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vidéo de 3 minutes sur LCI :
http://www.dailymotion.com/video/x563lry_alep-eric-denece-denonce-la-falsification-de-l-information_news?fbc=349
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Revue n° 112 de l'ASAF: l'Evènement |
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Subject: Boualem SANSAL : son allocution du 13 décembre 2016 devant les adhérents de Fondation Varenne - A méditer !
Boualem Sansal :, né le 15 octobre 1949 à Theniet El Had, petit village des monts de l’Ouarsenis, est un écrivain algérien d'expression française, principalement romancier mais aussi essayiste, censuré dans son pays d'origine à cause de sa position très critique envers le pouvoir en place. Il habite néanmoins toujours en Algérie, considérant que son pays a besoin des artistes pour ouvrir la voie à la paix et à la démocratie. Il est en revanche très reconnu en France et en Allemagne, pays dans lesquels ses romans se vendent particulièrement bien, et où il a reçu de nombreux prix.
Boualem Sansal a une formation d'ingénieur à l'École nationale polytechnique d'Alger ainsi qu'un doctorat d'économie.
Il a été enseignant, consultant, chef d'entreprise et haut fonctionnaire au ministère de l'Industrie algérien. Il est limogé en 2003 pour ses prises de position critiques contre le pouvoir en place particulièrement contre l'arabisation de l'enseignement1.
Son ami Rachid Mimouni (1945-1995) l'encourage à écrire. Boualem Sansal, bien que grand lecteur, ne se vouait pas à l'écriture. Il commence pourtant à écrire en 1997, alors que la guerre civile bat son plein. Il cherche à entrer dans l'esprit de ses compatriotes, pour tenter de comprendre puis d'expliquer ce qui a mené à l'impasse politique, sociale et économique de son pays, et à la montée de l'islamisme.
En 1999, il publie son premier roman, Le Serment des barbares, qui reçoit le prix du premier roman et le prix Tropiques. Cet ouvrage connait un très grand succès de librairie : Boualem Sansal est invité au printemps 2000 au Festival du premier roman de Chambéry et, en été, au festival Les Nuits & les Jours de Querbes. Depuis, il multipliera les rencontres avec ses lecteurs, en France ou en Allemagne.
Son livre Poste restante, Alger, une lettre ouverte à ses compatriotes, est resté censuré dans son pays. Après la sortie de ce pamphlet, il est menacé et insulté1, mais il décide de rester en Algérie. Un autre de ses ouvrages, Petit éloge de la mémoire, est un récit épique de l'aventure berbère.
En 2003, Boualem Sansal est rescapé du séisme meurtrier qui a touché sa région à Boumerdès. Après avoir été porté disparu pendant un certain temps, il est retrouvé grâce à un appel lancé par la télévision algérienne.
Son troisième roman, Dis-moi le paradis, publié en France en 2003, est une description de l'Algérie post-colonisation, à travers les portraits de personnages que rencontre le personnage principal, Tarik, lors de son voyage à travers ce pays. Le ton est très critique envers le pouvoir algérien, se moquant de Boumediene, critiquant ouvertement la corruption à tous les niveaux de l'industrie et de la politique, l'incapacité à gérer le chaos qui a suivi l'indépendance, et attaquant parfois violemment les islamistes. Ce livre est l'une des raisons qui ont conduit le pouvoir à limoger l'auteur de son poste de haut fonctionnaire au ministère de l'Industrie algérien.
En 2005, s'inspirant de son histoire personnelle, il écrit Harraga3, (Harraga qui signifie « brûleur de route », surnom que l'on donne à ceux qui partent d'Algérie, souvent en radeau dans des conditions dramatiques, pour tenter de passer en Espagne). Pour la première fois, les personnages principaux sont deux femmes : Lamia, médecin pédiatre qui vit dans la misère à Alger, et Cherifa qu'elle recueille alors que cette dernière est enceinte de cinq mois. (Cherifa est arrivée chez Lamia sur le conseil du frère de celle-ci, Sofiane, qui est en route pour entrer en Espagne clandestinement). Encore une fois, le ton est très critique envers le pouvoir algérien4 : l'argent du pétrole coule à flots, mais, l'argent étant accaparé par une minorité de dirigeants, le peuple est dans la misère et les jeunes vont tenter leur chance ailleurs, pendant que ceux qui ne peuvent pas partir restent dans la misère et la peur.
Boualem Sansal est lauréat du grand prix RTL-Lire 2008 pour son roman Le Village de l'Allemand sorti en janvier 2008, roman qui est censuré en Algérie, car il fait le parallèle entre islamisme et nazisme. Le livre raconte l'histoire du SS Hans Schiller, qui fuit en Égypte après la défaite allemande, et se retrouve ensuite à aider l'armée de libération algérienne, pour finalement devenir un héros de guerre et se retirer dans un petit village perdu5. Le livre s'inspire d'un destin réel, découvert par la presse dans les années 1980.
En 2007, il reçoit le prix Édouard-Glissant, destiné à honorer une œuvre artistique marquante de notre temps selon les valeurs poétiques et politiques du philosophe et écrivain Édouard Glissant : ce prix récompense les œuvres développant une réflexion sur le métissage et toutes les formes d’émancipation, celle des imaginaires, des langues et des cultures.
Le 9 juin 2011, il remporte le prix de la paix des libraires allemands, pour la manière dont il « critique ouvertement la situation politique et sociale de son pays »6. En mars 2008, il choisit de se rendre au Salon du livre de Paris, malgré la polémique soulevée dans le monde arabe quant au choix d'Israël comme invité d'honneur et l'appel au boycott venant des pays arabes et de certains intellectuels. Il s'en explique par la formule : « Je fais de la littérature, pas la guerre », et en ajoutant : « La littérature n'est pas juive arabe ou américaine, elle raconte des histoires qui s'adressent à tout le monde. » Ce choix aggrave sa situation en Algérie.
En 2011, il publie un nouveau roman, Rue Darwin, l'histoire d'une famille prise dans la guerre d'Algérie. C'est un livre très personnel, écrit trois mois après la mort de sa mère8. Le personnage de Yaz ressemble beaucoup à Boualem Sansal ; par ailleurs, la rue Darwin est une rue où l'auteur a vécu dans son enfance, à cent mètres de la maison d'Albert Camus.
Boualem Sansal est également connu pour ses propos critiques envers toute forme de religion, et l'islam en particulier : « La religion me paraît très dangereuse par son côté brutal, totalitaire. L'islam est devenu une loi terrifiante, qui n'édicte que des interdits, bannit le doute, et dont les zélateurs sont de plus en plus violents. Il faudrait qu'il retrouve sa spiritualité, sa force première. Il faut libérer, décoloniser, socialiser l'islam. »
En février 2012, il fait partie du jury de la Berlinale 2012, sous la présidence de Mike Leigh et aux côtés de Anton Corbijn, Asghar Farhadi, Charlotte Gainsbourg, Jake Gyllenhaal, François Ozon et Barbara Sukowa.
En mai 2012, il participe à la troisième édition du Festival international des écrivains à Jérusalem, suscitant de nombreuses critiques dans le monde arabe9,10. Il fait un récit plein d'humour de son voyage.
En juin 2012, il reçoit le prix du Roman arabe pour son livre Rue Darwin, avec l'opposition des ambassadeurs arabes qui financent le prix. Le 13 juin 2013, l'Académie française lui décerne le grand prix de la francophonie, doté de 20 000 euros. Ce prix est « destiné à “couronner l’œuvre d’une personne physique francophone qui, dans son pays ou à l’échelle internationale, aura contribué de façon éminente au maintien et à l’illustration de la langue française” ».
Du 6 au 8 octobre 2012, Boualem Sansal et l'écrivain israélien David Grossman se sont retrouvés à Strasbourg, avec le soutien du Centre Nord-Sud du Conseil de l’Europe, et ont lancé « L’appel de Strasbourg pour la paix » dans le cadre du 1er Forum mondial de la démocratie organisé par le Conseil de l’Europe. Près de 200 écrivains venant de cinq continents ont depuis signé cet appel, et se sont déclarés prêts à s’engager pour faire progresser la paix et la démocratie partout dans le monde.
Il habite près d'Alger, dans la ville de Boumerdès.
Il obtient en 2015 le Grand prix du roman de l'Académie française pour son roman 2084 La fin du monde publié chez Gallimard. Ce roman de science-fiction crée un monde fondé sur l'amnésie et la soumission à un dieu unique. Inspiré de 1984 d'Orwell, le pouvoir religieux extrémiste a lancé une nouvelle langue, l'abilang.
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Contrairement aux dires de la FNACA, la guerre d'Algérie n'a pas cessé le 19 mars 1962... |
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Lettre ouverte
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à Patrick MENNUCCI, député PS des Bouches-du-Rhône et à ses 68 collègues, partisans de la reconnaissance publique de la responsabilité de la france dans le massacre du 1è octobre 1961, à Paris
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Monsieur le Député,
Vous avez récemment déposé une proposition de loi cosignée par soixante-huit de vos collègues du groupe socialiste, visant à « reconnaître publiquement la responsabilité de la France dans le massacre causé par la répression de la police française le 17 octobre 1961 à Paris, de manifestants algériens réclamant l'indépendance de leur pays ».
Nous en prenons acte.
Toutefois, les Français d'Algérie, nombreux pourtant dans votre ville de Marseille, qui ont contribué à son essor à la suite du drame de l'arrachement à leur terre natale et à l'exode, s'étonnent aujourd'hui de votre démarche à sens unique.
Reconnaître la responsabilité de la France dans la répression de la manifestation du 17 octobre 1961, et laisser dans l'ombre cette même responsabilité dans le drame de la fusillade de la rue d'Isly à Alger, qui fit plus de quatre-vingts morts le 26 mars 1962, et dans celui de la journée du 5 juillet 1962 à Oran, qui vit des centaines de Pieds-Noirs enlevés et assassinés, relève d'une vision hémiplégique de l'Histoire.
Toutes les douleurs et tous les drames sont respectables, et les Français d'Algérie ne peuvent que se sentir blessés et injuriés par votre démarche volontairement partisane.
Nous n'osons imaginer que le martyre subi par des centaines de Pieds-Noirs au cours de ces deux journées, du fait de la responsabilité de la France, n'ait pas droit de cité dans votre esprit et dans celui de vos collègues.
'histoire de la guerre d'Algérie, Monsieur le Député, ne s'écrit pas en noir et blanc, et il est dommage que votre compassion et votre humanisme ne s'expriment qu'à sens unique.
Veuillez agréer, Monsieur le Député, l'expression de notre considération.
Thierry ROLANDO
Président national du Cercle algérianiste |
Cliquez ici pour télécharger au format pdf |
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C'est avec un peu de retard du à la transmission de photos, que je vous présente nos derniers reportages.
Vous reconnaitrez et les lieux et les diverses personnalités !
Beaucoup de recueillement, de fleurs , de gerbes et de chants patriotiques.
Désolé si dans mon introduction je ne parle que de la teneur du discours officiel.....il est mal passé
auprès de nombre de nos amis !
Merci à tous nos photographes....une telle répartition de nos présences pose parfois problème !
Georges Viéville - B.Destrait- Yves Marthot - François Sanchez - Guy Montaner
Guy MONTANER
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La GARDE 83130 |
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05 décembre 2016 Toulon et alentours |
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5 décembre à Beaucaire |
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En visionnant cette vidéo on comprendra mieux du moins je l’espère, que tant que la législation sur la nationalité ne sera pas revue (supprimer le droit du sol pour remettre le droit du sang), la situation en France et en Europe ne fera que s’aggraver et amener toutes nos structures socio-économiques et institutions à la ruine (SS, retraite, CAF, niveau scolaire, chômage, logement, réapparition de certaines maladies endémiques qui avaient disparues depuis 6 décennies etc...).
Un pays qui perd sa culture et son identité parce que diluées dans un multiculturalisme, est un pays qui disparaît. On y est presque; encore un peu de patience.
Et aucun candidat à la présidentielle de 2017 hormis Marine LE PEN n’a évoqué cette problématique qui pour moi est la priorité des priorités.
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Soutien à Francis LANGLOIS, élu de la Mairie d'Hayange, bousculé par les "démocrates de la Fnaca"... |
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J'ai eu l'occasion souvent, ces derniers mois, de transmettre des éditoriaux publiés par le Figaro et rédigés par mon ancien étudiant, Pierre Vermeren, désormais professeur à la Sorbonne et grand spécialiste du Maghreb contemporain.
Avant d'intégrer Normale Sup, Vermeren fut mon étudiant en khâgne à Nancy. Il a entamé ensuite une superbe carrière qui l'a amené de l'agrégation d'histoire à une thèse remarquée sur la formation des élites marocaines et tunisiennes au temps des protectorats. Sa nomination à l'université de Paris I Sorbonne ne fut que justice, il y a quelques années.
Dans son édition d'hier, le Républicain lorrain a publié une page magazine le concernant, je vous la transmets ci-joint en PDF. Il se trouve ici honoré comme historien lorrain puisque né dans la petite ville de Stenay au nord de Verdun. Il a le bon goût de me citer, j'y suis naturellement sensible, merci de ne pas prendre cela pour l'expression du péché d'orgueil !
Ce sera pour vous tous l'occasion de faire la connaissance de cet historien particulièrement rigoureux qui eut comme maître des gens venant de différents horizons mais qui est toujours particulièrement honnête et impartial.
Au cercle algérianiste de Reims, il nous a honoré à deux reprises de sa présence et je rappelle qu'il a signé la pétition concernant le massacre oublié du singulier 1962 à Oran.
Bien sincèrement à tous
Jean-Pierre Pister
Cercle algérianiste de Reims |
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Contre les mensonges des communistes et du F.L.N. |
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Christine TASIN:
Un grand bravo à cette femme courageuse et réaliste qui ne mâche pas ses mots. Cela vaut la peine de faire l’effort de l'écouter jusqu'à la fin.
Plus qu'inquiétant. |
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…En histoire contemporaine, se pose inévitablement le problème des interférences avec le domaine politique et certaines questions sont, par définition, sensibles, l’Histoire coloniale en est un parfait exemple. J’ai eu, ainsi, à traiter de l’Algérie à plusieurs reprises, y compris lors de ma dernière année, en 2009-2010, avec une question qui portait sur « la Méditerranée aux XIXe et XXe siècles ». Avec des étudiants dotés d’un minimum d’esprit critique, il est loisible de présenter, de façon nuancée et équilibrée, les différentes faces de la colonisation. Montrer la complexité du peuplement de l’Algérie, parler aussi bien du problème de la société, du statut et de la terre indigènes que de la mise en valeur du pays par les Européens : autant d’éléments qu’il est possible d’intégrer dans un cours. Pour la seconde guerre mondiale, montrer ce qu’un film, comme Indigènes, recèle de contre-vérités ne suscite, dans l’auditoire, aucun murmure. Embrayer sur les années 1954-62 peut apparaître, a priori, plus difficile. Je ne me suis jamais censuré pour parler des crimes du FLN et de la pratique systématique du terrorisme, dans le bled aussi bien qu’en milieu urbain. J’ai ainsi cité, pour les années 1956-1957, les attentats du Milk Bar et du Casino de la Corniche, à Alger dont mes « khâgneux » n’avaient jamais entendu parler. J’ai mentionné également le massacre des villageois algériens de Melouza par le FLN. Cela ne m’a pas empêché de rappeler certains excès inévitables du côté français. J’ai évoqué, dans un silence absolu les souffrances des Pieds-Noirs : fusillade de la Rue d’Isly, enlèvements du printemps et de l’été 1962, « Saint-Barthélemy oranaise » du 5 juillet 1962.Enfin, j’ai réservé à la tragédie des harkis la place qui convenait. A contrario, je n’ai jamais fait l’impasse sur les insuffisances du système colonial, sur les écarts de niveau de vie entre les différentes communautés, sur les occasions ratées telles que le projet Blum-Violette de 1936, sur les réformes structurelles qu’on a trop tardé à engager, avant le plan de Constantine d’octobre 1958. Ferai-je preuve d’immodestie en disant que mes étudiants m’ont été reconnaissants de leur tenir un discours inhabituel pour eux mais qu’ils étaient capables de recevoir ?
Jean-Pierre Pister
Agrégé d’Histoire – Professeur de Chaire supérieure honoraire |
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Historiquement incorrect...
Liste d' esclaves Français |
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Chers amis,
Comme au cours des années précédentes, la Maison de France d´Alicante fera déposer le lundi 5 décembre à 13 h, une gerbe aux pieds des sculptures "¡Grcias, Alicante!" (Explanada de España, jouxtant la place Canalejas) dans le cadre de la commémoration de la "Journée Nationale d´Hommage aux Morts pour la France pendant la Guerre d´Algérie et les combats au Maroc et en Tunisie" (Décret nº 2003-925 du 26 septembre 2003.).
Nous vous invitons donc, chers amis, à participer nombreux à cette brève mais très symbolique cérémonie.
À bientôt,
Nicole Breton-Almira
Présidente de la Maison de France d'Alicante
Prochaine circulaire: "Lundi 12 décembre: signature du livre de Mme Colette Coll
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Pour essayer de faire comprendre aux lobotomisés de métropole ce que nous ont appris les 8 ans de "guerre d'Algérie", voici l'action de "loups solitaires" qui se préparent dans l'hexagone (après Sid Ahmed Ghlam,Yassin Salhi,Ayoub El Khazzani, Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean )
15 Août 1956:
Cinq attentats individuels ont lieu à Alger, un seul est réussi. Dans les quatre autres cas, la foule lynche littéralement l'auteur. Le cas réussi concerne René Almanza, instituteur et son épouse, qui, sur leur scooter, alors qu'ils se dirigeaient vers les plages, furent victimes d'une crevaison. L'assassin, un jeune, arrêté peu après, raconte au tribunal que, pour faire partie du F.L.N. il devait tuer deux français. Sous prétexte d'aider René Almanza à réparer sa roue, il l'abattit froidement d'une balle dans la tête, puis tira sur sa femme qui tentait de s'interposer. La veille, il avait tué de la même manière un retraité qui prenait le frais devant chez lui.
http://jeanjviala.free.fr/1956_Aout.htm
Autre enseignement de la guerre d'Algérie: les provocations !
Se méfier des incitations qu'elles viennent du Pouvoir socialiste, des néo-gaullistes ou de militaires en retraite, à agir en contre-terrorisme, pour servir des intérêts occultes.
Exemple: 10 Août 1956: l'attentat de la Casbah
Michel Fechoz, représentant chez Renault, dépose une charge de plastic ( 16 morts, 32 bléssés) rue de Thèbes au nom du "Comité des 40" dirigé par André Achiary, préparée par Philippe Castille, décédé en decembre 2015 . Résistant. Parachutiste au 11è Choc détaché auprès du «SDECE». Capitaine de réserve. Membre de l'Organisation de résistance de l’Algérie française «ORAF» dont il est le cofondateur avec René Knecht
On sait maintenant qu'il s'agissait d'une opération de contre terrorisme gaulliste, menée par Castille, lequel, le 16 janvier 1957 , toujours gaulliste, essayera de tuer Salan, général trop républicain à leurs yeux. Condamné pour ces faits, en prison au moment des barricades, il est libéré lors de la semaine des barricades, rejoint Madrid où il s'expliquera avec Salan, avant de rejoindre l'O.A.S. Les porteurs de valise affirment mensongérement qu'il s'agit là du premier attentat à la bombe à Alger (sous entendu : ces salauds de pieds noirs ont commencé) on se reportera aux bombes de 1 novembre 1954, à celles de fin novembre 1954 à Oran, celles de juin 1955 dans deux cinémas de la casbah d'alger, destinées à renforcer les interdictions d'y aller du FLN, celle d'avril 1956 à Philippeville, celle du 10 juin à Constantine, etc... Et le mois passé, à Alger, deux bombes nombreux blessés, il s'agit en particulier d'un autobus qui explose avenue du 8 novembre |
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JOUBEAUX Lyonel
13170 Les Pennes Mirabeau
à Monsieur Michel AMIEL
Sénateur-Maire des Pennes Mirabeau
Monsieur le Sénateur-Maire, je viens vous remercier de m'avoir invité à l'inauguration des nouveaux locaux du CCAS et je vous félicite pour cette belle action.
Le sujet de ma lettre se rapporte au discours que vous avez prononcé concernant l'arrivée des Arméniens à Marseille. Vous citiez les paroles du maire socialiste de l'époque - (1892 à1902 et de 1919 à 1931) et qui fut aussi le premier sénateur socialiste, élu en 1906 à entrer au sénat,
Cela ne l'a pas empêcher de dire, dans un de ses discours du 23 octobre 1923, je le cite tout comme vous, de dire les propos suivant : « l'on annonce que 40,000 arméniens sont en route vers nous, ce qui revient à dire que la variole, le typhus et la peste se dirigent vers nous; s'ils ne sont pas déjà en germe pullulants depuis l'arrivée des premiers de ces immigrants démunies de tout réfractaire aux mœurs occidentales, rebelles à toute mesure d'hygiène, immobilisés dans leur indolence résigné, passive, ancestrale. La population de Marseille réclame du gouvernement qu'il interdise vigoureusement l'entrée des ports français et qu'il rapatrie sans délai ces lamentables troupeaux humains, gros danger public pour le pays tout entier».
Pourquoi remonter si loin : un autre Député – Maire, Gaston Deferre n'a pas été tendre avec l'arrivée des rapatries d'Algérie.
Début juillet 1962, il fait comprendre en termes très vifs aux rapatriés d'Afrique du Nord, qu'il perçoit comme un soucis d'insécurité, qu'ils ne sont pas les bienvenus à Marseille et qu'ils aillent se réadapter ailleurs.
Pas question d'inscrire les enfants à l'école, car il n'y a pas assez de place pour les petits marseillais.
Ils fuient, tant pis pour eux, en tout cas je ne les recevrai pas ici, d'ailleurs nous n'avons pas de place, rien n'est prêt.
Le 22 juillet 1962 Gaston Deferre poursuit ses anathèmes sur Paris-Presse: «Français d'Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs, il faut les prendre, les fusiller, les rejeter à la mer. Jamais je ne les recevrai dans ma cité.
Dans le centre de Marseille une inscription sur un grand panneau «LES PIEDS NOIRS A LA MER»
Il n'était pas le seul, De Gaule disait en parlant du Général Jouhaud «Ce n'est pas un français comme vous et moi, c'est un pied-noir ».
Voila Monsieur le Sénateur Maire un petit rappel de l'histoire que j'ai malheureusement vécue.
Recevez quand même mes sincères salutations et tout le respect que je dois à vos fonctions .
Les Pennes Mirabeau, le Lundi 21 Novembre 2016
Lyonel Joubeaux, français de souche |
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Manu GOMEZ accuse de gaulle... |
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LE VIVRE ENSEMBLE.... |
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FAIRE SUIVRE AFIN D’OUVRIR LES YEUX A CEUX QUI NE VEULENT PAS VOIR LA RÉALITÉ
C'EST DU DIRECT PAS DE MONTAGE
Sapin de Noël dans un Centre commercial en Suède
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Discours du Général Christian Piquemal pour rendre hommage aux policiers pendant la manifestation contre la création d'un camp de clandestins à Rocquencourt ... |
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E n complément à la partition de la prière du para qui est aussi le chant de l'EMIA (Ecole Militaire Inter-Armes à Coetquidan, formant les officiers Terre de recrutement interne)
Pour l'instant, encore personne (du moins à ma connaissance) ne les a attaqués avec ce chant qui se nomme très officiellement... La Prière!
Clément CHARRUT
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J'adresse à ceux que cela peut intéresser l'enregistrement vidéo d'une conférence que j'ai prononcée le 7 novembre à Paris dans le cadre d'un colloque de l'Association des Historiens qui a pour thème : la dimension religieuse de la guerre d'Algérie :
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Mort de René Rossey, né à Tunis, l'un des derniers commandos Kieffer !
20 Mai 2016, 18h11 | MAJ : 20 Mai 2016, 18h09

René Rossey était l'un des sept derniers survivants du commando Kieffer. AFP / Ludovic Marin
Il était l'un des derniers survivants du commando Kieffer, ces 177 fusiliers marins des Forces françaises libres qui ont participé au débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944.
Deux mois après la disparition de Louis Bégot, également membre du commando, René Rossey est décédé jeudi à 89 ans, a-t-on appris ce vendredi auprès d'associations d'anciens combattants.
«Avec sa mort, ils ne sont plus que six encore vivants», note Marc Laurenceau, le président de l'association Dday-overlord, qui déplore la perte d'un homme «très jovial», qui incarnait «la joie de vivre».
René Rossey est né en Tunisie en août 1926. Il est encore mineur quand il s'engage au sein des Français libres, sous les ordres du commandant Philippe Kieffer. «J'ai falsifié mon âge en disant que j'avais plus de 17 ans», racontait-il dans le documentaire «Les Français du jour J», réalisé par son petit-fils.
«Je suis parti défendre la France, alors que je ne l'avais jamais vue»
«Il disait toujours : "Je suis parti défendre la France, alors que je ne l'avais jamais vue"», ayant grandi de l'autre côté de la Méditerranée, se souvient Marine Salvar-Kieffer, la petite-fille du commandant Kieffer, qui voyait «tous les 6 juin» René Rossey pour les cérémonies commémoratives. «Mais l'an passé, pour la première fois, il n'est pas venu», se souvient-elle, regrettant avec son décès «une part d'histoire qui s'en va» pour la France, mais aussi la disparition d'un pan de son histoire personnelle.
Le défunt «était un homme d'une modestie hors pair», qui «racontait son histoire de manière tellement modeste que c'en était touchant», souligne Michelle Guilmeau, épouse d'Yves Guilmeau, le secrétaire de l'Amicale nationale des fusiliers marins et commandos. «La dernière fois que je l'ai vu, il était en fauteuil roulant. Mais il restait souriant, affable, remerciant toujours les gens qui s'intéressaient à lui.»
Les membres du commando Kieffer, intégré au Royal Marine Commando n° 4, sont les seuls Français en uniforme à avoir débarqué sur les plages de Normandie le jour J. Portant le nom du capitaine de corvette Philippe Kieffer, qui a constitué ce groupe de volontaires, le commando, entraîné en Écosse, a débarqué le 6 juin 1944 à Sword Beach.
«Une fois démobilisés, on les a largués dans la nature, avec un petit pécule, et ensuite, "Débrouillez-vous !"», raconte Yves Guilmeau. Et de poursuivre : «Comme ils étaient sous commandement anglais, on ne les a véritablement reconnus en France qu'en 1980.» Expliquant les motifs l'ayant poussé à s'engager, René Rossey, un temps SDF une fois la guerre terminée, déclarait : «On était Français, pas de cœur simplement, mais pour défendre le pays.»
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Que du bonheur !
Enfin voilà une Nation qui prend 'l"establissement" par la peau de fesses et l'envoie au diable. Après le "Brexit" où les Anglais ont su agir par leurs bulletins de vote, les USA-boys and girls n'ont pas fait de quartier avec la politique politicarde et gangrénée de leur pays. Ils ont fait le ménage malgré les médias et le monde people de la côte Ouest. Un coup rude et mérité qui ressemble à ce que nous espérons, attendons ici, chez nous.
Jamais deux sans trois. Sur la liste des prévisions de tempêtes politiques nous sommes le "Trois".
En effet pour les USA nous n'avons eu que des médias qui badaient devant Hillary, vouaient Donald aux enfers et aux supplices de Tantale...
Bien entendu, nos hommes politiques de droite et gauche, sauf Marine, suivaient le canard dans sa danse... tous pour une Amérique qui ne change rien pour faire la même chose chez nous...
Après un Hollande, un Juppé ! Après le socialisme de bas étage, le gaullisme mou.
Ils l'ont tous "in the baba" pour employer une expression anglaise et j'espère que cela est bon signe.
J'ai vu la tête de nos médias aux USA, ceux qui depuis des semaines jouaient Hillary contre Donald... j'espère que ce dernier leur donnera fissa un billet retour pour Paris.
Rien n'a marché comme prévu pour nos sondeurs nos élus de pacotille et nos journaleux de gauche.
Vite que notre peuple se réveille aussi... L'urne n'est pas loin et le bulletin dans notre main ne doit pas trembler pour éliminer les mécréants d'une politique à l'ancienne LRPS pour une France du renouveau avec des têtes nouvelles.
R C PUIG |
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04 novembre 2016 |
Je n'en reviens pas. Les débats des LR et du centre d'hier, (pourquoi du centre ?) n'ont rien apporté de neuf. Chacun avec sa petite musique pour ne pas froisser le voisin... Car... qui sait si celui qui sera l'élu ne le prendra pas dans son équipe...
Une chose triste, désagréable a retenu l'attention dans l'émission : la place prise pas Bayrou, le traitre.
Il a semblé qu'une partie de l'émission lui rendait hommage tellement il a été question de son personnage comme tout à coup le nombril des droites.
Bayrou le sans "parti" au sens véritable du terme et le chef d'un orchestre sans musicien, le MOU-Dem. Voilà comment il faut qualifier cet individu : le MOU-dem ! Faut-il oublier qu'il a fait perdre la droite en 2012 en votant Hollande, en demandant de voter Hollande dont nous subissons la catastrophique politique.
Une seule chose comptait : des bananes sous les pieds de Sarkozy. En vérité, le MOU-Dem n'a pas été le seul à en glisser sous les semelles de l'ancien président... Que vient faire Baroin qui n'a rien fait de positif en 2012 et qui, aujourd'hui, peut se demander s'il ne regrette pas son choix de rejoindre Sarko... En 2012 avec de nombreux UMP il y avait un silence qui a tué la droite... Il y a l'éternel Raffarin "délégué" à l'Algérie par Hollande, et il y a eu plein d'autres UMP avec la branche des socialistes, anciens porteurs d'oranges au FLN mais devenus ministres sous Sarkozy. Une erreur ! Une gifle anti-droite. D'ailleurs beaucoup ont crée des place du 19 mars dans leurs fiefs... Et là, dans leur spectacle à sept voix qui parle de l'Algérie, demande des comptes au FLN, exige des comptes et du respect au lieu de retourner chacun sa veste, comme face au Qatar ou l'Arabie saoudite...
Demain au train où se trouve le pays qui semble avoir échangé son honneur pour des dattes orientales et à cause d'un tel silence nous auront une partition : une partie salafiste et l'autre sans gloire.
Cela veut dire qu'avec Jupé nous aurons un Hollande-bis ! Est-ce que le peuple veut cela ?
Robert PUIG |
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Une pensée aux Morts de la Toussaint Rouge: Notre Dame de Cap Falcon à Toulon |
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Notre Armée, complice des Politiques, et des pourritiquement corrects??
HC |
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L’inacceptable soumission du pâtissier
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> > > > L’affiche trônait au-dessus du comptoir : " nous garantissons à notre aimable clientèle que toutes nos pâtisseries sont réalisées avec de la gélatine de poisson."
> > >
> > > Surpris par cette affiche que je n’avais jamais vue, j’interrogeais la fille du pâtissier sur la raison de cette surprenante et récente annonce. Un peu gênée, elle m’expliqua qu’il avait été décidé de remplacer la gélatine de porc par de la gélatine de poisson pour une question d’hygiène.
> > >
> > > Devant cette explication embarrassée et peu convaincante, je lui demandais alors si cela n’avait pas été décidé pour se soumettre aux exigences de clients musulmans. L’air presque soulagé, elle m’indiqua qu’effectivement il s’agissait de se conformer à leur demande de pâtisseries hallal.
> > >
> > > Voilà le fin mot de l’histoire. Pour satisfaire quelques clients minoritaires et qui n’ont aucun droit à exiger que la loi musulmane s’applique dans les commerces, ce pâtissier bien connu des environs d’Aix les Bains a donc accepté de se soumettre et de soumettre la grande majorité de ses autres clients, à une loi religieuse, la charia, qui ne possède en effet aucune légitimité juridique à s’appliquer en France, pays laïque par excellence.
> > >
> > > Mais les confidences n’étaient pas terminées. La fille du pâtissier, qui semblait en avoir gros sur le cœur, poursuivit en m’expliquant que cette aberration était allée plus loin. Leurs clients musulmans avaient ensuite exigé que dans leur magasin de Chambéry, ils fermassent la porte commune que ce pâtissier avait avec un commerce vendant des spécialités savoyardes, fromage et charcuterie. En effet, ces clients « exotiques » craignaient que les parfums et senteurs émanant de ces charcuteries, qui enchantent les papilles de tout bon savoyard ou simple gourmet, rendent impures les pâtisseries voisines.. !
> > > >
> > > >
> > > Voilà comment une simple question de vie quotidienne rend mieux compte que tous les grands discours de l’affrontement de deux civilisations où la plus minoritaire essaye et réussit, grâce à la complicité et au renoncement du plus grand nombre, à imposer ses propres lois et codes culturels. Il est donc nécessaire de rappeler à ce pâtissier bien connu qu’islam en arabe veut dire soumission et que rien ne l’oblige en France à se soumettre à la loi de cette religion partagée par seulement 4 à 6 millions de personnes sur, il faut le rappeler, 66,6 millions de Français !
> > >
> > > Marcel GIRARDIN
Conseiller municipal de Voglans
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Philippe de Villiers a fait état dans son livre d’un projet de partition du territoire au bénéfice de zones islamisées autonomes.
Nous avions dans un article éditorial de la Voix des Français du 6 octobre 2000 (Publié dans « Assaut contre l’occident chrétien » en 2007 chez Godefroy de Bouillon) annoncé l’inéluctabilité de la chose ce qui faisait scandale dans nos rangs et pourtant…
Il faut rétablir les faits car à cette époque Philippe de Villiers que le bureau de Renaissance 95 – La Voix des Français, son président Paul Lambert en tête, rencontre n’était pas favorable au fait aborder le problème de l’immigration en public et d’autres comme Jacques Myard balayait d’un revers de main, le verbe haut, la dangerosité de l’islam en France.
Nous avons perdu 20 ans par la faute des politiques.
La Francité à l’ombre des minarets
Surprise, fin août, d’apprendre, tout à trac, l’érection d’une mosquée à Nice, la divulgation d’un courrier privé de Jacques PEYRAT, Sénateur-Maire de Nice, et sa mise en cause par la classe politique locale.
Surprise aggravée par le contenu du grief : le refus de financer un lieu de culte par des fonds publics, au nom de la laïcité et des lois qui la fondent dans ce domaine.
Indignation, enfin, d’assister à l’hallali des vertueux contre l’homme qui refuse de financer l’Islam et que tous, du PCF au RPF mettent au pilori.
Frisson de voir, prosterné sur la place Masséna, la centaine de mahométans convoqués par les altesses des minarets, les recteurs des mosquées de Lyon et de Paris, sous l’œil ténébreux et terriblement sourcilleux de Mohammed RAFAÏ, conseiller municipal RPR, qui n’hésite pas à déplorer de ne pouvoir « blanchir » Jacques PEYRAT, son patron politique du département « qui déshonore notre cité »
Pas une voix pour défendre le Maire, ni au nom de la laïcité, ni au nom de la chrétienté, ni au nom du danger avéré.
Cette dilution des consciences fait irrésistiblement songer aux Byzantins discourant du sexe des anges pendant le siège mis par les Turcs devant Constantinople. Alors, il faut se rendre compte que toutes les lois de la démocratie vont jouer contre l’européanité dans ce pays, contre la civilisation gréco-latine qui en constitue le socle, contre l’espérance chrétienne qui l’avait forgée.
La VOIX des FRANÇAIS, qui eut le mérite de s’être élevée seule contre le sinistre annoncé d’une France romaine et chrétienne, laïque et européenne, doit examiner les risques que les futures directives européennes en matière d’immigration et de lutte contre la discrimination font peser sur notre peuple.
A cet égard, la VOIX des FRANÇAIS n’ayant pas le pouvoir d’Etat pour s’opposer aux lois dangereuses que l’on concocte à Bruxelles, se doit de rassembler les Français d’Europe pour les mettre en état de résister aux pertes d’identité et de puissance qui les menacent.
Un article récent du Figaro, signé par Pierre VILLAS (professeur émérite de l’Université des sciences sociales de Toulouse) et sous le titre « quelles garanties pour le droit des minoritaires » éclaire l’avenir :
« ….Evitera-t-on alors (après les décisions de l’Union Européenne prises sous la Présidence française) le passage d’une société uni culturelle – qui doit déjà tenir compte des revendications culturelles corse, alsacienne, antillaise, basque, bretonne, occitane – à une société pluriculturelle ? Chacun ayant droit à la reconnaissance de son identité culturelle et donc à la liberté de l’enseignement, à la liberté religieuse, aux libertés publiques, notamment d’association, il en résultera un droit à être représenté, à s’auto administrer. »
On conviendra qu’il détaille avec la froideur de l’entomologiste le processus en cours et qu’il faut s’y attacher : ne représentons-nous pas la seule association qui regroupe les « majoritaires » et qui aurait la mission de les « représenter » le cas échéant ?
Plus loin, le professeur VELLAS précise : « ( tout ce qui précède)…débouche sur un changement progressif dans la structure de l’Etat, qu’il s’agisse d’un fédéralisme personnel dépourvu de territoire spécifique…..ou qu’il s’agisse d’un fédéralisme territorial. »
Où la « majorité » actuelle serait-elle chez elle « territorialement », je n’en sais rien, mais pour exister encore « personnellement » elle devra avoir anticipé ces bouleversements pour dominer « …la question de savoir qui élaborera les lois et les règlements… »
Enfin, avant de conclure, je crois qu’il faut livrer la fin des réflexions objectives de notre professeur « …Le passage d’un Etat unitaire, monoculturel à un Etat pluriculturel, de type fédéral ou non, sans risque de sécession, est d’autant plus difficile que les différences linguistiques, culturelles, religieuses, sociales et économiques sont importantes.
« Il convient donc de prendre en compte les problèmes qui ne manqueront pas de se poser du fait d’une augmentation des flux migratoires, pour en étudier la nature, pour évaluer les conséquences, pour prévoir l’évolution qui en résultera et se prémunir des risques qui pourraient en découler. »
Le professeur VELLAS parlait du droit des « minorités », je pensais, en le lisant, au droit des Peuples, minoritaires ou majoritaires. Les Français d’Europe sont d’autant plus fragiles qu’ils sont majoritaires, il faut qu’ils se réveillent, qu’ils se reprennent à admirer l’œuvre de leurs ancêtres, qu’ils s’organisent et défendent leur Identité et leur Patrimoine.
Qu’on me comprenne, se préparer n’est pas accepter, s’organiser n’est pas renoncer. Quoique l’avenir nous réserve, la terre de France et au delà, celles d’Europe, nous appartiennent, nous sommes les descendants de leurs indigènes fameux qui couvrirent la Terre de beautés.
Rome et Athènes doivent être nos phares dans la tâche immense qui nous attend. Mettons nous en chemin, la route sera longue mais l’avenir sourit aux audacieux.
G.CLEMENT
Paris, le 6 octobre 2000
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Ce très joli texte en réponse à notre navrante ministre de l’éducation.
Najat, si tu savais...
Si tu savais Najat, comme on était fiers et heureux, nous les Rinaldi, les Fernández, les
Perez, les Ribolowski, les Sebbah, les Piemontesi, les Garcia, les Campana, les Navaro,
d'écouter notre maître d'école nous parler de nos ancêtres gaulois qui avaient combattu
les armées de César à Alésia et de nos ancêtres Francs donnant naissance à la France avec
le baptème et le couronnement de Clovis notre premier roi.
Si tu savais petite Najat, ministre inculte de l'Education Nationale, comme c'était bon,
pour les petits français de neuf ans que nous étions, de faire mordre la poussière aux
Anglais aux côtés de notre ancêtre Bertrand Duguesclin, connétable de France, de
chevaucher aux côtés de notre ancêtre Bayard, le chevalier sans peur et sans reproche.
Si tu savais microscopique Najat, qui lit un livre par an mais traite les membres de
l'Académie Française de "pseudo Z' intellectuels", comme c'était pénible pour nous de
souffrir en sonnant du cor avec notre ancêtre Roland le Preux, mortellement blessé à
Ronceveaux en assurant les arrières de Charlemagne, comme c'était grisant de partir pour
les Croisades avec notre ancêtre Saint Louis.
Évidemment que nous savions, nous qui avions des noms si difficiles à prononcer ou à
écrire, que nos héros n'étaient pas nos ancêtres et que nos ancêtres avaient eu d'autres
héros.
Mais c'était si bon de croire le contraire, rien qu'une heure par semaine.
On était si fiers de faire partie spirituellement de cette Histoire là.
Penses tu, inculte, haineuse et revancharde petite Najat, que ton cerveau formaté dans
les années Mitterand et lessivé depuis trente ans à l'eau de Javel de SOS racisme et de
Terra Nova, sera capable un jour de comprendre cela ?"""
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Coup de gueule d'Alain SANDERS! |
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Le 17 octobre 1961, ce n'était une "marche pacifique"... On ne va pas nous refaire le coup de la "marche pacifique de scouts, un certain 8 mai 1945" ??... |
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http://magoturf.over-blog.com/2016/10/que-cela-vous-plaise-ou-non-c-etait-du-terrorisme.html
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Les autorités algériennes s’offusquent et s’irritent dès qu’on leur rappelle les crimes commis par certains d’entre-eux lors de ce que l’on nomme à présent « la guerre d’Algérie ».
(Source : El Watan du 19 octobre).
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Le leader du FLN, Ferhat Abbas, n’a pas hésité à s’écrier : « La France a commis un crime : elle a livré le peuple algérien aux tueurs et aux assassins »…ne l’oubliez pas ! |
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Mariage "discret" à Aix-en-Provence... |
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20 septembre 2016 |
Baptême du Rond-Point des ANCIENS COMBATTANTS à FONSEGRIVES
Je vous prie de trouver ci-après un lien pour visualiser les photos de la cérémonie de Dimanche 18 septembre:
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Il ferait bon d'entendre cette chanson sur nos ondes!!!
Écoutez jusqu’au bout ...
La fin super émouvante.
Les gens se lèvent ....
Bravo, mille fois bravo.
Lui faire faire le tour de France.
Il faut transférer dans toute la France, a tout rompre, sans retenue !
Ce qu'on ne risque pas d'entendre à la télé...
Amicalement.
Marc DESAPHY
www.youtube.com/embed/shBxm5x6QTs
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Extrait de Riposte Laïque. |
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RAPPEL: 1935/2015, Ca suffit! |
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06 mai 2015
A la 5' 2gol est démasqué!!
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Le Figaro du 13 septembre 2016: article de Pierre VERMEREN "Les troupes coloniales dans la grande Guerre". |
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Fawzia Zouari, écrivaine et journaliste tunisienne, docteur en littérature française et comparée de la Sorbonne.
a publié dans « Jeune Afrique » cet article:
> « Il y a des jours où je regrette d’être née arabe. »
> Les jours où je me réveille devant le spectacle de gueules hirsutes prêtes à massacrer au nom d’Allah et où je m’endors avec le bruit des explosions sur fond de versets coraniques.
Les jours où je regarde les cadavres joncher les rues de Bagdad ou de
Beyrouth par la faute des kamikazes; où des cheikhs manchots et aveugles s’arrogent le droit d’émettre des fatwas parce qu’ils sont pleins comme des outres de haine et de sang; où je vois des petites filles, les unes courir protéger de leur corps leur mère qu’on lapide, et les autres revêtir la robe de mariée à l’âge de 9 ans.
Et puis ces jours où j’entends des mamans chrétiennes confier en sanglotant que leur progéniture convertie à l’islam refuse de les toucher sous prétexte qu’elles sont impures.Quand j’entends pleurer ce père musulman parce qu’il ne sait pas pourquoi son garçon est allé se faire tuer en Syrie. À l’heure où celui-ci parade dans les faubourgs d’Alep, kalachnikov en bandoulière, en attendant de se repaître d’une gamine venue de la banlieue de Tunis ou de Londres, à qui l’on a fait croire que le viol est un laissez-passer pour le paradis.
Ces jours où je vois les Bill Gates dépenser leur argent pour les petits
Africains et les François Pinault pour les artistes de leur continent,
tandis que les cheikhs du Golfe dilapident leur fortune dans les casinos et les maisons de charme et qu’il ne vient pas à l’idée des nababs du Maghreb de penser au chômeur qui crève la faim, au poète qui vit en clandestin, à l’artiste qui n’a pas de quoi s’acheter un pinceau.Et tous ces croyants qui se prennent pour les inventeurs de la poudre alors qu’ils ne savent pas nouer une cravate, et je ne parle pas de leur incapacité à fabriquer une tablette ou une voiture.Les mêmes qui dénombrent les miracles de la science dans le Coran et sont dénués du plus petit savoir capable de faire reculer les maladies.
Non ! L’Occident, ces prêcheurs pleins d’arrogance le vomissent, bien
qu’ils ne puissent se passer de ses portables, de ses médicaments,
de ses progrès en tous genres. Et la cacophonie de ces « révolutions » qui tombent entre des mains obscurantistes comme le fruit de l’arbre.
Ces islamistes qui parlent de démocratie et n’en croient pas un mot,
qui clament le respect des femmes et les traitent en esclaves. Et ces gourdes qui se voilent et se courbent au lieu de flairer le piège, qui revendiquent le statut de coépouse, de complémentaire, de moins que rien ! Et ces « niqabées » qui, en Europe, prennent un malin plaisir à choquer le bon Gaulois ou le bon Belge comme si c’était une prouesse de sortir en scaphandrier ! Comme si c’était une manière de grandir l’islam que de le présenter dans ses atours les plus rétrogrades.
Ces jours, enfin, où je cherche le salut et ne le trouve nulle part, même pas auprès d’une élite intellectuelle arabe qui sévit sur les antennes et ignore le terrain, qui vitupère le jour et finit dans les bars la nuit, qui parle principes et se vend pour une poignée de dollars, qui fait du bruit et qui ne sert à rien !
Voilà, c’était mon quart d’heure de colère contre les miens... Souhaitons que l'Occident ouvre les yeux.
MAJ en cours... Probmèmes avec Windows 10...
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Une Algérie incroyablement sale : l'autre peuple plastic
par Kamel Daoud
Quelque chose de triste qui vous prend au ventre, vous met l'encre de la colère dans les yeux. D'insultant. De terrible comme révélation sur les siens face à leur terre : des milliers de bouteilles d'eau minérale, emportées par les vents, roulant sur l'asphalte. Des sachets bleus, de la saleté, des détritus. Une terrible saleté sur les plages algériennes, contrastant avec le bleu infini, le sable et les youyous de l'Indépendance. Pas la saleté habituelle qui dure depuis des ans, mais quelque chose de plus ample, grave. On ne sait pas quoi écrire sur le phénomène : le regarder, en souffrir et s'interroger : pourquoi les Algériens, en majorité, sont-ils sales ? Le dire blesse l'image édulcorée que l'on se fait de soi et des siens au « nom du peuple» et de la fiction. Mais c'est ainsi : nous sommes sales. Encore plus depuis que l'argent gratuit a libéré les excès de consommation. On vend du pétrole, on achète, on dévore puis on baisse la vitre de la voiture pour jeter ses déchets, ses emballages et ses sachets dans le « Dehors». Cet espace de personne, de la prédation, de la poubelle, de la vacance, du butin ou de l'abandon. Comparé au « Dedans algérien» : lieu des soi et des siens, de l'intime, du sentiment de propriété, du beau ou de la convivialité.
De mémoire du chroniqueur, jamais les spectacles de la saleté n'ont été aussi énormes, catastrophiques. Comme s'il s'agit d'une volonté conscience de faire mal à la terre, de se venger. Expression sinistre de la mort de l'âme et de la complète débilité de la majorité. Lien brisé et méprisant envers l'environnement. Fallait-il libérer ce pays avec du sang pour, au final, le noyer dans la saleté ? Pourquoi cette absolue inconscience ? L'Ecole ? La Religion ? Le rejet de toute autorité ? Le lien maladif entre l'Algérien et l'Administration assimilée à une autorité exogène ? La certitude que l'on va aller au paradis et que ce pays n'est qu'une salle d'attente ? La surconsommation ? La négligence de l'autorité publique ? A la fois, en vrac, en tout. Il y a de tout dans la poubelle de l'âme.
Et face à cette saleté inconcevable, on rêve presque de dictature dure : amende énorme pour la moindre bouteille de plastique jetée. Prison pour le sachet bleu ou la poubelle lancée hors de la poubelle. Il ne faut plus se jouer des sociologies faciles, il faut punir. Le crime est énorme. Il faut sévir et rééduquer les gens aux habitudes de base : se laver les mains, respecter le feu rouge comme s'il s'agissait d'un dieu tricolore, ne pas jeter ses ordures n'importe où et avoir le culte de l'hygiène et de la propreté. Car cela devient honteux et scandaleux ce pays vu par le train, la voiture ou aux bords des eaux ou dans ses espaces publics. Un assassinat de l'espace et de la terre que l'on va laisser aux enfants à venir.
Il en va de l'acte de chacun. Pas comparé aux autres, mais la sphère fermée de la responsabilité individuelle. Il en va aussi de la mission de tous : école, administrations, pouvoirs publics. Il faut sauver au moins ce pays de ses ordures. Car c'est un déluge, un raz de marée, une honte. Après des années de guerre, un millénaire d'attente et tant de sacrifices, en venir à habiter une décharge publique avec un drapeau, est une honte. Car désormais, c'est ceci le pays : des sachets bleus, des décharges, des poubelles éventrées partout, un peuple au trois quart ignare, insouciant de la terre à transmettre, bigot, sale, incivique et intolérant. La civilisation commence par l'hygiène et l'hygiène n'est pas aller se laver les pieds dans les mosquées que l'on construit par milliers, puis jeter ses déchets au visage de la terre rare et malheureuse.
Une honte. De chacun par chacun, de tous. La terre appartient à ceux qui la respectent. Si on en est incapable, autant la redonner aux colons.
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Ainsi donc, la cérémonie s’est ouverte avec l’allocution de bienvenue de Hervé Cuesta, Puis, Simone Gautier a lu un texte de Jean-Pierre Pister et a rendu compte des courriers envoyés aux évêques de France…Résultat très en dessous de ce que la charité chrétienne aurait pu susciter… Notre ami Régis (...) suite
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Sans compter tous les autres attentats auxquels nous avons eu
droit !.............
54 ANS après, on prend les mêmes et on continue...
PAS D'AMALGAMES, NI DE HAINE
ET ENCORE MOINS DE PENSÉES INAPPROPRIÉES ...
FAITES LA PROVISION DE BOUGIES ET DE FLEURS...
ENFIN DORMONS TRANQUILLES !!!
Daesch menace nos plages !
Rien de nouveau sous le soleil de la France ...
Souvenez vous:
16 juillet 1958
Sur une plage de Ténés, un commando FLN tire sur les
baigneurs, en blessant grièvement 7 dont une toute jeune
fille qui devra être amputée.
28 Août 1958:
Dans l'Isère, deux terroristes se font sauter avec leur
bombe.
Premiers kamikazes
9 Avril 1959 :
Sur la route de la plage, à Bérard, deux automobiles
sont mitraillées, 2 morts, 4 blessés laissés
pour morts.
19 septembre 1959 :
Sur une plage de Bône, un groupe de rebelle mitraille
consciencieusement les baigneurs depuis la route littorale, une
morte Mme Tubiana, 12 blessés.
10 juillet 1960:
Deux obus sur la plage de Castiglione, deux morts.
Mitraillage des voitures qui se rendent à la plage du
Chenoua, 14 morts, pour la plupart des jeunes gens, et 8 blessés
31 juillet 1960:
Action d'éclat du F.L.N. sur la plage du Chénoua.
Un petit groupe de terroristes massacrent à l'arme automatique
tous les baigneurs, dont quatre soldats de Saint Amand les Eaux
en permission, alignés contre un mur et fusillés.
Le gardien musulman a droit à l'égorgement, les seuls
survivants étaient cachés dans un cabanon de plage,
ils ont passé des dizaines de minutes à entendre les
coups de feu et les râles des victimes. Une enfant de quatorze
ans profite des attentions multiples et tournantes des héros
FLN avant d'être assassinée à son tour.
27 août 1961 :
Bône plusieurs grenades jetées sur les plages,
12 blessés et un mort Paul Michel Renault
3 Septembre 1961:
Explosion d'une mine sur la plage de Zéralda, deux enfants
sont tués.
Mais tout cela c'était en Algérie..., donc cela
ne compte pas !!!
ALLEZ , UN ULTIME PETIT EFFORT, faites un don à nos
courageux français qui actuellement participent au sauvetage
de braves gens en Méditerranée en provenance de Lybie
et d'ailleurs !
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02_08_2016 |
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Var-Matin du 31 Juillet 2016 ( page 12 ) :
Titre " Chrétiens et Musulmans se
serrent les coudes "
Réponse :
" Ah bon !
Donc ils vont faire disparaître :
- les 6 à 700 versets qui encouragent la violence à
l'égard des mécréants .
- les 170 fois où le verbe Qatala ( tuer en Arabe ) figure
dans les textes sacrés .
- les 19 fois où le prophète ordonne de tuer et
de combattre les infidèles , pendant le djihad .
Parce qu'elle est là la véritable cause de leur
violence . Et aussi longtemps que les textes nourriciers ne seront
pas expurgés , rien ne changera
Il faut être sot à lier pour le croire . Et je
vois , hélas , qu'il n'en manque pas .
Et , tant que j'y suis , je rappelle à l'intention de
ceux qui se mettent au service du phénomène migratoire
, dont on voit qu'il pose de sérieux problèmes , que
le délit de trahison existe toujours " .
R . LALANNE
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Général Antoine Roch Albaladéjo
Ancien De La Légion Etrangère :
Quelques éléments de réflexion sur l'affrontement
avec les islamistes. |
L'armée est souvent mieux informée que le peuple
Il faut parfois écouter les militaires..Surtout quand ils
parlent en connaissance de cause : Ils savent mieux que les journalistes
ce qu'est la guerre et QUI est l'ennemi... et ils n'ont pas d'électorat
à séduire, eux...
Alors écoutons ce qu'ils ont à dire.... dans leur
domaine de compétence, et tâchons d'en tenir compte.
Beaucoup dentre nous pensent comme lui.
Ça y est, même de hauts gradés commencent à
en parler...
Général Antoine Roch Albaladéjo Ancien De La
Légion Etrangère :
Quelques éléments de réflexion sur l'affrontement
avec les islamistes.
1° Ouvrir les yeux et admettre une bonne fois pour toutes que
les islamistes ont déclaré la guerre à l'occident,
avec la France en première ligne. Se persuader que cette
guerre ne se fera pas sans mort, sans prise d'otages, dautres
attentats, qu'elle se fera aussi chez nous et donc qu'il faudra
nous montrer plus vigilant et moins vulnérable y compris
émotionnellement. Savoir que notre ennemi trouvera parmi
nous des sympathisants et des complices dans tous les milieux et
en plus grand nombre que ce ne fut le cas pour le FLN.
2° Cesser de reculer devant les exigences toujours plus grandes
de ces extrémistes et de leurs complices, qui, en affaiblissant
notre culture et en imposant la leur, cherchent surtout à
tester et à saper notre esprit de résistance.
3° Agir en portant le fer là où apparaît
un furoncle :
une immigration débridée qui rend insolubles les problèmes
du logement, du chômage, de la dépense publique, ça
se contrôle.
des barbus, des imams ou des rappeurs qui appellent à la
guerre sainte, à la haine et au crime,ça se sanctionne.
- des quartiers qui caillassent les représentants de l'État,
qui rackettent les artisans, ça se neutralise.
de discrètes écoles coraniques qui forment les djihadistes
de demain, ça se ferme.
- des clandestins, ça s'expulse, surtout les délinquants.
- des subventions à toutes ces associations qui font leur
beurre dans l'anti-France, ça se supprime, et .....on revoit
nos programmes d'histoire, on jette la repentance aux orties, on
laisse la transparence aux vitriers ........etc. etc.
Et ne me dites pas qu'il s'agit là de racisme, de fascisme
ou d'extrême droite!
Il s'agit de légitime défense et de résistance
dans le respect de la loi, ni plus, ni moins !
Vous pensez sans doute que ce n'est pas demain la veille ?......
Je crois néanmoins que, sans un sursaut, le pays de la douceur
de vivre, le plus beau pays du monde, risque fort de disparaître
dans d'atroces soubresauts ou dans une coupable et morne résignation,
pour être remplacé par une autre que certains, et pas
des moindres, semblent appeler de leurs vux, on se demande
pourquoi, et qui commence à faire peur..
Mais je me trompe peut-être... J'aimerais tellement avoir
tort...
Enfin, réfléchissez, ne soyez ni sourds, ni aveugles,
ni muets.
Général Antoine Roch Albaladéjo Légion
Étrangère
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Voici un lien d' Eric SAFRAS à envoyer
aux Mairies Communistes, ou tout autre "pleurnichard"
d'une repentance pour la répression des 9, 10 et 11 mai 1945
dans le Constantinois
Vous aurez noté que tous ces journaleux
kolabos parlent du "massacre du 8 mai 1945" et ne parlent
pas des vraies Victimes des Barbares Indépendantistes: Européens
et F. Musulmans fidèles à la France.
"Leurs morts" sont dus à la
répression qui a suivi les jours suivants pour rétablir
l'ordre de la République
Tous ces amnésiques oublient de préciser que les ministres
communistes étaient les donneurs d'ordre sous la Présidence
de de gaulle charles
Tant que nos Témoins seront en vie, il
faudra le marteler!
Ces faussaires de l'Histoire nous détestent:
nous ne leur feront pas de cadeau!
HC |
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LETTRE OUVERTE A TOUS NOS ENFANTS ET PETITS ENFANTS
PIEDS-NOIRS -
Quelques jours avant ou quelques jours après lindépendance
de lAlgérie, anciens Départements Français,
vos parents ont du se décider à quitter cette terre
pour rejoindre dans leur grande majorité la métropole,
pour rester Français et échapper bien légitimement
à de grands dangers.
Souvenez-vous de lexpression "la valise ou le cercueil.."
Pour vous sauver du cercueil, Chers enfants, nous avons choisi
la valise et par avion ou navire nous avons rejoint cette encore
grande inconnue pour certains dentre nous, que nous portions
dans nos coeurs "LA FRANCE". Inconnue territorialement
sentend, à part pour ceux qui y étaient venus
y faire leur service militaire, pour y combattre lennemi en
14/18, et pour la libérer au cours de la deuxième
guerre mondiale de 1939/1945, guerres dans lesquelles vos grands
pères et pères ont connu lhonneur de ne pas
avoir déposé leurs armes et des les avoir portées
haut et fiers, comme des lions courageux jusquà la
victoire de 1945, et pour dautres qui avaient eu le plaisir
dy venir en vacances ou en voyages daffaires. Cette
France nous la connaissions à travers les récits de
nos grands parents et parents et par nos études scolaires
et universitaire et nous portions son histoire dans nos pensées
comme un symbole de "LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE" sous
létendard de la République Française.
Vous ètes arrivés enfants en France où
vous y ètes nés, et parfois vous vous interrogez
sur cette expression Pieds-noirs que lon utilise pour nous
qualifier et que nous utilisons aussi entre-nous. Vos parents ont
du garder une petite pointe de cet accent enjoué et les expressions
qui nous caractérisent. Une certaine pudeur nous empêchent
parfois, pour vous éviter le passage de la guerre dAlgérie
et ses souvenirs douloureux, de vous enseigner exactement qui nous
sommes vraiment.
Dabord des Français de souches et des Français
par option volontaire, de toutes origines européennes. Nos
ancêtres lors de la conquête de lAlgérie
arrivaient de France, dEspagne, dItalie, des Baléares,
de Corse et dautres pays d Europe, pour sétablir
sur ce pays dont les terres en friches soffraient à
nos travaux..
Pourquoi la France a-t-elle conquis lAlgérie ?....
Dans un raccourci, indiquons que par suite dun incident diplomatique
insultant à l égard du Consul de France de la
part du le Dey dAlger,( ville qui se trouvait sous domination
turque) pour relever notre honneur, mais surtout parce que les pays
dEurope en expansion étaient persuadés de devoir,
au nom de lhumanité et de son bien-être économique,
de porter le flambeau de leur civilisation et de leur savoir faire,
dans des pays que lon pourrait considérer de nos jours
comme des pays hyper-sous-développés.Il était
important aussi pour notre commerce dassainir la méditerranée
des pirates qui abordaient et pillaient quantité de navires
et de nous assurer une place forte en Afrique du Nord.
Une fois établis dans le pays, vers 183O environ, peu
à peu au fil du temps nous nous sommes mariés entre
Français-Italiens-Espagnols-Corse, et tous autres européens
et on nous appelaient bien souvent les Européens dAlgérie.
Pour ces raisons de mariages entre européens, nous avons
dans une même famille des blonds aux yeux bleux, des châtains
roux aux yeux verts et des bruns aux yeux noirs..
Sur nos tables familiales se présentent tous les plats
dEurope, nous sommes gourmets : paëlla, rizotto, pates
en sauce tomate, civets, tomates-poivrons-aubergines-courgettes
facies ou finement cuisinées, petits patés au fromage,
à la viande, ou à la soubessade, beignets salés
ou sucrés, cocas et pizzas à la tomate et aux poivrons
... viandes roties ou en sauce fines, etc... je ne peux pas tout
citer, mais je noublierai pas notre gourmandise pour les fruits
de mer et les poissons, sans oublier les délicieuses pâtisserie
parfumées à la fleur doranger, les mounas de
Pâques, les mantécaos à la cannelle, les oreilletes
bien dorées, etc...Nous sommes de bons mangeurs et nous aimons
aussi les fruits frais, pastèques, melons, raisins, abricots,
prunes, oranges, mandarines et les confitures, sans oublier tous
les fruits secs ; Enfin nous savons aussi tenir nos verres à
lapéritif avec lanisette et la khémia,
et nous apprécions les bons vins pendant le repas et les
liqueurs à la fin, avant le caouah !
Nous sommes comme on dit "des bons vivants", nous
avons une bonne fourchette et savons lever notre verre dans les
bonnes occasions. Ah ! jallais oublier le couscous...... aijourd'hui
servi sur les plus prestigieuses tables françaises.
La cuisine, comme la littérature et les arts, fait partie
de notre culture et cest autour dune bonne table que
lon fait plus ample connaissance, que les langues se délient
et que finalement on saperçoit que patos ou pieds-noirs
cest du pareil au même pour ce qui est de lappéciation
des mets et des bons vins. Pour lappréciation de nos
idées politiques cest parfois autre chose.... mais
enfin en gens bien éduqués nous sommes tolérants
des deux côtés, mais nous avons le souci dinformer
et de remettre poliment les pendules cérébrales et
intellectuelles à lheure quand il le faut.
Enfants et petits enfants de pieds-noir vous appartenez à
une dynastie de travailleurs, vos ancêtres en Algérie
ont défrichés de leur mains des terres incultes et
des marais pestilentiels ou sur des boues et eaux infestées
régnaient la malaria, le paludisme et bien dautres
maladies mortelles à lépoque et dont des centaines
sont morts quelques temps après leur arrivée et pendant
quelques décennies ensuite, en attendant que tout le pays
fût assaini.
Puis peu à peu ces travailleurs ont planté des
cultures, céréales, vignes, jardins potagers, jardins
fruitiers, plantes et fleurs, des arbres venus de France et ils
ont construit des maisons, des routes, des villages, des écoles,
des hôpitaux, établit des commerces et des entreprises,
créer des musées, des théatres et des opéras,
des lieux de cultures et de distractions. Tout celà ne sest
pas fait en un jour ... il a fallu beaucoup de sueur et dhuile
de coude. Ils y avaient aussi des médecins,des pharmaciens,
des ingénieurs, des hommes daffaires et de lois, des
fonctionnaires, des marins, des transporteurs, des travailleurs
artisans, maçons, mécaniciens, tailleurs et spécialistes
de tous les métiers qui ne ménageaient pas leurs temps
pour édifier loeuvre commune.
Certains villages de basse kabylie, construits par les Alsaciens
et les Lorrains arrivés en Algérie vers 1870 ressemblaient
comme deux gouttes deau à certains villages anciens
que vous pouvez visiter en Alsace et en Lorraine. Dautres
villages ou hameaux du début de la conquête, construits
par les Espagnols et les Mahonnais au coeur de leur cultures, rappelaient
lEspagne et les Baléares. Je pense tout particulièrement
au Hameau de Bou Hamédi, près du Fondouk, avec ses
maisons basses aux murs blanchis à la chaux.
Les arbres que vos ancêtres avaient plantés et acclimatés
venaient de France et des pays dEurope et peu à peu
cette terre hostile, fertilisée et caressée par leurs
mains travailleuses était devenue notre Belle France dAlgérie.
Les habitants originaires du pays ont acceptés pour certains
dentre eux, de travailler avec nous, dautre pas. Pour
ces derniers, nos moeurs étaient trop occidentales et ils
craignaient quà lexemple des européennes
leurs femmes ne sinstruisent et sémancipent et
cest pourquoi tout en vivant en bonne entente socialement
dans la vie publique de tous les jours, nous vivions de façon
parrallèle nos vies privées, nous dans nos coutumes
et traditions et eux dans les leurs ; les différence de religions,
éléments qui comptaient à lépoque,
rendaient tout mariage impossible entre les deux communautés.Celà
na pas empêché de solides amitiés de se
forger. Il y a eu très peu, presques pas, de mariages mixtes
Français et musulmans, sauf dans quelques rares grandes familles
évoluées et tolérantes. Mais pour le travail
et les affaires, grandes et petites, nous nous étions habitués
progressivement à travailler ensemble en bonne efficacité
et entente.
Nous avons vécu là-bas pendant cinq, six générations
en moyenne ; vos grands-pères et pères sont venus
à deux reprises en France et en Europe faire leur service
militaire et surtout faire la guerre de 14/18 et celle de 39/45
pour défendre la France (la Mère Patrie) contre ses
ennemis de lépoque, et ceux qui ny sont pas morts
tués au combat sont revenu chez eux en Algérie, quelquefois
avec une fiancée Française "de France" quils
nont pas manqué dépouser.
Nous étions citoyens à part entière et quand
la France était en danger nous étions tous présents
sous le même drapeau tricolore. Cest ce que lon
appelle le patriotisme et ce que jappelle moi "lhonneur
dêtre un homme".> Les valeurs militaires, celle
du courage et de lhonneur ont été injustement
bafouées par des politiciens de bas étages, incapables
et félons : ne vous laissez pas intoxiquer par leur propagande
de faux-intellectuels.
Mais vous, que feriez-vous si votre pays et votre famille étaient
attaqué par un ennemi féroce ? .. Laisseriez-vous
égorger vos pères, mères, épouses et
enfants, Laisseriez-vous envahir votre pays les bras croisés
.... Je suis sûre que non. Il ne sagit pas dattaquer,
nous sommes pacifistes, mais de savoir se défendre.
Pour le moment ici nous sommes relativement en paix. Alors, chacun
dentre vous selon votre personnalité, vos qualités,
vos goûts, vos tendances et possibilités, choissisez
un but ; profitez de votre temps denfance, dadolescence
et de jeune adulte pour vous instruire, apprendre un métier
ou un art, sans oublier de vous distraire sainement : la fête
fait aussi partie de la vie ; tout est utile pour votre avenir et
pour le pays. Ne perdez pas votre temps précieux, évitez
les excès de verbiage pseudo-intellectuels ou politiciens,
les polémiques oiseuses, nentrez pas dans de vaines
querelles partisanes, utiliser vos forces et votre intelligence
pour vous livrer à des actions concrètes, constructives,
utiles pour vous-mêmes, pour votre entourage et lenvironnement.
Il vous faut comme lon dit "se situer dans le paysage"
Vous faites partie dun ensemble qui demain formera lEurope
nouvelle. Notre Belle Algérie de France par ses divers composant
en était le prélude, nous avons déjà
tous travaillé ensemble... Vous avez votre mot à dire,
quil soit de vérité et de justice ; vous êtes
en France et dans tous les pays dEurope légitimement
chez vous, par descendances, coutumes et traditions. Ne vous laissez
pas marchez sur vos pieds-noirs,soyez fiers de vos ancêtres
proches et lointains.
Nous les vieux pieds-noirs, de lombre de notre soir, nous
vous tendons le flambeau. Avec des gestes et des mots tout simples
qui peuvent vous paraître dépassés dans notre
époque moderne, mais les modes passent et lesprit demeure.
Nous sommes la génération "mémoire-relais",
et avant de partir vers notre nuit, nous vous souhaitons : Bonne
vie et longue route enfants et petis enfants pieds-noirs.
A vous la charge, maintenant, de transmettre cette précieuse
mémoire -
Bonne chance. |
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Piqure de rappel à diffuser sans réserve surtout
auprès des plus âgés de nos compatriotes métropolitains
responsables (aux conséquences "boomerang" dramatiques)
d'un vote lors du référendum du 8 avril 1962 d'où
nous avions été exclus !
Bel exemple de "Démocratie Gaulliste !"
Une différence fondamentale nous sépare : Eux ont
alors applaudi sur notre malheur et beaucoup nous méprisent
encore.
Nous, aujourd'hui, nous pleurons les victimes des mêmes
barbares !!
A.ALGUDO
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La malédiction du Maréchal
Alphonse Juin
« ... Que les
Français, en grande majorité aient, par referendum,
confirmé, approuvé l'abandon de l'Algérie,
ce morceau de la France, trahie et livrée à l'ennemi,
qu'ils aient été ainsi complices du pillage, de la
ruine et du massacre des Français d'Algérie, de leurs
familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats
qui avaient une confiance totale en nous et ont été
torturés, égorgés, dans des conditions abominables,
sans que rien n'ait été fait pour les protéger
: cela je le pardonnerai jamais à mes compatriotes :
La France est en état de péché mortel.
Elle connaîtra un jour le châtiment. »
Maréchal Alphonse JUIN, 2 juillet 1962
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CE 14 JUILLET 2016 NICE
Ce silence ! Il y avait la foule, les gens qui riaient,
qui chantaient, qui se poussaient par blague... Les GENS...
Un bruit, une explosion ? Et ce silence... Non, là,
cétait à Oran, ma ville, mon amour...Reviens
à toi ! Ce nest plus ta ville, cest lautre,
si belle... Cest Nice dépreuves, de joies, de
pleurs Cest Nice la Belle-Aimée. Nice de sourires,
de joies, de la mer... du mauvais côté. Je ne my
suis jamais habituée, la mer nest pas du bon côté,
mais cest beau, si beau, si insouciant...
Non, pas dexplosion, même pas de bruit, un camion
fou que conduit un homme qui nest pas fou ; Une haine
de 19 tonnes... Ce silence.
Et puis, les cris, inarticulés, partout le même
Ô Munch ! Et puis, le cri primal : Maman !
Des voix qui séteignent en murmurant « Maman »...
Ô Seigneur ! Nai-je pas vu assez de cadavres ?
Nai-je pas enjambé assez de morts dans ma ville pour
continuer, continuer, continuer... VIVRE !
Ô Seigneur, Fallait-il encore donner des vies au Moloch ?
Fallait-il encore dans la ville de rire, dinsouciance, la
ville du feu dartifice qui séteint dans une dernière
étincelle, fallait-il donc CELA ? CELA que je ne peux
plus nommer...
Oui, CELA, ces pauvres morts après tant de pauvres morts
par la volonté dun fou ? Non, il nétait
pas fou. Il était guidé par la Malin, Satan au masque...
Cétait une nuit de 14 juillet. Pour quelle Bastille
sont morts ces pauvres morts de la Promenade ?
Geneviève de Ternant |
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Affaire du "carrefour du développement",
1° scandale du règne Mitterrand
Christian Nucci, jeune ministre délégué à
la Coopération et au développement, se fixe comme
une de ses premières missions de redynamiser le bi-mensuel
Actuel Développement, revue des coopérants publiée
par son ministère. Le 29 juin 1983, il crée une
association loi 1901, l'Acad « Association Carrefour du
développement », spécialisée dans les
problèmes d'information sur le Tiers Monde et qui se voit
chargée d'éditer cette revue. Nucci place des personnes
de confiance dans cette association (à sa tête Michèle
Bretin-Naquet, professeur de psychologie et une de ses conseillères,
et comme trésorier son chef de cabinet, Yves Chalier) qui
compte une trentaine de salariés[1].
En 1984, le président de la République François
Mitterrand charge Nucci de superviser lorganisation dun
sommet international des chefs dÉtat africains qui
doit se tenir le 11 et 12 décembre à Bujumbura,
au Burundi mais la ville ne possède pas la moindre infrastructure
dimensionnée pour accueillir un tel événement.
Le montage de lopération est délégué
à l'Acad qui reçoit 80 millions de francs de fonds
publics. Chalier, après un voyage de repérage, réalise
que ce budget est insuffisant pour financer notamment la mise
en place de lignes hertziennes ou le pont aérien chargé
d'acheminer groupe électrogènes, cabines de conférences.
C'est dans ce contexte qu'est mise en place une comptabilité
fictive avec des fausses factures qui servent à couvrir
d'autres dépenses[2] : 1,4 millions de francs pour Chalier
(achat d'un appartement à Quimper, d'un studio à
Paris, dons et prêts à sa maîtresse ou à
son ex-femme) ; 20,5 millions de francs pour Nucci (financement
des affiches de sa campagne électorale de 1986, règlements
de ses cotisations au parti socialiste, réceptions faramineuses
offertes à des dignitaires africains dans sa villa de Beaurepaire)
; financement de l'opération Manta ; 3,3 millions pour
l'achat et la restauration d'un château en Sologne, prétendument
destiné à la formation de cadres africains, par
Chalier et la sous-préfète du Cher, Marie-Danielle
Bahisson, la rumeur voulant que ce centre de formation serve à
abriter un bordel pour les personnalités africaines[3].
La Cour des Comptes enquête depuis octobre 1985 sur la comptabilité
de l'Acad, si bien que l'association est dissoute le 31 janvier
1986.
À la suite des élections législatives de
1986, le premier Ministre Jacques Chirac nomme Michel Aurillac
nouveau ministre de la coopération. Ce dernier reçoit
un rapport de la Cour des Comptes qui révèle que
l'Acad affiche un trou d'un « peu plus de 20 millions de
francs ». Aurillac annonce publiquement ces irrégularités
à la presse le 2 juin. Laffaire du Carrefour du développement
est lancée[4].
L'affaire porte sur un détournement de 27 millions de francs
entre 1984 et 1986. Inculpé de détournement de fonds,
de faux en écritures publiques et privées par la
commission d'instruction de la Haute Cour de justice, Christian
Nucci bénéficie d'une loi d'amnistie sur les délits
de financement illégal de campagnes électorales
(loi prise dans le même cadre que celle relative au financement
des partis politiques français, votée le 15 janvier
1990 spécialement pour lui et les élus socialistes
impliqués dans l'affaire Urba) : la Haute Cour rend un
non-lieu le 4 avril 1990 tout en regrettant que « pour la
première fois de Notre République, on amnistie des
faits criminels »[5]. Mais la Cour des Comptes le déclare
le 30 septembre 1992 « débiteur envers l'État
» de 20,463 millions de francs (soit 3,119 millions d'euros)
d'argent public détourné solidairement avec Yves
Chalier. Ce dernier est condamné à cinq ans de prison
en 1990 et placé en liquidation judiciaire le 6 mai 2010
tandis que Nucci, après une longue procédure judiciaire,
rembourse mensuellement 1 524 euros depuis décembre 2000,
devant encore 2,9 millions d'euros en 2013[6]. Jeune avocat, Arnaud
Montebourg défend la présidente de l'association,
Michèle Bretin-Naquet qui est relaxée[7]. (wikipedia)
NDLR: Question ? Christain Nucci né en 1939 faisait-il
partie effectivement du reéseau Janson ?
Pierre BARISAIN
9 juillet 2016
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Confidences d'un homme qui a le courage de
se présenter à une tribune. Merci de faire suivre
cette vérité de l'histoire, à contre-courant
du « sens actuel de lHistoire »
..
http://www.ina.fr/video/I09152596/lajos-marton-a-propos-de-l-attentat-du-petit-clamart-video.html
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http://magoturf.over-blog.com/2016/07/fn-foutez-moi-dehors-ce-sans-couilles.html |
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Cercle algérianiste national - Association culturelle
des Français dAfrique du Nord
1, rue Général Derroja 66000 Perpignan - Tél.
04 68 53 94 23
Courriel : secretariat@cerclealgerianiste.fr
Cercle algérianiste national
Fédération des Cercles algérianistes
Perpignan le 8 juillet 2016
Monsieur Manuel VALLS
Premier ministre
Hôtel Matignon
57 Rue de Varenne
75007 PARIS
Monsieur le Premier ministre,
La France, dans le cadre de sa politique de dialogue avec lAlgérie,
vient de remettre à lÉtat algérien, une
partie des archives couvrant la période de la guerre dAlgérie,
quelle détenait.
Ce ne sont pas moins, semble-t-il, de vingt-deux volumes de documents
diplomatiques français, partie intégrante de lHistoire
de France et des Français dAlgérie, dont sest
ainsi dépossédé notre pays.
Aucune information na été cependant donnée,
sur le contenu réel de ces archives, dont la restitution
peut porter préjudice, tant aux soldats de larmée
française, quaux Français dAlgérie
et aux Harkis,
quand on connaît lattitude revancharde de nombre de
dirigeants algériens.
Quelles garanties, Monsieur le Premier ministre,
pouvez-vous apporter aux citoyens français sur ce point ?
Cette démarche de la France nous amène également
à vous poser officiellement la question de savoir, ce
quau titre de la réciprocité, sest engagé
à restituer le gouvernement algérien, comme archives?
En effet, voilà plus de cinquante-quatre ans quun tiers
des actes de létat civil des Français dAlgérie
attend toujours dêtre microfilmé, alors même
que ces documents appartiennent au patrimoine affectif et familial
des Français dAlgérie.
La France a-t-elle cédé une nouvelle fois aux exigences
du gouvernement algérien, en sacrifiant les intérêts
des populations européennes dAlgérie qui attendent,
pour pouvoir reconstituer leur histoire,
leur parcours professionnel et tout simplement leur vie, que le
gouvernement algérien veuille bien restituer ce qui leur
appartient ?
Cest à toutes ces questions, Monsieur le Premier ministre,
que nous aimerions obtenir un certain nombre de réponses,
car la politique de dialogue que vous entendez mener avec lAlgérie
ne peut se
faire dans lopacité, au détriment des Français
dAlgérie. De même, il nous semble indispensable
que vous puissiez nous éclairer sur les résultats
de vos négociations, pour permettre enfin que le sort de
milliers de disparus européens
enlevés et assassinés par le FLN, ne soit pas laissé
dans lombre pour céder au politiquement correct.
Cela doit être une exigence du gouvernement
français, car la vérité historique doit concerner
tous les drames et toutes les souffrances.
Je vous prie dagréer, Monsieur le Premier ministre,
lexpression de ma considération.
Thierry Rolando
Président national du Cercle algérianiste |
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08_07_2016 |
Michel Rocard et Réseau Jeanson
Le réseau Jeanson était un groupe de militants
traitres à la Nation français, agissant sous les directives
de Francis Jeanson, qui opéra en tant que groupe de soutien
du FLN durant la guerre d'Algérie, principalement en collectant
et en transportant fonds et faux papiers
Porteurs de valises du FLN
Le rôle principal du réseau consistait à agir
en tant que cinquième colonne en collectant et en transportant
des fonds et des faux-papiers pour les agents du FLN opérant
dans la métropole, d'où leur surnom de « porteurs
de valises ». La plupart de ses membres proviennent du monde
médiatico-intellectuel, rassemblant chrétiens de gauche,
trotskistes, syndicalistes ou communistes dissidents1.
Le réseau est démantelé en février 1960
et son procès s'ouvre le 5 septembre 1960. Six Algériens
et dix-huit Français sont inculpés. Ils seront défendus
par vingt-six avocats dont, le plus en vue, Roland Dumas qui s'efforcera
de faire durer la procédure et de ridiculiser le tribunal.
Cette stratégie s'avèrera payante auprès de
l'opinion publique. Quinze des inculpés sont condamnés
le 1er octobre à dix ans de prison, maximum de la peine ;
trois sont condamnés à cinq ans, trois ans et huit
mois. Neuf sont acquittés.
> Des intellectuels de gauche, avec le Manifeste des 121, apportent
leur soutien aux porteurs de valises, dans un contexte où
la position de l'État français est de moins en moins
claire.
> Jeanson s'est toujours défendu d'avoir trahi la France,
au contraire. Il justifie son attitude par la fidélité
aux idéaux sur lesquels doit s'appuyer cette même communauté
française2. En fuite à l'étranger, il est jugé
par contumace en octobre 1960. Lors de ce procès, il est
reconnu coupable de haute trahison et condamné à 10
ans de réclusion criminelle. Il est amnistié en 19663.
>
Françis JEANSON , Hélène CUENA, Dr. CHAULET
et sa femme Anne-Marie, Jacques CHARBY , le professeur D'ALSACE
et le professeur Pierre VEULLAY , les prêtres de la Mission
de France: Abbés Pierre MAMET, Robert DAVEZIES, BOUDOURESQUE.
> Les acteurs Paul CRAUCHET ,André THORENT , Jacques RISPAIL
, François ROBERT , Jacques MIGNOT , Jacques et Lise TREBOUTA
, Serge REGGIANI , Catherine SAUVAGE , Roger PIGAUT , l'écrivain
Georges ARNAUD , Georgina DUFOIX , Guy DARBOIS , Paul-Marie de la
GORCE , Annette ROGER , Michel ROCARD , Jean DANIEL, Henri CURIEL
et sa femme Rosette , Roland CASTRO , Hervé BOURGES , CASALIS
, Gérard CARREYROU , Guy BRAIBANT , Pierre BOUSSEL , Marc
BLONDEL , Christian BLANC , François AUTAIN , Pierre FRANK
dit "Pedro", AlainGEISMAR , Jean GIOVANELLI , Bernard
KOUCHNER , MarcKRAVETZ , Henri ALLEG , Françoise SAGAN ,
Bernard SCHREINER , Georges SUFFERT , Jacques VERGES , François
MASPERO , Jacques MELLICK , Christian NUCCI , Claude OLIVENSTEIN
, JeanMarie PAUPERT , Jean-Louis PENINOU , Michel PEZET ,
René-Victor PILHES , Hubert PREVOT , Madeleine REBERIOUX
, Pierre VIDAL-NAQUET .
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A l'occasion du décès de Michel Rocard, les médias
ont rapellé ses prises de position sur l'Algérie.
1. Sa première intervention est celle du Rapport pour la République
algérienne associée à la France, rédigé
avec Henry Frenay au printemps de 1957.
Reçu à l'ENA en 1956, M.Rocard adhère au Comité
social d'étude et d'action pour la paix en Algérie.
Il s'oppose à la politique algérienne de Guy Mollet
et Robert Lacoste, et anticipe la création en sept.1958 d'un
Parti socialiste autonome, précurseur du PSU.
Il estime que l'armée est hostile à la population algérienne,
laquelle appuie totalement le FLN ; ceci est une erreur historique
en 1958 (fraternisation du 16 mai et avis de Mohammed Harbi).
2. Sa deuxième intervention est la rédaction le
17 février 1959 d'une Note sur les centres de regroupement,
à l'attention du Délégué général
de la France en Algérie.
Affecté en Algérie en septembre 1958, M.Rocard a été
informé par Jacques Bugnicourt, officier SAS à Orléansville,
du déplacement des populations dans des centres de regroupement,
afin qu'ils ils échappent au contrôle du FLN.
Cette note, diffusée par le Monde du 18 avril, fait état
de la situation tragique du million d'Algériens déplacés,
qui sont menacés par la famine et par la mortalité
infantile élevée (un enfant sur mille tous les deux
jours ! ).
M. Rocard n'a visité qu'une quinzaine de Centres de regroupement,
principalement dans l'Orléansvillois, alors qu'il
y en a déjà plus de mille.
Il souligne qu'un crédit de 100 millions de nouveaux francs
a été demandé pour soutenir ces regroupements.
Réalité historique (1).
3. Les médias semblent ignorer les réactions négatives
du Délégué général Delouvrier,
qui déclare le 16 mai 1959 qu'il n'a pas donné mandat
de faire ce rapport, et que la mortalité infantile dans les
regroupements est inférieure à ce qu'elle était
dans les anciennes mechtas.
En août 1959 Delouvrier écrit à la Ligue des
droits de l'Homme que la Note de Rocard constituait une information
partielle, et que le but des regroupements consistait à créer
1000 nouveaux villages destinés au développement économique
et social de l'Algérie, dans le cadre du plan de Constantine.
Grâce aux regroupements, la scolarisation des jeunes musulmans
passe de 15% en 1954 à 40% en 1960 et 65% en 1961.
4. Un compte-rendu sur les centres de regroupement avait été
demandé par le général Salan à 5 Inspecteurs
généraux, dont la synthèse avait été
confiée au préfet R. Martin ( 31 janvier 1959).
M. Rocard semble ignorer ces C.R.. D'autre part Eric Westphall,
affecté au cabinet Delouvrier, dément l'existence
d'un crédit exceptionnel de 100 millions (1 miliiard planifié
en 1959).
Affecté à la Direction de l'Agriculture, J. Bugnicourt
rédige en 1960 un rapport favorable aux nouveaux centres
ruraux (les 1000 villages), sans faire référence au
rapport de son ami Rocard.
Le GPRA publie des critiques virulentes des regroupements de populations,
qu'il assimile à des camps de concentration; mais les C.R.
des wilayas et des mintakas reconnaissent la réalité
: "Nous sommes coupés de tout ;
la population ne nous suit plus ". C'est une des causes de
la révolte de Si Salah.
5. Il est apparu que pour des raisons de sécurité,
certains regroupements ont été opérés
sans préparation,
et que certains n'étaient pas viables (article Macaigne dans
le Figaro du 22 juillet 1959). Ils seront interdits par le
Délégué général en mai 1960.
Des jugements négatifs ont été publiés
ultérieurement par des historiens qui ne les ont pas visités
: Bourdieu en 1964,
Cornaton en 1967, Ageron en 2000, Kamel Kateb en 2001.
Xavier de Planhol, géographe universitaire, a visité
les villages blidéens en 1959-60, et publié un mémoire
favorable aux regroupements : le niveau de vie moyen s'est sensiblement
relevé; les resserrements ont permis l'instauration d'une
vie communautaire et le développement d'infrastructures matérielles
et scolaires.
Les autorités militaires reconnaissent à la fois les
difficultés rencontrées et les réussites de
l'opération en matière de sécurité et
de développement (généraux Beaufre, Olié,
Gambiez, Parlange, Vanuxem, colonel Trinquier). Le
général Rondot, expert du renseignement, fait l'éloge
de "l'extraordinaire entreprise de construction humaine "
qu'il a vue dans le centre créé par le colonel de
Saint-Simon. Rares sont les avis défavorables des chefs de
SAS.
90% des personnes déplacées ont préféré
en 1962 rester dans les nouveaux villages, qui selon Bruno Etienne,
sont devenus les villages socialistes de la Révolution algérienne.
(1) - Maurice Faivre. Les 1000 villages de Delouvrier. Protection
des populations musulmanes contre le FLN.
Esprit du Livre, 2009.
- Xavier de Planhol. Les nouveaux villages de l'atlas blidéen.
PUF 1961.
- Archives de Delouvrier (1DV17), de l'armée de terre (1h1096
- 2576) , de l'outremer (15 CAB /143),
de la Commission de Sauvegarde (F60-3156) et du CICR (BAG 251 008
012).
- ouvrages des auteurs cités., |
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Le 5 Juillet 1962 fut la journée la
plus meurtrière de toute la guerre d'Algérie.
Ce jour-là pourtant ce n'était déjà
plus la guerre, mais la première fête de l'indépendance
!
Certains en ont entendu parler, d'autres jamais, beaucoup préférant
de pas savoir.
Pourtant les faits sont avérés. Les Oranais de plus
de 60 ans ont tous assisté à des horreurs.
Et leurs enfants aussi savent qu'il s'est passé quelque chose
ce jour-là...
J'attends le jour où l'un de ces enfants algériens,
l'écrivain Kamel Daoud par exemple, saura faire montre de
son talent sur ce sujet tabou qui a valu la censure à mon
dernier film Algérie, histoires à ne pas dire, où
45' lui sont consacrées.
En attendant, il faut lire, et faire lire Requiem pour un massacre
oublié texte, superbement écrit, de cet autre enfant
d'Oran qui, comme un million de ses compatriotes, pied-noirs et
juifs, fut chassé de son pays en 1962 :
Oran, 5 juillet 1962: requiem pour un massacre
oublié (1/2)
Combien de temps encore pour que la lumière soit faite?
Gérard Rosenzweig
Publié dans Le Causeur le 04 et le 05
juillet 2016
http://www.causeur.fr/oran-guerre-algerie-decolonisation-5-juillet-1962-1-38933.html
http://www.causeur.fr/oran-guerre-algerie-decolonisation-5-juillet-1962-2-38934.html
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Rocard.
Rocard est mort et, bien sûr, toute la classe politique a
fait part de son émotion,
non seulement la gauche profonde mais aussi tous les ténors
de lUMP dite Les Républicains !
Et pourtant, lisez ci-dessous qui était vraiment ce personnage
qui fut premier ministre du président à la francisque
dargent.
Une rose pour le FLN
Le premier geste politique de François Hollande après
avoir été désigné candidat officiel
du parti socialiste,
est d'aller jeter une rose dans la Seine sur le pont de Clichy
à Asnières, à la mémoire des manifestants
FLN à Paris.
> Une manifestation interdite en pleine guerre d'Algérie
le 17/10/61.
> Comment aller jeter une rose à cet endroit, et faire
abstraction des actes sanglants du FLN en Algérie et en France.
Faut-il rappeler que le FLN a tué plus d'Algériens
que toutes les manifestations les plus réprimées de
cette époque.
Par ce geste il fait passer le FLN pour de pauvres victimes
de la barbarie colonialiste française.
> Le FLN extorquait des fonds pour sa guerre, menaçait
de mort, torturait, égorgeait et faisait exploser des bombes
tuant des innocents ici et là bas.
Nous n'avons aucune repentance à avoir, ni d'excuses
ou de regrets à formuler.
> Pensons plutôt à toutes les victimes du FLN, à
nos jeunes soldats morts en algérie, aux harkis lâchement
abandonnés
et non récompensés de leur choix français
au moment le plus critique de cette guerre.
> Honte aux politiques qui font les guerres, missionnent des
agents au service de l'état dans les pires moments de la
république pour les désavouer ensuite et cracher sur
leurs tombes 40 ans après.
Ayons plutôt une pensée, à la mémoire
des exactions commises par le FLN, ce ne serait que justice !
En ce qui concerne le FLN, à l'époque il y avait
une autre voie possible vers une indépendance ( de toutes
façons inéluctable), dans le calme, sans les horreurs
commises sur les "pieds noirs" et les Harkis qui auraient
décidé de rester en Algérie; c'était
de s'entendre avec l'ALN !!
Mais De Gaulle qui méprisait les uns et les autres les
a envoyé à la boucherie, comme il a su le faire pour
tous ceux qui se mettaient en travers de sa route de Pétain
à Leclerc...
N'oublions pas non plus que les "porteurs de valise"
de l'époque s'appelaient Michel Rocard, Laurent Dumas, Badinter
etc etc...
Tous de grands patriotes !! ils auraient mérité
douze balles dans la peau pour avoir trahis leur patrie !!
Les Français ont la mémoire courte et terriblement
sélective... et, depuis;
ils ont tous été admis dans l'ordre de la Légion
d'Honneur?. C'est pas beau, çà ???
Liste non-exhaustive des porteurs de valises (réseau
Jeanson)
Françis JEANSON , Hélène CUENA, Dr. CHAULET
et sa femme Anne-Marie, Jacques CHARBY , le professeur D'ALSACE
et le professeur Pierre VEULLAY , les prêtres de la Mission
de France: Abbés Pierre MAMET, Robert DAVEZIES, BOUDOURESQUE.
> > Les acteurs Paul CRAUCHET ,André THORENT , Jacques
RISPAIL , François ROBERT , Jacques MIGNOT , Jacques et Lise
TREBOUTA , Serge REGGIANI , Catherine SAUVAGE , Roger PIGAUT , l'écrivain
Georges ARNAUD , Georgina DUFOIX , Guy DARBOIS , Paul-Marie de la
GORCE , Annette ROGER , Michel ROCARD , Jean DANIEL, Henri CURIEL
et sa femme Rosette , Roland CASTRO , Hervé BOURGES , CASALIS
, Gérard CARREYROU , Guy BRAIBANT , Pierre BOUSSEL , Marc
BLONDEL , Christian BLANC , François AUTAIN , Pierre FRANK
dit "Pedro", AlainGEISMAR , Jean GIOVANELLI , Bernard
KOUCHNER , MarcKRAVETZ , Henri ALLEG , Françoise SAGAN ,
Bernard SCHREINER , Georges SUFFERT , Jacques VERGES , François
MASPERO , Jacques MELLICK , Christian NUCCI , Claude OLIVENSTEIN
, Jean?Marie PAUPERT , Jean-Louis PENINOU , Michel PEZET , René-Victor
PILHES , Hubert PREVOT , Madeleine REBERIOUX , Pierre VIDAL-NAQUET
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Ces guignols siphonnent les voix des Français
nationaux, le temps d'être élus et, dès qu'ils
ont retrouvé leur cher pouvoir, ils se moquent du peuple.
Toute la 5 ème est fondée sur
le mensonge , à commencer par le fameux "Je vous ai
compris" alors que De Gaulle traitait déjà avec
le FLN via Mohamed V, Bourghiba, Masmoudi, G. Palewski, Pompidou,
Tricot, à Genève, Tunis et le Caire et savait qu'il
mettrait Ben Bella au pouvoir, 3 ou 4 ans après, puisqu'il
l'a dit à son collaborateur technique ,le polytechnicien
Jean Méo de la promotion de Bastien-Thiry !
Pierre BARISAIN
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Chers amis du Collectif,
Paru ce matin dans Causeur.fr, voici la première
partie de mon article sur le massacre du 5 juillet 62.
Rien de nouveau, bien sûr. Comme je l'ai
dit, juste un tout petit pas de plus vers la reconnaissance officielle...
Bien amicalement à chacun de vous, et
ma gratitude à JP LLEDO.
G. Rosenzweig
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Manu GOMEZ |
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LE CALVAIRE DES ORANAIS
Fin juin soixante-deux, ma ville est moribonde.
Oran qui fut si vivante est à l'agonie.
Elle vit ses derniers jours dans une tristesse profonde.
Elle respire très mal, son cur est en arythmie.
Au port, des cuves de mazout sont incendiées.
Une fumée noire opaque enveloppe la ville,
Un spectacle sinistre, impossible à oublier.
Les pieds-noirs, ces damnés, se préparent à
l'exil.
Les derniers commandos de notre Résistance
Viennent de partir en hâte vers les côtes espagnoles.
Les malheureux Oranais sont en désespérance.
L'Armée française ne peut plus jouer son rôle.
Depuis le dix-neuf mars, jour maudit des pieds-noirs,
Le pouvoir gaullien n'a plus qu'un seul ennemi :
Les factieux d'Algérie, poussés au désespoir.
Face aux fellaghas barbares, De Gaulle s'est soumis.
Attentats et enlèvements sont le lot
incessant
Des pieds-noirs accablés, sans aucune protection.
Des personnes enlevées sont vidées de leur sang,
Jusqu'à une mort lente, bien pire qu'une exécution.
Il existe au Petit Lac un hôpital précaire
Où exerce le sinistre Jean Larribère.
À ce communiste notoire, salopard renégat,
Il lui faut du sang pied-noir pour les fellaghas.
Dans un climat de peur et d'anxiété,
Oran vit les premiers jours de l'indépendance.
Jusqu'au quatre juillet, on a pu constater
Que le F.L.N. veut nous mettre en confiance.
Est créé un comité de réconciliation
Pour donner l'impression d'une concorde rétablie.
Ce n'est qu'une duperie, une mystification,
Pour leurrer les naïfs, mais surtout les roumis.
Or, le cinq juillet, on a très vite réalisé
Que le calme relatif des quatre dernières journées,
C'était pour nous tromper, nous "apprivoiser"
Avec des mots apaisants sans cesse serinés.
La tuerie du cinq juillet fut préméditée.
La fête de l'indépendance servit d'alibi
Aux assoiffés de sang qui, avec avidité,
Se ruèrent comme des fous sur les pieds-noirs honnis.
Preuve que le massacre fut prévu et combiné
:
Des civils sont armés, couteaux ou armes à feu.
Ils sont venus en ville bien déterminés
À nous trucider en poussant des cris haineux.
Cette chasse au faciès blanc n'est pas
spontanée.
Elle est simultanée dans bon nombre de quartiers.
Barbares par atavisme, ces maudits forcenés
Abattent pareillement hommes, femmes,enfants, sans pitié.
En uniforme de combat, de nombreux musulmans
Parcourent les rues du centre et, sans discernement,
Mitraillent tout ce qui bouge avec une rage effrénée.
Les fameux "marsiens" se montrent les plus déchaînés.
Ils entrent dans des boutiques, des restaurants,
des bars,
Chargent les personnes qui s'y trouvent dans des camions,
Vociférant des insultes en sinistres barbares.
Ce sont là les fiers soldats de la rébellion ...
Les victimes de la rafle sont directement conduites
Au commissariat central ou au stade municipal.
D'autres sont amenés dans la cité maudite
Du Petit Lac où les attend une issue fatale.
De nombreuses victimes subissent le pire des
calvaire.
Pendues par la gorge à des crochets de boucherie,
Certaines endurent le martyre pendant une longue agonie.
Les nouveaux maîtres se délectent de leur sadisme pervers.
Sur un ordre criminel de non intervention,
Ils sont abandonnés, sans aucune protection,
Ces pieds-noirs exécrés par un pouvoir infâme,
Un pouvoir revanchard, sans conscience et sans âme.
Jusqu'à dix-sept heures, l'Armée
française est restée
Consignée dans les casernes, sans porter secours
Aux Français qui étaient enlevés ou tués
Par des hordes sanguinaires comme dans une chasse à courre.
C'est un des épisodes des plus déshonorant
De ce vil gouvernement qui a refusé
De porter assistance à ces Français d'Oran,
En danger de mort, selon l'ordre de l'Elysée.
Parmi les officiers, il y eut des exceptions.
Certains ont désobéi à la hiérarchie
Et ont pu ainsi sauver des centaines de vie,
Mais ils furent sanctionnés pour leur transgression.
Une mention spéciale pour Monsieur Rabah
Khélif.
Lieutenant français, pour son courage admirable.
Ce brillant soldat mérite tous les superlatifs.
Son acte de bravoure restera inoubliable.
Ce jour-là, des musulmans sont intervenus
Pour sortir du guêpier des civils innocents
Dont le tort était d'être là au mauvais moment.
Ils méritent notre estime ces braves inconnus.
Cinquante-quatre ans après, la France
des "droits de l'homme"
Ne veut pas reconnaître sa culpabilité
Dans cette chasse aux pieds-noirs, ou aux roumis, c'est tout comme.
Pourtant ce massacre de masse est une réalité.
Jean-Paul Ruiz
4/07/2016
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03 Juillet 2016 La Seyne-sur-mer: |
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Cercle algérianiste national
Sauvegarder, défendre, transmettre l'histoire et la mémoire
des Français d'Algérie
Lettre ouverte à
Monseigneur Henri TEISSIER, ancien Archevêque d'Alger
Monseigneur,
Le 27 février dernier, vous honoriez de votre présence,
une cérémonie du souvenir au cimetière Saint
Eugène dAlger, cher aux français dAlgérie
qui comptent tant des leurs, enterrés dans ce lieu, emblématique
de leur présence sur cette terre dAfrique du Nord.
Cette cérémonie, Monseigneur, avait cependant un
goût particulier puisquil sagissait de rendre
hommage, en présence de leaders du FLN, à Fernand
IVETON, ancien terroriste et poseur de bombes de la bataille dAlger.
Cette présence, vous le comprendrez, a blessé et
heurté nombre de familles de français dAlgérie,
victimes des attentats notamment à Alger, dont les civils
innocents connurent pendant de longues années, les ravages
causés par le terrorisme aveugle.
Et, comme si la symbolique nétait pas suffisamment
forte, vous avez tenu, sans doute pour complaire aux autorités
du pays, à lire une lettre de laspirant MAILLOT,
déserteur de larmée française qui emporta
dans les rangs du FLN, les armes destinées à tuer
les européens dAlgérie.
Sans doute me répondrez-vous, Monseigneur, que la compassion
est une vertu chrétienne qui transcende les idéologies
et ne tient pas compte des engagements politiques des individus,
mais cela nous oblige cependant à vous demander solennellement,
quelles initiatives vous comptez prendre pour rendre hommage aux
centaines de vos frères en chrétienté, enlevés
et assassinés à Oran un terrible jour de juillet
1962, le 5 très exactement, et que leurs parents ne revirent
jamais.
Allez-vous leur rendre de la même manière, en homme
de courage bravant les ukases des gouvernants algériens,
un hommage mérité, eux qui furent pour lessentiel,
des femmes, des enfants, des hommes innocents choisis aveuglément,
juste pour ce quils étaient, des pieds-noirs, des
chrétiens aussi, issus du petit peuple dOranie?
Allez-vous vous souvenir que tous les morts méritent le
même respect, le même hommage mémoriel, la
même compassion, ou allez-vous détourner le regard
comme le fit en son temps Monseigneur Duval, abandonnant ceux
dont il avait la charge, les laissant à leurs drames et
à leurs souffrances, pour répondre à lappel
des nouveaux maîtres du pays?
Cest à ces questions, en effet, que les milliers
de familles de disparus dont les blessures nont jamais été
refermées et qui pleurent encore les êtres chers
assassinés, et avec eux, tous les français dAlgérie,
aimeraient avoir une réponse.
Nous sommes convaincus, Monseigneur, que vous aurez à cur
de nous dire, vous qui en êtes lune des expressions,
comment en 2016, lEglise dAlgérie peut faire
uvre déquité et rassembler dans ses
prières tous ceux dont elle a eu la charge et dont le destin
a été à jamais brisé.
Thierry ROLANDO
Président national du Cercle algérianiste
Association culturelle des Français d'Afrique du Nord
1, rue Général Derroja 66000 PERPIGNAN - Tél.
04 68 53 94 23
Courriel : contact@cerclealgerianiste.fr |
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Bravo à Manu GOMEZ et au Cercle Algérianiste
du Gers: |
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2016_06_25 |
André Suarès, fin linguiste, fut d'une lucidité
parfaite dans un monde d'aveugle. Rien n'a changé.... Bonnes
Pâques. Geneviève de TERNANT
à méditer et à resservir le cas échéant
aux Bobos et autres dévoyés:
Être un refuge aux proscrits, quoi de plus touchant ?
Offrir aux malheureux un asile, ouvrir un lieu de repos où
les persécutés puissent reprendre haleine ; passer
aux yeux du monde entier pour cette terre humaine, la seule enfin
où lhomme nest dabord pas un ennemi pour
lhomme, sa victime ou sa proie, quoi de plus beau ? [
]
En retour, il faut que les infortunés se sentent quelques
devoirs envers ceux qui les sauvent. Sils nont pas le
cur assez bien placé ni assez de goût pour se
créer des obligations plus délicates, au moins faut-il
quils sen connaissent une : celle de se plier aux lois
de leur nouvelle demeure, si peu digne deux quils la
jugent. La première loi quun peu dâme devrait
leur imposer est le devoir de se taire. [
] Ils ne vivent ici
que par la grâce de lamitié quon leur prête,
et ils agissent en constants ennemis.
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25 juin 2016 |
Le jour se lève
La libération des peuples est avancée.
A la fin de la deuxième guerre mondiale, les pays dEurope,
ravagés par loffensive allemande puis par celle des
alliés, se sont réunis sous laile américaine
comme les poussins sous leur poule. Puis, ils se sont regroupés
sous limpulsion des « européistes »
Jean Monnet et Robert Schuman.
Cette quiète convalescence fut appréciée
des peuples épuisés, chassés par surcroît
de leurs territoires doutre-mer, et occupés à
rassasiés âme et corps, sevrés quils étaient
par dix ans de saccages. Quand on a faim, on ne soccupe guère
des intentions du distributeur de la manne, et aussi accepte-t-on
sans rechigner les dons.
Puis vint la mise en place de structures à vocation soi-disant
économique comme la communauté du charbon et de lacier
(CECA) et de la Communauté des Etats Européens (CEE).
Comme rien ne changeait dans leur environnement immédiat,
que les gouvernants continuaient à feindre de maintenir la
souveraineté de leurs états respectifs, on mena ainsi,
dans le contexte contraignant de la guerre froide, les peuples jusquau
traité de Maastricht.
Entre temps, même lAngleterre sapprocha du
piège doré, avec crainte et réticence sy
installa, puis récrimina quant aux conditions quon
voulait lui imposer. Mais elle demeura, secrétant ainsi quelques
chiens heureux que les loups qui venaient leur faire une causette
fuyaient aussitôt, mais de moins en moins nombreux.
Le référendum français de 1992 fut perdu
de très peu par les partisans de la souveraineté
cest à dire de la liberté par la faute
de Philippe Seguin qui se montra tétanisé par un François
Mitterand malin et déjà malade.
Nul ne perçut cette même année que les peuples
se réveillaient dans lancienne Yougoslavie et que la
guerre de libération débutait.
La fuite en avant pour accroître le nombre des pays membres
alla jusquà lambition dintégrer
la Turquie dont lentrée signifierait la désintégration
de la civilisation européenne, qui, elle, existe.
La ruine des pays limitrophes à cause de leuro
et des endettements nécessaire pour quils pussent tenir
leur rang ne fit point réfléchir la « nomenklatura »
en place à Bruxelles et Strasbourg. On mit des gauchistes
à la tête de la commission (Barroso ou Solana) et lentement
apparurent les contours de projet dément qui soutendait lUnion
Européenne : le changement des peuples et leur soumission
au joug dune organisation mondiale à venir quon
baptiserait « gouvernement » le jour venu.
Cette semaine dailleurs, lONU vient de lancer lidée
de la mise en place dune « police mondiale »
qui est une pierre de plus dans cette direction.
Les portes de lEurope et celle des Etats-Unis
furent grande ouvertes et les hordes se mirent en marche « des
bouts de lunivers » comme sécrit Camille
dans Horace.
Les vigies des « villages gaulois » qui,
dés 1992, avaient alerté lopinion sans être
entendues, puis en étant montrées du doigt, furent
rejointes en 2005 par des pans dopinion qui donnèrent,
en France, aux Pays-Bas et en Irlande, des réponses négatives
aux référendums sur la Constitution européenne
et autres sujets intégrateurs.
Les dirigeants politiques professionnels, qui forment désormais
la classe gouvernementale, ignorèrent les « non »
massifs exprimés, contournèrent cette opposition et
perdurèrent dans ce quon peut appeler désormais
une trahison des clercs. Et les catastrophes saccumulèrent
que la crise financière de 2008 favorisa.
La Grèce surtout, mais le Portugal, lEspagne, lItalie
et dautres contrés à lest ne pouvaient
survivre sous la monnaie unique quon aurait pu nommer le « mark »
tant elle en avait la couleur. Mais rien ny fit. LAllemagne
de Merkel imposa de poursuivre « par le fer et par le
sang » comme laurait dit Bismarck (Durch Eisen
und Blut).
Alors commença, enfin, la révolte des peuples.
Et le référendum britannique eut lieu. 52% des électeurs
demandèrent que la Grande Bretagne se retirât de lUnion
Européenne.
Il est au fond normal que ce soit les Anglais qui tirent les
premiers. Cest dans leur nature et on les y enragea au moins
une fois. Nigel Farage, ce talentueux tribun qui mit si souvent
la face des européistes à nue dans le grand cirque
de Strasbourg, a mené campagne et ses compatriotes lont
suivi.
« Il vaut mieux être le premier dans son village
que le second à Rome » dixit César. La
formule reste vraie et les Britanniques ont choisi de sortir de
lUnion Européenne pour redevenir eux-mêmes. A
présent, nul ne peut nier que Bruxelles ou Strasbourg nont
plus de légitimité et que leurs prétentions
doivent être soumises au feu des urnes dans chaque pays membre.
Surtout si on savise de ce qui se passe aux Etats-Unis
sous limpulsion de Donald Trump. Là encore, le peuple
se soulève et semble décidé à recouvrer
sa souveraineté avant quil ne soit trop tard.
Si juin est le début de la débâcle (au sens
propre du terme) en Europe, novembre peut-être celle du monde,
avec le retour dune Terre de nations libres de faire la loi
chez elles, libres davoir les amis quelles souhaitent
et libres de pratiquer les murs quelles chérissent.
« Vérité en deçà des
Pyrénées, erreur au delà »
Georges Clément
Comité de Lépante
Ancien président du Comité francilien de défense
du franc
Ancien membre du Conseil national souverainiste |
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23 juin 2016 |
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Pour NOS
Disparus, ne rêvons pas... D'après les gouvernements
français et algérien, il n'y aurait pas eu de disparus
entre 1954 et 1963....
HC |
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RAPPEL |
Cercle algérianiste du Gers, le 25 décembre
2014:
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjf8KSEyrzNAhXFWywKHfB7A68QtwIINjAD&url=https%3A%2F%2Fwww.youtube.
com%2Fwatch%3Fv%3D3eZK9fpGv7I&usg=AFQjCNEdmQcrA11_u--O4_wIH0EwdZfMrQ |
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La France paie encore l'alliance de charles
2gol et des communistes en 1945... |
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Français, réveillez-vous!!
HC |
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Manu GOMEZ |
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Une ignominie de plus,
à mettre sur le compte de l'homme du 19 mars 1962... |
22 juin 2016 |
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Obsèques d'un grand Ami de la recherche
de la Vérité. |
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Le Massacre de la rue
d'Isly était bien prémédité... |
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PDF de cette commission. |
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Temps dorage chez les footeux !
Voilà que cela recommence ! Nous avons eu laffront
de 2010 et nos « champions » en grève
en Afrique du Sud et nous voilà en 2016 dans le monde du
football plongé dans une autre tourmente médiatique.
Cest un « franco-étranger » à
double nationalité, qui sème la zizanie. Il ne reconnait
pas sa faute et accuse. Il se prend pour un des nombrils de la sphère
footballistique et marque un but contre le moral de léquipe
de France et lEuro 2016. Bien entendu, il trouve des soutiens :
ceux qui ont eu un problème avec la France et qui trouvent
là un moyen facile de se venger. Auraient-ils pu attendre
la fin du « 2016 » ? Non, loccasion
est trop belle de jeter une peau de banane dans les pieds de léquipe
de France et de créer ainsi un sentiment de malaise. En effet,
comment peut réagir une équipe qui se trouve tout
à coup confrontée à cette guerre du communautarisme,
du racisme et de la bêtise ?
Souvenons-nous des « quotas » où Laurent
Blanc sest trouvé piégé il y a deux trois
ans ! Cela avait fait une bombe chez les footeux, comme si
à limage de nombreux pays aux ethnies diverses, il
y avait eu un partage des « genres » :
un peu blanc, un peu noir et un peu pour chaque couleur de peau.
Le problème a duré assez de temps pour que certaines
langues vipérines trouvent de quoi alimenter leurs sacs à
étrons.
Mais doù vient le mal ? Les centres de formations
de la FFF sont pleins de ces gens qui veulent devenir des vedettes,
mais qui ne se servent de la France, de ses centres de formations,
des finances du peuple et de leur identité française
que pour obtenir un diplôme qui leur permet de retourner dans
le pays dorigine de leurs parents en faisant un bras d'honneur
à ceux qui leur ont enseigné lart des dribles.
Souvenons-nous de léquipe FLN dont parle avec admiration
France 2, oubliant les morts de la guerre dAlgérie.
La faute à qui ? Je déclare coupable la FFF !
Elle est entre de mauvaises mains. Celle dun humanisme collectiviste
pratiquant depuis des années la lâcheté et lillusion
qui lui font fermer les yeux sur le communautarisme qui gangrène
le monde du foot... Il faut se plier à la viande halal lors
des repas, il faut des chambres à part, il faut un muezzine
à disposition et par-dessus tout, ne pas chanter la Marseillaise
lors de réunions nationales ou internationale et montrer
ainsi que le « Je ni... ta mère »
nest pas que dans de vulgaires chansons.
Aujourdhui la polémique grandit parce quun joueur
qui a trempé dans une drôle daffaire de « sexe-partie »,
puis soumis à une enquête judiciaire, aurait voulu
le beurre et largent du beurre, ainsi que la sélection
pour lEuro 2016. Sous linfluence dune bande de
« copains » certainement imprégnés
dune religiosité de surface, il sest laissé
entraîner dans la combine dun chantage minable. Il y
a un retour de manivelle quil naccepte pas, et il faudrait,
aux yeux de certains, lui donner le feu vert de la sélection
sans le résultat de lenquête. Même un ancien
ministre, « fan » du « genre »,
sen mêle. Il donne raison avec quelques « people »
à un footballeur qui ne mérite que le silence pour
ne pas dire le mépris davoir lancé son incantation
juste avant lEuro 2016. Une sorte de haine et de méchanceté
idiote. Je me permets de reprendre la phrase dYves Thréard
dans le « Figaro » du 02/06/2016 qui dit bien
et clair ce que beaucoup pensent « Bercé par la
culture de lexcuse, B... pratique le racisme à rebours
qui consiste à toujours rejeter la faute sur lautre
pour nier la sienne. »
Robert Charles PUIG à Nice, le 03 juin 2016 |
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Message lu par son auteur : Pierre Garidou lors de notre protestation
contre l'apposition d'une plaque pour le 19 mars au Passage d'Agen
Mon pauvre drapeau,
je te regarde je vois que tu es triste, comme moi, tu pleures;
je vois couler le long de ta hampe des larmes: des larmes rougies
par le sang de tous ces soldats qui sont morts et que tu as recouverts
dans un dernier hommage.
Le crêpe noir que tu arbores aujourdhui, est le
signe que tu nas rien oublié; comme toi je me recueille
en pensant à tous ceux qui ont cru et défendu la France
en Algérie.
A lépoque tu portais haut et fier les valeurs de
ton pays tu flottais sur tous les continents et tu étais
respecté.
Pauvre drapeau, lorsque tu te battais jusquà ta
dernière goutte de sang dans les djebels tu nimaginais
pas quun jour on puisse tassocier à la plus grande
forfaiture que ton histoire a connue.
Ne regarde pas partir la triste copie quon a faite de
toi et quon emmène commémorer une plaque qui
rappelle l'abandon de notre terre natale l'exode et les massacres
de nos frères et soeurs?
Comme toi, jai le cur gros mais comme toi je ne
baisserai pas la tête parce que tous les deux nous ne voulons
pas que notre France, celle de l honneur, du courage et de
la fidélité à la parole donnée, soit
bafouée.
Honte à ceux qui ont oublié les massacres des
civils, des militaires et des harkis après le 19 mars 1962-
Honte à ceux qui ont oublié la patri,e pour ne
penser qu'à la quille.
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Archives du général Goubard -
Source Francine Dessaigne
http://www.alger26mars1962.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=173:3-5-liste-nominative-des-tirailleurs-de-la-section-du-4eme-rt-en-place-au-plateau-des-glieres&catid=43&Itemid=136
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11 mai 2016 |
Bonjour Monsieur Thierry BEZER,
Je vous félicite pour le sujet de samedi 14 mai, "le
voile de la discorde" dans votre très bonne émission:
"la voix est libre" sur FR3-Provence-Alpes.
Est-ce que vous aurez la possibilité, vous ou un de
vos invités, de dire que la situation actuelle en
France comme en Europe, est la conséquence directe de la
forfaiture de de gaulle Charles?
Durant les folles journées d'espoir de mai 1958, avant
que cela ne devienne "l'espérance trahie", les
femmes françaises musulmanes de la Casbah d'Alger,
sont venues sur le Forum bruler leur haïk.
Elles avaient soif d'émancipation de la femme. Avec
la victoire (politique) du FLN, ces femmes sont retournées
quelques siècles en arrière. Quelle tristesse
de voir en France, dans les grandes surfaces de la PACA, des jeunes-filles
d'à peine 20 ans, revêtir un voile presque intégral?
Merci de m'avoir lu.
Cordialement |
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Ne jamais oublier, pardonner encore moins!
HC |
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Comme beaucoup de mes concitoyens j'ai été scandalisé
d'apprendre votre décision de convier un rappeur qui, dans
les paroles de ses " chansons "a montré du mépris
pour la France, pour "animer" un concert dans votre ville.
Est - ce que ce type de musique est bien adapté à la
solennité de la commémoration des tueries de la Guerre
de 14 - 18 ? NON !
Je connais bien Verdun et sa région. Je m'y suis rendu et y
vais assez souvent pour faire découvrir jusqu'où la
bêtise humaine pouvait aller. *
A chaque fois que je vais sur les champs de bataille, je suis profondément
ému, en voyant ses milliers de tombes alignées et je
ne peux m'empêcher d'avoir les yeux embués en pensant
à tout ces jeunes qui ont sacrifié leur vie pour notre
Liberté.
Avez vous pensé une seule seconde à eux avant de prendre
votre décision totalement inepte ? NON !
Merci de faire en sorte que ce concert qui n'a rien de culturel ni
pour la Région, ni pour le lieu, ni pour lévènement
célébré, soit PUREMENT et SIMPLEMENT ANNULE .
Salutations
Pierre Evrard
* au vu de votre décision... les limites sont loin d'être
atteintes. Hélas ! Et je terminerai par un trait d'humour.
On a coutume de dire que souvent le hasard fait bien les choses.
Dans le cas présent M. HAZARD a fait l'inverse
http://www.huffingtonpost.fr/2016/05/12/black-m-verdun-etat-gouvernement-mairie_n_9933332.html
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Belle conférence de René Lazard
au Cercle Algérianiste de Nice aujourd'hui 7 mai; l'orateur
a expliqué la stratégie napoléonienne cartes
à l'appui et a captivé son auditoire par sa connaissance
du sujet ( il a parlé près de 2 heures sans la moindre
note!)... Le général Choux est intervenu suite à
une question pour exposer l'organisation de l'armée française
de l'époque et des années 1940 jusqu'à aujourd'hui.
Nous avons tous passé un agréable moment, et l'association
<Pour le Panache> était également représenté
avec son président, l'ami Daniel Mathieux, et l'épouse
de ce dernier dans de magnifiques costumes impériaux.
Nous recommencerons surement l'expérience!
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05-05-2016 |
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Vivement que la Vérité éclate
et que les statues du Menteur, soient déboulonnées
HC
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Notre Maman du ciel, Notre Dame dAfrique, Mère
de Dieu et Mère des Hommes, nous réunit cette année
encore en ce lieu.
Nous avons répondu à son appel car Elle nous invite
une fois de plus à nous rapprocher de son Fils bien aimé,
Notre Seigneur Jésus Christ. Elle nous invite à venir
sur cette colline pour y déposer nos fardeaux et recevoir
sa consolation. Elle est vraiment Mère, et Elle ne saurait
faillir à la mission que son Divin Fils lui a confiée
alors même quIl se trouvait sur la Croix dans laccomplissement
total du don de sa Personne pour le salut du monde.
Nous ne doutons pas que les prières que nous Lui avons adressées
ne sont pas restées lettres mortes, et que, même si
elles nont pas été exaucées de la manière
que nous laurions désirée, le Cur de Jésus,
par lintercession de la Vierge Marie, sest ouvert à
chacune de nos demandes pour laisser sépancher la compassion
et la miséricorde divines.
Oh, je crois savoir tout ce que vous avez pu venir lui confier de
vos peines, mais aussi de vos joies, de vos espérances pour
les vôtres ou pour vous-même. De vos inquiétudes
face à un horizon des plus sombres où dominent le
rejet de Dieu avec comme conséquences la guerre, la haine,
la déshumanisation de la société, la désintégration
de la famille
Et en plus, pour nous Pieds-Noirs et Harkis,
la souffrance dune plaie toujours ouverte, 54 ans après
la perte de notre pays, lAlgérie. Le mensonge, la trahison,
la manipulation nont cessé de poursuivre leur uvre
pour couvrir le crime commis par celui qui avait su si bien nous
abuser et par ses complices de tous bords, dont les survivants ou
les descendants idéologiques travestissent de manière
éhontée cet abandon. LAlgérie cétait
la France, mais pour nier cette réalité ils nhésiteront
pas à déconnecter les consciences, à laver
les cerveaux et, en refaisant lhistoire, à culpabiliser
toute une nation qui, depuis, ne cesse de se repentir dune
faute quelle na pas commise. Opération mortifère
qui conduit à la négation de la patrie et de toutes
les valeurs qui sy rapportent. Mais, plus grave encore, pour
que la mise à mort spirituelle soit complète, il sagit
aujourdhui de couper la France, et avec elle tout loccident,
de ses racines chrétiennes, dune culture et dune
société édifiées sur le christianisme.
Comme je vous le disais lan dernier, lAlgérie
a été lun des pions de léchiquier
sur lequel se jouait la stratégie de la destruction de loccident
chrétien. Face aux forces des ténèbres qui
se déchaînèrent alors, notre petit peuple lutta
autant quil le put ; de véritables héros
se révélèrent et nhésitèrent
pas à donner leur vie dans un combat inégal ;
nous pouvons en être fiers ; dautres, nombreux, innocents
et sans défense furent fauchés, victimes dun
holocauste dont le but était de rendre impossible toute survie,
quelle quelle soit, de ce qui avait été construit
durant ces 130 années de labeur, de courage, de persévérance
et de découvertes mutuelles entre les différentes
composantes de la population de lAlgérie française.
Dans une allocution à loccasion du cinquantième
anniversaire de léglise de Notre dAfrique à
Carnoux en Provence, Mgr Jean-Marc Aveline, évêque
auxiliaire de Marseille et lui-même Pied-Noir né à
Sidi bel Abbès en 1958, évoque « le mélange
culturel qui nous a façonnés chrétiens, juifs
et musulmans, là-bas, sur lautre rive, jusquà
ce quun vent sournois venu dailleurs, éveillent
les méfiances, brisent les amitiés et distille la
haine ». Oui, il fallait creuser un abîme entre
les communautés et le terrorisme y est parvenu. Quel constat
54 ans après : une Algérie au bord du gouffre,
et une France qui a perdu son honneur et son identité. Puis-je
citer encore Mgr Aveline lorsquil dit que, retournant là-bas
ces dernières années, « il a pensé
avec tristesse que ce nest sans doute pas lorsquelle
était française que lAlgérie avait été
la plus malheureuse ». Même si, bien sûr,
les choses devaient continuer de changer. Mais il y avait certainement
dautres voies ! Et jose ajouter dautres voies
que labandon lâche et criminel du pays entre les mains
des égorgeurs.
Hélas, nous ne referons pas lhistoire. Cependant il
nous faut vivre le présent et lutter pour lavenir,
celui de nos enfants, de nos familles et de notre patrie. Mais nous
savons aussi que lavenir est entre les mains de Dieu. Bien
sûr, une telle pensée ne doit pas nous plonger dans
le fatalisme dun Mektoub qui nous réduirait à
une attente passive des événements. Mais bien au contraire
à une mobilisation générale pour agir avec
Dieu et par sa grâce à lédification dun
monde nouveau. Quelles sont les armes pour mener ce combat :
en tout premier lieu et dune manière urgentissime,
la prière. En particulier la prière à Marie.
Cest Elle, Notre Dame dAfrique, qui nous conduira dans
la défense de notre foi et de notre patrie. Et justement,
pour chacun de nous, simpose la redécouverte de cette
foi chrétienne et son approfondissement. Vivez véritablement
votre foi. Je vous lance un mot dordre : « Occupez
vos églises ; ne les laissez pas vides. »
Si vous les remplissez, elles seront autant de bastions solides
qui empêcheront les ténèbres denvahir
notre monde. Cest là que vous puiserez la force et
le courage nécessaires pour faire face à ladversaire
et pour ne pas craindre de vous affirmer chrétiens.
Que Notre Dame dAfrique et tous les saints dAfrique
du Nord
nous aident à être fidèles à
Dieu et à son Eglise.
Amen.
Monseigneur Jean-Yves MOLINAS |
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10h30 - 10h45 MAGAZINE
Le frère Yves Combeau accompagnera les téléspectateurs
durant cette première
partie démission.
- Les tablettes de la foi : épisode « Le pardon »
- Reportage « La foi des bâtisseurs » : Afin dintroduire
le lieu de la
célébration, nous découvrirons lhistoire
de léglise Notre-Dame-dAfrique à
Carnoux-en-Provence, qui fête ses 50 ans. Après lindépendance
de lAlgérie
et du Maroc, ce sont en effet les rapatriés qui ont créé
léglise, puis qui
se sont investis dans la paroisse.
10h45 - 11h40 MESSE
La messe est célébrée en l'église Notre-Dame-d'Afrique
Carnoux-en-Provence
(13)
Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille, donnera l'homélie.
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Très belles cérémonies en l'honneur de la
Légion Etrangère à Nice ce samedi 23.
Après la messe à Notre-Dame-du-Port, les participants
ont gagné le Monument aux "Morts pour la France"
de la Ville de Nice.
Le cortège, Légion en tête, puis parachutistes
"bérêts rouges", s'est ensuite dirigé,
suivi du public, vers le Jardin Albert-1er? où la musique de
la Légion Etrangère a joué plusieurs airs traditionnels
dont le "Boudin", les "Africains"...
L'après-midi, Jacques Peyrat, lui-même légionnaire,
qui était présent toute la matinée, a prononcé
une conférence sur la "colonisation française"
rappelant qu'il s'agissait au départ d'une idée de
gauche (Jules Ferry) et qu'il n'était pas d'accord pour quelque
forme de repentance que ce soit.
Il a rappelé que grâce aux DOM-TOM, la France avait
le second domaine maritime au monde, après les U.S.A..
A propos de l'Algérie, il a rappelé qu'au départ
de nos compatriotes, ces territoires qui avaient été
civilisés par la France, comptaient près de 10 millions
d'habitants, alors qu'en 1830, ils n'étaient environ
100 000!
Didier ASIN
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Depuis les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, la France
est en état d'urgence. Si le gouvernement actuel avait vraiment
la ferme volonté de débusquer les armes de guerre qui
sont détenues en grande quantité dans les quartiers
de non droit, ce sont des actions comme celle que l'on peut voir sur
cette vidéo qu'il faudrait appliquer et là, ce seraient
des tonnes d'armes et de munitions qui serait trouvées et de
nombreux djihadistes qui seraient arrêtés.
Pour lutter contre l'OAS, De Gaulle avait demandé d'utiliser
tous les moyens et cela a été fait avec zèle
par ses sbires, les gardes mobiles et les barbouzes qui, après
avoir isolé les quartiers ciblés, ont opéré
des perquisitions musclées avec brutalité, voire avec
haine. Mais Hollande est trop lâche pour prendre des mesures
draconiennes pour arrêter et désarmer les djihadistes
qui se planquent dans les quartiers de non droit.
L'OAS se battait pour lutter contre le lâche abandon d'une
province française et aussi, après le 19 mars 1962,
pour défendre les Français d'Algérie que De
Gaulle avait livrés au FLN. Dans sa lutte, l'OAS menait des
attaques et des attentats ciblés contre les complices de
De Gaulle et contre le FLN ce qui n'est pas le cas des djihadistes
qui s'en prennent à des civils innocents, hommes, femmes,
enfants et veulent en tuer le plus grand nombre possible. Alors
que la France est en guerre contre ces terroristes sanguinaires,
les mesures adéquates ne sont pas prises par le gouvernement
actuel. Pauvre France !
Il est bien dommage que nous n'ayons pas un gouvernement qui
soit capable de neutraliser les terroristes qui commettent ou qui
ont l'intention de commettre des attentats aveugles. Cela avait
été fait, avec réussite, pendant la bataille
d'Alger en 1957. C'est une question de volonté et de moyens.
Jean-Paul Ruiz |
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Ce dimanche 24 avril 2016 : grande Messe à
10 heure 45 à CARNOUX-EN-PROVENCE, pour les 50 ans de l'église
NOTRE DAME d'AFRIQUE et de la rénovation de la statue.
VENEZ NOMBREUX.
Rolande CARO
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http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2012/01/07/2675099_lettre-ouverte-a-michel-onfray-concernant-l-article-sur-camus-que-lui-a-consacre-le-point.html |
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Lettre ouverte en réponse à larticle
de Michel ONFRAY sur CAMUS
Jai beaucoup destime pour Michel Onfray et jai
assisté avec intérêt à quelques conférences
à Caen, je ninterviendrai donc absolument pas sur les
jugements philosophiques ou culturels quil porte et interprète
sur Albert Camus.
Ce que je lui reproche en revanche cest de sêtre
prononcé sur des sujets quil ne pouvait forcément
maîtriser puisquil na pas connu Camus.
Jai rencontré Albert Camus pour la première
fois en 1946 à la rédaction du quotidien Alger Républicain
et cest lui qui ma permis de débuter comme «
pigiste » à la page des sports de ce journal. A cette
époque jétais lycéen, comme il lavait
été, au Lycée Bugeaud. Jai eu le privilège
de retrouver Albert Camus fin 1958 lorsque je suis rentré
à la rédaction du quotidien LAurore, à
Paris. Nous avons pris lhabitude de nous retrouver une fois
la semaine notamment à la Brasserie Lipp et jai eu
loccasion de réunir autour dune table Camus,
Ahmed Rafa, le premier général franco-algérien
de larmée française, à lépoque
colonel, et Pierre Blanchar, lacteur de cinéma très
connu. Cest donc à ce titre que jinterviens afin
de rétablir quelques vérités. Certaines très
superficielles mais dautres essentielles pour la mémoire
dAlbert Camus.
Tout dabord Albert Camus na jamais été
se recueillir à la basilique Notre-Dame dAfrique et
cela pour deux raisons, il nétait pas pratiquant et
il fallait une voiture pour y aller et à lépoque
Camus nen avait pas. LAlgérie na pas été
la terre de sa famille depuis 1830 mais bien plus tard (voir mon
livre Camus lAlgérois). Camus na jamais habité
le quartier de Bab-el-Oued mais la rue Bab-el-Oued, au 16, quartier
de la Victoire, au-dessus de lépicerie « La Croix
Bleue » et face au « Café de lÉtoile
» qui appartenait à mon grand-père, et cela
durant six mois, en 1932 chez ma mère. Camus connaissait
très bien cette rue Bab-el-oued quil traversait chaque
jour pour se rendre au Lycée Bugeaud, car le tram des CFRA
qui le transportait de Belcourt avait son terminus place du Gouvernement.
Il en parle longuement dans « Le premier homme ».
Camus na jamais donné des cours à Oran à
des enfants juifs interdits de scolarité par le régime
de Vichy et cela pour une raison bien simple : les juifs nont
jamais été interdits de scolarité en Algérie,
je peux en témoigner puisque jallais à lécole
entre 1941 et 1945 et que mes amis sappelaient Lellouche,
Safrani et Cohen.
Enfin, et là les raisons de mon intervention sont plus graves,
Michel Onfray affirme que « Camus sest rendu volontairement,
sur place, au mépris des risques encourus pour sa vie, mais
aussi secrètement, discrètement » lors dune
conférence qui sest tenue en janvier 1956 dans un local
situé place du Gouvernement. Cela est totalement faux. Camus
lui-même ma affirmé que certains de ses amis
de gauche (voir mon livre Camus lAlgérois) lui avaient
tendu un véritable guet-apens et quil naurait
jamais du participer à cette réunion encadrée
par un service dordre FLN. Quà cause de sa présence
un fossé sétait créé entre lui
et les Pieds-Noirs ses frères et
quil en était encore mortifié près de
trois ans plus tard.
Mon livre, "Camus lAlgérois", est gracieusement
à la disposition de Michel Onfray et de votre rédaction
du Huffington Post.
Très cordialement.
Manuel GOMEZ
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19 mars 1962 date du cesser le feu : larticle
http://guy.perville.free.fr/spip/article.php3?id_article=386 et
lintervention de Guy Pervillé.
La phrase : "Aucun conflit ne sest arrêté
instantanément à partir de la date qui en annonçait
irrémédiablement la fin".
Entraîne de ma part quelques remarques :
Certes, à la fin de la première guerre mondiale il
a pu y avoir des exceptions de fantassins isolés qui ont
pu tirer encore quelques coups de feu contre dautres militaires
faute davoir entendu le clairon sonnant la fin de la guerre.
De même on a découvert 50 ans après la fin de
la seconde guerre mondiale des combattants japonais (un ou deux)
perdus dans la jungle : on en a parlé comme de cas invraisemblables,
le manque de communication étant évident. Tel nest
pas le cas en Algérie : la communication était
omniprésente radio, haut-parleurs, télévision,
« téléphone arabe » a fortiori
dans les grandes villes.
Le cessez-le-feu ne concerne que des combattants, ici il sagit
de massacres de civils désarmés. Évidemment
il ny eut plus de coups de feu seulement des égorgements,
des enlèvements, des viols, des exécutions sommaires
par ébouillantage, émasculations, esclavage tant sexuel
quau travail, etc.
Par ailleurs le fait demmener des groupes de civils devant
les militaires français larme au pied aurait du, pour
des gens civilisés, éveiller quelques doutes sur la
continuation de la guerre.
Il semble au contraire que ce fut le signal dune boucherie
vengeresse en même temps que le désir dune implication
de lâches qui navaient pas pris le maquis et qui voulaient
se donner bonne figure face aux réels combattants.
Cette exultation naît dautant plus facilement que militairement
le FLN était battu, tous sappliquent à le reconnaître.
Or les pourparlers montrent que cest la France qui jette léponge
contre toute logique, que le vainqueur avoue sa défaite et
cest cela qui est une première dans lhistoire
des guerres. Comment sétonner alors des exactions de
ces pseudos héros, mais véritables lâches, qui
sexercent sans risques dopposition armée devant
même les militaires français passifs ? Cétait
un moyen de montrer encore plus sa force, son impunité, sa
supériorité sur un pays comme la France qui venait
de perdre son honneur, sa dignité. Il ne faut pas confondre
magnanimité et lâcheté. Cette déliquescence
na cessé de saggraver depuis, et nous mener où
nous en sommes.
Comment sétonner, alors, que lAlgérie
fête cette date comme une victoire ?! Et chez nous de
pauvres ignares reconnaissent cette date comme une libération,
plus exactement comme la quille nationale, en quelque sorte. Heureusement
que nos aïeux nont pas fêté Waterloo ou
Trafalgar ! Il est vrai quà lépoque
la France était un grand pays honorable. Les temps changent !
En revenant sur cette phrase initiale, je constate quelle
est toujours valable : le conflit ne sest toujours pas
arrêté. En effet les gouvernants algériens lont
fait savoir dès le lendemain : « Ce nest
que le début », « nous vaincrons avec
le ventre de nos femmes » (et jajouterais avec
ceux des nôtres également, quand on voit le nombre
de pères qui retournent au Maghreb avec leurs enfants nés
de « mariages » mixtes)
, le terrorisme
actuel en France et en Europe, lembrigadement de certains
de nos jeunes au combat pour le djihad sans que nos gouvernements
ne prennent de mesures simples et efficaces : expulsions des
imams non gratta et autres auteurs injurieux contre les emblèmes
de la République, multirécidivistes,
On remarque en effet que rien na changé : bombes
dans les bars, restaurants, salles de spectacles, entraînant
fouilles à lentrée des magasins, Sécurité
Sociale, restrictions des rassemblements, casseurs impunis, crainte
de sortir le soir et tout le reste!!!
Adrien BISCOS
La Seyne/mer, 18 avril 2016 |
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Le 19 mars, date funeste dans notre histoire
Certes, il n'est pas très productif de ressasser le passé
quand on regarde l'avenir très incertain qui nous menace,
mais cette date du 19 mars 1952, célébrée par
François Hollande, marque le déclin inexorable la
place de la France dans le monde, de ses ambitions, et de sa grandeur.
Contrairement à la parole et aux promesses données,
un président de la république, de Gaulle, a privé
sa propre armée, pourtant maîtresse du terrain, d'une
évidente victoire.
Contrairement à l'honneur, il a abandonné les
populations indigènes, qui avaient été nombreuses
à nous être fidèles, combattants comme les harkis
ou civils et anciens combattants, sachant très bien le sort
atroce qui leur serait réservé.
Contrairement à ses engagements, il a abandonné
ses propres nationaux (anciens combattants, 20 ans plus tôt,
des campagnes de Tunisie, d'Italie et de France jusqu'en Allemagne)
: tous ont été livrés, pieds et poings liés,
aux couteaux vengeurs du FLN.
De Gaulle a abandonné 130 ans de travail de mise en valeur
agricole de l'Algérie, sans parler d'autres réalisations,
comme les voies de communications, les barrages, les ports, l'éducation
et l'éradication de nombreuses maladies...(La syphilis, etc...)
D'un trait de plume, l'oe??uvre Française en Algérie
passait aux oubliettes.
Laissés, oubliés, le pétrole et la gaz
du Sahara que nous avions trouvés et qui auraient pu apporter
une totale indépendance énergétique de la France...
Oubliée aussi, la position stratégique de l'Algérie,
porte de l'Afrique.
Les accords d'Evian ont été un chiffon de papier
sur lequel se sont essuyées les mains sanglantes des égorgeurs
du FLN, promus comme uniques interlocuteurs (et quels interlocuteurs...).
Du fait de ces accords à sens unique, les Algériens
bénéficient encore en France d'avantages sociaux particuliers.
Dés le 19 mars 1962, l'armée a dû rester
l'arme au pied avec interdiction formelle d'intervenir, fût-ce
pour protéger les populations.
Le 5 juillet, à Oran, malgré le massacre de centaines
d'Européens et de musulmans profrançais, sur ordre
du général Katz, l'armée est restée
figée.
De Gaulle a même fait tirer sur une foule désarmée
; il a utilisé sa police et ses barbouzes pour étouffer
toute velléité de résistance.
Avec une telle politique, comment voulez-vous que le monde (musulman)
vous respecte ?
Voici 54 ans, le pouvoir a été vil et lâche.
Rien n'a changé. Le président actuel se vautre
dans la repentance et célèbre une défaite.
Nous payons cash cette politique désastreuse.
Hugues TAVEL |
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14 avril 2016 |
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Stop aux mensonges du
F.L.N.... |
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HONTE ?
Honte, cest sûr ! Puis de létonnement,
de la bassesse, du déshonneur face à cette attitude
socialiste. A contrario, nest-ce pas un sentiment dindignation
qui anime le peuple de France devant cette honte de voir le gouvernement
de la République « laisser faire »
des manifestants épris de haine contre une loi ? De
plus on saperçoit combien il y a deux poids et deux
mesures entre les manifestations contre le « mariage
pour tous » des années 2012 / 2013, où
les opposants à cette loi inique avaient été
malmenés, emprisonnés par dizaines et aujourd'hui
où ces manifestants de gauche font la « loi des
rues ». Ils cassent, brûlent, attaquent les policiers
à coups de barres de fer, de pierres et de mortiers. Ils
insultent, mentent et blessent, mais le pouvoir nen trouve
que huit à emprisonner à Paris.
Drôle de justice en ce mois davril 2016, qui interpelle
et fait passer en jugement des policiers en position de légitime
défense, parce que submergés dagresseurs quil
ne faut ni toucher ni punir.
Honte donc à cette gauche au pouvoir face à celle
des rues et que le gouvernement « laisse faire ».
Une quasi révolte des « bolcheviques »
de la gauche la plus extrême contre un François Hollande
qui na, peut-on supposer, que ce moyen pour rameuter les socialistes
dispersés à son secours, en accusant finalement et
pourquoi pas, une certaine droite de provoquer ces troubles. Il
y parviendra, ne pouvant accuser sa gauche... et déjà
certains journalistes biberonnant au relativisme de gauche sy
lancent.
Mais le peuple qui a perdu lélection de 2012 sur de
fausses promesses, se laissera-t-il abuser par les mensonges socialistes ?
Acceptera-t-il de confondre les extrémistes trotskistes avec
la droite ? Le mensonge socialiste sapparente au mensonge
gaulliste qui a berné le peuple sur lAlgérie
française, et la mascarade continue !
Manuel Valls va ces jours-ci à Alger. Dans sa démarche,
il y a comme une soumission du PS face à son vieux complice
du FLN, sur le dénigrement de lHistoire de France.
Comment traduire ce voyage ? Abjection, indignité, humiliation,
opprobre ?
Sans réagir face aux interdictions algériennes de
recevoir certains journalistes Le Monde ou Canal +
qui ne sont pas mes références, que va chercher Valls
à Alger ? Il est dans la continuité des discours
de François Hollande de 2012 vers une repentance déguisée
envers les algériens, et cest sans un seul brin de
retenue quil accepte les diktats dun pays qui méprise
la Métropole.
Il est évident que sil avale sans broncher les couleurs
de ce déshonneur, cest que son voyage cache une autre
pensée socialiste bien plus odieuse et méprisable.
En jouant la marionnette élyséenne à Alger
et en rencontrant un Bouteflika invisible aux propres yeux de son
peuple, il prépare lélection de 2017.
Après la reconnaissance du 17 octobre 1961, celle du 19 mars
1962, les socialistes et leur porteur de valises, Valls, montrent
au FLN, combien ils attendent des algériens un « bon »
vote pour la prochaine présidentielle en faisant élire
un Hollande, un Valls ou un autre socialiste cela reste à
définir qui mangent à la même auge un
avoine amer pour un nouveau quinquennat plein de chausse-trapes,
dattrape-couillons ou de pièges à cons !
Les français mordront-ils à lhameçon
PS ?
Cest à craindre face à leffacement de
la droite dont le seul jeu consiste à se tirer dans les pattes,
sans entendre la voix de la raison et la recherche dune unité
introuvable.
Robert Charles PUIG / avril 2016 |
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Durant
ce mois pourri de mars, battons nous encore plus, contre le 19 mars... |
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Certains pays n'ont pas essayé d'effacer
leurs racines chrétiennes, leurs traditions, leur culture,
leur fierté d'être espagnol, leur amourde leur armée,
et cela donne une nation en pleine osmose avec ceux qui
les protègent. Ils sont surs de leur légion, qui sont
tous Espagnols. Je suis certain que personne ne viendra se poser la
question s'il faut faire la crèche de Noël, ou les processions
traditionnelles de Pâques.
François PAZ
https://www.youtube.com/watch?v=itFpKscjCms
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La Garde:
54° anniversaire du massacre de la rue d'Isly à Alger,
26 mars 1962. |
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Faut-il être communiste
pour commémorer une défaite française?? |
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BFMTV 18 MARS 2016 -
SEQUENCE COMPLETE |
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TOULON 54° anniversaire du massacre de
la rue d'Isly à Alger, 26 mars 1962. |
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Robert Ménard a présidé une cérémonie
très émouvante en cette triste journée du 26
Mars. Il a prononcé ce discours que je vous transmets avec
plaisir. Amitiés. Marie-Pascale Rizo
Discours de Robert Ménard, maire de Béziers, prononcé
lors de la cérémonie organisée à la
mémoire des Français victimes du massacre de la rue
d'Isly :
"Mesdames, Messieurs,
Mes chers amis,
Voilà exactement 54 ans, le 26 mars 1962, l'armée
française tirait sur des Français d'Algérie.
67 morts, 200 blessés.
Le soir même, le général de Gaulle prenait
la parole à la télévision. Il exhortait les
Français à dire oui au référendum sur
l'autodétermination lindépendance en
fait - de l'Algérie.
Le président d'un État dont les forces de l'ordre
venaient d'assassiner 67 civils prononçait, osaient prononcer
ces mots : « En faisant sien ce vaste et généreux
dessein, le peuple français va contribuer, une fois de plus
dans son Histoire, à éclairer l'univers ».
Mots grandiloquents, mots emphatiques, mots de morgue, mots
de mensonge. En fait d'univers éclairé, c'était
une nuit sans étoiles et sans lune qui s'abattait sur les
Français d'Algérie et sur les harkis. Une nuit d'effroi
et d'agonie, de rapts, d'égorgements, de viols. Pour tout
un peuple, il n'y aura plus jamais d'aurore sur cette rive de la
Méditerranée.
Trois mois plus tard, c'était l'exode d'un million de
Français fuyant les couteaux et les balles des barbares avec
lesquels ce même général de Gaulle avait signé
un accord. Trois mois plus tard, des dizaines de milliers de harkis
étaient abandonnés à leurs assassins. Ils allaient
mourir dans une orgie de violence
Un demi-siècle a passé. Deux générations.
Beaucoup sont morts qui n'auront jamais revu leur terre natale,
goûté ses fruits gorgés de soleil, senti de
nouveau l'odeur des eucalyptus, ri à gorge déployée
sur les plages de leur enfance.
Pourquoi revenir sur cette période autrement quen
déposant symboliquement, protocolairement, une artificielle
couronne d'hommage, sertie de phrases creuses et mornes ? Pourquoi
se livrer à ce qui peut ressembler à un combat d'ombres
évanouies contre des spectres sans linceul ? Pourquoi ? Parce
que rien n'est achevé. Rien n'est clos. Tout revient.
Le passé, vous savez, le passé se déverse
dans l'avenir. Il est un torrent qui n'oublie rien et qui charrie
en ses eaux toutes les fautes, tous les renoncements, tous les mensonges.
Un jour, le torrent resurgit à la surface et l'on s'aperçoit
alors que ce que l'on croyait disparu voyageait, souterrain, en
silence. Il n'est pas rare dans l'histoire - car l'histoire na
ni morale ni fin - qu'une génération doive payer pour
une autre. Cest bien ce qui nous menace aujourdhui
Le massacre de la rue d'Isly, comme le dieu Janus, a, au fond,
deux visages. Isly est à la fois un commencement et une fin.
Une porte d'entrée et une porte de sortie. Isly est la puissance
et la gloire, mais aussi la faiblesse et la honte.
Puissance, car s'il existait à Alger une rue d'Isly,
c'est parce qu'auparavant, il y avait eu une bataille d'Isly. Le
14 août 1844, aux confins de l'Algérie, 11 000 Français
avaient vaincu 25 000 Marocains. Battus, en déroute, ces
Marocains abandonnèrent l'émir Abdel Kader et ses
tribus épuisées. L'Algérie pouvait devenir
française. Isly, c'est donc une victoire fondatrice, cest
l'Empire, c'est la France sûre d'elle, de sa force, de sa
langue, de sa civilisation.
Mais, depuis le 26 mars 1962, Isly est aussi le symbole de la
France qui fuit, de la France qui se ment à elle-même,
de la France qui meurt
A cinquante ans de distance, nous vivons des faits similaires.
Les événements de 2015 à Paris ou à
Bruxelles - sont l'écho des événements d'Algérie
de 1954 à 1962. Hier déjà, le fanatisme islamiste
galvanisait ceux qui s'appelaient entre eux, non pas des fellagas,
mais des moudjahidines.
Ce fanatisme qui a fait le tour de l'Orient campe désormais
dans nos villes. Le dire n'est pas faire un contre-sens historique,
mais un raccourci libérateur qui mène d'une vérité
à une autre, pour faire comprendre les liens qui existent
et qui expliquent ce qui se passe et ce qui risque de se passer.
Certains nous accusent d'instrumentaliser l'histoire au prétexte
que nous lui donnons un sens qui n'a pas le bonheur de leur plaire.
Mais il y a une différence entre ces gens et nous. Pour la
plupart d'entre eux, l'histoire, ce sont des livres, des films,
des cours... Pour nous, l'histoire, cette histoire, c'est notre
histoire. Nos familles ont payé du prix de l'exil, du prix
des larmes, du prix du sang, le droit de dire cette histoire.
Eux parlent ou écrivent, nous, nous avons vécu.
Et ils voudraient encore, ils voudraient en plus que nous nous taisions
? Que nous les écoutions nous expliquer la guerre d'Algérie
tout en nous excusant de ne pas être morts comme tant des
nôtres ?
Nous ne nous tairons jamais. Et encore moins au regard des événements
de 2015 et de ce début d'année. Et encore moins devant,
face à ce qui vient à nous.
L'islamisme, cela commence par des insultes - « sale français
» -, cela continue par des mosquées fanatisées,
ça se termine par des attentats. Croire que nous n'avons
en face de nous que quelques fous, commandés de loin, c'est
se leurrer. L'islamisme se cache dans chacune de nos villes, chaque
jour renforcé par l'afflux de migrants. Les musulmans qui
refusent leur loi seront les premiers à devoir fuir ou mourir.
Puis - ou en même temps - ce sera notre tour. La France est
en première ligne. C'est donc de France que partira, que
doit partir la résurrection de l'Europe.
Voilà pourquoi nous sommes ici aujourd'hui. Voilà
pourquoi nous n'étions pas là, il y a une semaine,
pour le 19 mars.
Nous ne commémorons pas le 19 mars parce que nous ne
sommes pas des traîtres.
Nous ne commémorons pas le 19 mars parce que nous ne
crachons pas sur nos morts.
Nous ne commémorons pas le 19 mars parce que nous nous
voulons des Français dignes de ce nom.
Chers amis, mes amis, ceux de la rue d'Isly sont morts en martyrs
de l'Algérie française. D'autres sont tombés
en héros pour sauver l'honneur de la France sur cette terre
abandonnée. Ne les oublions jamais.
Dans les temps qui viennent, nous devons conserver en nous la
mémoire des uns et l'exemple des autres. Et alors, nous saurons
que nous ne marcherons jamais seuls sur le chemin du combat.
Vive la France ! Vive la plus grande France ! Vive la France
toujours et encore !"
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ALGER 26 MARS 1962
LE PIÈGE MACHIAVÉLIQUE
Quartier attaqué par des avions en piqué,
Appartements dévastés par des tirs de grenade
Et d'armes lourdes, de pauvres gens paniqués,
C'est bien pire que s'ils avaient subi une tornade.
Depuis trois jours, le quartier de Bab-el-Oued
Fait l'objet d'un blocus car il est assiégé
Par les forces de l'ordre et n'obtient aucune aide.
En manque crucial de vivres, les familles sont piégées.
Par solidarité, de nombreux Algérois
Veulent se rendre dans ce quartier pour y apporter
Leur cordial soutien à ce peuple en désarroi
Qui doit être secouru et bien réconforté.
Une manifestation est donc organisée.
Mais les Algérois ignorent qu'un horrible traquenard
A été ourdi par le monstre de l'Elysée
Qui veut anéantir ces "pieds-noirs braillards".
Une foule pacifique, brandissant des drapeaux,
Portant des paniers de vivres et médicaments,
Est bloquée rue d'Isly et tombe dans le panneau.
Elle va être victime du pire des châtiments.
Posté devant Havas, sans aucune sommation,
Un tirailleur ouvre le feu sans qu'au préalable
Il y ait eu menaces ou vociférations.
C'est le point de départ d'une tuerie effroyable.
Pendant près d'un quart d'heure, les
fusils mitrailleurs
Des tirailleurs musulmans, sans discontinuer,
Vont assassiner, avec avec un sadisme rageur,
Des civils innocents, touchés de plein fouet.
Hommes, femmes, enfants, vieillards, s'écroulent
sur le pavé.
Vidant chargeur sur chargeur, ces soldats sanguinaires
Sont de vrais barbares : des blessés sont achevés.
Ils tirent à bout à bout portant, ces monstrueux sicaires.
Cette tuerie préméditée,
c'est de l'abattage.
Plus de deux cents blessés et des dizaines de morts.
Le premier responsable de cet infâme carnage
Est l'immonde De Gaulle qui n'éprouve aucun remords.
À la hâte, par camions, les cadavres
sont enlevés.
Les familles ne peuvent pas récupérer les corps.
On veut cacher que des blessés ont été achevés.
Les cercueils sont enterrés en un temps record.
Jusqu'à aujourd'hui, cet authentique
crime d'Etat
N'a pas été reconnu par les gouvernements
Successifs depuis qu'on est parti de là-bas.
C'est une chape de plomb qui empêche tout jugement.
Elle n'est pas intervenue, la justice humaine.
Je suis certain que Là-Haut, le Justice divine
A sévèrement jugé tous ceux qui, avec haine,
Ont fait triompher leurs convictions assassines.
Jean-Paul RUIZ
24/03/2015
Les principaux responsables de ce crime d'État
:
En premier lieu : Charles De Gaulle, président
de la République.
Ses complices à Paris : Michel Debré,
premier ministre,
Roger Frey, ministre de l'intérieur, Pierre Messmer, ministre
de la défense.
Ses complices à Alger : Christian Fouchet,
haut commissaire de la République,
Vitalis Cros, préfet de police de la place d'Alger, les généraux
Ailleret et De Menditte.
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CERTAINES CITATIONS SONT CONNUES. IL EST BON
DE SE LES REMETTRE EN MEMOIRE.
Voici ce qu'ont écrit à ce propos des Algériens
d'hier et d'aujourd'hui, dont d'anciens ennemis de la présence
française :
Abderrahmane Farès, notaire dès 1936, président
de l'Assemblée Algérienne en 1953, il prend la tête
de l'exécutif provisoire en avril 1962 :
"S'il est en Algérie un domaine où l'effort de
la France ne se discute pas, c'est bien celui de l'enseignement.
On doit dire que l'école a été un succès
certain. Les vieux maîtres, les premiers
instituteurs, ont apporté toute leur foi pédagogique,
sans arrière-pensée, et leur influence a été
extrêmement heureuse."
Augustin-Belkacem Ibazizen, premier bâtonnier kabyle en 1937,
Croix de feu, conseiller de l'Union Française, officier de
réserve : "La scolarisation française en Algérie
a fait faire aux Arabes un bond de
mille ans."
Boualem Sansal, écrivain algérien : "En un siècle,
à force de bras, les colons ont, d'un marécage infernal,
mitonné un paradis lumineux.
Seul l'amour pouvait oser un pareil défi... Quarante ans
est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître
que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous
qui sommes ses enfants."
Bachir Ben Yamed, journaliste franco-tunisien, ancien directeur
de Jeune Afrique : "A son indépendance, nul pays extérieur
au monde occidental, Japon et Afrique du Sud exceptés, ne
disposaient d'une
infrastructure aussi développée que celle de l'Algérie."
Ferhat Abbas, pharmacien, président du GPRA, premier président
de l'Algérie indépendante : "L'oeuvre de la France
est admirable ! Si elle était restée vingt ans de
plus, elle aurait fait de l'Algérie
l'équivalent d'un pays européen."
Malika Boussouf, écrivain et journaliste, ancienne rédactrice
en chef et actuellement éditorialiste du quotidien Le Soir
d'Algérie : "Si lesPieds Noirs n'étaient pas
partis en masse,
l'Algérie ne serait peut-être pas dans l'état
désastreux dans lequel elle se trouve."
Hocine Aït Ahmed, un des chefs historiques du FLN : "Chasser
les Pieds Noirs a été plus qu'un crime, une faute,
car notre chère patrie a perdu son identité sociale.
Avec les Pieds Noirs et leur dynamisme, je dis bien les Pieds Noirs,
et non les Français, l'Algérie serait aujourd'hui
une grande puissance africaine, méditerranéenne...
Hélas !"
Hocine Aït Ahmed, à nouveau : "Il y a eu envers
les Pieds Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers
des civils innocents
et dont l'Algérie devra répondre au même titre
que la Turquie envers les Arméniens."
Hocine Aït Ahmed, toujours lui, avec cette cinglante adresse
à tous ces salauds de porteurs de valise, qui - aujourd'hui
encore, et même plus que jamais - continuent
à vomir leur haine de traîtres victorieux sur
la colonisation et les Pieds Noirs : "La propagande française
présentait les Pieds Noirs comme des négriers faisant
suer le burnous.
Ils refusaient, soi-disant, l'accès à l'école
aux enfants arabes. Pour ma part, je me souviens d'avoir eu autant
de camarades de classe de toutes communauté confondues:
catholique, musulmane, juive et protestante, et ce, tant
à Alger que dans le bled... voire plus dans ce dernier."
Elle est dans ces propos aussi détachés que désintéressés,
la vérité sur la colonisation algérienne... |
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Le 19 mars 1962-Communiqué de la FONDATION MARECHAL DE
LATTRE
Le 19 mars 1962 ne fut pas un « cessez- le - feu en Algérie
Comme la majorité des associations patriotiques, La Fondation
Maréchal de Lattre qui, depuis sa création, a apporté
son soutien aux soldats combattants en Algérie et aux victimes
de cette guerre, ne peut que sétonner que le Président
de la République ait choisi ce 19 mars 2016 et le Mémorial
du quai Branly pour commémorer la mémoire des victimes
militaires et civiles de la guerre dAlgérie.
Il sagit en effet du jour anniversaire dun «
cessez-le-feu » proclamé le 19 mars 1962 mais qui,
respecté par la seule Armée française, nempêcha
pas un déchainement de violences, dassassinats et de
disparitions de plusieurs dizaines de milliers de Harkis avec leurs
familles et de Pieds noirs, tous civils sans défense.
535 militaires français furent également assassinés
après cette date.
Dans le contexte national actuel et connaissant les émotions
entourant la mémoire des victimes de ce conflit fratricide
dont les plaies ne se referment que très difficilement, on
ne peut quapprouver la réserve que les Chefs dEtat
de la Vème République ont observée sur le sujet
et regretter ce choix du Président de la République
actuel dhonorer de sa présence une cérémonie,
à cette seule date, à lexclusion de celle qui
depuis 2002 est une journée nationale dhommage aux
Morts pour la France, célébrée à Paris
au Mémorial du quai Branly, chaque 5 décembre.
Gilles Bonnier
secrétaire général
Paris le 15 mars 2016
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CONTRE-CEREMONIES POUR
LA DATE DE LA HONTE. |
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NICE |
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Cette semaine, La Voix est Libre a lieu le 19 Mars, jour anniversaire
du cessez-le-feu en Algérie qui a suivi les accords dEvian
du 18 Mars 1962. Depuis de nombreuses années, la polémique
est vive autour de cette question : "Faut-il commémorer
cette date du 19 Mars ?". Certains pensent que cest une
date historique. Les autres expliquent que les combats et les violences
se sont poursuivis bien après. Cette année, la polémique
est encore plus vive puisque pour la première fois un Président
de la République François Hollande participera
aux commémorations officielles samedi après-midi à
Paris. De nombreuses associations (pieds noirs et harkis) critiquent
cette présence présidentielle.
La Côte dAzur est particulièrement concernée
par ce débat. La communauté pieds noirs y est très
importante. Et puis la plupart des élus de droite du département
boycottent la cérémonie officielle qui aura lieu à
Valbonne (et pas à Nice comme les autres années). Certains
ont même écrit au Président de la République
pour manifester leur désapprobation.
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Monsieur le Président de la République,
Il y a bien longtemps que je désirais vous adresser cette
lettre ouverte
Je pensais pourtant que
tout compte fait
cela ne servirait à rien.
Mais japprends par la presse que vous comptez, cette année,
pour lanniversaire du 19 Mars 1962, donner à cette
forfaiture
en étant présent à la cérémonie
une certaine dimension historique !
Cela est proprement incroyable
honteux
voire dégueulasse !
En effet, vous nêtes pas sans savoir que tout ce que
racontent les tueurs du FLN et les porteurs de valises,
(physiques ou moraux) dont les prototypes les plus emblématiques
sont M. Benjamin Stora et les communistes de la FNACA est faux,
et que par votre présence, vous officialisez des mensonges
dEtat.
M. Chirac et M. Sarkozy, vos deux prédécesseurs, pourtant
pas très courageux en loccurrence, navaient pas
osé aller jusque là. Mais vous, vu votre popularité,
vous navez plus rien à perdre !
Eux aussi, pourtant, ont été à plusieurs reprises
pleurnicher à Alger
et se repentir
sans aucune
honte sur le dos de la France
comme vous
pour des raisons
exclusivement électoralistes, appel du pied
aux plusieurs
centaines de milliers de binationaux qui vivent chez nous
après nous avoir chassés de chez eux.
MM. Chirac et Sarkozy sétaient gardés dofficialiser
cette date, car ils savaient
comme vous-même
quelle
marquait en fait le commencement
des tueries
enlèvements
séquestrations
. de milliers de civils européens,
auxquels sajoutèrent des dizaines de milliers danciens
soldats français dorigine musulmane qui, avant de se
battre à nos côtés sur la terre algérienne,
avaient été des nôtres dès 1870
puis en 1914-1918
en 1940-1945
et en Indochine.
Ils représentaient en nombre, et volontairement eux, juste
avant ces accords odieux, cinq fois plus que les soldats FLN de
la dite Armée de Libération Nationale
dans les maquis algériens
en Tunisie
et au Maroc.
Car face à tous ces mensonges, ces trucages, ces faux
que disaient réellement ces fameux et douteux accords
que le FLN na jamais respectés :
LES ACCORDS DEVIAN
DE LINDEPENDANCE DE LALGERIE (Extraits non tronqués)
(
) LEtat algérien souscrira sans réserve
à la Déclaration universelle des droits de lhomme,
et fondera ses institutions sur les principes démocratiques
et sur légalité des droits politiques entre
tous les citoyens sans discrimination de race, dorigine ou
de religion. Il appliquera notamment les garanties reconnues aux
citoyens de statut civil français.
DES DROITS ET LIBERTES DES PERSONNES ET DE LEURS GARANTIES
Dispositions communes
Nul ne pourra faire lobjet de mesures de police ou de justice,
de sanctions disciplinaires ou dune discrimination quelconque
en raison :
? dopinions émises à loccasion des évènements
survenus en Algérie avant le jour du scrutin dautodétermination,
? dactes commis à loccasion des mêmes évènements,
avant le jour de la proclamation du cessez le feu.
Aucun Algérien ne pourra être contraint de quitter
le territoire algérien, ni empêché den
sortir.
Leurs droits de propriété seront respectés.
Aucune mesure de dépossession ne sera prise à leur
encontre sans loctroi dune indemnité équitable
préalablement fixée.
DE LA COOPERATION ENTRE LA FRANCE ET LALGERIE (Extraits
non tronqués)
Les relations entre les deux pays seront fondées dans le
respect mutuel de leur indépendance, sur la réciprocité
des avantages et lintérêt des deux parties.
LAlgérie garantit les intérêts de la France
et les droits acquis des personnes physiques et morales dans les
conditions fixées par les présentes déclarations.
En contrepartie, la France accordera à lAlgérie
son assistance technique et culturelle, et apportera à son
développement économique et social une aide financière
privilégiée.
LES ACCORDS DEVIAN ET LE PETROLE DU SAHARA (Extraits non
tronqués)
Dans les départements actuels des Oasis et de la Saoura,
la mise en valeur des richesses du sous-sol aura lieu selon les
principes suivants :
? La coopération franco-Algérienne sera assurée
par un organisme technique de coopération saharienne. Cet
organisme aura un caractère paritaire. Son rôle sera,
notamment, de développer linfrastructure nécessaire
à lexploitation du sous-sol ; de donner un avis
sur les projets de loi et de règlements à caractère
minier ; dinstruire les demandes relatives à loctroi
des titres miniers ; lEtat algérien délivrera
les titres miniers et édictera la législation minière
en toute souveraineté.
- Les intérêts français seront assurés
notamment par :
- Lexercice, suivant les règles du code pétrolier
saharien, tel quil existe actuellement, des droits attachés
aux titres miniers délivrés par la France.
- La préférence, à égalité doffre,
aux sociétés françaises dans loctroi
de nouveaux permis miniers, selon les modalités prévues
par la législation minière algérienne.
- Le paiement en francs français des hydrocarbures sahariens
à concurrence des besoins dapprovisionnement de la
France et des autres pays de la zone franc.
Faut-il répéter éternellement quaucun
article de ces accords ne fut jamais respecté par le FLN.
Faut-il aussi répéter
réécrire
clamer
que tous les prisonniers politiques incarcérés
à la suite dactivités en rapport avec ce conflit
Evènements dAlgérie ou guerre
dAlgérie devaient être libérés
De Gaulle fit immédiatement sortir de prison les gens du
FLN
pendant que les défenseurs de lAlgérie
française, du Sahara et des populations qui ne voulaient
pas de la terreur des amis de M. Bouteflika
restèrent
encore des années derrière les barreaux.
Sur le terrain, ce fut le désastre. Et le mot est faible !
Il se passa dès cette date des choses horribles. Tout fut
couvert par Charles De Gaulle et ses sicaires ! Celui-ci, du
début à la fin mentira à tout le monde. Il
embraya immédiatement après le soulèvement
populaire dAlger du 13 mai 1958. Celui-ci était dû
au fait
quen Tunisie
trois jeunes soldats français
du contingent
venaient dêtre fusillés par
le FLN. Il demanda à ses hommes de main dessayer de
prendre le train en marche. Très rapidement, il fit dire
au général Salan
que
ce quil faisait
était remarquable et dans le sens voulu pour lhonneur
et la sauvegarde de la France.
Cest lui, et lui seul, qui demanda de préparer un largage
massif de parachutistes sur Paris
Il sinquiètera
même de savoir
si les généraux dAlger
voyaient assez grand quant aux effectifs qui seraient engagés.
Comment cela sappelle-t-il ? Un PUTCH !
On connait la suite honteuse qui vit cet homme
Le plus
grand des Français
Le visionnaire,
etc
raconter nimporte quoi
et prendre le pouvoir
de façon tout à fait cavalière pour ne pas
dire antidémocratique
tout du moins vis-à-vis
de la démocratie française telle quelle nous
est racontée.
Il en remit des tonnes
Ainsi à LEcho dAlger
du 24 octobre 1958 : « Quelle hécatombe connaîtrait
lAlgérie si nous étions assez stupides et assez
lâches pour labandonner. »
Au général Bigeard, le 27 août 1959 : « Moi
vivant, jamais le drapeau FLN ne flottera sur lAlgérie. »
Il fit même constamment des déclarations racistes qui
aujourdhui vaudraient de sérieux ennuis à leurs
auteurs.
A Delbecque : « Vous nous voyez mélangés
avec des musulmans ? Ce sont des gens différents de
nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des arabes ? »
A Alain Peyrefitte : « Les musulmans ? Vous
êtes allés les voir ? »
« Vous
les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ?
Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux
qui prônent lintégration ont une cervelle de
colibri, même sils sont très savants. Essayez
dintégrer de lhuile et du vinaigre. Agitez la
bouteille. Au bout dun moment, ils se sépareront de
nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des
Français. »
Et toujours au même : « Vous croyez que le
corps français peut absorber 10 millions de musulmans, qui
demain seront 20 millions et après demain 40 ? Si nous
faisons lintégration, si tous les Arabes et Berbères
dAlgérie étaient considérés comme
Français, comment les empêcherait-on de venir sinstaller
en métropole ? Mon village ne sappellerait plus
Colombey-les-Deux-Eglises, mais
Colombey-les-Deux-Mosquées ! »
Pourtant quand, dernièrement encore, Mme Morano, dont je
ne suis pas électeur, cita des déclarations du grand
homme
elle se fit insulter
ridiculiser
et
chose nouvelle, des plumitifs stipendiés signèrent
dans leur feuille de choux des articles disant que
tout ce
quelle attribuait au général
était
faux ! (sic)
Que se passa-t-il réellement sur le terrain après,
le 19 mars ?
A la fin de la semaine qui suivit
le 26 mars
le Premier
résistant de France tel un dictateur de République
bananière, fit mitrailler, rue dIsly à Alger,
une foule de civils
seulement armés de drapeaux tricolores,
et qui ne demandaient quune chose : Rester Français
sur leur sol. La tuerie fut horrible
Une centaine de morts
Deux cents blessés. Elle dura 12 minutes.
Que faisaient donc dans la rue tous ces civils ? Ils désiraient
soutenir moralement la population de Bab El Oued. La signature des
soi-disant accords dEvian avec des membres du FLN ne représentant
queux-mêmes
avait plongé les populations
dAlgérie, pieds-noirs et musulmans fidèles,
dans le désespoir et le malheur, et cest dans ce quartier
populaire qui vota un temps communiste, que le refus de labandon
prit toute sa force et sa détermination. Abandonnée
pour abandonnée, la population décida dinterdire
ses rues aux forces de lordre quelle considérait
comme
passées à lennemi.
Dans un tel climat de haine, alors quaux cris « Algérie
française », des cortèges arabes répondent
par « Vive lAlgérie algérienne »,
Vive De Gaulle, le drame ne pouvait quarriver. Il arriva !
Le 23 mars 1962, des coups de feu vont être échangés.
A Paris, De Gaulle est fou de rage. Il donne des ordres drastiques
et, tel un Bachar el-Assad, ordonna demployer tous les moyens
contre une partie de son peuple. Aussitôt larmée
et la gendarmerie encerclent ce quartier, y pénètrent
à grands renforts de blindés, écrasant les
voitures
éventrant les devantures de magasins. A la
12-7, les troupes tirent sur les fenêtres les balcons, dans
les rues, sur les façades des maisons. A plusieurs reprises,
chose quand même inouïe
et bien cachée depuis
laviation, en rase motte, mitraille les toits. Les perquisitions
se succèdent, les appartements sont, non pas fouillés,
mais saccagés. Les blessés, les malades ne sont pas
soignés. Les morts ne sont pas enterrés. Il ny
a plus de ravitaillement
Bal El Oued est transformée
en véritable ghetto hermétiquement fermé, sur
la populace comme dirait votre ami Jospin.
Pourtant un grave problème demeurait
Le désarmement
des harkis ! Dans beaucoup de cantonnements, les soldats supplétifs
sentent que des choses bizarres se trament
mais jamais
au plus profond deux-mêmes
ils ne penseront que
De Gaulle
va les livrer au FLN.
Déjà, beaucoup dofficiers de SAS et de secteurs
subodorent que des choses graves, et totalement impensables se mettent
en place. Beaucoup décident en urgence de tout tenter pour
expédier leurs hommes et leurs familles en métropole.
Incroyablement, la vindicte de De Gaulle et de ses barons
ne sexerce pas contre les tueurs et les égorgeurs du
FLN qui sévissent dès lors dans toute lAlgérie,
mais contre les officiers qui tentent de sauver leurs hommes, et
par extension leur honneur.
Des mesures draconiennes sont immédiatement prises aussi
contre les harkis qui auraient loutrecuidance de croire aux
bruits qui commencent à circuler. Cest à ce
moment que M. Louis Joxe, Ministre dEtat chargé des
Affaires algériennes, et grand féal de De Gaulle,
se déshonorera en signant plusieurs télégrammes
qui sont
des condamnations à mort pour 150 000
musulmans fidèles à la France et ainsi livrés
à la vindicte du FLN.
Télégramme n° 125/IGAA, ultra secret (16 mai 1962) :
« Le ministre dEtat Louis Joxe demande au haut
commissaire [en Algérie] de rappeler que toutes initiatives
individuelles tendant à installation métropole Français
musulmans sont strictement interdites. En aviser urgence tous chefs
SAS et commandants dunités. »
Comme cet ordre paraissait navoir eu que peu deffets,
Joxe le doublait dune directive plus explicite, le 15 juillet
1962 :
« Vous voudrez bien rechercher, tant dans larmée
que dans ladministration, les promoteurs et les complices
de ces entreprises de rapatriement et faire prendre les sanctions
appropriées. Les supplétifs débarqués
en métropole en dehors du plan général seront
renvoyés en Algérie. Je nignore pas que ce renvoi
peut être interprété par les propagandistes
de lOAS comme un refus dassurer lavenir de ceux
qui nous sont restés fidèles. Il conviendra donc déviter
de donner la moindre publicité à cette mesure. »
(sic)
Dans de nombreux cantonnements, des convois de camions arrivent
certains sont pleins de caisses
dautres vides. Des officiersdu
matériel (Oui, des officiers) expliquent aux
harkis rassemblés
« Nous vous amenons de
nouvelles armes en meilleur état. Mettez tout votre vieil
arsenal dans les camions vides, de façon que lon puisse
vous distribuer le nouveau matériel. » Les hommes
sexécutent. Puis, dès quils sont désarmés
les salauds senfuient les laissant désemparés.
? Dans le port de Nemours, près de la frontière marocaine,
des dizaines de supplétifs français sont émasculés,
jetés dans des fûts dhuile bouillante, enterrés
vivants dans du ciment, avec seule la tête qui émerge.
? En juillet 1962 : Le commando Georges formé
par Bigeard et composé uniquement de jeunes fellaghas ralliés
à la France et opérant dans la région de Saïda,
doit embarquer à Oran pour la Métropole.
Ils sont désarmés et renvoyés sur Saïda
Arrêtés par le FLN, ils sont torturés, enterrés
debout, vivants. Seule leur tête sort du sol et la population
est invitée à venir déféquer sur eux.
Ils mettront des jours à mourir !
? En juillet 1962 : A Philippeville, dans le port, la Harka
de Beni Bechir, de la SAS de Mareuil, très bonne unité
militaire, est à bord dun bateau en partance pour Marseille.
Un commandant de lALN exige son débarquement. Le commandant
du bateau refuse. Une heure après, lofficier du FLN
revient
avec un ordre écrit du général
de Corps dArmée de Constantine
un général
français
donnant ordre de débarquer manu militari
les harkis et de les livrer au FLN. Débarqués de force
malgré leurs cris et leurs supplications, ils sont tous égorgés
sur la place Demarqué à Philippeville.
Devant tous ces drames horribles, De Gaulle reste impassible, dans
la mesure où les ordres viennent de lui. Les supplétifs
français musulmans continuent à être désarmés
par les troupes françaises qui restent sur place, alors que
les accords dEvian que le FLN na jamais respectés
stipulaient : « Tout musulman pourra opter librement
pour la nationalité française
rester en Algérie
et bénéficier de lamnistie totale
ou rejoindre
la métropole. »
La situation est aussi désastreuse pour les Européens
et les Musulmans de ladministration, très nombreux,
qui servaient la France avec honneur et fidélité.
En fait, rien de sérieux nest prévu pour eux.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, il existe une date
bien précise qui semble être le début exact
de lépidémie denlèvements
Ceux-ci en effet atteignent leur apothéose le 5 juillet 1962
à Oran, où les tueries se déclenchent et prennent
une ampleur inégalée.
Il y eut, Monsieur le Président de la République,
après le cessez-le-feu et lindépendance
en deux mois et demi
plus denlevés et de disparus
quentre novembre 1954 (début des évènements)
et le 19 mars 1962
soit huit années !
Cest pour cela, Monsieur le Président, que votre date
du 19 mars ne veut rien dire
et est une insulte supplémentaire
aux malheurs des Français dAlgérie, toutes confessions
confondues. En effet, le 5 juillet 1962, la ville dOran a
connu une véritable Saint-Barthélemy. Ce fut véritablement
une chasse aux Européens
où tous les moyens
furent employés
pour massacrer des populations civiles
qui navaient quun tort... être françaises !
Des cortèges sans fin dEuropéens, les mains
en lair, sont conduits vers le lieu dit
le Petit Lac
et massacrés par une foule en délire, sans quaucune
autorité FLN nintervienne
et sans que lindividu
commandant la région
le sinistre général
Katz
qui dispose pourtant encore de 18 000 hommes, ne
fasse quoi que ce soit. Il se contentera de survoler la ville en
hélicoptère
et même longuement
les
lieux des massacres. Il donna finalement ordre à ses officiers
de
absolument pas intervenir !
Il faut savoir que M. de Gaulle lui attribua une étoile supplémentaire.
Ce brave homme nhésita pas dailleurs
à déclarer publiquement
« Je nai
fait quobéir aux ordres formels du Chef de lEtat ».
Le seul soldat qui fit son devoir fut un officier musulman qui sauva
des dizaines dEuropéens
Katz, déchaîné,
lui déclara
« Vous ne seriez pas musulman
je vous casserais et vous mettrais au trou ! » Il
y eut malheureusement de nombreux petits Katz dans cette
époque démente. Il faut savoir que sur les milliers
dhommes, de femmes, denfants enlevés
ceux
qui furent retrouvés étaient généralement
morts de façon atroce.
Les services de renseignements français, savaient très
souvent où étaient détenues les personnes disparues
Lordre drastique tombait tous les jours
Interdiction
de bouger ! Les femmes françaises enlevées étaient
toutes livrées à la prostitution. Des maisons closes
servant de centre de repos (sic) aux tueurs du FLN
étaient
connues ; parfois même le nom des femmes qui y étaient
détenues
chair à plaisir, violées à
longueur de journées et de nuits. Pire encore, un certain
nombre de français enlevés étaient déclarés
donneurs de sang
et saignés à blanc. Ceux retrouvés,
ressemblaient à des momies.
Tous les renseignements nécessaires à la récupération
dune grande partie des internés étaient entre
les mains des services français. Mais M. Joxe (toujours lui
et toujours sur la brèche) sortit une nouvelle note
de service
Un télégramme très explicite
qui interdisait à tous les services français, civils
ou militaires, dintervenir ! Il écrira même
sans que jamais personne ne lui demande des comptes par la suite
« Je serai pour ma part hostile à une intervention
quelconque de la Croix Rouge internationale dans tout ce qui concerne
les arrestations et détentions dEuropéens. »
Ce texte était connu du gouvernement puisquil émane
dun de ses membres et était daté du 2 avril
1962.
M. le Président, pour exposer seulement une partie de cette
très sombre et honteuse vérité, sachez quà
chaque enlèvement dun homme, dune femme, dun
enfant
courageusement (dans un tel climat de haine, de peur
et de désespoir)
des civils européens courraient
vers les patrouilles françaises pour les alerter
et
que chaque fois
oui, chaque fois
les chefs de patrouille
répondaient « Nous avons des ordres draconiens.
Nous navons plus le droit dintervenir dans des affaires
comme celle-là ! Le maintien de lordre dépend
maintenant du FLN !»
Il y eut même mieux, cest-à-dire bien pire !
Des hommes évadés dun camp de détention
du FLN et qui sétaient réfugiés
dans une caserne de gendarmes mobiles
ont été
remis à leurs bourreaux. Dès décembre 1961,
Charles De Gaulle, Président de la République française
avait approuvé la création déquipes de
barbouzes
fait débloquer les fonds et donner ordre
au Haut commissaire, Christian Fouchet, de faire en sorte que
« lintendance suive ». Fut ainsi créé
pour travailler avec le FLN, une police parallèle, la Mission
C (pour choc) commandée par M. Bitterlin, représenté
en métropole par un avocat
le sieur Lemarchand
et supervisé sur le terrain en Algérie par un authentique
vrai flic, directeur de la police judiciaire. Tout ce beau monde,
dès ce moment ne travailla plus quau profit du FLN
et transmettait à ceux-ci
des listes
vraies ou
fausses
de citoyens français catalogués comme
partisans de lAlgérie française ! Cest
ainsi que le chef FLN, Si Azzedine, responsable de la zone autonome
dAlger travailla dès cette époque avec tous
les services officiels ou barbouzards du gouvernement
officiel de la France.
Il reçut régulièrement dès lors, de
lenvoyé spécial de De Gaulle, le Préfet
Vitalis Cros, des listes de dénonciations de Français
Nom
Prénom
Age
Adresse
et même
pseudonyme. Dès cet instant, et officiellement, il fut décrété
que les barbouzes et le FLN
navaient plus
quun seul ennemi commun
Les Français qui refusaient
de larguer lAlgérie et le Sahara.
Et que dire M. le Président de ceux qui à cause
de cette ignoble trahison
tombèrent aux mains du FLN.
Je vous laisse le soin de réfléchir sur leur sort.
Plusieurs de mes amis sont passés par là
Attachés
nus sur des lits en ferraille
Battus
Torturés
Sodomisés
avec des bouteilles de Perrier
Tourmentés inlassablement
pendant des jours et des nuits en présence, souvent, dofficiers
supérieurs de la gendarmerie. Tout cela a été
constaté
certifié
enregistré par
tout le corps médical français
dAlger
et dailleurs en Algérie. Ce fut le cas de mon ami Ziano,
loque humaine à sa miraculeuse libération.
Et tout cela, M. le Président de la République, pour
en arriver où ? et à quoi ?
Le 19 juin 1965, Ben Bella, premier Président de la République
algérienne est arrêté et jeté en prison
pour des années. Ce sont les hommes de la sécurité
militaire, véritable Gestapo, aux ordres de son ex-chef détat-major,
Boumediene, qui ont monté laffaire. Cet acte dictatorial
ne gêne personne dans lensemble des démocraties,
et surtout pas en France où pas un seul homme de la mouvance
mondialiste et humaniste
pas un seul de vos amis
nélève
la voix.
Dans les années qui suivirent lemprisonnement de Ben
Bella
Boumediene, comme prévu, muscla son
régime et sabota sciemment les accords. Les biens
français, abandonnés lors de lexode tragique
des pieds-noirs, de biens vacants sous Ben
Bella, devinrent des biens dEtat sous son régime.
Sans préavis, dès 1968, quatorze des sociétés
françaises de distribution du pétrole saharien, notre
pétrole, sont nationalisées. Puis de mois en mois,
les meilleures entreprises françaises, les plus modernes,
les plus rentables, toutes garanties par les accords dEvian,
sont à leur tour nationalisées
sans que Paris
ne dise rien
sans que la moindre mesure de rétorsion
ne soit prise contre les biens algériens en France
qui sont, dans le domaine hôtelier entre autre, colossaux.
Le 24 février 1971, le pétrole saharien est nationalisé.
Nous nintervenons pas plus. Boumediene pourtant (cela est
prouvé) pense que la France, cette fois-ci, va prendre le
mors aux dents. Il pense que le gouvernement de Paris va expulser
le trop-plein de travailleurs algériens. Des mesures sont
même prises par toutes les wilayas pour accueillir les refoulés.
Rien ! De grands rires sonores sélèvent
dans le ciel algérien.
Les chefs FLN qui savaient depuis longtemps ce quils devaient
penser du courage politique des dirigeants français se rient
de nous et nous méprisent.
Aujourdhui lAlgérie retourne au chaos après
dix longues années de guerre civile qui connut tous les excès
et fit deux cent mille morts
des vrais, ceux-là !
Les milliards que nous leur avons donnés, ou laissé
prendre, cest-à-dire le pactole que représentaient
notre gaz, notre pétrole (car tout cela ne fut jamais algérien)
ont été dilapidés, pillés, détournés.
Pour obtenir la paix civile, il a fallu
aux satrapes au pouvoir
à Alger
acheter à prix dor, tout ce que
produisait avant lAlgérie française
et
le distribuer à perte.
Cette Algérie, quils ont récupérée
en état de marche, est en ruines ! La chute des prix
des hydrocarbures va mettre ce régime à genoux
et déjà les jeunes de là-bas
savent où ils vont aller
Chez nous ! Nous leur
devons bien cela
puisque tout est de notre faute ! Il
faut absolument que nous leur donnions des visas !
Nous les avons (à vous entendre, vous et vos amis, M. le
Président) tellement malmenés, tellement pillés !
Pendant 130 ans, ils ont connu lenfer, et le sieur Bouteflika,
même grabataire, en remet une couche chaque jour
A lentendre,
il parait que « loccupation française en
Algérie, fut pire que loccupation allemande en France ! »
(sic). La seule différence cest quau départ
des Allemands, des millions de Français nont pas pleuré
pour aller sinstaller outre Rhin
Parfois, pensant à ma jeunesse, aux combats quavec
tant dautres jeunes
de toutes races et de toutes religions
nous avons mené pour lhonneur de la France sous le
drapeau tricolore
je réfléchis à ce quaurait
pu être notre pays
si nous navions pas été
gouvernés par des gamellards soucieux seulement de leur
carrière politique !
Car se sont bien des traîtres qui ont laissé entendre
et ont finalement fait croire
à ceux que vous appelez
les jeunes des banlieues
que toutes ces conneries
étaient la vérité
et quen plus
leurs grands-pères avaient battu larmée française
alors que la seule vérité est que notre armée,
que ce soit avec ses appelés ou ses engagés, a gagné
militairement la guerre dite dAlgérie et que seul
Charles De Gaulle la perdue, volontairement, politiquement
pour tenter, avec laide de M. Adenauer, de devenir le chef
de la troisième force mondiale entre le bloc
américain et, à lépoque, le bloc soviétique.
Devant les tribunaux dexception qui prétendaient nous
juger
alors quils nétaient quau service
de la trahison et de labaissement de notre patrie
debout,
face à eux, sans faiblir, ni baisser la tête, nous
leur avons dit, les yeux dans les yeux
Vous ne voulez pas
de lAlgérie française, vous aurez la France
algérienne. Nous espérions pourtant, au fond de nos
curs de soldats
que cette horreur narriverait
pas. Mais malheureusement pour la France, cela se réalise.
Oui M. le Président, grâce à vous et à
vos amis qui faites passer vos idéaux politiques nauséeux
et criminels
avant lintérêt du peuple de
France
NOTRE PATRIE EST EN DANGER
Comme le général
Katz
prenez votre hélicoptère
Regardez
dans nos rues
Ils sont là
et les autres arrivent !
Mais il est vrai que vous avez autre chose à faire, nest-ce-pas ?
Il vous faut déjà débloquer des milliards (alors
que nous sommes en faillite)
pour tenter de récupérer
votre électorat en charpie
Continuer à changer
notre peuple, puisquil vote mal
et déchristianiser
la France.
Beau programme en effet, digne de la Haute Cour !
Voilà ce que je voulais vous dire M. le Président.
Je ne vous salue pas
Je le regrette
mais il faudra bien
que notre peuple, et surtout notre jeunesse, que vos amis et vous-même
avez déboussolée et rendue apatride sache que des
citoyens de ce pays, simplement hommes du peuple
ne se résignent
pas et appelent à la résistance afin que face au désastre
que vous nous concoctez
SURVIVE LA FRANCE ETENELLE ET CHRETIENNE !
Roger HOLEINDRE
Président du Cercle National des Combattants |
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Objet: Lettre ouverte dun Français dAlgérie
à Nicolas SARKOZY : Ôtez votre masque !
Lettre ouverte dun Français dAlgérie
à Nicolas SARKOZY au sujet du 19 mars : Ôtez votre
masque !
Les médias vibrionnent de votre posture au sujet du 19
mars, notamment avec le soutien dun journal ami qui promet
une pétition, dont le fichier des signataires servira demain
à rappeler aux Français dAlgérie, quà
linstar de votre grand maître « Vous nous avez
compris ! ». Mais nous ne nous ferons pas avoir cette fois,
en dehors de quelques représentants avides de prébendes
et de gogos servant de piétaille aux cérémonies
délus prétendus républicains. Car les
Français dAlgérie noublieront pas ce que
fut votre compréhension à leur égard du temps
de votre présidence.
Bien sûr, nous ne pourrions quapprouver votre réaction
à la trahison du néo porteur de valises au profit
du FLN et dune association masquée du P.C.F. Mais il
faudrait que nous vous croyions sincère. Au moins, eux, se
battent sous leurs vraies couleurs et nous nattendons pas
damitié ou de pitié de leur part, ni pour notre
Histoire, ni pour nos Victimes et leurs familles.
Vous dites « La guerre dAlgérie a été
un événement dramatique, des hommes et des femmes
portent encore dans leur souvenir comme dans leur chair la trace
de cette Histoire vivante, ne déclenchons pas une guerre
des mémoires ». Mais quen était-il de
vos valeurs républicaines, de votre appétence à
plus de démocratie, de votre espoir de réconciliation
entre Français et de Paix interne, mais surtout de votre
compassion envers des familles françaises meurtries depuis
54 ans, lorsque vous leur avez interdit dhonorer leurs Morts
à deux reprises ? Vous étiez Ministre de lIntérieur
(2006), puis Président de la République (2007), lorsque
vous nous avez refusé le Ravivage de la Flamme le 5 juillet
par lassociation ALLO (Anciens du lycée Lamoricière
dOran) que je présidais. Cette cérémonie,
et pas une manifestation qui peut toujours dégénérer,
avait pourtant été autorisée par le Comité
de la Flamme et son président de lépoque, le
Général Jean COMBETTE. Il sagissait dhonorer
les trois mille Oranais disparus et massacrés le 5 juillet
1962. Ils furent pendus à des crocs de bouchers, éviscérés,
égorgés, brulés vifs, lynchés, fusillés,
etc., quand, en tant que femmes, elles ne finirent pas dans les
bordels du FLN. Cet Hommage était aussi élargi à
tous nos Disparus de la Guerre dAlgérie (Pieds Noirs
et Harkis). Ces Victimes étaient-elles pour vous moins honorables
que celles de Toulouse, de Charlie, du Bataclan, des cafés
et de lhyper Cacher, voire même que celles des tours
de New York ?
Votre prétexte fut celui de risques de « troubles
à lOrdre public ». Nous nétions
pourtant que quelques centaines de gens présents à
cette cérémonie, dont des familles de Disparus. Nos
tempes étaient depuis longtemps blanchies. Nous fûmes,
sur votre ordre, stoppés et empêchés de raviver
la Flamme par des centaines de CRS, casqués et armés.
Ce fut, semble-t-il, la seule fois où le Public ne fut pas
autorisé à accéder au Monument, sauf du temps
des Nazis, peut-être !
Or le 5 juillet 2006, à la même heure, vous faisiez
fi de « tout trouble à lOrdre public »,
en laissant des hordes de voitures venues des banlieues monter et
descendre à toute vitesse les Champs Élysées,
passagers penchés à lextérieur, vociférant
des cris, klaxons, drapeaux algériens flottants au vent.
LAlgérie allait jouer un match important dans le cadre
de la Coupe du Monde. Mais pire, toujours faisant fi de tout «
trouble à lordre public », vous laissiez se dérouler
une manifestation anti-israélienne en bas de la même
avenue, à proximité des ambassades américaine
et israélienne, lors de laquelle furent proférés
des slogans et insultes contre les Juifs.
Par notre double interdiction, vous niiez, alors, la douleur
des familles, « leur souvenir comme dans leur chair ».
Vous bafouiez la Mémoire des victimes, foulant aux pieds
la Loi qui fait « obligation à l'État de permettre
la tenue des manifestations de ceux qui la respectent ».
Je déposais deux plaintes au nom d'ALLO. En 2009, le
Préfet, ancien Saint-Cyrien, qui déshonorait ainsi
son ancien uniforme, et l'État étaient doublement
désavoués, c'est-à-dire vous-même. Vous
étiez condamnés pour cette méprisable action,
par deux jugements du Tribunal administratif. Les arrêtés
d'interdiction étaient annulés (virtuel) et l'État
condamné à verser deux fois 500€ à ALLO.
Sans aucune vergogne, Préfet et État, c'est-à-dire
encore vous, firent appels des deux jugements. Vous fûtes
de nouveau condamnés en 2011, à hauteur cette fois
de deux fois 1000€. Vous alliez enfin comprendre, les condamnations,
pas nous. Aujourdhui cette cérémonie se tient
chaque année.
Oui, on ne vit donc pas ce quétait votre sens de
la Paix des Mémoires et de la réconciliation avec
des familles françaises meurtries depuis 54 ans. Ces familles
de Disparus subirent ainsi une quadruple peine, après les
trois infligées par votre triste mentor : perdre les siens,
sans savoir dans quelles horribles conditions, ni où gisent
les corps martyrisés, voilà que vous leur interdisiez
de les honorer. Cumul de peines que ne vivent pas les familles victimes
de Mérah, chez Charlie ou du 13 novembre. Nous espérons
pour elles que dans quelques années les terroristes nenseigneront
pas dans les universités, que les médias et le Cinéma
ne leur offriront pas des tribunes et que nos politiciens niront
pas un jour se prosterner au Monument des Martyrs dun quelconque
État Islamique, comme cest le cas pour nous. Il est
vrai que nos familles neurent, elles, jamais droit aux cellules
psychologiques pour leur permettre de faire ce deuil que lon
demande à la moindre disparition, pas plus quelles
neurent le droit aux comités daccueils que lon
réserve aux Étrangers, surtout quand ils crachent
sur la France. Mais il est vrai que vous obéissiez ainsi
aux instructions comminatoires qui vous avaient été
données par les habituels salisseurs de la France, par Mouloud
AOUNIT, président du MRAP avant quil ne soit «
sorti » pour positionnement trop communautariste, par la LDH
de Toulon -ces prétendues associations droits de l'hommiques
et anti racistes-, par la dénommée MOUSSAOUI, membre
du PC et journaliste de l'Humanité, enfin par la Presse algérienne
et son ami GAVOURY, dont les compassions ne vont quaux porteurs
de valises et aux terroristes fellaghas. Mais il vous fallait bien
plaire au terroriste-président algérien auprès
de qui vous mendiiez, comme votre prédécesseur et
votre successeur, la signature dun traité dit «
damitié franco- algérien » (sic).
Oui, que ne nous vous avons entendu vous élever contre
cette « guerre des Mémoires », pour une France
réconciliée et apaisée ? Létait-elle
pour nous sous votre présidence ? Nous serions aujourdhui
plus enclins à croire que votre action nest pas que
politicienne et à la noblesse de vos anathèmes contre
le président en exercice.
Cest pourquoi les Français dAlgérie,
vos Compatriotes, noublieront pas. Pas plus quils noublieront
que les massacres intervenus après le 19 mars 1962 furent
luvre généreuse de celui dont vous revendiquez,
comme bien dautres, le sinistre héritage.
Jean-Pierre RONDEAU
Président de DEPATRIES
Président dHonneur des Anciens du Lycée
Lamoricière dOran |
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Ma nostalgie
J'aimerai rendre hommage a ces religieuses de la congrégation
des surs de Never, qui maintenant sont au ciel, qui en 1939-1945
étaient résistantes et profondément harkis
; rendre hommage à tous ces poilus qui ont donnés
leur vie pour la patrie ; rendre hommage à ces français
d'Algérie qui ont été chassés de leur
pays juifs, chrétiens, musulmans, pardonnez ma nostalgie.
Je les ai aimé, je les aime encore. Je les ai vus pleurer,
ils doivent se retourner dans leurs tombes. Je les remercie pour
leur noblesse d'esprit, jamais je ne les oublierai.
Il est dit "celui qui te fait du mal, bénis le".
Je m'adresse à tous ceux qui ont fait de De Gaulle leur religion.
Ils ont oubliés que c'était Monsieur Winston Churchill
qui était la tête pensante. De Gaulle n'a jamais dirigé
une brigade, pendant que sur le terrain des gens résistaient
et ont été déportés, cet homme de Londres
qui ne supportait pas qu'on lui fasse de l'ombre se prenait pour
le gratin mais en réalité il était la sous-couche.
En 1945, il est rentré triomphant sur les Champs-Elysées
et il a écarté tous les grands, pardonnez ma Nostalgie.
Il a récidivé, lui et son gouvernement, en Algérie,
en disant "je vous ai compris" qui voulait dire "je
vous ai trahie". Il a désarmé les harkis, lui
et ses lieutenants, déshonoré, humilié et livré
à l'ennemi. Cet homme était un égocentrique,
un être cynique et inhumain avec du sang dans les mains, lui
et les siens. Il a bien vécu pendant que d'autres ont tout
perdu.
A ceux qui écoute la voix de leur maître, ils nous
reproche d'être nostalgique, en ce qui me concerne, mon cur
est déchiré, je ne peux pas pardonner leur offense.
Je n'ai pas besoin que certains religieux porteurs de valises me
donnent des leçons, charité bien ordonné commence
que par soi-même, si ils ne respectent pas leur famille et
leurs grands-parents qui se sont battus pour la France, moi je les
ai toujours profondément respecté, parce qu'ils étaient
respectables.
A vous, qui nous reprochait sans cesse notre nostalgie, vous auriez
mieux fait de vous occuper de la Nation Française au lieu
de profaner les tombes de nos parents. Quand vous allez vous recueillir
sur ceux de vos familles, pour la Toussaint, alors vous êtes
nostalgique. Je me demande et je ne comprendrai jamais pourquoi,
vous, petites gens, vous vous permettez d'assister aux cérémonies,
n'oubliez pas, c'est de la nostalgie, pour nous c'est un devoir.
Il est vrai que dans le troupeau il y a des agneaux, des chiens
et des paons. On ne peut pas courir plusieurs lièvres à
la fois, sinon on est un mauvais chasseur. J'aimerai dire aussi
que la noblesse ne s'inscrit pas que dans un nom, on m'a toujours
appris que dans la vie il y avait les chefs, les sous-chefs et les
sous-fifres, ça en est assez d'insulter, de solder ce pays.
Comme dirait un honorable Colonel; "vous avez une mentalité
de laqués", vous n'avez pensé qu'a vous et à
vos intérêts, vous avez un portefeuille à la
place du cur. Je suis fille de Harkis, ça commence
par un H comme Honneur. Dans ma famille et celles de vrais Harkis,
j'aimerai vous dire qu'on a vécu dans la précarité
et que mon père a été assassiné en 1968
avec tous les services qu'il a rendu à la Patrie. Ils sont
allé jusqu'à lui voler ses décorations, pardonnez
ma nostalgie, mais ça me fait très mal quand vous
remettez des médailles ou dois-je appelé ça
des pattes de fruits, à des gens peu méritants. J'ai
honte de vous!
Pendant les élections, les Harkis vous intéresses,
mais autrement toute l'année nous sommes considérés
comme des Arabes. Vous dites qu'ils réclament toujours quelque
chose, mais que je sache, les migrants ne se sont pas battus pour
les couleurs tricolores et à eux, à tous ces hommes,
ils sont tous jeunes, des gaillards, incapables de se révolter
dans leur pays mais ils viennent ici avec la complicité de
certaines associations, pour prostituer la France, alors pardonnez
ma nostalgie quand je vois tout cela, je pense à celles et
ceux qui doivent se retourner dans leur tombe.
Dernière chose, comme des inconscients vous ne respectez
pas beaucoup la tombe du soldat inconnu, il faut dire qu'il y a
une chose qui ne s'achète pas, c'est un cerveau. Et on m'a
toujours appris qu'il ne fallait pas se défroquer devant
des petites gens. Nous ferons tout pour sauver notre Nation! Vous
insultez même l'armée française, ils ne sont
pas vos sujets, mais vous êtes bien contents qu'ils vous escortent
et que grâce à eux, si il n'étaient pas là
pour organiser le devoir de mémoire, je veux parler des cérémonies,
alors tout resterait dans l'oubli. Eux aussi, je pense qu'ils sont
nostalgiques, Dieu merci! Ils sont la parade, et non des pantins.
Arrêtez de les sous-estimer! Quand au défilé
du 14 Juillet, c'est bien le seul jour où les communistes
applaudissent l'armée française, pardonnez ma nostalgie.
Je finis par, il est dit "dans le champs des Africains et si
quelqu'un venait à y toucher, nous serions là pour
mourir à ses pieds". Je suis en colère, je suis
révoltée, je suis dépassée, mais je
sais et je pense que d'autres partagent mes idées.
Voilà ma profonde nostalgie, Vive la France!
ps: Il était né dans un château, mais sa cervelle
était étroite. On dit qu'a Colombey-les-Deux-Eglises
il y a deux Eglises, mais il n'y a qu'une cloche.
Ben-Brahim Dalida
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16 mars 2016  |
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Notre "bon Président de la République"
a-t-il lu cette proposition, avant son projet de déshonorer
la France, le 19 mars prochain? |
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Metz le 16 mars 2016
Monsieur François Hollande
Président de la République
Palais de lÉlysée
55, Rue du Faubourg Saint-Honoré
750008 ¨PARIS.
Monsieur le Président de la République,
Tous les Français soucieux de rigueur historique ne peuvent
quêtre étonnés, voire scandalisés,
devant votre décision de présider une cérémonie
soi-disant mémorielle, le 19 mars prochain. Le Premier
Magistrat de notre pays ne peut, effet, ignorer la réalité
des événements qui se sont produits en Algérie
du mois de mars jusquà la fin de lannée
1962. Les prétendus « accords » dEvian
nétaient quun simple protocole sans valeur
juridique, récusé par le GPRA à Tripoli et
jamais mis en oeuvre par les futures autorités algériennes.
De mars à décembre 1962, il y eut plus de victimes
civiles et militaires, européennes et musulmanes quentre
la « Toussaint rouge » du 1er novembre 1954 et le
19 mars 1962 : enlèvements, exsanguinations, disparition
de plus de 3000 personnes dont plus de 500 prisonniers militaires
jamais restitués en dépit des conventions internationales,
massacre dau moins 80000 harkis dans les conditions les
plus inhumaines.
Nous permettrez-vous, Monsieur le Président de la République,
de vous rappeler la fusillade de la Rue dIsly à Alger,
le 26 mars 1962 et ses quatre-vingts victimes tuées à
bout portant par des
forces de lordre ayant reçu lordre de tirer
sur une foule désarmée dont le seul crime était
de vouloir rappeler son attachement à la mère-patrie
? Nous permettrez-vous de mentionner le « massacre
oublié » de ces centaines de Français enlevés
et massacrés à Oran le 5 juillet 1962, entre 11
Heures et 17 Heures, sans quintervienne, à aucun
moment, lautorité militaire française encore
présente sur
place, en la personne du Général Joseph Katz. ?
Celui-ci avait sous son commandement, une garnison de plus de
dix-huit mille hommes, consignés jusquen fin daprès-midi.
Le Général De Gaulle aurait qualifié cette
tragédie de simple « avatar » dans une conversation
avec son Premier Ministre, nous tenons cette précision
du fils de Président Pompidou lui-même.
Récemment, lors de votre voyage dEtat en Argentine,
vous avez, Monsieur le Président de la République,
manifesté, à juste titre, votre sympathie et votre
respect pour les personnes disparues au temps de la dictature
militaire entre 1978 et 1982, un drame révélé
au monde entier par la Asociación Madres de Plaza de Mayo.
Est-il utopique despérer du Chef de lEtat une
semblable compassion à légards de ces milliers
de Pieds-Noirs, musulmans fidèles à la France, militaires
du contingent, harkis, victimes de tous ces crimes commis après
les Accords dEvian ?
Non, Monsieur le Président de la République,
la guerre dAlgérie na pas pris fin le 19 mars
1962. Penser et dire le contraire ne peut quaccentuer la
douleur de ces milliers de familles dont le travail de deuil se
révèle impossible après cinquante-quatre
ans.
Nous vous prions dagréer, Monsieur le Président
de la République, à travers votre personne, la considération
que nous portons à la haute fonction que vous exercez..
Danielle Pister-Lopez,
Agrégée de Lettres, Maître de Conférences
des Universités Cum Merito-Université de lorraine
Présidente de lAmicale des Pieds-Noirs de Moselle,
vice-présidente du Cercle algerianiste de
Champagne et du Grand-Est
Jean-Pierre Pister,
Agrégé dHistoire, Professeur de Chaire supérieure
honoraire-Khâgne, lycée H. Poincaré de Nancy.
5, rue du 16ème Chasseurs 57070 METZ
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19 MARS 1962 : DATE MAUDITE
Il n'y a pas eu d'accords, Evian fut un leurre.
C'est un mensonge d'État qui a fait le malheur
Des Français d'Algérie de toutes origines,
Qui furent vilipendés, roulés dans la farine.
La capitulation qui fut signée à
Évian,
C'était un abandon brutal et humiliant
D'une terre que nos pionniers avaient sortie du néant,
Au prix d'un dur labeur titanesque, exténuant.
Cette capitulation fut une totale soumission
À un seul signataire dictant ses conditions.
Il fallait vite larguer le "boulet algérien",
Y compris les richesses du sous-sol saharien.
Le faux cesser-le-feu fut unilatéral.
Après le dix-neuf mars, la solution finale
Des caïds F.L.N. c'était d'éliminer
Ces satanés roumis, maudits enracinés.
Les harkis furent victimes d'une effroyable
boucherie,
Massacrés avec la plus grande sauvagerie.
Par dizaine de milliers, ils payèrent de leur vie
Leur fidélité, furent désarmés et trahis.
Vingt-six mars à Alger : honte au régime
gaullien
Qui oblige l'Armée à tirer sur des citoyens
Qui manifestent "armés" de drapeaux tricolores.
Une fusillade punitive : des dizaines de morts.
Cinq juillet à Oran : c'est la chasse
aux pieds-noirs.
Katz, le "boucher d'Oran" met l'Armée sous l'éteignoir.
Les Français d'Algérie, sans aucune protection,
Sont les cibles des fellhouzes, sans aucune distinction.
Après le dix-neuf mars, cinq-cent-trente-deux
soldats
De l'Armée française sont tués ou enlevés.
Aucune contestation n'a été soulevée
Par le pouvoir gaulliste contre les fellhagas.
L'actuel chef de l'État veut célébrer
cette date.
Une fois de plus et de trop, chez cet homme on constate
Sa tendance à salir la mémoire de nos morts,
À souiller l'honneur de la France sans aucun remords.
Les fractures et souffrances de la guerre d'Algérie
Ne sont pas effacées, elles viennent d'être ravivées
Par le comportement d'un être dont la fourberie
L'incite à bafouer et à récidiver.
Coupable de réveiller des souvenirs cruels,
Le Chef des Armées s'apprête à commettre
Un acte vil et ignoble pour lequel il excelle.
Sa vraie mentalité est celle d'un piètre traître.
Les victimes dont les noms sont gravés
au Mémorial
Ne méritent aucunement que la France commémore
Une date qui nous rappelle l'épouvantable spirale
Où tant d'innocents Français ont trouvé la
mort.
Insulte pour les familles, victimes d'une forfaiture.
Insulte pour les pieds-noirs, insulte pour les harkis.
Insulte à la mémoire de nos morts sans sépulture.
Une commémoration empreinte d'ignominie.
Le summum de cette journée de l'indignité
Serait de décerner la légion d'honneur
À celui (*) qui désire tant réhabiliter
Les harkis afin de mettre fin à leur malheur.
Jean-Paul Ruiz
16/03/2016
(*) : Bien sûr, vous avez deviné,
il s'agit de Bouteflika,
le patient intermittent du Val-de-Grasse, qui se comporte
envers la France et les harkis en grand pourfendeur et provocateur.
Le président algérien, ancien fellhaga, adjoint direct
de Boumédienne, est bien placé pour avoir connu l'existence
des massacres, des enlèvements, des tortures, des camps de
prisonniers qui étaient pire que des bagnes, les bordels
où étaient détenues des femmes européennes,
les expropriations
manu-militari etc ...
J'ai voulu terminer mon texte par cette dernière
strophe
sous les traits de la dérision et de l'ironie. (JPR) |
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Monsieur le Maire de CUERS
Pour l'Algérie du FLN, le 19 mars marque la "défaite"
de la France. Où a-t-on vu, à part dans une nation
à tendance masochiste ou collabo, un pays qui commémorerait
ce que l'ennemi d'hier
célèbre comme une victoire? (Cf PJ) Même l'Allemagne
qui a pourtant renié le nazisme ne commémore pas sa
capitulation! Au delà des positions doctrinaires ou de principe
de la FNACA et de ceux qui linspirent ou la noyautent, il
y a aussi une réalité bien peu glorieuse: Le prétendu
"cessez le feu" c'était avant tout pour certains,
"la quille" et la fin du danger, tout au moins pour ceux
qui n'étaient pas planqués. C'était la fin
du risque pour eux; pas pour les autres, ils s'en fichaient! Cela
relevait tout simplement de l'égoïsme, le même
qui a caractérisé "l'accueil" des Français
d'Algérie par la métropole quelques semaines plus
tard
A peine 17 ans après que les Français d'AFN
soient venus en masse libérer lEurope et la France!
Je vous suggère de célébrer aussi désormais
le 22 juin 1940 puisque là également il s'agissait
du lâche soulagement d'une majorité de Français
et d'une approbation de la majorité parlementaire.
Vous remerciant pour l'attention que vous aurez bien voulu porter
à ce courrier, recevez monsieur le maire ma considération
désabusée et attristée.
Clément Charrut |
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Le 19 mars 1962. Date fatidique annonçant une fin de Grande
France. Des français vendent à Evian des Français
au terrorisme du FLN algérien. Ils bradent plus qu'ils vendent,
sous l'exigeance de De Gaulle, non seulement un territoire de la terre
nationale, mais en prime, ils donnent le Sahara toujours considéré
dans les livres d'Histoire comme une terre à part.
Nos patriotes, ce jour là ont été assassinés,
certains lâchement achevés par des soldats en tenues
militaires françaises.
C'était des éléments de la Willaya IV,
comme le sigle inscrit sur leurs casques le signalait.
Ce 19 mars 1962 n'a jamais été un jour de cesser
le feu en Algérie. Il a été le signal de massacres
plus importants dans les villes, comme Alger, Oran, et dans le bled,
mais une partie de la Métropole ne veut pas en entendre parler,
ne veut pas connaître la vraie histoire d'une Honte d'Etat.
Bien entendu, nos voix s'élèvent pour dénoncer
le mal et la trahison, mais nos voix aussi fortes soient-elles ne
peuvent atteindre le niveau de cette propagande gouvernementale
indigne, de Chirac à Hollande, qui méprise notre passé
et notre honneur de vrais Français, ceux qui respectent les
trois couleurs et l'hymne national.
Pour cette raison, nous devons subir, mais jusqu'à quand,
les affronts des socialo-gaullistes qui renient cette page d'Histoire
entre 1954 et 1962.
Ils sont de gauche, ils sont gaullistes et n'ont qu'une idée,
notre fin, notre disparition de cette Histoire de France tellement
malmenée par une éducation nationale qui ne veut pas
parler des journées glorieuses du pays mais seulement de
ses erreurs, ses fautes. Pour cela, l'armée d'Afrique est
occultée de ses victoires et celle d'Algérie traitée
coupable de ses actes.
Cette honte française va plus loin. Nos gouvernants vont
jusqu'à la repentance face à un Boutéflika
toujours aussi hargneux et agressif et une population algérienne
ignorante de son passé et des bourreaux FLN qui ont supprimé
une partie des leurs, mais qu'il faut flatter de sa fausse victoire
en 1962.
La France se perd dans son mea culpa anti Nation avec des personnes
qui nient le rôle des Pieds-noirs en Algérie française,
avec des éléments de certaines associations communistes
qui considèrent le 19 mars 1962 comme une victoire et un
cesser le feu qui ignore la suite des évènements :
les morts, les disparitions, les femmes, les enfants enlevés
et la torture des militaires français dans les camps de la
mort du FLN.
Il y a une chape de silence qui veut oublier notre passé
et pour témoignage, ce rôle trouble que va jouer Hollande
ce prochain 19 mars en se présentant à une cérémonie
parisienne qui pour nous est un affront de plus. Il nous provoque
et démontre combien il préfère l'alliance avec
le diable algérien que l'honneur d'un passé français
qu'il faut absolument effacer .
Est-il le seul ? Ils sont nombreux ceux de la gauche et de la
droite qui n'entendent pas nos cris, notre colère et notre
rôle de gardien de l'Algérie française dans
la pensée du peuple français.
J'apprends qu'un de nos patriotes à qui le maire de Cagnes
sur Mer voulait rendre un hommage, a vu les conseillers municipaux
de gauche refuser de s'associer à l'hommage. C'est ainsi
que bientôt soixante ans après l'ignominie gaulliste,
nous sommes encore soumis aux contrevérités et à
la critique de la gauche. Ils n'ont rien compris et se soumettent
en grand nombre à l'envahissement des migrants, aujourd'hui.
Leur humanisme pervers et leur mentalité rétrograde
perdent la Nation. Il y a de la "Soumission" comme l'écrit
Houellebecq; il y a un fatalisme de vaincu comme le souligne Boulalem
Sansal dans 2084, mais nous, nous accusons ce 19 mars 2016 et Hollande
qui va y être présent à cette manifestation,
en collusion avec le diable FLN.
Participer à ce 19 mars, c'est habiller d'oripeaux la
réputation de la France; c'est renier que des pionniers,
pendant 132 ans, ont fait d'une terre sans drapeau un pays moderne;
c'est apostasier les mensonges de Sétif, les assassinés
d'Alger et d'Oran; le martyr des Harkis et des supplétifs
musulmans renvoyés en Algérie pour être massacrés
par le FLN ou parqués dans des camps en France, sans avenir
pour leurs enfants.
Alors, ce jour là, je souhaiterai que les gaullistes
et les socialo-communistes oublient ce qu'ils sont, des renégats
de l'histoire, et deviennent un instant humains et respectueux de
l'Histoire de France.
La Nation et son peuple, lorsque leurs yeux seront ouverts,
souhaiteront autre chose. C'est le sujet de mon prochain livre :
Mondiarabie. Un livre où le pays redresse la tête pour
vaincre le mal venu d'Orient.
Cordialement. Robert Charles PUIG |
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C'EST LA VIE
En cette fatale année soixante deux on
était '' dégoutés de la vie '',
quelle '' vie de chien '' se disait on, on était comme dans
une '' fin de vie ''
car le risque était fort de '' passer de vie à trépas
'',
et dans cette '' vie d'enfer '' on s'est douté pour qui sonnait
le glas.
On nous avait mené '' la vie dure '' mais on devait s'en
sortir,
il a donc fallu tenir '' au péril de sa vie '' et puis partir
pour '' reprendre vie '' et en quelque sorte '' renaître à
la vie ''
et malgré tout '' donner un sens à notre vie '',
et même si on pensait que '' la vie n'était pas un
long fleuve tranquille ''
on a du quitter tristement Alger notre belle ville.
Obligés de '' prendre la vie du bon côté ''
il fallait '' redonner vie '' à notre existence et se jeter
dans une '' nouvelle vie '',
on se rassurait en se disant '' tant qu'il y a de la vie il y a
de l'espoir ''
pour bien '' regarder la vie en face '' mais en quittant notre belle
Histoire.
On ne devait pas trop '' se compliquer la vie '' mais plutôt
'' prendre la vie du bon côté ''
même si '' les choses de la vie '' ne nous avaient pas épargnés,
il fallait alors '' changer de vie '' ou de '' mode de vie ''
pour cela essayer d'avoir un bon '' train de vie '' ou du moins
'' gagner sa vie ''.
On rêvait de voir un jour la '' vie en rose '' qui nous aurait
été offerte comme un cadeau
mais sans penser à '' une vie de patachon '' ,'' de pacha
'' ou '' de château '',
nous voulions enfin '' couler une vie heureuse '' en se souhaitant
'' longue vie ''
et en se promettant alors que '' jamais de la vie '' on oublierait
notre '' ancienne vie ''.
Robert Voirin
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Mensonge d' EVIAN |
Monsieur le Président,
Jai lhonneur de porter à votre connaissance lhorreur
et la douleur que je ressens à la lecture des informations
concernant votre projet de commémoration, reçues par
le net.
Vous devez vous rendre au quai Branly, ce 19 mars, pour prononcer
un discours, devant le Mémorial National de la guerre dAlgérie
et des combats du Maroc et de la Tunisie.
Il sagirait bien dune journée nationale du
souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes
civiles et militaires de la guerre dAlgérie et des
combats en Tunisie et au Maroc.
Cest ce que vous affirmez nest-ce-pas ?
En réalité, Monsieur le Président, je vous
plains. Il se fera évident que vous êtes fort mal informé
pour glorifier une telle date. Il sagit de la commémoration
dun impudent mensonge dÉtat.
Tous les anciens combattants le savent, les avez-vous interrogés
? Le savent, aussi, tous ceux qui ont vécu cette époque
et qui nont pas manqué daccomplir leur devoir
de transmission des faits, bien au-delà de leurs générations.
Ce 19 mars 1962 est la date de la signature des soi-disant
accords dEvian, ce sinistre mensonge dÉtat. Vous
ne pouvez pas ignorer, en effet, que ce 19 mars 1962, ne fut en
réalité que « laccord » de poursuivre
lhorreur dans laquelle nous, les Français dAlgérie,
fûmes plongés, de même que les Harkis et autres
musulmans pro-français, en toute conscience.
Vous ne pouvez pas ignorer que la signature du 19 mars 1962
ne fut quun paraphe du sang et tous les chantres pseudo-historiens
dont - malheureusement pour votre connaissance - vous vous entourez,
ny changeront rien.
Jai lhonneur de vous remettre, en pièce jointe,
le courrier que jai adressé à vos prédécesseurs
à propos dun de ces massacres qui suivirent, le massacre
du 26 mars 1962, Plateau des Glières à Alger. Cest
au cours de cette tuerie, au milieu dune humble foule de femmes,
denfants, de vieux messieurs portant fièrement leurs
décorations, que le père de mes enfants fut assassiné,
sur un ordre venu du sommet de lÉtat.
Jai refusé que le nom de mon époux soit
inscrit sur la colonne du Quai Branly.
Par cette lecture vous comprendrez à quel point je suis
heureuse, aujourdhui, eu égard à la cérémonie
que vous entendez y tenir, que le nom de mon époux ne figure
pas sur cette colonne. Sa mémoire ne participera pas au déshonneur
posthume, -de la souillure-, infligé à la mémoire
de tous ceux dont les noms sont énumérés là.
Comment pouvez-vous prétendre représenter la France
et les Français dans la commémoration dune paix
qui a provoqué deux fois plus de morts que durant tout le
conflit ?
Quelle paix allez-vous évoquer devant les familles des
Disparus.
Vous ne servez pas la paix en nous donnant une image de morgue.
Et plus quun déni de mémoire, car là,
il existe bien quelque chose, vous utilisez le déplacement
de la mémoire, le plus horrible qui puisse exister, cette
tentation déradiquer tout un peuple, tout un pan de
lHistoire de lhumanité à laquelle nous
appartenons.
Quoique vous tentiez, nous existons.
Tous les échos douloureux, qui vous parviennent à
lévocation de cette date funeste, ainsi que ma propre
douleur contribueront, je lespère, à votre méditation
sur le sujet.
Tout en comptant sur votre compréhension, je vous prie
de bien vouloir agréer, Monsieur le Président, les
respectueuses salutations dues à votre charge.
Simone
GAUTIER
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Le Quai Branly, créé au départ pour honorer
les Morts des guerres d'A.F.N., avec l'assentiment de 29 associations
sur 31, ainsi que les victimes civiles innocentes (commémorations
du 5 décembre) est devenu par le jeu des lobbys communistes,
le symbole de la félonie...
François PAZ |
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Pourquoi célébrer une défaite, un abandon
le 19 mars 1962 ?
Pour culpabiliser Pieds-noirs et Harkis ?
Arrêtons de nous flageller dans la repentance, la France
a construit l'Algérie, créé sa richesse,
trouvé du pétrole...
La France devrait être fière de son oeuvre!
Pourquoi se complaire dans la culpabilité ?
Le 19 mars 1962 est commémoré comme une victoire
en Algérie...
Une victoire sur qui ???
Gérard BENIGNI
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Il paraît que le Président de
la République compte donner beaucoup d'éclat aux cérémonies
de cette journée nationale... Où va-t-on !!!
Le Sénat a adopté jeudi la proposition de loi socialiste,
très controversée, qui consacre le 19 mars 1962 -
jour du cessez-le-feu en Algérie - comme journée nationale
du souvenir «des victimes civiles et militaires de la guerre
d'Algérie». Le texte a été approuvé
par 181 voix contre 155. La gauche a voté pour, le centre
et la droite contre. La proposition de loi est définitivement
adoptée par le Parlement.
Auparavant existait une journée d'hommage consacrée
aux seuls «morts pour la France» pendant la guerre d'Algérie,
instituée en 2003. À l'époque, afin de réconcilier
des mémoires fragmentées, Jacques Chirac avait choisi
une date neutre, le 5 décembre, jour où il avait inauguré
le Mémorial consacré aux 24.000 militaires français
tués pendant le conflit, quai Branly, à Paris.
Le rapporteur de la proposition de loi, Alain Néri (PS, Puy-de-Dôme),
a défendu le 19 mars par la nécessité de «rendre
hommage aux deux millions d'appelés du contingent mobilisés
pendant le conflit». Ses collègues de la majorité
sénatoriale ont estimé que cette date permettait de
rendre hommage à toutes les victimes.
Un «risque grave de division entre Français»
Les sénateurs UMP, pour leur part, se sont opposés
à cette date. Ils ont considéré que choisir
le 19 mars revenait à occulter que plusieurs milliers d'Européens
et quelque 80.000 harkis ont été tués après
le cessez-le-feu. Et ils ont accusé la gauche d'utiliser
l'histoire à des fins partisanes alors que François
Hollande doit se rendre en Algérie en décembre.
Rapatriés et harkis ont exprimé leur hostilité
à ce texte. Les anciens combattants, pour leur part, sont
divisés. L'Union nationale des combattants (UNC), qui se
veut apolitique, et trente autres associations - elles compteraient
1 200 000 adhérents au total - voient dans le choix du 19
mars un «risque grave de division profonde entre Français».
En revanche, la Fédération nationale des anciens combattants
d'Algérie (Fnaca), plutôt à gauche et qui revendique
350.000 membres, marque son «attachement indéfectible»
au 19 mars.
La proposition de loi que vient d'entériner le Sénat
avait été approuvée par l'Assemblée
nationale début 2002, lorsque Lionel Jospin était
premier ministre. L'UMP a estimé que le choix de la gauche
sénatoriale de reprendre un texte vieux de plus de dix ans
l'exposait à une censure du Conseil constitutionnel. |
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Pourquoi la présence de Hollande Quai Branly le 19 mars
prochain est-elle si scandaleuse ?
Officialisation de cette date le 6 septembre 2012, c'était
déjà une insulte à la mémoire de tant
des nôtres assassinés après les accords d'Evian.
Mais que le chef de l'Etat y participe, c'est un signe très
fort. Car sont exclus de facto de la communauté nationale,
que le président de la République est pourtant censé
représenter dans sa totalité, les Pieds-Noirs et Harkis
dont il méprise... non pire, dont il nie... les dizaines de
milliers de morts et de disparus de l'après 19 mars.
Certes, nous avons l'habitude. Mais là l'injure est maximum.
Exigeons que les noms de tous nos morts défilant sur les colonnes
du Quai Branly soient immédiatement retirés, au moins
pour cette journée. Qu'ils ne soient pas assassinés
une seconde fois en étant associés à cette abjecte
"commémoration".
Et pour une fois, ne cherchons pas d'excuses pour ne pas assister
aux cérémonies du 26 mars. Montrons que ce 19 mars est
un leurre puisque, 1 semaine après, des dizaines des nôtres
étaient tués et des centaines d'autres blessés
lors de la fusillade de la rue d'Isly. L'armée française
qui tire sur des civils français désarmés dans
une ville encore française. Ce seul événement
devrait suffire à faire reculer n'importe quel politique quant
à une célébration du 19 mars. Mais pas le premier
d'entre eux. Et comme on dirait chez nous, le rouge de la honte il
lui monte même pas à la figure !
LVD
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Ouverture du Bureau de Camerone 2016
Bonjour, nous avons le plaisir de vous informer
que l'inscription à la cérémonie de commemoration
de Camerone 2016 à la Maison mère à Aubagne,
sera ouvert au personnel du quartier Viénot et leurs familles
à compter du 08 février 2016.
Formulaire d'inscription quartier Viénot:
http://camerone.legion-etrangere.com/fr/reservation/reservation_1.php
Le formulaire d'inscription réservé
aux amicales et au grand public seront disponible à compter
du 22 février 2015.
Formulaire réservé aux amicales:
http://camerone.legion-etrangere.com/fr/reservation/reservation_2.php
Formulaire réservé au grand public:
http://camerone.legion-etrangere.com/fr/reservation/reservation_3.php
Vous aimez la Légion étrangère:
n'hésitez pas à diffuser ses informations par mail
et sur les réseaux sociaux !
Cordialement,
Le bureau Camerone
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MEMOIRE D' ALGERIE EN VIDEO
Attention : Document unique à conserver
"BIBLIOTHEQUE "SUR L'ALGERIE : remarquable
!!!
Cliquer sur le lien ci dessous.
http://jeanyvesthorrignac.fr/crbst_41.html#anchor-Alfrancaise
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DATES A RETENIR ET A
DIFFUSER
Manifestations organisées par le Cercle
Jean Bastien-Thiry pour le 53emc anniversaire de sa mort:
Vendredi 11 mars à 18 heures: messe en
léglise Sainte Odile, 2 av. Stéphane Mallarmé,
75017 Paris .
Dimanche 13 mars à 15 heures: cérémonie
au cimetière de Bourg-la-Reine (92) sur la tombe de Jean
Bastien-Thiry
Autres messes pour Jean Bastien-Thiry:
- A Fondettes: messe le vendredi 11 mars à
9 heures. A Fréjus : messe le vendredi 11 mars à 8h45
en la cathédrale de Fréjus
- A Hames-Boucres (62): messe le dimanche 13
mars à 8h45 à la chapelle Sainte Victoire
- A Marseille: messe le vendredi 11 mars à
17 heures en la basilique du Sacré-Cur (av. du Prado
13008)
- A Meylan (38): messe le mardi 8 mars à
11 heures au Prieuré St Pierre Julien Eymard, 22 chemin du
Bachais
- A Montluçon: messe le dimanche 6 mars
à 10h30 à la chapelle Notre Dame de Fatima, 10 passage
Bretonnie. A Nancy : messe le vendredi 11 mars à 18h30 à
la chapelle du Sacré Cur, 65 me maréchal Oudinot
- A Nice: messe le vendredi 11 mars à
18h30 à la chapelle de la Visitation, 17 place Sainte Claire
- A Paris: messe le mercredi 9 mars à
18 heures en léglise Notre Dame de Grâce de Passy
- A Toulon: messe le vendredi 11 mars à
18 heures en la cathédrale de Toulon
- A Toulouse : messe le vendredi 11 mars à
18hl5 en léglise du Feretra.
Autres messes commémoratives:
- A Paris: messe le jeudi 7 avril à 18h30
en léglise St Nicolas du Chardonnet (75005) pour les
victimes du 26 mars et tous les martyrs de lAlgérie
Française.
- A Antibes: mercredi 30 mars: messe à
18h en léglise du Sacré-Cur pour tous
les martyrs de lAlgérie Française
- A Montauban: vendredi 18 mars à l0h:
messe en léglise Saint Jacques pour tous les martyrs
de lAlgérie Française. |
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Merci pour toutes les actions qui seront entreprises pour faire
connaitre cette nouvelle. Je n'ai pas ménagé mes forces
pour faire revenir notre Vierge dans sa communauté religieuse.
Je ne pensais pas réussir à la faire entrer dans un
refuge aussi magnifique . La Cathédrale de Toulon, classée
au monument historique. Elle a accompagné ma famille des années
et lorsque elle m'a été remise, j'étais convaincu
qu'elle n'appartenait pas a une personne, ni a une famille, mais a
l'église. Mon message sur ma lettre du don: Par sa présence,
elle continue de rassembler les Chrétiens du monde et qu'elle
prolonge ses messages d'Amour, de Paix et de souvenirs à tous
ceux qui l'ont rencontrée et côtoyée dans ce pays
d' Algérie. Je me trouve aujourd'hui apaisé, je sais
qu'elle est en sécurité, et àla Chapelle du Saint
Sacrement, elle va passer son premier Noël, depuis son rapatriement
en cette année 2015, auprès du Christ . Qu'elle apporte
à tous ses visiteurs sa bénédiction .
Claude ACHARD |
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Dalida BEN-BRAHIM
Quant le drapeau est en berne, malheureusement les gens chantent
la Marseille, quant il flotte dans les airs ils ne le voient pas.
Je m'adresse a tous ceux qui se nettoient l'arrière train
avec le drapeau tricolore, celui de nos parents, de nos grands-parents
et de nos amis. A ces religieux de tous bords, ces skisophréne
qui ont mis notre pays en danger, ce qui disent "on aime tous
le monde, mais surtout pas la France" cela ne prennent pas
de risques, mais ils sont contents que ce noble pays soit leur résidence
secondaire.
La Nation Française n'est pas une prostituée,
on ne tendra pas l'autre joue, que l'on m'explique comment des migrants
qui traversent la mer sur des bateaux pneumatiques ou des barques,
ne sont ils pas capable de se rebeller contre leur régime.
Il y a quelques années, la Marseillaise a été
sifflé, cela continu depuis, personne n'a rien dit. Si nous,
Patriotes Français, on faisait pareil contre leur hymne nationale,
on serait rapidement sanctionnés. Il en va de même
pour ce qui concerne le fait de brûler notre drapeau, le drapeau
de celles et ceux qui sont morts pour la Patrie. On ne se soumettra
pas, nos ancêtres se sont battus, notre devoir est de soutenir
nos soldats, la défense nationale, premier ministère
de France. "Les politiques font leur religions, les religieux
font leur politique" nous ne sommes plus des enfants et nous
ne laisserons surtout pas les religieux dicter notre conduite.
A ceux qui ont fait l'école des Fanatiques, nous leur
diront non! Dieu est bon, il est miséricordieux, il n'a pas
demandé à ces gens de devenir véreux.
Et la Vierge Marie n'est pas souillée par des gens qui
ne risqueraient pas de la vénérer, c'est à
se demander si ils ont aimé leur mère.
Notre combat est de défendre la France! Rassemblons nous,
la devise du commando George était "chassez la misère",
la misère c'est eux. Ma devise est "il ne suffit pas
de dire, il suffit d'agir!"
VIVE LA FRANCE QUE J'AIME ET QUI JE PENSE NOUS AIMONS TOUS!
Dalida BEN-BRAHIM |
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C'était
en 1900.... |
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Yannick bonjour.
Votre débat avec Nadine Morano ma interpellé
quand vous avez comparé les réfugiés avec
nous Pieds Noirs et Harkis..
Savez vous que nous sommes exilés et non pas réfugiés
Savez vous que nous étions Français comme
vous ???
Savez vous que cest 2Gol qui nous a obligés à
lexil avec la complicité du FLN
Savez vous que les FRANÇAIS DAlgérie ont
participé à une grande échelle au sursaut
économique de la France .
Savez vous que nombre dagriculteurs ont acheté
des fermes au dessus de leur prix avec un emprunt et sans aide
du gouvernement .
Savez vous que les indemnisations touchés par les Pieds
Noirs se résument à des clopinettes ..
Quand est ce que les Historiens les hommes politiques
vont-ils rétablir la VÉRITÉ concernant lhistoire
de France ..
Notre Histoire Monsieur et aussi VOTRE HISTOIRE !!!
Je vous joins une diaporama avec une chanson dont le titre
OU ÉTIEZ VOUS EN 62 ??? décrit fort bien laccueil
plus que glacial de la France envers ses propres compatriotes
dAlgérie..
Ça Monsieur nous loublierons JAMAIS
En espérant que ce mail vous rendra moins ignare quauparavant
.
Belle écoute.
https://www.youtube.com/watch?v=ZdQBTMC3OJo&feature=youtu.be
La dernière chanson de Jean-Paul GAVINO
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21 février 2016 |
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Il y a 100 ans, le 21/02/1916, Verdun découvrait lenfer.
Un carnage qui dura 300 jours. Dans un Devoir de Mémoire, ayons
une pensée pour les centaines de milliers de soldats français
qui en furent victimes! Sans leur sacrifice, sans doute, aujourdhui,
serions-nous en train de parler dautre chose !!!
Pour avoir une idée de ce quils endurèrent, ne
manquez pas lextraordinaire documentaire (Apocalypse Verdun)
programmé ce soir par A2 (21:00) ...
Pour mémoire :
Au cours de la Première Guerre mondiale, lArmée
dAfrique envoie plus de 300 000 soldats combattre en Europe
(190 000 Maghrébins et 150 000 Européens) juifs et
chrétiens et les unités dAfrique du Nord participent
à toutes les grandes opérations.
Jean-Pierre PENALBA
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Chers amis,
Rentré de Paris où je suis intervenu
au meeting de Rungis le 7 février, le lendemain de l'arrestation
du général PIQUEMAL, j'ai préparé et
envoyé hier un communiqué que je vous adresse en pièce
jointe.
Je vous communique par ailleurs le lien url qui
vous permettra de suivre mon discours prononcé à cette
occasion. Vous pouvez retransmettre l'ensemble de ces informations
à vos propres contacts.
https://www.youtube.com/watch?v=A1o2c5eJbfc
Bien cordialement.
Antoine MARTINEZ |
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Oeuvre française en Algérie
et Medias... |
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N'étant en aucun cas soumis au sacro-saint
devoir de réserve sur lequel, du reste, il y aurait fort
à dire je transfère ce lien significatif.
Cet évènement me ramenant quelques années en
arrière lorsque l'on enchainait voire assassinait des patriotes
défendant les couleurs de la France. Hergé
https://youtu.be/myPhsRbBWSI |
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CE N' EST UN SECRET POUR PERSONNE: LA COMPLICITE
DES COMMUNISTES AVEC LE F.L.N. |
Année
1956 |
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Etude
n° 6 Les conséquences actuelles de la première
faute d'Achard. |
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Retour en arrière sur le 40 ° Congrès
national du Cercle Algérianiste à Carcassonne. |
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Raphaël DELPARD parle de son livre
"Les Oubliés de la guerre d'Algérie"
Chaire algérianiste de Nice C.U.M.
28 novembre 2008
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Retour en arrière:
Étrange, j'ai eu beau regarder les JT des uns et des autres
Cest incroyable que ce genre dinfo soit passé
sous silence !!!
Petit rappel de lomerta pratiquée par nos médias
!
Cela sest passé le 13 novembre à Paris. Vous
lavez vu quelque part dans les médias ? Pourquoi les
médias, si prompts à critiquer, nen ont-ils
pas parlé ? Avaient-ils des ordres ? Regardez ce reportage
tourné par un média étranger. Cela demande
une réponse. Mais il ny en aura pas, nous sommes déjà
censurés.
Cest étrange, TFI et les autres, nen parlent
pas. Les journaux ne disent mots. Cela sappelle de la rétention
dinformations, mais cela commence à bouger !
Vous pouvez faire tourner le lien ci-après en boucle.
http://www.liveleak.com/view?i=f17_1352976528 |
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Bonjour à toutes et à tous.
Jai le regret de vous faire part du décès le 26.01.2016
à lhôpital dORANGE, du capitaine (ER), ancien
de la Légion Etrangère, Guy BRANCA, dans sa 90°
année . Il était grand officier de la légion
dHonneur depuis 2012 et titulaire de la croix de guerre des
T.O.E. et de la croix de la valeur militaire avec douze citations.
Il était domicilié avec son épouse, chemin du
Péage, vers la chapelle de Gabet à ORANGE.
Ses obsèques religieuses seront célébrées
le lundi 1er février 2016, à 10 heures 30, à
la cathédrale Notre Dame de Nazareth à ORANGE. Linhumation
est prévue à BOCCOGNANO (Corse du Sud).
Le comité dOrange et Haut Vaucluse sera représenté
par son président (avec drap mortuaire et drapeau du comité).
Les sociétaires souhaitant y participer voudront bien être
porteur de leurs décorations.
Les condoléances peuvent être transmises à constantin.lianos@monsieur-legionnaire.org,
qui transmettra à Mme BRANCA.
Avec mes sentiments les meilleurs.
Lieutenant colonel (ER) Etienne PROST-A-PETIT,
Président du comité dOrange et Haut Vaucluse de
la SMLH
Tél 06.58.08.42.14 04.90.11.06.43
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A propos du camarade URVOAS", une lettre ouverte de 2011
restée sans réponse...
Lettre ouverte en date du 11 juillet 2011 à M. Jean-Jacques
Urvoas, député du Finistère,
à propos des noms donnés à certaines rues ou
places.
Monsieur le député,
Dans votre question n° 98827, vous mentionnez le déroulement
dune cérémonie donnant le nom du colonel Château-Jobert
à une place, à lécole des troupes aéroportées.
Vous indiquez quen tant quancien chef de lOAS,
cette cérémonie « porte (je cite) gravement
atteinte à la mémoire de lensemble des victimes,
françaises et algériennes, civiles et militaires,
de cette organisation criminelle ».
Monsieur le ministre de la défense et des anciens combattants
a parfaitement répondu à votre question concernant
le colonel Pierre Château-Jobert, militaire à la carrière
exceptionnelle, par ailleurs amnistié en 1968 (réponse
en date du 28 juin 2011).
En revanche, je nai pas lu dans le Journal officiel des débats
parlementaires que vous ayez interpellé de la même
manière le ministre de la défense et des anciens combattants
lorsque le nom de Nadia Guendouz a été donné
à une rue de la commune de Saint-Ouen.
Pourtant, en tant quinfirmière, poète, mais
aussi et surtout membre du FLN, cela « porte gravement atteinte
à la mémoire de lensemble des victimes, françaises
et algériennes, civiles et militaires, de cette organisation
criminelle ».
Je nai pas lu dans le Journal officiel des débats parlementaires
que vous ayez interpellé de la même manière
le ministre de la défense et des anciens combattants lorsque
le nom de rues ou places du « 19 mars 1962, date du cessez-le-feu
en Algérie » est donné ici ou là. Pourtant
le fait que le cessez-le feu du 19 mars nait pas été
respecté par le FLN et quil y ait eu lieu en Algérie
de très nombreux enlèvements et morts (plus même
que pendant les huit années de confit) « porte gravement
atteinte à la mémoire de lensemble des victimes,
françaises et algériennes, civiles et militaires,
de cette organisation criminelle ». Le FLN, qui commémore
chaque année le 19 mars 1962 en Algérie, a même
fait de cette date sa fête de la victoire.
Je nai pas lu non plus dans le Journal officiel des débats
parlementaires que vous ayez interpellé de la même
manière le ministre de la défense et des anciens combattants
lorsque le nom de rues ou places « Ho Chi Minh » est
donné ici ou là. Pourtant, cela « porte gravement
atteinte à la mémoire de lensemble des victimes,
françaises et indochinoises, civiles et militaires, de lorganisation
criminelle » que dirigeait M. Ho Chi Minh.
Et je pourrai encore allonger cette liste du nom de quelques dictateurs
sanguinaires dont le nom figure en bonne place dans certaines de
nos communes
Je vous prie dagréer, Monsieur le député,
lexpression de mes salutations.
Roger Soncarrieu,
Auteur de « Ma vérité sur la guerre dAlgérie
» et de « Guerre dAlgérie : jen ai
assez » (Editions Dualpha)
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Monsieur le Ministre, faites attention, que
Monsieur Zitouni ne vous fasse pas une "olive"! |
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Le droit de dire, de penser et décrire
Cest ma liberté dexpression ! Est-elle celle
qui permet de... sexprimer librement ? De donner libre
cours à un point de vue ou de décrire des moments de
vie ou de deuil sans que cela soit mis à lindex par les
nouveaux « bien-pensants » du socialisme, après
ceux du gaullisme ?
La liberté dexpression ? Il me semble quelle
ne soit pas toujours la règle exacte, avec des limites imposées.
Dans les années 1958 / 62 avec létouffement du
patriotisme pied-noir... Dans les années qui suivirent, le
voile noir de la honte sur les massacres des Harkis au moment de lindépendance
en lAlgérie et le refus des autorités gaullistes
de les recevoir en terre de France, puis le silence sur certains dentre-eux,
arrivés sur le sol français et qui, malgré les
décisions dEtat à les renvoyer en Algérie,
demeurèrent longtemps enfermés dans des ghettos en Métropole.
La liberté dexpression ? 1990, la loi Gayssot qui
réprime la négation des crimes contre lhumanité ;
2001, la loi Taubira sur lesclavage ; 2005, la loi sur
la reconnaissance des rapatriés, sauf larticle 4 affirmant
le rôle positif de la présence française dOutre-mer,
que Jacques Chirac fit supprimer par le Conseil constitutionnel. Il
y a comme un voile de pudeur qui réglemente la vérité
historique au profit dune propagande dEtat arrangée,
détournée du réel. Il faut paraître à
la fois faux humaniste et savoir mentir aux populations.
Permettez-moi de revenir sur un temps passé... le massacre
du 26 mars 1962 à Alger. Il y a eu un livre blanc dénonçant
les tueries de ce jour là. (Le livre interdit / Edition Atlantis
/ Collection France-Algérie).
Ce livre fut interdit par le suppôt gaulliste du Rocher noir,
le sieur Fouchet, comme furent interdites les révélations
sur le massacre dOran du 5 juillet... ! Le droit de
dire, de penser, décrire ? Cest ma liberté,
mais pas celle de ceux qui nous gouvernent. Ils exigent de gérer
autoritairement et le droit à la Liberté dexpression
et le droit à connaître les vérités ?
Un voile impudique pour étouffer lHistoire derrière
des mensonges.
Le droit de dire, de penser et décrire ! La
liberté dexpression, sous la coupe des politiciens,
a une voilure rétractable. De nos jours, en régime
PS, différents acteurs de la vie politique, du monde des
écrivains ou de la presse sont victimes de leurs propos et
condamnés par les « Torquemada » au
service de la gauche.
Pourquoi ? Parce quils refusent de colporter les mensonges
du pouvoir, ou dimposer au peuple le « prêt-à-penser »
socialiste. Ils parlent vrai, écrivent juste et sont mis
en péril, presque « hors la loi ».
Je mavance beaucoup sur ce sujet sensible, mais pourquoi pas
passibles de la prochaine loi, si elle est votée, sur la
déchéance de la nationalité que le pouvoir
veut appliquer aux binationaux et aux autres français de
souche ou de cur ? Notons quen élargissant
le cercle de cette loi, Hollande est sûr de son abandon. Encore
une promesse sans réalisation mais là, le président
sauve son parti de léclatement et se sauve aussi dun
tremblement politique à gauche. Déjà Valls
joue à lesquive sur ce sujet !
En attendant, lorsquil y a liberté dexpression,
il ne sagit que de flèches empoisonnées contre
lopposition PS. Nicolas Sarkozy ou Marine Le Pen en sont les
cibles ! Les procès pleuvent et les non-lieux aussi...
La presse écrite ? « Valeurs actuelles »
pour des articles qui gênent lillogisme du pouvoir...
Des écrivains, des romanciers ? Ils ont le tort dêtre
réalistes, daffirmer des valeurs, une identité
différente de celle du PS. Alors ils sont visés par
les flammes dun « Fahrenheit 451 ».
Des noms ? Eric Zemmour, Alain Finkielkraut, Michel Houellebecq,
Michel Onfray, pourtant dit de gauche, Richard Millet, Renaud Camus,
Philippe de Villiers.
Il y en a bien dautres que les délateurs du temple
de la « pensée unique » feraient bien
monter sur léchafaud ou immoler au nom de lancien
temps du Front populaire, car la liberté dexpression,
hier comme aujourdhui est une sorte de serpent des mers qui
ne sert que les pouvoirs en place, et dont sait pleinement profiter
la gauche aujourdhui au pouvoir.
Nous aurons encore le temps dentendre des promesses, davaler
des couleuvres, découter Valls jouer du pipeau, mais
ne nous faisons pas dillusion, jamais la liberté de
dire, de penser ou décrire, cest à dire
la liberté dexpression ne seront libérées
du poids dune idéologie relativiste, sous le règne
des socialistes.
Comme dernier exemple, lHistoire de France déformée
et présentée dune façon tronquée
de sa réalité par la ministre de léducation
nationale. Elle détourne semble-t-il dans ses directives,
les valeurs et la gloire des actions passées de la Nation,
pour nen montrer que les aspects les plus négatifs...
Pour que des jeunes ne se sentent plus patriotes ? Pour « faire »
le jihad et renier le pays où ils sont nés ?
Cest à réfléchir, mais nest-ce
pas la suite de lesprit soixante-huitard socialo-débridé
qui déjà apostasiait notre histoire pour le chaos
mondialiste ?
Robert Charles PUIG / janvier 2016
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Réponse à des Faussaires de l'Histoire... |
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Ce référendum était anti-constitutionnel
... De Gaulle était un dictateur... |
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Bonjour à toutes et à tous.
Jai le regret de vous faire part du décès le 26.01.2016
à lhôpital dORANGE, du capitaine (ER), ancien
de la Légion Etrangère, Guy BRANCA, dans sa 90°
année . Il était grand officier de la légion
dHonneur depuis 2012 et titulaire de la croix de guerre des
T.O.E. et de la croix de la valeur militaire avec douze citations.
Il était domicilié avec son épouse, chemin du
Péage, vers la chapelle de Gabet à ORANGE.
Ses obsèques religieuses seront célébrées
le lundi 1er février 2016, à 10 heures 30, à
la cathédrale Notre Dame de Nazareth à ORANGE. Linhumation
est prévue à BOCCOGNANO (Corse du Sud).
Le comité dOrange et Haut Vaucluse sera représenté
par son président (avec drap mortuaire et drapeau du comité).
Les sociétaires souhaitant y participer voudront bien être
porteur de leurs décorations.
Les condoléances peuvent être transmises à constantin.lianos@monsieur-legionnaire.org,
qui transmettra à Mme BRANCA.
Avec mes sentiments les meilleurs.
Lieutenant colonel (ER) Etienne PROST-A-PETIT,
Président du comité dOrange et Haut Vaucluse de
la SMLH
Tél 06.58.08.42.14 04.90.11.06.43 |
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Quel dommage que ce ne soit pas l'extrême-droite qui
ait commis ces agressions!!
Les Féministes, sont atterrées!!
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A Calais, c'est la guerre des sédentaires
contre les nomades... |
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https://www.youtube.com/watch?v=V0dUtMNiZRs&feature=player_embedded#t=0 |
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« LOTAN est devenue une menace
pour la sécurité des Européens, car elle les
empêche de trouver leur autonomie stratégique. Ils
sen remettent, à tort, aux Américains pour les
défendre. »
. « Depuis trop longtemps, les hommes politiques
ont oublié lintérêt général
de la France vite sacrifié sur lautel des intérêts
politiciens; cest la première raison de la désorganisation
de larmée française. »
. « La France ne sen sortira que si elle recrée
lEtat régalien qui a été bradé
au profit de lEtat providence. Les armées, la police,
la justice, la diplomatie sont aujourdhui dans un état
lamentable. »
Général Vincent Desportes, expert en stratégie
(in Le Figaro, 15 janvier 2016)
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21 janvier 2016 |
La Pensée du Jour : Page noire de la
France...
"Je meurs innocent
de tous les crimes qu'on m'impute. Je pardonne aux auteurs de ma
mort. Je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne
retombe jamais sur la France."
Dernières paroles prononcées par
le Roi Louis XVI à linstant de son exécution. |
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Ils ne vont pas lui donner les clefs de la
caisse, sinon elle va commencer par faire les comptes et découvrir
tous les cadavres dans les placards avec les Baumettes en ligne
de mire
pour les sortants et Estrosi ne veut pas ennuyer ses obligés
du P.S!!!
La droite et la gauche mangent dans la même gamelle. C'est
une mafia politicienne ! Tant que les gens baisseront leur caleçon
et continueront de voter pour eux...
https://www.youtube.com/watch?v=AuD7h8bB-WQ
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Membre de la Fédération Nationale André
Maginot Groupement 250
Le Président
Paris, le 11 Janvier 2016
N° 16- 01008 / UNP
Monsieur le Président de la République
Au cours du mois de Janvier 2016 vous avez voulu témoigner
la reconnaissance de la Nation aux victimes des attentats lâchement
perpétrés à Paris il y a un an.
Le dimanche 10 Janvier, quelques semaines seulement après la
terreur semée au Bataclan et au cur de la capitale, vous
avez dévoilé une plaque « A la mémoire
des victimes des attentats terroristes de janvier et novembre 2015,
à Paris, Montrouge et Saint-Denis » portant la mention
« Ici même, le peuple de France leur rend hommage. »
Parce quà un moment de leur existence, ils ont choisi
de mettre leur vie au service de la France, les parachutistes réunis
au sein de lUnion Nationale des Parachutistes sont particulièrement
sensibles aux exigences du combat que mène notre pays contre
le terrorisme.
Ils mesurent pleinement limportance de la cohésion nationale,
du soutien populaire et de la reconnaissance dans cette guerre.
Cest dans cet esprit, quils se sont associés par
leur présence et avec leurs drapeaux à toutes les manifestations
dhommage qui ont été organisées partout
en France.
Dans cette longue guerre contre le terrorisme, 568 soldats de nos
trois armées ont perdu la vie au cours des dernières
décennies :
- 10 au Mali
- 12 en Irak
- 27 en Côte dIvoire
- 89 en Afghanistan
- 116 en Ex-Yougoslavie
- 156 au Tchad
- 158 au Liban
Depuis plusieurs années un projet de monument commémoratif
rappelant le souvenir de ses combattants des opérations extérieures
navance pas.
Pire, il semble aujourdhui totalement oublié !
Ce qui a été décidé et réalisé
pour honorer la mémoire des victimes du terrorisme ne peut-il
donc pas être mis en uvre pour 568 soldats qui, eux nont
pas perdu la vie par malchance, mais lont délibérément
mise au service de leur pays en allant combattre le terrorisme sur
tous les territoires où la République les a envoyés
au combat.
Eux aussi, sont tombés pour notre liberté, notre sécurité,
notre liberté dexpression !
En leur nom et pour leurs familles, lUnion Nationale des Parachutistes
a lhonneur de vous demander quau cours de 2016 vous présidiez
lhommage solennel auquel ils ont droit et qui a déjà
beaucoup trop tardé et inauguriez, enfin !, ce lieu de mémoire
qui permettra de rappeler à la France le sacrifice de ces héros
anonymes.
Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République,
lexpression de notre très haute considération.
Thierry CAMBOURNAC
Général darmée (2s)
Président de lunion Nationale des Parachutistes
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Message du Président national
Chers camarades,
Au cours du mois de Janvier le Président de la République
a multiplié les hommages aux victimes des attentats terroristes
de l'année dernière, allant jusqu'à inaugurer
quelques semaines après un lieu de mémoire pour honorer
les victimes des tueries de Novembre.
S'il n'est nullement dans l'intention de l'UNP de contester en quoi
que ce soit le bien fondé de ces cérémonies
et hommages, force est de constater qu'une fois encore la République
fait deux poids deux mesures puisque plus de 500 soldats morts en
opération au cours des dernières décennies
attendent toujours que soit érigé à Paris le
monument qui doit perpétuer leur sacrifice.
Ce que l'on a su faire pour 115 victimes du terrorisme ne peut-il
être fait pour 568 militaires des trois armées qui
ont accepté de faire le sacrifice de leur vie pour notre
sécurité, notre liberté d'opinion et notre
liberté tout court ??!!
C'est pour rappeler cette exigence de reconnaissance que j'ai
adressé au Président de la République la lettre
ci jointe.
En toute fraternité parachutiste,
Thierry CAMBOURNAC
Général d'armée (2s) |
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LETTRE OUVERTE
Suite aux déclarations du docteur Patrick Pelloux, urgentiste
et chef du SAMU parisien.
Pour ceux qui désirent réagir (éventuellement
en envoyant aussi des photos éloquentes de nos victimes françaises
par le FLN, pendant la guerre d'Algérie) :
Merci d'adresser au jeune médecin du SAMU M. Patrick Pelloux,
vos remarques, critiques, et autres "renseignements complémentaires"
sur l'histoire de la guerre d'Algérie (Algérie qui
fut française jusqu'en 1962) et celle du terrorisme
FLN qui fit de très nombreuses victimes civiles françaises
(morts et blessés) de toutes ethnies,.. ceci bien avant les
attentats á Paris, celui de Charlie Hebdo, celui du Bataclan,
etc.
Coordonnées en bas de page.
Le sympathique Patrick Pelloux est un jeune médecin urgentiste
qui, comme il le dit lui-même, n'a jamais connu la guerre
- et c'est tant mieux pour lui.
Mais de là à affirmer publiquement que "jamais
en France on n'avait pris en charge une dame avec des balles de
kalashnikov dans le corps ! Jamais on n'a vu des mômes avec
les jambes déchiquetées" est excessif, et subjectif.
Il
se peut que l'équipe du Dr Pelloux n'ait vécu cette
horreur que pour la 1ére fois lors des récents attentats
sur le sol français, c-à.d en fait hexagonal. Mais
ce n'est pas la première fois que de tels attentats ont lieu
en France, il y a eu
des précédents avec la rue des Rosiers, le métro
St-Michel, et j'en passe...! Le docteur Pelloux était sans
doute trop jeune pour avoir vécu ces horreurs. Et il n'était
peut-être même pas né pour avoir vécu
les monstrueux attentats commis par le FLN contre des civils français
de toutes ethnies de 1954 á 1962 sur le sol d'Algérie
qui, n'en déplaise à certains, était français
à part entière comme tous les autres départements
de France...! Mais le Dr Pelloux n'a sans doute jamais entendu parler
de cette période, de ce chapitre de l'Histoire de son pays.
Ou peut-être ne considère-t-il pas les Français
d'Algérie, eux aussi victimes civiles du terrorisme, comme
des Français à part entière ?
La mise à l'écart symbolique de ces victimes hors
de la communauté nationale, l'occultation systématique
pratiquée depuis des décennies sur leurs drames et
leurs souffrances, identiques mais bien antérieurs à
ceux de Charlie et du Bataclan, ne font-ils pas partie - comme l'a
écrit récemment Boualem Sansal - d'un "génocide
mémoriel" organisé ?
On ne peut comprendre vraiment le présent qu'en étudiant
le passé..
Par conséquent, nous ne pouvons que conseiller à M.
Patrick Pelloux de se mettre à l'étude de l'histoire
du terrorisme non seulement dans l'hexagone mais aussi dans les
territoires ex-français, où le nombre de victimes
civiles françaises
dépasse tout ce qu'il a pu imaginer jusqu'ici...
Il pourrait ainsi compléter ses lacunes historiques et obtenir
une image plus exacte du terrorisme, devenu aujourd'hui
un fléau planétaire.
En tant que président du SAMU 75, il ne pourra qu'y gagner,
en renforçant sa liberté de jugement !
Nicole Guiraud
victime à 10 ans de l'attentat FLN du Milk Bar - à
Alger 1956 |
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Faisons des économies.....?
Trouvez vous cela normal : Personne ne parle .
Un président normal , mais un trou du cul qui pète
plus haut . jusqu' ou L'IGNOMINIE DE NOS GOUVERNEMENTS IRA T ELLE?
Chaque jour un nouveau sujet surgit et aucune radio exprime qq observations.
Imaginez ce que nous aurions entendu , les précédents
mandats.
La France est elle sous un régime démocratique , équivalent
à celui de l'Arabie Saoudite ou du Quatars.
aurons nous un média plus courageux en ces temps de dictature
..
Les journalistes à la bottes , des radio silencieuse , une
opposition aphone , triste record. Ce n'est pas le mur que nous
allons heurter
mais le gouffre dans lequel nous sombrons sans broncher.
En 4 ans le peuple a été muselé, la presse
à la botte , les Français cocufiés . "L'anchois"
tu es très fort mais plus dur sera ta chute.
Quant aux affidés le moment venu soyez assuré une
milice va s'en occuper Certains pensent préférable
de les envoyer dans des camps
de préparation ou servirent de patté ou de trou du
cul a leurs maitres...
Lentement , trop lentement sans doute .. mais surement, soyons
en convaincus l'évolution et la logique reprendront place.
A trop vouloir. ils arriveront rapidement au terminus de leur mégalomanie.
Nous pleurerons et crierons adieu notre Paix - adieu la bien bienpensance.,
la force reprendra sa place . Celle du talion trouvera sa place
mais celle de la vérité.
aura un prix. les règlements de comptes un temps muselés
, exploseront d'un coup. Adieu la bien bienpensance, il faudra dans
l'urgence trouver sa juste place.
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Lettre de Bernard ZELLER. |
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