partie d’émission.
- Les tablettes de la foi : épisode « Le pardon »
- Reportage « La foi des bâtisseurs » : Afin d’introduire le lieu de la
célébration, nous découvrirons l’histoire de l’église Notre-Dame-d’Afrique à
Carnoux-en-Provence, qui fête ses 50 ans. Après l’indépendance de l’Algérie
et du Maroc, ce sont en effet les rapatriés qui ont créé l’église, puis qui
se sont investis dans la paroisse.

10h45 - 11h40 MESSE
La messe est célébrée en l'église Notre-Dame-d'Afrique Carnoux-en-Provence
(13)
Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille, donnera l'homélie.

 

   
 
   
  Très belles cérémonies en l'honneur de la Légion Etrangère à Nice ce samedi 23.
Après la messe à Notre-Dame-du-Port, les participants ont gagné le Monument aux "Morts pour la France" de la Ville de Nice.
Le cortège, Légion en tête, puis parachutistes "bérêts rouges", s'est ensuite dirigé, suivi du public, vers le Jardin Albert-1er? où la musique de la Légion Etrangère a joué plusieurs airs traditionnels dont le "Boudin", les "Africains"...

L'après-midi, Jacques Peyrat, lui-même légionnaire, qui était présent toute la matinée, a prononcé une conférence sur la "colonisation française" rappelant qu'il s'agissait au départ d'une idée de gauche (Jules Ferry) et qu'il n'était pas d'accord pour quelque forme de repentance que ce soit.

Il a rappelé que grâce aux DOM-TOM, la France avait le second domaine maritime au monde, après les U.S.A..

A propos de l'Algérie, il a rappelé qu'au départ de nos compatriotes, ces territoires qui avaient été civilisés par la France, comptaient près de 10 millions d'habitants, alors qu'en 1830, ils n'étaient environ
100 000!

Didier ASIN

   
 
   
  Depuis les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, la France est en état d'urgence. Si le gouvernement actuel avait vraiment la ferme volonté de débusquer les armes de guerre qui sont détenues en grande quantité dans les quartiers de non droit, ce sont des actions comme celle que l'on peut voir sur cette vidéo qu'il faudrait appliquer et là, ce seraient des tonnes d'armes et de munitions qui serait trouvées et de nombreux djihadistes qui seraient arrêtés.

Pour lutter contre l'OAS, De Gaulle avait demandé d'utiliser tous les moyens et cela a été fait avec zèle par ses sbires, les gardes mobiles et les barbouzes qui, après avoir isolé les quartiers ciblés, ont opéré des perquisitions musclées avec brutalité, voire avec haine. Mais Hollande est trop lâche pour prendre des mesures draconiennes pour arrêter et désarmer les djihadistes qui se planquent dans les quartiers de non droit.

L'OAS se battait pour lutter contre le lâche abandon d'une province française et aussi, après le 19 mars 1962, pour défendre les Français d'Algérie que De Gaulle avait livrés au FLN. Dans sa lutte, l'OAS menait des attaques et des attentats ciblés contre les complices de De Gaulle et contre le FLN ce qui n'est pas le cas des djihadistes qui s'en prennent à des civils innocents, hommes, femmes, enfants et veulent en tuer le plus grand nombre possible. Alors que la France est en guerre contre ces terroristes sanguinaires, les mesures adéquates ne sont pas prises par le gouvernement actuel. Pauvre France !

Il est bien dommage que nous n'ayons pas un gouvernement qui soit capable de neutraliser les terroristes qui commettent ou qui ont l'intention de commettre des attentats aveugles. Cela avait été fait, avec réussite, pendant la bataille d'Alger en 1957. C'est une question de volonté et de moyens.

Jean-Paul Ruiz

   
 
   
 
Ce dimanche 24 avril 2016 : grande Messe à 10 heure 45 à CARNOUX-EN-PROVENCE, pour les 50 ans de l'église
NOTRE DAME d'AFRIQUE et de la rénovation de la statue.
VENEZ NOMBREUX.

Rolande CARO

   
 
   
 
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2012/01/07/2675099_lettre-ouverte-a-michel-onfray-concernant-l-article-sur-camus-que-lui-a-consacre-le-point.html
   
 

Lettre ouverte en réponse à l’article de Michel ONFRAY sur CAMUS



J’ai beaucoup d’estime pour Michel Onfray et j’ai assisté avec intérêt à quelques conférences à Caen, je n’interviendrai donc absolument pas sur les jugements philosophiques ou culturels qu’il porte et interprète sur Albert Camus.
Ce que je lui reproche en revanche c’est de s’être prononcé sur des sujets qu’il ne pouvait forcément maîtriser puisqu’il n’a pas connu Camus.
J’ai rencontré Albert Camus pour la première fois en 1946 à la rédaction du quotidien Alger Républicain et c’est lui qui m’a permis de débuter comme « pigiste » à la page des sports de ce journal. A cette époque j’étais lycéen, comme il l’avait été, au Lycée Bugeaud. J’ai eu le privilège de retrouver Albert Camus fin 1958 lorsque je suis rentré à la rédaction du quotidien L’Aurore, à Paris. Nous avons pris l’habitude de nous retrouver une fois la semaine notamment à la Brasserie Lipp et j’ai eu l’occasion de réunir autour d’une table Camus, Ahmed Rafa, le premier général franco-algérien de l’armée française, à l’époque colonel, et Pierre Blanchar, l’acteur de cinéma très connu. C’est donc à ce titre que j’interviens afin de rétablir quelques vérités. Certaines très superficielles mais d’autres essentielles pour la mémoire d’Albert Camus.
Tout d’abord Albert Camus n’a jamais été se recueillir à la basilique Notre-Dame d’Afrique et cela pour deux raisons, il n’était pas pratiquant et il fallait une voiture pour y aller et à l’époque Camus n’en avait pas. L’Algérie n’a pas été la terre de sa famille depuis 1830 mais bien plus tard (voir mon livre Camus l’Algérois). Camus n’a jamais habité le quartier de Bab-el-Oued mais la rue Bab-el-Oued, au 16, quartier de la Victoire, au-dessus de l’épicerie « La Croix Bleue » et face au « Café de l’Étoile » qui appartenait à mon grand-père, et cela durant six mois, en 1932 chez ma mère. Camus connaissait très bien cette rue Bab-el-oued qu’il traversait chaque jour pour se rendre au Lycée Bugeaud, car le tram des CFRA qui le transportait de Belcourt avait son terminus place du Gouvernement. Il en parle longuement dans « Le premier homme ».
Camus n’a jamais donné des cours à Oran à des enfants juifs interdits de scolarité par le régime de Vichy et cela pour une raison bien simple : les juifs n’ont jamais été interdits de scolarité en Algérie, je peux en témoigner puisque j’allais à l’école entre 1941 et 1945 et que mes amis s’appelaient Lellouche, Safrani et Cohen.
Enfin, et là les raisons de mon intervention sont plus graves, Michel Onfray affirme que « Camus s’est rendu volontairement, sur place, au mépris des risques encourus pour sa vie, mais aussi secrètement, discrètement » lors d’une conférence qui s’est tenue en janvier 1956 dans un local situé place du Gouvernement. Cela est totalement faux. Camus lui-même m’a affirmé que certains de ses amis de gauche (voir mon livre Camus l’Algérois) lui avaient tendu un véritable guet-apens et qu’il n’aurait jamais du participer à cette réunion encadrée par un service d’ordre FLN. Qu’à cause de sa présence un fossé s’était créé entre lui et les Pieds-Noirs ‘’ses frères’’ et qu’il en était encore mortifié près de trois ans plus tard.
Mon livre, "Camus l’Algérois", est gracieusement à la disposition de Michel Onfray et de votre rédaction du Huffington Post.

Très cordialement.
Manuel GOMEZ

   
 
   
 

19 mars 1962 date du cesser le feu : l’article http://guy.perville.free.fr/spip/article.php3?id_article=386 et l’intervention de Guy Pervillé.


La phrase : "Aucun conflit ne s’est arrêté instantanément à partir de la date qui en annonçait irrémédiablement la fin".
Entraîne de ma part quelques remarques :
Certes, à la fin de la première guerre mondiale il a pu y avoir des exceptions de fantassins isolés qui ont pu tirer encore quelques coups de feu contre d’autres militaires faute d’avoir entendu le clairon sonnant la fin de la guerre. De même on a découvert 50 ans après la fin de la seconde guerre mondiale des combattants japonais (un ou deux) perdus dans la jungle : on en a parlé comme de cas invraisemblables, le manque de communication étant évident. Tel n’est pas le cas en Algérie : la communication était omniprésente radio, haut-parleurs, télévision, « téléphone arabe » a fortiori dans les grandes villes.
Le cessez-le-feu ne concerne que des combattants, ici il s’agit de massacres de civils désarmés. Évidemment il n’y eut plus de coups de feu seulement des égorgements, des enlèvements, des viols, des exécutions sommaires par ébouillantage, émasculations, esclavage tant sexuel qu’au travail, etc.
Par ailleurs le fait d’emmener des groupes de civils devant les militaires français l’arme au pied aurait du, pour des gens civilisés, éveiller quelques doutes sur la continuation de la guerre.
Il semble au contraire que ce fut le signal d’une boucherie vengeresse en même temps que le désir d’une implication de lâches qui n’avaient pas pris le maquis et qui voulaient se donner bonne figure face aux réels combattants.
Cette exultation naît d’autant plus facilement que militairement le FLN était battu, tous s’appliquent à le reconnaître. Or les pourparlers montrent que c’est la France qui jette l’éponge contre toute logique, que le vainqueur avoue sa défaite et c’est cela qui est une première dans l’histoire des guerres. Comment s’étonner alors des exactions de ces pseudos héros, mais véritables lâches, qui s’exercent sans risques d’opposition armée devant même les militaires français passifs ? C’était un moyen de montrer encore plus sa force, son impunité, sa supériorité sur un pays comme la France qui venait de perdre son honneur, sa dignité. Il ne faut pas confondre magnanimité et lâcheté. Cette déliquescence n’a cessé de s’aggraver depuis, et nous mener où nous en sommes.
Comment s’étonner, alors, que l’Algérie fête cette date comme une victoire ?! Et chez nous de pauvres ignares reconnaissent cette date comme une libération, plus exactement comme la quille nationale, en quelque sorte. Heureusement que nos aïeux n’ont pas fêté Waterloo ou Trafalgar ! Il est vrai qu’à l’époque la France était un grand pays honorable. Les temps changent !
En revenant sur cette phrase initiale, je constate qu’elle est toujours valable : le conflit ne s’est toujours pas arrêté. En effet les gouvernants algériens l’ont fait savoir dès le lendemain : « Ce n’est que le début », « nous vaincrons avec le ventre de nos femmes » (et j’ajouterais avec ceux des nôtres également, quand on voit le nombre de pères qui retournent au Maghreb avec leurs enfants nés de « mariages » mixtes)…, le terrorisme actuel en France et en Europe, l’embrigadement de certains de nos jeunes au combat pour le djihad sans que nos gouvernements ne prennent de mesures simples et efficaces : expulsions des imams non gratta et autres auteurs injurieux contre les emblèmes de la République, multirécidivistes,…
On remarque en effet que rien n’a changé : bombes dans les bars, restaurants, salles de spectacles, entraînant fouilles à l’entrée des magasins, Sécurité Sociale, restrictions des rassemblements, casseurs impunis, crainte de sortir le soir et tout le reste!!!
Adrien BISCOS
La Seyne/mer, 18 avril 2016

   
 
   
 
http://guy.perville.free.fr/spip/article.php3?id_article=386
   
 
   
 
Le 19 mars, date funeste dans notre histoire


Certes, il n'est pas très productif de ressasser le passé quand on regarde l'avenir très incertain qui nous menace, mais cette date du 19 mars 1952, célébrée par François Hollande, marque le déclin inexorable la place de la France dans le monde, de ses ambitions, et de sa grandeur.

Contrairement à la parole et aux promesses données, un président de la république, de Gaulle, a privé sa propre armée, pourtant maîtresse du terrain, d'une évidente victoire.

Contrairement à l'honneur, il a abandonné les populations indigènes, qui avaient été nombreuses à nous être fidèles, combattants comme les harkis ou civils et anciens combattants, sachant très bien le sort atroce qui leur serait réservé.

Contrairement à ses engagements, il a abandonné ses propres nationaux (anciens combattants, 20 ans plus tôt, des campagnes de Tunisie, d'Italie et de France jusqu'en Allemagne) : tous ont été livrés, pieds et poings liés, aux couteaux vengeurs du FLN.

De Gaulle a abandonné 130 ans de travail de mise en valeur agricole de l'Algérie, sans parler d'autres réalisations, comme les voies de communications, les barrages, les ports, l'éducation et l'éradication de nombreuses maladies...(La syphilis, etc...)

D'un trait de plume, l'oe??uvre Française en Algérie passait aux oubliettes.

Laissés, oubliés, le pétrole et la gaz du Sahara que nous avions trouvés et qui auraient pu apporter une totale indépendance énergétique de la France... Oubliée aussi, la position stratégique de l'Algérie, porte de l'Afrique.

Les accords d'Evian ont été un chiffon de papier sur lequel se sont essuyées les mains sanglantes des égorgeurs du FLN, promus comme uniques interlocuteurs (et quels interlocuteurs...). Du fait de ces accords à sens unique, les Algériens bénéficient encore en France d'avantages sociaux particuliers.

Dés le 19 mars 1962, l'armée a dû rester l'arme au pied avec interdiction formelle d'intervenir, fût-ce pour protéger les populations.

Le 5 juillet, à Oran, malgré le massacre de centaines d'Européens et de musulmans profrançais, sur ordre du général Katz, l'armée est restée figée.

De Gaulle a même fait tirer sur une foule désarmée ; il a utilisé sa police et ses barbouzes pour étouffer toute velléité de résistance.

Avec une telle politique, comment voulez-vous que le monde (musulman) vous respecte ?

Voici 54 ans, le pouvoir a été vil et lâche.

Rien n'a changé. Le président actuel se vautre dans la repentance et célèbre une défaite.

Nous payons cash cette politique désastreuse.

Hugues TAVEL

   
 
   
 
14 avril 2016
 
 
Chapitre XI
   
 
   
 
http://www.lejournaldupeupledefrance.com/2016/03/immigration-trois-generaux-denoncent-la-capitulation-de-l-etat-et-ecrivent-a-hollande.html
   
 
   
 
Stop aux mensonges du F.L.N....
 
   
 
http://www.dailymotion.com/video/x447xp6
   
 
   
 


HONTE ?


Honte, c’est sûr ! Puis de l’étonnement, de la bassesse, du déshonneur face à cette attitude socialiste. A contrario, n’est-ce pas un sentiment d’indignation qui anime le peuple de France devant cette honte de voir le gouvernement de la République « laisser faire » des manifestants épris de haine contre une loi ? De plus on s’aperçoit combien il y a deux poids et deux mesures entre les manifestations contre le « mariage pour tous » des années 2012 / 2013, où les opposants à cette loi inique avaient été malmenés, emprisonnés par dizaines et aujourd'hui où ces manifestants de gauche font la « loi des rues ». Ils cassent, brûlent, attaquent les policiers à coups de barres de fer, de pierres et de mortiers. Ils insultent, mentent et blessent, mais le pouvoir n’en trouve que huit à emprisonner à Paris.
Drôle de justice en ce mois d’avril 2016, qui interpelle et fait passer en jugement des policiers en position de légitime défense, parce que submergés d’agresseurs qu’il ne faut ni toucher ni punir.
Honte donc à cette gauche au pouvoir face à celle des rues et que le gouvernement « laisse faire ».
Une quasi révolte des « bolcheviques » de la gauche la plus extrême contre un François Hollande qui n’a, peut-on supposer, que ce moyen pour rameuter les socialistes dispersés à son secours, en accusant finalement et pourquoi pas, une certaine droite de provoquer ces troubles. Il y parviendra, ne pouvant accuser sa gauche... et déjà certains journalistes biberonnant au relativisme de gauche s’y lancent.
Mais le peuple qui a perdu l’élection de 2012 sur de fausses promesses, se laissera-t-il abuser par les mensonges socialistes ? Acceptera-t-il de confondre les extrémistes trotskistes avec la droite ? Le mensonge socialiste s’apparente au mensonge gaulliste qui a berné le peuple sur l’Algérie française, et la mascarade continue !
Manuel Valls va ces jours-ci à Alger. Dans sa démarche, il y a comme une soumission du PS face à son vieux complice du FLN, sur le dénigrement de l’Histoire de France.
Comment traduire ce voyage ? Abjection, indignité, humiliation, opprobre ?
Sans réagir face aux interdictions algériennes de recevoir certains journalistes – Le Monde ou Canal + – qui ne sont pas mes références, que va chercher Valls à Alger ? Il est dans la continuité des discours de François Hollande de 2012 vers une repentance déguisée envers les algériens, et c’est sans un seul brin de retenue qu’il accepte les diktats d’un pays qui méprise la Métropole.
Il est évident que s’il avale sans broncher les couleurs de ce déshonneur, c’est que son voyage cache une autre pensée socialiste bien plus odieuse et méprisable.

En jouant la marionnette élyséenne à Alger et en rencontrant un Bouteflika invisible aux propres yeux de son peuple, il prépare l’élection de 2017.
Après la reconnaissance du 17 octobre 1961, celle du 19 mars 1962, les socialistes et leur porteur de valises, Valls, montrent au FLN, combien ils attendent des algériens un « bon » vote pour la prochaine présidentielle en faisant élire un Hollande, un Valls ou un autre socialiste – cela reste à définir – qui mangent à la même auge un avoine amer pour un nouveau quinquennat plein de chausse-trapes, d’attrape-couillons ou de pièges à cons !
Les français mordront-ils à l’hameçon PS ?
C’est à craindre face à l’effacement de la droite dont le seul jeu consiste à se tirer dans les pattes, sans entendre la voix de la raison et la recherche d’une unité introuvable.

Robert Charles PUIG / avril 2016

   
 
Durant ce mois pourri de mars, battons nous encore plus, contre le 19 mars...
   
 
   
  Certains pays n'ont pas essayé d'effacer leurs racines chrétiennes, leurs traditions, leur culture, leur fierté d'être espagnol, leur amourde leur armée, et cela donne une nation en pleine osmose avec ceux qui
les protègent. Ils sont surs de leur légion, qui sont tous Espagnols. Je suis certain que personne ne viendra se poser la question s'il faut faire la crèche de Noël, ou les processions traditionnelles de Pâques.

François PAZ

https://www.youtube.com/watch?v=itFpKscjCms

   
 
   
 
 
https://picasaweb.google.com/112961091018765267263/26Mars2016ArcDeTriompheParis?authuser=0&feat=directlink
   
 
   
 
La Garde: 54° anniversaire du massacre de la rue d'Isly à Alger, 26 mars 1962.
 
 
https://youtu.be/EvKzylJoOo0
   
 
   
 
http://oran1950.free.fr/AOBR/AOBR%202016/AOBR%202017%2003%2026%20MARIGNANE%20A%20LA%20MEMOIRE%20DU%20MASSACRE
%20DU%2026%2003%201962%20A%20ALGER/index.html
   
 
   
 
   
 
Cérémonie déconseillée aux Ralliés et gaullistes...
   
 
   
 
Faut-il être communiste pour commémorer une défaite française??
 
   
 
   
 
BFMTV 18 MARS 2016 - SEQUENCE COMPLETE
   
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=IjGx_zEeyYM&feature=em-upload_owner
   
 
   
 
http://nice.algerianiste.free.fr/pages/26mars2016/Ceremonies.html
   
 
   
 
TOULON 54° anniversaire du massacre de la rue d'Isly à Alger, 26 mars 1962.
   
 
   
 
https://picasaweb.google.com/112961091018765267263/26Mars201654AnniversaireDUnCrimeOrganise?authuser=0&feat=directlink
   
 
   
 

Quand Yvan Rioufol traite de "lâches" ...les collabos socialauds ...

http://www.rtl.fr/actu/international/attentats-a-bruxelles-l-europe-frappee-par-la-barbarie-de-daesh-7782499224

   
 
   
 
   
 
   
  Robert Ménard a présidé une cérémonie très émouvante en cette triste journée du 26 Mars. Il a prononcé ce discours que je vous transmets avec plaisir. Amitiés. Marie-Pascale Rizo

Discours de Robert Ménard, maire de Béziers, prononcé lors de la cérémonie organisée à la mémoire des Français victimes du massacre de la rue d'Isly :

"Mesdames, Messieurs,
Mes chers amis,

Voilà exactement 54 ans, le 26 mars 1962, l'armée française tirait sur des Français d'Algérie. 67 morts, 200 blessés.

Le soir même, le général de Gaulle prenait la parole à la télévision. Il exhortait les Français à dire oui au référendum sur l'autodétermination – l’indépendance en fait - de l'Algérie.

Le président d'un État dont les forces de l'ordre venaient d'assassiner 67 civils prononçait, osaient prononcer ces mots : « En faisant sien ce vaste et généreux dessein, le peuple français va contribuer, une fois de plus dans son Histoire, à éclairer l'univers ».

Mots grandiloquents, mots emphatiques, mots de morgue, mots de mensonge. En fait d'univers éclairé, c'était une nuit sans étoiles et sans lune qui s'abattait sur les Français d'Algérie et sur les harkis. Une nuit d'effroi et d'agonie, de rapts, d'égorgements, de viols. Pour tout un peuple, il n'y aura plus jamais d'aurore sur cette rive de la Méditerranée.

Trois mois plus tard, c'était l'exode d'un million de Français fuyant les couteaux et les balles des barbares avec lesquels ce même général de Gaulle avait signé un accord. Trois mois plus tard, des dizaines de milliers de harkis étaient abandonnés à leurs assassins. Ils allaient mourir dans une orgie de violence…

Un demi-siècle a passé. Deux générations. Beaucoup sont morts qui n'auront jamais revu leur terre natale, goûté ses fruits gorgés de soleil, senti de nouveau l'odeur des eucalyptus, ri à gorge déployée sur les plages de leur enfance.

Pourquoi revenir sur cette période autrement qu’en déposant symboliquement, protocolairement, une artificielle couronne d'hommage, sertie de phrases creuses et mornes ? Pourquoi se livrer à ce qui peut ressembler à un combat d'ombres évanouies contre des spectres sans linceul ? Pourquoi ? Parce que rien n'est achevé. Rien n'est clos. Tout revient.

Le passé, vous savez, le passé se déverse dans l'avenir. Il est un torrent qui n'oublie rien et qui charrie en ses eaux toutes les fautes, tous les renoncements, tous les mensonges. Un jour, le torrent resurgit à la surface et l'on s'aperçoit alors que ce que l'on croyait disparu voyageait, souterrain, en silence. Il n'est pas rare dans l'histoire - car l'histoire n’a ni morale ni fin - qu'une génération doive payer pour une autre. C’est bien ce qui nous menace aujourd’hui…

Le massacre de la rue d'Isly, comme le dieu Janus, a, au fond, deux visages. Isly est à la fois un commencement et une fin. Une porte d'entrée et une porte de sortie. Isly est la puissance et la gloire, mais aussi la faiblesse et la honte.

Puissance, car s'il existait à Alger une rue d'Isly, c'est parce qu'auparavant, il y avait eu une bataille d'Isly. Le 14 août 1844, aux confins de l'Algérie, 11 000 Français avaient vaincu 25 000 Marocains. Battus, en déroute, ces Marocains abandonnèrent l'émir Abdel Kader et ses tribus épuisées. L'Algérie pouvait devenir française. Isly, c'est donc une victoire fondatrice, c’est l'Empire, c'est la France sûre d'elle, de sa force, de sa langue, de sa civilisation.

Mais, depuis le 26 mars 1962, Isly est aussi le symbole de la France qui fuit, de la France qui se ment à elle-même, de la France qui meurt…

A cinquante ans de distance, nous vivons des faits similaires. Les événements de 2015 à Paris – ou à Bruxelles - sont l'écho des événements d'Algérie de 1954 à 1962. Hier déjà, le fanatisme islamiste galvanisait ceux qui s'appelaient entre eux, non pas des fellagas, mais des moudjahidines.

Ce fanatisme qui a fait le tour de l'Orient campe désormais dans nos villes. Le dire n'est pas faire un contre-sens historique, mais un raccourci libérateur qui mène d'une vérité à une autre, pour faire comprendre les liens qui existent et qui expliquent ce qui se passe et ce qui risque de se passer.

Certains nous accusent d'instrumentaliser l'histoire au prétexte que nous lui donnons un sens qui n'a pas le bonheur de leur plaire. Mais il y a une différence entre ces gens et nous. Pour la plupart d'entre eux, l'histoire, ce sont des livres, des films, des cours... Pour nous, l'histoire, cette histoire, c'est notre histoire. Nos familles ont payé du prix de l'exil, du prix des larmes, du prix du sang, le droit de dire cette histoire.

Eux parlent ou écrivent, nous, nous avons vécu. Et ils voudraient encore, ils voudraient en plus que nous nous taisions ? Que nous les écoutions nous expliquer la guerre d'Algérie tout en nous excusant de ne pas être morts comme tant des nôtres ?

Nous ne nous tairons jamais. Et encore moins au regard des événements de 2015 et de ce début d'année. Et encore moins devant, face à ce qui vient à nous.

L'islamisme, cela commence par des insultes - « sale français » -, cela continue par des mosquées fanatisées, ça se termine par des attentats. Croire que nous n'avons en face de nous que quelques fous, commandés de loin, c'est se leurrer. L'islamisme se cache dans chacune de nos villes, chaque jour renforcé par l'afflux de migrants. Les musulmans qui refusent leur loi seront les premiers à devoir fuir ou mourir. Puis - ou en même temps - ce sera notre tour. La France est en première ligne. C'est donc de France que partira, que doit partir la résurrection de l'Europe.

Voilà pourquoi nous sommes ici aujourd'hui. Voilà pourquoi nous n'étions pas là, il y a une semaine, pour le 19 mars.

Nous ne commémorons pas le 19 mars parce que nous ne sommes pas des traîtres.

Nous ne commémorons pas le 19 mars parce que nous ne crachons pas sur nos morts.

Nous ne commémorons pas le 19 mars parce que nous nous voulons des Français dignes de ce nom.

Chers amis, mes amis, ceux de la rue d'Isly sont morts en martyrs de l'Algérie française. D'autres sont tombés en héros pour sauver l'honneur de la France sur cette terre abandonnée. Ne les oublions jamais.

Dans les temps qui viennent, nous devons conserver en nous la mémoire des uns et l'exemple des autres. Et alors, nous saurons que nous ne marcherons jamais seuls sur le chemin du combat.

Vive la France ! Vive la plus grande France ! Vive la France toujours et encore !"

   
 
   
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/03/26-mars-1962-de-gaulle-ordonne-d-assassiner-des-francais.html
   
 
   
 
ALGER 26 MARS 1962

LE PIÈGE MACHIAVÉLIQUE

Quartier attaqué par des avions en piqué,
Appartements dévastés par des tirs de grenade
Et d'armes lourdes, de pauvres gens paniqués,
C'est bien pire que s'ils avaient subi une tornade.

Depuis trois jours, le quartier de Bab-el-Oued
Fait l'objet d'un blocus car il est assiégé
Par les forces de l'ordre et n'obtient aucune aide.
En manque crucial de vivres, les familles sont piégées.

Par solidarité, de nombreux Algérois
Veulent se rendre dans ce quartier pour y apporter
Leur cordial soutien à ce peuple en désarroi
Qui doit être secouru et bien réconforté.

Une manifestation est donc organisée.
Mais les Algérois ignorent qu'un horrible traquenard
A été ourdi par le monstre de l'Elysée
Qui veut anéantir ces "pieds-noirs braillards".

Une foule pacifique, brandissant des drapeaux,
Portant des paniers de vivres et médicaments,
Est bloquée rue d'Isly et tombe dans le panneau.
Elle va être victime du pire des châtiments.

Posté devant Havas, sans aucune sommation,
Un tirailleur ouvre le feu sans qu'au préalable
Il y ait eu menaces ou vociférations.
C'est le point de départ d'une tuerie effroyable.

Pendant près d'un quart d'heure, les fusils mitrailleurs
Des tirailleurs musulmans, sans discontinuer,
Vont assassiner, avec avec un sadisme rageur,
Des civils innocents, touchés de plein fouet.

Hommes, femmes, enfants, vieillards, s'écroulent sur le pavé.
Vidant chargeur sur chargeur, ces soldats sanguinaires
Sont de vrais barbares : des blessés sont achevés.
Ils tirent à bout à bout portant, ces monstrueux sicaires.

Cette tuerie préméditée, c'est de l'abattage.
Plus de deux cents blessés et des dizaines de morts.
Le premier responsable de cet infâme carnage
Est l'immonde De Gaulle qui n'éprouve aucun remords.

À la hâte, par camions, les cadavres sont enlevés.
Les familles ne peuvent pas récupérer les corps.
On veut cacher que des blessés ont été achevés.
Les cercueils sont enterrés en un temps record.

Jusqu'à aujourd'hui, cet authentique crime d'Etat
N'a pas été reconnu par les gouvernements
Successifs depuis qu'on est parti de là-bas.
C'est une chape de plomb qui empêche tout jugement.

Elle n'est pas intervenue, la justice humaine.
Je suis certain que Là-Haut, le Justice divine
A sévèrement jugé tous ceux qui, avec haine,
Ont fait triompher leurs convictions assassines.

Jean-Paul RUIZ
24/03/2015

Les principaux responsables de ce crime d'État :

En premier lieu : Charles De Gaulle, président de la République.

Ses complices à Paris : Michel Debré, premier ministre,
Roger Frey, ministre de l'intérieur, Pierre Messmer, ministre de la défense.

Ses complices à Alger : Christian Fouchet, haut commissaire de la République,
Vitalis Cros, préfet de police de la place d'Alger, les généraux
Ailleret et De Menditte.

   
 
   
 
CERTAINES CITATIONS SONT CONNUES. IL EST BON DE SE LES REMETTRE EN MEMOIRE.


Voici ce qu'ont écrit à ce propos des Algériens d'hier et d'aujourd'hui, dont d'anciens ennemis de la présence française :

Abderrahmane Farès, notaire dès 1936, président de l'Assemblée Algérienne en 1953, il prend la tête de l'exécutif provisoire en avril 1962 :
"S'il est en Algérie un domaine où l'effort de la France ne se discute pas, c'est bien celui de l'enseignement. On doit dire que l'école a été un succès certain. Les vieux maîtres, les premiers
instituteurs, ont apporté toute leur foi pédagogique, sans arrière-pensée, et leur influence a été extrêmement heureuse."

Augustin-Belkacem Ibazizen, premier bâtonnier kabyle en 1937, Croix de feu, conseiller de l'Union Française, officier de réserve : "La scolarisation française en Algérie a fait faire aux Arabes un bond de
mille ans."

Boualem Sansal, écrivain algérien : "En un siècle, à force de bras, les colons ont, d'un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux.
Seul l'amour pouvait oser un pareil défi... Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous qui sommes ses enfants."


Bachir Ben Yamed, journaliste franco-tunisien, ancien directeur de Jeune Afrique : "A son indépendance, nul pays extérieur au monde occidental, Japon et Afrique du Sud exceptés, ne disposaient d'une
infrastructure aussi développée que celle de l'Algérie."

Ferhat Abbas, pharmacien, président du GPRA, premier président de l'Algérie indépendante : "L'oeuvre de la France est admirable ! Si elle était restée vingt ans de plus, elle aurait fait de l'Algérie
l'équivalent d'un pays européen."

Malika Boussouf, écrivain et journaliste, ancienne rédactrice en chef et actuellement éditorialiste du quotidien Le Soir d'Algérie : "Si lesPieds Noirs n'étaient pas partis en masse,
l'Algérie ne serait peut-être pas dans l'état désastreux dans lequel elle se trouve."

Hocine Aït Ahmed, un des chefs historiques du FLN : "Chasser les Pieds Noirs a été plus qu'un crime, une faute, car notre chère patrie a perdu son identité sociale.
Avec les Pieds Noirs et leur dynamisme, je dis bien les Pieds Noirs, et non les Français, l'Algérie serait aujourd'hui une grande puissance africaine, méditerranéenne... Hélas !"

Hocine Aït Ahmed, à nouveau : "Il y a eu envers les Pieds Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents
et dont l'Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens."

Hocine Aït Ahmed, toujours lui, avec cette cinglante adresse à tous ces salauds de porteurs de valise, qui - aujourd'hui encore, et même plus que jamais - continuent
à vomir leur haine de traîtres victorieux sur la colonisation et les Pieds Noirs : "La propagande française présentait les Pieds Noirs comme des négriers faisant suer le burnous.
Ils refusaient, soi-disant, l'accès à l'école aux enfants arabes. Pour ma part, je me souviens d'avoir eu autant de camarades de classe de toutes communauté confondues:
catholique, musulmane, juive et protestante, et ce, tant à Alger que dans le bled... voire plus dans ce dernier."


Elle est dans ces propos aussi détachés que désintéressés, la vérité sur la colonisation algérienne...

   
 
   
 
 
https://youtu.be/1idZE75C2f8
   
 
   
 


Le 19 mars 1962-Communiqué de la FONDATION MARECHAL DE LATTRE


Le 19 mars 1962 ne fut pas un « cessez- le - feu en Algérie

Comme la majorité des associations patriotiques, La Fondation Maréchal de Lattre qui, depuis sa création, a apporté son soutien aux soldats combattants en Algérie et aux victimes de cette guerre, ne peut que s’étonner que le Président de la République ait choisi ce 19 mars 2016 et le Mémorial du quai Branly pour commémorer la mémoire des victimes militaires et civiles de la guerre d’Algérie.

Il s’agit en effet du jour anniversaire d’un « cessez-le-feu » proclamé le 19 mars 1962 mais qui, respecté par la seule Armée française, n’empêcha pas un déchainement de violences, d’assassinats et de disparitions de plusieurs dizaines de milliers de Harkis avec leurs familles et de Pieds noirs, tous civils sans défense.

535 militaires français furent également assassinés après cette date.

Dans le contexte national actuel et connaissant les émotions entourant la mémoire des victimes de ce conflit fratricide dont les plaies ne se referment que très difficilement, on ne peut qu’approuver la réserve que les Chefs d’Etat de la Vème République ont observée sur le sujet et regretter ce choix du Président de la République actuel d’honorer de sa présence une cérémonie, à cette seule date, à l’exclusion de celle qui depuis 2002 est une journée nationale d’hommage aux Morts pour la France, célébrée à Paris au Mémorial du quai Branly, chaque 5 décembre.

Gilles Bonnier
secrétaire général

Paris le 15 mars 2016

   
 
   
 
http://www.herault-tribune.com/articles/34477/herault-lettre-du-depute-de-l-herault-elie-aboud-au-president-de-la-republique-francois-hollande/
   
 
   
 
   
 
   
 
 
http://actu.orange.fr/france/guerre-d-algerie-les-harkis-denoncent-leur-abandon-afp_CNT000000lzVD5.html
   
 
   
 
http://ripostelaique.com/relation-hollandesque-lalgerie-depasse-largement-trahison.html
   
 
   
 
CONTRE-CEREMONIES POUR LA DATE DE LA HONTE.
   
 
NICE
 
   
VALREAS
   
 
   
  Cette semaine, La Voix est Libre a lieu le 19 Mars, jour anniversaire du cessez-le-feu en Algérie qui a suivi les accords d’Evian du 18 Mars 1962. Depuis de nombreuses années, la polémique est vive autour de cette question : "Faut-il commémorer cette date du 19 Mars ?". Certains pensent que c’est une date historique. Les autres expliquent que les combats et les violences se sont poursuivis bien après. Cette année, la polémique est encore plus vive puisque pour la première fois un Président de la République – François Hollande – participera aux commémorations officielles samedi après-midi à Paris. De nombreuses associations (pieds noirs et harkis) critiquent cette présence présidentielle.
La Côte d’Azur est particulièrement concernée par ce débat. La communauté pieds noirs y est très importante. Et puis la plupart des élus de droite du département boycottent la cérémonie officielle qui aura lieu à Valbonne (et pas à Nice comme les autres années). Certains ont même écrit au Président de la République pour manifester leur désapprobation.
   
 
   
 
https://youtu.be/vWC9oz_YKFc 1° partie
 
https://www.youtube.com/watch?v=BR8ozzfUBAM 2° partie + Simone GAUTIER
   
 
   
 
   
 
   
  Monsieur le Président de la République,


Il y a bien longtemps que je désirais vous adresser cette lettre ouverte… Je pensais pourtant que… tout compte fait… cela ne servirait à rien.
Mais j’apprends par la presse que vous comptez, cette année, pour l’anniversaire du 19 Mars 1962, donner à cette forfaiture… en étant présent à la cérémonie… une certaine dimension historique !
Cela est proprement incroyable… honteux… voire dégueulasse !
En effet, vous n’êtes pas sans savoir que tout ce que racontent les tueurs du FLN et les “porteurs de valises”, (physiques ou moraux) dont les prototypes les plus emblématiques sont M. Benjamin Stora et les communistes de la FNACA est faux, et que par votre présence, vous officialisez des mensonges d’Etat.
M. Chirac et M. Sarkozy, vos deux prédécesseurs, pourtant pas très courageux en l’occurrence, n’avaient pas osé aller jusque là. Mais vous, vu votre “popularité”, vous n’avez plus rien à perdre !
Eux aussi, pourtant, ont été à plusieurs reprises pleurnicher à Alger… et se repentir… sans aucune honte sur le dos de la France…comme vous… pour des raisons exclusivement électoralistes, appel du pied… aux plusieurs centaines de milliers de binationaux qui vivent chez nous… après nous avoir chassés de “chez eux”. MM. Chirac et Sarkozy s’étaient gardés d’officialiser cette date, car ils savaient… comme vous-même… qu’elle marquait en fait le commencement… des tueries… enlèvements… séquestrations…. de milliers de civils européens, auxquels s’ajoutèrent des dizaines de milliers d’anciens soldats français d’origine musulmane qui, avant de se battre à nos côtés sur la terre algérienne, avaient été des nôtres dès 1870… puis en 1914-1918… en 1940-1945… et en Indochine.
Ils représentaient en nombre, et volontairement eux, juste avant ces accords odieux, cinq fois plus que les soldats FLN de la dite “Armée de Libération Nationale”… dans les maquis algériens… en Tunisie… et au Maroc.
Car face à tous ces mensonges, ces trucages, ces faux… que disaient réellement ces fameux et douteux accords… que le FLN n’a jamais respectés :

LES ACCORDS D’EVIAN
DE L’INDEPENDANCE DE L’ALGERIE (Extraits non tronqués)
(…) L’Etat algérien souscrira sans réserve à la Déclaration universelle des droits de l’homme, et fondera ses institutions sur les principes démocratiques et sur l’égalité des droits politiques entre tous les citoyens sans discrimination de race, d’origine ou de religion. Il appliquera notamment les garanties reconnues aux citoyens de statut civil français.

DES DROITS ET LIBERTES DES PERSONNES ET DE LEURS GARANTIES
Dispositions communes
Nul ne pourra faire l’objet de mesures de police ou de justice, de sanctions disciplinaires ou d’une discrimination quelconque en raison :
? d’opinions émises à l’occasion des évènements survenus en Algérie avant le jour du scrutin d’autodétermination,
? d’actes commis à l’occasion des mêmes évènements, avant le jour de la proclamation du cessez le feu.
Aucun Algérien ne pourra être contraint de quitter le territoire algérien, ni empêché d’en sortir.
Leurs droits de propriété seront respectés. Aucune mesure de dépossession ne sera prise à leur encontre sans l’octroi d’une indemnité équitable préalablement fixée.

DE LA COOPERATION ENTRE LA FRANCE ET L’ALGERIE (Extraits non tronqués)
Les relations entre les deux pays seront fondées dans le respect mutuel de leur indépendance, sur la réciprocité des avantages et l’intérêt des deux parties.
L’Algérie garantit les intérêts de la France et les droits acquis des personnes physiques et morales dans les conditions fixées par les présentes déclarations. En contrepartie, la France accordera à l’Algérie son assistance technique et culturelle, et apportera à son développement économique et social une aide financière privilégiée.

LES ACCORDS D’EVIAN ET LE PETROLE DU SAHARA (Extraits non tronqués)
Dans les départements actuels des Oasis et de la Saoura, la mise en valeur des richesses du sous-sol aura lieu selon les principes suivants :
? La coopération franco-Algérienne sera assurée par un organisme technique de coopération saharienne. Cet organisme aura un caractère paritaire. Son rôle sera, notamment, de développer l’infrastructure nécessaire à l’exploitation du sous-sol ; de donner un avis sur les projets de loi et de règlements à caractère minier ; d’instruire les demandes relatives à l’octroi des titres miniers ; l’Etat algérien délivrera les titres miniers et édictera la législation minière en toute souveraineté.

- Les intérêts français seront assurés notamment par :
- L’exercice, suivant les règles du code pétrolier saharien, tel qu’il existe actuellement, des droits attachés aux titres miniers délivrés par la France.
- La préférence, à égalité d’offre, aux sociétés françaises dans l’octroi de nouveaux permis miniers, selon les modalités prévues par la législation minière algérienne.
- Le paiement en francs français des hydrocarbures sahariens à concurrence des besoins d’approvisionnement de la France et des autres pays de la “zone franc”.
Faut-il répéter éternellement qu’aucun article de ces accords ne fut jamais respecté par le FLN.
Faut-il aussi répéter… réécrire… clamer… que tous les prisonniers politiques incarcérés à la suite d’activités en rapport avec ce conflit… “Evènements d’Algérie” ou “guerre d’Algérie” devaient être libérés… De Gaulle fit immédiatement sortir de prison les gens du FLN… pendant que les défenseurs de l’Algérie française, du Sahara et des populations qui ne voulaient pas de la terreur des amis de M. Bouteflika… restèrent encore des années derrière les barreaux.
Sur le terrain, ce fut le désastre. Et le mot est faible ! Il se passa dès cette date des choses horribles. Tout fut couvert par Charles De Gaulle et ses sicaires ! Celui-ci, du début à la fin mentira à tout le monde. Il embraya immédiatement après le soulèvement populaire d’Alger du 13 mai 1958. Celui-ci était dû au fait… qu’en Tunisie… trois jeunes soldats français du contingent… venaient d’être fusillés par le FLN. Il demanda à ses hommes de main d’essayer de prendre le train en marche. Très rapidement, il fit dire au général Salan… que… ce qu’il faisait “était remarquable et dans le sens voulu pour l’honneur et la sauvegarde de la France”.
C’est lui, et lui seul, qui demanda de préparer un largage massif de parachutistes sur Paris… Il s’inquiètera même de savoir… si les généraux d’Alger voyaient assez grand quant aux effectifs qui seraient engagés. Comment cela s’appelle-t-il ? Un PUTCH !
On connait la suite honteuse qui vit cet homme… “Le plus grand des Français”… “Le visionnaire”, etc… raconter n’importe quoi… et prendre le pouvoir de façon tout à fait cavalière pour ne pas dire antidémocratique… tout du moins vis-à-vis de la démocratie française telle qu’elle nous est racontée.
Il en remit des tonnes… Ainsi à L’Echo d’Alger du 24 octobre 1958 : « Quelle hécatombe connaîtrait l’Algérie si nous étions assez stupides et assez lâches pour l’abandonner. »
Au général Bigeard, le 27 août 1959 : « Moi vivant, jamais le drapeau FLN ne flottera sur l’Algérie. »
Il fit même constamment des déclarations racistes qui aujourd’hui vaudraient de sérieux ennuis à leurs auteurs.
A Delbecque : « Vous nous voyez mélangés avec des musulmans ? Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des arabes ? »
A Alain Peyrefitte : « Les musulmans ? Vous êtes allés les voir ? »… « Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. »
Et toujours au même : « Vous croyez que le corps français peut absorber 10 millions de musulmans, qui demain seront 20 millions et après demain 40 ? Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais… Colombey-les-Deux-Mosquées ! »
Pourtant quand, dernièrement encore, Mme Morano, dont je ne suis pas électeur, cita des déclarations du “grand homme”… elle se fit insulter… ridiculiser… et… chose nouvelle, des plumitifs stipendiés signèrent dans leur feuille de choux des articles disant que… tout ce qu’elle attribuait au général… était faux ! (sic)
Que se passa-t-il réellement sur le terrain après, le 19 mars ?
A la fin de la semaine qui suivit… le 26 mars… le “Premier résistant de France” tel un dictateur de République bananière, fit mitrailler, rue d’Isly à Alger, une foule de civils… seulement armés de drapeaux tricolores, et qui ne demandaient qu’une chose : Rester Français sur leur sol. La tuerie fut horrible… Une centaine de morts… Deux cents blessés. Elle dura 12 minutes.
Que faisaient donc dans la rue tous ces civils ? Ils désiraient soutenir moralement la population de Bab El Oued. La signature des soi-disant accords d’Evian avec des membres du FLN ne représentant qu’eux-mêmes… avait plongé les populations d’Algérie, pieds-noirs et musulmans fidèles, dans le désespoir et le malheur, et c’est dans ce quartier populaire qui vota un temps communiste, que le refus de l’abandon prit toute sa force et sa détermination. Abandonnée pour abandonnée, la population décida d’interdire ses rues aux forces de l’ordre qu’elle considérait comme… “passées à l’ennemi”.
Dans un tel climat de haine, alors qu’aux cris « Algérie française », des cortèges arabes répondent par « Vive l’Algérie algérienne », Vive “De Gaulle, le drame ne pouvait qu’arriver. Il arriva ! Le 23 mars 1962, des coups de feu vont être échangés. A Paris, De Gaulle est fou de rage. Il donne des ordres drastiques et, tel un Bachar el-Assad, ordonna d’employer tous les moyens contre une partie de son peuple. Aussitôt l’armée et la gendarmerie encerclent ce quartier, y pénètrent à grands renforts de blindés, écrasant les voitures… éventrant les devantures de magasins. A la 12-7, les troupes tirent sur les fenêtres les balcons, dans les rues, sur les façades des maisons. A plusieurs reprises, chose quand même inouïe… et bien cachée depuis… l’aviation, en rase motte, mitraille les toits. Les perquisitions se succèdent, les appartements sont, non pas fouillés, mais saccagés. Les blessés, les malades ne sont pas soignés. Les morts ne sont pas enterrés. Il n’y a plus de ravitaillement… Bal El Oued est transformée en véritable ghetto hermétiquement fermé, sur la populace comme dirait votre ami Jospin.
Pourtant un grave problème demeurait… Le désarmement des harkis ! Dans beaucoup de cantonnements, les soldats supplétifs sentent que des choses bizarres se trament… mais jamais… au plus profond d’eux-mêmes… ils ne penseront que De Gaulle… va les livrer au FLN.
Déjà, beaucoup d’officiers de SAS et de secteurs subodorent que des choses graves, et totalement impensables se mettent en place. Beaucoup décident en urgence de tout tenter pour expédier leurs hommes et leurs familles en métropole. Incroyablement, la vindicte de De Gaulle et de ses barons… ne s’exerce pas contre les tueurs et les égorgeurs du FLN qui sévissent dès lors dans toute l’Algérie, mais contre les officiers qui tentent de sauver leurs hommes, et par extension leur honneur.
Des mesures draconiennes sont immédiatement prises aussi contre les harkis qui auraient l’outrecuidance de croire aux bruits qui commencent à circuler. C’est à ce moment que M. Louis Joxe, Ministre d’Etat chargé des Affaires algériennes, et grand féal de De Gaulle, se déshonorera en signant plusieurs télégrammes qui sont… des condamnations à mort pour 150 000 musulmans fidèles à la France et ainsi livrés à la vindicte du FLN.
Télégramme n° 125/IGAA, ultra secret (16 mai 1962) :
« Le ministre d’Etat Louis Joxe demande au haut commissaire [en Algérie] de rappeler que toutes initiatives individuelles tendant à installation métropole Français musulmans sont strictement interdites. En aviser urgence tous chefs SAS et commandants d’unités. »
Comme cet ordre paraissait n’avoir eu que peu d’effets, Joxe le doublait d’une directive plus explicite, le 15 juillet 1962 :
« Vous voudrez bien rechercher, tant dans l’armée que dans l’administration, les promoteurs et les complices de ces entreprises de rapatriement et faire prendre les sanctions appropriées. Les supplétifs débarqués en métropole en dehors du plan général seront renvoyés en Algérie. Je n’ignore pas que ce renvoi peut être interprété par les propagandistes de l’OAS comme un refus d’assurer l’avenir de ceux qui nous sont restés fidèles. Il conviendra donc d’éviter de donner la moindre publicité à cette mesure. » (sic)
Dans de nombreux cantonnements, des convois de camions arrivent… certains sont pleins de caisses… d’autres vides. Des “officiers”du matériel (Oui, des “officiers”) expliquent aux harkis rassemblés… « Nous vous amenons de nouvelles armes en meilleur état. Mettez tout votre vieil arsenal dans les camions vides, de façon que l’on puisse vous distribuer le nouveau matériel. » Les hommes s’exécutent. Puis, dès qu’ils sont désarmés… les salauds s’enfuient les laissant désemparés.
? Dans le port de Nemours, près de la frontière marocaine, des dizaines de supplétifs français sont émasculés, jetés dans des fûts d’huile bouillante, enterrés vivants dans du ciment, avec seule la tête qui émerge.
? En juillet 1962 : Le commando “Georges” formé par Bigeard et composé uniquement de jeunes fellaghas ralliés à la France et opérant dans la région de Saïda, doit embarquer à Oran pour la Métropole.
Ils sont désarmés et renvoyés sur Saïda… Arrêtés par le FLN, ils sont torturés, enterrés debout, vivants. Seule leur tête sort du sol et la population est invitée à venir déféquer sur eux. Ils mettront des jours à mourir !
? En juillet 1962 : A Philippeville, dans le port, la Harka de Beni Bechir, de la SAS de Mareuil, très bonne unité militaire, est à bord d’un bateau en partance pour Marseille.
Un commandant de l’ALN exige son débarquement. Le commandant du bateau refuse. Une heure après, l’officier du FLN revient… avec un ordre écrit du général de Corps d’Armée de Constantine… un général français… donnant ordre de débarquer manu militari les harkis et de les livrer au FLN. Débarqués de force malgré leurs cris et leurs supplications, ils sont tous égorgés sur la place Demarqué à Philippeville.
Devant tous ces drames horribles, De Gaulle reste impassible, dans la mesure où les ordres viennent de lui. Les supplétifs français musulmans continuent à être désarmés par les troupes françaises qui restent sur place, alors que les accords d’Evian que le FLN n’a jamais respectés stipulaient : « Tout musulman pourra opter librement pour la nationalité française… rester en Algérie et bénéficier de l’amnistie totale… ou rejoindre la métropole. »
La situation est aussi désastreuse pour les Européens et les Musulmans de l’administration, très nombreux, qui servaient la France avec honneur et fidélité. En fait, rien de sérieux n’est prévu pour eux.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, il existe une date bien précise qui semble être le début exact de l’épidémie d’enlèvements… Ceux-ci en effet atteignent leur apothéose le 5 juillet 1962 à Oran, où les tueries se déclenchent et prennent une ampleur inégalée.
Il y eut, Monsieur le Président de la République, après le cessez-le-feu et l’indépendance… en deux mois et demi… plus d’enlevés et de disparus… qu’entre novembre 1954 (début des “évènements”) et le 19 mars 1962… soit huit années !
C’est pour cela, Monsieur le Président, que votre date du 19 mars ne veut rien dire… et est une insulte supplémentaire aux malheurs des Français d’Algérie, toutes confessions confondues. En effet, le 5 juillet 1962, la ville d’Oran a connu une véritable Saint-Barthélemy. Ce fut véritablement… une chasse aux Européens… où tous les moyens furent employés… pour massacrer des populations civiles qui n’avaient qu’un tort... être françaises ! Des cortèges sans fin d’Européens, les mains en l’air, sont conduits vers le lieu dit…le Petit Lac… et massacrés par une foule en délire, sans qu’aucune autorité FLN n’intervienne… et sans que l’individu commandant la région… le sinistre général Katz… qui dispose pourtant encore de 18 000 hommes, ne fasse quoi que ce soit. Il se contentera de survoler la ville en hélicoptère… et même longuement… les lieux des massacres. Il donna finalement ordre à ses officiers de… absolument pas intervenir !
Il faut savoir que M. de Gaulle lui attribua une étoile supplémentaire. Ce “brave homme” n’hésita pas d’ailleurs… à déclarer publiquement… « Je n’ai fait qu’obéir aux ordres formels du Chef de l’Etat ». Le seul soldat qui fit son devoir fut un officier musulman qui sauva des dizaines d’Européens… Katz, déchaîné, lui déclara… « Vous ne seriez pas musulman je vous casserais et vous mettrais au trou ! » Il y eut malheureusement de nombreux “petits Katz” dans cette époque démente. Il faut savoir que sur les milliers d’hommes, de femmes, d’enfants enlevés… ceux qui furent retrouvés étaient généralement morts de façon atroce.
Les services de renseignements français, savaient très souvent où étaient détenues les personnes disparues… L’ordre drastique tombait tous les jours… Interdiction de bouger ! Les femmes françaises enlevées étaient toutes livrées à la prostitution. Des maisons closes servant de centre de repos (sic) aux tueurs du FLN… étaient connues ; parfois même le nom des femmes qui y étaient détenues… chair à plaisir, violées à longueur de journées et de nuits. Pire encore, un certain nombre de français enlevés étaient déclarés donneurs de sang… et saignés à blanc. Ceux retrouvés, ressemblaient à des momies.
Tous les renseignements nécessaires à la récupération d’une grande partie des internés étaient entre les mains des services français. Mais M. Joxe (toujours lui et toujours sur la brèche) sortit une nouvelle “note de service”… Un télégramme très explicite… qui interdisait à tous les services français, civils ou militaires, d’intervenir ! Il écrira même sans que jamais personne ne lui demande des comptes par la suite… « Je serai pour ma part hostile à une intervention quelconque de la Croix Rouge internationale dans tout ce qui concerne les arrestations et détentions d’Européens. » Ce texte était connu du gouvernement puisqu’il émane d’un de ses membres et était daté du 2 avril 1962.
M. le Président, pour exposer seulement une partie de cette très sombre et honteuse vérité, sachez qu’à chaque enlèvement d’un homme, d’une femme, d’un enfant… courageusement (dans un tel climat de haine, de peur et de désespoir)… des civils européens courraient vers les patrouilles françaises pour les alerter… et que chaque fois… oui, chaque fois… les chefs de patrouille répondaient « Nous avons des ordres draconiens. Nous n’avons plus le droit d’intervenir dans des affaires comme celle-là !  Le maintien de l’ordre dépend maintenant du FLN !»
Il y eut même mieux, c’est-à-dire bien pire ! Des hommes évadés d’un camp de détention du FLN et qui s’étaient réfugiés… dans une caserne de gendarmes mobiles… ont été remis à leurs bourreaux. Dès décembre 1961, Charles De Gaulle, Président de la République française avait approuvé la création d’équipes de barbouzes… fait débloquer les fonds et donner ordre au Haut commissaire, Christian Fouchet, de faire en sorte que … « l’intendance suive ». Fut ainsi créé… pour travailler avec le FLN, une police parallèle, la Mission C (pour “choc”) commandée par M. Bitterlin, représenté en métropole par un avocat… le sieur Lemarchand… et supervisé sur le terrain en Algérie par un authentique vrai flic, directeur de la police judiciaire. Tout ce beau monde, dès ce moment ne travailla plus qu’au profit du FLN et transmettait à ceux-ci… des listes… vraies ou fausses… de citoyens français catalogués comme partisans de l’Algérie française ! C’est ainsi que le chef FLN, Si Azzedine, responsable de la zone autonome d’Alger travailla dès cette époque avec tous les services officiels ou “barbouzards” du gouvernement officiel de la France.
Il reçut régulièrement dès lors, de l’envoyé spécial de De Gaulle, le Préfet Vitalis Cros, des listes de dénonciations de Français… Nom… Prénom… Age… Adresse… et même pseudonyme. Dès cet instant, et officiellement, il fut décrété que les “barbouzes” et le FLN… n’avaient plus qu’un seul ennemi commun… Les Français qui refusaient de larguer l’Algérie et le Sahara.
Et que dire M. le Président de ceux qui à cause… de cette ignoble trahison… tombèrent aux mains du FLN. Je vous laisse le soin de réfléchir sur leur sort.
Plusieurs de mes amis sont passés par là… Attachés nus sur des lits en ferraille… Battus… Torturés…Sodomisés avec des bouteilles de Perrier… Tourmentés inlassablement pendant des jours et des nuits en présence, souvent, d’officiers supérieurs de la gendarmerie. Tout cela a été constaté… certifié…enregistré par tout le corps médical français… d’Alger et d’ailleurs en Algérie. Ce fut le cas de mon ami Ziano, loque humaine à sa miraculeuse libération.
Et tout cela, M. le Président de la République, pour en arriver où ? et à quoi ?
Le 19 juin 1965, Ben Bella, premier Président de la République algérienne est arrêté et jeté en prison pour des années. Ce sont les hommes de la sécurité militaire, véritable Gestapo, aux ordres de son ex-chef d’état-major, Boumediene, qui ont monté l’affaire. Cet acte dictatorial ne gêne personne dans l’ensemble des démocraties, et surtout pas en France où pas un seul homme de la mouvance mondialiste et humaniste… pas un seul de vos amis… n’élève la voix.
Dans les années qui suivirent l’emprisonnement de Ben Bella… Boumediene, comme prévu, “muscla” son régime et sabota sciemment les “accords”. Les biens français, abandonnés lors de l’exode tragique des “pieds-noirs”, de “biens vacants” sous Ben Bella, devinrent des “biens d’Etat” sous son régime.
Sans préavis, dès 1968, quatorze des sociétés françaises de distribution du pétrole saharien, notre pétrole, sont nationalisées. Puis de mois en mois, les meilleures entreprises françaises, les plus modernes, les plus rentables, toutes garanties par les accords d’Evian, sont à leur tour nationalisées… sans que Paris ne dise rien… sans que la moindre mesure de rétorsion ne soit prise contre les biens algériens en France… qui sont, dans le domaine hôtelier entre autre, colossaux.
Le 24 février 1971, le pétrole saharien est nationalisé. Nous n’intervenons pas plus. Boumediene pourtant (cela est prouvé) pense que la France, cette fois-ci, va prendre le mors aux dents. Il pense que le gouvernement de Paris va expulser le trop-plein de travailleurs algériens. Des mesures sont même prises par toutes les wilayas pour accueillir les refoulés. Rien ! De grands rires sonores s’élèvent dans le ciel algérien.
Les chefs FLN qui savaient depuis longtemps ce qu’ils devaient penser du courage politique des dirigeants français se rient de nous et nous méprisent.
Aujourd’hui l’Algérie retourne au chaos après dix longues années de guerre civile qui connut tous les excès et fit deux cent mille morts… des vrais, ceux-là ! Les milliards que nous leur avons donnés, ou laissé prendre, c’est-à-dire le pactole que représentaient… notre gaz, notre pétrole (car tout cela ne fut jamais algérien)… ont été dilapidés, pillés, détournés.
Pour obtenir la paix civile, il a fallu… aux satrapes au pouvoir à Alger… acheter à prix d’or, tout ce que produisait avant l’Algérie française… et le distribuer à perte.
Cette Algérie, qu’ils ont récupérée en état de marche, est en ruines ! La chute des prix des hydrocarbures va mettre ce régime à genoux… et déjà les “jeunes” de là-bas… savent où ils vont aller… Chez nous ! Nous leur devons bien cela… puisque tout est de notre faute ! Il faut absolument que nous leur donnions des visas !
Nous les avons (à vous entendre, vous et vos amis, M. le Président) tellement malmenés, tellement pillés ! Pendant 130 ans, ils ont connu l’enfer, et le sieur Bouteflika, même grabataire, en remet une couche chaque jour… A l’entendre, il parait que « l’occupation française en Algérie, fut pire que l’occupation allemande en France ! » (sic). La seule différence c’est qu’au départ des Allemands, des millions de Français n’ont pas pleuré pour aller s’installer outre Rhin
Parfois, pensant à ma jeunesse, aux combats qu’avec tant d’autres jeunes… de toutes races et de toutes religions… nous avons mené pour l’honneur de la France sous le drapeau tricolore… je réfléchis à ce qu’aurait pu être notre pays… si nous n’avions pas été gouvernés par des gamellards soucieux seulement de “leur carrière politique” !
Car se sont bien des traîtres qui ont laissé entendre… et ont finalement fait croire… à ceux que vous appelez les “jeunes des banlieues”… que toutes ces “conneries” étaient la vérité… et qu’en plus… leurs grands-pères avaient battu l’armée française… alors que la seule vérité est que notre armée, que ce soit avec ses appelés ou ses engagés, a gagné militairement la guerre dite d’Algérie et que seul… Charles De Gaulle l’a perdue, volontairement, politiquement pour tenter, avec l’aide de M. Adenauer, de devenir le chef de la “troisième force mondiale” entre le bloc américain et, à l’époque, le bloc soviétique.
Devant les tribunaux d’exception qui prétendaient nous juger… alors qu’ils n’étaient qu’au service de la trahison et de l’abaissement de notre patrie… debout, face à eux, sans faiblir, ni baisser la tête, nous leur avons dit, les yeux dans les yeux… Vous ne voulez pas de l’Algérie française, vous aurez la France algérienne. Nous espérions pourtant, au fond de nos cœurs de soldats… que cette horreur n’arriverait pas. Mais malheureusement pour la France, cela se réalise.
Oui M. le Président, grâce à vous et à vos amis qui faites passer vos idéaux politiques nauséeux et criminels… avant l’intérêt du peuple de France…NOTRE PATRIE EST EN DANGER… Comme le général Katz… prenez votre hélicoptère… Regardez dans nos rues… Ils sont là… et les autres arrivent !
Mais il est vrai que vous avez autre chose à faire, n’est-ce-pas ? Il vous faut déjà débloquer des milliards (alors que nous sommes en faillite)… pour tenter de récupérer votre électorat en charpie… Continuer à changer notre peuple, puisqu’il vote mal… et déchristianiser la France.
Beau programme en effet, digne de la Haute Cour !
Voilà ce que je voulais vous dire M. le Président.
Je ne vous salue pas… Je le regrette… mais il faudra bien que notre peuple, et surtout notre jeunesse, que vos amis et vous-même avez déboussolée et rendue apatride sache que des citoyens de ce pays, simplement hommes du peuple… ne se résignent pas et appelent à la résistance afin que face au désastre que vous nous concoctez… SURVIVE LA FRANCE ETENELLE ET CHRETIENNE !

Roger HOLEINDRE
Président du Cercle National des Combattants

   
 
   
 
   
 
   
  Objet: Lettre ouverte d’un Français d’Algérie à Nicolas SARKOZY : Ôtez votre masque !

Lettre ouverte d’un Français d’Algérie à Nicolas SARKOZY au sujet du 19 mars : Ôtez votre masque !

Les médias vibrionnent de votre posture au sujet du 19 mars, notamment avec le soutien d’un journal ami qui promet une pétition, dont le fichier des signataires servira demain à rappeler aux Français d’Algérie, qu’à l’instar de votre grand maître « Vous nous avez compris ! ». Mais nous ne nous ferons pas avoir cette fois, en dehors de quelques représentants avides de prébendes et de gogos servant de piétaille aux cérémonies d’élus prétendus républicains. Car les Français d’Algérie n’oublieront pas ce que fut votre compréhension à leur égard du temps de votre présidence.

Bien sûr, nous ne pourrions qu’approuver votre réaction à la trahison du néo porteur de valises au profit du FLN et d’une association masquée du P.C.F. Mais il faudrait que nous vous croyions sincère. Au moins, eux, se battent sous leurs vraies couleurs et nous n’attendons pas d’amitié ou de pitié de leur part, ni pour notre Histoire, ni pour nos Victimes et leurs familles.

Vous dites « La guerre d’Algérie a été un événement dramatique, des hommes et des femmes portent encore dans leur souvenir comme dans leur chair la trace de cette Histoire vivante, ne déclenchons pas une guerre des mémoires ». Mais qu’en était-il de vos valeurs républicaines, de votre appétence à plus de démocratie, de votre espoir de réconciliation entre Français et de Paix interne, mais surtout de votre compassion envers des familles françaises meurtries depuis 54 ans, lorsque vous leur avez interdit d’honorer leurs Morts à deux reprises ? Vous étiez Ministre de l’Intérieur (2006), puis Président de la République (2007), lorsque vous nous avez refusé le Ravivage de la Flamme le 5 juillet par l’association ALLO (Anciens du lycée Lamoricière d’Oran) que je présidais. Cette cérémonie, et pas une manifestation qui peut toujours dégénérer, avait pourtant été autorisée par le Comité de la Flamme et son président de l’époque, le Général Jean COMBETTE. Il s’agissait d’honorer les trois mille Oranais disparus et massacrés le 5 juillet 1962. Ils furent pendus à des crocs de bouchers, éviscérés, égorgés, brulés vifs, lynchés, fusillés, etc., quand, en tant que femmes, elles ne finirent pas dans les bordels du FLN. Cet Hommage était aussi élargi à tous nos Disparus de la Guerre d’Algérie (Pieds Noirs et Harkis). Ces Victimes étaient-elles pour vous moins honorables que celles de Toulouse, de Charlie, du Bataclan, des cafés et de l’hyper Cacher, voire même que celles des tours de New York ?

Votre prétexte fut celui de risques de « troubles à l’Ordre public ». Nous n’étions pourtant que quelques centaines de gens présents à cette cérémonie, dont des familles de Disparus. Nos tempes étaient depuis longtemps blanchies. Nous fûmes, sur votre ordre, stoppés et empêchés de raviver la Flamme par des centaines de CRS, casqués et armés. Ce fut, semble-t-il, la seule fois où le Public ne fut pas autorisé à accéder au Monument, sauf du temps des Nazis, peut-être !

Or le 5 juillet 2006, à la même heure, vous faisiez fi de « tout trouble à l’Ordre public », en laissant des hordes de voitures venues des banlieues monter et descendre à toute vitesse les Champs Élysées, passagers penchés à l’extérieur, vociférant des cris, klaxons, drapeaux algériens flottants au vent. L’Algérie allait jouer un match important dans le cadre de la Coupe du Monde. Mais pire, toujours faisant fi de tout « trouble à l’ordre public », vous laissiez se dérouler une manifestation anti-israélienne en bas de la même avenue, à proximité des ambassades américaine et israélienne, lors de laquelle furent proférés des slogans et insultes contre les Juifs.

Par notre double interdiction, vous niiez, alors, la douleur des familles, « leur souvenir comme dans leur chair ». Vous bafouiez la Mémoire des victimes, foulant aux pieds la Loi qui fait « obligation à l'État de permettre la tenue des manifestations de ceux qui la respectent ».

Je déposais deux plaintes au nom d'ALLO. En 2009, le Préfet, ancien Saint-Cyrien, qui déshonorait ainsi son ancien uniforme, et l'État étaient doublement désavoués, c'est-à-dire vous-même. Vous étiez condamnés pour cette méprisable action, par deux jugements du Tribunal administratif. Les arrêtés d'interdiction étaient annulés (virtuel) et l'État condamné à verser deux fois 500€ à ALLO. Sans aucune vergogne, Préfet et État, c'est-à-dire encore vous, firent appels des deux jugements. Vous fûtes de nouveau condamnés en 2011, à hauteur cette fois de deux fois 1000€. Vous alliez enfin comprendre, les condamnations, pas nous. Aujourd’hui cette cérémonie se tient chaque année.

Oui, on ne vit donc pas ce qu’était votre sens de la Paix des Mémoires et de la réconciliation avec des familles françaises meurtries depuis 54 ans. Ces familles de Disparus subirent ainsi une quadruple peine, après les trois infligées par votre triste mentor : perdre les siens, sans savoir dans quelles horribles conditions, ni où gisent les corps martyrisés, voilà que vous leur interdisiez de les honorer. Cumul de peines que ne vivent pas les familles victimes de Mérah, chez Charlie ou du 13 novembre. Nous espérons pour elles que dans quelques années les terroristes n’enseigneront pas dans les universités, que les médias et le Cinéma ne leur offriront pas des tribunes et que nos politiciens n’iront pas un jour se prosterner au Monument des Martyrs d’un quelconque État Islamique, comme c’est le cas pour nous. Il est vrai que nos familles n’eurent, elles, jamais droit aux cellules psychologiques pour leur permettre de faire ce deuil que l’on demande à la moindre disparition, pas plus qu’elles n’eurent le droit aux comités d’accueils que l’on réserve aux Étrangers, surtout quand ils crachent sur la France. Mais il est vrai que vous obéissiez ainsi aux instructions comminatoires qui vous avaient été données par les habituels salisseurs de la France, par Mouloud AOUNIT, président du MRAP avant qu’il ne soit « sorti » pour positionnement trop communautariste, par la LDH de Toulon -ces prétendues associations droits de l'hommiques et anti racistes-, par la dénommée MOUSSAOUI, membre du PC et journaliste de l'Humanité, enfin par la Presse algérienne et son ami GAVOURY, dont les compassions ne vont qu’aux porteurs de valises et aux terroristes fellaghas. Mais il vous fallait bien plaire au terroriste-président algérien auprès de qui vous mendiiez, comme votre prédécesseur et votre successeur, la signature d’un traité dit « d’amitié franco- algérien » (sic).

Oui, que ne nous vous avons entendu vous élever contre cette « guerre des Mémoires », pour une France réconciliée et apaisée ? L’était-elle pour nous sous votre présidence ? Nous serions aujourd’hui plus enclins à croire que votre action n’est pas que politicienne et à la noblesse de vos anathèmes contre le président en exercice.

C’est pourquoi les Français d’Algérie, vos Compatriotes, n’oublieront pas. Pas plus qu’ils n’oublieront que les massacres intervenus après le 19 mars 1962 furent l’œuvre généreuse de celui dont vous revendiquez, comme bien d’autres, le sinistre héritage.

Jean-Pierre RONDEAU

Président de DEPATRIES

Président d’Honneur des Anciens du Lycée Lamoricière d’Oran

   
 
   
 
https://www.youtube.com/watch?v=nSQdS3ja6y4
   
 
   
 
   
 
   
 
http://www.bfmtv.com/politique/guerre-d-algerie-sarkozy-critique-la-commemoration-du-19-mars-par-hollande-960005.html
   
 
   
 
http://www.bvoltaire.fr/robertmenard/ny-a-de-cessez-feu-19-mars-1962,245327?mc_cid=04a1a498ba&mc_eid=f1d99c884b
   
 
   
 

Ma nostalgie

J'aimerai rendre hommage a ces religieuses de la congrégation des sœurs de Never, qui maintenant sont au ciel, qui en 1939-1945 étaient résistantes et profondément harkis ; rendre hommage à tous ces poilus qui ont donnés leur vie pour la patrie ; rendre hommage à ces français d'Algérie qui ont été chassés de leur pays juifs, chrétiens, musulmans, pardonnez ma nostalgie.
Je les ai aimé, je les aime encore. Je les ai vus pleurer, ils doivent se retourner dans leurs tombes. Je les remercie pour leur noblesse d'esprit, jamais je ne les oublierai.

Il est dit "celui qui te fait du mal, bénis le". Je m'adresse à tous ceux qui ont fait de De Gaulle leur religion. Ils ont oubliés que c'était Monsieur Winston Churchill qui était la tête pensante. De Gaulle n'a jamais dirigé une brigade, pendant que sur le terrain des gens résistaient et ont été déportés, cet homme de Londres qui ne supportait pas qu'on lui fasse de l'ombre se prenait pour le gratin mais en réalité il était la sous-couche.
En 1945, il est rentré triomphant sur les Champs-Elysées et il a écarté tous les grands, pardonnez ma Nostalgie.
Il a récidivé, lui et son gouvernement, en Algérie, en disant "je vous ai compris" qui voulait dire "je vous ai trahie". Il a désarmé les harkis, lui et ses lieutenants, déshonoré, humilié et livré à l'ennemi. Cet homme était un égocentrique, un être cynique et inhumain avec du sang dans les mains, lui et les siens. Il a bien vécu pendant que d'autres ont tout perdu.

A ceux qui écoute la voix de leur maître, ils nous reproche d'être nostalgique, en ce qui me concerne, mon cœur est déchiré, je ne peux pas pardonner leur offense. Je n'ai pas besoin que certains religieux porteurs de valises me donnent des leçons, charité bien ordonné commence que par soi-même, si ils ne respectent pas leur famille et leurs grands-parents qui se sont battus pour la France, moi je les ai toujours profondément respecté, parce qu'ils étaient respectables.
A vous, qui nous reprochait sans cesse notre nostalgie, vous auriez mieux fait de vous occuper de la Nation Française au lieu de profaner les tombes de nos parents. Quand vous allez vous recueillir sur ceux de vos familles, pour la Toussaint, alors vous êtes nostalgique. Je me demande et je ne comprendrai jamais pourquoi, vous, petites gens, vous vous permettez d'assister aux cérémonies, n'oubliez pas, c'est de la nostalgie, pour nous c'est un devoir. Il est vrai que dans le troupeau il y a des agneaux, des chiens et des paons. On ne peut pas courir plusieurs lièvres à la fois, sinon on est un mauvais chasseur. J'aimerai dire aussi que la noblesse ne s'inscrit pas que dans un nom, on m'a toujours appris que dans la vie il y avait les chefs, les sous-chefs et les sous-fifres, ça en est assez d'insulter, de solder ce pays.
Comme dirait un honorable Colonel; "vous avez une mentalité de laqués", vous n'avez pensé qu'a vous et à vos intérêts, vous avez un portefeuille à la place du cœur. Je suis fille de Harkis, ça commence par un H comme Honneur. Dans ma famille et celles de vrais Harkis, j'aimerai vous dire qu'on a vécu dans la précarité et que mon père a été assassiné en 1968 avec tous les services qu'il a rendu à la Patrie. Ils sont allé jusqu'à lui voler ses décorations, pardonnez ma nostalgie, mais ça me fait très mal quand vous remettez des médailles ou dois-je appelé ça des pattes de fruits, à des gens peu méritants. J'ai honte de vous!
Pendant les élections, les Harkis vous intéresses, mais autrement toute l'année nous sommes considérés comme des Arabes. Vous dites qu'ils réclament toujours quelque chose, mais que je sache, les migrants ne se sont pas battus pour les couleurs tricolores et à eux, à tous ces hommes, ils sont tous jeunes, des gaillards, incapables de se révolter dans leur pays mais ils viennent ici avec la complicité de certaines associations, pour prostituer la France, alors pardonnez ma nostalgie quand je vois tout cela, je pense à celles et ceux qui doivent se retourner dans leur tombe.

Dernière chose, comme des inconscients vous ne respectez pas beaucoup la tombe du soldat inconnu, il faut dire qu'il y a une chose qui ne s'achète pas, c'est un cerveau. Et on m'a toujours appris qu'il ne fallait pas se défroquer devant des petites gens. Nous ferons tout pour sauver notre Nation! Vous insultez même l'armée française, ils ne sont pas vos sujets, mais vous êtes bien contents qu'ils vous escortent et que grâce à eux, si il n'étaient pas là pour organiser le devoir de mémoire, je veux parler des cérémonies, alors tout resterait dans l'oubli. Eux aussi, je pense qu'ils sont nostalgiques, Dieu merci! Ils sont la parade, et non des pantins. Arrêtez de les sous-estimer! Quand au défilé du 14 Juillet, c'est bien le seul jour où les communistes applaudissent l'armée française, pardonnez ma nostalgie.
Je finis par, il est dit "dans le champs des Africains et si quelqu'un venait à y toucher, nous serions là pour mourir à ses pieds". Je suis en colère, je suis révoltée, je suis dépassée, mais je sais et je pense que d'autres partagent mes idées.

Voilà ma profonde nostalgie, Vive la France!

ps: Il était né dans un château, mais sa cervelle était étroite. On dit qu'a Colombey-les-Deux-Eglises il y a deux Eglises, mais il n'y a qu'une cloche.

Ben-Brahim Dalida

   
 
   
 
La FNACA, dans l'embarras...
   
 
   
 
16 mars 2016
 
Le cycle de l'Adieu - chapitre X
   
 
   
 
 
http://www.valeursactuelles.com/societe/19-mars-non-a-la-commemoration-de-la-honte-et-du-deshonneur-60224
   
 
   
 
Notre "bon Président de la République" a-t-il lu cette proposition, avant son projet de déshonorer la France, le 19 mars prochain?
 
http://www.assemblee-nationale.fr/12/propositions/pion1637.asp
   
 
   
 

Metz le 16 mars 2016
Monsieur François Hollande
Président de la République
Palais de l’Élysée
55, Rue du Faubourg Saint-Honoré
750008 ¨PARIS.
Monsieur le Président de la République,


Tous les Français soucieux de rigueur historique ne peuvent qu’être étonnés, voire scandalisés, devant votre décision de présider une cérémonie soi-disant mémorielle, le 19 mars prochain. Le Premier Magistrat de notre pays ne peut, effet, ignorer la réalité des événements qui se sont produits en Algérie du mois de mars jusqu’à la fin de l’année 1962. Les prétendus « accords » d’Evian n’étaient qu’un simple protocole sans valeur juridique, récusé par le GPRA à Tripoli et jamais mis en oeuvre par les futures autorités algériennes. De mars à décembre 1962, il y eut plus de victimes civiles et militaires, européennes et musulmanes qu’entre la « Toussaint rouge » du 1er novembre 1954 et le 19 mars 1962 : enlèvements, exsanguinations, disparition de plus de 3000 personnes dont plus de 500 prisonniers militaires jamais restitués en dépit des conventions internationales, massacre d’au moins 80000 harkis dans les conditions les plus inhumaines.


Nous permettrez-vous, Monsieur le Président de la République, de vous rappeler la fusillade de la Rue d’Isly à Alger, le 26 mars 1962 et ses quatre-vingts victimes tuées à bout portant par des
forces de l’ordre ayant reçu l’ordre de tirer sur une foule désarmée dont le seul crime était de vouloir rappeler son attachement à la mère-patrie ? Nous permettrez-vous de mentionner le « massacre
oublié » de ces centaines de Français enlevés et massacrés à Oran le 5 juillet 1962, entre 11 Heures et 17 Heures, sans qu’intervienne, à aucun moment, l’autorité militaire française encore présente sur
place, en la personne du Général Joseph Katz. ? Celui-ci avait sous son commandement, une garnison de plus de dix-huit mille hommes, consignés jusqu’en fin d’après-midi. Le Général De Gaulle aurait qualifié cette tragédie de simple « avatar » dans une conversation avec son Premier Ministre, nous tenons cette précision du fils de Président Pompidou lui-même.

Récemment, lors de votre voyage d’Etat en Argentine, vous avez, Monsieur le Président de la République, manifesté, à juste titre, votre sympathie et votre respect pour les personnes disparues au temps de la dictature militaire entre 1978 et 1982, un drame révélé au monde entier par la Asociación Madres de Plaza de Mayo. Est-il utopique d’espérer du Chef de l’Etat une semblable compassion à l’égards de ces milliers de Pieds-Noirs, musulmans fidèles à la France, militaires du contingent, harkis, victimes de tous ces crimes commis après les Accords d’Evian ?

Non, Monsieur le Président de la République, la guerre d’Algérie n’a pas pris fin le 19 mars 1962. Penser et dire le contraire ne peut qu’accentuer la douleur de ces milliers de familles dont le travail de deuil se révèle impossible après cinquante-quatre ans.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président de la République, à travers votre personne, la considération que nous portons à la haute fonction que vous exercez..


Danielle Pister-Lopez,
Agrégée de Lettres, Maître de Conférences des Universités Cum Merito-Université de lorraine
Présidente de l’Amicale des Pieds-Noirs de Moselle, vice-présidente du Cercle algerianiste de
Champagne et du Grand-Est


Jean-Pierre Pister,
Agrégé d’Histoire, Professeur de Chaire supérieure honoraire-Khâgne, lycée H. Poincaré de Nancy.
5, rue du 16ème Chasseurs 57070 METZ

   
 
   
 
19 MARS 1962 : DATE MAUDITE

Il n'y a pas eu d'accords, Evian fut un leurre.
C'est un mensonge d'État qui a fait le malheur
Des Français d'Algérie de toutes origines,
Qui furent vilipendés, roulés dans la farine.

La capitulation qui fut signée à Évian,
C'était un abandon brutal et humiliant
D'une terre que nos pionniers avaient sortie du néant,
Au prix d'un dur labeur titanesque, exténuant.

Cette capitulation fut une totale soumission
À un seul signataire dictant ses conditions.
Il fallait vite larguer le "boulet algérien",
Y compris les richesses du sous-sol saharien.

Le faux cesser-le-feu fut unilatéral.
Après le dix-neuf mars, la solution finale
Des caïds F.L.N. c'était d'éliminer
Ces satanés roumis, maudits enracinés.

Les harkis furent victimes d'une effroyable boucherie,
Massacrés avec la plus grande sauvagerie.
Par dizaine de milliers, ils payèrent de leur vie
Leur fidélité, furent désarmés et trahis.

Vingt-six mars à Alger : honte au régime gaullien
Qui oblige l'Armée à tirer sur des citoyens
Qui manifestent "armés" de drapeaux tricolores.
Une fusillade punitive : des dizaines de morts.

Cinq juillet à Oran : c'est la chasse aux pieds-noirs.
Katz, le "boucher d'Oran" met l'Armée sous l'éteignoir.
Les Français d'Algérie, sans aucune protection,
Sont les cibles des fellhouzes, sans aucune distinction.

Après le dix-neuf mars, cinq-cent-trente-deux soldats
De l'Armée française sont tués ou enlevés.
Aucune contestation n'a été soulevée
Par le pouvoir gaulliste contre les fellhagas.

L'actuel chef de l'État veut célébrer cette date.
Une fois de plus et de trop, chez cet homme on constate
Sa tendance à salir la mémoire de nos morts,
À souiller l'honneur de la France sans aucun remords.

Les fractures et souffrances de la guerre d'Algérie
Ne sont pas effacées, elles viennent d'être ravivées
Par le comportement d'un être dont la fourberie
L'incite à bafouer et à récidiver.

Coupable de réveiller des souvenirs cruels,
Le Chef des Armées s'apprête à commettre
Un acte vil et ignoble pour lequel il excelle.
Sa vraie mentalité est celle d'un piètre traître.

Les victimes dont les noms sont gravés au Mémorial
Ne méritent aucunement que la France commémore
Une date qui nous rappelle l'épouvantable spirale
Où tant d'innocents Français ont trouvé la mort.

Insulte pour les familles, victimes d'une forfaiture.
Insulte pour les pieds-noirs, insulte pour les harkis.
Insulte à la mémoire de nos morts sans sépulture.
Une commémoration empreinte d'ignominie.

Le summum de cette journée de l'indignité
Serait de décerner la légion d'honneur
À celui (*) qui désire tant réhabiliter
Les harkis afin de mettre fin à leur malheur.

Jean-Paul Ruiz
16/03/2016

(*) : Bien sûr, vous avez deviné, il s'agit de Bouteflika,
le patient intermittent du Val-de-Grasse, qui se comporte
envers la France et les harkis en grand pourfendeur et provocateur.
Le président algérien, ancien fellhaga, adjoint direct de Boumédienne, est bien placé pour avoir connu l'existence des massacres, des enlèvements, des tortures, des camps de prisonniers qui étaient pire que des bagnes, les bordels où étaient détenues des femmes européennes, les expropriations
manu-militari etc ...

J'ai voulu terminer mon texte par cette dernière strophe
sous les traits de la dérision et de l'ironie. (JPR)

   
 
   
 

Monsieur le Maire de CUERS

Pour l'Algérie du FLN, le 19 mars marque la "défaite" de la France. Où a-t-on vu, à part dans une nation à tendance masochiste ou collabo, un pays qui commémorerait ce que l'ennemi d'hier
célèbre comme une victoire? (Cf PJ) Même l'Allemagne qui a pourtant renié le nazisme ne commémore pas sa capitulation! Au delà des positions doctrinaires ou de principe de la FNACA et de ceux qui l’inspirent ou la noyautent, il y a aussi une réalité bien peu glorieuse: Le prétendu "cessez le feu" c'était avant tout pour certains, "la quille" et la fin du danger, tout au moins pour ceux qui n'étaient pas planqués. C'était la fin du risque pour eux; pas pour les autres, ils s'en fichaient! Cela relevait tout simplement de l'égoïsme, le même qui a caractérisé "l'accueil" des Français d'Algérie par la métropole quelques semaines plus tard… A peine 17 ans après que les Français d'AFN soient venus en masse libérer l’Europe et la France! Je vous suggère de célébrer aussi désormais le 22 juin 1940 puisque là également il s'agissait du lâche soulagement d'une majorité de Français et d'une approbation de la majorité parlementaire.

Vous remerciant pour l'attention que vous aurez bien voulu porter à ce courrier, recevez monsieur le maire ma considération désabusée et attristée.

Clément Charrut

   
 
   
 
Bravo, Monsieur le Maire!
   
 
   
 
FNACA, la Vérité
   
 
   
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/03/19-mars-1962-le-deshonneur.html
   
 
   
 
   
 
   
  Le 19 mars 1962. Date fatidique annonçant une fin de Grande France. Des français vendent à Evian des Français au terrorisme du FLN algérien. Ils bradent plus qu'ils vendent, sous l'exigeance de De Gaulle, non seulement un territoire de la terre nationale, mais en prime, ils donnent le Sahara toujours considéré dans les livres d'Histoire comme une terre à part.

Nos patriotes, ce jour là ont été assassinés, certains lâchement achevés par des soldats en tenues militaires françaises.

C'était des éléments de la Willaya IV, comme le sigle inscrit sur leurs casques le signalait.

Ce 19 mars 1962 n'a jamais été un jour de cesser le feu en Algérie. Il a été le signal de massacres plus importants dans les villes, comme Alger, Oran, et dans le bled, mais une partie de la Métropole ne veut pas en entendre parler, ne veut pas connaître la vraie histoire d'une Honte d'Etat.

Bien entendu, nos voix s'élèvent pour dénoncer le mal et la trahison, mais nos voix aussi fortes soient-elles ne peuvent atteindre le niveau de cette propagande gouvernementale indigne, de Chirac à Hollande, qui méprise notre passé et notre honneur de vrais Français, ceux qui respectent les trois couleurs et l'hymne national.

Pour cette raison, nous devons subir, mais jusqu'à quand, les affronts des socialo-gaullistes qui renient cette page d'Histoire entre 1954 et 1962.

Ils sont de gauche, ils sont gaullistes et n'ont qu'une idée, notre fin, notre disparition de cette Histoire de France tellement malmenée par une éducation nationale qui ne veut pas parler des journées glorieuses du pays mais seulement de ses erreurs, ses fautes. Pour cela, l'armée d'Afrique est occultée de ses victoires et celle d'Algérie traitée coupable de ses actes.

Cette honte française va plus loin. Nos gouvernants vont jusqu'à la repentance face à un Boutéflika toujours aussi hargneux et agressif et une population algérienne ignorante de son passé et des bourreaux FLN qui ont supprimé une partie des leurs, mais qu'il faut flatter de sa fausse victoire en 1962.

La France se perd dans son mea culpa anti Nation avec des personnes qui nient le rôle des Pieds-noirs en Algérie française, avec des éléments de certaines associations communistes qui considèrent le 19 mars 1962 comme une victoire et un cesser le feu qui ignore la suite des évènements : les morts, les disparitions, les femmes, les enfants enlevés et la torture des militaires français dans les camps de la mort du FLN.

Il y a une chape de silence qui veut oublier notre passé et pour témoignage, ce rôle trouble que va jouer Hollande ce prochain 19 mars en se présentant à une cérémonie parisienne qui pour nous est un affront de plus. Il nous provoque et démontre combien il préfère l'alliance avec le diable algérien que l'honneur d'un passé français qu'il faut absolument effacer .

Est-il le seul ? Ils sont nombreux ceux de la gauche et de la droite qui n'entendent pas nos cris, notre colère et notre rôle de gardien de l'Algérie française dans la pensée du peuple français.

J'apprends qu'un de nos patriotes à qui le maire de Cagnes sur Mer voulait rendre un hommage, a vu les conseillers municipaux de gauche refuser de s'associer à l'hommage. C'est ainsi que bientôt soixante ans après l'ignominie gaulliste, nous sommes encore soumis aux contrevérités et à la critique de la gauche. Ils n'ont rien compris et se soumettent en grand nombre à l'envahissement des migrants, aujourd'hui.

Leur humanisme pervers et leur mentalité rétrograde perdent la Nation. Il y a de la "Soumission" comme l'écrit Houellebecq; il y a un fatalisme de vaincu comme le souligne Boulalem Sansal dans 2084, mais nous, nous accusons ce 19 mars 2016 et Hollande qui va y être présent à cette manifestation, en collusion avec le diable FLN.

Participer à ce 19 mars, c'est habiller d'oripeaux la réputation de la France; c'est renier que des pionniers, pendant 132 ans, ont fait d'une terre sans drapeau un pays moderne; c'est apostasier les mensonges de Sétif, les assassinés d'Alger et d'Oran; le martyr des Harkis et des supplétifs musulmans renvoyés en Algérie pour être massacrés par le FLN ou parqués dans des camps en France, sans avenir pour leurs enfants.

Alors, ce jour là, je souhaiterai que les gaullistes et les socialo-communistes oublient ce qu'ils sont, des renégats de l'histoire, et deviennent un instant humains et respectueux de l'Histoire de France.

La Nation et son peuple, lorsque leurs yeux seront ouverts, souhaiteront autre chose. C'est le sujet de mon prochain livre : Mondiarabie. Un livre où le pays redresse la tête pour vaincre le mal venu d'Orient.

Cordialement. Robert Charles PUIG

   
 
   
 
C'EST LA VIE

En cette fatale année soixante deux on était '' dégoutés de la vie '',
quelle '' vie de chien '' se disait on, on était comme dans une '' fin de vie ''
car le risque était fort de '' passer de vie à trépas '',
et dans cette '' vie d'enfer '' on s'est douté pour qui sonnait le glas.
On nous avait mené '' la vie dure '' mais on devait s'en sortir,
il a donc fallu tenir '' au péril de sa vie '' et puis partir
pour '' reprendre vie '' et en quelque sorte '' renaître à la vie ''
et malgré tout '' donner un sens à notre vie '',
et même si on pensait que '' la vie n'était pas un long fleuve tranquille ''
on a du quitter tristement Alger notre belle ville.
Obligés de '' prendre la vie du bon côté ''
il fallait '' redonner vie '' à notre existence et se jeter dans une '' nouvelle vie '',
on se rassurait en se disant '' tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir ''
pour bien '' regarder la vie en face '' mais en quittant notre belle Histoire.
On ne devait pas trop '' se compliquer la vie '' mais plutôt '' prendre la vie du bon côté ''
même si '' les choses de la vie '' ne nous avaient pas épargnés,
il fallait alors '' changer de vie '' ou de '' mode de vie '' 
pour cela essayer d'avoir un bon '' train de vie '' ou du moins '' gagner sa vie ''.
On rêvait de voir un jour la '' vie en rose '' qui nous aurait été offerte comme un cadeau
mais sans penser à '' une vie de patachon '' ,'' de pacha '' ou '' de château '',
nous voulions enfin '' couler une vie heureuse '' en se souhaitant '' longue vie ''
et en se promettant alors que '' jamais de la vie '' on oublierait notre '' ancienne vie ''.


Robert Voirin

   
 
   
 
Mensonge d' EVIAN
  Monsieur le Président,

J’ai l’honneur de porter à votre connaissance l’horreur et la douleur que je ressens à la lecture des informations concernant votre projet de commémoration, reçues par le net.

Vous devez vous rendre au quai Branly, ce 19 mars, pour prononcer un discours, devant le Mémorial National de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie.

Il s’agirait bien d’une journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc.

C’est ce que vous affirmez n’est-ce-pas ?

En réalité, Monsieur le Président, je vous plains. Il se fera évident que vous êtes fort mal informé pour glorifier une telle date. Il s’agit de la commémoration d’un impudent mensonge d’État.

Tous les anciens combattants le savent, les avez-vous interrogés ? Le savent, aussi, tous ceux qui ont vécu cette époque et qui n’ont pas manqué d’accomplir leur devoir de transmission des faits, bien au-delà de leurs générations.

Ce 19 mars 1962 est la date de la signature des soi-disant accords d’Evian, ce sinistre mensonge d’État. Vous ne pouvez pas ignorer, en effet, que ce 19 mars 1962, ne fut en réalité que « l’accord » de poursuivre l’horreur dans laquelle nous, les Français d’Algérie, fûmes plongés, de même que les Harkis et autres musulmans pro-français, en toute conscience.

Vous ne pouvez pas ignorer que la signature du 19 mars 1962 ne fut qu’un paraphe du sang et tous les chantres pseudo-historiens dont - malheureusement pour votre connaissance - vous vous entourez, n’y changeront rien.

J’ai l’honneur de vous remettre, en pièce jointe, le courrier que j’ai adressé à vos prédécesseurs à propos d’un de ces massacres qui suivirent, le massacre du 26 mars 1962, Plateau des Glières à Alger. C’est au cours de cette tuerie, au milieu d’une humble foule de femmes, d’enfants, de vieux messieurs portant fièrement leurs décorations, que le père de mes enfants fut assassiné, sur un ordre venu du sommet de l’État.

J’ai refusé que le nom de mon époux soit inscrit sur la colonne du Quai Branly.

Par cette lecture vous comprendrez à quel point je suis heureuse, aujourd’hui, eu égard à la cérémonie que vous entendez y tenir, que le nom de mon époux ne figure pas sur cette colonne. Sa mémoire ne participera pas au déshonneur posthume, -de la souillure-, infligé à la mémoire de tous ceux dont les noms sont énumérés là.

Comment pouvez-vous prétendre représenter la France et les Français dans la commémoration d’une paix qui a provoqué deux fois plus de morts que durant tout le conflit ?

Quelle paix allez-vous évoquer devant les familles des Disparus.

Vous ne servez pas la paix en nous donnant une image de morgue. Et plus qu’un déni de mémoire, car là, il existe bien quelque chose, vous utilisez le déplacement de la mémoire, le plus horrible qui puisse exister, cette tentation d’éradiquer tout un peuple, tout un pan de l’Histoire de l’humanité à laquelle nous appartenons.

Quoique vous tentiez, nous existons.

Tous les échos douloureux, qui vous parviennent à l’évocation de cette date funeste, ainsi que ma propre douleur contribueront, je l’espère, à votre méditation sur le sujet.

Tout en comptant sur votre compréhension, je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président, les respectueuses salutations dues à votre charge.

Simone GAUTIER

   
 
   
 
http://www.francepresseinfos.com/2016/03/quand-un-president-honore-ses-ennemis.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+FrancePresseInfos+%28France+Presse+Infos+-+Le+Gaulois%29
   
 
   
 
Mohamed BELEBOU a écrit à l'ONAC
   
  Le Quai Branly, créé au départ pour honorer les Morts des guerres d'A.F.N., avec l'assentiment de 29 associations sur 31, ainsi que les victimes civiles innocentes (commémorations du 5 décembre) est devenu par le jeu des lobbys communistes, le symbole de la félonie...
François PAZ
   
 
   
 
Messe en hommage à Jean BASTIEN-THIRY
   
 
   
 



Pourquoi célébrer une défaite, un abandon le 19 mars 1962 ?

Pour culpabiliser Pieds-noirs et Harkis ?

Arrêtons de nous flageller dans la repentance, la France a construit l'Algérie, créé sa richesse, trouvé du pétrole...

La France devrait être fière de son oeuvre!

Pourquoi se complaire dans la culpabilité ?

Le 19 mars 1962 est commémoré comme une victoire en Algérie...

Une victoire sur qui ???

Gérard BENIGNI

   
 
   
 
   
 
Réaction du Cercle Algérianiste, 8 mars 2016
   
 
RAPPEL: http://www.youtube.com/watch?v=9elpydnrD9w
   
 
   
 
http://pourunefranceforteetcatholique.hautetfort.com/archive/2016/03/07/calais-le-drian-ordonne-la-mise-a-la-retraite-du-general-piq-5770791.html
   
 
   
 
http://www.europe1.fr/politique/francois-hollande-va-participer-aux-commemorations-des-accords-devian-2685814
   
 
Il paraît que le Président de la République compte donner beaucoup d'éclat aux cérémonies de cette journée nationale... Où va-t-on !!!

Le Sénat a adopté jeudi la proposition de loi socialiste, très controversée, qui consacre le 19 mars 1962 - jour du cessez-le-feu en Algérie - comme journée nationale du souvenir «des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie». Le texte a été approuvé par 181 voix contre 155. La gauche a voté pour, le centre et la droite contre. La proposition de loi est définitivement adoptée par le Parlement.
Auparavant existait une journée d'hommage consacrée aux seuls «morts pour la France» pendant la guerre d'Algérie, instituée en 2003. À l'époque, afin de réconcilier des mémoires fragmentées, Jacques Chirac avait choisi une date neutre, le 5 décembre, jour où il avait inauguré le Mémorial consacré aux 24.000 militaires français tués pendant le conflit, quai Branly, à Paris.
Le rapporteur de la proposition de loi, Alain Néri (PS, Puy-de-Dôme), a défendu le 19 mars par la nécessité de «rendre hommage aux deux millions d'appelés du contingent mobilisés pendant le conflit». Ses collègues de la majorité sénatoriale ont estimé que cette date permettait de rendre hommage à toutes les victimes.
Un «risque grave de division entre Français»
Les sénateurs UMP, pour leur part, se sont opposés à cette date. Ils ont considéré que choisir le 19 mars revenait à occulter que plusieurs milliers d'Européens et quelque 80.000 harkis ont été tués après le cessez-le-feu. Et ils ont accusé la gauche d'utiliser l'histoire à des fins partisanes alors que François Hollande doit se rendre en Algérie en décembre.
Rapatriés et harkis ont exprimé leur hostilité à ce texte. Les anciens combattants, pour leur part, sont divisés. L'Union nationale des combattants (UNC), qui se veut apolitique, et trente autres associations - elles compteraient 1 200 000 adhérents au total - voient dans le choix du 19 mars un «risque grave de division profonde entre Français». En revanche, la Fédération nationale des anciens combattants d'Algérie (Fnaca), plutôt à gauche et qui revendique 350.000 membres, marque son «attachement indéfectible» au 19 mars.
La proposition de loi que vient d'entériner le Sénat avait été approuvée par l'Assemblée nationale début 2002, lorsque Lionel Jospin était premier ministre. L'UMP a estimé que le choix de la gauche sénatoriale de reprendre un texte vieux de plus de dix ans l'exposait à une censure du Conseil constitutionnel.
   
 
Pourquoi la présence de Hollande Quai Branly le 19 mars prochain est-elle si scandaleuse ?
Officialisation de cette date le 6 septembre 2012, c'était déjà une insulte à la mémoire de tant des nôtres assassinés après les accords d'Evian.
Mais que le chef de l'Etat y participe, c'est un signe très fort. Car sont exclus de facto de la communauté nationale, que le président de la République est pourtant censé représenter dans sa totalité, les Pieds-Noirs et Harkis dont il méprise... non pire, dont il nie... les dizaines de milliers de morts et de disparus de l'après 19 mars.
Certes, nous avons l'habitude. Mais là l'injure est maximum.
Exigeons que les noms de tous nos morts défilant sur les colonnes du Quai Branly soient immédiatement retirés, au moins pour cette journée. Qu'ils ne soient pas assassinés une seconde fois en étant associés à cette abjecte "commémoration".
Et pour une fois, ne cherchons pas d'excuses pour ne pas assister aux cérémonies du 26 mars. Montrons que ce 19 mars est un leurre puisque, 1 semaine après, des dizaines des nôtres étaient tués et des centaines d'autres blessés lors de la fusillade de la rue d'Isly. L'armée française qui tire sur des civils français désarmés dans une ville encore française. Ce seul événement devrait suffire à faire reculer n'importe quel politique quant à une célébration du 19 mars. Mais pas le premier d'entre eux. Et comme on dirait chez nous, le rouge de la honte il lui monte même pas à la figure !

LVD

   
 
   
 
Ouverture du Bureau de Camerone 2016

Bonjour, nous avons le plaisir de vous informer que l'inscription à la cérémonie de commemoration de Camerone 2016 à la Maison mère à Aubagne, sera ouvert au personnel du quartier Viénot et leurs familles à compter du 08 février 2016.

Formulaire d'inscription quartier Viénot: http://camerone.legion-etrangere.com/fr/reservation/reservation_1.php

Le formulaire d'inscription réservé aux amicales et au grand public seront disponible à compter du 22 février 2015.

Formulaire réservé aux amicales: http://camerone.legion-etrangere.com/fr/reservation/reservation_2.php

Formulaire réservé au grand public: http://camerone.legion-etrangere.com/fr/reservation/reservation_3.php

Vous aimez la Légion étrangère: n'hésitez pas à diffuser ses informations par mail et sur les réseaux sociaux !

Cordialement,

Le bureau Camerone

   
 
   
 
 
Alain SANDERS et l'Innommable...
   
 
   
 
MEMOIRE D' ALGERIE EN VIDEO

Attention : Document unique à conserver

"BIBLIOTHEQUE "SUR L'ALGERIE : remarquable !!!

Cliquer sur le lien ci dessous.

http://jeanyvesthorrignac.fr/crbst_41.html#anchor-Alfrancaise

   
 
   
 
 
http://www.radiocourtoisie.fr/31414/libre-journal-de-lumiere-de-lesperance-du-28-fevrier-2016-ou-en-est-la-relation-etat-rapatries/
 
Bernard COLL sur Radio COURTOISIE dimanche 28 février 2016.
   
 
   
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/03/ou-se-refugieront-des-millions-d-algeriens.html
   
 
   
 
   
 
 
Le cycle de l'Adieu - Chapitre IX
   
 
   
 
   
 
DATES A RETENIR ET A DIFFUSER

Manifestations organisées par le Cercle Jean Bastien-Thiry pour le 53emc anniversaire de sa mort:

Vendredi 11 mars à 18 heures: messe en l’église Sainte Odile, 2 av. Stéphane Mallarmé, 75017 Paris .

Dimanche 13 mars à 15 heures: cérémonie au cimetière de Bourg-la-Reine (92) sur la tombe de Jean Bastien-Thiry

Autres messes pour Jean Bastien-Thiry:

- A Fondettes: messe le vendredi 11 mars à 9 heures. A Fréjus : messe le vendredi 11 mars à 8h45 en la cathédrale de Fréjus

- A Hames-Boucres (62): messe le dimanche 13 mars à 8h45 à la chapelle Sainte Victoire

- A Marseille: messe le vendredi 11 mars à 17 heures en la basilique du Sacré-Cœur (av. du Prado 13008)

- A Meylan (38): messe le mardi 8 mars à 11 heures au Prieuré St Pierre Julien Eymard, 22 chemin du Bachais

- A Montluçon: messe le dimanche 6 mars à 10h30 à la chapelle Notre Dame de Fatima, 10 passage Bretonnie. A Nancy : messe le vendredi 11 mars à 18h30 à la chapelle du Sacré Cœur, 65 me maréchal Oudinot

- A Nice: messe le vendredi 11 mars à 18h30 à la chapelle de la Visitation, 17 place Sainte Claire

- A Paris: messe le mercredi 9 mars à 18 heures en l’église Notre Dame de Grâce de Passy

- A Toulon: messe le vendredi 11 mars à 18 heures en la cathédrale de Toulon

- A Toulouse : messe le vendredi 11 mars à 18hl5 en l’église du Feretra.

Autres messes commémoratives:

- A Paris: messe le jeudi 7 avril à 18h30 en l’église St Nicolas du Chardonnet (75005) pour les victimes du 26 mars et tous les martyrs de l’Algérie Française.

- A Antibes: mercredi 30 mars: messe à 18h en l’église du Sacré-Cœur pour tous les martyrs de l’Algérie Française

- A Montauban: vendredi 18 mars à l0h: messe en l’église Saint Jacques pour tous les martyrs de l’Algérie Française.

   
 
   
  Merci pour toutes les actions qui seront entreprises pour faire connaitre cette nouvelle. Je n'ai pas ménagé mes forces pour faire revenir notre Vierge dans sa communauté religieuse. Je ne pensais pas réussir à la faire entrer dans un refuge aussi magnifique . La Cathédrale de Toulon, classée au monument historique. Elle a accompagné ma famille des années et lorsque elle m'a été remise, j'étais convaincu qu'elle n'appartenait pas a une personne, ni a une famille, mais a l'église. Mon message sur ma lettre du don: Par sa présence, elle continue de rassembler les Chrétiens du monde et qu'elle prolonge ses messages d'Amour, de Paix et de souvenirs à tous ceux qui l'ont rencontrée et côtoyée dans ce pays d' Algérie. Je me trouve aujourd'hui apaisé, je sais qu'elle est en sécurité, et àla Chapelle du Saint Sacrement, elle va passer son premier Noël, depuis son rapatriement en cette année 2015, auprès du Christ . Qu'elle apporte à tous ses visiteurs sa bénédiction .
Claude ACHARD

   
 
 
Homélie de Monseigneur MOLINAS.
   
 
   
 
http://l.auberge.espagnole.free.fr/doc0080.htm
 
http://www.acbiviers-unc-dauphine.com/2015/11/dalida-ben-brahim.html
   
 
Dalida BEN-BRAHIM

Quant le drapeau est en berne, malheureusement les gens chantent la Marseille, quant il flotte dans les airs ils ne le voient pas. Je m'adresse a tous ceux qui se nettoient l'arrière train avec le drapeau tricolore, celui de nos parents, de nos grands-parents et de nos amis. A ces religieux de tous bords, ces skisophréne qui ont mis notre pays en danger, ce qui disent "on aime tous le monde, mais surtout pas la France" cela ne prennent pas de risques, mais ils sont contents que ce noble pays soit leur résidence secondaire.

La Nation Française n'est pas une prostituée, on ne tendra pas l'autre joue, que l'on m'explique comment des migrants qui traversent la mer sur des bateaux pneumatiques ou des barques, ne sont ils pas capable de se rebeller contre leur régime. Il y a quelques années, la Marseillaise a été sifflé, cela continu depuis, personne n'a rien dit. Si nous, Patriotes Français, on faisait pareil contre leur hymne nationale, on serait rapidement sanctionnés. Il en va de même pour ce qui concerne le fait de brûler notre drapeau, le drapeau de celles et ceux qui sont morts pour la Patrie. On ne se soumettra pas, nos ancêtres se sont battus, notre devoir est de soutenir nos soldats, la défense nationale, premier ministère de France. "Les politiques font leur religions, les religieux font leur politique" nous ne sommes plus des enfants et nous ne laisserons surtout pas les religieux dicter notre conduite.

A ceux qui ont fait l'école des Fanatiques, nous leur diront non! Dieu est bon, il est miséricordieux, il n'a pas demandé à ces gens de devenir véreux.

Et la Vierge Marie n'est pas souillée par des gens qui ne risqueraient pas de la vénérer, c'est à se demander si ils ont aimé leur mère.

Notre combat est de défendre la France! Rassemblons nous, la devise du commando George était "chassez la misère", la misère c'est eux. Ma devise est "il ne suffit pas de dire, il suffit d'agir!"

VIVE LA FRANCE QUE J'AIME ET QUI JE PENSE NOUS AIMONS TOUS!

Dalida BEN-BRAHIM

   
 
 
Chapitre VIII Véritable exil
   
 
   
 
http://www.liberte-algerie.com/actualite/corde-autour-du-cou-bras-incises-les-chomeurs-menacent-de-se-suicider-242788
   
 
   
 
http://l.auberge.espagnole.free.fr/doc0080.htm
 
http://www.acbiviers-unc-dauphine.com/2015/11/dalida-ben-brahim.html
   
 
   
 

C'était en 1900....

   
 
   
 
Yannick bonjour.

Votre débat avec Nadine Morano m’a interpellé quand vous avez comparé les réfugiés avec nous Pieds Noirs et Harkis..

Savez vous que nous sommes exilés et non pas réfugiés – Savez vous que nous étions Français comme vous ???

Savez vous que c’est 2Gol qui nous a obligés à l’exil avec la complicité du FLN

Savez vous que les FRANÇAIS D’Algérie ont participé à une grande échelle au sursaut économique de la France .

Savez vous que nombre d’agriculteurs ont acheté des fermes au dessus de leur prix avec un emprunt et sans aide du gouvernement .

Savez vous que les indemnisations touchés par les Pieds Noirs se résument à des clopinettes ..

Quand est ce que les Historiens – les hommes politiques vont-ils rétablir la VÉRITÉ concernant l’histoire de France ..

Notre Histoire Monsieur et aussi VOTRE HISTOIRE !!!

Je vous joins une diaporama avec une chanson dont le titre OU ÉTIEZ VOUS EN 62 ??? décrit fort bien l’accueil plus que glacial de la France envers ses propres compatriotes d’Algérie..

Ça Monsieur nous l’oublierons JAMAIS …

En espérant que ce mail vous rendra moins ignare qu’auparavant .

Belle écoute.
https://www.youtube.com/watch?v=ZdQBTMC3OJo&feature=youtu.be
La dernière chanson de Jean-Paul GAVINO

   
 
   
 
   
 
   
 
NOS DISPARUS.
   
 
   
 
21 février 2016
   
 
SOLDATS OUBLIÉS
   
  Il y a 100 ans, le 21/02/1916, Verdun découvrait l’enfer. Un carnage qui dura 300 jours. Dans un Devoir de Mémoire, ayons une pensée pour les centaines de milliers de soldats français qui en furent victimes! Sans leur sacrifice, sans doute, aujourd’hui, serions-nous en train de parler d’autre chose !!!
Pour avoir une idée de ce qu’ils endurèrent, ne manquez pas l’extraordinaire documentaire (Apocalypse Verdun) programmé ce soir par A2 (21:00) ...


Pour mémoire :
Au cours de la Première Guerre mondiale, l’Armée d’Afrique envoie plus de 300 000 soldats combattre en Europe (190 000 Maghrébins et 150 000 Européens) juifs et chrétiens et les unités d’Afrique du Nord participent à toutes les grandes opérations.

Jean-Pierre PENALBA

   
 
   
 
   
 
COLLECTIF NATIONAL NON AU 19 MARS 1962.
   
 
   
 
http://ripostelaique.com/lislamisation-en-question.html
   
 
   
 
   
 
   
 
Chers amis,

Rentré de Paris où je suis intervenu au meeting de Rungis le 7 février, le lendemain de l'arrestation du général PIQUEMAL, j'ai préparé et envoyé hier un communiqué que je vous adresse en pièce jointe.

Je vous communique par ailleurs le lien url qui vous permettra de suivre mon discours prononcé à cette occasion. Vous pouvez retransmettre l'ensemble de ces informations à vos propres contacts.

https://www.youtube.com/watch?v=A1o2c5eJbfc

Bien cordialement.
Antoine MARTINEZ

   
 
   
 
 
Chapitre VII - Premier véritable exil.
   
 
   
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2016/02/sarkozy-vous-etes-devenu-quoi.html
 
 
   
 
 
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/02/07/martinez-5756768.html
   
 
   
 
Désinfo.
 
Oeuvre française en Algérie et Medias...
 
https://youtu.be/oJJo8Dl4lsE
   
 
   
 
N'étant en aucun cas soumis au sacro-saint devoir de réserve sur lequel, du reste, il y aurait fort à dire je transfère ce lien significatif.
Cet évènement me ramenant quelques années en arrière lorsque l'on enchainait voire assassinait des patriotes défendant les couleurs de la France. Hergé
https://youtu.be/myPhsRbBWSI
   
 
   
 
Le Général PIQUEMAL à Calais...
   
 
   
 
CE N' EST UN SECRET POUR PERSONNE: LA COMPLICITE DES COMMUNISTES AVEC LE F.L.N.
 

Année 1956

   
 
   
 
 
Etude n° 6 Les conséquences actuelles de la première faute d'Achard.
   
 
   
 
Retour en arrière sur le 40 ° Congrès national du Cercle Algérianiste à Carcassonne.
 
 
Compte- rendu de Gérard ROSENZWEIG.
 
https://youtu.be/oX7jOBnxxzs
   
 
   
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/12/france-republique-laique.html
   
 
   
 
   
 

Raphaël DELPARD parle de son livre "Les Oubliés de la guerre d'Algérie"

Chaire algérianiste de Nice C.U.M. 28 novembre 2008

 
https://youtu.be/19cxOTydQyA Les oubliés de la guerre d'Algérie
 
https://youtu.be/rDcWLSOStOw Les corps des soldats
 
https://youtu.be/oJJo8Dl4lsE Oeuvre française en Algérie et Medias...
   
 
   
 

Retour en arrière:
Étrange, j'ai eu beau regarder les JT des uns et des autres
C’est incroyable que ce genre d’info soit passé sous silence !!!
Petit rappel de l’omerta pratiquée par nos médias !
Cela s’est passé le 13 novembre à Paris. Vous l’avez vu quelque part dans les médias ? Pourquoi les médias, si prompts à critiquer, n’en ont-ils pas parlé ? Avaient-ils des ordres ? Regardez ce reportage tourné par un média étranger. Cela demande une réponse. Mais il n’y en aura pas, nous sommes déjà censurés.

C’est étrange, TFI et les autres, n’en parlent pas. Les journaux ne disent mots. Cela s’appelle de la rétention d’informations, mais cela commence à bouger !
Vous pouvez faire tourner le lien ci-après en boucle.

http://www.liveleak.com/view?i=f17_1352976528

   
 
   
 
http://www.liberte-algerie.com/actualite/des-commissions-pour-regler-les-sujets-qui-fachent-241084
 
Allons-nous avoir des nouvelles de nos Soldats Disparus??
   
 
   
 
Bonjour à toutes et à tous.

J’ai le regret de vous faire part du décès le 26.01.2016 à l’hôpital d’ORANGE, du capitaine (ER), ancien de la Légion Etrangère, Guy BRANCA, dans sa 90° année . Il était grand officier de la légion d’Honneur depuis 2012 et titulaire de la croix de guerre des T.O.E. et de la croix de la valeur militaire avec douze citations. Il était domicilié avec son épouse, chemin du Péage, vers la chapelle de Gabet à ORANGE.
Ses obsèques religieuses seront célébrées le lundi 1er février 2016, à 10 heures 30, à la cathédrale Notre Dame de Nazareth à ORANGE. L’inhumation est prévue à BOCCOGNANO (Corse du Sud).
Le comité d’Orange et Haut Vaucluse sera représenté par son président (avec drap mortuaire et drapeau du comité). Les sociétaires souhaitant y participer voudront bien être porteur de leurs décorations.
Les condoléances peuvent être transmises à constantin.lianos@monsieur-legionnaire.org, qui transmettra à Mme BRANCA.

Avec mes sentiments les meilleurs.

Lieutenant colonel (ER) Etienne PROST-A-PETIT,
Président du comité d’Orange et Haut Vaucluse de la SMLH
Tél 06.58.08.42.14 – 04.90.11.06.43
   
 
   
 
http://www.liberte-algerie.com/dilem/dilem-du-27-janvier-2016#.Vqi3UMPDhoc.mailto
   
 
   
 

https://www.youtube.com/watch?v=ON30bzJIHx4

Constatez la démocratie au Sénat...

   
 
   
  A propos du camarade URVOAS", une lettre ouverte de 2011 restée sans réponse...

Lettre ouverte en date du 11 juillet 2011 à M. Jean-Jacques Urvoas, député du Finistère,
à propos des noms donnés à certaines rues ou places.

Monsieur le député,
Dans votre question n° 98827, vous mentionnez le déroulement d’une cérémonie donnant le nom du colonel Château-Jobert à une place, à l’école des troupes aéroportées. Vous indiquez qu’en tant qu’ancien chef de l’OAS, cette cérémonie « porte (je cite) gravement atteinte à la mémoire de l’ensemble des victimes, françaises et algériennes, civiles et militaires, de cette organisation criminelle ».
Monsieur le ministre de la défense et des anciens combattants a parfaitement répondu à votre question concernant le colonel Pierre Château-Jobert, militaire à la carrière exceptionnelle, par ailleurs amnistié en 1968 (réponse en date du 28 juin 2011).
En revanche, je n’ai pas lu dans le Journal officiel des débats parlementaires que vous ayez interpellé de la même manière le ministre de la défense et des anciens combattants lorsque le nom de Nadia Guendouz a été donné à une rue de la commune de Saint-Ouen. Pourtant, en tant qu’infirmière, poète, mais aussi et surtout membre du FLN, cela « porte gravement atteinte à la mémoire de l’ensemble des victimes, françaises et algériennes, civiles et militaires, de cette organisation criminelle ».
Je n’ai pas lu dans le Journal officiel des débats parlementaires que vous ayez interpellé de la même manière le ministre de la défense et des anciens combattants lorsque le nom de rues ou places du « 19 mars 1962, date du cessez-le-feu en Algérie » est donné ici ou là. Pourtant le fait que le cessez-le feu du 19 mars n’ait pas été respecté par le FLN et qu’il y ait eu lieu en Algérie de très nombreux enlèvements et morts (plus même que pendant les huit années de confit) « porte gravement atteinte à la mémoire de l’ensemble des victimes, françaises et algériennes, civiles et militaires, de cette organisation criminelle ». Le FLN, qui commémore chaque année le 19 mars 1962 en Algérie, a même fait de cette date sa fête de la victoire.
Je n’ai pas lu non plus dans le Journal officiel des débats parlementaires que vous ayez interpellé de la même manière le ministre de la défense et des anciens combattants lorsque le nom de rues ou places « Ho Chi Minh » est donné ici ou là. Pourtant, cela « porte gravement atteinte à la mémoire de l’ensemble des victimes, françaises et indochinoises, civiles et militaires, de l’organisation criminelle » que dirigeait M. Ho Chi Minh.
Et je pourrai encore allonger cette liste du nom de quelques dictateurs sanguinaires dont le nom figure en bonne place dans certaines de nos communes…
Je vous prie d’agréer, Monsieur le député, l’expression de mes salutations.
Roger Soncarrieu,
Auteur de « Ma vérité sur la guerre d’Algérie » et de « Guerre d’Algérie : j’en ai assez » (Editions Dualpha)

   
 
 
Monsieur le Ministre, faites attention, que Monsieur Zitouni ne vous fasse pas une "olive"!
   
 
   
 
   
 
Le droit de dire, de penser et d’écrire
C’est ma liberté d’expression ! Est-elle celle qui permet de... s’exprimer librement ? De donner libre cours à un point de vue ou de décrire des moments de vie ou de deuil sans que cela soit mis à l’index par les nouveaux « bien-pensants » du socialisme, après ceux du gaullisme ?
La liberté d’expression ? Il me semble qu’elle ne soit pas toujours la règle exacte, avec des limites imposées.
Dans les années 1958 / 62 avec l’étouffement du patriotisme pied-noir... Dans les années qui suivirent, le voile noir de la honte sur les massacres des Harkis au moment de l’indépendance en l’Algérie et le refus des autorités gaullistes de les recevoir en terre de France, puis le silence sur certains d’entre-eux, arrivés sur le sol français et qui, malgré les décisions d’Etat à les renvoyer en Algérie, demeurèrent longtemps enfermés dans des ghettos en Métropole.
La liberté d’expression ? 1990, la loi Gayssot qui réprime la négation des crimes contre l’humanité ; 2001, la loi Taubira sur l’esclavage ; 2005, la loi sur la reconnaissance des rapatriés, sauf l’article 4 affirmant le rôle positif de la présence française d’Outre-mer, que Jacques Chirac fit supprimer par le Conseil constitutionnel. Il y a comme un voile de pudeur qui réglemente la vérité historique au profit d’une propagande d’Etat arrangée, détournée du réel. Il faut paraître à la fois faux humaniste et savoir mentir aux populations.
Permettez-moi de revenir sur un temps passé... le massacre du 26 mars 1962 à Alger. Il y a eu un livre blanc dénonçant les tueries de ce jour là. (Le livre interdit / Edition Atlantis / Collection France-Algérie).


Ce livre fut interdit par le suppôt gaulliste du Rocher noir, le sieur Fouchet, comme furent interdites les révélations sur le massacre d’Oran du 5 juillet...  ! Le droit de dire, de penser, d’écrire ? C’est ma liberté, mais pas celle de ceux qui nous gouvernent. Ils exigent de gérer autoritairement et le droit à la Liberté d’expression et le droit à connaître les vérités ? Un voile impudique pour étouffer l’Histoire derrière des mensonges.

Le droit de dire, de penser et d’écrire ! La liberté d’expression, sous la coupe des politiciens, a une voilure rétractable. De nos jours, en régime PS, différents acteurs de la vie politique, du monde des écrivains ou de la presse sont victimes de leurs propos et condamnés par les « Torquemada » au service de la gauche.
Pourquoi ? Parce qu’ils refusent de colporter les mensonges du pouvoir, ou d’imposer au peuple le « prêt-à-penser » socialiste. Ils parlent vrai, écrivent juste et sont mis en péril, presque « hors la loi ». Je m’avance beaucoup sur ce sujet sensible, mais pourquoi pas passibles de la prochaine loi, si elle est votée, sur la déchéance de la nationalité que le pouvoir veut appliquer aux binationaux et aux autres français de souche ou de cœur ? Notons qu’en élargissant le cercle de cette loi, Hollande est sûr de son abandon. Encore une promesse sans réalisation mais là, le président sauve son parti de l’éclatement et se sauve aussi d’un tremblement politique à gauche. Déjà Valls joue à l’esquive sur ce sujet !
En attendant, lorsqu’il y a liberté d’expression, il ne s’agit que de flèches empoisonnées contre l’opposition PS. Nicolas Sarkozy ou Marine Le Pen en sont les cibles ! Les procès pleuvent et les non-lieux aussi... La presse écrite ? « Valeurs actuelles » pour des articles qui gênent l’illogisme du pouvoir... Des écrivains, des romanciers ? Ils ont le tort d’être réalistes, d’affirmer des valeurs, une identité différente de celle du PS. Alors ils sont visés par les flammes d’un « Fahrenheit 451 ». Des noms ? Eric Zemmour, Alain Finkielkraut, Michel Houellebecq, Michel Onfray, pourtant dit de gauche, Richard Millet, Renaud Camus, Philippe de Villiers.

Il y en a bien d’autres que les délateurs du temple de la « pensée unique » feraient bien monter sur l’échafaud ou immoler au nom de l’ancien temps du Front populaire, car la liberté d’expression, hier comme aujourd’hui est une sorte de serpent des mers qui ne sert que les pouvoirs en place, et dont sait pleinement profiter la gauche aujourd’hui au pouvoir.

Nous aurons encore le temps d’entendre des promesses, d’avaler des couleuvres, d’écouter Valls jouer du pipeau, mais ne nous faisons pas d’illusion, jamais la liberté de dire, de penser ou d’écrire, c’est à dire la liberté d’expression ne seront libérées du poids d’une idéologie relativiste, sous le règne des socialistes.
Comme dernier exemple, l’Histoire de France déformée et présentée d’une façon tronquée de sa réalité par la ministre de l’éducation nationale. Elle détourne semble-t-il dans ses directives, les valeurs et la gloire des actions passées de la Nation, pour n’en montrer que les aspects les plus négatifs... Pour que des jeunes ne se sentent plus patriotes ? Pour « faire » le jihad et renier le pays où ils sont nés ? C’est à réfléchir, mais n’est-ce pas la suite de l’esprit soixante-huitard socialo-débridé qui déjà apostasiait notre histoire pour le chaos mondialiste ?

Robert Charles PUIG / janvier 2016

   
 
   
 
Réponse à des Faussaires de l'Histoire...
 
 
Ce référendum était anti-constitutionnel ... De Gaulle était un dictateur...
   
 
   
 
Bonjour à toutes et à tous.

J’ai le regret de vous faire part du décès le 26.01.2016 à l’hôpital d’ORANGE, du capitaine (ER), ancien de la Légion Etrangère, Guy BRANCA, dans sa 90° année . Il était grand officier de la légion d’Honneur depuis 2012 et titulaire de la croix de guerre des T.O.E. et de la croix de la valeur militaire avec douze citations. Il était domicilié avec son épouse, chemin du Péage, vers la chapelle de Gabet à ORANGE.
Ses obsèques religieuses seront célébrées le lundi 1er février 2016, à 10 heures 30, à la cathédrale Notre Dame de Nazareth à ORANGE. L’inhumation est prévue à BOCCOGNANO (Corse du Sud).
Le comité d’Orange et Haut Vaucluse sera représenté par son président (avec drap mortuaire et drapeau du comité). Les sociétaires souhaitant y participer voudront bien être porteur de leurs décorations.
Les condoléances peuvent être transmises à constantin.lianos@monsieur-legionnaire.org, qui transmettra à Mme BRANCA.

Avec mes sentiments les meilleurs.

Lieutenant colonel (ER) Etienne PROST-A-PETIT,
Président du comité d’Orange et Haut Vaucluse de la SMLH
Tél 06.58.08.42.14 – 04.90.11.06.43

   
 
   
 
http://www.dailymotion.com/video/x3p28p7
 
 

Quel dommage que ce ne soit pas l'extrême-droite qui ait commis ces agressions!!
Les Féministes, sont atterrées!!

   
 
   
 
Entrisme...
   
 
   
 
Point d'Honneur.
   
 
   
 
Légion d'Honneur.
   
 
   
 
A Calais, c'est la guerre des sédentaires contre les nomades...
 
https://www.youtube.com/watch?v=iQJL-Affls8
   
 
   
 
Et PAN, pour les gaullistes! Re-PAN, pour les PN-gaullistes...
http://www.valeursactuelles.com/tous-gaullistes-sauf-moi-56411
   
 
   
 

Je vous recommande ces 2 liens: vous pourrez ainsi vous débarrasser du bourrage de crâne coco-bobos-gaullos-charlots-socialauds....


https://www.youtube.com/watch?v=Ce3Ve_Fxxb4&feature=player_embedded#t=3

https://www.youtube.com/watch?v=V0dUtMNiZRs&feature=player_embedded#t=0

   
 
   
 
Ne cherchez plus, pourquoi les MERDIAS ne diront jamais la vérité...
http://www.observatoiredesgaspillages.com/2014/05/montants-des-aides-a-la-presse-2013/

   
 
   
 
« L’OTAN est devenue une menace pour la sécurité des Européens, car elle les empêche de trouver leur autonomie stratégique. Ils s’en remettent, à tort, aux Américains pour les défendre. »

. « Depuis trop longtemps, les hommes politiques ont oublié l’intérêt général de la France vite sacrifié sur l’autel des intérêts politiciens; c’est la première raison de la désorganisation de l’armée française. »


. « La France ne s’en sortira que si elle recrée l’Etat régalien qui a été bradé au profit de l’Etat providence. Les armées, la police, la justice, la diplomatie sont aujourd’hui dans un état lamentable. »


Général Vincent Desportes, expert en stratégie (in Le Figaro, 15 janvier 2016)

   
 
   
 
http://veteranparatroopers.wix.com/veteran-paratroopers
   
 
   
 
http://zebrastationpolaire.over-blog.com/2016/01/the-shape-of-the-things-to-come-les-attentats-djihadistes-a-valence-et-barbes-sont-ceux-du-fln-il-y-a-50-ans.html
   
 
   
 
Scandale à la Région PACA ?
   
 
   
 
   
  21 janvier 2016
 
La Pensée du Jour : Page noire de la France...

"Je meurs innocent de tous les crimes qu'on m'impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France."

Dernières paroles prononcées par le Roi Louis XVI à l’instant de son exécution.

   
 
   
 
https://elergechergui.wordpress.com/2014/01/22/a-86-ans-yacef-saadi-flingue-zohra-drif-ecorche-bouteflika-et-decoche-des-fleches-contre-les-dafistes/
   
 
   
 
Ils ne vont pas lui donner les clefs de la caisse, sinon elle va commencer par faire les comptes et découvrir tous les cadavres dans les placards avec les Baumettes en ligne de mire
pour les sortants et Estrosi ne veut pas ennuyer ses obligés du P.S!!!
La droite et la gauche mangent dans la même gamelle. C'est une mafia politicienne ! Tant que les gens baisseront leur caleçon et continueront de voter pour eux...

https://www.youtube.com/watch?v=AuD7h8bB-WQ
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
 
 
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=bm75big8v-8
   
 
   
 
https://www.youtube.com/watch?v=c-Os5LeP8vA
 
   
 
   
  Membre de la Fédération Nationale André Maginot – Groupement 250

Le Président

Paris, le 11 Janvier 2016

N° 16- 01008 / UNP

Monsieur le Président de la République

Au cours du mois de Janvier 2016 vous avez voulu témoigner la reconnaissance de la Nation aux victimes des attentats lâchement perpétrés à Paris il y a un an.

Le dimanche 10 Janvier, quelques semaines seulement après la terreur semée au Bataclan et au cœur de la capitale, vous avez dévoilé une plaque « A la mémoire des victimes des attentats terroristes de janvier et novembre 2015, à Paris, Montrouge et Saint-Denis » portant la mention « Ici même, le peuple de France leur rend hommage. »

Parce qu’à un moment de leur existence, ils ont choisi de mettre leur vie au service de la France, les parachutistes réunis au sein de l’Union Nationale des Parachutistes sont particulièrement sensibles aux exigences du combat que mène notre pays contre le terrorisme.

Ils mesurent pleinement l’importance de la cohésion nationale, du soutien populaire et de la reconnaissance dans cette guerre.

C’est dans cet esprit, qu’ils se sont associés par leur présence et avec leurs drapeaux à toutes les manifestations d’hommage qui ont été organisées partout en France.

Dans cette longue guerre contre le terrorisme, 568 soldats de nos trois armées ont perdu la vie au cours des dernières décennies :

- 10 au Mali
- 12 en Irak
- 27 en Côte d’Ivoire
- 89 en Afghanistan
- 116 en Ex-Yougoslavie
- 156 au Tchad
- 158 au Liban

Depuis plusieurs années un projet de monument commémoratif rappelant le souvenir de ses combattants des opérations extérieures n’avance pas.

Pire, il semble aujourd’hui totalement oublié !

Ce qui a été décidé et réalisé pour honorer la mémoire des victimes du terrorisme ne peut-il donc pas être mis en œuvre pour 568 soldats qui, eux n’ont pas perdu la vie par malchance, mais l’ont délibérément mise au service de leur pays en allant combattre le terrorisme sur tous les territoires où la République les a envoyés au combat.

Eux aussi, sont tombés pour notre liberté, notre sécurité, notre liberté d’expression !

En leur nom et pour leurs familles, l’Union Nationale des Parachutistes a l’honneur de vous demander qu’au cours de 2016 vous présidiez l’hommage solennel auquel ils ont droit et qui a déjà beaucoup trop tardé et inauguriez, enfin !, ce lieu de mémoire qui permettra de rappeler à la France le sacrifice de ces héros anonymes.

Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de notre très haute considération.

Thierry CAMBOURNAC

Général d’armée (2s)
Président de l’union Nationale des Parachutistes


   
 
   
  Message du Président national

Chers camarades,

Au cours du mois de Janvier le Président de la République a multiplié les hommages aux victimes des attentats terroristes de l'année dernière, allant jusqu'à inaugurer quelques semaines après un lieu de mémoire pour honorer les victimes des tueries de Novembre.

S'il n'est nullement dans l'intention de l'UNP de contester en quoi que ce soit le bien fondé de ces cérémonies et hommages, force est de constater qu'une fois encore la République fait deux poids deux mesures puisque plus de 500 soldats morts en opération au cours des dernières décennies attendent toujours que soit érigé à Paris le monument qui doit perpétuer leur sacrifice.

Ce que l'on a su faire pour 115 victimes du terrorisme ne peut-il être fait pour 568 militaires des trois armées qui ont accepté de faire le sacrifice de leur vie pour notre sécurité, notre liberté d'opinion et notre liberté tout court ??!!

C'est pour rappeler cette exigence de reconnaissance que j'ai adressé au Président de la République la lettre ci jointe.

En toute fraternité parachutiste,

Thierry CAMBOURNAC
Général d'armée (2s)

   
 
   
 


DERNIER CAMERONE LE 30 AVRIL 1962 à SIDI-BEL-ABBES

https://www.youtube.com/watch?v=xoCExKxsbmo

   
 
   
 

LETTRE OUVERTE

Suite aux déclarations du docteur Patrick Pelloux, urgentiste et chef du SAMU parisien.



Pour ceux qui désirent réagir (éventuellement en envoyant aussi des photos éloquentes de nos victimes françaises
par le FLN, pendant la guerre d'Algérie) :

Merci d'adresser au jeune médecin du SAMU M. Patrick Pelloux, vos remarques, critiques, et autres "renseignements complémentaires" sur l'histoire de la guerre d'Algérie (Algérie qui fut française jusqu'en 1962) et celle du terrorisme
FLN qui fit de très nombreuses victimes civiles françaises (morts et blessés) de toutes ethnies,.. ceci bien avant les attentats á Paris, celui de Charlie Hebdo, celui du Bataclan, etc.

Coordonnées en bas de page.


Le sympathique Patrick Pelloux est un jeune médecin urgentiste qui, comme il le dit lui-même, n'a jamais connu la guerre - et c'est tant mieux pour lui.
Mais de là à affirmer publiquement que "jamais en France on n'avait pris en charge une dame avec des balles de kalashnikov dans le corps ! Jamais on n'a vu des mômes avec les jambes déchiquetées" est excessif, et subjectif. Il
se peut que l'équipe du Dr Pelloux n'ait vécu cette horreur que pour la 1ére fois lors des récents attentats sur le sol français, c-à.d en fait hexagonal. Mais ce n'est pas la première fois que de tels attentats ont lieu en France, il y a eu
des précédents avec la rue des Rosiers, le métro St-Michel, et j'en passe...! Le docteur Pelloux était sans doute trop jeune pour avoir vécu ces horreurs. Et il n'était peut-être même pas né pour avoir vécu les monstrueux attentats commis par le FLN contre des civils français de toutes ethnies de 1954 á 1962 sur le sol d'Algérie qui, n'en déplaise à certains, était français à part entière comme tous les autres départements de France...! Mais le Dr Pelloux n'a sans doute jamais entendu parler de cette période, de ce chapitre de l'Histoire de son pays. Ou peut-être ne considère-t-il pas les Français d'Algérie, eux aussi victimes civiles du terrorisme, comme des Français à part entière ?

La mise à l'écart symbolique de ces victimes hors de la communauté nationale, l'occultation systématique pratiquée depuis des décennies sur leurs drames et leurs souffrances, identiques mais bien antérieurs à ceux de Charlie et du Bataclan, ne font-ils pas partie - comme l'a écrit récemment Boualem Sansal - d'un "génocide mémoriel" organisé ?


On ne peut comprendre vraiment le présent qu'en étudiant le passé..
Par conséquent, nous ne pouvons que conseiller à M. Patrick Pelloux de se mettre à l'étude de l'histoire du terrorisme non seulement dans l'hexagone mais aussi dans les territoires ex-français, où le nombre de victimes civiles françaises
dépasse tout ce qu'il a pu imaginer jusqu'ici...
Il pourrait ainsi compléter ses lacunes historiques et obtenir une image plus exacte du terrorisme, devenu aujourd'hui
un fléau planétaire.

En tant que président du SAMU 75, il ne pourra qu'y gagner, en renforçant sa liberté de jugement !


Nicole Guiraud
victime à 10 ans de l'attentat FLN du Milk Bar - à Alger 1956

   
 
   
  Faisons des économies.....?

Trouvez vous cela normal : Personne ne parle .

Un président normal , mais un trou du cul qui pète plus haut . jusqu' ou L'IGNOMINIE DE NOS GOUVERNEMENTS IRA T ELLE?
Chaque jour un nouveau sujet surgit et aucune radio exprime qq observations.
Imaginez ce que nous aurions entendu , les précédents mandats.
La France est elle sous un régime démocratique , équivalent à celui de l'Arabie Saoudite ou du Quatars.
aurons nous un média plus courageux en ces temps de dictature ..
Les journalistes à la bottes , des radio silencieuse , une opposition aphone , triste record. Ce n'est pas le mur que nous allons heurter
mais le gouffre dans lequel nous sombrons sans broncher.
En 4 ans le peuple a été muselé, la presse à la botte , les Français cocufiés . "L'anchois" tu es très fort mais plus dur sera ta chute.
Quant aux affidés le moment venu soyez assuré une milice va s'en occuper Certains pensent préférable de les envoyer dans des camps
de préparation ou servirent de patté ou de trou du cul a leurs maitres...

Lentement , trop lentement sans doute .. mais surement, soyons en convaincus l'évolution et la logique reprendront place.
A trop vouloir. ils arriveront rapidement au terminus de leur mégalomanie.
Nous pleurerons et crierons adieu notre Paix - adieu la bien bienpensance., la force reprendra sa place . Celle du talion trouvera sa place mais celle de la vérité.
aura un prix. les règlements de comptes un temps muselés , exploseront d'un coup. Adieu la bien bienpensance, il faudra dans l'urgence trouver sa juste place.

   
 
   
 
http://www.lepoint.fr/editos-du-point/sophie-coignard/coignard-les-politiques-n-ont-rien-compris-14-01-2016-2009729_2134.php
   
 
   
 
http://www.causeur.fr/author/kakouche
   
 

 
http://www.bvoltaire.fr/manuelgomez/decheance-de-nationalite-tempete-verre-deau,228691
   
 
   
 
Lettre de Bernard ZELLER.
 
   
 
   
 
   
 
   
   
   
   
   
 
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