ACTUALITÉ - 2015

 

 
 

"Il est bon qu'une Nation soit assez forte de tradition et d'honneur pour trouver le courage de dénoncer ses propres erreurs. Mais elle ne doit pas oublier les raisons qu'elle peut avoir de s'estimer elle-même. Il est dangereux en tout cas de lui demander de s'avouer seule coupable et de la vouer à une pénitence perpétuelle."

Albert Camus

 
 
CELA FAIT 51 ANS QUE NOUS LE DISIONS. J.J. JORDI LE CONFIRME APRÈS LECTURE DES ARCHIVES...
 
 
PAGE PÉTITION INTERNATIONALE CONTRE LE SILENCE DES ÉTATS À PROPOS DU MASSACRE DU 5 JUILLET 1962 À ORAN.
 
 
STOP AUX MENSONGES...
 
 
 
 
"...Que les Français, en grande majorité aient, par référendum, confirmé, approuvé l'abandon de l'Algérie, ce morceau de la France, trahie et livrée à l'ennemi, qu'ils aient été ainsi complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d'Algérie, de leurs familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats qui avaient une confiance totale en nous et ont été torturés, égorgés, dans des conditions abominables, sans que rien n'ait été fait pour les protéger cela je ne le pardonnerai jamais à mes compatriotes.
"La France est en état de péché mortel. Elle connaîtra un jour le châtiment."
Maréchal Alphonse JUIN
 
 
 
http://www.radiorpni.com/index.tournants%20rovigo.htm
 
 
 
 
Eric ZEMMOUR et l'Algérie...
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=xqEdGMM5hmw
 
 
BRAVO!!
https://plus.google.com/photos/112961091018765267263/albums/6126204772375051521?banner=pwa
 
Nos photos de Patriotes Français de BEZIERS...
 
 
 
 
 
 
CEREMONIES EN HOMMAGE AUX VICTIMES DE LA TOUSSAINT ROUGE
 
 
 

Nous criions dans le désert depuis des décennies, mais nul ne voulait entendre...

Que Dieu protège nos enfants!

Geneviève de TERNANT 14 novembre 2015
 
 
BIENTÔT NOËL !
 
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=QPtVHvg0w3U
 
 
 
 
 
http://www.bvoltaire.fr/manuelgomez/decheance-de-nationalite-tempete-verre-deau,228691
 

A vous bande de calamars boiteux,

Qu'est ce que je dirai pas pour vous rendre heureux,

Sinon vous donner une calbote amicale,

Que ça va sûrement pas vous faire mal,

A vous tous les fartasses, les guitches et les laouères,

Ceux qui allaient se taper le bain en bas la mer,

A tous les bouffeurs de cocas, mantecaos, zlabias,

Bliblis, roliettes, mounas, makrouds et calentitas,

A ceux qui dégustaient les brochettes à Fort de l'Eau,

A ceux qui tapaient cinq, à tous les falsos,

Aux buveurs d'anisette avec kémias,

A ceux qui faisaient sans arrêt la rue de Lyon- le Jardin d'Essai,

A tous les falempos qui mentaient comme des voleurs,

A tous ceux qui ont fait le bras d'honneur,

Et ceux qui trichaient aux tchics tchics,

Ceux qui faisaient la chaîne au Stella,

Ceux qui tiraient le fer aux Sablettes, à tous les kilos,

A ceux qui, comme moi, tapaient cao,

Ou soit disant maqua hora,

Ceux qui jouaient aux tchalefs ou au tas,

Ceux qui ont fait, les pôvres, figa ou tchoufa,

A ceux, que quand ils partaient on aurait dit qu'ils revenaient,

Aux anciens de la rue de Lyon, des HBM du ruisseau, de la régie etc...

Aux anciens de l'école rue Mirabeau, de la Corderie

A tous ceux de notre ancien " paradis "

A tous ceux là,

En pensant à ceux que j'aimerais qu'ils soient toujours là,

Je souhaite que cette nouvelle année vous apporte le bonheur,

Et surtout que cette purée de santé elle vous laisse pas tomber.

 
 
http://www.bvoltaire.fr/manuelgomez/hocine-ait-ahmed-temps-de-france-lalgerie-cetait-paradis,228197
 
 
http://www.clan-r.org/portail/helie-de-saint-marc-les-disparus-ou-la
 
 
https://youtu.be/jbRgLzyf7kY
 
 
Le cycle de l'ADIEU Chapitre II Docteur Jean-Claude PEREZ
 
 
http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/bourdin-derape-assimilant-front-national-a-letat-islamique,226076?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=ddacc9228d-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-ddacc9228d-30605845&mc_cid=ddacc9228d&mc_eid=3de02e8050
 
Oeuvres des Terroristes du F.L.N.
 
https://www.youtube.com/watch?v=oHqS0BsPEBo
 
 
Chers amis,

C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris, ce matin, la disparition de notre ami et adhérent, Guy FORZY, qui fut Délégué interministériel aux Rapatriés,de 1995 à 1997, mais également, Commandeur
de la Légion d'Honneur.

Guy FORZY, outre son combat pour l'Algérie française, a consacré une très grande partie de sa vie à la défense de ses compatriotes.

Ses obsèques seront célébrées le Samedi 19 décembre 2015 à 11h15, en l'Église Saint Laurent, de Fleurance (32).

Le Cercle algérianiste y sera représenté.

Nous présentons nos plus sincères condoléances à Madame FORZY, ainsi qu'à
sa famille, et les assurons de toute la sympathie et l'amitié du Cercle algérianiste.

Fraternellement,
Thierry Rolando
Président national du Cercle algérianiste

Cercle algérianiste national
Fédération des Cercles algérianistes
1 Rue Général Derroja
66000 - PERPIGNAN
 
 
 
Escrozy tiendra parole ... c'est lui qui le dit :

Christian Estrosi dans Var matin du mercredi 16 décembre 2015 : « Il faut réfléchir à un nouveau modèle politique … un modèle qui fasse que la parole donnée soit fermement tenue. »

Le même, le 26 novembre 2015 : « J'étais, je suis, je reste un gaulliste. »

Rappelons aux amnésiques qu’il a été jusqu’à inaugurer une statue du grand traître à Nice le 18 juin 2011 … le tout après et avant avoir fait des promesses aux pieds-noirs et aux harkis !

S’il choisit son idole comme modèle de la parole donnée tenue, prions pour les habitants de PACA, pardon de Provence-Alpes-Côte-d’Azur, puisque Monsieur Estrosi veut faire interdire ce terme et qu’il menace
même d’une amende ceux qui l’emploieraient ! (Nice matin du 6 novembre 2015)


éric SAFRAS

 
La Provence était en train d’être envahie par une armée conduite par une vierge (en matière de casier judiciaire), qui battait à plate couture les troupes du Capricieux (Estrosi en italien). Suivant l’exemple de ses glorieux aînés, ce dernier, laissant aussitôt ses casseroles et ses clients, se rappela que perdre une bataille ne signifiait pas perdre la guerre; il appela à la résistance, rameutant la petite armée de gauche qui avait déserté le champ de bataille. Les anciens ennemis devinrent aussitôt ses amis, l’alliance – finalement victorieuse - fut scellée avec force de cadeaux échangés.
Ainsi le spectre de Vichy disparut et la nouvelle coalition permit de sauvegarder un climat propice aux affaires.

Michel de CROUSNILHON

14 décembre 2015

 
http://www.radiorpni.com/Catalogue%20de%20television-pieds-noirs%20et%20Harkie%20nouveau%202.pdf
 
 
https://present.fr/article?id_article=3158
 
Ambiance beaucoup plus décontractée sur les plateaux télé une semaine après. A deux heures de l’annonce des résultats, ce ne sont plus les mêmes. On plaisante, on s’interpelle avec des rires de gorge. Ruth Elkrief est toute rose de plaisir, Hervé Gattegno le militant anti-FN de RMC (ils le sont tous, mais lui le porte en bandoulière) a son gros nez qui frémit. Ils annoncent un « référendum pour ou contre le FN », ils se gargarisent du « sursaut civique », ils savent que le Front national n’emportera aucune région ce soir. Ils ont passé leur semaine entière (et leur vie !) à ça. « Une semaine de matraquage nord-coréen » selon l’expression de Robert Ménard.

La victoire volée, c’est bien le sentiment qui est tombé sur six millions et demi d’électeurs à 20 heures en découvrant que le Front national, premier parti de France arrivé en tête dans six régions n’aura aucune présidence. « Il y a des victoires qui font honte aux vainqueurs » a déclaré Marion Maréchal-Le Pen. Ils se sont mis à 19 partis et formations (15 à gauche et 4 à droite), 19 contre 1 pour ce beau résultat. « Un agglomérat difficile à démêler » comme l’a décrit Florian Philippot dans lequel tout était permis : calomnie, mensonge, clientélisme, vote communautaire… Et Manuel Valls terrorisant les électeurs en brandissant la menace de la guerre civile.

Ils se sont soigneusement repartagés le fromage, passe-moi la rhubarbe, je te passe le séné, cinq régions pour le PS, sept régions pour Les Républicains. Ingérables localement, ils en feront l’expérience très vite, alors qu’ils sont les débiteurs les uns des autres et qu’ils se détestent tous cordialement. La vieille mafia politique ne retrouve plus son énergie que pour ce genre de hold-up électoral pour sauver ses sièges et trahir ses électeurs. Alain Juppé, 70 ans, 40 ans aux crochets de la vie politique et toujours partant pour une présidentielle, y a vu un « signe de bonne santé de notre démocratie ». La démocratie est sauvée, de même que la planète !

Comment vont-ils les « tenir » demain ces Français dégoûtés, excédés, dont la colère est plus que jamais là, lorsque les taxes, le chômage et les migrants vont continuer de déferler ? Lorsque les attentats islamistes vont recommencer parce qu’ils n’ont pris aucune mesure décisive pour les endiguer ? A l’UMPS on les entend répéter en boucle qu’ils ont « compris », qu’ils ont eu très chaud, « vraiment merci aux électeurs de cet avertissement ». C’est la quinzième fois qu’ils nous font le coup. Qui peut les croire encore ?

Ils font bien de se congratuler, de se passer la main dans le dos et de déclarer clairement comme Estrosi et Richert que ces arrangements de l’entre-deux-tours les « engagent » vis à vis de la gauche. Au point où ils en étaient déjà, qu’est-ce que ça va être…

Ils font bien d’en profiter ces vieux crocodiles du marigot, ces vieux francs-macs poussiéreux vissés à leurs sièges depuis des décennies, et les Marie-Guite Dufay et les Le Drian et les François Bonneau qu’il va falloir encore se farcir six ans, ces « politiciens des années 70 » comme l’a déclaré Philippe de Villiers à propos d’Estrosi dénonçant « ses combinaisons avec la gauche qui rappellent la SFIO du temps de Defferre », ces vieux caciques du système, ces hommes et ces femmes d’un passé dont on ne veut plus.

Ils font bien d’en profiter parce que la montée du FN est inéluctable. Parce que la seule force d’opposition à ce qu’ils sont et à ce qu’ils font, n’a jamais été aussi importante. Socialistes ou UMP, beaucoup vont céder leur place aux conseillers FN. Le parti de Marine Le Pen fait le plus gros score de son histoire en nombre de voix et progresse encore entre les deux tours. Il y a deux régions de France, le Nord et la Provence où comme l’a déclaré Marine Le Pen le Front national a réussi « l’éradication totale d’un parti socialiste particulièrement malfaisant ». L’implantation locale, capitale pour la présidentielle de 2017, progresse nettement. On avance. Mais pas assez vite.


CAROLINE PARMENTIER

 
 

Oui, c'est une défaite, mais elle entraine aussi la droite et la gauche unies dans des combinazione dont l'éthique, la déontologie sont absentes . Tous ces manquements révèlent au peuple anesthésié, ce que devient la politique, sans âme, sans projet et sans valeur. Un simple jeu d'alliances, ou l'adversaire d'hier devient votre bouée de secours. Non, ces élections laisseront des traces dans l'opinion publique. Et les armées mexicaines dans lesquelles se trouvent des conglomérats réunissant l'ump, l'udi et autres formations de droite d'un côté, et de l'autre, PS, PC, FDG, NPA, RDG, les verts, l'extrême gauche, en un mot, tous ces gens qui ne peuvent pas se voir, ne peuvent prétendre à gouverner ensemble.
Alors, le temps qui a déjà donné raison au FN, recommencera à nous amener des islamistes, des migrants, de la dette, du chômage, etc...toute une série d'exaspérations qui feront qu'un jour, ce sera le moment.
Jusque là, SURSUM CORDA.
François PAZ

13 décembre 2015

 
 
Cette vidéo date du 27 mai 2009! Bienvenue à MONTPELLIER
 
 
Attentats parisiens du 13 novembre 2015, similitudes...
 
 
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/12/-le-meilleur-moyen-d%C3%A9viter-la-guerre-civile-monsieur-le-premier-ministre-cest-de-vous-excuser-davoir.html
 
 
Christian ESTROSI 2° à gauche, puis Rudy SALLES, ...Jacques MEDECIN, Jean-Pierre GOST à droite.
Christian ESTROSI MENT!
 
N'oublions pas ce discours!!
 
 
Cérémonies du 5 décembre dans le 13, par Guy MONTANER.
http://oran1950.free.fr/AOBR/AOBR%202015/AOBR%202015%2012%2005%20HOMMAGE%20NATIONAL%20A%20NOS%20MORTS%20POUR%20LA%20FRANCE%20EN%20ALGERIE/index.html
 
 
La naïveté du Gouvernement socialiste...
La deuxième mort des M.P.F. D'Alger: les colonnes alphabétiques de noms mêlés musulmans, chrétiens, juifs effacés au marteau-piqueur sur les murs périmétriques du jardin du Monument aux Morts
 
 
 
 
Courrier adressé en RAR à France 2
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/12/18-juin-1961-28-morts-et-170-blesses.html
 
 

Je vous transmets le lien du clip vidéo tourné le 5/12/2015 à Rognac lors de la cérémonie dédiée aux Français d'Algérie morts pour la France et aux disparus.

Nous n'avons pas laissé passer cette date pour rappeler la traitrise et l'ignominie dont nous avons été l'objet. Cliquer sur ce lien : https://youtu.be/jgeV7SvPGy0 .

 
 

EXODE


Toutes les photos en couleur ont été prises par moi. Ma famille apparait parmi ces "réfugiés" sur le tarmac de l'aéroport d'ORAN LA SENIA fin juin 1962, sans abris, sous un soleil de plomb.! La photo en couleur sur le  bateau,
c'est mon cargo d'exode pris le 5 juillet 1962 à MOSTAGANEM en pleine nuit, sous un ciel zébré de balles traçantes. J'ai réalisé cette photo en pleine mer entre Mostaganem et Marseille où je peux affirmer que l'accueil qui
nous fut réservé fut odieux pendant que les Oranais étaient massacrés à cause d'un ordre de non intervention venant du plus haut sommet de l'état gaulliste de l'époque.
Alors Dimanche nos compatriotes qui n'ont pas la mémoire courte devront se rappeler que subsistent encore ceux qui persistent et signent notre dénigrement. Quant aux descendants de ceux
qui brûlent en enfer et se présentent à nos suffrages, ils ne valent pas pas plus chers.
Médias, hommes politiques, aujourd'hui les Français d'Algérie n'ont rien oublié de votre haine tenace, récurrente 53 ans après !!
A bon entendeur.....
A. ALGUDO

https://www.youtube.com/watch?v=ZdQBTMC3OJo&feature=youtu.be
 
 
Discours du Sénateur-Maire David RACHLINE à l’occasion de l’inauguration des crèches de Noël
3 décembre 2015 - 17h


Mesdames, Messieurs les élus,
Mesdames, Messieurs les présidents d’associations,
Mesdames, Messieurs,


Je suis très heureux de vous voir si nombreux pour l’inauguration officielle de nos crèches de Noël.

Comme vous le savez, je me suis engagé dès le début de mes fonctions à garantir cette magnifique tradition chrétienne, une tradition profondément ancrée en Provence et plus particulièrement à Fréjus.

Car oui…, Fréjus, n’en déplaise à certains, est une ville chrétienne, forgée par les Romains, elle fut par la suite le siège de l’évêque catholique, elle vit le clocher de Saint-Léonce s’élever vers les cieux, elle accueillit le saint sauveur François de Paule, et désormais elle perpétue presque deux millénaires de foi chrétienne en préservant ses traditions et son histoire.


J’ai aujourd’hui, une pensée toute particulière, alors que nous dévoilons nos crèches de Noël dans la paix et la joie, une pensée émue et sincère envers mes frères chrétiens persécutés au Moyen-Orient et partout là où l’intolérance et le radicalisme religieux règnent.

Ces chrétiens d’Orient, de Syrie et d’Irak, ces coptes d’Egypte, qui chaque jour risquent leurs vies quant ils n’aspirent qu’à la paix et qu’ils ne vivent que pour l’Amour. En ce moment, mes pensées vont vers eux…

Alors, en ce qui concerne cette inauguration, elle a pris une tournure politique voir polémique lorsque le Président de l’Association des Maires de France, François Baroin, et son vice-président Christian Estrosi, des Républicains, ont décidé au lendemain des attentats de publier un rapport sur la possibilité législative de supprimer l’installation des crèches au sein des Mairies…

Oui ces messieurs, n’ont rien trouvé de mieux, le deuil national à peine achevé de proposer cette mesure insultante et choquante.

Vous le savez peut-être, avec un certain nombre de Maires du Var et de partout en France, nous avons décidé de quitter cette association.
Nous avons aussi décidé, coûte que coûte, malgré les pressions de cette caste inculte et méprisante, de préserver nos traditions… ici, je le répète, chaque année, chaque début décembre, nous installerons une crèche dans la Mairie !

Nous ne lâcherons rien sur ce point ! Nos valeurs, nos traditions, nos coutumes ne sont pas à vendre, elles ne sont pas un compromis ou une variable, elles font partie de la Nation Française, elles sont en nous, elles sont le ciment, le terreau, les racines de chacun d’entre nous.

C’est ici, en Provence que l’ordre latin et chrétien s’est imposé pour ensuite se diffuser aux quatre coins de tout le pays.

C’est Lazare, premier évêque de Provence, c’est Marie Madeleine, la pécheresse sauvée par le Christ qui finit sa vie ici, sur nos terres, ce sont les fiers clochers de nos villes et de nos villages, ce sont les légendes et les mythes, le pain et l’aumône, la foi et la charité.

Ainsi, les crèches ne sont pas une lubie que nous avons, ce n’est pas une épine dans le pied des biens pensants bobos de Paris.

Les crèches, c’est avant tout une communion familiale, c’est le symbole d’une naissance, la naissance d’un enfant, celle que j’en suis sur, beaucoup d’entre vous mesdames, ont déjà vécu.

C’est l’histoire d’une famille…, des familles, qui n’a pas ici, le souvenir des ces moments partagés lorsque l’Hiver s’annonçait dans les rues et dans les campagnes, ce souvenir d’une famille réunie qui construit, étape par étape la crèche au pied du sapin.

Cette tradition impérissable, nous la transmettons, nous la reproduisons et cela depuis des siècles.
C’est ici la transmission du savoir, de l’héritage de nos pères et de nos mères…

Le passé perdurant, le présent immuable assurent notre futur éternel.
Oui nos traditions sont aussi cela… l’éternité face au doute, l’éternité face aux bouleversements : ce sont ces familles fréjusiennes qui en décembre 1959, meurtries par la rupture du barrage de Malpasset, ont tout de même fêté Noël et ont mis le petit enfant Jésus au creux de leurs crèches lorsque les cloches de minuit sonnèrent.

Ce sont aussi ces familles fréjusiennes endeuillées et massacrées par les invasions barbares, par la grande peste noire, par les deux Guerres mondiales… Oui ce sont toutes ces familles qui se sont inlassablement réunis dans la foi, les larmes se mêlant aux pensées d’espérance.

Oui de l’Espoir, l’espoir, cette pensée qui ne meurt jamais, tellement bien incarné par la naissance de l’enfant de Bethléem : ce fils, premier né, enveloppé de simples linges et placé dans une crèche. Cet enfant, entouré d’espoir et de vie qui a durant sa courte existence prêché la vie face à la mort.

La vie à Fréjus a donc toujours vaincu la mort : la Bravade en témoigne, la crèche en témoigne, le soleil couchant sur nos murs millénaires en témoigne !

Mes amis, chers Fréjusiens, Fréjus est espérance, Fréjus est éternelle… La France est une idée d’espoir, la France est une Nation éternelle !

Que Vive les crèches de Noël, que Vive Fréjus et que Vive la France !!!

 
 

Un pieds noirs, un descendant de pieds noirs, un harki, un descendant de harkis, ne peuvent

être gaullistes.

Un fils de harki bien déterminé.
Cherifi

 
 
Le Phare Fouilleur N° 182
 
 
Communiqué de Jean-Paul SPINA.
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=JgP5VFPjNlI&feature=youtu.be
 
 
Lettre Réponse à Christian Estrosi dec 2015.

Le Comité national des Français d'Algérie relève que, dans sa lettre aux Présidents des associations de Français d'Algérie, le candidat régional Christian ESTROSI a soigneusement
gommé de l' inventaire de ses chefs d'œuvres, la réalisation gigantesque du mystificateur Charles DE Gaulle , dont il se réclame l'héritier .

Cette falsification de l'Histoire de France matérialisée place de la libération à Nice, pour humilier un peu plus les Français d'Algérie a permis au gaulliste ESTROSI d'ignorer
superbement les suppliques de ses concitoyens qui lui demandaient, au nom de notre communauté toute entière, de les dispenser du sinistre rappel de leurs douleurs et de l'outrage
fait à la France par la commémoration des forfaitures de l'usurpateur qui a nié la victoire militaire de l'Armée Française, pour capituler, le 19 Mars 1962, devant un GPRA déchiré et vaincu .

Il importera à tous les Français d'Algérie qui se respectent et à leurs amis qui iront aux urnes le 6 décembre prochain de se souvenir de ces infamies et de ne pas être dupes de ceux-là
mêmes qui dénaturent l'Histoire de France pour servir leurs intérêts politiques .

Le Collectif national NON au 19 mars 1962 est entièrement d'accord avec ce communiqué.
Je trouve indécent le courrier du candidat gaulliste envoyé à tous les représentants d'associations PN
HC

 
 
26 novembre 2015 Docteur Jean-Claude PEREZ

LE CYCLE DE L’ADIEU
l’agonie des cathédrales…

 
 

Sur le site du cercle Algérianiste de Nice


http://nice.algerianiste.free.fr/pages/new8.html
http://nice.algerianiste.free.fr/pages/deces_gabriel_mene/obseques_gabyMene.html


Raphael PASTOR

 
 
https://youtu.be/Wxf1yqoK83c
 
 
 
 

Ces "nullités" qui sont censés nous protéger...

"https://www.youtube.com/embed/4rUZT6_qy5U"

 
 
Du nouveau sur le site du Cercle Algérianiste de Nice

http://nice.algerianiste.free.fr/pages/new8.html


http://nice.algerianiste.free.fr/pages/Carcassonne_congres/Carcassonne_CR.html

 

Raphael PASTOR
r.pastor@free.fr

 
 
 
 
Retour sur un film prémonitoire?
Oeuvre de Gérard OURY?
Improvisation de Coluche?

Eric ZEMMOUR en avait dit moins, avant d'être "stigmatisé par le pourritiquement correct"!

https://youtu.be/_X7F-ub87SQ
 
 
Éric Zemmour : La Nation ce n’est pas seulement un drapeau !

vidéo

https://youtu.be/V_p0MJtsbBg

 
 
Hollande, l'élu des Français (ne pas l'oublier tout de même) le grand ami de Ben Bella, vainqueur terroriste lui-même
de la France et de son Armée, récupère ce drapeau français pour en torcher le cul sans complexe de quelques
centaines de milliers de Français, enthousiastes, déjà et toujours, quand l'auteur des lignes qui suivent fut déposé au
Panthéon à l'instigation du toujours même Hollande, l'ami du terroriste Ben Bella, terroriste vainqueur il est vrai.

Download PDF
François Hollande, socialiste, demande aux Français d’accrocher les trois couleurs à leur fenêtre.


Se souvient-il de ce poème écrit en 1924 par Jean Zay, socialiste, dont l’effigie géante flotte toujours au Panthéon grâce à lui ?


Rafraîchissons la mémoire de l’imposteur qui nous gouverne pour qu’il déclame dans la Cour des Invalides, en hommage aux morts du 13 novembre, ce morceau d’anthologie :

 
 
http://oran1950.free.fr/AOBR/AOBR%202015/AOBR%202015%2011%2013%2014%20ET%2015%20CARCASSONNE%2040%20EME%20CONGRES%20DU%20CERCLE%20ALGERIANISTE/index.html
 
 
http://www.rtl.fr/actu/politique/francois-hollande-se-prend-pour-poincare-et-manuel-valls-pour-clemenceau-lance-eric-zemmour-7780645090
 
 

La soeur d’une victime appelle au boycott de l’hommage national

http://www.20minutes.fr/lille/1737295-20151124-attentats-paris-pourquoi-ur-victime-nordiste-appelle-boycott-hommage-national

Le père d'Aurélie de Peretti: "Je ne viendrai pas à l'hommage national aux victimes" | Faits Divers | Var-Matin

http://www.varmatin.com/faits-divers/le-pere-daurelie-de-peretti-je-ne-viendrai-pas-a-lhommage-national-aux-victimes.2332914.html

 
 

Quant le drapeau est en berne, malheureusement les gens chantent la Marseillaise, quant il flotte dans les airs ils ne le voient pas. Je m'adresse a tous ceux qui se nettoient l'arrière train avec le drapeau tricolore, celui
de nos parents, de nos grands-parents et de nos amis. A ces religieux de tous bords, ces schizophrènes qui ont mis notre pays en danger, ce qui disent: "on aime tout le monde, mais surtout pas la France";

ceux-là ne prennent pas de risques, mais ils sont contents que ce noble pays soit leur résidence secondaire.

La Nation Française n'est pas une prostituée, on ne tendra pas l'autre joue, que l'on m'explique comment des migrants qui traversent la mer sur des bateaux pneumatiques ou des barques, ne sont ils pas capable
de se rebeller contre leur régime. Il y a quelques années, la Marseillaise a été sifflée, cela continue depuis, personne n'a rien dit. Si nous, Patriotes Français, on faisait pareil contre leur hymne national, on serait rapidement
sanctionnés. Il en va de même pour ce qui concerne le fait de brûler notre drapeau, le drapeau de celles et ceux qui sont morts pour la Patrie.

On ne se soumettra pas, nos ancêtres se sont battus, notre devoir est de soutenir nos soldats, la défense nationale, premier ministère de France. "Les politiques font leur religions, les religieux font leur politique" nous
ne sommes plus des enfants et nous ne laisserons surtout pas les religieux dicter notre conduite.

A ceux qui ont fait l'école des Fanatiques, nous leur diront non! Dieu est bon, il est miséricordieux, il n'a pas demandé à ces gens de devenir véreux.
Et la Vierge Marie n'est pas souillée par des gens qui ne risqueraient pas de la vénérer, c'est à se demander si ils ont aimé leur mère.
Notre combat est de défendre la France! Rassemblons nous, la devise du commando George était "chassez la misère", la misère c'est eux.
Ma devise est "il ne suffit pas de dire, il suffit d'agir!"


VIVE LA FRANCE QUE J'AIME ET QUI JE PENSE NOUS AIMONS TOUS! "



Dalida BEN-BRAHIM

Fille de Harki, assassiné par le FLN en 1968

http://babelouedstory.com/thema_les/harkis/1911/1911.html

 

 
 
 
 
Bien entendu ce rappel.....souvenez vous en...... les médias Français ne l’ont pas divulgué comme à leur habitude…..ET VOILA QUI GOUVERNE LA FRANCE.

c'etait le 20 décembre 2008


https://www.facebook.com/StandWithUs/videos/10153310179247689/

 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/11/il-faut-tuer-abattre-un-europeen.html
 
 

LETTRE OUVERTE au médiateur de France 2



L´émission spéciale de France 2 Envoyé spécial. Complément d´enquête au sujet des actes terroristes de novembre 2015 accorde les premières deux minutes de l´émission à un autre attentat, tombé dans les oubliettes de l´histoire de France, un attentat dont plus personne ne se souvient, le plus meurtrier de l´après-guerre jusqu´à la semaine dernière: le déraillement du train Paris Strasbourg le 18 juin 1962 (28 morts et 78 blessés). Mais qui est le coupable? L´OAS est pointée du doigt, l´OAS qui importe la terreur sur le territoire français, une poignée d´activistes qui impose un débat sanglant (…) sur le maintien de l´Algérie dans la France.
Témoin un tract de l´OAS: L´OAS frappe où elle veut, qui elle veut, quand elle veut.
Alain Ruscio interviewé pour la circonstance rappelle les “nuits bleues “ de Paris et des villes de province qui, pour le journaliste France 2 aurait fait des centaines de victimes et donnait l´impression que la France était en danger.
Je ferai au sujet de ce passage de l´émission des remarques qui concernent l´histoire et la morale et la déontologie journalistique.
De l´histoire dans son détail
Nous avons compris, c´est clair, le déraillement du train Paris Strasbourg est l´œuvre de l´OAS. L´honnêteté consisterait à dire que les auteurs de l´acte n´ont pas été identifiés, qu´il y a sur la responsabilité de ce fait un silence total. Rien ne permet d´attribuer à l´OAS un sabotage ciblant des citoyens ordinaires. Ma collègue Anne-Marie Duranton-Crabol, laquelle a écrit un ouvrage sur l´OAS et n´a jamais manifesté de sympathie pour cette organisation de résistance à la trahison gaullienne (nous y reviendrons) s´exprime clairement sur le sujet: si le déraillement est attribué à l´OAS, il n´y a aujourd´hui aucune preuve de l´identité de ses auteurs. Ce modus operandi n´a jamais été mis en œuvre par l´OAS, alors que les sabotages de voies ferrées, dans la province algérienne, furent accompli par ses terroristes du FLN. Si l´OAS a commis des attentats, ils étaient ciblés et visaient ceux qui, considérés comme traîtres, s´opposaient à l´abandon de la province algérienne au FLN, De Gaulle au premier chef. N´oublions pas que les prétendus “Accords” d´Évian” évoqués dans l’émission signaient une capitulation politique qui sanctionnait une victoire militaire!
Il convient d´apporter ici une précision: une chose est que des responsables soient visés par des actions militaires, une toute autre est. le terrorisme aveugle, frappant des civils innocents. L´innocence était la cible privilégiée.
De l´histoire en perspective
Ce que fait France 2 dans ce cas précis, est de reprendre des allégations que l´on retrouve couramment dans des ouvrages prétendument historiques mais au service en réalité une d´idéologie.
Ce que France 2 en isolant l´un des acteurs tardifs de la guerre d´Algérie, est de passer sous silence la somme de crimes perpétrés par les Rappetou qui, depuis plus de cinquante ans, ont enfermé les habitants de l´Algérie dans une prison à ciel ouvert.
Mais n´est-il pas pertinent, devant une telle tragédie, de revenir sur l´histoire. Les journalistes avaient précisément dans le cas de la guerre d´Algérie, l´illustration atroce de ce qui s´est passé la semaine dernière, et qui toucha les habitants par centaines de milliers. Les musulmans en furent majoritairement les victimes. Mais ce terrorisme-là, nous le savons trop bien, il n´est pas correct politiquement de l´évoquer.
Je ne reviendrai pas sur le détail des atrocités commises par le FLN avant et après la fin de la guerre d´Algérie (mais la guerre d´Algérie ne vient-elle par de ressurgir à nouveau dans des flots de sang et de larmes?). Puisqu´il est question de la métropole, je me contenterai de citer les plus de dix mille victimes (environ sept mille blessées et trois mille tués) qui furent le résultat des règlements de compte entre membres de FLN et ceux qui refusaient de s´y soumettre.
Dans la seule métropole. Nous parlons ici de chiffres attestés, d´événements consignés dans des études d´historiens objectifs. Et si l´on se pose la question de savoir pourquoi dix mille corps sont tombés dans les oubliettes de l´histoire, la réponse est évidente : ils étaient et sont toujours politiquement incorrects.
Le déraillement du Paris-Strasbourg est tombé, il est vrai, dans les oubliettes de l´histoire, pour la bonne raison qu´il n´ a jamais été élucidé.
Je me permettrai cependant de citer la confidence d´un homme dont la fiancée fut blessée et invalidée lors de ce déraillement. Journaliste lorrain, il fit un début d´enquête : il s´agirait de l´un de ces attentats bidon organisés par la police de l´époque et dont le but était de justifier un renforcement de l´état d´exception dans lequel se trouvait le pays
Les habitants de l´Algérie ont été victimes d´un crime d´État et d´un crime contre l´humanité. Dans un courrier adressé à JPN le 24 janvier 2014, François Hollande s´engage à reconnaître la faute et la responsabilité des Français rapatriés dans l´abandon volontaire des Français rapatriés. (Je renvoie pour plus de détails au site JPN et au film Harkis les sacrifiés, accessible depuis le site internet de TVLibertés.
Vérité et Justice,
tel est le nom du collectif qui s´emploie depuis longtemps à défendre la mémoire et les droits des 420.000 familles de « rapatriés », aujourd´hui dans la proposition de loi (2135, 16 juillet 2014) déposée à l´Assemblée Nationale.
Il n´y a aucune chance pour que France 2 de rappelle que les victimes d´aujourd´hui ne doivent pas faire oublier celles d´hier.
Le choix que ses journalistes font de l´histoire, ou plus exactement de sa manipulation n´est pas nouveau, et j´évoquerai présent le scandale passé d´une émission ancienne de France 3 cette fois (nous sommes toujours dans les chaines publiques) à propos de laquelle on peut parler d´apologie du terrorisme.
« Alger était tellement gai ! »
Revenons quelques années en arrière. Dans le cadre d´une série Passé sous silence, France 3 présente le 28 janvier 2006 un documentaire Les porteuses de feu réalisé par Faouzia Fekiri. Les porteuses de feu sont les jeunes filles qui ont déposé des bombes (non pas les pétards de l´OAS), de vraies bombes destinées à tuer des innocents à Alger.
Je reviens ici au chapitre de mon livre Albert Camus Français d´Algérie : Le sourire des assassins. Arrêts d´autobus, cinémas, stades (en 14 mois 314 morts et 917 blessés). Peu importe la religion, le sexe ou l´âge : l´objectif est de créer un climat de terreur, un climat de haine entre les communautés, d´attirer l´attention des médias français, de l´opinion internationale et notamment de l´ONU. La parole de ces femmes-là (dont Zohra Drif est toujours, aujourd´hui encore l´ icône brandie par le pouvoir en Algérie) ne se verra pas pondérée par le moindre équilibrage, par le moindre commentaire critique, par le moindre débat.
Alger était tellement gai ! Eh bien, ça suffit. Il fallait que cette guerre soit une réalité pour tout le monde, déclare la terroriste.
Nicole
Une petite fille accompagne son père une veille de rentrée des classes, au dernier jour du mois de septembre, au Milk Bar. Responsable, coupable, né-coupable n´est-ce pas ? Michel Onfray aura ce mot terrible lors d´un colloque à Marseille où la terroriste-sénatrice se pavane : Quand elle déchiquette une petite fille, c´est la faute des colons de 1830 !
J´ai posé une petite bombinette, ironise Zohra Drif en évoquant l´attentat du Milk bar le 30 septembre 1956.
Je n´ai pas de cauchemars 56 ans après, sourit Zohra Drif à Bernard Henri- Lévy qui tente de lui extirper une once de regret. Après tout, déclare-t-elle encore, elle ne fait pas la guerre au peuple français, seulement Au colonialisme.
Nicole Guiraud est le nom de la fillette qui perdit son bras dans l´explosion qui ravagea le Milk Bar ce 30 septembre 1956. Vous la retrouverez dans son œuvre artistique et dans son livre Algérie 1962. Journal de l´Apocalypse (éditions Atlantis). Avec une préface de Boualem Sansal : L´histoire se vit deux fois. Parce que les horreurs de la guerre d´Algérie et de ses suites ne doivent pas faire oublier le martyre du peuple algérien dans les années 1990.
Qu´il me permette de le citer : (…) le journal de Nicole peut être celui d´une jeune Algérienne d´aujourd´hui qui raconte les affres de la guerre civile des années 1990, que les Algériens n´appellent plus que la décennie noire.
Nicole Guiraud intentera un procès qu´elle perdra, il y aura devant la levée massive des protestations contre l´émission une autre émission. De l´ensemble je retiendrai ce commentaire du médiateur de l´époque : après tout, avec Nicole Guiraud, il s´agissait, n´est-ce pas, d´un dommage collatéral….
La ruée des ténébrions
C´est la ruée des ténébrions écrit Albert Camus dans son Journal lors de la parution de L´homme révolté. Il évoquait ces bonnes âmes de l´intelligentsia française, Sartre et Beauvoir, et autres fanoniens pour lesquels le terrorisme prodigué à des innocents, les plus innocents possibles, étaient une excellente opération de communication.
Force est de constater aujourd’hui, d´un Joffrin à une Taubira, que cette peste totalitaire que dénonçaient Albert Camus et George Orwell, prétendent régenter à leur profit le pire des mondes possibles.
France 3 hier, France 2 aujourd´hui ont bien mérité leur place au panthéon des ténébrions. Elles faisaient hier dans le rouge, à présent dans le vert de la soumission.
Gérard LEHMANN

 
Alain RUSCIO, écrivain ou agent du F.L.N. ?
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Rappel d'un discours du 18 juin 2011...
 
 
http://www.menace-terroriste.com/chronologie-terrorisme-islamique-en-france.html
 
 
Cliquez Patientez: fichier lourd
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/11/musulmans-avant-d-etre-francais.html
 
 

Nous criions dans le désert depuis des décennies, mais nul ne voulait entendre...

Que Dieu protège nos enfants!

 
 
Son père, le Professeur Paul Lebon, courageux membre de l'O.A.S. d'Alger, doit se retourner dans sa tombe....
 
 
Je ne suis pas raciste, tout simplement, réaliste...
https://www.youtube.com/watch?v=QPtVHvg0w3U
 
 
Non à la Turquie dans l'Europe!
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/11/gardons-nous-de-la-turquie.html
 
 
Dernière cérémonie du 11 novembre 1961 à Alger, Algérie Française.
 
 
http://popodoran.canalblog.com/archives/2015/11/05/32887812.html
 
 
http://www.kizoa.fr/Montage-Video/d26615169kP229070351o2l1/hommage-aux-morts-pour-lalg%c3%83%c2%a9rie-franaise-toussaint-2015
 
 
ECOUTEZ...
 
 
MENSONGES DE LA FNACA
 
 
EXODE
Quelle honte!
 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

Le Comité VERITAS est heureux d’inviter tous ses adhérents, amis et soutiens qui pourrons s’y rendre à assister, le 29 novembre prochain, à Beaucaire, au retrait de la plaque infamante « rue du 19 mars 1962 ».

La petite rue pavillonnaire proche du collège Elsa-Triolet sera désormais dénommée « rue du 5 juillet 1962 », en mémoire des milliers de victimes européennes et musulmanes des massacres perpétrés à Oran et dans toute l’Oranie le 5 juillet 1962, alors que les troupes françaises étaient cantonnées dans leurs casernes avec interdiction d’intervenir selon l’ordre criminel donné par le Président de la République Française et exécuté par le Général Katz.

En juin 2015, avant cette date fatidique du 5 juillet, le Comité VERITAS a adressé à tous les gouvernants et responsables politiques de notre pays une lettre demandant la reconnaissance de ces massacres. Nous n’avons reçu qu’une seule réponse émanant de Monsieur Claude Bartolone, Président de l’Assemblée Nationale.

Et cette réponse contenait une vérité de taille,une vérité enfin reconnue par le quatrième personnage de la Nation qui nous a écrit :

« Les nombreux témoignages, leur nature, et le récit du Commandant Khélif, donnent UNE IDEE PRECISE DE LA TERRIBLE REALITE DE CES JOURNEES TRAGIQUES. »


Le quatrième personnage de l’Etat Français ayant ainsi reconnu la terrible réalité du massacre de tant de Français, nous pensons qu’il ne pourra qu’approuver la décision du Maire de Beaucaire, Monsieur Julien Sanchez, en faveur de la vérité historique.

 
 
http://www.alger26mars1962.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=228:3-8-commemoration-stele-de-beziers-1er-novembre-2008&catid=86&Itemid=182S
 
 
David NAKACHE de RCN répond à une lettre du groupe "Musulmans du Sud"
 
 
 
 
Ce n'est pas du réchauffé, mais intéressant à entendre, surtout depuis que "certains" nous comparent aux migrants!
Écoutez bien les 10 premières minutes!! Ce que nous subissons en ce moment, était déjà dénoncé!

https://www.youtube.com/watch?v=_u3YwgiRRN0&feature=em-upload_owner

 
 

Sur le site de Nice-Algérianiste
Cérémonie du 1er Nov 2015 à Théoule


http://nice.algerianiste.free.fr/pages/theoule1nov2015/theoule_1nov15.html

 
 
 
 
 
 

53 ans après le cessez-le feu du 19 mars 1962, il est faut rappeler que nos Militaires enlevés par le FLN, n'ont jamais été rendus à leurs familles;
contrairement aux prisonniers FLN libérés par la France, qui elle, a
respecté les accords de Genève...
Nous sommes étonnés (?) du silence des autorités françaises et de certaines associations humanistes, sur ce sujet douloureux...

Ne serait-il pas temps que ce problème soit pris sérieusement en considération?

Signé: François PAZ et Hervé CUESTA

 
 
Ami(e)s d'Algérie et sympathisants,

A Béziers, comme chaque année, Alain ALGUDO, Vice-Président du Comité VERITAS, organise le fleurissement de la stèle de nos morts, civils et militaires, qui porte notamment l'effigie de nos quatre martyrs fusillés pour avoir défendu l'Algérie Française.

Chaque année, Robert MENARD, Maire de Béziers, se déplace pour déposer des gerbes de fleurs devant les différentes stèles que compte le cimetière neuf de Béziers.

Depuis deux ans, fidèlement et contrairement à l'ancienne municipalité, Robert MENARD nous fait l'honneur de déposer une gerbe et de se recueillir devant dont cette stèle des Français d'Algérie, morts et restés en terre ennemie, après 1962.

Si vous êtes proches de Béziers, venez participer à cet instant de communion, au cimetière neuf de Béziers, dimanche 1er novembre 2015, à 11h00.

Si vous avez de la famille proche de Béziers, transmettez cette information pour que nous soyons nombreux à ce rendez-vous de recueillement.

Sinon, participez au fleurissement de la stèle en envoyant un don, même petit, par chèque à l'ordre de "NATRELLA Fleuriste", de Béziers (adresse ci-dessous), en précisant l'objet de votre participation. IL EST ENCORE TEMPS !

Merci à Alain ALGUDO, qui s'occupe chaque année de cette démarche, en relation avec les services de la Mairie.

Merci à ceux et celles qui participeront à ce DEVOIR DE MEMOIRE !

Bonne journée. Bien cordialement.

Michel SALANON
(Le phare fouilleur)

 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/10/la-peur-du-fn-devient-incontrolable.html
 
 
CLIQUEZ SUR L'IMAGE; FICHIER MP3
 
 
LIBERTE D'EXPRESSION??
https://www.youtube.com/embed/flLJqqeYKzQ?rel=0&autoplay=0
 
 
Ravier le "gaulliste"

Messieurs,
Sur les conseils de Franck Meynial vers qui je me suis d'abord tourné, je tenais à vous apporter quelques précisons sur mon tweet relatif à ce qui est devenu "l'affaire Morano"
Je constate que LR et son Président en tête, se mettent au garde à vous, le doigt sur la couture, et exécutent les ordres lancés par une gauche en plein délire.
Quant à De Gaulle, je ne fais que le citer et certainement pas l'honorer !
Sa conception d'une France réduite à sa seule "surface" continentale, oubliant ainsi jusqu'au mépris la France d'outre-mer, ultra-Marine dirait on aujourd'hui, comme il a méprisé jusqu'à les trahir les Français d'Algérie et les Harkis, tout ça fait que je n'ai jamais été, et ne suis toujours pas, gaulliste.
D'ailleurs, le 1er novembre prochain, et comme je le fais chaque année depuis une bonne décennie, je me rendrai au cimetière de Marignane pour honorer les héros, les martyrs de l'Algérie française, en déposant une couronne au pied de la stèle qui leur est dédiée.
Peut-être jugerez vous utile d'apporter ces précisions à vos lecteurs...

Bien cordialement.
S. RAVIER.
Maire des 13° et 14° arrondissements de Marseille.
Sénateur des Bouches du Rhône.

 
 
Il y a bien eu des ''Justes'' à la fin tragique de la guerre d'Algérie.

En aviez-vous déjà entendu parler ?

Sûrement pas a la télé, ni en reportages quelconques .

Pourtant.....Tout est véridique et vérifiable.

 
 
ATTENTAT DU DRAKKAR
 
https://www.youtube.com/watch?v=DaUjTcxhZS0
23 octobre 2015
https://www.youtube.com/watch?v=KZIlCrRbJFw
 
 
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0CCMQFjAAahUKEwiO78OhndnIAhWB2xoKHaS5ARQ&url=http%3A%2F%2Fwww.lemonde.fr%2Fsociete%2Farticle%2F2013%2F10%2F23%2Fqui-a-tue-les-paras-francais-de-beyrouth-en-1983_3501317_3224.html&usg=AFQjCNHi45YKPvkCvWbCq8W3j7UU9jNHnw&bvm=bv.105841590,d.d2s
 
 
OUBLIES DE LA GUERRE D'ALGERIE RAPHAÊL DELPARD
 
 
Réflexion sur un massacre ordinaire.

Si le scandale de l'abattoir d'Alès nous fait prendre conscience de la considération que nous devons porter à l'animal, ces bêtes n'auront pas été torturées en vain.

Ce n'est évidement pas le seul abattoir où se pratique pareille barbarie...

Nous savons tous le rôle que l'animal tient dans nos sociétés modernes, essentiellement économique ... Mais il y a une autre dimension oubliée, la fondation de notre civilisation : chouette d'Athéna, louve de Rome, le boeuf et l'âne dans la crèche de Bethléem...

Nos cavernes recèlent des trésors artistiques qui témoignent de la place des animaux, il y a des millénaires, dans le domaine du sacré, ( animaux figurés mais pas les plus chassés... )

Isaac de Ninive, évêque du VIe siècle, mystique et théologien nestorien Assyrien, un des grands spirituels de l'Orient chrétien, voulait un coeur enflammé de charité pour la Création tout entière, y compris les reptiles," dignes d'une pitié infinie". Bien sûr le grand St François d'Assises, frère du loup et de la lune... Pater Francesco, Chartreux de Bezio : " Le loup est innocent, l'agneau est innocent, l'homme ne l'est pas."

Toute spiritualité digne de ce nom respecte l'animal. Valeur qu'ignorent superbement des gouvernants asservis aux puissances financières et économiques... Les bêtes ne votent pas...

Albert Shweitzer, Théodore Monod : "un homme se juge à sa façon de traiter les animaux."

Marguerite Yourcenar : " Les animaux sont mes amis, et je ne mange pas mes amis."

Boris Cyrulnik : " Le jour où l'on comprendra qu'une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans les zoos. "

Sylvain Tesson : " Vous savez, dis-je, le regard d'un singe dans une cage est l'une des plus grandes hontes de l'homme, et cela n'a jamais dissuadé aucun bourgeois de traîner son mioche au zoo "

Enfin, le premier et dernier rôle de l'animal ne serait-il pas de nous apprendre à vivre et à mourir dignement ?

Luc BOIVIN

 
 
Elément de langage: UNC communique...
21octobre
 
Cette chanson a plus de 13 ans.... Ouvrez les yeux...
https://youtu.be/ETH5MlHy96o
 
 
ORAN 5 JUILLET 1962


LA HONTE D'UNE NATION


Une journée de deuil que certains d'entre nous ont toujours commémorée
Une journée où par une monstrueuse volonté un peuple s'est déshonoré
Une journée que l'Histoire désignera un jour comme une Tragédie Nationale
Une journée où un vieil homme s'est transformé en machine infernale
Une journée où la morale d'un pays a basculé dans un immonde caniveau
Une journée où le sang français à coulé par la volonté d'un sordide cerveau
Une journée démentielle marquée du sceau d'une perfide trahison
Une journée dont la haine d'un monstre fut la seule raison
Une journée qui défie la compréhension des sains d'esprit
Une journée qui nous interpelle, confrontés au même mépris
Une journée où une République de grandeur aurait dû sonner le tocsin
Une journée où une République du déshonneur venait de sceller notre destin.

Le 5 juillet 1962 l'horreur s'est abattue sur des innocents immolés dans la fureur
Le 5 juillet 2015 nous crions que pour toujours leur martyre restera dans nos cœurs.

Aujourd'hui nous disons à cette République en déliquescence qui persiste et signe
Aujourd'hui nous disons à cette République que nous croyons en la justice divine.

Alain ALGUDO
Juillet 2015

 
 
Charles de GAULLE ! la plus grande FORFAITURE du XX° siècle.

 

Observer la liesse de la foule qui est venue des 4 coins de l'Algérie, drapeaux bleu-blanc-rouge en nombre et constituée de toutes races et religions confondues.

Observer les visages des officiels, qui sur le balcon du Forum entourent de Gaulle. Leur mine est grave et personne ne songe à sourire: déjà,"ils avaient compris !"

Pardonne si tu le peux frère P.N. mais, n'oublie jamais cela !

Notre chagrin et notre pitié.....Algérie 1958........ A en pleurer de rage ...

Chers amis,
Voici un lien, et en cliquant, des séquences filmées, signifiantes, "prises sur le terrain" d'événements de l'époque, (Algérie 1958).
Film réalisé par l'établissement militaire ECPAD.

http://www.ecpad.fr/la-france-est-ici-mai-juin-1958

 
 
Dimanche 18 octobre 2015 21h11
Objet :

Robert SPIELER - RIVAROL N° 3203 du 24 septembre 2015

LE POINT le raconte : vingt musiciens syriens, membres d’une chorale religieuse gréco-orthodoxe de Damas, se sont vu refuser un visa pour la France et ne pourront donc pas se produire début novembre à Strasbourg dans le cadre d’un festival de musique religieuse. Ces artistes âgés de 21 à 54 ans sont membres du chœur Saint-Ignace de la cathédrale grecque-orthodoxe mariamite de Damas. Ils devaient donner trois concerts à Strasbourg dans le cadre des « Sacrées journées », un festival de musiques sacrées, explique à l’AFP son président, l’ancien pasteur Jean-Louis Hoffet. Depuis Damas, les chanteurs orthodoxes, qui devaient chanter en araméen et en syriaque se sont rendus en car à l’ambassade de France à Beyrouth pour y déposer leur dossier de demande. Ils étaient munis de billets d’avion aller-retour, d’une réservation d’hôtel et d’une attestation du maire, Roland Ries, (socialiste) de Strasbourg, dont la collectivité subventionne le festival. Refus de l’administration (socialiste), car leurs dossiers ont été jugés « peu fiables », raconte Jean-Louis Hoffet. « C’est ahurissant ! Je suis outré, stupéfait qu’on puisse refuser un visa à des gens qui viennent chanter leur foi dans nos églises, alors même qu’on fait des grands discours sur l’accueil de 24 000 migrants ! », s’emporte-t-il. Notons que les musulmans soufis tunisiens, les bouddhistes tibétains et indiens n’ont eu nulle difficulté pour obtenir leur visa. Jean-Louis Hoffet, que j’ai bien connu au Conseil régional d’Alsace, qui fut pasteur et durant de longues années conseiller régional socialiste est-il encore socialiste ? En attendant, la mobilisation semble payer. Le porte-parole du ministère de l’Intérieur vient de déclarer : « Nous avons donné des instructions pour que le consulat procède à un réexamen bienveillant, la décision rendue ne nous paraissant pas adaptée ».

 
 

Liskenne Anne. L'Algérie indépendante. L'ambassade de Jean-Marcel Jeanneney (juillet 1962-janvier 1963). A.Colin- ECPAD 2015, 283 pages.


Prenant la suite de Daniel Lefeuvre, Anne Liskenne, conservateur en chef des archives diplomatiques, analyse les documents de l'ambassadeur de France en Algérie, au 2ème semestre de 1962. Professeur d'économie et ancien ministre de l'industrie, JM Jeanneney est choisi en juin 1962 par le général de Gaulle, sans doute en raison de son approbation de l'indépendance de l'Algérie et de la priorité accordée à la coopération. Arrivant à Alger le 6 juillet, il s'installe au Rocher Noir puis à la villa des Oliviers et établit des relations suivies avec le Président Farès de l'Exécutif provisoire, puis avec Ben Bella, ses ministres Khemisti et Boumediene et avec Ferhat Abbas. Il dispose de 10 conseillers dans les services de l'ambassade et met en place progressivement 33 consuls, soit un effectif de 600 personnes.
>>
>> Après une brève rencontre avec le général de Gaulle, qui lui donne autorité sur le Commandant supérieur, les premières instructions du gouvernement ne lui parviennent que le 9 août. Elles font le point de la situation de façon objective, reconnaissant qu'à côté des inégalités sociales, une économie moderne fait vivre le tiers des habitants, et que la pacification a été justifiée. Il est demandé à l'ambassadeur de nouer des liens nouveaux et d'engager la coopération avec l'Algérie, tout en respectant les garanties des Européens et la doctrine de non-engagement des nationalistes algériens.
>>
>> Les conversations avec le gouvernement provisoire permettent de conclure plusieurs protocoles, dont ceux des fonctionnaires français, de la mise en valeur du Sahara et du contrôle financier. Dès le 27 août, JM Jeanneney intervient pour dénoncer l'insécurité : enlèvements de Français, massacre de supplétifs, viols par des militaires, pillage et taxation des récoltes, saisie des biens vacants, réquisition des terres et des matériels agricoles.
>>
>> Après l'élection du 29 septembre, c'est auprès de Ben Bella que l'ambassadeur élève ses protestations contre l'insécurité et contre la politique des faits accomplis (cathédrale d'Alger, radiotélévison). Il se montre très critique envers l'orientation socialiste du programme de Tripoli, et particulièrement l'opération labours : confiée à un incapable (Ouzegane), elle constitue une atteinte à la propriété privée et se traduit par des dizaines de tracteurs cassés. Il déplore également l'indiscipline des chefs militaires algériens, la baisse du niveau de vie et les dépassements de crédits qui imposent la séparation des Trésors français et algérien ( prévue dans les accords d'Evian, effective le 12 novembre).
>>
>> C'est par la presse que JM Jeanneney apprend en décembre son remplacement par Georges Gorse. Il renonce à protester auprès du chef de l'Etat et rédige le 10 janvier 1963 un rapport de fin de mission qui est un constat sans complaisance de l'évolution politique de l'Algérie :
>>
>> lutte pour le pouvoir par des chefs de bandes sans envergure, seule l'armée des frontières est organisée et les kabyles restent puissants en ville d'Alger,
>>
>> disparition de 1.850 Français, massacre non chiffrable de milliers de harkis, aucune sanction prononcée ,
>>
>> exode des pieds noirs qui sont moins de 180.000 fin 1962, démantèlement de la colonie française, défrancisation administrative,
>>
>> saisie de 2.600 biens mobiliers et matériels agricoles, 2.100 propriétés pillées et gérées par des Comités non compétents,
>>
>> coopération souhaitée par le petit peuple, mais discutée par le pouvoir révolutionnaire, qui met en cause les accords d'Evian,
>>
>> En conclusion, le pire a été évité, la sécurité est redevenue normale, et la France conserve une position éminente grâce à l'empreinte laissée par la colonisation.
>>
>> Le caractère scientifique du travail d'Anne Liskenne est confirmé par de riches annexes (organigrammes, chronologie, bibliographie, index des personnes).
>>
>> Maurice Faivre, le 11 octobre 2015

 
 
Lettre ouverte au Président de la République

Alexis Arette
Paysan à Momas
24, La Carrère,64230 à Monsieur le Président de la République
Palais de L’Elysée. Paris
Le 15 Octobre 2015.

Monsieur le Président,

Comme la plupart des gens qui ont fait la guerre, le spectacle de la mort violente me répugne, car les cadavres de ceux qui ne l’ont pas risquée de plein gré portent sur le visage les stigmates du désespoir. J’augure ce qu’il en serait du votre dans le cas, car la menace est dans l’air et s’accroît de jour en jour. En sus, le climat politique actuel vous expose. Il n’est pas commun qu’un président de la République se fasse siffler, ni qu’un travailleur lui refuse sa main, ni qu’un élu modéré comme Monsieur de Villiers en appelle à la dissidence. Tel est l’état des lieux, et comme par ailleurs les tentatives d’attentats se multiplient, que des délinquants sont permissionnaires , que des milliers de condamnés restent libres, il y a dans l’air semble-t-il, un souffle de violence ; et comme vos ministres qui devraient traiter de la chose sont des incapables chevronnés, et bien oui, monsieur le Président, je crains pour vous ! Assiégé de présages funestes, je crains pour vous le sort du Président Alliendé, une des gloires pourtant de la pensée de gauche. On a dit certes, qu’il ne fut pas été exécuté par l’émeute, mais que ne voulant pas donner ce plaisir à ses ennemis, il s’était fait sauter le caisson à la kalachnikov. Je ne doute certes pas , Monsieur le Président que vous préféreriez cette forme de « Hara-kiri » à la  perspective d’être écharpé par des cégétistes révoltés,, mais cela me désolerait, car il me semble que même dans la cas de l’inévitable révolution, vous devriez avoir droit à un procès loyal ou vous pourriez arguer de vos bonnes intentions, même si celles-ci ont livré le pays à l’étranger et les travailleurs à la ruine
Personnellement, si j’étais juré, je serais prêt à plaider vos bonnes intentions encore que je sache que l’enfer en est pavé ; Certes vous ne les avez pas accompagnées de cette roideur vertébrale pleine de morgue, dont De Gaulle parait les siennes de sérieux, de sorte que l’étroite morale de papa eut jugé votre conduite plutôt dévergondée. Mais le saint roi David en fit bien d’autres, et le vagabondage putassier de vos prédécesseurs semble en avoir normalisé la pratique. Par ailleurs, la grande figure de votre parti que fut Léon Blum, malgré qu’il fut de bonne race, s’était libérée du Décalogue au point de prôner dans son livre « Du mariage », la très joyeuse société bordélienne, dans laquelle il ne voyait même aucun inconvénient à ce que frères et sœurs s’aimassent les uns sur les autres ! Il faut dire, que dans la maçonnerie qui a formaté tant de vos ministres, le Grand initié que fut le Général Pike, préconisait d’établir auprès des loges masculines, des loges féminines, chargées d’assouvir leurs passions. Je ne sais pas ce qu’il en est des essais de cet ordre dans votre gouvernement, mais je sais que l’on n’arrête pas le progrès, et peut-être faut-il voir dans les conséquences de l’intensité amoureuse qui y règne, les grandes fatigues intellectuelles dont souffrent la plupart de vos collaborateurs.
Cependant ma lettre Monsieur le Président, outre le souci que j’ai que vous arriviez ,le cas échéant, sain et sauf devant vos juges, vise aussi à compatir à votre désappointement d’avoir vu le Saint-Siège refuser d’accréditer votre ambassadeur. Pourtant la nomination de Monsieur Stéfanini avait un fondement très assuré. Mais que vous ayez envoyé a Rome un distingué Sodomite, si l’on en croit la rumeur, à paru au Pape François une provocation, alors qu’en réalité , vous lui offriez l’occasion de pastoraliser la pédérastie. Toujours les bonnes intentions qui tombent à coté de la plaque ! Pourtant vous aviez été conforté dans ce projet par nombre d’épiscopes de l’Église de France, qui semblent avoir pour Giton le regard de Rodrigue sur Chimène !
Je n’en veux pour preuve que l’autorisation donné par l’évêque du lieu, à ce que Monsieur Berger prononce l’éloge de son concubin lors de ses obsèques religieuses ! Mais c’est vrai que Monsieur Berger, malgré qu’il ait une tête de batracien en mal d’égout, est un humaniste de progrès. N’a-t-il pas déclaré lors des manifestations de protestations catholiques contre le mariage scatologique, que si une bombe avait éclaté dans leur foule il n’en eut pas été contristé. ? Était-ce cette mâle déclaration qui vous a incité à lui donner un nouveau grade dans la Légion d’honneur ?
En tout cas le Pape François à montré son vrai visage de fieffé réactionnaire. A Rome, on ne confondra pas la chasuble et la jaquette, ni le Saint-Chrême avec la vaseline. Il n’y aura pas d’ouverture des catacombes. Il faudra que les socialistes se résolvent à se faire plaisir entre eux !
L’ennui, c’est que le, peuple français n’a pas l’air de comprendre que votre projet culturel est plus important que le beurre dans ses épinards. Et il ne semble pas que les policiers qui défilaient sous le prétexte que Madame Taubira les aime moins que les délinquants, soient prêts à vous faire rempart de leurs corps. Et ce mécontentement qui gronde fait un curieux mélange avec l’enthousiasme des coraniques, qui devaient être une « chance pour la France » ! Eux, sont ravis de savoir que selon vos partisans, l’Islam est compatible avec la République. Ils se trouvent donc fondés à appliquer la Charia comme le Coran le recommande. Mais il n’est pas sur que votre bienveillance jusqu’ici à l’égard du livre, vous garantisse la bienveillance du prophète, et j’ai beau consulter mon pendule pour qu’il me rassure sur votre sort, il tend à m’indiquer que cette fin d’année, ni Saint Dicat ni Sainte Tafiole ne vous protégeront. D’ailleurs plus probant que mon balancier ,peut-être contaminé par la réaction , observez le visage de votre premier Ministre qui prend le ton d’une grosse colique rentrée. C’est un signe.
Vous me voyez désolé Monsieur le Président de ce que je pressens , si Monsieur Poutine ne vous accorde pas à temps le droit d’asile. Mais s’il vous arrivait malheur, je vous assure d’une pensée émue au titre de vos bonnes intentions et de leurs mauvais résultats
Espérant me tromper, je vous prie d’agréer Monsieur le Président, la somme des sentiments qui vous sont dus.
J.A. Arette.

 
 
 
 
Sur le site de Nice Algérianiste
http://nice.algerianiste.free.fr/pages/Tabarot_obseques/tabarot_Robert.html
 
 
RAPPEL
 
 
https://francaisdefrance.wordpress.com/2012/02/16/il-y-a-21-ans-poniatowski-ecrivait-ces-lignes/
 
Pourtant, Rorbert LALANNE nous précise:
Ce décret signé: Chirac, 1° Ministre, Sauvagnargues, Ministre des Affaires Étrangères, Durafour, Ministre du Travail, Poniatowski, Ministre de l'Intérieur, Weil, Ministre de la Santé ( et l'IVG ), porte le n° 76-383 du 29 Avril 1976.


Eh oui, malheureusement, la nature humaine est ainsi faite qu'elle peut commettre des erreurs, et s'en repentir ensuite. Trivialement cela s'appelle: " découvrir l'humidité de l'eau " .

Ces gens là, ne voyant qu'un aspect du problème - toujours la politique du court terme: celle du cœur et de la compassion, mais aussi de l'intérêt immédiat -, ont ouvert une nouvelle " boîte de Pandore ", que personne n'est fichu de refermer .

Et la France ( et l'Europe ) qui ne veut plus être " blanche " va en crever. Mais comment faire comprendre cela, à un peuple avachi, qui fait tout pour se suicider ?

Désolant .

Robert LALANNE.

 
 
Exemple à suivre!
Pour ne pas oublier:

Hier 10 octobre, 100 ans jour pour jour après sa mort dans un hôpital temporaire, nous avons sorti de l'oubli Louis GUIDA un Poilu de Bougie inhumé dans un petit carré militaire à Biarritz.
Pas sectaires, nous avons dit un mot des quelques Poilus Métros les plus proches et aussi fleuri leurs tombes...
La municipalité d'Anglet avait envoyé quelqu'un mais ni Biarritz ni Bayonne!
2 drapeaux (en plus du nôtre) étaient présents: les Anciens de la Police nationale et celui des A-C des Douanes.
Si cela pouvait inspirer et inciter d'autres associations de PN...
Clément Charrut Bayonne

Allocution du 10 octobre 2015
 
 
RADIO-JUIVE: La ligne ouverte de Guy Rozanowicz
La vie en Israël de nos jours, est comparée par cet auditeur à celle en Algérie durant la guerre d'indépendance...
 
 

DE GAULLE

A nos compatriotes Français d’Algérie et à nos Amis Métropolitains !
Au delà des Anniversaires de l’abandon de l’Algérie Française et de l’assassinat de nos patriotes, l’Histoire retiendra que le soir de l’exécution du Colonel Jean BASTIEN-THIRY, le monstre de COLOMBEY qui venait de refuser la grâce au père du Colonel, offrit à l’Élysée un banquet à tous les magistrats et juges des cours d’exception !!
Saviez-vous que le Légionnaire Albert DOVECAR n’avait pas obtenu la nationalité Française et, étranger, il ne pouvait être fusillé ?
Alors DE GAULLE fit accélérer sa naturalisation pour le faire passer devant le peloton d’exécution !!

Alors que TOUS ceux qui pour des raisons bassement électorales font encore référence à ce nom maudit, sachent que certains des nôtres n’oublieront JAMAIS
Alain ALGUDO
Président C.D.F.A/U.C.D.A.R.A
Vice Président de VERITAS

 
 
RAPPEL: QUELQUES VERITES...
 
 
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"Tout le monde en France a été, est ou sera anti-gaulliste", décrypte Éric Zemmour
https://www.youtube.com/watch?v=1EvU2AT5ISM
 
 
Inauguration à Cagnes sur Mer, en ce jour du 3 octobre 2015, de la nouvelle stèle en mémoire de toutes les victimes civiles et militaires mortes pour la France, hors la Métropole.
C’est avec une grande émotion que les rapatriés d’Algérie et les anciens des territoires d’Outre-mer se sont réunis pour inaugurer la nouvelle stèle : « Gloire et Honneur », érigée en mémoire des victimes des guerres d’Algérie, d’Indochine, du Maroc et de la Tunisie, au cimetière de la Buffe à Cagnes sur Mer.

Ce fut une émouvante cérémonie empreinte de solennité et de recueillement pour dévoiler un magnifique monument.
Notons qu’aux associations pied-noir, dont le Cercle algérianiste de Nice, et harki, c’étaient joints le sénateur-maire de Cagnes, M. Louis Nègre et le député-maire de Villeneuve-Loubet, M. Lionel Luca.
Sous le cri nostalgique d’ « Algérie française !», nous ne retiendrons que le discours émouvant du Président de la Maison des rapatriés de Cagnes sur Mer, M. Gabriel Anglade, initiateur de cette commémoration, entouré des drapeaux des anciens combattants des guerres d’Algérie et d’autres lieux, où l’armée française a fait son devoir sans faillir, hors les décisions controversées du général-président Charles De Gaulle.

Notons que pour honorer cette manifestation, malgré un temps orageux, même le ciel de Cagnes sur Mer est resté clément, avant que les participants ne se réunissent à nouveau pour un apéritif du souvenir et du combat toujours présent, pour une vérité étouffée.

Pour le Cercle algérianiste de Nice/ R.C. Puig

https://picasaweb.google.com/112961091018765267263/CagnesMer3Octobre2015
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/10/tiendrez-vous-vos-promesses-m-sarkozy.html
 
 
Quand on voit ou que l’on entend ces ‘’ comiques "' qui se réclament (quand cela les arrange, c’est vrai !)

du gaullisme, de leur idole, avec à leur tête le " Nicolas Sarközy de Nagy Bocsa ‘’ et qui mettent au pilori la Nadine Morano qui n’a répété

que ce qu’à dit ‘’la grande Zora'' (leur idole) le 5 mars 1959... Alors ? Messieurs, Mesdames les gaullistes quand allez-vous

avoir le courage et la franchise de traiter ‘’ de Gaulle " de la même manière que vous traitez la Morano ?

Quand allez-vous reconnaitre que ‘’de Gaulle ‘’ était raciste et autres ?...Serait-il tout à coup un mauvais exemple ?

Marc BAUCHIERE

 
 
Citations rapportées par Alain Peyrefitte

« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns.

Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France . Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.

Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre.

Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ?

Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées...

CHARLES DE GAULLE

 
 
Pour écouter cette émission:
 

Recension du 30 septembre 2015.
Le 21 septembre, Roger Saboureau a reçu 4 enfants de harkis à Radio Courtoisie.
Deux étaient des dirigeants de AJIR : Mohamed Hadouche et Jacques Alim, les deux autres filles de harkis : Baya Moussaoui, assistante sociale (politiquement engagée) et Dalida, fille (aveugle) du lieutenant ben Brahim du commando Georges (assassiné en métropole).
Bien qu'ayant connu des périodes de précarité en France, ils ont réussi leur intégration et ne sont pas revendicatifs comme certains dirigeants d'association. Pas question de pleurnicher ni de demander des secours financiers. Ils sont Français, attachés aux valeurs de la république.
Leurs mères les ont soutenu dans leurs études; elles ont appris à parler français. Ils reconnaissent que même dans les camps de transit, ils ont reçu une formation scolaire et ont été aidés par l'armée et par leurs instituteurs.
Ils ne demandent pas de réparation juridique, mais souhaitent que leur histoire soit réhabilitée.
Ils ne partagent pas les estimations de P. Daum sur le massacre, ni la radicalisation de l'islam.
Ils s'interrogent sur le service militaire en Algérie, qui leur aurait été proposé dans les années 80 (c'est inexact).
Ils se réfèrent à deux ouvrages historiques :
- Et ils sont devenus harkis, de Mohand Hamoumou, Fayard 1993
- Harkis, soldats abandonnés, de Daniel Grenon, XO 2012
Malheureusement ils oublient le meilleur ouvrage sur l'histoire des harkis :
- Harkis, des mémoires à l'histoire, Riveneuve 2014, édité par la Fondation pour la mémoire,
avec la participation d'une dizaine d'historiens compétents.


Maurice Faivre

 
 
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=PnFRBF4XIKY
 
 
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Voilà le message que j'ai envoyé au Figaro Magazine :

Bonjour,
à propos des "réfugiés", dans le Figaro Magazine du 11 courant, Madame GROUSSET a osé proférer l'ineptie selon laquelle :"1,2 million de pieds-noirs et de harkis ... mais leurs descendants ne sont pas moins
devenus d'excellents Français ".

Non Madame, je ne suis pas devenu un excellent Français car mon père né en 1940 à Alger était déjà français, mon grand-père né à Mostaganem en 1913 était déjà Français, mon arrière-grand-père né en 1882 à
Mostaganem et mort gazé à Ypres en 1915 était déjà Français !

Les pieds-noirs, malgré l'accueil qui leur a souvent été réservé (cf Gaston Deferre à Marseille) étaient Français, certains depuis 3 à 5 générations (Espagnols, Italiens, Maltais), d'autres depuis toujours
puisque descendants eux-même de Parisiens, d'Auvergnats ...


Aussi, avant de reprendre les poncifs éculés de vos "confrères" ou de personnalités politiques, un petit tour dans un livre ou un site historique.


Salutations
éric safras
fils de pied-noir"

manif pn harkis 2012

FIGARO MAGAZINE
14, Boulevard Haussmann
Paris 9°

01.57.08.50.00

 
 
Manuel MARTINEZ
https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=918015441568171&id=100000791720638&fref=nf

Un article publié dans le figaro magazine du 11 courant me fait sortir de mes gonds., Il émane de Valérie Grousset journaliste.Je m'autorise le droit de lui répondre par une lettre ouverte . Madame, Je découvre vôtre article du 11 courant publié dans le figaro magazine. où vous parlez du problème des réfugiés . et je suis stupéfait quand vous écrivez:"..1,2 millions de pieds-noirs et de harkis brutalement déracinés en 1962 par la décolonisation sanglante du maghreb n'ont pas été accueillis en France à bras ouverts , loin de là ", - et vous ajoutez- ;" mais leurs descendants ne sont pas moins devenus d'excellents Français ". Reprenez l'histoire madame Français nous l'étions et nous le sommes. Français il l'était mon père à Monté Casino,- Français il l'était mon oncle entré parmi les premiers à Paris avec l'armée de Leclerc- Français il l'était mon parrain dans son stalag -Français il l'était mon cousin couvert d'honneur en indochine- et tant d'autres....... NON madame moi descendant je ne suis pas un "devenu"..

Respectueusement,

 
 
http://arzew.net/exode-robert-menard-reportage-34.php
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/09/plus-francais-que-ceux-de-metropole.html
 
 
La Laïcité en danger, en France...
 
La droite & la gauche en sont responsables!
https://youtu.be/b1T9mKjVs_U
 
 
C'est avec un peu de retard que je vous communique les dernières photos des cérémonies auxquelles nous avons participé !
La première partir concerne Marseille où dans sa seconde partie.... notre ami Georges vous fait faire en plus et gratuitement un peu de tourisme...Belles photos..
Dans la dernière partie , notre cérémonie de Marignane où nous avons retrouvé un Maire toujours aussi percutant dans tous les domaines.

Guy MONTANER

http://oran1950.free.fr/AOBR/AOBR%202015/AOBR%202015%2009%2025%20CEREMONIES%20D%20HOMMAGE%20AUX%20HARKIS/index.html
 
 
 

Cher Hervé, j'apprends ce matin le décès de notre cher ami, Marcel Ronda. les obsèques seront célébrées vendredi 18 septembre à 15h au monastère de Cimiez à Nice. J'ai beaucoup de peine. C'était un homme de courage qui fut un des premiers à s'élever contre l'abandon de l'Algérie et qui l'a payé fort cher. J'aimais sa simplicité et son bon sens, sa gentillesse jamais en défaut. Il n'avait d'orgueil que pour la France. Je sais que tous ceux qui l'ont connu auront autant de chagrin que moi. Je t'embrasse bien tristement.

Geneviève de TERNANT

 
 
https://youtu.be/QL0Li51PPEE
 
 
À l'attention des français qui auraient des doutes sur l'espoir populaire qui existait dans les départements de l'Algérie en mai et juin 1958.
Mais aussi à ceux qui douteraient du NON RESPECT DE LA PAROLE DONNÉE par le Général De Gaulle peu de temps après.
Je vous livre le lien à consulter:
http://www.ecpad.fr/la-france-est-ici-mai-juin-1958/

Jean-pierre OLLIER

 
 
http://ripostelaique.com/boualem-sansal-est-un-veritable-ami-de-la-france.html
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=E8h51iz0JBE&feature=em-upload_owner
 
 
Gloire au Général Salan
https://www.youtube.com/watch?v=zybtnTYkxDU
 
 

Chers Amis,


On dit souvent que Jean Raspail avait prédit, il y a quelque 4 décennies, dans Le Camp des Saints, les torrents migratoires qui nous menacent aujourd'hui.
Sans vouloir contester les mérites de ce prosateur insigne et visionnaire, il me parait important d'indiquer que notre cher Albert Camus l'avait précédé dans cette voie. Dès I957, dans une correspondance avec Jean Grenier, il écrivait ceci:
"A longue échéance, tous les continents (jaune, noir et bistre) basculeront sur la vielle Europe.
Ils sont des centaines et des centaines de millions. Ils ont faim et ils n'ont pas peur de mourir. Nous, nous ne savons plus ni mourir, ni tuer. Il faudrait prêcher, mais l'Europe ne croit à rien. Alors, il faut attendre l'an mille ou un miracle."
A Camus.( Correspondance avec Jean Grenier 1957).
Comme vous le voyez chers amis, l'auteur de La Peste avait déjà compris bien des choses. Que cela ne vous empêche pas de résister car, le bonheur est dans la lutte. Comme l'a dit aussi Camus: "Au milieu de l'hiver, j'apprenais enfin qu'il y avait en moi un été invincible."


A vous tous salut et pugnacité,
J.Monneret.

 
 

COMMUNIQUE

Essayer d 'activer ce lien conférence d'Henri C. Giraud pour ce qui nous interpelle au début et à la fin Relation de De Gaulle avec le krémlin dés 1956 sur l'Algérie; Par cette conférence on comprendra tout le décalage qui existe entre la parole publique Gaulliste ; ses déclarations officielles et la réalté de l'action réelle menée qui à pu fourvoyer bien des commentateurs et des Historiens méme éminents ! par exemple en politique Algérienne où la duplicité fut constante et patente se fiant aux déclarations d’intention Gaullistes on peut lire " Certains veulent croire que le général de Gaulle aurait décidé, dès cette date, de favoriser Ben Bella en laissant ses troupes rétablir l’ordre à Oran, mais cette affirmation est démentie par de très nombreux documents officiels qui prouvent qu’à cette date précise, la politique française était fondée sur une stricte neutralité entre les diverses factions algériennes pour éviter le risque de recommencer la guerre. Il n’y a donc pas eu de responsabilité directe du gouvernement français dans ce qui s’est passé le 5 juillet 1962 à Oran," Phrase qui à juste titre à pu provoquer des vives réactions chez certains français d'Algérie et autres !
>
> > > Ironie de l'histoire dans cette guerre civile aussi Algéro/Algérienne (avec ses victimes FLN/MNA/Pros Français )déclenchée en toute connaissance de cause le 1er Novembre 54 on pourrait débattre pendant des heures sur l'origine et la cause des victimes civiles Musulmanes en essayant de les comptabiliser ;le fait et qu'après le 3 Juillet 62 limite de l amnistie réciproque référendaire le registre est différent et la RESPONSABILITE UNIQUE venant des présumés vainqueurs Mais pour en revenir à nos moutons :alors que les Aussaresses;Massu et cie anciens combattants Gaullistes chassent" l'épouvantail communiste" (dixit docteur Perez) en Algérie ;dans un article du" Figaro Histoire" récent précisions que donne le journaliste H.C. Giraud sur le fait que « les Archives Soviétiques apportent une confirmation décisive de la précocité du choix Gaulliste en faveur de l’indépendance de l’Algérie « précisant « le 10 Octobre 1956 De Gaulle délègue son ancien directeur de cabinet et principal intermédiaire avec Moscou Gaston Palewski ,auprès de l’ambassadeur soviétique à Paris ,Serge Vinogradov ;pour lui tenir le propos suivant «'(sur l indépendance de l Algérie /voir texte dans la revue) .. ;cela veut dire que dés 1956 De Gaulle qui n'est pas encore au pouvoir fait savoir au FLN par l'intermédiaire de leurs amis Soviétiques qu'il serait prét à négocier s'il revenait aux affaires de la France !
> > Depuis étrange silence radio sur cette présumée révélation des archives Soviétiquesqui apporteraient " une confirmation décisive de la précocité du choix Gaulliste en faveur de l’indépendance de l’Algérie dés Octobre 1956 en pleine guerre d'Algériealors que l'Armée Française se bat sur le térrain !

Posté par JF Paya,
DE GAULLE 1962 / HAMED BEN BELLA


Ci joint conférence du journaliste HC Giraud où au début et à la fin il révéle les propos de De Gaulle en Octobre 1956 alors qu'il n'est pas encore au pouvoir pour fait savoir au FLN
par l'intermédiaire de leurs amis Soviétiques qu'il serait prét à négocier s'il revenait aux affaires de la France !

 
 
16 septembre 1959, De Gaulle jette le masque et livre l'Algérie au FLN.


Jeudi, cela fera 56 ans que De Gaulle mettait en oeuvre son plan diabolique.
Fin août , 15 jours avant, il avait fait une grande tournée des popotes, d'Ouest en Est, finissant le 30 août au PC Artois du général Challe en Kabylie par une grande messe où la fine fleur de notre Armée se laissait berner une fois de plus.
Regardez cette video éloquente: http://www.ina.fr/video/CAF97502343
Il avait pu constater que le « rouleau compresseur » élaboré par Salan et mis en œuvre, contre son attente, par son féal Challe, avait éradiqué le FLN à 90 %. Les Willayas étaient exsangues et leurs chefs désespérés .
Tenu par ses promesses faites fin 1955 par l'intermédiaire de Mohamed V, puis en 1956 via Masmoudi et Bourghiba, ou directement au FLN à Genève par Gaston Palewski et consorts, il sait qu'il doit livrer 15 départements français au FLN et qu'il lui faut abattre son jeu.
Reniant sa parole, et violant sa Constitution, il annonce, le 16 septembre, qu'il ouvre la voie à l'autodétermination dont il ne peut ignorer, puisqu'il l'a dit à son Conseiller Jean Méo dès 1958, qu'elle aboutira inéluctablement à l'indépendance de l'Algérie sous la coupe de Ben Bella.
Rappelons la Constitution de 1958, élaborée par De Gaulle lui-même, que :
1/La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale
2/Le Président de la République est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités.
3/ Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques. ( or le réferendum sur la ratification des Accords d'Evian du 8 avril 1962, concerne les Français de métropole, à l'exception de ceux des départements d'Algérie ).
Hormis quelques chefs militaires lucides, Challe que l'affaire Si Salah dessillera trop tard en février 1960 et l'Armée en général continueront à croire en la parole du Président et à faire tuer des malheureux, sacrifiés pour rien. Les Européens seront vite conscients qu'ils sont acculés à la valise ou au cercueil par le Chef qu'ils ont rappelé en Mai 1958. Quant aux Arabes ( FSNA), ils basculeront du coté du FLN pour échapper à l'égorgement.
Les conséquences de cette forfaiture s'avèrent de plus en plus dramatiques et dépassent le "bon tour joué aux PNs", comme si cette trahison ne concernait qu'eux :
-La misère et le chaos règnent en Algérie, ce qui était annoncé par De Gaulle lui-même.
-14 à 17 millions de musulmans vivent en métropole, dont 8 millions d'Algériens à double nationalité.
-Les ressources du Sahara sont aux mains des ennemis de notre civilisation.
-Mais surtout, en cédant aux commanditaires des sanguinaires Amirouche, Zighoud Youcef et autres Said Mohameddi ( responsable du massacre de Mellouza et sympathisant du FIS, mort à Paris en 1994! ), De Gaulle a ouvert la porte toute grande à Daesch et l'Etat Islamique dont les méthodes sont identiques. Tout comme le Cartel des Gauches ( Edouard Herriot) en 1925 a restitué la Ruhr à l'Allemagne vaincue, sans raison militaire, ouvrant la porte au réarmement allemand et à Hitler , De Gaulle a livré sans défaite un morceau de notre patrie et 1/6 eme de son peuple, rejoignant dans « la légende noire » des revirements honteux et de l'amputation du territoire, Aliénor d'Aquitaine ( 1122-1204) Reine aux mariages multiples, et Isabeau de Bavière ( 1371-1435), profitant de la folie de son époux Charles VI, Roi de France .

 
 
https://www.youtube.com/watch?v=leZ4ua0Z3nc&feature=player_detailpage#t=103
 
 
Monsieur,

Suite à vos remarques déplacées lors de l'émission de Monsieur Yves Calvi, je ne vous rappellerai seulement qu'une seule phrase, émise par un Pied Noir, le seul militaire à se permettre de tutoyer le Général De Gaulle, et suite aux massacres, enlèvements survenus après le "cessez-le feu" en Algérie :

"Que les Français aient en grande majorité approuvé l'abandon de l'Algérie, ce morceau de France, trahie et livrée à l'ennemi, qu'ils aient été complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d'Algérie....Cela je ne le pardonnerai jamais à mes compatriotes : la France est en état de péché mortel. Elle connaitra un jour le châtiment"...

Maréchal Alphonse JUIN, le 2 Juillet 1962, Français d'Algérie, donc Pied noir.

Le passé explique le présent d'aujourd'hui...c'est sa conséquence directe...

M.FISCHOFF

 
 
A l'attention de M. CAYROL, directeur de recherche ( ? )

Monsieur,

On me rapporte les effarants propos par lesquels, dans une émission de TV, vous avez soutenu que la France pouvait accueillir
les " migrants " nouveau genre sans problème puisqu'elle avait accueilli ( sic ) un million de Français d'Algérie.

Est il besoin de rappeler que ces Français, outre qu'ils fuyaient dans l'urgence pour sauver leur peau, à la différence des
clandestins actuels, se déplaçaient d'un département dans un autre, dans la légalité la plus parfaite et non quémandant une faveur.
Ils étaient dignes et se montraient civilisés, ils ne posaient aucun problème culturel d'assimilation. Ils étaient d'abord FRANCAIS.
En aucun cas ils ne peuvent être comparés aux envahisseurs étrangers que nos gouvernants nous font subir.

Quant à prétendre qu'ils ont été "accueillis", il y a long à répondre ! Reçus par des crachats et des insultes, arnaqués, refoulés,
écartés de la vie publique, sans autre aide que celle, dérisoire, qu'aucun de nos actuels parasites n'accepterait sans protester, indemnisés
au 1/20° de la valeur de leurs biens perdus après 19 ans d'attente, en violation des "accords" d'Evian, ils sont, en outre, insultés
quotidiennement par nos grands media sans jamais avoir le droit de répondre.

Il effrayant de penser qu'un individu capable d'une pareille insulte à notre encontre et manifestant une pareille ignorance
exerce la fonction de "Directeur de recherches " dans un organisme public, que j'ai le déplaisir de financer. Voilà qui en dit
long sur le délabrement de nos institutions.....

Croyez, monsieur, à mon profond dégoût

M.LAGROT, Français d'Algérie

 
 

Alain ALGUDO
Vice Président

Discours au Congrès 2015 à BEZIERS
12 septembre 2015


Il y a des moments particuliers dans une vie de militant où le découragement est accablant et.. subitement.. devant une assemblée comme celle-ci, un souffle nouveau nous anime, nous réconforte, nous transporte.

Merci Chers Amis, et même si, hélas, la relève est plus que timide, ceux de nos jeunes qui sont prêts à prendre le relais ont de telles qualités que l'espoir demeure.

Mais je voudrais avant tout, pour ceux qui ne nous connaissent pas, ou veulent nous faire passer pour ce que nous ne sommes pas, rappeler qu'à VERITAS nous ne sommes que des bénévoles apolitiques en totale conformité d'action avec notre Charte, et que nous refusons toutes subventions proposées et toutes publicités sur notre bi-mensuel.
Seule la fidélité de nos adhérents avec leurs cotisations et des dons d'associations et de particuliers nous permet de survivre.

Il y a aujourd’hui 53 ans, sans généraliser, une certaine population de la nouvelle 5ème République formatée et assaisonnée à la sauce gaulliste voulait nous rejeter à la mer...Ce que nous ressentons tous présents ici aujourd'hui, c'est une profonde perplexité devant le spectacle des bonnes âmes qui se déploient à travers l'Europe au secours des migrants qui affluent sur les côtes et frontières Européennes passoires !

Certes, comment pourrions nous être insensibles à cette détresse, sincère pour certains d'entre eux, mais nous nous remémorons cependant que nous avons connu moins de sollicitude dans les années de larmes qui furent les nôtres.
Cela nous permet de mettre nos compatriotes en garde face au danger mortel qui se profile aujourd'hui !
Nous constatons en effet que nos gouvernants actuels ont les mêmes comportements mortifères qui ont abouti au drame sanglant de l'abandon des départements Français d'Algérie.

Nous n'allons pas nous étendre et déborder sur ces sujets qui fâchent et nous font passer, en disant des vérités, pour des « xénophobes » refusant le « vivre ensemble », la « mixité » le « multiculturalisme.... » autant de mots boomerangs à la mode qui reviennent déjà en pleine figure de nos responsables politiques. Mais il y a des irresponsables qui osent encore, à ce jour, comparer l'immigration européenne et chrétienne de l'après guerre et notre exode en 1962, avec l'immigration déferlante actuelle en grande majorité islamique.

Souhaitons que cela ne s'avère pas être une faute d'appréciation mortelle pour notre civilisation !!

PASSONS, car mon propos aujourd'hui n'est pas de convaincre les convaincus que vous êtes ici en majorité, mais de rappeler que nous essayons encore de faire éclater, avec VERITAS et ses nombreux Amis, cette vérité sur ce drame du déracinement de toute une population Française.

Notre drame … dont le paroxysme était atteint le 5 juillet 1962 à ORAN.... faisant en une journée autant de morts et disparus que les avions djihadistes sur les 2 tours New New-yorkaises, et ce en espérant que ceux à qui je m'adresse au delà de cette salle, enlèvent enfin les boules quiès qu'apparemment ils portent depuis un demi- siècle !Ne vous en déplaise Messieurs les donneurs de leçons, en Algérie c'était aussi la « djihad ,» depuis Sétif en 1945, et sur ce sujet le remarquable ouvrage de notre Ami, Maurice VILLARD, est édifiant.
Commençait déjà pour nous le processus de spoliation de notre terre natale.

Il devait se dérouler dans un climat de fuite éperdue sous les coups de boutoir sanglants de barbares alliés désormais aux tenants d'un arsenal répressif  digne de la Gestapo, mis en place contre les patriotes par les gouvernants de cette République de la trahison de l'époque.

Cependant, inexorable, le temps qui passe devrait normalement arranger les choses, or c'est le contraire que nous constatons ; un état de délabrement mental sur ces réalités qui nous ont crucifiés : Exit pour eux le massacre de de nos compatriotes musulmans fidèles à la France subissant l'horreur, entre autres traitements terrifiants, d'être jetés dans des concasseurs de carrière en marche. Aux oubliettes de l'Histoire nos disparus, oubliée la fusillade de la rue d'Isly, oublié le nettoyage ethnique du 5 juillet 1962 à Oran, malgré deux propositions de loi de reconnaissance, déposées à l'initiative du Député Élie ABOUD Président du GER à l'Assemblée Nationale, et restées lettres mortes à ce jour !!

Pour votre information sur les 577 Députés à l'Assemblée Nationale, seuls 14 d'entre eux ont signé les 2 propositions de loi!

Ainsi pour nos réparations matérielles et morales comment peuvent-ils, eux qui votent ces lois, nous exclure des simples droits fondamentaux gravés dans le marbre du code civil de la République Française ?

Pire encore, en violant délibérément la Constitution et plusieurs articles de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 ?

Nous le dirons, nous le répéterons, nous le hurlerons s'il le faut, les différents gouvernements de ce pays, que nous aimons, se comportent envers nous, depuis un demi-siècle, avec une indignité la plus totale.

Avec en prime maintenant la mise sous anesthésie lourde, disons en coma profond, de nos deux organismes de tutelle l'ANIFOM et la MIR (Mission interministérielle aux rapatriés.)

Et le summum de ces comportements odieux est atteint avec les mensonges éhontés, venant de la bouche même de nos Chefs d’État en visites officielles là bas, qui dénigrent l'éclatante œuvre civilisatrice de nos pionniers, de nos bâtisseurs et de notre laborieux petit peuple, autant de maçons ayant œuvré à l'érection d'un « paradis lumineux »(Boualem SANSAL) : Notre belle Algérie Française !

La dernière visite en date, celle du Président actuel, où un discours de servilité démentielle a été prononcé, à un tel point qu'il a provoqué un malaise dans l'assistance, et que même la presse Algérienne s'est
gaussée de ce pitoyable exercice de soumission.

Mais qui leur donne ce droit? Au nom de qui ? de quoi ? peut-on en arriver à un tel ahurissant dénigrement de son propre pays ?

Croyez moi chers amis, à travers ces comportements insultants prémédités à notre égard se cachent ceux qui nous affubleraient bien d'une « étoile jaune » sans sourciller le moins du monde.


Nous considérons aujourd'hui ici que cette attitude de « nous écouter sans nous entendre » dénote un mépris maladif, mais sachez que vous avez en face de vous avec VERITAS et avec d'autres amis combattants pour la mémoire dans d'autres Associations, des hommes, des femmes, militants PACIFIQUES... MAIS DETERMINES à continuer à dénoncer votre ostracisme!

Prouvez-nous que nous nous trompons et penchez-vous sur ce terrible 5 juillet 1962 à ORAN et sur toutes nos tragédies depuis le massacre innommable d'El Halia, avec le même zèle, que vous déployez, à juste titre, tous les ans pour la tragédie d'ORADOUR SUR GLANE, les pendus de TULLE... la SHOAH.... et la rafle du VEL D'HIV , entre autres!

Historiens.... Journalistes.... hommes politiques de tous bords.... la chance qui les a épargnés ce jour là, vous offre aujourd'hui.... dans cette salle.... des témoins directs de la chasse au faciès devenue la marque sanglante de l'atroce journée du 5 juillet 1962 à ORAN.

Ils sont prêts à éclairer vos lanternes volontairement mises en veilleuse depuis un demi-siècle tant les faits avérés de nos tragédies couvrent de honte le pouvoir en place à cette funeste époque !!

Oui, à cette époque de larmes et de sang, où nous entendions les paroles démentielles d'un homme et de ses sbires, sans cœur, méprisants, menaçants et méchants dans leurs propos et leurs actes, insensibles à l'écoute des témoignages et du dramatique spectacle de notre exode.

Ce sujet, notre Ami et compatriote écrivain Manuel GOMEZ l'a suffisamment décortiqué dans un recueil édifiant que je vous recommande.

J'ose espérer que vous aurez le courage de prendre connaissance de ce document et de son dernier ouvrage, Messieurs les censeurs, et peut-être alors aurez vous ce sursaut d'humanité qui vous fait défaut.
On peut toujours rêver, n'est-ce pas ?

Puisque qu'avec VERITAS nous sommes à BEZIERS pour la première fois, Je me fais un honneur de dédier mon exposé au fils de nos compatriotes Mr et Mme François CANTO, René CANTO, brillant Capitaine au RAID, sportif de haut niveau, tombé en service commandé le 16 avril 1996 en Corse face au FLNC, encore un FLN, et que sa ville se doit d'honorer sans plus attendre, sans oublier encore la petite Oranaise « Myrtille », encore de ce monde,qui a perdu le 5 juillet 1962 à ORAN, 14 membres de sa famille massacrés ou disparus.

Donneurs de leçons êtes vous là ?

Merci de m'avoir écouté !


 
 
 
 
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=PnFRBF4XIKY&feature=youtu.be
 
 
 
 
 
 
 
 


Le gouvernement socialiste est-il tombé sur son sinciput ?


Alors qu’il n’y a pas longtemps il ne voulait pas recevoir de migrants, – parce qu’une photo atroce montre un jeune enfant mort, noyé sur une plage à cause d’une étrange guerre entre les salafistes de Dae’ch et des populations innocentes – voilà qu’il est urgent d’ouvrir les frontières à la misère du monde que dans un autre temps, Marchais, Pasqua et Rocard avaient dénoncée. Bien entendu, il est nécessaire que l’Europe montre sa compassion et brandisse le drapeau de la solidarité en accueillant les exilés d’Orient, mais faut-il le faire à la manière socialiste, sans analyse des causes de cette invasion et des inconvénients que provoque ce raz-de-marée sur le plan de l’organisation et de la sécurité ? Thalys est l’exemple.
Dans l’U.E., l’Allemagne est à part. Elle n’a pas le chômage que nous avons en France. Elle a une natalité décroissante et surtout besoin de bras pour son industrie. Nous, pas ! Que représentent 800.000 migrants dans un pays en besoin de main-d’œuvre ? Un plus ! Pourtant, les Allemands sont les premiers sacrifiés par cette invasion que la France veut partager. En effet, est-elle pacifique ? Ne porte-t-elle pas en elle le gène d’un autre mode de vie, d’une autre religion ? N’y a-t-il pas avec des vrais migrants les troupes fanatisées du salafiste qui veulent soumettre l’Europe à la charia ?
Au sein de l’Europe, la France et l’Allemagne sont sous la coupe de leurs dirigeants inconscients du risque que provoque cette population en dehors de fuir leurs pays ? Nous ne connaissons finalement rien de leurs intentions cachées !
La France des médias et des « peoples », avec le gouvernement, s’engouffrent dans ce besoin de mea culpa, d’un apitoiement démesuré par rapport à nos capacités de « faire le bien ». Valls construit des camps qui attireront d’autres migrants ; Cazeneuve demande aux maires d’en accueillir dans leurs communes et Paris défile ! Des artistes s’affichent. Ils sont « bobos et marginaux » mais le poids de leur puissance médiatique dans ce pays de gauche est énorme. Ils écrivent dans le JDD avec les accents théâtreux de la contrition... puis vont vivre à l’étranger.
Pour l’Allemagne, c’est le besoin d’effacer sa période hitlérienne.


Ce mal dont elle se sent toujours coupable qui lui fait accepter ces migrants et oublier les camps de concentration et ceux de la mort, inscrits dans les fours crématoires.
Pour la France de la droite gaulliste et de la gauche, c’est faire oublier son temps des colonies, son Empire. Pourtant, cette France des partis, avait eu un autre esprit dans les années 60 ! Une attitude combien différente, minable, avec ses propres enfants d’Algérie ! Ne refusait-elle pas de les accueillir ? Ne voulait-elle pas les renvoyer sur leurs terres ancestrales si lointaines, eux qui par deux fois avaient sauvé le pays de la Prusse et des Allemands ? Ceux qui débarquaient, étaient soumis aux brimades d’un peuple que les médias et les partis de gauche qualifiaient de « colons », de « fascistes ». Les dockers des ports empêchaient les bateaux d’accoster ; les hôteliers refusaient de louer une chambre et dans des hôpitaux certains refusaient de soigner des malades de « là-bas ».
Les Pieds-noirs étaient un peuple abhorré. Il n’y avait pas d’empathie, pas de consensus national pour les recevoir dans cette France à la fois gaulliste et communiste, où les métropolitains les considéraient comme des intrus !
Bien entendu je parle de ce passé, parce qu’il est toujours vivant pour moi. Il est la vérité que l’on cache au peuple de France depuis plus de soixante ans.
Dans mon « résumé » de ce temps de la lâcheté, je ne peux oublier les Harkis et le sort honteux qui a été le leur. Soit, ils ont été « parqués » sans ménagement dans des camps du désespoir, soit le gouvernement gaulliste les a renvoyés mourir, assassinés, sur une terre qui n’était plus la leur.
Ces événements réveillent une vieille plaie, celle de l’Exode, mais aujourd’hui ? Le pays est-il conscient de son engagement à accueillir autant de déplacés d’Afrique et du Moyen orient ? C’est une carte plus dangereuse que compassionnelle qui engage notre futur.
Qui sont-ils ces nouveaux venus : hommes, femmes, enfants ? Sont-ils des réfugiés politiques ou économiques ? Est-ce que Dae’ch et Al Qaïda ne profiteront pas de la situation pour installer dans nos pays de nouveaux réseaux de jihadistes, de fanatiques, qui sèmeront la terreur  dans nos villes et massacreront des civils au nom d’Allah ?
En Allemagne, il y a déjà une réaction de la population qui craint cet envahissement massif.

En France, malgré le matraquage médiatique, toujours aussi veule et aveugle et l’information téléguidée par le gouvernement, les français ne croient pas, à + 70 %, à cette politique des bras ouverts à la misère d’Orient.
D’ailleurs, que font les pays du Golfe riches de leur sous-sol ? Ils semblent loin de pratiquer un de leurs préceptes, celui que le Coran recommande : le Zakat, l’aumône aux pauvres ! Ces royautés et ces Emirats d’Orient, partagés entre leur soutien aux rebelles salafistes et leurs « arrangements » avec les pays d’Occident, jouent un double jeu que nous ne voulons pas voir. C’est l’erreur de nos pays. Pourquoi laissent-ils faire ces bandes sanguinaires sans véritablement intervenir ? Il y a avant tout cette opposition des sunnites contre les chiites et cette envie de battre un jour l’Irak et pour nous l’attrait du pétrole ! Enfin, il y a ce point d’achoppement sur la Syrie entre les USA et notre pauvre politique qui encourage le jeu du jdihad en créant une chienlit : nous étions contre des accords avec l’Irak et nous fermons les yeux sur les massacres de Dae’ch pour ne pas défendre la Syrie de Bachar al-Assad. Drôle de politique française ! Nous leur vendons tout à prix « amis », sans contrepartie et sans honneur. Il y a donc mille raisons qui font que l’Occident laisse agir les salafistes au nom d’un Coran déformé ? Pourtant, il n’y a pas que les vestiges de Palmyre qu’il faut sauver. Il y a des vies qui se meurent sous le couteau et les flammes. Il y a des assassinés, des femmes réduites à l’esclavage au nom d’un dieu déformé de sa foi et les chrétiens éradiqués d’un sol ou ils vivaient depuis deux millénaires.
Finalement, quelle solution autre que l’envahissement de l’Europe par les migrants et pouvoir mettre fin à cette guerre de religion où le Mal veut l’emporter sur le Bien ? Dae’ch et Al Qaïda ne seront pas détruits par des frappes de drones. Il faut sur le terrain éliminer le serpent et le fanatisme islamiste qui s’emparent de certaines de nos cités. Ne jouons plus les nuls et mettons les pays d’Orient au pied du mur : l’ordre avec nous ou la guerre contre l’Occident ? De plus, sur notre sol européen, il faut envisager de vraies mesures à la fois humaines mais fermes et sans appel, pour régulariser cet envahissement à la manière des « Huns ». Cela fait deux ans que le seul rôle de l’Europe a été celui de ne rien envisager d’autre que d’envoyer des navires en Méditerranée pour sauver des naufragés, avec la volonté d’entraide que stimule le jugement des associations du droit de « l’homme »

Elles poussent à agir et à sauver des personnes abandonnées sur des coquilles de noix submersibles en pleine mer... mais après ?
Complexée, imprégnée de son rôle de terre d’accueil et d’un esprit humano-idéaliste qui ne tient pas compte du changement de caractère des individus du monde actuel, l’Europe se trompe d’objectif. Elle est aveugle et n’assume pas les conséquences de son inertie en acceptant les ouvertures des frontières sans envisager de vraies mesures d’accompagnements de ces migrants vers d’autres choix que l’envahissement de l’Occident, encouragé par le jihad.
Nous assistons à une solidarité compréhensive mais combien inadaptée !
Dans ce dossier le gouvernement socialiste veut prendre sa part d’humanité, mais comment avec un chômage à son plus haut niveau, un endettement que l’on étouffe mais qui dépasse déjà notre PIB et une économie qui stagne.
Pourtant il y a d’autres façons de s’atteler au problème et de le résoudre.
- Eliminer le jihad d’Orient par une action terrestre internationale sous contrôle de l’ONU à laquelle il ne résistera pas.
- Retourner le problème de l’envahissement par une solution plus réaliste et concrète comme je l’aborde dans un de mes textes : « Pourquoi seulement nous ? », daté du 31/08/2015 : créer en Afrique noire, chez des pays amis des centres qui accueilleront ces migrants que nous renverrons après examen de leurs désidérata et de la validité de leur demande de réfugié politique.
Sous contrôle de l’ONU, que l’on n’entend pas sur ce sujet, nous résoudrons en partie ce problème d’invasion, sans pénaliser le rôle humanitaire de l’Occident.
Nicolas Sarkozy vient de reprendre l’idée... avec ce bémol : créer des centres au Maghreb ! C’est tenter le diable pour ces migrants sous la coupe d’une région infestée par Al Qaïda.
Je me permets cependant de saluer cette initiative d’un de nos hommes politiques...
Une solution nouvelle et réalisable... avec l’UE et l’ONU ?

Robert Charles PUIG / 05/09/2015

 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/09/lors-de-l-emission-c-dans-l-air-de-ce-lundi-7-septembre-a-la-question-posee-par-yves-calvi-la-france-peut-elle-accueillir-24-000.htm
Voilà un texte où apparait nettement l'ingratitude la plus abjecte à l'égard de compatriotes malheureux, d'un côté, et la charité la plus visqueuse de l'autre, lorsqu'il s'agit d'accueillir des étrangers. Et tout cela pour se racheter de cette calamiteuse repentance, dont on nous rebat les oreilles.

C'est le syndrome de Stockholm dans toute sa hideur, et surtout son incommensurable bêtise .

N. Lalanne

 
 
https://www.youtube.com/watch?v=aa8asUzPGr4&feature=em-upload_owner
 
 
 
https://drive.google.com/file/d/0B2w01Dk8VrM3N2N6eV9Kc0Z4N2c/view?usp=sharing_eid
 
 
Un ami réagit
 
 
 
Au nom de l'Islam en 1955, ce petit martyr n'a pas eu les honneurs de la Presse de l'époque...

Emotion unanime face à la photo de l'enfant syrien (?) noyé qui vient d'entrer à la postérité!
on aurait aimé la même indignation quand il s'agissait de cet autre enfant, encore plus jeune:

mais ce n'était "que" un petit Français d'Algérie égorgé par le FLN dont certains de nos politiques sont les amis et dont le drapeau est si souvent mis à l'honneur aujourd'hui en France !
cet enfant-là n'aura eu droit à aucune place dans la mémoire dite collective dans ce pays donneur de leçons et à la charité exclusivement exotique...
C.C.

 
 
http://ripostelaique.com/clandestins-machine-bien-huilee-tourne-a-plein-regime.html
 
 
 
 


Le reportage est en ligne

30/08/2015 AOBR TOULON CEREMONIE EN LA MEMOIRE DE TOUS NOS DISPARUS D ALGERIE SOLDATS HARKIS P.N. PAR GUY MONTANER
Amitiés
L’équipe
Emilie et Daniel

Guy Montaner
 
 
http://www.youtube.com/attribution_link?a=pgaFVNz2FyI&u=/watch?v%3D9TPiK0sd6m0%26feature%3Dem-upload_owner
 

Mesdames Messieurs les élus, présidents d'Anciens Combattants, de Français d'Algérie,


Merci d'être venus si nombreux, et parfois de très loin, aujourd'hui 30 août 2015 à Toulon, devant notre stèle des Martyrs de l'A.F.
Nous sommes là pour réparer une double injustice, faîte à nos chers Disparus et otages du FLN, dont on n'a plus de nouvelle depuis 19522 jours, à compter de cette mascarade de "cessez-le-feu" du 19 mars 1962.

Si, malgré la douleur et l'horreur de ce constat: on apprend, 53 ans après (suite aux travaux d'Historiens, et d'écrivains honnêtes) que si ces fameux accords d'Evian n'ont pas été respectés par le FLN, avec la complicité et le silence coupables de la France, c'était pour permettre à celle-ci, de posséder sa bombe atomique. Pour un certain général, qu'était-ce  tous ces milliers de morts pour rien, à partir de juin 1958, ces centaines de milliers de harkis massacrés, un million de personnes déracinées, à côté de sa fierté de posséder cette fameuse bombe atomique?

Mais le pire restait à venir: en 2011 lorsque la France a organisé à la demande de l'O.N.U., une journée mondiale d'hommage aux personnes disparues, pourquoi le gouvernement de cette époque a cru bon de ne pas comptabiliser "Nos Disparus"? Circulez, il n'y à rien à voir ! Lorsqu'on clique sur Google: "Disparus en Algérie" seuls apparaissent les noms de ceux de la deuxième guerre d'Algérie.  JJ.JORDI nous le rappelle, dans son livre "Secret d’État, les disparus civils européens en Algérie".

Entre temps, on nous a endormis par des déclarations comme celle d'André SANTINI du 1° juillet 1986: il promettait solennellement de s'occuper des disparus en Algérie...
Tout cela nous prouve que les Français d'Algérie n'ont vraiment pas de chance avec les Politiques, et que les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent!Il ne manquait plus que, la déclaration d'Isabelle PRIME le 07 août dernier qui a cru bon de dire, après sa libération : "La France n'abandonne jamais ses ressortissants!" 
Nous mettrons cela, sur le compte de sa jeunesse...

Mais à ceux qui nous traitent de "revanchards, haineux, passéistes, nostalgiques... nous répondrons, qu'ils ne pourront jamais comprendre notre douleur.Aussi, je terminerai par ces mots: "N'oublions jamais, pardonner,  encore moins!"
Je vous remercie

Hervé CUESTA

 
https://picasaweb.google.com/lh/sredir?uname=113365337472023741062&target=ALBUM&id=6189082907989407473&authkey=Gv1sRgCI3U-pbB-ff0Xg&feat=email
 
 
 
https://picasaweb.google.com/112961091018765267263/30Aout2015?authuser=0&feat=directlink
 
 
Le site de la fondation CDG comptabilise sans vergogne les unités de l'Armée d'Afrique dans les FFL!

http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1940-1944-la-seconde-guerre-mondiale/les-forces-francaises-libres/les-ffl/composition-des-ffl.php


Ce site indique pour mai 1945 un effectif de 1.250.000 pour les FFL. (Aussi menteur que le FLN et ses 1.500.000 "martyrs")

message envoyé hier sur le formulaire de contact de la fondation CDG:

"Je vous trouve culottés de récupérer sous le vocable FFL les divisions de l'armée d'Afrique (outil forgé par Weygand, Giraud, Juin) sur lesquelles les Français Libres crachaient en 42-43 et que les gaullistes plus ou moins autoproclamés ont longtemps ignorées et à qui ils ont reproché leur discipline à l'égard du maréchal Pétain! C'est assez malhonnête... Les Français d'AFN qui furent en proportion les plus nombreux dans les armées de la Libération attendent encore qu'on reconnaisse officiellement la part qu'ils ont prise et leur Monument aux Morts promis par Sarkozy en 2007!"

Clément CHARRUT Bayonne

 
 
http://www.infobae.com/2015/08/22/1750087-fotos-este-es-el-marroqui-que-intento-hacer-una-masacre-dentro-un-tren-francia


Infobae, site sud américain qui diffuse les nouvelles avant tout le monde, sans langue de bois ni auto censure, nous propose l'image du "présumé suspect du Thallys" dont on se demande quelles sont les motivations, car il n'était suivi et fiché que par 3 ou 4 pays, n'avait fait qu'un séjour en Syrie et allait à la mosquée comme tout un chacun. Son look montre qu'il n'était pas identifiable et sa kalachnikov évoquait plutôt un joueur de golf retour de compétition. Les psychologues qui se relayent à son chevet, essayent de savoir s'il s'était disputé avec sa femme la veille, si le Contrôleur ne lui a pas parlé de façon trop brutale et si les WC du wagon avaient encore du papier, le manque pouvant l'avoir contrarié alors qu'il chargeait sa kalachnikov. Quant à son cutter, il servait essentiellement à découper les pages du Coran, ce qui, espérons le, limitera sa garde à vue à 48 h au maximum, le temps d'aviser ses parents à Tétouan que le "jeune homme" de 26 ans est sain et sauf, après l'agression inqualifiable des Marines US.

Pierre BARISAIN

 
 

Monsieur Raymond a raison; il n'y a sûrement plus de Français prisonniers des tristes héritiers des égorgeurs du FLN. Ils sont certainement morts après une captivité inhumaine, dont ni De Gaulle ni ses séides ne se sont préoccupés le moins du monde.
Tant qu'il y aura des hommes d'honneur pour rappeler leur sort et leurs souffrances, ils vivront dans notre souvenir pour la honte de ceux qui travestissent la vérité.

Geneviève de Ternant 21 août 2015

 
 
 
 

En ce 30 août 2015 que va faire le Gouvernement français pour enfin apporter un peu de lumière sur les disparitions de Français survenues sur son territoire, en Algérie, entre 1954 et 1962 et au-delà sur le territoire de la République algérienne ? Le Gouvernement va-t-il enfin rompre le silence et informer sur le sort subi par les si nombreuses personnes enlevées ?
Va-t-il enfin admettre publiquement la responsabilité de l’État français?

 
 
Bulletin d'humeur n° 159 de jeudi 20 août 2015, intitulé : " 20 août 1955 : massacre des Français à El-Halia par le FLN algérien....c'était déjà le jihad !".


En espérant qu'il suscitera votre intérêt et que vous apprécierez les suivants.

Michel SALANON

Chronique « Le phare fouilleur »

 
 
A l'approche du 30 août 2015, journée mondiale des Disparus organisée par l'ONU, il est bon de rappeler que Nos Disparus de la 1° guerre d'Algérie (1954/63), sont oubliés...
 
Discours de Monseigneur MOLINAS, le 30 août 2013
Discours du Révérend Père Jean Paul ARGOUAC'H
 
 
Les gouvernements français et algérien ainsi que l'O.N.U., prétendent que nous n'avons pas eu de Disparus... Ne les oublions pas une fois de plus!!
 
 
Hommage aux Français d'Algérie de Maison-Carrée, près d'Alger qui sont venus en aide financière à la ville de Péronne en 1920
Lire ces 2 pièces-jointes pour comprendre ce nouveau diaporama:

https://youtu.be/SD-KfYMSHoA

Bravo à Pierre LEFEBVRE pour sa pugnacité et son action!

 
 
Si tous les Maires de France, avaient ce courage...
https://youtu.be/BknYLYlAV-0
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/08/ces-menteurs-qui-nous-gouvernent-suite-et-fin.html
 
 
Pour ouvrir les yeux de certains Métropolitains
https://youtu.be/qo0grDc3J7k
 
 
Honte, aux gaullistes!
http://magoturf.over-blog.com/2015/08/ces-menteurs-qui-nous-gouvernent.html
 
 

Bonjour
Suite à certaines informations, il semblerait que le film présenté lundi soir en la Basilique du Sacré Coeur à Marseille n'ait pas été visualisé par certains.
Pour parer à cet incident ....Le Film est en ligne sur le net:


https://youtu.be/tMQkTyfwQlE


Guy MONTANER
DANMARLOU - AOBR

pour ceux qui souhaitent conserver une trace , un souvenir... un DVD est disponible

AOBR
16 rue du docteur Acquaviva _ 13004 - Marseille
12 € par chèque

 
 
Pour les amnésiques (Il y a 21 ans, M. Poniatowski (ancien ministre) écrivait ces lignes…)
Poniatowsky a signé comme Ministre de Chirac sous la présidence de Giscard, le décret sur "le regroupement familial", tout comme Simone Veil, Sauvagnargues, Durafour.

Cette loi catastrophique a été le commencement du déferlement migratoire.

Alors faire en boucle, l'apologie de la " claivoyance" de cet homme est incompréhensible !

Décret du 29 avril 1976,

signé par le Premier ministre : Jacques Chirac. Le ministre du travail, Michel Durafour.
Le ministre d'État, ministre de l'intérieur, Michel Poniatowski. Le ministre des affaires étrangères, Jean Sauvagnargues. Le ministre de la santé, Simone Veil. »

 
 
http://ansfac.org/Personalites/guillaume.html
 
 
 
 
Et, nos Otages??
http://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/isabelle-prime/isabelle-prime-derniere-otage-francaise-dans-le-monde-a-ete-liberee_1032827.html
 
 
INVITATION

CONGRES DE VERITAS 2015Chers Compatriotes et Amis
Nous venons d'obtenir l'accord de Robert MENARD pour l'organisation du Congrès de VERITAS au Palais des Congrès à BEZIERS le 12 Septembre 2015 à 14 heure.

Son action, ses discours, ses positions tranchées nous redonnent l'espoir. Aussi, en dehors de toutes polémiques,  une présence massive de nos compatriotes est souhaitée pour lui prouver que ses prises de positions courageuses ont l'adhésion d'une majorité de Français confrontés au plus grand défi que nous impose une gauche dont l'irresponsabilité dépasse, par son ampleur et ses conséquences prévisibles, celle que nous avons vécu en Algérie. Robert MEMARD est un compatriote qui fait face efficacement, par son aura médiatique Nationale, à ces Associations mortifères "droit de l'hommiste à sens unique", à ces partis et à certains médias promoteurs des nouveaux porteurs de valises de cette engeance allogène religieuse invasive qui, sans retenue, veut nous imposer une idéologie qui ensanglante actuellement notre pays et le monde.VERITAS ne revendiquera jamais le succès d'une adhésion massive à son Congrès car, par votre présence,  c'est à Robert MENARD que vous apporterez ce soutien dont il a un besoin vital pour mener à bien son action pour un sursaut national qui nous concerne tous. Alors notez bien: Samedi 12 septembre 14 h BEZIERS, Palais des Congrès -Salle Yves NAT.Fraternellement
A.ALGUDO
Vice Président de VERITAS
Président CDFA/UCDARA 

 
 

Hommage au Général Jouhaud
Il y a vingt ans disparaissait le Général Jouhaud

>

> Le général Edmond Jules René Jouhaud, est né le 2 avril 1905 à Bou-Sfer, à une vingtaine de kilomètres d’Oran en Algérie. Il nous quittait le 4 septembre 1995, inhumé à Royan où il reçu les hommages nationaux, laissant un grand vide dans la communauté des rapatriés d’Algérie pour laquelle il s’est tant battu.

> C’était un général d’armée cinq étoiles.

> Né de parents instituteurs, à Bou-Sfer, il est le benjamin d’une famille de six enfants, originaire de Limoges, établie en Algérie en 1870.

> Il fait ses études primaires à Bou Sfer, puis obtient le baccalauréat au lycée Lamoricière à Oran. Edmond Jouhaud entre à Saint-Cyr en 1924 ; il en sort en 1926 et est affecté au 35e régiment d’aviation

> Promu général de brigade aérienne en 1949, il commande les forces aériennes tactiques en Afrique du nord, puis l’école des mécaniciens de l’armée de l’air. En 1951, il est nommé commandant de la 1re région aérienne, puis désigné auditeur au Centre des hautes études militaires. En 1952, il est nommé commandant de la 1ère division aérienne puis commandant des forces aériennes françaises en Allemagne.

> En 1954, promu général de division aérienne, il dirige l’armée de l’air en Indochine. De retour en métropole, il est nommé major général de l’armée de l’air puis, le 1er février 1955, chef d’état-major des forces de l’armée de l’air. Général de corps aérien en 1956, il prend le commandement de la 5e région aérienne en Algérie en 1957 et devient adjoint inter-armées au général Salan, commandant supérieur interarmées en Algérie.

> Général d’armée aérienne en 1958, il est chef d’état-major de l’Armée de l’air

> Le 22 janvier 1959, Edmond Jouhaud participe à un comité des affaires algériennes où de Gaulle lui demande : « Jouhaud, n’est-ce pas que c’est moi qui ai raison dans la politique algérienne ? » Jouhaud lui répond : « Mon général, je suis navré, mais je suis en désaccord avec vous. »

> Et le général de Gaulle dira un jour au général Ollié : « Jouhaud m’a bien énervé avec sa franchise mais il a eu le courage de me dire ce que tous les autres pensaient. »

> Le fait est que, installé aux commandes. Le nouveau chef de l’État (De Gaulle) nomme Jouhaud « commandant opérationnel » en Algérie, avant de faire de lui le chef d’état-major de l’armée de l’air, le 19 septembre 1959 , puis, en 1960, inspecteur général de l’armée de l’air

> Mis en disponibilité sur sa demande en 1960, il participe au coup d’état d’Alger du 21 au 25 avril 1961 avec les généraux Challe et Zeller, bientôt rejoints par le général Salan. Après l’échec, il plonge dans la clandestinité et devient l’adjoint du général Raoul Salan à la tête de l’organisation armée secrète, responsable de la région d’Oran.

> Arrêté le 25 mars 1962, il est condamné à mort le 13 avril 1962 par le Haut tribunal militaire.

> Après sept mois passés dans une cellule de condamné à mort, il échappe de très peu à l’exécution : de Gaulle le gracie le 28 novembre 1968, grâce à une intervention de Jean Foyer, et parce que Pompidou, Sudreau, Giscard, Pisani… auraient mis leur démission dans la balance ; sa peine est commuée en détention à perpétuité ;

> 1967 : il quitte la prison de Tulle en décembre ;
> 1969 : il bénéficie d’une amnistie en juillet ; il est élu président de l’association nationale des rapatriés (FNR) ;
> 1982 : il est réintégré dans les cadres de l’armée

 
 
http://www.dreuz.info/2015/06/22/voyage-en-algerie-francois-hollande-ne-nous-aime-pas-ecrivent-les-medias/
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/08/condamne-par-la-france-honore-par-l-algerie-maillot.html
 
 
http://popodoran.canalblog.com/archives/2015/08/03/32438443.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=popodoran
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=-jKW8GmRkIA

Si nous ne bougeons pas...

 
 
Voici ce que sont devenues les plages de nos ex-beaux départements d'Algérie... Une HONTE.

L'Algérie (actuelle) vue du ciel et l'Algérie (actuelle) vue de près ce n'est pas pareil !!!

Voir la vidéo de dailymotion: http://www.tsa-algerie.com/20150728/bousmail/

 
 
Le Colonel Broizat disait : « Plus que garder l'Algérie à la France, je voulais garder la France à l'Algérie »
http://www.huffpostmaghreb.com/2015/07/21/chu-constantine_n_7842262.html
 
 
http://www.bvoltaire.fr/manuelgomez/cest-de-cette-facon-quen-juillet-1962-on-traita-rapatries-dalgerie,196541
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/07/les-pieds-noirs-a-la-mer.html
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=8DBVlwqN7Zw
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=mmKNN6Ibq-U
 
 
 
 
 
 
http://www1.alliancefr.com/uncategorized/la-fin-de-lalgerie-francaise-et-les-juridictions-dexceptions-de-raphael-drai-6021100
 
 
http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LaCulture/celebrites.htm
 
 
 
 

Raphaël Draï s’est éteint ce vendredi 17 juillet 2015 à son domicile parisien des suites d’une maladie grave.

Ses obsèques auront lieu en Israël.


J'en ai le souffle coupé
c était un homme de principe, mais sans dogmatisme le regard facétieux un homme bon et combien travailleur et donc prolifique sa défense d' Israël ne lui ont jamais fait oublier ses frères et sœurs pieds noirs

quelle perte !
jp lledo

 

Cette nouvelle, totalement inattendue, nous tétanise. Nous avions fait sa connaissance en décembre 2013, à l’occasion des Journées Européennes de la Culture Juive organisées à Metz.

Il avait accepté d’ajouter son nom sur notre pétition et nous avait parlé de cet excellent petit livre qui vient de paraître. Nous nous apprêtions à reprendre contact avec lui pour une conférence au Cercle de Reims.

Un grand juriste, un grand universitaire et, pour tout dire, un grand Monsieur nous quitte. Une seconde perte en peu de temps pour le monde PN et algérianiste après la disparition de Jean-François Mattei en mars 2014.

Cordialement à tous.


Jean-Pierre Pister et Danielle

Chers amis

C'est avec une profonde tristesse que je viens d'apprendre le décès de Raphaël Drai.
Son dernier livre est remarquable, il y a pris beaucoup de risque.

Cordialement
Georges BELMONTE

 

Bien triste nouvelle, un grand monsieur Raphaël DRAÏ , un ami de jeunesse à Constantine, lui éclaireur israélite de France et moi scout catholique de France....... Quand je pense qu'il y avait aussi des scouts musulmans de France ! ! Nous nous retrouvions malgré la guerre, pour des rassemblements scouts inter-religieux et lui avec son chef Gérard Mamann était de ceux qu'on n'oublie pas. On était au même bahut, ami dans la cour car il était mon aîné de 2 ans. Mon dernier fils a eu la chance de l'avoir comme prof à Sc- Po Aix ce qui m'avait rapproché de lui au moment où il écrivait un livre sur sa jeunesse et sa famille à Constantine ( le Pays d'avant) et recherchait des amis communs.

Sur les plateaux TV il était un défenseur acharné, tempéré mais surtout brillant de la cause de tous les pieds noirs et quand je l'ai connu dans la fougue de sa jeunesse, c'est aussi avec ses poings qu'il savait défendre ses idées .
Dans le contexte que nous vivons il va beaucoup nous manquer .

Paix à son âme!

Jean-Paul SPINA

 
http://www.judaicalgeria.com/pages/raphael-drai.html
 
 
Association Nationale des Français d’Afrique du Nord, d’Outre-Mer et de leurs Amis
(A.N.F.A.N.O.M.A.) 4 rue des Arènes 75005

LETTRE OUVERTE DU 8 / 7 AU PERE ALDO, RECTEUR DE LA BASILIQUE
NOTRE-DAME D’AFRIQUE A ALGER

A Monsieur l’Abbé Marcello ALDO Recteur de la Basilique
NOTRE-DAME D’AFRIQUE ZIGHARA ALGER - ALGERIE
Monsieur l’Abbé,
Nous apprenons que vous avez ouvert les portes de la Basilique si chère à notre cœur de Français « Rapatriés » pour accueillir un concert de musique andalouse donné par M Farid Khodja, spécialiste reconnu venu de Blida pour l’occasion. Nous n’ignorons pas la difficulté de votre mission et sommes très conscients du mérite qui est le vôtre de maintenir une présence chrétienne en terre devenue très majoritairement musulmane. Mais présence n’est pas synonyme de compromission.

Nous n’aurions pas eu de commentaire particulier sur cette initiative d’ouverture devenue de règle dans notre Eglise, si la date choisie n’avait été celle du 5 juillet dernier.
Anniversaire de liesse pour la population devenue algérienne ce jour-là, en 1962… rappelant à s’y méprendre le déferlement de la foule venue de la Casbah sur le Forum d’Alger quatre ans plus tôt, le 13 mai 1958, toujours gravé dans notre mémoire de Français d’Algérie. Phénomène bien connu de versatilité des foules. ..
Anniversaire d’horreur pour nous, chassés d’une terre qui était aussi la nôtre, livrés sans protection à la vindicte générale et contraints à un exode de masse qui nous a tous marqués, au fer rouge.

Il est possible, bien que peu vraisemblable, que vous ignoriez les détails des massacres qui ont ensanglanté Oran et sa région le 5 juillet 1962. Sachez combien nous voudrions le croire, très sincèrement.
Il serait en tout cas grand temps que vous vous informiez du déferlement de passions, de haine et de cruauté qui, à cette date précise s’est emparé d’une populace déchaînée et avide de sang. La chasse à l’Européen a été ouverte au faciès et a duré des heures avant que l’armée française, consignée dans ses cantonnements ne se décide à intervenir. Des centaines et des centaines de personnes ont été massacrées ou, pire encore, enlevées et ont disparu à jamais… Chacun de nous prie encore aujourd’hui pour que leur mort ait été la plus rapide possible…
Vous comprendrez dans ces conditions combien votre décision, assortie des commentaires qui vous ont été prêtés par la presse algérienne, pour qui vous auriez «  estimé que le choix de la date du concert était une manière de fêter l’anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, la liberté retrouvée et l’unité du pays» a pu nous heurter. Que vous l’ayez voulu ou non, vous avez réveillé en nous des réactions de colère légitime car jamais, aucun de ces criminels n’a demandé pardon pour les abominations commises ce jour noir.

Notre Basilique, édifiée par nos aïeux, et dont nous gardons le souvenir pieux au fond de notre cœur, ne méritait pas cet affront. Et, malgré tout le respect que nous devons à votre fonction, nous avons le devoir de vous demander de prier pour obtenir le pardon de nos Martyres dont la mémoire a été ainsi offensée.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur l’Abbé, l’expression de notre fidélité à nos Morts qui n’ont pas trouvé de sépulture ou dont le repos est hélas trop souvent troublé sur cette terre devenue hélas impie, du moins dans ce domaine particulier.
En union de prière

 
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=DVX4C5BwEc4&feature=youtu.be
 
 
Retour sur les accusations de Roger HILEL.
 
Monsieur le Rédacteur en Chef,
L'article paru dans votre édition du 3 juillet a retenu toute mon attention et je ne m'attarderai pas sur les élucubrations de Roger HILEL. Je ne sais pas si PERPIGNAN est devenue Capitale de l'Algérie Française mais, avec ses amis progressistes, ils devraient, forts de leurs convictions, se trouver en cette Algérie Algérienne pour essayer d'oeuvrer pour ce pays où nous PN avons été et restons ici, d'après eux, les esprits malfaisants.

En relation régulière avec des amis Algériens et à travers la presse Algérienne elle même, nous savons ce qu'est devenue l'Algérie d'aujourd'hui : corruption généralisée, saleté endémique, fuite éperdue. Mais voyez vous nous PN ne faisons pas parti de ceux qui, insultants de surcroît, MANIPULENT l'histoire à leur manière, nous constatons seulement que cette Algérie, ce bijou dans son écrin que nous avons laissé a disparu, et que l'écrin est devenu une vaste poubelle où ont leur place ces révisionnistes communistes dont le courage ne va pas jusqu'à un engagement, vivant sur place, aux côtés de ceux dont ils ont porté les valises.

Alain ALGUDO
Président CDFA/UCDARA
Vice Président du Comité VERITAS

 
 
 


Il est curieux que l'Algérie laisse publier des visions de la repentance qui ne sont pas celles du FLN et de leurs complices.

M. Faivre


Et dans « Le quotidien d’Oran », Ahmed Farrah :

« Le malheur d’une certaine frange d’Algériens (les vieux) c’est d’avoir des repères que les jeunes n’ont pas. L’indépendance a fait la fierté de notre peuple, mais peut-on, aujourd’hui, parler de fierté en Algérie alors que la régression est partout visible à rendre myope ? Le temps des bibliothèques scolaires et municipales, des librairies et des grandes éditions, des bouquinistes et des kiosques dans les villes et les villages. Le temps de la lecture et de la culture. Le temps où le maitre d’école en blouse grise était le notable et le modèle. Le temps de l’obligation de sortir les poubelles à la tombée du jour et de les rentrer avant le passage de l’arroseuse communale qui nettoyait les rues. Le temps des denrées bien achalandées dans des lieux nets, propres et astiqués. Le temps de la pudeur, du respect, où l’on n’importunait pas les femmes dans les bus. Le temps des vertus et de l’honnêteté. Le temps des solidarités entre voisins qui partageaient ce qu’ils avaient. Il n’est nullement question de sentiments nostalgiques « pieds-noirisés », ni de l’idéalisation d’un passé décomposé (qu’est-ce que ce serait alors ?) mais simplement de rappeler que l’Algérien était alors travailleur, laborieux, appliqué, consciencieux, bien élevé, respectueux, sociable, pacifique et civilisé. Une fois le « colon » chassé où en sommes-nous un demi-siècle plus tard ? On récolte ce que l’on a semé !

 
 
 
 


En hommage aux "pieds-noirs".......


Il était une fois des milliers de petits garçons et filles vivant en Algérie, dans les milliers de villes et villages répartis sur tout le territoire qui allaient à l’école, grandissaient, jouaient, ne se doutant pas un seul instant de la catastrophe qui les attendait. Car, il faut bien parler de catastrophe humaine, provoquée par l’exil et les dommages collatéraux qui ont suivi.
Mais le Peuple pied-noir a hérité de ses ancêtres toutes leurs qualités, celles des pionniers.

En venant en France, ou ailleurs sur la planète, il ne s’agissait plus de défricher des terres incultes, d’assécher des marais, de lutter contre le climat et les maladies, de bâtir un pays. Il s’agissait de construire sa vie, sa famille, de faire sa place.
Tous l’ont fait, dans l’honneur et la droiture, dans l’amour du travail bien fait, dans le respect de la parole donnée.
Maintenant, que tous ces petits garçons et ces petites filles sont devenus vieux, ils témoignent. Les sites qu’ils ont créés sont nombreux, émouvants. Tous recréent cette vie d’avant, cette vie où ils étaient jeunes, insouciants et installés dans leur terre natale pour mille ans.


Nous sommes des «Muhadjirouns» des exilés, des vrais sans espoir de retour, sans espoir tout court. Seuls restent nos souvenirs amplifiés par la nostalgie, que nous partageons à longueur de page sur le web ou dans des milliers de livres édités souvent à compte d’auteur. Nos publications deviennent nos racines. Elles veulent remplacer celles qui furent coupées brutalement l'année maudite de 1962.

Qui peut nous comprendre? Rares sont les hommes et les femmes de bonne volonté qui puissent accéder à comprendre cette souffrance.

Mais malgré tout cela, le peuple pied-noir qui va disparaître, comme toute chose vivante d’ailleurs, ne perd pas son caractère. Cette joie de vivre, cette bonne humeur et ce bruit qui le caractérise. Ce bruit de la parole et du geste dont on lui fait reproche encore aujourd'hui. Ce bruit qui cache ses pudeurs, ses tristesses et sa peine immense de l’Algérie perdue. Ce bruit qui est notre marque de fabrique.
Ces milliers de petits garçons et de petites filles se retrouvent maintenant autour de la toile, partageant leurs textes d’avant, recroquevillés ensemble comme pour se tenir chaud dans leurs derniers moments. Leurs histoires, nos histoires seront les monuments de notre patrimoine national. On les visitera comme on visite un château perdu. Leurs enfants, leurs amis, les anonymes profiteront de ce jour annuel du patrimoine pour leur rendre l’hommage qui convient.

Notre histoire est grandiose, nous étions des petites gens, nous sommes devenus grands. Malgré toute la rancœur que nous pouvons nourrir contre les politiques d’antan, la France nous a permis de vivre de manière économique sociale et culturelle en échange nous lui avons donné nos grands pères, nos pères nos frères pour la défense de sa liberté. Dans la France ce grand pays nous avons reconstruit nos familles, nos vies. A l'heure des bilans nous pouvons être fiers de nous.

Vive le Peuple Pied-Noir dont je suis.

 
 
 
 
 
 

http://nice.algerianiste.free.fr/pages/new8.html

http://nice.algerianiste.free.fr/pages/juillet2015/Nice_5juillet2015.html

http://nice.algerianiste.free.fr/pages/juillet2015/Menard_5juillet2015.html

http://nice.algerianiste.free.fr/pages/juillet2015/rubans_noirs.html

 
 
http://therese-zrihen-dvir.over-blog.com/2015/07/j-accuse-hollande-de-haute-trahison.html
 
 
Les rubans noirs.
https://youtu.be/tMQkTyfwQlE
 
 
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/07/des-sanctions-sont-attendues-a-tous-les-niveaux.html
 
 
Réponse de Thierry ROLANDO à Roger HILLEL.
 
 
 
 
http://oran1950.free.fr/AOBR/AOBR%202015/AOBR%202015%2007%2005%20MARIGNANE%20CEREMONIE%20CONTRE%20L%20OUBLI%20DU%205%20JUILLET%201962%20A%20ORAN/index.html
 
 
http://oran1950.free.fr/AOBR/AOBR%202015/AOBR%202015%2007%2005%20AIX%20EN%20PROVENCE%20CEREMONIE%20CONTRE%20L%20OUBLI%20DU%205%20JUILLET%201962%20A%20ORAN/index.html
 

Mesdames, Messieurs, chers amis,


Nous voici, une nouvelle fois, en ce 5 juillet, dans ce cimetière, devant cette stèle, une nouvelle fois au rendez-vous de la fidélité.
Le 5 juillet n'est pas une date comme une autre de la guerre d'Algérie. C'est le jour du plus grand massacre de cette guerre. Un massacre qui ne doit rien aux combats mais tout à la cruauté d'une
populace haineuse et à l'impuissance voulue, volontaire, décidée d'une armée aux ordres d'un gouvernement félon.

Eh oui, lorsque l'on prend le pouvoir grâce à l'Algérie française, lorsque l'on fait le serment de la conserver, lorsque des milliers d'hommes croient ce serment fait au nom de la France et en perdent la vie, oui, on est un gouvernement félon.

Cette stèle n'est pas une stèle comme les autres. C'est celle des victimes de ce massacre. Mais également la stèle de ceux qui ont combattu jusqu'à la mort pour l'Algérie française.
Ce rendez-vous n'est pas, cette année, un rendezvous comme les autres. La décapitation sur notre sol d'un civil Français par un islamiste nous rappelle, nous renvoie à celles des harkis en 1962. Comme si les mensonges, les abandons de jadis ne servaient jamais, jamais de leçon ! Voilà pourquoi, nous savons ce qui nous réunit ici, ce matin. Nul besoin de grands discours pour ceux qui ont leur mémoire dans leur peau, pour ceux à qui l’on a arraché la part essentielle d'une vie : l'enfance, la jeunesse, ses paysages, ses odeurs, ses cimetières.


Nul besoin d'explications pour tous ceux qui, ayant vécu le cauchemar de 1962, ont toujours redouté qu'il nous rattrape un jour, ici, sur cette rive de la méditerranée.
Ils peuvent nous couvrir de leurs injures, les sots, les traîtres qui prétendent que nous sommes ici pour une revanche, pour réécrire l'histoire. Il fallait les voir le 17 mars dernier hurler à
l'ombre
d'un drapeau du FLN parce que nous inaugurions une rue du commandant Hélie de Saint Marc. Ils n'ont même plus l'excuse de combattre les injustices de l'Algérie de 1954. Ils n'ont même plus
l'excuse de l'ignorance. Ce qu'est devenu ce pays après notre départ ne leur a décidément rien appris. Ils ont la traîtrise dans le sang. Après avoir vendu l'Algérie française, ce sont les mêmes qui s'apprêtent maintenant à livrer la France.

Albert Camus disait qu’entre la justice et sa mère, il choisissait sa mère. Eux sont de ceux qui abandonnent leur mère ! Mais Dieu merci, ils ne sont désormais qu'une poignée que les temps qui viennent finiront par balayer. Face à eux, en tous lieux et en toutes époques, il faut s'extraire de cette boue pour aller à l’essentiel. Et l'essentiel, c'est que tous ici, plus de soixante ans après, nous réclamons toujours justice. Oh non, nous ne voulons pas d'argent. Nous ne voulons pas davantage d'une nouvelle journée de commémoration, une de ces journées au cours desquels des représentants de l’État ânonnent des textes d'une platitude atterrante. Nous ne voulons pas, non plus, que le président de l'Algérie nous présente des excuses. Il n'en fait même pas à son propre peuple, alors ne rêvons pas…


Ce que nous voulons, c'est la vérité, la simple reconnaissance des faits. Nous la voulons au nom de notre nation et par notre nation. Nous la voulons dans les livres. Nous la voulons dans les programmes de télévision. Nous la voulons à l’école. Nous la voulons au grand jour. Nous ne voulons pas l'asséner. Nous ne voulons pas l’imposer. Nous, nous acceptons la confrontation, la
discussion, le débat, parce que nous savons que les faits, nous savons que les chiffres, nous savons que nos vies et que nos morts parlent pour nous.

Nous voulons cette place qu'on nous refuse, que les historiens officiels, à la manière d'un Benjamin Stora, nous refusent. Eux dont on peut se demander s'ils sont des historiens français ou des thuriféraires attitrés du FLN… Alors pourquoi nous refuse-t-on cette vérité ? Ce que nous avons à dire est-il donc si étranger à notre pays ? Ou, plutôt, étranger à ce nouveau pays que l'on
invente chaque jour à Paris, à Bruxelles, et qui n'est pas la France, et qui, au contraire, travaille à la détruire, s'acharne à nier son histoire et même son existence. Notre rassemblement veut la justice. Et pour la justice, nous sommes prêts à nous battre. Nous ne sommes pas ici pour nous complaire dans la douleur, nous sommes ici des combattants au service de notre peuple et de notre nation.


Encore un mot. En ce jour, nous ne rendons pas seulement hommage à des morts. Morts dans des conditions atroces mais dont les familles ont pu faire le deuil. Et Dieu sait qu’il en coûte…
Nous ravivons aussi – j’allais dire surtout - la mémoire de disparus, d’hommes et de femmes dont les gouvernements français ont nié jusqu’à l'existence en ne cherchant jamais, jamais la vérité à leur sujet, à leur égard. Nous honorons des Français que l'Etat français, que l'armée française a abandonné à leurs bourreaux alors même qu'ils pouvaient, qu’ils devaient les protéger. Nous rappelons le souvenir d'une lâcheté organisée, d'un abandon absolu, d'une fuite abjecte.

Pour finir d'enterrer les morts, il faut les faire entrer dans l'histoire. Nous sommes ici les fils et les filles d'une histoire qui n'est pas terminée. Nous sommes les héritiers d'une tâche à accomplir. La
France a abandonné les disparus d'Oran. Nous ne les oublierons jamais. Comme nous n'abandonnerons jamais la France parce que nous savons que notre pays n'appartient qu'à ceux qui l'aiment assez profondément pour tout lui donner.

Et nous sommes de ceux-là. Nous sommes de ceux qui donneront tout. Et, donnant tout, alors, peut être, recevrons-nous notre nourriture d'homme, la seule nourriture qui vaille : la fierté, l'honneur, la joie du devoir accompli.
Vive l'Algérie française qui garantissait la France française !


Vive la France !

 
 
https://youtu.be/D5vuL1_4W4k
 
 
 
 
https://picasaweb.google.com/112961091018765267263/5Juillet2015NOublionsJamaisLeMassacreDu5Juillet1962AOran?authuser=0&feat=directlink
 
 
http://forgalus.free.fr/LE%20COIN%20DE%20GUY%20MONTANER/RUBANS%20NOIRS%20CONTRE%20L%20OUBLI%20DU%205%20JUILLET%201962%20D%20ORAN/index.html
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/07/5-juillet-1962-a-oran-un-crime-d-etat-suite.html
 
 
 
 
 
 
http://www.ndf.fr/poing-de-vue/04-07-2015/mon-5-juillet-2015-loin-des-pompes-octroyees
 
 
Faites une photo, votre photo et adressez la leur afin quelle rejoigne
notre témoignage, notre pensée pour ces jours là....le 5 n'étant pas une date butoir ! .

Combien serons nous ???

Guy MONTANER

http://forgalus.free.fr/LE%20COIN%20DE%20GUY%20MONTANER/RUBANS%20NOIRS%20CONTRE%20L%20OUBLI%20DU%205%20JUILLET%201962%20D%20ORAN/index.html
 
 
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/07/le-sac-de-pasqua-au-service-de-de-gaulle-9.html
 
 
Si Elise LUCET vous demande de signer sa pétition, rappelez-lui le lien plus bas: merci
 
http://algerie-francaise.org/cgi-bin/ultra/UltraBoard.pl?Action=ShowPost&Board=board2&Post=41&Idle=0&Sort=0&Order=Descend&Page=19&Session
 
 
Voici le texte intégral de l’intervention d’Éric Zemmour au tribunal correctionnel de Paris le 24 juin dernier.

> Je vous avoue que j’ai longuement hésité à venir à l’audience. Mon avocat me déconseillait plutôt de me déplacer, pour conserver, disait-il, aux débats leur caractère technique.

> J’ai décidé pourtant d’assister à cette audience. D’abord par respect des magistrats, de la cour, et au delà des institutions de la République. Mais aussi par curiosité. Je voulais comprendre ce qu’on me reprochait. Comprendre quelle loi ou quelle partie de la loi j’avais enfreint. Après tout, nul n’est censé ignorer la loi. Je voulais comprendre pourquoi le procureur, le représentant de l’Etat, m’attaquait pour des propos qui ne faisaient pourtant que décrire des faits, une réalité, amplement retranscrite: «des bandes étrangères venues d’Europe de l’Est écument notre pays», ça passe; mais quand on dit: «des bandes de tchétchènes, Kosovars, Roms dépècent, dévalisent, violentent, ou dépouillent», ça ne passe pas. Lui n’est pas déféré, moi, je le suis.

> Je comprends bien le point de vue du procureur : il favorise la concision. L’ellipse est préférée à la description clinique. Madame le procureur préfère la pudeur des impressions à l’impudeur du réalisme. Mais cette querelle littéraire est-elle de la compétence de ce tribunal ? Il faut alors qu’elle aille au bout de cette logique littéraire. Qu’elle m’indique les bons mots et les mauvais mots, les mots autorisés et les mots interdits. Qu’elle redéfinisse les canons de la profession de journaliste. Que celui-ci ne soit plus tenu d’informer de ce qu’il voit, mais d’abord d’informer ce qu’il ne voit pas, mais qu’il est bon de voir.

> J’avoue ma perplexité. Je n’ose penser que ce ne sont pas les mots qui comptent, mais ma personne. Il y a quatre ans, le procureur m’avait expliqué que ma notoriété fort grande avait pour corollaire une responsabilité aussi grande. Je constate qu’en quatre ans, j’ai encore pris du galon, puisque je suis davantage responsable, et donc davantage condamnable, qu’un ministre de l’intérieur lui-même.

> Mais j’ai compris en écoutant avec soin ces débats, que ce ne sont ni mes mots ni ma personne qui importaient, mais mes pensées. Même pas mes pensées, mais mes arrière-pensées. Dans le passé, nous avions ainsi le tribunal de l’Inquisition qui dénichait la persistance des pensées hérétiques chez des marranes convertis au catholicisme. Nous avons eu plus récemment les grands procès staliniens qui traquaient les intentions contre-révolutionnaires.

> A la suite de la parution de mon livre, le Suicide français, le premier secrétaire du parti au pouvoir avait dénoncé la zemmourisation de la société. Le premier ministre avait expliqué que mon livre n’était pas digne d’être lu, le ministre de l’Intérieur avait appelé à manifester contre moi, et le président du groupe socialiste à l’Assemblée Nationale avait sollicité de mes employeurs qu’ils mettent fin à mes collaborations à leurs medias. Marie-Anne Chapdelaine, Une députée d’Ille-et-Vilaine, me chassait carrément de France : «Monsieur Zemmour, la République, on l’aime ou on la quitte ». Aujourd’hui, je vis la version judiciaire de cette offensive médiatico-politique. On prétend faire du droit, mais derrière les arguties, ce n’est qu’une bataille politique pour me faire taire.

> Il y a six mois, des millions de Français défilaient dans la rue pour défendre la liberté d’expression. Les malheureuses victimes de Charlie Hebdo avaient subi aussi une condamnation judiciaire venue d’un tribunal islamique qui les avait condamnés à mort pour blasphème. Si je comprends bien ce qui m’est reproché, la liberté d’expression, c’est bon pour les dessinateurs de Charlie, mais ce n’est pas bon pour moi. Parce qu’eux sont gentils, et moi, je suis méchant. Eux ont des bonnes arrière-pensées, et moi j’en ai de mauvaises. Si je comprends bien, nous vivons toujours sous le règne de la phrase de Saint-Just : «pas de liberté pour les ennemis de la liberté». Cela s’appelait la Terreur.

> Eric ZEMMOUR

 
 
http://www.liberation.fr/societe/2015/06/25/attentats-de-charlie-la-messe-aura-finalement-lieu-au-lavandou_1337038
 
 
STOP AUX MENSONGES DU FLN ET DES COMMUNISTES FRANCAIS
http://magoturf.over-blog.com/2015/06/l-algerie-apres-un-demi-siecle-d-independance.html
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/06/le-temps-beni-des-colonies.html
 
 
 
 
BRAVO ERIC ZEMMOUR!
C’est devenu un proverbe dans le Maghreb : “Bats la France tous les matins, si tu ne sais pas pourquoi, elle elle le sait.......” :
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Suite à certaines informations, il semblerait que le film présenté lundi soir en la Basilique du Sacré Coeur à Marseille
n'ait pas été visualisé par certains.
Pour parer à cet incident ....Le Film est en ligne sur le net
https://youtu.be/tMQkTyfwQlE
 
 
Envoyé le : Mercredi 10 juin 2015 15h02
Objet : Fwd: Saint-Fons : « on va faire Charlie Hebdo sales Français de merde »

Pour le coup, celle-ci est est très bonne : la fédération communiste d'anciens combattants FNACA qui n'a de cesse de valoriser le FLN se voit agressée par les rejetons de ce dernier.


9 juin 2015
Saint-Fons : « on va faire Charlie Hebdo sales Français de merde »
Les faits se sont déroulés dimanche après-midi près du quartier des Grandes Terres à Saint-Fons près de Lyon.
Comme chaque année la FNACA (fédération des anciens combattants en Algérie) de Saint-Fons organise un pique-nique. Mais cette fois, rien ne n’est passé comme prévu.
Alors que les tables avaient été installées à l’ombre des arbres juste à côté du terrain municipal d’un immeuble, une pluie de projectiles s’est abattue sur les convives : des bouteilles de bière et de whisky vides, des manches à balai et des cailloux propulsés avec des lance-pierres, selon un témoin cité par Le Progrès : « On les entendait crier : on va faire Charlie Hebdo sales Français de merde ». Durant l’incident, une octogénaire a été transportée à l’hôpital de Saint-Fons car elle a reçu un pied de parasol dans la tête.
La maire DVD de la commune a promis de mettre en place un dispositif de médiation sociale ce lundi.
http://www.mlyon.fr/133617-saint-fons-des-jeunes-lancent-des-projectiles-sur-des-anciens-combattants-en-algerie.html
Gaïa pour www.Dreuz.info

 
 
Hélie de Saint Marc, résistant, déporté, héros des guerres d’Indochine et d’Algérie, parle des Harkis et du Secours de France


En Algérie, je me suis battu avec les plus prestigieux de nos chefs militaires pour ne pas revivre ce que j’avais subi au Tonkin : la honte et le drame de l’abandon de populations auxquelles, au nom de mon pays, j’avais demandé un engagement au péril de leur vie.
Mais nous avons été trahis par un Pouvoir oublieux de ses promesses, de son honneur… et du nôtre.
La France abandonna la plupart des Harkis et des musulmans qui lui étaient favorables. Plusieurs dizaines de milliers d’entre eux furent assassinés.
Certains furent débarqués de bateaux français. D’autres furent massacrés sous les yeux de nos soldats auxquels le Gouvernement avait donné l’ordre de ne pas intervenir.
Ce drame est l’une des tâches les plus sombres de notre histoire contemporaine.
C’est pourquoi poursuivre l’action en faveur des Harkis menée, depuis cinquante ans, par le Secours de France paraît essentiel car l’association leur apporte un indispensable soutien moral, juridique et financier.
Il s’agit aussi concrètement, tel qu’on peut le voir dans le remarquable film-documentaire « Harkis, histoire d’un abandon », de rendre leur honneur à ces frères d’armes qu’une entente de fait entre les autorités de l’époque et le nouveau pouvoir installé par elles en Algérie a voulu déconsidérer, sinon faire disparaître. Ce que demande le Secours de France est bien peu de choses en échange de l’honneur d’assister ceux qui ont voulu sauver l’histoire de notre patrie en Algérie.
Merci de répondre généreusement à l’appel qu’il vous fait.
Hélie de Saint-Marc

Hélie de Saint Marc est décédé le 26 août 2013.
Sa vie exemplaire, durant laquelle il a incarné les vertus françaises les plus admirables, constitue pour nous le meilleur encouragement à poursuivre son œuvre en faveur des Harkis comme il nous l’a expressément demandé avant de nous quitter.

Secours de France
29, rue de Sablonville, 92200 Neuilly-sur-Seine
Tél. 01 46 37 55 13
secoursdefrance@cegetel.net

 
 
Poème de Jean Zay qui vient d’entrer au panthéon


Il faut savoir que ce nouveau "panthéonisé" a écrit ce poème :

Voilà le poème qu’écrivait Jean Zay à propos du drapeau français
« Immonde petite guenille – terrible morceau de drap cloué à la hampe – je te hais forcément – je hais tes sales couleurs – ignoble symbole – tu es pour moi de la race vile des torche-culs »
Les patriotes apprécieront...et il a été ministre de l'éducation (rien n'a changé avec ce que l'on a aujourd'hui au même poste !)

Pauvre France !


Intégralité du poeme


LE DRAPEAU, PAR JEAN ZAY.


Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là.
Quinze cent mille dans mon pays, Quinze millions dans tous les pays.
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille hommes morts pour cette saloperie tricolore…
Quinze cent mille dont chacun avait une mère, une maîtresse,
Des enfants, une maison, une vie un espoir, un cœur…
Qu’est ce que c’est que cette loque pour laquelle ils sont morts ?
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille morts pour cette saloperie.
Quinze cent mille éventrés, déchiquetés,
Anéantis dans le fumier d’un champ de bataille,
Quinze cent mille qui n’entendront plus JAMAIS,
Que leurs amours ne reverront plus JAMAIS.
Quinze cent mille pourris dans quelques cimetières
Sans planches et sans prières…
Est-ce que vous ne voyez pas comme ils étaient beaux, résolus, heureux
De vivre, comme leurs regards brillaient, comme leurs femmes les aimaient ?
Ils ne sont plus que des pourritures…
Pour cette immonde petite guenille !
Terrible morceau de drap coulé à ta hampe, je te hais férocement,
Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes
Pour le sang frais, le sang humain aux odeurs âpres qui gicle sous tes plis
Je te hais au nom des squelettes… Ils étaient Quinze cent mille
Je te hais pour tous ceux qui te saluent,
Je te hais à cause des peigne-culs, des couillons, des putains,
Qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre,
Je hais en toi toute la vieille oppression séculaire, le dieu bestial,
Le défi aux hommes que nous ne savons pas être.
Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel,
Le blanc livide de tes remords.

Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer à grand coup
Les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts.
Et n’oublie pas, malgré tes généraux, ton fer doré et tes victoires,
Que tu es pour moi de la race vile des torche-culs.

 
 

A VOUS TOUS JE FAIS PASSER QUELQUES EXTRAITS DU BULLETIN DU SECOURS DE FRANCE

( contact@secoursdefrance.com ) - tel 01 46 37 55 13 -

A la une : ALGÉRIE : sur les bourbiers de la " repentance " ........un voyage mémoriel à amnésies multiples ! ..... Sétif 8 mai 1945 , à la suite du massacre de 102 personnes , y compris des enfants , qui fêtaient la victoire, massacre perpétré par des militants du " parti du peuple algérien " une répression décidée parle gouvernement du général de Gaulle soutenu par le parti communiste qui affirmait dans un tract du 12 mai :" il ne s'agit pas de vengeance ni de représailles , il s'agit de mesures de justice , il s'agit de mesures de sécurité pour le pays ..." Les cocos de l'époque étaient donc un peu plus patriotes que leurs descendants d'aujourd'hui tout juste bons à apprendre l'internationale à des mômes dans de sombres cellules , un parti de femelles issu des porteurs de valises alliés au FLN ! - Alors le 19 avril 2015 , le secrétaire d'état Jean Marc Todeschini, pur produit de l'éducation nationale , et surtout fidèle soutien de Hollande François a sangloté sur cette juste répression soutenue par le PCF ! petit crocodile de la mafia de gauche va ! Dans ce bulletin vous trouverez également un hommage à l'Armée Française en Algérie avec un rappel du fameux commando GEORGES dont le commandant en second était le Lieutenant - colonel Armand BENESSIS de ROTROU un ami hélas disparu de votre serviteur , officier légionnaire du 2° REP c’était un personnage généreux dans tous les sens du mot comme tous les légionnaires au service du Drapeau . Merci au président Jean-Marie SCHMITZ de ce rappel au Commando Georges dont le fanion était " CHASSER LA MISERE " et l'origine due au général BIGEARD ! -Dans ce bulletin vous trouverez également un rappel sur l'évènement du 14 mars 2015 , rue du Cdt DENOIX de SAINT MARC à BEZIERS où Robert MENARD le Maire de cette ville inaugurait cette voie en débarrassant BEZIERS de celle du 19 mars 62 , mensonge et honte sur le drapeau de la France Merci et Honneur à Robert MENARD d'avoir fait le ménage devant tant de drapeaux tant d'anciens militaires tant d'anciens combattants mais aussi et surtout tant de civils qui tous réunis pour dire NON aux porteurs de valises de la honte et de l'abandon . Enfin vous trouverez encore dans ce bulletin un hommage aux HARKIS de LARGENTIERE ( ardèche ) dont le président MOUSLIM reçoit cette année le prix CLARA LANZI . Harkis de la DBFM ( Demi Brigade de FUSILIERS-MARINS implantée autour de Nemours en Oranie . Symbole de Fidèlité , cette association a été choisie cette année pour recevoir le prix CLARA LANZI en associant bien sûr à cet hommage la Demi Brigade de Fusilliers-Marins . - Par son contenu ce bulletin de SECOURS DE FRANCE mai-juin 2015 est à conserver .Prenez contact avec le Secours de France . C'est participer à la France qu'on aime , celle de nos aïeux ,la France Indépendante que nous exigeons avec toutes ses valeurs essentielles et donc indispensables héritées de tous nos MPLF.

Merci P. Place

 
 


L’illusionniste


Nous pouvions croire que cette cérémonie du Panthéon serait une image d’un temps passé, d’un temps qui parle de notre histoire, de la guerre de 39 / 45 et de ceux qui ont été, pour diverses raisons des « passeurs » de liberté contre le nazisme.
Cependant dès le matin de cette journée, j’ai eu comme un doute. Tous les médias, toutes les informations évoquaient d’un discours majeur... Le discours du quinquennat... Le discours du président ! J’ai bien entendu pensé au matraquage officiel qui habille le hollandisme, de cérémonie en commémoration. Je ne me suis pas trompé. L’intoxication politicienne était bien présente. La « pub » présidentielle ; la marche forcée des paroles subliminales des médias pour accrocher le peuple. Tout y était, et puis rien.
Je n’ai pas suivi la cérémonie mais j’en ai eu des échos et vu des images... Elles furent si nombreuses. Le Panthéon donc. Un moment de réunion de la gauche devant des figures de gauche. Entre autre Jean Zay et Germaine Tillion. Tillion ? Une figure opposée à l’Algérie française et prêchant dans le camp gaulliste l’indépendance de cette province française. Une « bonne » manière de rappeler aux algériens combien nous sommes près, très près de la repentance ! Peut-être pour, dans ce temps de tourments et du terrorisme salafiste, minimiser sa progression dans notre pays et le rendre presque acceptable et nous préparer aux votes des « étrangers » au profit des socialistes ?
Etait-il nécessaire, dans ce moment de recueillement de rappeler encore une fois le 11 janvier 2015 ? Ceux qui ont défilé ce jour-là, et pour le plus grand nombre, c’était justement pour protester contre le terrorisme et le jihad et non pour que les socialistes tirent à eux la couverture de ce rassemblement. Pourtant, convenons-en... Ils en font leurs choux gras !
Un président qui évoque l’histoire ! Un premier ministre qui en rajoute une couche en proclamant que c’est l’histoire de France et celle de la République ! Où suis-je m’exclamais-je tout à coup ! Sont-ils en train de démettre Mme Najat Vallaud Belkacem de son poste de ministre de l’éducation nationale ? Voilà deux personnalité importantes de l’Etat français


qui proclament haut et fort... parfois avec une certaine colère, les « biens faits » de notre passé. Tournent-ils leur veste, eux qui, il y a peu, soutenaient leur ministre, défendaient inconditionnellement sa réforme des collèges après l’avoir soutenue dans celle du « genre », dans le primaire ! Une illusion sans doute !
Au Panthéon, le président faisait du « selfie ». Une image de lui, toute personnelle, son « égo » affirmé, affiché, mais avec quelle conséquence pour l’éducation nationale et les enfants qui n’apprendront plus la vraie Histoire de France ? Ils seront soumis à des extraits n’évoquant que la partie sombre de son passé... les morts des champs de bataille... l’esclavage... les colonies.
A ce sujet, que Denis Tillinac me pardonne, et me permette de rappeler quelques lignes de son éditorial (Valeurs Actuelles du 28 mai 2015). Pourquoi reprendre une partie de son écrit ? Parce qu’il parle au cœur et à la raison. Parce que je l’ai trouvé admirable. Il répond à ce que je crois des valeurs et de la grandeur du pays, qui sont l’inverse de ce que nous impose le gouvernement socialiste, et qu’il prescrira à tous les enfants de France :
« ... nos ancêtres furent d’horribles esclavagistes au XVIII e siècle, d’infâmes colonialistes au XIX e siècle, d’odieux collabos durant l’occupation et d’immondes tortionnaires durant le conflit algérien... Une entreprise « d’autodévaluation »... dans les programmes scolaires... »
Comment avec Denis Tillinac ne pas s’élever contre cette réduction historique que nous dictent les socialistes ; ce crime de lèse majesté dénonçant comme injustes ceux qui sont morts pour la gloire et la liberté d’une plus grande France, vivante, et où nous reconnaissons l’œuvre de nos anciens qui n’étaient pas tous de gauche. Cette gauche socialiste, progressiste, qui fait mal à notre honneur de Nation.

Finalement que restera-t-il de cette cérémonie du Panthéon ? Le côté « glouton »  d’un homme friand d’apparats et de commémorations ! Un personnage de comédie ou de tragédie replâtrant l’histoire dans le sable de quelques cercueils où des héros de 39/45 sont devenus les « accessoires » d’un théâtre où ne devait briller qu’un « Maître de ballet ».
Une erreur donc ce matraquage médiatique, ce système de propagande socialiste et progressiste qui laisse une impression d’incomplet, d’un instant

de recueillement devenu obsolète mais présumé lancer la campagne présidentielle de la gauche pour 2017 !

Pendant ce temps, quid du chômage ? D’un endettement à 95,60 % du P.I.B ? D’une Europe envahie par des migrants du sud et incapable de trouver une bonne solution à ce problème, car atteinte de cécité sur la cause de ce déferlement depuis Lampedusa !
Qui sont-ils ces exilés du Moyen Orient et d’Afrique ? Qu’en pensent nos « Amis » du Golfe qui en oublient le « zakât », l’aumône obligatoire participant à la prise en charge des pauvres, quant seule l’Europe paie ?
Les migrants sont accueillis à l’intérieur de nos frontières occidentales à bras ouverts. Arrivent-ils par nécessité d’un Sud en guerre où en famine, ou avec des armes dans leurs bagages pour créer un « Grand Califat » d’Europe ?

Robert Charles PUIG / 30 mai 2015

 
http://babelouedstory.com/thema_les/asso/5981/5981.html
 
 
http://www.ampus-casanova.com/2015/05/3104-la-repentance-sans-fin-ca-suffit.html
 
 
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=Og7gYQo-Bzc
 
 
http://www.asafrance.fr/images/PDF/15_05_22_FLYER_DEFINITIF_J_ZAY.pdf
 
 
 
 
 
Le Collectif national NON au 19 mars 1962 a répondu à Monsieur le Ministre...
http://fr.calameo.com/read/000059729ce160367f8e4
Introduction - Texte corrigé.
 
 

Le Maire de l'Île d'Aix, Alain BURNET, répond au Communiqué de Presse de Thierry ROLANDO,

Président du Cercle algérianiste.

A l’attention de Monsieur Thierry ROLANDO,

Président du Cercle algérianiste

Monsieur le président du Cercle algérianiste,

J’ai pris connaissance de votre communiqué de presse dénonçant « un projet de stèle à l’île d’Aix glorifiant la mémoire des responsables du FLN ».

Cette information, diffusée, de manière partielle et erronée, sur différents blog et site Internet, fait suite à la parution d’un article dans le journal Sud-Ouest du 12 mai dernier.

Je reçois depuis des messages de protestation qui me conduisent à vous apporter les précisions que vous auriez pu solliciter auprès de mes services en préalable à la diffusion de votre communiqué de presse.

Nous avons effectivement le projet d’évoquer cette période, de 1959 à 1961, lorsque les leaders du FLN étaient emprisonnés au fort Liédot. Quand l’histoire de l’île d’Aix, rejoint celle de France : Pendant trois ans, l’île retrouve son statut d’île forteresse avec près de 200 gardes mobiles chargés de la surveillance des lieux.

Au fort Liédot, comme nous avons pu le faire ailleurs et sur d’autres thèmes, je souhaite créer un lieu d’interprétation historique avec pour support la reconstitution d’une cellule et une évocation de la vie quotidienne des aixois durant cette période particulière.

Mais en aucun cas, il n’a été question d’ériger une stèle au fort Liédot à la mémoire des leaders du FLN.

Ni hommage donc, ni condamnation non plus, mais restitution d’un fait historique, ce projet s’inscrit dans nos actions de valorisation de notre patrimoine.

Je vous remercie de diffuser ma réponse au sein des membres de votre cercle.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président l’expression de mes salutations distinguées.

Alain BURNET
> Maire de l'île d'Aix
> Mairie de l'île d'Aix

Rue Gourgaud - 17123 île d'Aix

T : 05 46 84 66 09

F : 05 46 84 65 79

mairie@iledaix.fr

www.iledaix.fr

Le FLN a valorisé votre île?

Si les Généraux du Putsch d'avril 1961 avait été emprisonnés dans ce fort, auriez-vous eu la même idée, Monsieur le Maire?
HC

 
 
Projet de stèle: la honte !

Révoltant !!!


nous pensions avoir atteint le fond, nous avions tort!
Nous devons être nombreux à faire part de notre révolte!

Monsieur le maire,
> > > >
> > > > Un article de Sud-Ouest (en PJ) nous apprend votre intention d'ériger une stèle à la mémoire de
> > > > 4 leaders FLN.
> > > > Mais n'avez-vous pas honte ?
> > > > Vous souhaitez honorer les chefs d'une organisation qui a tué nos soldats, massacré vos
> > > > compatriotes Pieds-Noirs et Harkis ?
> > > > Dans quel pays a-t-on vu les autorités ériger des monuments à la gloire de leurs ennemis ?
> > > > Que faîtes-vous des familles des dizaines de milliers de victimes du FLN ?
> > > >
> > > > Je suis certain qu'un tel projet ne verra pas le jour. Le tollé provoqué par cette annonce devrait
> > > > provoquer une onde de choc qui emportera avec elle cette initiative qui insulte la mémoire de
> > > > tant de morts du terrorisme et de la barbarie FLN.
> > > >
> > > > Lionel VIVES-DIAZ


 
 

Monsieur le Maire,

Vous n’ignorez pas, je suppose, que la représentation nationale de notre pays a décidé en son temps que les combats qui ont eu lieu sur le territoire de l’Algérie entre 1954 et 1962 devaient être qualifiés de GUERRE, sous le nom de GUERRE D’ALGERIE.
Bien que les fondements historiques et juridiques de cette dénomination soient éminemment contestables, puisqu’en totale contradiction avec le statut de départements français qu’avaient les départements d’Algérie au moment du déclenchement des exactions commises par le FLN, statut qu’ils ont gardé jusqu’à la proclamation officielle de l’indépendance de l’Algérie le 3 juillet 1962, et que le sous-entendu d’une rétroactivité de l’existence d’un Etat algérien avant 1830 n’est qu’une pure fiction politico-idéologique, nous nous devons d’en prendre acte.

Ceci ne peut que vous amener à réaliser que vos “ hôtes “, dont vous vous mettez maintenant en tête de marquer le séjour dans le marbre ( simple façon de parler ) en vue de les glorifier, étaient donc de hauts responsables d’un pays ennemi de la France, puisque ayant déclenché une guerre contre elle.

Je suppose que vous n’ignorez pas comment, dans tous les pays du monde, on qualifie une telle attitude, y compris devant les tribunaux répressifs. je ne vous apprendrai donc rien en vous disant qu’il s’agit là d’un comportement de “collabos” et traitres à leur pays. J’ajoute que les monuments aux morts, lieux de recueillement et non de colère, n’ont jamais comporté les noms et encore moins les effigies des ennemis.

Vous tenterez de vous défendre en portant l’affaire sur le plan idéologique – ce qui ne sera pas pour surprendre quiconque – et en arguant que vous êtes et avez toujours été , dès votre jeune âge, favorables à la séparation de l’Algérie d’avec la France, vous couvrant ainsi du manteau de la rétroactivité dont j’ai fait mention plus haut, bénéficiant de surcroît de la loi d’amnistie pour les délits commis du fait d’e la dénommée “Guerre d’Algérie “. Soit, mais il n’en reste pas moins que, moralement – mais il est permis de s’interroger sur votre conception de ce terme – par votre initiative, vous êtes, disons, “rétroactivement” collabos du FLN, et traitres à une France menant un combat douloureux et sanguinaire qui lui avait été imposé.

Il y aurait bien d’autres choses à dire sur votre aberrant projet , comme de s’interroger sur vos motivations profondes ainsi que sur le moment choisi. Mais peut-être, au fond, n’êtes-vous qu’une des victimes du cloaque de “ repentance “ qui recouvre la France de son manteau répugnant, allant jusqu’à polluer le simple bon-sens. Au fond, en dépit de vos larges sourires sur une Presse acquise d’avance, et peut-être, du fait même de ces sourires béats, vous êtes pitoyable. Il y aurait d’ailleurs fort à parier que, de leur côté et dans leur propre approche, les algériens d’aujourd’hui pensent de même, ce dont on ne saurait les blâmer.

Pauvre France !

Pierre Dimech
Docteur en droit
Français d’Algérie d’origine étrangère

 

Info de dernière minute suivante : “Nous apprenons que le Maire de l’île d’Aix vient d’écrire à Thierry Rolando à la suite du communiqué national du cercle algérianiste, en tentant de se justifier, contestant la présentation des faits faite par “Sud-Ouest”. Ce courrier du maire va être incessamment diffusé, mais il est acquis qu’il y sera fait réponse,
car les dénégations du maire ne sont pas satisfaisantes”.

 
 
Surprise ! Dans le Canard du 13 05 2015, que lis-je ! Moi qui ne lis pas toujours les salades qu'il diffuse !

Mais cette fois, c'est du chou gras ! Il accuse l'Huma de mémoire qui flanche et de donner en 2015 une autre version du "massacre colonial" avec "seulement" 10000 morts.

Nous sommes déjà loin des versions d'ETAT affichant 45000 !

Il y a un petit progrès dans le calcul ! Mais le Canard très aimablement précise aussi ce qui était écrit dans l'Huma du 12 mai 1945 et c'est du gâteau ! L'Huma appelait à "châtier impitoyablement et rapidement les organisateurs de la révolte et les hommes de main qui ont dirigé l'émeute". Le canard continue en précisant que devant l'Assemblée, le 11 juillet, E Fajon, membre du PCF précisait que les émeutes étaient la "manifestation d'un complot fasciste". Deux ministres communistes géraient les "affaires" de l'Etat sous De Gaulle : Charles Tillon et François Billoux

Le canard conclut : "Comme quoi les leçons d'anticolonialisme sont à consommer avec modération."

Je me permettrais d'ajouter qu'avec un peu de bonne volonté "communiste" nous arriverons sans doute au vrai décompte de ces journées sanglantes, comme l'écrivent de vrais historiens : 1000 à 1500 terroristes d'une révolte avortée.

Pour info. R C Puig

 
 
Monsieur Burnet,

Maire d’Aix

Charente Maritime

Vous avez un projet de stèle à la gloire des assassins FLN.

Pourriez-vous, juste à coté, dresser d’autres stèles :

Une pour Mao, une pour Hitler, une pour Staline, une pour Pol Pot……

En rond, bien sur, comme une danse……. de la MORT et de l’ASSASSINAT enfin glorifiés ……….

Votre ile deviendrait vite célèbre.

Puisque c’est surement ce que vous recherchez……..

Veuillez accepter, monsieur le maire, l’expression de mon plus profond mépris.

Aline Perret.

 
 
Jean-Marie Boisard du Kerfédy

 

Garde de 2ème classe du GMS 87 – Vialar (61/62)

Blessé de Guerre - Invalide Civil

 

Docteur ès-Sciences

Professeur des Universités

 

Lézignan-Corbières, ce 20 mai 2015

 

 

Monsieur le Maire,

 

 

L’acte que vous vous apprêtez à commettre s’appelle une félonie.

 

Vous oubliez les 28 000 militaires, professionnels et du contingent, qui sont tombés lors de cette ‘guerre’ qui aura duré, officiellement, du 1er novembre 1954 au 19 mars 1962.

 

Vous oubliez les milliers de civils, indigènes musulmans ou d’origine européenne, qui ont subi viols, mutilations, égorgements, shrapnells des bombes explosant, enlèvements, esclavage …

 

Vous oubliez les 100 000 morts harkis (dont des membres de la famille) délaissés par De Gaulle et assassinés par le FLN, dont vous avez le front de célébrer la mémoire par une *Stèle*.

 

Quand on sait la destinée et le sort que furent ceux des « hommes » que vous voulez honorer, un seul mot vient à l’esprit : l’adjectif pitoyable.

 

Vous conchiez même ce que fut notre France à l’origine. Relisez vos notes. Apprenez qui fut Philippe le Bel et l’histoire de l’Aunis et la Saintonge au XIIIème siècle.

 

Faites-moi connaître le jour de votre inauguration-commémoration (très à la mode au cours de ce régime Hollande). En ambulance je viendrai, accompagné des enfants et petits-enfants des Supplétifs. Je vous promets une belle conduite de Versailles !

 

Je ne vous salue point.

 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/05/que-les-archives-s-ouvrent-enfin-sur-les-evenements-du-8-mai-1945-a-setif-algerie.html
 
 
Serpent à « sornettes »

L’école de notre enfance nous apprenait les grandes dates de l’histoire de France puisque nous étions des petits Français dans des départements français d’Algérie, comme en métropole et dans toutes les écoles françaises d’Asie, d’Afrique et d’ailleurs.
Ces dates étaient illustrées par des personnages qui avaient marqué l’évolution de notre patrie, pour, à travers heurts et malheurs, l’amener à ce qui nous était enseigné comme la plus belle, la meilleure et la plus intelligente nation qui fut au monde, sur son socle grec et latin.
Notre curiosité, ensuite, nous amenait vers des connaissances diversifiées soit pour approfondir les notions déjà assimilées soit pour découvrir les civilisations musulmanes, chinoises, scandinaves à peine effleurées durant le cursus scolaire soit pour situer plus précisément dans le cadre européen, méditerranéen, atlantique, notre place de Français.
Il nous fallait d’abord apprendre, puis apprendre à réfléchir, puis apprendre à transmettre à nos enfants ou à nos élèves. Ce faisant, et sans heurts, nous apprenions à vivre, à relativiser.
Vieilles lunes que cela. L’enfant sait tout de lui et des autres par génération spontanée. Orgueil luciférien qui ne fait que des aigris ou des rescapés par miracle !
Je ne dis pas qu’avant c’était parfait, mais enfin, ce n’était pas si mal. De plus, l’école de notre enfance n’était pas mixte. Elle était même carrément misogyne. Mais on s’est aperçu à l’usage que les garçons et les filles n’ont pas le même rythme de développement. La mixité des classes primaires entraînait souvent une grande timidité des garçons et une suprématie des filles. On ne s’y attendait pas du tout, au contraire. Mais on ne s’attendait pas non plus à un constat redoutable : Les garçons ont appris depuis tout petits à avoir peur des filles d’où un certain replis ou au contraire une affirmation de violence physique et un phénomène de groupe. L’école se pacifie peu à peu mais elle n’a pas encore digéré sa mue au bout de trois générations. Et les établissements confessionnels demeurent pour la plupart non mixtes. En particulier les écoles musulmanes et quelques rares établissements catholiques. Or, leurs résultats sont parmi les meilleurs d’après un classement publié l’an dernier mais rapidement mis sous le boisseau. Cela pourrait faire réfléchir nos Trissotins du ministère.
Notre jeune et ravissante ministre de l’Education nationale se proclame marocaine avant d’être française. Les écoles marocaines sont parmi les meilleures du monde arabe, elles ne font pas la sottise d’enseigner aux enfants les aspects sombres de leur histoire mais au contraire, elles élèvent de leur mieux les jeunes dans l’amour de leur pays. Elles savent doser ce qui vient de leurs traditions et ce qui a été bénéfique de prendre aux enseignements étrangers.
Je connais mal l’étendue de la culture du Roi actuel du Maroc mais je me souviens que son père, Hassan II et son grand-père, Mohamed V étaient des lettrés, imprégnés des cultures, méditerranéennes surtout, ce qui ne les a pas empêché de gouverner leur pays avec autorité. Trop parfois, leur a-t-on reproché mais de quel droit juger ?
En revanche, nous avons le droit de juger que notre ministre plutôt marocaine par choix dit-elle, n’a pas à rabaisser l’histoire de notre pays à ses seules pages déplaisantes. C’est une vraie forfaiture que d’apprendre à des enfants à mépriser leur patrie. Aucun ministre de l’enseignement marocain ne se risquerait à pareille chose !
Ce qui ne veut pas dire qu’on soit en droit de mépriser celle des autres. Qui sait, en France, que la plus ancienne université du patrimoine mondial est marocaine ? La qaraouyine a été créée au IXiéme siècle, plus de 300 ans avant celles de Bologne, Oxford, Cambridge ou La Sorbonne.
A Casablanca, le Lycée français Lyautey a toujours enseigné l’amour de la France et l’attachement affectueux au Maroc. Comment les professeurs de ce prestigieux lycée peuvent-ils enseigner les élucubrations de nos ministres de l’éducation nationale qui conduisent à détester ce même enseignement ?
J’ignore ce que le prénom Najat signifie en arabe, mais, dépourvu de T, c’est un naja tripidians, serpent de la famille des Elapidae. En français, Cobra indien ou à lunette. Son venin neurotoxique est extrêmement dangereux. Le sourire charmant de notre serpent à sornette réussira-t-il à endormir les nouveaux rebelles, les « pseudo intellectuels » qui ont fait, si j’ose dire, le lit des folies najanesques depuis cinquante ans ?
C’est vrai, avant, les enfants de CM1 et CM2 savaient lire, écrire et compter. C’est bête, non ?

Geneviève de TERNANT
20 mai 2015

 
 
Projet d'une stèle FLN à l'Ile d'Aix...
Réaction du Cercle Algérianiste
 
 
A Mr Alain BURNET
Maire de l'Île d'Aix
Rue Gourgaud
17123 Île d'Aix

Monsieur le Maire,

J’ai d’abord cru à une blague de mauvais goût. Mais non, c’est confirmé : vous comptez ériger sur l’île d’Aix, une stèle en hommage à Ahmed Ben Bella, Aït Ahmed, Mohammed Boudiaf, Mohammed Khider et Mostefa Lacheraf, responsables durant les années de cette guerre fratricide, d'un mouvement terroriste qui a semé la mort, autant au sein de la communauté musulmane qu'européenne d'Algérie, mais qui a aussi contribué à l'exécution de nombreux soldats français, jeunes appelés venus de la métropole. C’est une véritable insulte à la mémoire de toutes les victimes.

Avez-vous réellement conscience de la portée désastreuse d’une telle action ? Avez-vous pris la mesure de la douleur de ces pauvres gens – « les Miens » – qui ont perdu des êtres chers dans des conditions épouvantables ? De leur révolte légitime ? Je ne puis croire que vous ayez pris une telle décision sans consulter la communauté Pied-noir/Harki, leurs représentants facilement joignables ! Ou alors votre mépris à notre égard qui ne peut que découler d’une ignorance monstrueuse, est votre véritable mobile.

Monsieur le Maire, je ne vous souhaite pas de traverser le calvaire vécu par tant de mes concitoyens d’Algérie car, ce que les nazi ont infligé en France et partout où ils ont sévi, n’est rien auprès des tortures qu’ont fait subir les membres du FLN et consort aux habitants de l’Algérie française, toutes ethnies et confessions confondues.

J’en appelle à ce qu’il y a d’humanité en vous pour renoncer à ce monstrueux projet. Je vous exhorte à briser les tabous et à prendre votre courage à deux mains pour vous mettre en quête de ce qui s’est REELLEMENT passé en Algérie entre 1954 et 1963. Et gardez bien en mémoire cette sentence de Gustave Le Bon (« L’homme et les Sociétés – 1881) : "Le véritable historien est celui qui, comprenant le passé, renonce à le juger avec les idées du présent."

Toute quête de la Vérité exige un supplément d’âme. Je souhaite que vous le trouviez au fond de vous.

Maïa Alonso, auteure et journaliste.

www.maia-alonso.com

Copie : Mr Hervé BLANCHE
Président Communauté d'Agglomération Rochefort
3 avenue Maurice Chupin
BP 50224
17034 Rochefort cedex

 
 
Monsieur Alain Brunet, Maire d'Île d'Aix; Monsieur Hervé Blanchet, Président de la communauté d'agglomération Rochefort

J'apprends avec une certaine tristesse votre décision de construire une stèle en faveur des ennemis de la France en ce temps de guerre en Algérie.

Méritent-ils un tel honneur et la Métropole a-t-elle perdu le sens de ses valeurs et de sa gloire passée... défunte, devais-je dire ?

Faut-il rappeler les morts européens et musulmans sous le couteau du FLN ? Les militaires français emprisonnés et "disparus" en même temps que des milliers de civils !

Les viols, les tortures qu'un homme dont on connait la rigueur évoque dans son livre - A lire avant toute décision hâtive - "UN SILENCE D'ÉTAT, de Jean Jacques JORDI !

Puis-je vous rappeler le 26 mars sur ordre du gouvernement et le 5 juillet dans une Algérie à peine indépendante et qui nous montrait une fois de plus son vrai visage de barbare.

Les Harkis, patriotes français abandonnés avec leurs familles au moment de l'indépendance en 1962. Un massacre parce qu'un ministre n'avait pas eu le courage de faire rapatrier ces hommes d'honneur ! (télégramme 125 / IGAA/ 16 mai 1962, du ministre d'Etat P. Messmer)

Permettez-moi de vous dire qu'une telle décision n'est et ne sera jamais à votre honneur.

RoberT C. PUIG / Nice

 
 
Messieurs, je viens d'apprendre avec stupéfaction, votre souhait d'ériger une stèle en l'honneur des chefs terroristes du FLN, ayant avec beaucoup de rigueur et de volonté combattu notre pays la France, et je ne comprends pas.
Je ne comprends pas comment, il est possible que ces gens responsables par leurs ordres, et leur détermination, de milliers de morts, soient ainsi glorifiés, (passe encore comme je le pense hélas,...... les milliers de pieds noirs et de harkis, que l'on balaie toujours depuis 60 ans avec une rare hypocrisie d'un revers de main), mais des appelés du contingent...... ! des jeunes issus de toutes les provinces françaises, et sans doute aussi de votre département, alors, mon incompréhension est à son comble !
Je ne pense pas en effet qu'en Algérie , on édifie des stèles à la mémoire, des victimes françaises militaires ou civiles de tous ages : harkis , pieds noirs , tuées, fusillées, torturées , disparues, ou tout simplement jetées à la mer au retour des bateaux venant de France en juillet 1962.
Je dis stop à la méconnaissance historique, stop au déni, stop à la provocation stupide, et à la manipulation sans vergogne.
Avec amertume, je vous faire part de mes salutations.
ps : que diraient on si dans quelques années nos descendants élevaient une stèle à la mémoire de M.Merah, des frères Kouachi, ou d'' A.Coulibaly ?
 
 
Chantal BERNARD Nantes, le 18 mai 2015

Monsieur le Maire,

J'ai appris par hasard - mais le hasard s'appelle le journal Sud-Ouest - que l'idée serait venue à votre municipalité, à la suite de la projection d'un documentaire tourné l'année dernière au Fort Liédot par M. Sallah Laddi "Dans l'ombre d'une guerre", d'honorer par une stèle les leaders du F.L.N. algérien capturés le 22 octobre 1956 et qui séjournèrent dans cette forteresse-prison de 1959 à 1962...

J'ai lu un commentaire qui m'a bien fait sourire aussi: le général De GAULLE en envoyant ces cinq prisonniers à l'Île d'Aix - MM. Mohammed KHIDER, Mustapha LACHERAF, Mohammed BOUDIAF, Aït Ahmed HOCINE et Ben BELLA, voulait en somme les soustraire, en 1959, aux menaces de l'O.A.S.

Quand on se pique d'écrire l'histoire à travers un documentaire, la moindre des choses est d'avoir une certaine rigueur sur l'exactitude des événements et de leur chronologie. Or, en 1959 l'O.A.S. n'existait pas. Elle a été fondée à Madrid en février 1961. Passons...

En revanche, le projet que vous auriez formé d'élever une stèle à ces chefs de la rébellion me paraît non seulement discutable mais tout simplement honteux et je pèse mes mots !

Je ne sais pas si vous aurez le "feu vert" de la France et de l'Algérie comme semble l'espérer votre Adjoint, M. Thierry LAUTH, délégué au Tourisme et à la Culture, photographié tout-sourire sur le journal, en compagnie de M. Hamza HADJ-CHERIF, vice-consul d'Algérie à Bordeaux, mais je pense que vous aurez - vous avez déjà ! - la désapprobation de nombreux Français qui ont eu à souffrir du conflit algérien de 1954 à 1962 et de l'exode qui s'en est suivi des Pieds-Noirs, sans parler des massacres des anciens supplétifs de l'Armée française.

Peut-être le Monument aux Morts de l'Île d'Aix ne comporte-t-il pas de nom d'appelé du contingent décédé en Algérie. Tant mieux si cela est le cas!

Mais ce serait vite faire peu de cas des 25 000 militaires français tués et des 65 000 blessés, certains grièvement, entre 1954 et 1963 puisque le "cessez-le-feu" du 19 mars 1962 n'a été - vous ne l'ignorez pas, j'espère... - unilatéralement respecté que par la France.

Monsieur Alain BURNET
Maire de l'Île d'Aix
Rue Gourgaud
17123 Île d'Aix


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Pour toutes ces raisons, je ne vois vraiment pas l'intérêt de donner une notoriété à ces anciens chefs du terrorisme algérien en faisant apposer une stèle en leur honneur sur un édifice public.

Quelle gloire pourriez-vous tirer du voisinage de ces personnages qui s'étaient dressés contre la France avec d'autres illustres habitants de l'île, comme Gourgaud, Choderlos de Laclos ou l'Empereur Napoléon ?

Franchement, je ne vois pas !

Je désapprouve donc, Monsieur le Maire, totalement votre initiative. Et je crois de mon devoir d'en informer le représentant de l'Etat dans le département de la Charente-Maritime qui recevra copie de cette lettre.

Veuillez agréer, Monsieur le Maire, mes respectueuses salutations mêlées à l'expression de mes sentiments très attristés

Copie pour information à Mme Béatrice ABOLLIVIER, préfet de Charente-Maritime - Cabinet du préfet

 
 
Monsieur le Maire, je ne vous souhaite pas de traverser le calvaire vécu par tant de mes concitoyens d’Algérie car, ce que les nazi ont infligé en France et partout où ils ont sévi, n’est rien auprès des tortures qu’ont fait subir les membres du FLN et consort aux habitants de l’Algérie française, toutes ethnies et confessions confondues.
 
 
 
 
http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/jean-christophe-cambadelis-ne-hait-france-nie-existence,177379?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=0c5e480788-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-0c5e480788-30338621&mc_cid=0c5e480788&mc_eid=1b5f51d080
 
 
 
 

RAS-LE-BOL

Ras le bol, du bol qu’il a ! De cet optimisme béat, de cette façon de mener la France en scooter, sous son casque de motard, dans un mur des lamentations économiques. Ras-le bol de ses cérémonies, ses célébrations, ses commémorations, avec tous les jours des informations sublimées par ces baise-pieds de la presse people.
Du bol il en a, malgré lui ! L’euro a fortement baissé, alors il vend des « Rafale » à n’importe qui... justement parce que l’euro à baissé. C’est bon pour nos exportations en berne et pour notre matériel militaire... On vend au salafisme, au jihad, par l’intermédiaire de ceux d’Orient qui achètent et livrent à l’islamisme, mais pour le reste ? Nos entreprises continuent de stagner, en demi-sommeil, parce qu’elles craignent une embellie fictive, liée à des événements extérieurs, en dehors de notre capacité de produire et de vendre ?
Ras-le-bol ! Le prix du pétrole chute et nos impôts augmentent, parce que notre endettement atteint notre PIB. Qu’à cela ne tienne. Nous retomberons bientôt dans les arcanes et les sornettes d’un pouvoir qui nous annoncera : « La dette augmente... mais lentement... Le bout du tunnel est... pour bientôt... le chômage grimpe... moins vite.... »
Il a du bol ! Un peuple qui se laisse endormir, et vit la vie du président comme une chanson : « Voyage, voyage ! » ou un feuilleton télévisé, jour après jour, accompagné des fanfares des médias gauchisants nous le présentant sur un pinacle, « Toujours plus haut ! », comme une autre chanson.
Ras-le bol ! C’est la croissance en berne par apport à l’Europe qui gagne deux points et nous seulement un ! Ras-le bol, cette méthode Coué du pouvoir socialiste qui nous fait passer des vessies pour des lanternes ; nous faire croire aux mirages, aux miracles. Ras-le-bol d’une présidence, d’un gouvernement où les revenus et les pensions sont saignés jusqu’à la dernière goutte... de leurs avoirs ; où les impôts augmentent tandis que les prestations médicales baissent.
Il a du bol. Il nous fait avaler jusqu’à la lie - sans aucune opposition d’une droite handicapée par ses luttes intestines, sa jalousie, sa prétention malsaine et son manque de programme - son relativisme destructeur.
Ras-le bol ce « vivre ensemble » et cette mixité programmée, qui sont un appel au muezzin pour que la France soit envahie de migrants ; pour que nous leur offrons beaucoup au détriment d’un peuple de France qui s’appauvrit.
Il a du bol ! Le chômage augmente, des entreprises licencient, mais il est toujours là, souriant comme le Ravi d’une crèche dont il ne veut pas entende parler.
Ras-le bol ! J’en ai soupé de ces trois ans d’une présidence sans orgueil et d’un clan socialo-idéologique qui veut une fin de Nation ; une terre sans frontière ; un effacement de l’éducation nationale traditionnelle au profit d’un égalitarisme destructeur du savoir qui rendra nos enfants ignares et incultes de nos racines latines ou grecques.
Pardonnez-moi, mais... j’en ai ras-le-bol de ce spectacle d’une France que je ne reconnais pas.

Robert Charles PUIG / mai 2015

 
 
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2006/10/la_droite_de_la.html
 
 
Bientôt 57 ° anniversaire d'un complot gaulliste...
 
 
 
La guerre des droites qui fait rage depuis trente ans s’achèvera-t-elle en 2007 ? Les Mémoires de Valéry Giscard d’Estaing tombent à point pour nous rappeler comment tout a commencé. [...] C’est entre 1974 et 1981, pourtant, que la droite, monolithique ou presque depuis 1958, a implosé. [...] 3 semaines avant la mort de François Mitterrand, [Giscard] a même demandé audience à son successeur (auquel Jacques Chirac venait lui-même de succéder) pour l’entendre confirmer de sa propre voix ce qui n’était jusqu’alors qu’une rumeur tenace : avait-il, oui ou non, dîné avec Chirac, en octobre 1980, au domicile d’Édith Cresson, pour convenir des détails de sa mise à mort ? Réponse de Mitterrand : «Le sens du message de Jacques Chirac était très clair : il faut nous débarrasser de Giscard.»

En annexe de son livre, Giscard produit aussi l’intégralité de la lettre célèbre envoyée, entre les deux tours de l’élection présidentielle [de 1981], à tous les militants du RPR, laquelle éclaire à la fois sur la stratégie suivie par Chirac et sur le mode d’emploi à suivre pour y parvenir. Signée Philippe Dechartre, membre du comité central du RPR et patron de ses sections professionnelles, cette circulaire appelle noir sur blanc à voter Mitterrand le 10 mai.

Les BRUNO LEMAIRE et autres gaullistes actuels, n'ont même pas honte d'accuser Marine et les bulletins blancs d'être responsables de la chute de Sarko, en 2012! A cause d'eux, nous avons subi 14 ans de socialisme... Bientôt, on aura la preuve qu'ils ont joué le même sale tour, à Nicolas SARKOSY. CHIRAC ne s'en était pas caché!

Pensez-y en décembre!

 
 

UN CHAPITRE SUR LE MASSACRE DES EUROPEENS A SETIF
ouvrage- Les Massacres du 8 mai 1945- Sétif – Guelma – le Constantinois
Début de 17 années de guerre en Algérie
Maurice VILLARD

Le 8 mai 1945, à l’aube, la prière du matin, de Genève le cheik des Oulémas Chekib Aslam déclare la guerre à la France et aux chrétiens, les roumis.
Il proclame le djihad, demande à tous les Arabo-Islamique, au nom de Dieu de détruire les biens des roumis, de les exterminer et de les bouter hors de la rive Sud de la Méditerranée (Syrie, Liban, Tripolitaine, Syrie et Afrique du Nord.) afin de créer une république islamique.
Cette insurrection est l’aboutissement de dizaines d’années de propagande indépendantiste, le début d’une guerre qui va durer 17 années pour ne prendre fin qu’à l’indépendance de l’Algérie en 1962.
Aussitôt à Damas en Syrie, les troupes françaises sont attaquées. A Alger l’ordre de l’insurrection est donné, c’est un taxi roulant une partie de la nuit qui va le remettre aux chefs locaux à Sétif qui l’attendait impatiemment ayant mobilisé pas moins de 10 000 hommes galvanisés par la propagande et la déclaration du djihad, décidés à massacrer les roumis. Si pour les musulmans tout était prêt pour le massacre, les européens par contre s’apprêtaient à célébrer cette journée dans la liesse.
Lundi après-midi les cloches de l’église Sainte Monique sonnent à la volée annonçant l’armistice. Mais pour des raisons de concordance de fuseaux horaires mondiaux cela est reporté au lendemain.
Il est nécessaire de savoir que l’autorité civile, le sous-préfet Butterlin détenait tous les pouvoirs ayant sous ses ordres toutes les forces de l’ordre : Police Nationale, Police Judiciaire, Gardes Mobiles, l’armée également.
Il savait que le jour de l’armistice, il y aurait des manifestations, les musulmans l’ayant annoncé, que cela pourrait très mal se dérouler vu la propagande anti-française des indépendantistes.
Nous sommes le 8 mai 1945 à Sétif, la journée s’annonce radieuse, la ville est entièrement décorée, les bâtiments officiels ont arborés le grand pavois, toutes les maisons, immeubles européens sont recouverts d’emblèmes tricolores.
Plusieurs manifestations officielles sont programmées, ainsi que des bals publics. La population européenne s’apprête à y participer. Un grand défilé traversant la ville avec la participation des autorités, des corps constitués, de toutes les associations des anciens combattants, des enfants des écoles, devant aboutir à un dépôt de gerbes au pied du Monument aux morts. L’après-midi une grande manifestation est prévue au stade Eugène Girod.
Dans les rues tous les jeunes arborent des rubans tricolores à tel point que les commerçants de la ville ont épuisés leur stock.
Pourquoi un tel enthousiasme ? Il est nécessaire de rappeler que la population française dans son ensemble a payé un lourd tribut à la guerre. Depuis le début des hostilités contre les puissances de l’axe en 1939, puis en 1942 avec le débarquement des anglo-américains en AFN, tous les hommes en âge de porter les armes furent mobilisés.
Bon nombre prisonniers lors de la débâcle de 1940 s’évadent et reprennent le combat en l942 en Tunisie sans entraînement, en guenilles dotés d’armes d’une autre guerre, ils brisent l’offensive allemande alors que les américains battaient en retraite jusqu’à Tébessa. Lors de combats sanglants ils libèrent Tunis et l’A.F.N. puis doté, par les américains, d’équipements et d’armes modernes, ils sont engagés sur tous les théâtres d’opérations, les plus meurtriers. Ils se couvrent de gloire en Italie, sur le Garigliano, à Monte Casino, s’emparent de Rome de Florence, Sienne, libèrent l’île d’Elbe, la Corse, débarquent en Provence avec la reconquête de Toulon, de Marseille. Ils remontent la vallée du Rhône, livrent de terribles combats dans le froid et la neige en Alsace, franchissent le Rhin de vive force pour arriver sur les rives du Danube. Cela permet à France, vaincue, humiliée en 1940 de retrouver son rang de grande puissance et de pouvoir prendre par avec les Alliés, à la signature de la paix.
Il n’est pas possible de compter la somme de sacrifices consentis par ces hommes, nombre d’entre eux ont passé jusqu’à 7 années mobilisés au service de la France, alors qu’ils ne sont ni engagés, ni militaires de carrière. 25 000 d’entre eux perdirent la vie soit 15,65% des partants. L’armistice c’est l’arrêt des combats, la fin du cauchemar, de l’incertitude, l’espoir du retour au foyer des êtres chers si longtemps absents. Voilà ce qui motive la joie, l’enthousiasme de toutes les familles. Il est nécessaire de préciser que la mobilisation générale des Français d’Algérie a été de 16,40% de la population, chiffre jamais atteint alors que certaines classes en métropole ne firent même pas un seul jour de service.
Ce sont donc 20 classes de Français d’Algérie, plus de 165 000 hommes le 1/5éme de la population française qui sont mobilisés, expédiés au combat pour délivrer la France de l’envahisseur. L’Algérie est privée de ses forces vives. Hélas obnubilés par l’espoir du retour des siens, les européens oublient leurs réflexes de prudence. Pourtant un grand danger les guettent,  la nervosité, l’arrogance, les insultes, les incidents qui se multiplient, les déclarations et les réunions publiques où les orateurs des meneurs fustigent la France et les roumis, les manifestations du 1er et du 7 mai, sont autant de signaux indiquant L’insurrection.
Mais ce sont les autorités civiles, le sous-préfet Butterlin qui est le grand responsable des massacres. En effet, c’est lui qui a tous les pouvoirs, la police Nationale, les Services spéciaux, la Gendarmerie, les Gardes Républicaine, l’Armée sont sous ses ordres. Il est parfaitement informé de l’imminence de l’insurrection, de la déclaration du djihad. Il ne fait prendre aucune mesure de sauvegarde, faire distribuer les armes dans les villages, faire regrouper les colons dans les villages et ainsi se mettre en auto-défense de même pour les gardes Forestiers isolés. Pourtant dès l’annonce du cessez le feu lundi après-midi, il était temps de mettre en garde la population française, les routes ni les communications téléphoniques n’étaient coupées. Partout où les européens s’organisèrent ils ne furent pas attaqués où ils se défendirent causant des pertes sensibles aux assaillants. Pire le sous-préfet autorise le défilé au travers des quartiers européens du centre- ville.
Les meneurs de l’insurrection ont bien préparé leur action et choisi le bon moment. L’Algérie est vidée de ses forces vives, les forces armées sont obsolètes la plupart encore sur les théâtres de la guerre, il ne reste que les dépôts des régiments. La population européenne tout à la joie de fêter la victoire devient une proie sans défense.
Dès le matin du 8 mai à Sétif, les terrasses des établissements qui bordent l’avenue Georges Clémenceau au centre- ville, sont prêtes à accueillir la grande foule, les écoliers, les collégiens sont les premiers, l’un deux avec son violon joue des airs patriotiques. Il n’est pas huit heures, les rues sont animées par de nombreux groupes qui se dirigent vers le lieu des cérémonies.
De leur part, de très bonne heure, les musulmans suivant les consignes qu’ils avaient reçus, se regroupent au Nord de la ville sur l’immense terre- plein qui jouxte le parc à fourrage, route de Bougie et au Sud sur la place de Biskra et le boulevard de l’Industrie. De tous les quartiers arabes de la ville, de tous les douars environnants affluent des cohortes d’hommes qui débordent sur les rues avoisinantes. Afin de les mettre en condition, le rassemblement est sonné au clairon par le dénommé Sakri Beghir Embarek membre influent du PPA. La tête du cortège se forme devant la mosquée des Etats Unis et de la résidence de Ferhat Abbas, sous les ordres de Bella Belkacem dit Hadj Slimane et de Ben Touami Aïssa.
Les musulmans avaient demandé l’autorisation d’organiser leur défilé ne voulant pas se joindre à celui officiel. Cela leur fut accordé par le sous-préfet sous réserves qu’il ne prenne aucune connotation à caractère politique. C’est le Commissaire de la PJ, Lucien Oliviéri qui fut chargé de négocier avec les responsables musulmans, les conditions exigées par le sous-préfet. Aucune bannière ou tout autre symbole revendicatif, aucun drapeau autre que celui de la France ne devait être déployé, aucun slogan anti français, aucune arme, ni bâton, ni couteaux. Le Commissaire, la veille au soir avait obtenu l’accord formel des responsables que ces conditions seraient respectées.
Cependant les autorités n’ignorent pas que malgré cette parole donnée, les meneurs parcourent les quartiers, les douars, donnent des ordres afin que tous les hommes valides soient présents dès le mardi matin à la première heure. Ils annoncent que l’heure du combat est arrivée, que le djihad est déclaré et que l’on comptera ceux qui ne seront pas présents.
C’est à 8h30 que le cortège démarre, très lentement, en tête les Scouts El Ayat formant un groupe militaire bien aligné, compact environ 250, en tenue foulard vert et blanc, entonnant le chant nationaliste «  Min Djebalina » - « du fond des montagnes s’élève la voix des hommes libres, l’indépendance nous appelle… » marchant à petits pas cadencés, Saad Bouzid porte le drapeau symbole de l’indépendance.
Le nombre des participants est considérable plus de 10.000 se dirigeant vers le centre, ayant fait leur jonction à l’angle du Mess des Officiers avec ceux venant du Sud. Ce qui frappe tous les témoignages sont concordants c’est l’organisation des manifestants, tous bien encadrés, ce n’est pas la cohue du mardi précédent, les scouts faisant du sur place pour permettre aux retardataires d’intégrer le cortège qui s’engage dans l’avenue Georges Clémenceau, l’intention de provoque est évidente, sinon ce n’est pas cet itinéraire qui aurait été emprunté. La parole donnée est bafouée, malgré la parole donnée la veuille, de nombreuse pancartes, des banderoles sont brandies, on peut y lire en français : « libérez Messali, vive l’Algérie indépendante, à bas la France et le colonialisme, l’Algérie est à nous », il y a au moins deux banderoles en anglais dont je n’ai pas la traduction. En tête autour d’un groupe très compact apparaît un drapeau vert et blanc avec un croissant et une étoile rouge, un autre aux couleurs du Prophète, les Yous-Yous stridents se font entendre, les slogans hostiles à la France, aux roumis scandés en arabe et repris par la foule.
Cet alors que le commissaire Olivieri reçoit l’ordre impératif du sous-préfet de stopper le cortège et de saisir les bannières séditieuses.
Il a à sa disposition autour de lui comme forces de l’ordre 15 agents de police et quatre inspecteurs de de la PJ. Il donne ses instructions, les policiers doivent s’intercaler entre les scouts qui sont en avant et le reste des manifestants afin de stopper le cortège. La manœuvre se déroule bien les policiers se déployant sur toute la largeur de l’avenue. Les scouts s’arrêtent à hauteur du café de France. Aussitôt, le Commissaire, avec un sang -froid et un courage remarquable, il risque sa vie, ayant à ses côtés les inspecteurs Raoul Haas et Norbert Fons, sans armes apparentes, s’avance au milieu du cortège de. S’adressant aux dirigeants qu’il connait bien, leur rappelant leurs promesses de la veuille, leur demande faire disparaître les bannières et drapeaux séditieux, il n’est pas entendu, il s’approche alors du porteur du drapeau essaie de le lui arracher des mains. Le Commissaire est alors bousculé, jeté à terre mais protégé par les deux inspecteurs au milieu d’indigènes hargneux et menaçants. Des cris fusent : «  Ouktelou, eddedhou – Tuez-le, égorgé –le  » Un des meneurs sort un pistolet, le Commissaire se sentant en danger, craignant pour sa vie sort son pistolet de service et pour se dégager tire un coup de feul en l’air. Immédiatement un second coup de feu est tiré du cortège des manifestants, on entend un hurlement c’est la petite Nakache qui se trouve avec ses parents et qui vient d’être mortellement blessée devant le café de France.
C’est le signal de l’émeute, la ruée dans les rues de la ville de centaines de manifestants décidés à exterminer les roumis. Les armes sortent du dessous les djellabas. Tout sert de projectiles, les chaises, les tables, les carafes, les verres volent à travers les arcades. Les européens pourchassés s’enfuient, certains trouvent refuge dans les commerces, dans les bars, dans les couloirs d’immeubles, chez des particuliers, malheur à ceux qui ne trouvent pas assez vite un refuge, c’est la chasse aux roumis, ils sont assassinés avec une sauvagerie qui fait très mal à décrire. Isolés, ils sont entourés par une nuée de sauvage, abattus à coups de débous sur la tête, lardés de coups de couteaux dans le ventre, certains éventrés, émasculés, le crâne écrasé à coups de pierres tous sauvagement achevés, sous les Yous-Yous des femmes musulmanes encourageant ainsi ces lâches assassinats d’européens désarmés.
Les assaillants sont armés de débous dont le bout a été muni de lames de rasoir, de boussaadis, de haches, de faucilles, de pierres apportées par pleins couffins. Les meneurs possèdent quelques armes à feu.
Voilà le scénario horrible, avec les cris « n’katlou ennesssara »  qui s’est déroulé au centre –ville et au marché aux bestiaux pendant une bonne heure. La ville résonne des coups de matraque sur les rideaux métalliques, sur les portes, sur les volets, des cris sauvages poussés par les émeutiers, des plaintes, des supplications des victimes.
L’intervention bien tardive des forces de l’ordre met en fuite ces hordes barbares qui laissent derrière elles un spectacle abominable. C’est l’horreur, la vision d’un champ de bataille. Des corps affreusement mutilés, méconnaissables gisent dans de grandes flaques de sang noirâtre où les mouches s’agglutinent, des chaises, des tables disloquées, des éclats de verres, des vêtements, des chaussures abandonnés.
Les rideaux métalliques, les portes souvrent , les secours s’organisent immédiatement, les bars, brasseries, les magasins se transforment en infirmeries. Les médecins, pharmaciens, infirmiers et infirmières aidés par les habitants portent secours aux blessés, les plus gravement atteint sont transportés aussi bien à l’hôpital civil qu’à l’hôpital militaire. On pense, on soigne, on réconforte. Les corps sans vie sont transportés à la morgue. C’est la course aux nouvelles, l’inquiétude pour les siens.
LES FORCES DE L’ORDRE.
C’est le général Henry Martin qui est commandant en chef du 19 éme corps d’armée et de la X éme région militaire à Alger. Le 7 mai au soir, tous les renseignements reçus par le Gouverneur Général Yves Chataigneau, prévoient des manifestations de masses et des troubles pour le lendemain. Le Général prescrit immédiatement à ses trois divisions territoriales de consigner les troupes avec leurs officiers et de constituer des piquets en armes.
A Sétif, le colonel Bourdilla, commandant la subdivision n’a à sa disposition que quelques sections très réduites de la base Arrière du 7éme R.T.A , composées en forte majorité d’indigènes. Le 7 mai au soir, le Colonel prescrit certaines dispositions d’alerte, tous les Officiers et Sous-Officiers sont consignés à la caserne. Le 8 mai dès 5 heures, il fait rassembler dans la cour du quartier Chadeysson, 2 sections en armes. Les faisceaux sont formés dans la cour, les hommes prévenus qu’ils devront les rejoindre sur un simple coup de sifflet. L’ordre est donné, au Chef du détachement, d’éviter à tout prix, en cas d’intervention, de faire usage des armes, sauf en cas de légitime défense. Ils attendront pour intervenir l’ordre du Sous-préfet
N’oublions pas que Sétif est placé sous l’autorité civile en l’occurrence celle du sous-préfet Butterlin. C’est seulement à 8h45 que ce dernier signe un ordre de réquisition de la troupe, établi selon la formule prescrite par la loi, dans le cas où celle-ci serait appelée à intervenir pour le maintien de l’ordre.
A 9 h, l’alerte est donnée par un agent de police qui se précipite à la caserne en criant « on tire du côté du café de France »
Aussitôt l’ordre est donné au chef de bataillon Rouire, de prendre le commandement du détachement d’alerte et de se rendre vers le point où éclatent les troubles. La troupe s’y rend au pas de gymnastique et y arrive à
9 h10. A son apparition les manifestants se dispersent dans toutes les rues du centre-ville. Sans faire usage de ses armes, précédée par 4 clairons qui sonnent la charge, elle fait évacuer les rues principales.
A 9 h 45, une autre section reçoit l’ordre de se rendre en ville afin d’assurer la garde de la sous-préfecture, de la mairie et de l’hôtel des postes et de nettoyer les rues avoisinantes.
A 11 h, le commandant Roure reçoit l’ordre de faire évacuer le marché à bestiaux où plusieurs milliers d’indigènes sont rassemblés. Pour cela, il dispose d’une section, l’ordre formel est renouvelé ne pas faire usage des armes à feu. Repoussant les manifestants à coups de crosses, sans tirer un seul coup de feu, malgré la découverte de cinq corps d’européens affreusement mutilé, méconnaissables, cette action est menée à bonne fin.
A partir de midi, les forces de l’ordre ont complétement repris le contrôle de la ville, les manifestants s’étant enfuis abandonnant leurs armes : débous dont l’extrémité est muni de lames de rasoir, couteaux, serpes, quelques armes à feu. Quelques détachements militaires sont placés à toutes les issues afin de sécuriser la ville.
LA POLICE D’ETAT.
Le personnel de la police d’état comprenait 40 agents pour la plupart musulmans, 20 gendarmes avaient été mis à la disposition du commissaire Bergé. Cette poignée d’hommes disposant d’un armement dérisoire, renforcé par quelques inspecteurs de la PJ. Firent face aux manifestants avec courage, sauvant de nombreux européens.
LES GARDES MOBILES
Les Gardes mobiles sont consignés dans leur caserne à l’extrémité est de la ville. Quand ils reçoivent l’ordre d’intervenir pour le rétablissement de l’ordre, il est bien trop tard. L’insurrection a éclatée. Leur car n’arrive pas à se dégager de la masse des manifestants, ils sont contraints de faire usage de leurs armes pour se dégager. Mais nous savons qu’ils n’étaient, sauf les officiers, munis de munitions d’exercice.
Le sous-préfet fut mis aux arrêts en résidence surveillée à la sous-préfecture même, gardé par un sous-officier Fillon Gilbert et quatre tirailleurs, sur ordre du général Commandant la division de Constantine, mais sur ordre supérieur des Autorités Supérieures civiles d’Alger, il fût relâché et participa, aux côtés de toutes les autorités, à la grande cérémonie de l’aman sur la plage de Souk el Tenine.
Le général Duval accompagné du préfet de Constantine M. Lestrade Carbonnel arrive en soirée, sans escorte. Sa présence apporte à la population meurtrie un certain réconfort, à cette dernière qui demandait des armes, il la dissuade de se constituer en milice de défense, car dit-il des renforts arrivent.
Cette première nuit est lugubre, la population veuille ses morts. Ce sont vingt- neuf cercueils qui sont disposés dans une chapelle ardente dans une salle municipale. Les blessés ne se comptent pas, certains gravement atteints décéderont dans les jours suivants.
Les renforts militaires arrivent par la route et aussi par chemin de fer.
Dès le lendemain matin, on apprend que l’émeut s’étend vers les villages du Nord qui bordent la Petite Kabylie, c’est l’angoisse, l’incertitude. Des nouvelles les plus contradictoires faisant état de nombreuses victimes, de villages détruits, incendiés aggravent le malaise.
Le 10 mai, la population européenne, dans un interminable cortège traversant les rues désertes, conduit les siens à leur dernière demeure. La cité est en deuil, l’émotion à son comble, le glas résonne, le silence est seulement entrecoupé de longs sanglots. Le Gouverneur Général dans un silence glacial fait une brève apparition en civil. Les jours suivants se déroulent d’autres obsèques, de nombreux blessés arrivent des villages ainsi que des familles entières de réfugiés ayant tout perdu, c’est le lot quotidien de drames.
L’insurrection est maîtrisée à Sétif, mais se propage vers le Nord, la Petite Kabylie – des taxis partent de Sétif dans toutes les directions apportant l’ordre de l’insurrection, des fausses nouvelles sont répandues : «  la ville de Sétif est entre nos mains, nous avons massacré tous les roumis, tenez-vous prêts nous allons recevoir des armes ». En quelques heures toute la frange orientale du pays est en rébellion, de Bougie à Guelma, le Nord Constantinois, de la Kabylie des Babors à la frontière Tunisienne c’est le scénario du 8 mai, des foules d’émeutiers armés, fusils de chasse et armes de guerre, se précipitent sur les communautés européennes, le mot d’ordre, le djihad, tuez les roumis, à cet appel les fellahs se transforment en assassins. La liste des assassinats, des viols, attaques de villages, de hameaux, de fermes, destructions des biens européens la liste est bien longue, je ne citerai que les principaux : El-Ouricia – Péritgoville – Chevreul entièrement détruit, Sillègue – Kerrata – Aïn –Abessa-Aïn-Roua –Lafayette- les Amouchas – au bord de la Méditerranée : Oued –Marsa – Cap Aokas – Souk El Tenine - les Falaises – Ziama Mansouriah – Didjelli – El Miliah puis St-Arnaud – Fedj M’Zala – Chateaudun du Rhumel. Les Maisons Forestières là où lieu des assassinats, des viols, des enlèvements : Biabel – Tamsout – Tamentout –Aïn Settah – Beni Siar – Tamendjar – M’Cid – Beni F tah – Aïn Fadel- route de Tamentout à Chevreul.
Les villages du Sud de Sétif s’étant mis rapidement en auto-Défense avec la distribution des armes de guerre stockées dans les mairies, les Chaouias ne s’étant pas joins à la rébellion, ne subirent aucuns dommages, ni attaques sérieuses à l’exception des récoltes qui furent piétinées par les troupeaux des Naïlis arrivés du Sud, ils fallut pour les faire refluer qu’un « Piper » lance quelques grenades pour les effrayer et faire refluer toutes les caravanes qui dévastaient les champs de céréales, causant d’importants dégâts.

La région de Guelma à Bône subie les mêmes attaques, crimes, destruction.
Ce sera l’objet d’un autre chapitre.

 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/05/requisitoire-contre-de-gaulle.html
 
 
 

Le samedi 9 mai 2015 de 15 à 18h aura lieu une discussion-dédicace à la Librairie du Paillon (2, rue Georges Ville 06300 Nice. T:04 93 56 19 59) avec Jean-Loup Gassend auteur du livre "Le débarquement de Provence : La libération de la Côte d'Azur, août-septembre 44, Opération Dragoon" paru aux éditions Heimdal.


C'est un ouvrage de référence de 550 pages dont voici la présentation:

Présentation de l'éditeur
Alors que la Bataille de Normandie prend fin et que la Libération de Paris n'est plus qu'une question de jours, les Alliés ouvrent, le 15 août 1944, un second front dans le Sud de la France. Tandis que des commandos français débarquent sur la côte provençale et escaladent les falaises du Cap Nègre, que la Devil's Brigade de la 1st Special Service Force s'empare des îles de Port-Cros et du Levant, cinq mille parachutistes de la First Airbone Task Force sautent à l'intérieur des terres près de Draguignan. L'opération Dragoon vient de commencer... Face aux forces alliées une seule division allemande : la 148.Reserve-Division. Hétéroclite, composée de jeunes soldats souvent peu expérimentés, d'éléments polonais, slovènes ou tchèques souvent peu motivés, elle résistera parfois avec acharnement et conduira une retraite ordonnée sous les ordres du Generalleutnant Otto Fretter-Pico. Cette opération est pour la première fois étudiée en profondeur et sur toute sa durée. Sous la plume de Jean-Loup Gassend nous suivons jour par jour, heure par heure et village par village, la progression des troupes alliées à travers les paysages de Provence jusqu'à la frontière italienne. Avec une grande rigueur et un souci du détail frappant, l'auteur pose le décor des combats puis, et c'est la richesse de cet ouvrage, donne la parole aux acteurs. Ces témoignages d'anciens combattants de tous bords ou d'habitants de la région apportent à cet ouvrage une humanité, une émotion rare. Parachutistes américains, marins français, résistants, soldats allemands ou simples civils, chacun livre ici ses souvenirs, sa vérité. La guerre et le combat y sont décrits avec une précision cruelle, mais aussi avec pudeur et sensibilité. Médecin légiste et archéologue amateur, l'auteur fait également parler la terre de Provence. Investigant sur le terrain, il exhume des terres rouges de l'Esterel les témoignages émouvants de ceux qui ont donné leur vie. Il a ainsi souvent permis l'identification de combattants depuis longtemps portés disparus. Doté d'une iconographie originale particulièrement riche cet ouvrage est un document exceptionnel sur cet épisode capital de la Seconde Guerre mondiale, souvent méconnu du grand public.
Biographie de l'auteur
Ayant longtemps vécu dans les Alpes-Maritimes et depuis toujours passionné par la Seconde Guerre mondiale Jean-Loup Gassend a, au cours des dix dernières années, exploré les champs de bataille de la Libération, interrogeant les témoins, retrouvant des artefacts et enquêtant sur le sort des soldats tués au combat. De nationalité Française et canadienne, l'auteur parle couramment l'anglais et maîtrise la langue allemande. Ceci lui a permis de retrouver la trace de nombreux vétérans et archives jusque-là ignorées aux Etats-Unis, au Canada et en Allemagne, et d'écrire un récit équilibré de la libération des Alpes-Maritimes, prenant en compte des informations et points de vue provenant de tous les belligérants présents sur place en 1944.

En P.J, l'affiche de la dédicace et un article de Nice-Matin sur le livre pour le 70e anniversaire du Débarquement.

 
 
 
Homélie de Monseigneur Jean-Yves MOLINAS - 1° Mai 2015 – Notre Dame d’Afrique à Théoules

Cette année encore, Notre Dame d’Afrique nous accueille sur cette colline qu’Elle a sans doute choisie, et depuis laquelle Elle nous permet de nous tourner vers l’autre rive, celle de notre Algérie perdue. Notre exil commençait il y a cinquante trois ans. J’utilise l’imparfait, car nous pouvons considérer que l’action n’est pas achevée et que d’une certaine manière nous sommes toujours en exil. Le mensonge, le parjure nous ont arraché à notre terre, et justice ne nous a pas encore été rendue. La sera-t-elle un jour ? Rien n’est moins sûr tant il est évident que de tous bords on continue à pratiquer la désinformation et le travestissement de l’histoire. Peut-être la vérité sera-t-elle rétablie un jour lorsque plus aucun d’entre nous ne résidera sur cette terre, grâce à l’honnêteté de chercheurs objectifs ou de patriotes – mais en existera-t-il encore ? - qui finiront par refuser de voir la France trainée dans la boue et le déshonneur. Peut-être, parmi ceux qui viendront après nous, se lèveront des fils et des filles de France qui ne supporteront plus de laisser insulter leurs ancêtres ; eux qui consentirent aux plus grands sacrifices pour le rayonnement de la civilisation et l’avancée du progrès sur des terres lointaines et inhospitalières.
La colonisation ! Le grand mot qu’il ne faut plus prononcer sinon pour condamner. Certes, la perfection n’étant pas de ce monde, l’action humaine, la meilleure soit-elle, se doit d’être initiée et guidée par les sentiments les plus hauts ; ceux là-même par lesquels l’homme se réalise pleinement en répondant à l’appel de Dieu ; appel qui se résume en un verbe : AIMER. Et justement, qui pourrait le nier, l’amour n’était-il pas présent chez ces prêtres, religieux, religieuses qui donnèrent leur vie pour annoncer le Christ à ces populations autochtones, qui vivaient dans des conditions où la superstition et la coutume enserraient l’homme, et surtout la femme, dans un mode de vie venu du fond des âges ? L’amour n’était-il pas présent chez ces hommes et ces femmes, scientifiques, médecins, infirmières (ces dernières presque toujours des religieuses) qui n’hésitèrent pas à vivre au cœur même des épidémies ou auprès des lépreux pour leur apporter réconfort et remèdes puis guérison, alors que la maladie les avait exclus de toute vie sociale ? L’amour n’était-il pas aussi présent chez tous ces techniciens, ingénieurs, ouvriers qui participèrent à l’émergence de nouvelles contrées par l’ouverture de routes, de voies ferrées puis de lignes aériennes qui permirent des communications jusqu’alors impossibles ?
Fallait-il abandonner ces peuples à leur sort ? Si tel avait été le cas, nous n’aurions sans doute pas aujourd’hui à déplorer Lampéduza et le tragique phénomène migratoire que connaissent des milliers d’hommes et de femmes originaires de ces pays, abandonnés dans le cadre d’une indépendance hâtive et criminelle.
Des aspects négatifs de la colonisation ? Certes, il y en eut ; mais pourquoi nier tout ce qui fut positif, bénéfique ?
Pourquoi, sinon pour continuer l’œuvre de démolition de l’occident chrétien entreprise depuis plusieurs décades dans le but de laisser la place à un gouvernement mondial, dont on ne sait pas trop ce qu’il est mais qui existe bel et bien, et dont la motivation essentielle est la haine de Jésus-Christ et l’asservissement de la population du monde entier, sous le couvert de faux progrès sociaux qui donneraient enfin à l’homme une liberté jamais atteinte : celle de s’assumer lui-même, sans Dieu. Cet accomplissement se réalisant ainsi grâce à des lois iniques comme celles établissant l’avortement banalisé, la théorie du genre, le mariage pour tous, et bientôt l’euthanasie. Et c’est bien de cela qu’il s’agit aussi pour les pays sous développés ou émergents dont les dirigeants sont sollicités afin que, moyennant subventions diverses, ils incluent ces textes infâmes dans les lois et les constitutions de leurs pays. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est le Cardinal Robert Sarah, dans son livre « Dieu ou rien ». Le cardinal Sarah, guinéen, nommé par le Pape François préfet de la congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, s’insurge avec force contre cette pratique ignoble qui touche un grand nombre de pays d’Afrique.
Peut-être êtes vous surpris par mon propos ? Quel rapport avec le drame qui est le nôtre ? Pourquoi ? Et bien tout simplement, parce que, avant d’autres, nous avons eu le tort de nous trouver sur le chemin de cette entreprise surgie des ténèbres, et qui aujourd’hui semble sur le point de l’emporter. Certes, nous connaissons les acteurs directs de notre malheur. Dans l’ordre d’entrée en scène citons l’islamisme alors rampant qui fut utilisé pour fanatiser les foules, l’idéologie marxiste, les communistes et les porteurs de valises de tout crin qui tiennent aujourd’hui le haut du pavé et qui se présentent comme d’authentiques humanistes, alors qu’ils ont encore les mains dégoulinantes du sang des victimes du terrorisme, et enfin, bien sûr, celui qui sut si bien nous trahir en se présentant comme le sauveur de l’Algérie française, mais qui se hâta de la perdre dès qu’il obtint le pouvoir. Détestables acteurs d’une trahison sans nom, coupables sans doute des pires crimes que l’on puisse commettre, mais aussi et d’abord suppôts du maître des ténèbres qui ne cesse de revendiquer son royaume. Oui, en constatant aujourd’hui le résultat atteint par ces forces du mal et la situation dans laquelle le monde se trouve, on ne peut douter que tout se tient et que l’Algérie a été une étape dans une stratégie dont le but est la conquête du monde.
Ainsi donc, Frères et Sœurs, et vous le savez bien, le combat n’est pas terminé. Nous devons continuer à lutter pour la vérité sur la guerre d’Algérie et sur le sort qui fut réservé aux Pieds Noirs et à leurs frères les Harkis, mais aussi nous devons engager sans tarder le combat pour la défense de notre foi, de notre culture et de notre patrie. Dès son élection sur le trône de Pierre, Saint Jean Paul II avait dit à la foule massée sur la place Saint Pierre, et au monde entier : « N’ayez pas peur ! ». Sans doute, le prophète qu’il était entrevoyait-il la lutte que l’Eglise allait devoir mener face aux attaques des forces maléfiques. L’attentat dont il fut victime est bien la preuve que sa clairvoyance et son tempérament de lutteur déjà exercé contre le pouvoir communiste en Pologne, constituaient un sérieux obstacle aux visées de l’ennemi. Mais la foi de ce grand saint qui fut notre contemporain, le maintint dans une détermination sans faille. Demandons-lui donc de nous soutenir dans le combat que nous avons à mener. N’ayons pas peur ! Nous savons que le Christ a déjà remporté la victoire. Mais nous ne pourrons nous y associer que si nous prenons notre part dans la bataille décisive qui se prépare. Le temps des tièdes est définitivement révolu. Il est grand temps de nous affirmer comme chrétien si nous le sommes ou de le devenir en vérité si nous ne le sommes pas encore. Inutile de pleurnicher sur la négation des racines chrétiennes de la France et de l’Europe, si nous ne vivons pas nous-mêmes de la foi chrétienne. En fait, et c’est très simple, mais oserais-je vous le dire ? Et bien oui, il nous faut changer de vie, il faut nous convertir, il faut devenir des saints. C’est bien à cela que Dieu nous appelle. Nous ne pourrons nous libérer des ténèbres qu’à cette condition. Lors de son premier voyage à Paris, St. Jean-Paul II posait cette question : « France, fille aînée de l’Eglise, qu’as-tu fait de ton baptême ? » Jésus-Christ et la France c’est tout un comme aurait pu le dire Sainte Jehanne d’Arc. Et je terminerai par ces paroles très graves du Christ : «  Qui n’est pas avec Moi, est contre Moi. » (Mat. 12,30)
Voilà, il n’y a plus de temps à perdre. Chacun est placé face à ses responsabilités. Que la Vierge Marie, Notre Dame d’Afrique, nous garde et nous protège, Elle qui est chargée d’écraser la tête du démon.

 

 
 
 
CAMERONE-2015
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Comme le FLN!
 
 
Maison du Combattant - Toulon - Mercredi 13 mai 2015
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/04/la-valise-ou-le-cercueil-hier-pour-les-pieds-noirs-et-les-harkis.html
 
 
http://www.secoursdefrance.com/images/stories/pdf/NL_SDF_201504.pdf
 
Avec eux les jours...les mois...les années se suivent et se ressemblent.....!
Avec une telle profession de foi......comment espérer devenir un jour amis....??
l'informaticien...!!! (???)..... Algérien de dimanche n'avait pas d'autre objectif..!

H.D
 
 

Chers Amis,
Oui! Les Pieds-Noirs sont blessés aujourd'hui... car on oublie le massacre abominable des 101 Français qui a conduit à cette répression fortement surévaluée par les autorités Algériennes : 40000 au lieu de 1500-6000 selon différentes sources de l'Armée Française - voir le témoignage du Préfet Roger Benmebarek à Sétif en 1945!! et les Infos de ce matin de JC Rosso!

Et encore la Repentance au lieu d'une toute petite Reconnaissance de l'œuvre de la France en Algérie de 1830 à 1962! sans parler de tous nos morts pendant la guerre et surtout après le 19 mars 1962... leur soi-disant "Cessez le Feu" = Fête de la Victoire

Bien amicalement

Anne-Marie Triboi-Blondel
http://www.directmatin.fr/france/2015-04-22/bt-thierry-rolando-les-pieds-noirs-sont-blesses-aujourdhui-703327
 
 
Un ministre français à Sétif, 70 ans après ( RL du 20 avril 2015, page 4)

Jean-Marc Todeschini, s’en est allé à Sétif réconcilier les mémoires des Français et des Algériens. N’est-il pas Secrétaire d’État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire ? Singulier pluriel : rien n’est plus subjectif que le traumatisme provoqué par une situation conflictuelle.
Sans entrer dans un débat sordide sur le nombre des victimes de la répression des manifestations nationalistes du 8 mai 1945, il est navrant de voir la France adopter le récit national algérien. Celui-ci considère comme spontanées des manifestations téléguidées de l’Étranger. Devons-nous cautionner le chiffre des morts exhibé par l’Algérie qui multiplie par cinq les estimations les plus sérieuses de la recherche historique, tout en ignorant les massacres perpétrés contre les Européens, essentiellement des femmes isolées, violées et mutilées avant de mourir ?
Dans le même temps, le Secrétaire d’État va à Mers-el-Kébir pour un hommage aux 1300 marins disparus lors du bombardement britannique du 3 juillet 1940. Il se garde bien, en revanche, de se rendre dans la ville toute proche d’Oran où au moins 700 Français et Algériens furent enlevés et massacrés en quelques heures, le 5 juillet 1962. Un massacre oublié, il est vrai, au nom de la raison d’Etat et du politiquement correct.
Il est mortifère pour notre cohésion nationale d’avoir une mémoire hémiplégique. D’ailleurs les mânes de toutes ces victimes, sans distinction, n’ont que faire des arrière-pensées politiciennes qui déterminent les relations franco-algériennes.
Les mémoires instrumentalisées divisent. Seul le rétablissement des faits par le travail des historiens apportera l’apaisement. Or l’Algérie n’ouvre pas ses archives et la France prolonge délai de mise à disposition de certaines des siennes, parmi les plus sensibles, jusqu’en 2088. Cherchez l’erreur.

Danielle Pister-Lopez
Agrégée de Lettres – Maitre de Conférences des Universités honoraire-Université de Lorraine (Metz)

Article de presse

 
 
https://www.youtube.com/watch?v=XEgvbUHYTRg
 
 
Une délégation du Collectif national NON au 19 mars a été reçu par madame le Chef du Cabinet du Préfet du Var, à l'occasion de la visite de Jean-Marc TODESCHINI en Algérie...
Compte-rendu
 
 
 

8 MAI 1945 : LA REPRESSION GAULLISTE DE SETIF APRES LA TUERIE DE PLUS DE CENT CIVILS

La répression qui suivit l'odieux massacre de plus de cents civils européens et musulmans fidèles à la France lors des émeutes du 8 mai 1945 à Sétif et Guelma fut ordonnée par le gouvernement légal de la France du général De Gaulle, alors président du Gouvernement provisoire de la République française. Le ministre de l'intérieur était Adrien Texier, le ministre de la Guerre André Diethelm, celui de la Marine, Louis Jacquinot, et de l'Air, le communiste Charles Tillon. Ce sont eux qui, sur la directive du général De Gaulle, organisèrent la répression permettant de rétablir l'ordre républicain. Selon la tendance des historiens, celle-ci fit entre 1500 et 45.000 victimes. Selon la thèse du préfet Roger Benmebarek, dont le père était alors Administrateur de la région, elle se situe plus probablement à 2500 « Français musulmans ».

 
 
Pour faire cesser les Repentances,
Ouvrez les archives!
Elles sont bloquées jusqu'en 2088.
Demandez-vous pourquoi ?

Toulon, le 20 avril 2015
Collectif national NON au 19 mars 1962

 
 

Un membre du gouvernement français en Algérie pour le 70e anniversaire du massacre de Sétif

Métropole Source : Paris (AFP) - Publié le 07/04/2015 à 19h29, mis à jour à 19:46

Le secrétaire d’Etat français chargé des Anciens combattants, Jean-Marc Todeschini, le 22 janvier 2015 © AFP/Archives - ERIC FEFERBERG

Le secrétaire d’Etat français chargé des Anciens combattants, Jean-Marc Todeschini, se rendra à Sétif en Algérie pour le 70e anniversaire du massacre de milliers d’Algériens sous la colonisation française, une première à ce niveau de représentation, a-t-on annoncé mardi dans son entourage.

M. Todeschini effectuera un "voyage mémoriel" du 19 au 21 avril à Sétif (nord-est) puis Mers El-Kébir (ouest) et Alger, a indiqué son cabinet à l’AFP. "Le message du gouvernement sera : aucune mémoire n’est oubliée, on est dans une mémoire apaisée", a-t-on ajouté de même source.

Le massacre de Sétif reste l’une des pages les plus noires de l’Algérie française. Le 8 mai 1945, alors que la France célébrait la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie, les festivités tournèrent au drame à Sétif, Guelma et Kheratta, dans l’est de l’Algérie, où des nationalistes défilèrent, drapeaux algériens à la main.

La répression des manifestations, considérées comme les prémices de la guerre d’indépendance, fit plusieurs milliers de morts parmi les Algériens - jusqu’à 45.000 selon la mémoire collective algérienne - victimes de la police, de l’armée ou de milices de colons. Une centaine d’Européens, pris à partie par des nationalistes algériens, furent également tués.

Le 27 février 2005, l’ambassadeur de France en Algérie, Hubert Colin de Verdière, a reconnu une responsabilité de la France dans ces massacres en évoquant une "tragédie inexcusable".

Mais aucun membre du gouvernement français ne s’est jusqu’ici rendu à Sétif pour commémorer cette page sombre de l’histoire commune franco-algérienne, a-t-on indiqué dans l’entourage de M. Todeschini.

Malgré les déclarations de dirigeants français, notamment du président François Hollande qui a reconnu en décembre 2012 les "souffrances que la colonisation a infligées" aux Algériens et dénoncé un "système (colonial) profondément injuste et brutal", le travail de mémoire reste compliqué entre les deux pays.

L’Algérie souhaiterait que la France aille au-delà de cette politique des "petits pas" et s’excuse pour son passé colonial. Paris se refuse pour l’heure à faire acte de "repentance" tout en reconnaissant que la relation franco-algérienne doit reposer sur un "socle de vérité".

"Le but du voyage, c’est de mettre en lumière la mémoire partagée", a-t-on relevé dans l’entourage du secrétaire d’Etat qui se recueillera à Sétif en mémoire des victimes de la répression.

Il s’y rendra en avril plutôt qu’en mai non pour éluder les commémorations officielles algériennes mais pour des raisons d’agenda, la France célébrant de son côté le 8 mai le 70e anniversaire de la fin de la guerre de 1939-1945, a-t-on précisé de même source.

A Mers-el-Kébir, dans le golfe d’Oran (ouest), M. Todeschini commémorera le 75e anniversaire de l’attaque de la marine française par la marine britannique, en juillet 1940, peu après la signature de l’armistice franco-allemand avec le Troisième Reich.

Sétif : polémiques sur le déplacement du secrétaire d'Etat aux anciens combattants

http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/ Publié le vendredi 10 avril à 11h16 Jean-Dominique Merchet

La guerre d'Algérie n'est décidemment pas terminée. Mardi, le gouvernement annonçait, via une dépêche de l'AFP, que le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants, Jean-Marc Todeschini, se rendrait à Sétif pour « le 70e anniversaire du massacre de milliers d'Algériens sous la colonisation française».

Dans un communiqué, l’Union Nationale des Combattants (UNC) exprime sa «stupeur» à l’annonce de cette «visite inopportune» et «tient à faire connaitre sa totale réprobation» face à cette « provocation inacceptable». Selon elle, ce voyage «ne contribue en aucun cas à apaiser la mémoire mais bien au contraire s’inscrit dans une démarche supplémentaire de repentance de notre pays, démarche que l’UNC condamne totalement».

De son côté, l'historien Bernard Lugan, proche de l'extrême-droite, considère que «la visite à Sétif d'un membre du gouvernement français est à la fois une insulte à l'histoire et une faute politique», ainsi qu'une «humiliation de la France». Selon lui, «c'est un gage que François Hollande donne au noyau dur de son électorat». Reprenant le dossier historique, Bernard Lugan affirme que «les nationalistes algériens avancèrent un bilan de 40 000 victimes, chiffre lancé sans vérification par une source diplomatique américaine favorable aux indépendantistes. Le FLN alla ensuite jusqu'à parler de 70 000 morts... Certains historiens avancent quant à eux le chiffre de 6 000 à 6 500 morts tout en soulignant qu'il s'agit là d'une estimation « haute ». Quant au préfet Benmebarek (2010), il estime que le nombre des morts serait d'environ 2 500».

Comme l'Opinion l'annonçait en janvier, la présence d'un ministre était envisagée depuis des mois, mais le niveau exact de la représentation française faisait débat. L'Elysée a tranché : ce sera donc le secrétaire d'Etat aux anciens combattants, et non un ministre «régalien» (Affaires étrangères, Défense, etc). A plusieurs reprises, les ambassadeurs de France en Algérie se sont rendus aux cérémonies, reconnaissant la responsabilité de notre pays dans ce massacre. Le 8 mai 1945, l'armée française avait bombardé la région de Sétif où un soulèvement nationaliste et des assassinats d'une centaine d'Européens venaient d'avoir lieu. Le bilan se situe entre 5 000 et 10.000 morts, selon les historiens et Sétif est devenu un lieu de mémoire essentiel de l'Algérie indépendante.

Jean-Marc Todeschini se rendra bien à Sétif, mais «surtout pas le 8 mai», indique un proche du dossier. Le souci de l'Elysée et du gouvernement était de ne pas «polluer» les commémorations de la victoire alliée contre le nazisme par des polémiques sur le passé colonial de la France. La visite que le secrétaire d'Etat effectuera en Algérie, les 19 et 20 avril, est calibrée au millimètre près. D'abord une visite à Mers-el-Kébir, l'ancienne base navale française, où 1 300 marins avaient été tués par la flotte anglaise, le 3 juillet 1940 – il y a soixante-quinze ans cette année. Jean-Marc Todeschini se rendra au cimetière français, mais n'y prononcera pas de discours. Même silence à Sétif, où il devrait se recueillir devant un monument aux morts. Ce n'est qu'une fois revenu à l'ambassade de France, sur les hauteurs d'Alger, qu'il prononcera le seul discours de sa visite. Il sera question de «mémoires partagées et apaisées» et de l'assurance qu'«aucune mémoire n'est oubliée».

 
 


La ciguë et Socrate.


Socrate est mort assassiné, empoisonné, par ordre. Il gênait.
Aujourd’hui, la ciguë existe toujours pour éliminer ces Pieds-Noirs qui gênent.
Je croyais que ma mémoire avait bu sa ciguë jusqu’à la dernière goutte pour qu’elle s’éteigne, pour que le passé de l’Algérie – française – ne soit plus qu’un détail de l’histoire : la date d’une indépendance offerte et d’un exode ignoble n’appartenant plus à l’Histoire de France, parce que de nombreux politiciens ne veulent pas reconnaître ce temps d’une tragédie.
Je croyais que le dédain que je subissais prendrait fin et qu’à l’approche du prochain crépuscule que sera le mois de juillet 2015, plus de cinquante ans après l’abandon de ma terre natale, une Patrie réconciliée tendrait définitivement à ses enfants d’Algérie une main loyale et fraternelle. Je croyais...
Au fil des années, que de fois j’ai enduré des mensonges, de fausses vérités qui faisaient de mon histoire une période honnie, vouée aux gémonies.
Au fil des années, des voix « autorisées » de gouvernants, avec une presse « engagée » et irresponsable ont cependant continué à semer des contrevérités sur les cent trente deux ans de la présence européenne en Algérie : une terre sans racine hissée au monde moderne du XX ° siècle !
Finalement, avec d’autres patriotes Pieds-Noirs, et pour l’honneur de l’Histoire de France j’ai souhaité, à mon modeste niveau, porter la contradiction à ces impostures politiciennes et affirmer ma « Vérité » ; expliquer que toute cette violence agressant l’âme pied-noir ne méritait pas autant d’opprobre et de discrédit, ni cette accusation de fasciste, de colon, de « coupable » d’office.
Des voix d’ailleurs se sont élevées, s’élèvent encore, pour apporter les preuves de ce « bourrage de crâne » et de ces mensonges. Elles sont souvent étouffées par la puissance mythomaniaque de clans humano-gauchisants qui, pour gagner de prochaines élections, veulent comptabiliser pour acquises des voix étrangères, soumises au communautarisme et non à la démocratie républicaine qui est la nôtre.
C’est là que la ciguë qui veut exterminer ma mémoire agit, sans que des députés ou des sénateurs douillettement installés dans leur fauteuil, se réveillent et crient : « Non ! N’avale pas cette dernière goutte ! Ne meurs pas ! »
Hélas, la désinformation et la volonté de rompre avec l’Histoire de France, celle qui me fut enseignée dans mon enfance : la conquête du monde sous l’oriflamme bleu, blanc et rouge au son du clairon ; les batailles gagnées ; le dévouement apporté pour éradiquer des territoires nouveaux les fléaux de la nature et les maladies endémiques, semblent les plus fortes... Toute cette longue épopée devient de nos jours matière à relativisme, effacement, destruction, telle une nuit de « Cristal ». Le pays s’ouvre aux tempêtes des temps modernes et à l’envahissement par la mer de qui atteindra la côte européenne ou qui, parce qu’il est chrétien et humble sera passé par-dessus bord, afin que le communautarisme arrive seul à bon port avec ses us, ses coutumes et la richesse de ses commanditaires, pour occuper une terre malade de son extravagant endettement.


Je croyais que ma mémoire avait bu la ciguë jusqu’à la dernière goutte, assaillie par l’arrogance et la haine trompeuse de mes détracteurs déformant la Vérité., distillant le mensonge. Je me trompais une fois de plus. Je n’avais rien compris !
Ma mémoire est-elle coupable d’appartenir à une vieille France que je respecte, sans avoir le droit d’une petite place dans l’Histoire : la VRAIE ?
Hélas, je tombe une fois de plus de Charybde et Scylla, sans pouvoir stopper les imprécations qui puent la détestation et se déversent dans un tonneau des Danaïdes sans fond où la Vérité se perd.
Je suis coupable ! Ma condamnation est irrévocable face à la politique politicienne qui décide et ordonne. Ainsi, après que la manifestation FLN de Paris le 17 octobre 1961 soit déclarée jour du souvenir et que des roses soient jetées dans la Seine, le 19 mars 1962 fut imposé comme cérémonie de fin de guerre.
Cela suffisait-il à faire de moi un condamné ? Non. Mille fois non ! Avec la ciguë, il me faut boire le calice jusqu’à la lie. Une dernière goutte m’atteint de nouveau.
Une goutte, mais est-elle la dernière pour effacer ma mémoire de l’Histoire ?
En effet, un pas de plus vient d’être franchi par le pouvoir socialiste vers cette repentance exigée par le pouvoir despotique de l’Algérie FLN. Le gouvernement français délègue au 70 ieme anniversaire de la manifestation algérienne d’un « massacre » non défini en 1945, à Sétif et Guelma, le secrétaire aux Anciens Combattants. Jean-Marc Todeschini. Il va fleurir un monument qui raconte une fausse histoire. Un drame contraire à la vérité historique qu’en son temps, les communistes français et les rebelles algériens transformèrent en une légende qui perdure et que notre pays va reconnaître comme vérité.
Un geste ou un acte de forfaiture qui confirme combien le relativisme d’Etat prend ses marques et renie l’histoire ancienne de la France. Avant tout, en oubliant que les actions menées à l’époque étaient le fait d’un gouvernement gaulliste ; ensuite en reléguant le rôle des Anciens Combattants lors de la guerre d’Algérie à une « erreur » française ; enfin, en oubliant les morts européens, les personnes enlevées, torturées et assassinées par les terroristes et les Harkis, abandonnés sur place à la vengeance FLN, durant le drame de la guerre d’Algérie, entre 1954 à 1962.
Il est un fait. La ciguë qui veut m’éliminer n’a plus de pouvoir sur ma mémoire. Elle continuera son œuvre de défense d’un passé qui ne mérite ni le mépris ni l’oubli.

Robert Charles PUIG à Nice

 
 
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/04/mers-el-kebir-et-setif-un-amalgame-incongru.html
 
 

J'ai mis en ligne les pages suivantes pour information concernant le 8 mai 1945. Interviews de Roger Vétillard sur son bouquin
Amitiés
http://nice.algerianiste.free.fr/pages/new8.html


http://nice.algerianiste.free.fr/pages/setif_mai45/vetillard_mai45.html


http://nice.algerianiste.free.fr/pages/setif_mai45/vetillard_mai45_interview.html


Raphaêl PASTOR

 
 
Cercle Algérianiste de Nice: Hôtel Splendid
50, Bd Victor Hugo
06000 Nice
Samedi 18 avril 2015 à 14 h 30
Conférence
"CAMUS et la violence politique "
par
Jean MONNERET
Historien
Signature de l'auteur
 
 
http://nice.algerianiste.free.fr/pages/setif_mai45/vetillard_mai45.html
 
 
RAPPEL: début de repentance!
https://www.youtube.com/watch?v=jpfAe39tDb8
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/04/nostalgiques-certes-mais-pas-de-ce-que-vous-pensez.html
 
Communiqué du 12 avril 2015, à Monsieur
le Secrétaire d’État Jean-Marc TODESCHINI 


Mémoire partagée: pas pour tous ?



Du 19 au 21 avril 2015 Monsieur le secrétaire d’État français aux Anciens Combattants et à la Mémoire, vous vous rendrez  en Algérie pour réaffirmer que la relation franco algérienne repose sur un socle de vérité et une Mémoire partagée. Vous irez certainement à Sétif pour commémorer les événements du 8 mai 1945 (soulèvement et massacre prémédités d'un millier de personnes, juives, chrétiennes et musulmanes loyalistes, par des insurgés).
Nous ne nions pas la réalité de la répression qui a entraîné la mort de plusieurs milliers d'indépendantistes. Nous déplorons qu'une nouvelle fois  la Mémoire de tous ceux des trois confessions qui ont voulu rester français en 1962, soit oubliée, bafouée, tronquée, liquidée.
Toute mémoire est respectable à condition que celle des Français d’ Algérie ne soit pas systématiquement oubliée lors de visites d'officiels français de l'autre côté de la Méditerranée. Depuis 2012, c'est une forme d'hallali: loi sur le 19 mars, omission pour les cérémonies de la Grande Guerre, des 150 000 juifs et chrétiens venus se battre aux côtés des 175 000 musulmans issus de l'Afrique du Nord, attente de la reconnaissance des responsabilités concernant le 26 mars 1962 à Alger et du 5 juillet 1962 à Oran, ainsi que de l'abandon des Harkis. Nous ne pouvons accepter une repentance à sens unique.
La solution définitive consisterait à faire une grande commission « Histoire et Vérité » représentant toutes les parties concernées: Français de métropole, Anciens Combattants, pieds noirs juifs et chrétiens, Harkis, indépendantistes, algériens actuels et des historiens, comme en Nouvelle Calédonie.
On en est loin. Qu'en  sera-t-il quand les derniers pieds noirs auront disparu, que leur Mémoire finira au mieux dans des cartons poussiéreux, leur dignité une nouvelle fois foulée aux pieds?  Peut-être  notamment pour ce qui est de leurs archives, les associations de pieds noirs devraient se regrouper et finalement s'éloigner symboliquement des gouvernements qui les renient. D'ailleurs, pourquoi sont-elles bloquées jusqu'en 2088, alors que nous souhaitons tous, que la Mémoire enfin reconnue soit écrite et partagée de façon sereine des deux côtés de la Méditerranée ?
Les Québecois dans leur grand dérangement de 1763, trahis eux aussi par leur pays, ont pu rester sur leur terre d'origine.
 "Que les pieds noirs aillent se réadapter ailleurs". Vous devez connaître l'auteur de cette formule Monsieur le Secrétaire d’État ?

Aussi, nous demandons qu'à chaque cérémonie de Mémoire, les Français d'Algérie ne soient pas systématiquement ignorés, aussi bien pour leur participation dans la mise en valeur de l'Algérie, que dans la défense de la Patrie jusqu'à son territoire Métropolitain, ainsi que dans les souffrances que leur fidélité et leur amour de leur pays ont conduit jusqu'à l'exil.

http://bone.pagesperso-orange.fr/titre_rubrique/guerre/villard_8mai45.html
http://algeroisementvotre.free.fr/site0301/mai1945/mai45103.html
http://www.clan-r.org/portail/Jean-Yves-MONOT-Le-8-mai-1945-a
http://www.librairie-pied-noir.com/content/23-setif-mai-1945-evenement
http://guy.perville.free.fr/spip/article.php3?id_article=164



Collectif national NON au 19 mars 1962

 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/04/8-mai-1945-70eme-anniversaire-du-massacre-de-setif.html
 
 
Communiqué du Cercle Algérianiste du 10 avril 2015
 
 
Du 19 au 21 avril 2015, M. Jean-Marc Todeschini, Secrétaire d'Etat français chargé des Anciens combattants effectuera un "voyage mémoriel" en Algérie. Une mémoire sélective puisqu'il est prévu un déplacement à Sétif, repentance oblige..., mais pas à Oran où des centaines de Français furent massacrés et enlevés le 5 juillet 1962 (de Ternant, 2001; Jordi, 2011; herodote.net/5 juillet 1962; Mathias, 2014 et Pervillé, 2014). Le secrétaire d'Etat français n'ira pas davantage à la mine d'El Halia où, le 20 août 1955, 132 Européens furent assassinés; ni d'ailleurs sur l'un des nombreux lieux de supplice des Harkis.
Le déplacement du secrétaire d'Etat français à Sétif s'effectuera à la veille des cérémonies du 70° anniversaire des événements sanglants qui marquèrent la ville et sa région. Plus qu'un symbole, c'est un gage que François Hollande donne là au noyau dur de son électorat. Les porteurs de valises et leurs héritiers demandent en effet depuis des années que la France "reconnaisse sa responsabilité dans la répression" de Sétif. Une telle reconnaissance serait d'ailleurs la suite logique de la politique définie le 17 octobre 2012 par François Hollande quand il rendit un hommage plus que déplacé aux prétendues « victimes » de la manifestation interdite du 17 janvier 1961 à Paris [1].

La visite à Sétif d'un membre du gouvernement français est à la fois une insulte à l'histoire et une faute politique car, pour les autorités algériennes, la "répression de Sétif " est l'emblématique exemple de la "barbarie coloniale française". Retour sur les faits.

Le 8 mai 1945, à Sétif, dans le Constantinois, des militants du PPA (Parti du peuple algérien), interdit depuis 1939 et maintenu dans la clandestinité, décidèrent de profiter des commémorations de la capitulation allemande pour tenter un coup de force (Benmebarek, 2010). Pour maintenir l'ordre, les autorités disposaient de 40 policiers dont environ un tiers d'indigènes, de 20 gendarmes et de 4 compagnies militaires d'instruction composées de recrues locales (Jauffret, 1987, Benmebarek (2010). Quand la police décida de faire retirer une bannière réclamant l'indépendance de l'Algérie, un coup de feu fut tiré et la manifestation dégénéra. Les civils français furent pourchassés et massacrés, non par une foule hystérique comme cela est trop souvent dit, mais par des commandos de tueurs très mobiles et très organisés qui commirent des meurtres à travers la ville. Le bilan fut de 21 Européens tués et de 36 blessés. Au même moment, et donc sans lien avec la manifestation de Sétif, d'autres massacres se déroulèrent dans la région, à Périgotville, Amouchas, Kerrata, Chevreul, Sillègue, Canrobert, Lafayette, Ampère, Davoust, ainsi que dans les maisons forestières isolées de Tamsout, Aïn Settah et Tamentout où 81 victimes européennes furent à déplorer. Parmi elles, les administrateurs Rousseau et Bancel enlevés et assassinés sur la route Sétif-Bougie et l'abbé Navarro abattu dans le village d'El Ourica, à 12 kilomètres de Sétif. Au total, 102 Européens furent assassinés (Vétillard, 2008; Benmebarek 2010).
Des renforts arrivèrent de Constantine et de Philippeville. Si 10 000 hommes furent déployés dans tout le Constantinois, seulement 3700 -dont des tirailleurs algériens- le furent dans la subdivision de Sétif, la plus vaste, la plus difficile d'accès et la plus touchée de la Division territoriale de Constantine.

Aussitôt la nouvelle des tueries connue, le communiste Maurice Thorez, vice-président du Conseil de gouvernement présidé par le général De Gaulle, lança de véritables appels au meurtre et à la répression. Le 12 mai, le Parti communiste distribua un tract dans les villes d'Algérie dans lequel il demandait de " passer par les armes les instigateurs de la révolte et les hommes de main qui ont dirigé l'émeute. Il ne s'agit pas de vengeance ni de représailles. Il s'agit de mesures de justice. Il s'agit de mesures de sécurité pour le pays".

Heureusement, l'armée garda raison et la répression, réelle, n’eut pas l’ampleur que lui donnèrent par la suite les nationalistes algériens. Ces derniers avancèrent un bilan de 40 000 victimes, chiffre lancé sans vérification par une source diplomatique américaine favorable aux indépendantistes (Vétillard, 2008). Le FLN alla ensuite jusqu'à parler de 70 000 morts... Certains historiens avancent quant à eux le chiffre de 6000 à 6500 morts tout en soulignant qu'il s'agit là d'une estimation « haute » (SHD, 1990 ; Vétillard, 2008). Quant au préfet Benmebarek (2010), il estime que le nombre des morts serait d'environ 2500.
Comme il n'y eut pas de ratissages en raison des faibles moyens dont disposait l'armée, l'on voit mal comment 3700 hommes dispersés sur de vastes territoires auraient pu tuer des dizaines de milliers de personnes. Et où les corps auraient-ils été enterrés? Nul doute que si des charniers avaient existé, les actuelles autorités algérienne se seraient empressées de les montrer...

Ce qui s’est passé à Sétif est donc à la fois bien connu des historiens et très éloigné de cette histoire officielle algérienne si complaisamment relayée par la gauche française. Le préfet Benmebarek qui a vécu dans la région et qui a donné une excellente analyse des évènements (2010) explique que nous sommes en réalité en présence d'un soulèvement raté qui devait être suivi d’une insurrection dans toute l’Algérie, mais, comme la coordination fut mal assurée, seule la région de Sétif fut touchée. Ce fut en quelque sorte une répétition des évènements de la Toussaint 1954 que la IV° république fut incapable d’anticiper.

Dès 1962, les autorités algériennes s’engagèrent dans une entreprise d'écriture de l’histoire officielle de la lutte pour l’indépendance présentée comme le soulèvement d’un peuple unanimement dressé contre le colonisateur français[2]. Puis, durant la terrible décennie 1990, quand l’Algérie, alors en pleine guerre civile, fut au bord de l’implosion, ses dirigeants recherchèrent des thèmes d’union nationale qu'ils trouvèrent dans la dénonciation des "crimes" commis par la France. Dénonciation d'autant plus facile qu'en France même, des relais culpabilisateurs existaient. La manœuvre eut son point d’orgue en 1995 avec la célébration du cinquantenaire des évènements de Sétif. Une campagne fut alors orchestrée autour de la projection sur la chaîne Arte d’un film de Mehdi Lallaoui et Bernard Langlois intitulé Le massacre de Sétif.
Depuis, et je viens de le dire, Roger Benmebarek (2010) a publié une étude fondamentale qui met un point final à la question. Pour les historiens, et dans l'état actuel des connaissances, le sujet est donc clos.

Voilà pourquoi la décision de François Hollande d'envoyer un membre de son gouvernement à Sétif est une provocation. Ce faisant, le président de la République montre à la fois son aveuglement historique et son sectarisme politique puisqu'il cautionne la re-écriture de l'histoire faite par les autorités algériennes. Au prix d'une nouvelle humiliation de la France.

Bernard Lugan
09/04/2015

Bibliographie

- Benmebarek, R., (2010) "Mémorandum : les « évènements » de Sétif, en mai 1945". Etudes coloniales ,en ligne.
- De Ternant, G., (2001) L'agonie d'Oran (3 volumes). Paris.
- Jauffret, J-Ch., (1987) La guerre d’Algérie par les documents. 2 tomes, Service Historique de l’Armée de Terre, Vincennes, 1987.
- Jordi, J-J., (2011) Un silence d'Etat. Les disparus civils européens de la guerre d'Algérie. Paris. Compte rendu détaillé dans Etudes coloniales, 5 novembre 2011, en ligne.
- Mathias, G., (2014) "Les vampires à la fin de la guerre d'Algérie. Mythe ou réalité?". Paris.
- SHD (Service Historique de la Défense)., (1990) La guerre d’Algérie par les documents. Tome I, L’avertissement 1943-1946. Vincennes.
- Vétillard, R., (2008) Sétif, mai 1945. Massacres en Algérie. Paris
- Pervillé, Guy., (2014) Oran, 5 juillet 1962. Leçon d'histoire sur un massacre. Paris

[1] Voir à ce sujet le chapitre XIV de mon livre Mythes et manipulations de l'histoire africaine intitulé :"Y eut-il un massacre d'Algériens le 17 octobre 1961 à Paris ?". A commander via Paypal sur www.bernard-lugan.com ou par courrier contre un chèque de 28 euros port compris à L'Afrique Réelle, BP 45 42360 Panissières.
[2] Voir à ce sujet le chapitre XII de mon livre Mythes et manipulations de l'histoire africaine intitulé :"Les Algériens se sont-ils unanimement dressés contre la France entre 1954 et 1962 ?". A commander via Paypal sur www.bernard-lugan.com ou par courrier contre un chèque de 28 euros port compris à L'Afrique Réelle, BP 45 42360 Panissières.

 
 
RAPPEL SUR UN CRIME D'ETAT
 
 
L'EXTERMINATION DES CHRÉTIENS

De nombreux chrétiens d'Orient sont persécutés
Dans leur propre pays où ils sont implantés
Depuis deux millénaires et d'où veulent les bannir
Les fanatiques d'Allah, poussés par des émirs.

Beaucoup de ces chrétiens sont lâchement trucidés,
Le but de ces intégristes et de leurs affidés
Est d'éradiquer toute présence non musulmane
Et d'implanter une dictature mahométane.

Émanant d'une pratique très stricte de la charia,
Ce génocide ne fait pas la une des médias,
Pourtant l'extermination de ces pauvres chrétiens
Nécessite de leur part un réel soutien.

Quant aux pays d'Occident, leur intervention
N'est pas à la hauteur de la situation.
Pour anéantir ces hordes de fous sanguinaires
Il faut user de moyens extraordinaires.

Frileuse, l'ONU ne prend pas des résolutions
À la mesure du péril que toutes ces factions,
Assoiffées de sang qui ne soit pas musulman,
Font peser sur des chrétiens immanquablement.

Mais la chasse aux chrétiens ne se localise pas
Uniquement en Orient, les nouveaux fellaghas
Martyrisent les chrétiens dans bien d'autres pays,
Surtout au Nigéria, au Mali, en Lybie ...

Il est inadmissible que les puissantes nations
N'agissent pas pour défendre notre civilisation
Contre d'infectes barbares dont le but avoué
Est de régner partout par le sabre et le fouet.

Ces féroces auteurs de crimes contre l'humanité
Enlèvent à l'homme toute liberté et dignité.
Ils doivent être traqués, pourchassés, anéantis,
Faute de quoi notre culture sera engloutie.

Jean-Paul Ruiz
9/04/2015
 
 
DOCUMENT EXCEPTIONNEL
que sans doute très peu de personnes connaissent y compris probablement nombre de P.N.

Regarder et écouter !!...c' est absolument superbe...!!...une perle !

et en plus c' est raconté dans un beau français !

De belles images de tous les villages et villes de l' Algérie d' avant !!

Monter le son.


1954 - 1962 - L'Algérie - Christian Vebel

http://www.dailymotion.com/video/x20tdw2_1954-1
962-l-algerie-christian-vebel_people
 
 
N'oublions jamais l'accueil et le soutien de ces quelques Métropolitains... Les autres, veulent aujourd'hui, nous donner des leçons de "Vivre-Ensemble"... HC
https://www.youtube.com/watch?v=VW8rgT9Osn0&sns=fb
 
 
http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/jean-francois-colosimo-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-489765.html
 
 
Nous avons été très déçus de cette émission sur les plages d'Algérie.
Nous espérions revoir les lieux que nous avons connus : Port-Say, Nemours, Ain Taya, Ziama-Mansouria, Philippeville
et voir ce qu'ils étaient devenus, avec des plages populaires et des femmes voilées,
et non pas un chanteur de charme, un militant écolo ou un porteur de valises.

Maurice et Monique Faivre

 
Bravo pour votre constat, j'avais fait le même !!!! ce nain , marocain d'origine , ne conçoit et n'admet pas que cette terre française est décidément plus attrayant que son pays surfait et coulé dans le béton !!!
Quand à l'enthousiasme provoqué par la plongeuse est tout juste bon à démontrer que celle ci a subi toute une formation en France où elle doit vivre une bonne partie de l'année , retournant de temps à autre au pays comme tous les autres , pour se ressourcer dans la chaude amitié des barbus !!!!
Quand à SANTA CRUZ et NOTRE DAME D'AFRIQUE elles étaient plus présentables de dos , certainement !!!!! Quant à la Casbah , quelle honte et quelle peine de la voir s'écrouler dans les poubelles de l'histoire d'aujourd'hui !!!
R Bontron
 
Il vaut mieux aller faire voler la « bilotcha » que se les ronger à vouloir suivre une telle émission !!!

De t’apprendre également que je suis un passionné de plongée s/marine, car plongeur et en plus chasseur en libre.

Quel révolte !!! Quel tord boyaux !!!

Voilà, je te livre mes ressentis à chaud.

La paella qu’on a vu, n’a de commune…que le riz (va t’en savoir d’où il sort encore) l’eau ( ?...) Même pas la poêle à paella,

voire simple gamelle en alu qui se cintrait à cause du poids des ingrédients.

Les gambas…ok . Encore que formule est visiblement dénaturalisée, c’est du n’importe quoi. Elle s’apparente plutôt à une tambouille des temps Mahomet.

Mon père, était assez spécialiste de la réalisation de Paella. Avec l’aide de copains anciens combattants de 40, ensemble, ils en réalisaient pour 200 à 500 personnes.

Élevé de premier rang que j’étais, comme d’ailleurs nombre de PN, nous sommes modestement à ce titre habilités à exprimer une autocritique.

Amitiés.

T. GARCIA

 

Mon intéressement à l’émission Thalassa de vendredi 3 avril 2015 n’aura durée que le temps d’une fin de plongée (beaux fonds) lieu de la plongée ? Ignoré. Quant à la vue aérienne…celle-ci atteste qu’Oran de notre « jeunesse » n’est plus celui de notre Oran d’antan !
C’est l’Oran 2015 à 100% ARABE, sans ROUMI. Ils sont entre eux les biens « heureux » . La paella ? Ben, pile poil, pure invention Algérienne de marque « BENMOUSTAPHA…et COMPAGNIE » !!! Donc, allant jusqu’à nier ainsi les PN…et avant tout son origine Espagnole !... (C’est tellement bas, qu’Il vaut mieux en rire) A les écouter, ils ont tout inventé et tout construit, peut être aussi, un peu, voire beaucoup, beaucoup tout dégradé…au point premier de ruine et de disparition de pans entiers de quartiers (les photos rapportées, par les uns et les autres, attestent. En droit : elles sont des éléments de preuves formelles quant à son état de délabrement avancé, ce, de leur fait. NON des PN. Les ports existent tjrs, c’est vrai, parce que difficilement cassables. Risa.. Le Boulevard FRONT DE MER et ses fleurons d’immeubles jadis…dominent tjrs la belle baie d’Oran. Mais alors, pour combien de temps encore ? Ces immeubles et autres architectures sont l’empreinte indélébile PN. (Espagnole 1543, puis Française durant 132 ans) Tout le monde sait, sauf le bestial Georges PERNOUD COCO et ses purins de porteurs de valises.., que le centre et le pourtour de la ville d’Oran 2015, ses rues et ses quartiers….sont dans un état de putréfaction et de délabrement, mamamia !!! Ha, ils y peuvent être fiers de leur résultante après 53 ans d’indépendance, seulement et, de vie commune entre eux…, à l’évidence, sans les « sales PN exploiteurs ».
Face à la 3… ma résistance forcée n’aura duré que 10 à 15 minutes. (Faut pas pleurer. Ne faut plus les pleurer. « Plus jamais ça…au suivant »)

T.G.

 
Sacrée Thalassa....spéciale Algérie....!

Il s'en dit des choses.....elles résument d'ailleurs assez bien mon sentiment.....

130 ans pour bâtir de toute pièces...y compris lui donner un nom et ses frontières....(entre autres).......une Algérie Moderne....

........avec un petit effort une nouvelle Californie...si....si...ma tante en avait eu....!...et le grand con aussi.....!

...........et puis la nuit......60 ans pour tout mettre au point mort.....!..en se payant au passage une guerre civile....et fratricide...diable il n'y avait plus ces salauds de roumi a égorger......

Quatre génération de pionniers....les Pieds noirs...l’œuvre gigantesque de la France.... des milliards d'investissements.....Pfuuuiiitttt...!... Ques Acquo...!

Monsieur Pernoud..........fréquente le même club que Benjamin Stora...Hollande...Cazeneuve.....el matamoro....etc.....

pour eux....le destin de l'Algérie commence demain.....ou...peut être un jour....quand Allah le voudra.......!........et ses soldats sanguinaires...!..qui pour l'instant sont tapis dans l'ombre ne nous leurrons pas.......

Bonne chance très sincèrement.... quand même a l'Algérie...qu'ils réussissent...et qu'ils aient tous envie de repartir là bas...!

Pas rancunier pépé ce soir...!
H.DELIESSCHE
 
Édifiants, ces commentaires sur l'émission de Thalassa.... ils viennent pratiquement tous d'Algérie, monts et merveilles, vive notre beau pays et patati et patata....
J'en retiens que Pernoud a réussi le prodige de parler de ce pays pendant 2 heures sans que le nom de France soit prononcé une seule fois. Sauf pour accuser
les architectes français du XIX° siècle d'avoir coupé l'accès à la mer de la Casbah d'Alger..... accès qui n'a jamais existé puisque la ville turque était ceinturée d'une
muraille fortifiée ! Quant à Santa Cruz, la vue évite soigneusement de montrer la basilique. Et tout à l'avenant, politiquement correct jusqu'au bout, mais à nous,
on ne nous la fait pas, on sait voir derrière !
J'ajoute que mon commentaire, très court et très mesuré, ne figure pas dans la liste publiée.... bizarre ?

M.Lagrot

 

Hier soir, Thalassa : Et la bouche en cul de poule, le faux air bonhomme, le stalinien définitivement attardéGeorges Pernoud a chanté les louanges de l 'Algérie et des Algériens pendant une bonne heure. Ce mec, chaud partisan du vivre ensemble, de la sacro-sainte diversité ne s'est pas aperçu que ladite diversité n 'existait pas du tout en Algérie : En France ; 200 communautés, en Algérie : Rien que des arabes .....

Et ce salaud a fait semblant de ne rien voir. Il n 'a pas arrêté de s'extasier sur le "peuple algérien " même sur les français de papiers qui reprennent leur vraie couleur sitôt débarqués du Ferry pour y passer des vacances aux frais de la CAF.

Le communiste Pernoud a réussi à énumérer les colonisateurs de l 'Algérie sur 4 000 ans sans citer la France : Phéniciens, Romains, Byzantins, Vandales, Arabes, Ottomans et puis ..... Et puis rien ! La France, il ne connaît pas !

90 % de la population algérienne vit sur le littoral, des millions d'arabes habitent en front de mer, le nombre des stations d'épuration : 0 ...... Le tout au milieu des sacs en plastique, des ordures, des détritus en tout genre.

A côté, il y a des arabes friqués, membres du F.L.N. (et ça, il ne l'a pas dit le camarade Pernoud ) qui se prélassent dans des yachts de luxe avec leurs filles en bikini . ... En attendant de les voir se faire égorger dans un futur plus ou moins lointain mais réglé comme du papier à musique .

Vive le repli sur soi et l' unicité ethnique, (mais surtout pas en France, merde alors !) c'est ce qui ressort du reportage de Thalassa sur l 'Algérie.

Michèle JACOB - LE PAGE

 

Je ne crois pas qu'on puisse qualifier vraiment Pernoud de Stalinien..... C'est seulement un mou sans idées sans culture et sans conviction, coulé dans le moule jusqu'à la caricature.... ce n'est pas un salaud, c'est un médiocre ! il doit se frotter les mains : tous les commentaires viennent d'Algérie et il est encensé.

Comme d'habitude, nous qui avons fait ce pays, sommes les seuls à n'avoir pas droit à la parole.

M.Lagrot

 

Je suis heureux de constater que tous les deux nous avons fait exactement la même analyse de cette émission de FR3 (la télé des gauchistes) parue dans Thalassa où pendant 2 heures on nous a montré des vues de la Côte algérienne d'ouest en est . Cette émission qui a été effectuée sur la demande du gouvernement algérien pour promouvoir le tourisme qui contrairement à ses voisins la Tunisie et encore plus le Maroc est inexistant dans ce pays . On s'est bien gardé de nous montrer le bétonnage anarchique de cette côte où les effluents des égouts sont rejetés directement à proximité des plages sans être préalablement traités dans des stations d'épurations . On nous a pas parlé non plus du nombre des baigneurs atteints d'affection cutanées pour avoir fait trempette dans l'eau de mer verdâtre polluée jusqu'à plusieurs centaines de mètres au large à cause du déversement des eaux usées des constructions érigées sur les plages (voir photo de la crique du Cap Caxine)

Figure-toi qu'avant d'avoir pris connaissance de ton courrier, j'avais fait les mêmes réflexions à mes contacts qui m'ont parlé de cette émission digne d'un communiste !

Amitiés

d'André du cap Caxine

 
Salut Jean-paul,

C'est exactement ce que j'ai ressenti en regardant cette émission à sens unique. J'ai entendu dire que tout le monde avait construit en Algérie : les espagnols des forts (?), les italiens des maisons sur des crêtes de montagne. Le tombeau "de la Chrétienne" avait même perdu son qualificatif entre guillemets, seul le côté "haussmanien" du Bd de la République à Alger a été évoqué sans citer la France bien sûr.
Il a aussi longuement parlé de Tipasa sans évoquer Albert Camus, qui n'a sûrement rien écrit sur ce site. Il fallait le faire ??? Moi, qui avais été sollicité par nombre de courriels de pieds noirs pour ne pas rater cette émission, je n'arrivais pas à croire ce que je voyais et entendais. Et bien sûr je ne parle même pas de l'état dans lequel se trouve notre beau pays, ni de la manière qu'a eu un "grand cuisinier" pour découper un mérou devant des français ébahis, ni de ce qu'était devenue la recette de la "vraie paella" sous la description du même fameux cuisinier.

Je gueulais mon étonnement à la face de mon téléviseur pourtant parfaitement innocent de ma rancœur de la même façon que lors d'une émission de la télévision française sur la 3 "j'avais appris " que lors de la présence française en Algérie les arabes n'avaient pas le droit de travailler à la Poste ??? Moi, qui étudiant ayant bossé à Alger R.P, c'est à dire à la Grande Poste à Alger, pouvais témoigner qu'ils y étaient immensément majoritaires !


Je m'arrête car je vais attraper la bouffaïs comment dirait Mado La Niçoise, qui bien sûr elle aussi est pied noire.
Amitiés.

Marc & Aline STAGLIANO

 
Merci Marie-Laure, pour cet entretien que j'ai visionné. Qu'en dire ?

Guillaume "Chouf-Chouf" est touchant dans son émerveillement. Ce gentil bisounours semble découvrir une Algérie qu'il ne connaissait pas, car trop de non-dits et de compromissions honteuses entourent l'histoire de ce pays, de son rapport á la France depuis 1/2 siécle (1962).
"L'Histoire officielle"(des deux cotés de la Méditerrané) a tout corrompu de ce qui fait la vérité (tres longue et tres riche..!) de ce pays, et tout particuliérement celle de la présence francaise, bien plus complexe que ce que tous les idéologues ont pu en dire jusqu'ici (lire Albert Camus!).
C'est du coté de l'Histoire réelle, humaine, qu'il aurait dú rechercher. Les Pieds-Noirs connaissent tout cela á fond - et dans tous les détails, mais ces expériences extraordinaires ne sont pas enseignées á l'école. Au contraire elles ont été enfouies sous des tonnes de béton "mémoriel" et bannies de l'Histoire nationale (quelle énorme c.....!).
Et bien sur, ce n'est pas l'esprit de THALASSA - qui travaille pour les agences touristiques, ni celui des caciques du régime algérien qui, suite á la disparition de Boutef et á la baisse du prix du pétrole, envisagent á présent un avenir touristique pour l'Algérie aprés l'avoir refusé pendant plus de 50 ans. Exactement comme á Cuba, avec lequel l'Algérie du FLN entretient d'excellentes et fraternelles relations, et dont le parcours est quasi identique. Il n'y a jamais de hasard en politique et en diplomatie.

Je transmets cet entretien-video á tous mes contacts PN et Harkis. Mais je sais déja quelles seront la plupart des réactions. Elles seront celles de tous les exilés/expulsés/déracinés/génocidés du monde... Certaines seront au vitriol, et je ne te les transmettrai pas.

Pour ma part, je suis heureuse d'avoir connu dans mon enfance cette Algérie paradisiaque (et surtout propre !), ce bonheur simple dans une nature généreuse : Cette Algérie-lá est ma vraie mére.
Je n'ai aucune envie aujourd'hui d'aller faire la touriste dans un pays qui n'est plus le mien, et dont la vision du chaos, de la crasse, de la vétusté et de la pollution ne peut que me donner la nausée.... Je préfére mes souvenirs. Eux au moins sont dénués de visions de déchets sur les plages et de villes devenues des poubelles et des décharges publiques.

Ou alors, j'irai en visite en Algérie, mais dans une autre vie: disons á peu prés dans 300 ans........?


Bon dimanche + bisous,
Nicole G

Algérie la mer retrouvée


https://www.youtube.com/watch?v=xzJp9WdMOfw

en téléchargeant l'émission j'ai trouvé une interview d'un des réalisateurs où il explique l'objectif de l'émission et met au clair 2 ou 3 choses sur les conditions du tournage et les parti-pris.

 
 

http://www.comite-veritas.com/

 

À coeur ouvert…
ou coeur brisé !

Pour la seconde fois, l’équipe de VERITAS a participé à l’émouvante cérémonie de requiem organisée à Saint Seurin sur l’Isle… Encore une fois, comme un chapelet dégoulinant de sang humain, les noms et les âges des 81 victimes de ce CRIME D’ETAT, ont été égrenés en résonnant douloureusement en nos coeurs meurtris.

Et chacun des noms énoncés frappant au coeur des survivants comme un coup de poignard donné en traître, comme l’infanticide d’une mère indigne, mais aussi comme l’horreur d’une complicité partagée entre les monstres d’hier et les salauds qui leur ont succédé !

Je m’insurge, je persiste et je signe. Ce sont bien des salauds qui ont eu l’idée machiavélique d’inscrire les noms des malheureuses victimes de ce CRIME D’ETAT sur une colonne du quai Branly, prétendant consentir ainsi un insigne honneur à leurs familles en les reconnaissant faussement « mortes pour la France », mais en réalité, en faisant d’une pierre deux coups, satisfaire etfaire taire surtout des familles éplorées en enterrant, une fois pour toutes, la Saint Barthelemy gaulliste !

Oui, pour faire taire les familles à jamais mutilées par ce drame affreux, on leur a, ainsi, jeté, comme un os à ronger, cette qualité de « mort pour la France », alors que les innocentes victimes du carnage du 26 mars 1962 à Alger, sont mortes par la France, ou plutôt sur l’ordre du CRIMINEL D’ETAT qui prétendait représenter la FRANCE !

Duperie, baraterie, félonie… Tout avait été organisé pour donner, à ce peuple patriotique, profondément attaché à son sol natal, mais aussi à sa lointaine Mère-Patrie, un coup de grâce, celui de l’Algérie Française, et je n’en veux pour preuve que l’aventure vécue par le Colonel Paul Caraveo, le seul qui ait tenté de déjouer le piège monstrueux dans lequel allaient se précipiter femmes, enfants, vieillards, qui voulaient seulement manifester leur solidarité envers les malheureux résidents du ghetto de Bab-el-Oued, lequel, sous la mitraille, n’avait rien à envier à celui de Varsovie …

Oui, je persiste, je signe, et j’accuse le fondateur de la Vème République d’un CRIME D’ETAT, considérant comme une preuve éclatante de celui-ci l’aventure vécue par le Colonel Caravéo qui s’était insurgé contre le choix de fellaghas dits « repentis » pour assurer le service d’ordre, et qui avait remplacé ceux-ci par de jeunes appelés du contingent. A midi, ce nouveau service d’ordre était en place, et à 13 heures il ne l’était plus, tandis que le Colonel Caravéo, arrêté, se trouvait dans un avion en partance pour la France afin d’être placé en détention en forteresse !

J’ai recueilli, à Saint Seurin, une autre preuve de ce CRIME D’ETAT : le lieutenant Ouchène qui commandait les meurtriers, s’est vu, ensuite, pour cet exploit, décerner la Légion d’Honneur, plus haute décoration honorifique française,pour avoir frappé à mort l’Algérie Française, mérite éminent que ce militaire avait rendu à la Nation française !
Alors, je le répète, tandis que la nausée m’envahit, et je le crierais encore, même sous la torture : le fondateur de la Vème République française était un monstre ruisselant de sang françaiset ses successeurs des salauds, au sens propre du terme,qui n’ont eu de cesse que de dissimuler les crimes monstrueux de leur maître à penser !

Merci à Monsieur Marcel Berthomé, Maire de Saint Seurin sur l’Isle, pour cette belle et émouvante cérémonie.


Anne CAZAL
À coeur ouvert…
ou coeur brisé !

Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir la vidéo de cette commémoration
http://youtu.be/MJX9GdJLIBg

 
 

Mars, le mois des fous ? Ainsi en a-t-il été en ce dimanche 29 mars !
Ils sont tous contents... sauf moi.
Les départementales sont terminées. J’ai l’impression, une fois de plus d’être le dindon de la farce et je garde aux lèvres la fadeur d’un faux élan d’une France qui voulait changer. En effet, la droite UMP/UDI/Modem crie victoire et la gauche, PS et Consorts, tempère ses pertes. A juste titre ! Des gens de la fameuse droite molle se sont désistés pour qu’elle gagne, là où elle aurait dû perdre beaucoup plus de départements.
C’est ma honte. J’espérais qu’enfin la gauche qui nous gouverne prendrait la pâtée et serait laminée par un vote de bon sens, d’ordre et d’espoir. Au soir des élections je constate que rien n’a changé, sinon le copinage contre nature, l’entente en dépit des différences de camps, et la mise à mal des consciences au profit de l’entente habituelle droite et gauche qui a dénaturé ce vote ainsi que l’honneur de la France profonde aspirant au changement.
Ce changement promis par Sarkozy en 2007 et jamais réalisé, parce qu’il a été phagocyté par ses pairs du centre mou plus humano-gauchistes et chiraco-gaullistes que démocrates ou défenseurs d’une Nation maintenant diluée dans le compromis.
Ce changement que certains croyaient possible avec un Hollande et que trois ans de sa gouvernance désastreuse n’ont pas effarouché. Des innocents votant toujours à gauche ! Des adeptes aux promesses socialistes mais jamais aux réalisations, sinon celles du chômage et de plus d’impôts.
Bien entendu lors de ce deuxième tour des départementales, un « coup » de chapeau aux médias « à gauche toute ! » Ils ont su souffler le chaud des enfers sur un FN isolé sur le champ des batailles électorales. La presse a brandi l’épouvantail FN et a réussi, avec ses partenaires UMPS, à faire peur.
Résultat ? Il est conforme à ce que nous subissons depuis des décennies dans un jeu de cartes truqué, entre droite et gauche qui se partagent le gâteau des élections. Et... et demain ? Un PS qui va se rabibocher avec toute sa gauche plus à gauche, Verts compris, accentuant la décomposition financière et économique du pays, et une droite – mais faut-il véritablement dire
« droite sarkozyste ? », méconnaissable, sans la colonne vertébrale unitaire d’avant 2007.

L’UMP 2015 est triste, écartelé par ses luttes intérieures : Juppé, Fillon, NKM, Raffarin Le Maire et bien d’autres, et défaite avant d’avoir gagnée à cause de ses alliances contre nature, ses mésalliances avec l’UDI et le Modem.
Ils sont tous contents... sauf moi.
J’ai l’impression de revivre mille et mille élections, toutes pareilles. La gauche n’a pas perdu autant que prévu initialement, et c’est la droite UMP/UDI qui a permis une demi-défaite, en se désistant dans certains départements pour lui offrir un siège là où il ne devait avoir qu’un bide.
Ainsi la « Bérézina » s’est transformée en une défaite « honorable ». Les « renoncements » diaboliques de l’UPM / UDI ont joué ce rôle pervers !
Le mauvais jeu des dupes d’année en année se poursuit, et nous restons les pions cocus d’élections qui se répètent.
Qui un jour pendra les commandes de l’avion France pour le conduire autre part que contre une montagne ? Le pays est malade. Des statistiques soulignent combien trop de français sont sous dépresseurs et tranquillisants pour échapper aux difficultés d’un quotidien angoissant, et le mal progresse.
Que vaut cet oxymoron UMP / UDI et Modem ? Rien ! Un conglomérat congénital comme le mélange impossible de l’eau et de l’huile qui nous rappelle comment Sarkozy a perdu sa réélection en 2012 : à cause de siens, de son camp défaitiste, capitulard qui s’est vendu au socialisme pour faire barrage à son idée de droite forte.
Cela recommencera si nous ne prenons pas garde. La gauche renouera avec son « union de la gauche » et une partie de la droite s’opposera à des idées d’une Nation débarrassée de ses complexes des colonies et de son rôle de bon samaritain auprès d’étrangers venus renforcer le communautarisme et le salafisme sur notre sol.
Le jeu continue. Attention !
Robert Charles PUIG / mars 2015.

 
 
Commémoration du 26 mars 2015 à Saint Seurin sur l'Isle
Toute ma gratitude à Monsieur Marcel BERTOMME, Maire de cette ville.
https://www.youtube.com/watch?v=MJX9GdJLIBg&feature=youtu.be
 
 
Hommage aux victimes du crime gaulliste du 26 mars 1962 à Alger, rue d'Isly.
 
 
Blandine de BELLECOMBE
Discours du 14 mars 2015 à Béziers.
 
 
DE GAULLE, Assassin!
Christian ESTROSI, maire de Nice s'incline devant la mémoire des morts du 26 mars 1962, civils innocents assassinés sur l'ordre de son idole, DE GAULLE Charles....
 
 
Sur le site du Cercle de Nice
http://nice.algerianiste.free.fr/pages/Nice_26mars2015/nice26mars2015.html
 
 
ALGER 26 MARS 1962

LE PIÈGE MACHIAVÉLIQUE

Quartier attaqué par des avions en piqué,
Appartements dévastés par des tirs de grenade
Et d'armes lourdes, de pauvres gens paniqués,
C'est bien pire que s'ils avaient subi une tornade.

Depuis trois jours, le quartier de Bab-el-Oued
Fait l'objet d'un blocus car il est assiégé
Par les forces de l'ordre et n'obtient aucune aide.
En manque crucial de vivres, les familles sont piégées.

Par solidarité, de nombreux algérois
Veulent se rendre dans ce quartier pour y apporter
Son cordial soutien à ce peuple en désarroi
Qui doit être secouru et bien réconforté.

Une manifestation est donc organisée.
Mais les Algérois ignorent qu'un horrible traquenard
A été ourdi par le monstre de l'Élysée
Qui veut anéantir ces "pieds-noirs braillards".

Une foule pacifique, brandissant des drapeaux,
Portant des paniers de vivres et médicaments,
Est bloquée rue d'Isly et tombe dans le panneau.
Elle va être victime du pire des châtiments.

Posté devant Havas, sans aucune sommation,
Un tirailleur ouvre le feu sans qu'au préalable
Il y ait eu menace ou vocifération.
C'est le point de départ d'une tuerie effroyable.

Pendant près d'un quart d'heure, les fusils mitrailleurs
Des tirailleurs musulmans, sans discontinuer,
Vont assassiner, avec un sadisme rageur,
Des civils innocents touchés de plein fouet.

Hommes, femmes, enfants, vieillards, s'écroulent sur le pavé.
Vidant chargeur sur chargeur, ces soldats sanguinaires
Sont de vrais barbares : des blessés sont achevés.
Ils tirent à bout portant ces monstrueux sicaires.

Cette tuerie préméditée, c'est de l'abattage.
Plus de deux-cent blessés et quatre-vingt deux morts.
Le premier responsable de cet infâme carnage
Est l'immonde De Gaulle qui n'eut pas le moindre remords.

À la hâte, par camions, les cadavres sont enlevés.
Les familles ne peuvent récupérer les corps.
On veut cacher que des blessés ont été achevés.
Les cercueils sont enterrés en un temps record.

Jusqu'à aujourd'hui, cet authentique crime d'État
N'a pas été reconnu par les gouvernements
Successifs depuis qu'on est parti de là-bas.
C'est une chape de plomb qui empêche tout jugement.

Elle n'est pas intervenue, la justice humaine.
Je suis certain que Là-Haut, la Justice divine
A sévèrement jugé tous ceux qui, avec haine,
Ont fait triompher leurs convictions assassines.

Jean-Paul Ruiz
24/03/2015

Les principaux responsables de ce crime d'État :
En premier lieu : Charles De Gaulle, président de la République.
Ses complices à Paris : Michel Debré, premier ministre,
Roger Frey, ministre de l'intérieur, Pierre Messmer,
ministre de la défense.
Ses complices à Alger : Christian Fouchet, haut commissaire
de la République, Vitalis Cros, préfet de police de la place d'Alger,
les généraux Ailleret et De Menditte.

 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/03/26-mars-1962-un-crime-d-etat.html
 
 

Témoignage d'Hervé Cuesta
50 ans déjà !


Aujourd’hui à 17 heures au cimetière du Grand Vallon à Mougins, pendant que j’écoute avec émotion le témoignage de Cyr ASCIONE et le discours du Maire de Mougins Richard GALY, me reviennent des souvenirs douloureux...
50 ans auparavant, un lundi aussi, celui du 26 mars 1962 à Alger...
J'habitais dans les Tournants Rovigo. Je n’avais pas 19 ans.
La grève est générale. Le blocus de Bâb el Oued verrouille le quartier. Je ne suis pas allé travailler ce matin-là. Je devais me rendre à mon usine SFRA de Belcourt. Les nouvelles ne sont pas bonnes. Tout est arrêté à Alger. La tension, l'angoisse s'emparent de tout le monde.
Comme je circulais avec mon Vespa 125, je me fais arrêter, à l’angle des rues Saint Augustin et Levacher, par un homme de 35 ans environ. Il me dit que je dois être présent à 14 heures à la Grande Poste pour prendre derrière moi un autre jeune avec un drapeau et je devrais marcher avec d’autres deux-roues, en tête du cortège qui doit se rendre à Bab-El-Oued. J’accepte aussitôt, heureux de pouvoir tenter quelque chose pour mes compatriotes qui souffrent depuis trois jours dans leur ghetto.
A midi je rentre chez moi pour déjeuner mais je ne dis rien, bien sûr, à mes parents. Je repars plus tôt que prévu sur l'horaire du rendez-vous pour me rendre chez mon ami Jean-Marie BRIFFA qui habite un peu plus haut que chez moi. Chaque lacet des Tournants Rovigo porte un nom. Le mien, Le CADIX, est le carrefour le plus proche de la rue d’Isly via les rues MOGADOR et Roland de BUSSY. Le lacet suivant en montant, se nomme MONTPENSIER. Jean-Marie habite au 73 rue ROVIGO, devant le square qui porte ce nom.
C'est sur la terrasse de son immeuble que nous nous retrouvons depuis deux ans. C'est notre lieu de rendez-vous. C'est un endroit magique où la vue sur le port et la baie d’Alger est magnifique. Nous l'admirions sans cesse. Ce jour-là nous sommes bien incapables de prêter attention à la vue. Je fais part à mon ami de mon projet de me rendre à la Grande Poste et je lui propose de le partager. "Il m'accompagnerait avec sa moto (une PUCH 175 verte) afin d’avoir un drapeau de plus en tête du cortège et nous récupérions deux manifestants de plus en charge derrière nous". Mon ami, soudain, entre dans une violente colère. Le ton monte entre nous. Nous nous disputons et mon ami alors me supplie de ne pas me rendre à la Grande Poste et après que je l'ai questionné avec insistance, mais pourquoi ? Il avoue que son père lui a interdit de bouger, car des amis Métropolitains proches de l’Armée lui auraient dit que l’ordre de tirer avait été donné la veille. C'était un piège ! Je ne réalise pas, encore. Je ne veux pas le croire. Cela n'est pas possible. L'armée ne peut pas tirer sur nous, l'Armée nous a toujours défendus. Nous sommes leurs compatriotes ! Jean-Marie se fait de plus en plus convainquant. Je décide de me rendre à sa raison. Je décide de l’écouter, honteux de ne pas tenir ma parole auprès de celui qui m’avait fixé rendez-vous à la Grande Poste…
Nous n’avons pas attendu très longtemps après 14 heures, pour entendre les claquements de la fusillade. Nous étions en hauteur en ligne directe de la rue d'Isly et les virages de la rue ROVIGO amplifiaient le bruit des rafales se répercutant entre les murs des immeubles et montant jusqu'à nous.
C’était interminable, l’écho prolongeait ce calvaire. En même temps de la fumée et une odeur de poudre montaient jusqu'à nous. J’étais paralysé par la peur, l’incompréhension et la colère et l'horreur. Jean-Marie faisait des bonds et me disait « tu ne voulais pas me croire ! Tu ne voulais pas me croire !... » Cela a paru interminable ... c'était interminable, nous étions impuissants, désespérés que cela ait pu se produire. Les hélicoptères firent leur apparition : toujours cette odeur de poudre qui nous brûlait les yeux.
Nous étions effondrés, écrasés par cette stupeur qui s'emparait de nous.
Nous pensions fortement à tous les innocents qui se faisaient massacrer par notre Armée, en maudissant le responsable de cette tuerie: De GAULLE… oui qu'il soit maudit.
Car, 50 ans après, bien que les historiens cherchent encore « celui qui a tiré le premier sur l’Armée d’une fenêtre ou d’un toit d’un immeuble », ils savent, nous savons parfaitement qu'il est inutile d'accuser la foule.
Nous savons tous, depuis 50 ans, qui est celui qui a donné cet ordre au plus haut sommet de l’État … Il voulait mater la résistance pour l’Algérie Française, en finir avec pertes obligées et négligeables ...
La Roquette sur Siagne 26 Mars 2012

 

 
 
RAPPEL: CELUI QUI A PREMEDITE LE MASSACRE DE LA RUE D'ISLY A ALGER LE 26 MARS 1962
https://www.youtube.com/watch?v=FaEuVQToYpM
 
 
ENCORE UN JOUR DE DEUIL

26 mars, triste anniversaire du massacre de la rue d'Isly, à Alger le 26 mars 1962 : 50 civils assassinés (beaucoup d’autres blessés) lors d’une manifestation pacifique (sans armes évidemment, avec des drapeaux français comme banderoles ...), mais attirés dans un traquenard mortel. Des hommes, des femmes, des enfants abattus, et souvent achevés au sol (y compris un médecin venant les secourir), aux fusils mitrailleurs pendant plus de 10 minutes.

Cette affreuse "bavure" (délibérée?) commise par un détachement des forces dites de l 'ordre: en fait de jeunes soldats arabo-berbères récemment engagés et venant du "bled" absolument pas en mesure de réagir avec sang-froid et discipline, mais cependant autorisés par leur hiérarchie à avoir des armes de guerre excessivement meurtrières et chargées...même si certains officiers supérieurs n'étaient pas d 'accord.

Le pouvoir politique responsable de l'ordre public en Algérie (Christian Foucher, haineux au plus haut point vis à vis des Pieds Noirs parlé d’un tir de provocation, mais qui en serait responsable?) sur le détachement militaire venant d'un balcon : ce tir supposé n'a pas fait de victime, mais immédiatement les fusils mitrailleurs des tirailleurs se sont acharnés sur la foule devant eux et pendant de très longues minutes. Qui va faire croire à quiconque qu'un soldat riposte, bien évidemment, sur une autre cible (des civils désarmés et pacifiques) quand il essuie un coup de feu venant d'une autre direction.

Voilà pourquoi beaucoup d’historiens parlent d'une machination et d'un crime d'Etat, en s'appuyant sur les témoignages, les archives, les déclarations a posteriori de certains responsables civils ou militaires, le contexte politique de l'époque et les conséquences qu'a eues cette tragédie : une "contribution décisive " à l 'exode inéluctable d' un million de nos compatriotes Pieds Noirs, se voyant abandonnés et livrés à la double menace du terrorisme du FLN et de l'hostilité des autorités françaises supposées les protéger ( mais rue d'ISLY ces dernières se comportèrent en assassins et parfois ailleurs jusque 'à l 'indépendance )

Un exil de plus d’un million de Français d’Algérie, des Pieds Noirs et des Harkis avec leurs familles, pour fuir la terreur et le CERCUEIL, souvent avec quelques VALISES. laissant derrière eux leur pays et beaucoup de leurs proches assassinés...


Gilles Bonnier

Secrétaire général du Comité de liaison des associations nationales de Rapatriés ( Clan r )

 
 

VIA ASAF
VIDEO : en 1981 François MITTERAND avait expliqué pourquoi le 19 mars 1962 ne pouvait pas être une date officielle de la fin des combats en Algérie.
Posté le vendredi 20 mars 2015


https://www.youtube.com/watch?v=9elpydnrD9w


Lors d'une conférence de Presse François MITTERRAND (24 septembre 1981) avait affirmé que le 19 mars 1962 ne pouvait pas être une date officielle de la fin des combats en Algérie
Une prise de position nette et argumentée d'un ancien président de la République.

 
 
Le FLN et ses complices veulent nous faire croire que "les combattants pour la Libération" étaient des "Enfants de Choeur"...
 
 
http://ripostelaique.com/19-mars-1962-encore-merci-a-robert-menard-davoir-retabli-la-verite.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ripostelaique%2FznSM+%28Riposte+La%C3%AFque%29
 
 

Monsieur le vice-président du conseil régional,


Le 19 mars 62 est la date du cessez le feu en Algérie qui n'a pas été respecté par le FLN violant ainsi les accords d'Evian ! Comment pouvez-vous célébrer cette date honteuse ?
Après le cessez le feu : 2 273 civils européens sont porté disparus, 150 000 harkis et supplétifs seront assassinés et que sont devenus les 790 militaires disparus ou prisonnier ?
Cette date a été le signal des massacres, de la vengeance et de la répression. Ne pouvez-vous pas respecter toutes les victimes assassinées après cette date, victimes qui étaient
fidèles à la France ? Vous voulez célébrer tous ceux qui sont morts en Algérie ?
Pourquoi ne pas accepter la date du 5 décembre qui avait apporté l’apaisement pour beaucoup de ceux qui ont souffert et le recueillement au monument du Quai Branly également. Cette cérémonie est organisée tous les ans en mémoire des victimes de la guerre d'Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc.
Merci de votre compréhension.


Solange Carayol

contact@patrickallemand.fr
 
 
http://youtu.be/BFWbYAKxcUU
 
 

Metz le 16 mars 2015
Monsieur le Premier Ministre,
Hôtel Matignon
57, rue de Varennes
75700 Paris


Monsieur le Premier Ministre,
L’ensemble des Français rapatriés d’Algérie, Pieds-Noirs et Harkis, ne manqueront pas de se trouver révulsés et indignés à la suite des propos que vous avez tenus ce samedi 14 mars à Saint-
Brieuc, qualifiant la nostalgie de l’Algérie de « rance ». Vous faisiez allusion à la décision du maire de Béziers de débaptiser une « Rue du 19 mars » pour lui donner le nom de Commandant Hélie Denoix de Saint Marc.


A la place qui est la vôtre, vous ne pouvez ignorer l’histoire de notre pays. Vous ne pouvez pas ne pas savoir qu’il y eut plus de victimes civiles et militaires, entre le 19 mars et le 5 juillet 1962,
que dans la période allant des premiers attentats terroristes du FLN, le 1er novembre 1954, jusqu’à la signature de ces accords. Vous ne pouvez faire l’impasse sur la tragique fusillade de la Rue d’Isly à Alger, le 26 mars 1962, ni sur ce nouvel « Oradour » qu’a été la chasse aux Européens à Oran, le 5 juillet suivant : 80 morts tués à bout portant par les forces de l’ordre dans le premier cas ; au moins 750 victimes enlevées et massacrées en moins de sept heures dans le second. Vous ne pouvez pas ne pas penser aux 80 000 à 150 000 harkis torturés, émasculés, massacrés au lendemain de l’indépendance algérienne. Quel but prétendez-vous poursuivre en humiliant ainsi toute une partie de vos concitoyens ? Ne sommes-nous pas dignes d’appartenir à la Communauté nationale ? Avons-nous constitué le moindre danger pour la République et pour l’ordre républicain depuis 1962 ?


Quant à la noble figure du Commandant de Saint Marc, élevé à la dignité de Grand-Croix de la Légion d’Honneur en 2011 par le Président Sarkozy lui-même, son parcours exemplaire devrait rendre absurde et déplacé le moindre commentaire négatif, comme le montre remarquablement Etienne de Montety dans Le Figaro de ce lundi 16 mars. Est-il vain d’espérer, Monsieur le Premier Ministre, quelques paroles de regret pour ces paroles blessantes qui outragent l’ensemble des Pieds-Noirs et des Harkis ?


Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, à travers votre personne, l’expression du respect que nous éprouvons pour la haute fonction que vous exercez.

Danielle Pister Lopez, Agrégé de Lettres, Maître de conférences honoraire- Université de Lorraine-Metz
Présidente de l’amicale des Pieds-Noirs de Moselle, vice-présidente du Cercle algérianiste du Grand-Est

Jean-Pierre Pister, Agrégé d’Histoire, Professeur de Chaire supérieure honoraire-Khâgne, Lycée Henri Poincaré Nancy
5, rue du 16ème Chasseurs 57070 METZ Courriel : dpister@free.fr

 
 
 
 
http://www.clan-r.org/portail/Le-19-mars-Jour-de-honte-et-de
 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/03/les-accords-d-evian-de-l-eau-non-potable.html
 
 
http://www.atlantico.fr/decryptage/guerre-algerie-19-mars-1962-journee-souvenir-qui-fache-guy-perville-2046913.html
 
 
Richard ROUDIER.
 
 

Bonjour Hervé,

Ma réaction à l'article de BFMTV au sujet du changement de nom de la rue du 19 mars.

Déjà, qu'ils cessent un peu de souligner que le maire de Béziers est un proche du FN, ça commence à sentir le rance, et ça fait répétition, ne pourraient-ils pas changer un peu leurs termes, leurs mots : c'est un peu pauvre en vocabulaire. Ceci est une appréciation sur leur façon de rédiger.
Ensuite, si les journalistes connaissaient mieux l'Histoire de leur pays, car ils sont tout de même très limités dans ce domaine, ils sauraient que le Commandant Hélie Denoix de Saint Marc a eu une vie avant la guerre d'Algérie.
Né au sein de la société bordelaise d'avant-guerre (celle de 39/45), il étudie chez les Jésuites. Il entre en Résistance en février 1941 alors qu'il n'a que 19 ans. Arrête le 14 juillet 1943, à la suite d'une dénonciation, il est déporté au camp de concentration nazi de Buchenwald. Puis envoyé au camp satellite de Langenstein-Zweiberge où la mortalité dépasse les 90.
A l'issue de la seconde guerre mondiale il effectue sa scolarité à Saint-Cyr.
En 1948, il part en Indochine française.
C'est en 1962 qu'il sert aux côté du général Massu pendant la guerre d'Algérie.
Mais c'est peut-être trop compliqué pour eux de comprendre ce qu'est un héros?
Qu'ils apprennent leur Histoire, celle de leur pays avant d'écrire leurs articles. L'hommage rendu à Hélie Denoix de Saint Marc n'est que justice.

Geneviève OBERDOFF

 

 
 

http://www.lefigaro.fr/histoire/2015/03/16/26001-20150316ARTFIG00250-guerre-d-algerie-les-tragedies-du-19-mars-1962.php
 
 
Beau témoignage de René fils du grand Marcel Cerdan

A écouter, cela fait du bien ……. "et nous resterons des français de 2 ème catégorie !" il est bien ce fiston.

https://www.youtube.com/watch?v=3ckipl3wq1Q&feature=youtu.be

 
 
http://www.lefigaro.fr/histoire/2015/03/16/26001-20150316ARTFIG00250-guerre-d-algerie-les-tragedies-du-19-mars-1962.php
 
 

Nostalgie interdite


Les Pieds-noirs ont le droit de célébrer leur passé
Publié le 16 mars 2015 à 8:30 dans Histoire Politique


Est-il donc vraiment « rance » et « triste » de refuser de célébrer un jour qui marque, pour soi-même et pour les siens, le début du malheur, du déracinement, de la ruine, sans parler de la mort de proches disparus par milliers ? Est-il donc « rance » de ne pas vouloir gratter la plaie ouverte par les horreurs de l’histoire ?

Telle est la question qu’aurait pu se poser le premier ministre Manuel Valls avant de s’insurger, lors d’une réunion à Saint-Brieuc samedi 14 mars, contre la décision de Robert Ménard et du conseil municipal de Béziers de débaptiser une rue du 19 mars 1962, la date des accords d’Evian, pour lui donner le nom de l’un des plus purs héros de notre temps, Hélie Denoix de Saint-Marc, élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur en novembre 2011 ? Valls précise qu’il faut regarder vers l’avenir, et savoir se montrer optimiste : mais quitte à l’être, est-on vraiment forcé de saluer le malheur – celui qui chassa tant d’hommes d’un pays où étaient enterrés leurs arrière-grands-parents, et qui provoqua l’assassinat atroce de dizaines de milliers de soldats qui avaient naïvement cru en la parole de la France ? Ou vaut- il mieux honorer la mémoire d’un officier qui, pour l’honneur, avait prétendu combattre jusqu’au bout, jusqu’à la désobéissance et à la rébellion, de même que vingt ans plus tôt, il avait lutté dans la résistance jusqu’à sa déportation à Buchenwald ?


Que Valls se scandalise d’une prétendue « nostalgie de l’Algérie française » dont il laisse entendre qu’elle serait factieuse et antirépublicaine, hésitant peut-être à qualifier de « fascistes » des descendants de communards ou de marchands juifs de Bab-el-Oued, c’est son affaire. Mais on a tout de même un peu de peine à comprendre, chez un homme de gauche toujours prêt à s’émouvoir, cette sécheresse de cœur, ce manque d’empathie à la douleur d’autrui – et en l’occurrence, à celle des Pieds-noirs qui, à Béziers, ont pu ressentir ce changement de dénomination, non point comme une revanche, ni a fortiori comme une vengeance, mais peut-être comme un infime soulagement. Une goutte de baume au cœur. On le comprend d’autant plus mal que ce tout petit événement n’intéresse en rien les fonctions éminentes d’un Premier ministre, qu’ il n’affecte nullement la politique générale du gouvernement, et qu’au pire, il n’aurait dû susciter, à Matignon, qu’une indifférence polie. Quant à l’argument infiniment rabâché de l’unité nationale, qui justifierait que l’on fustige une telle initiative comme anti française, le moins qu’on puisse dire est qu’il n’est pas recevable. Car en quoi l’unité nationale et l’amour de la France légitimeraient-ils la situation de parias dans laquelle ce discours installe ceux qui ont eu le malheur de naître Français en Algérie ? Pourquoi eux seuls n’auraient-ils pas le droit de célébrer leur passé ? Eux seuls : car à l’inverse, imagine-t-on le tollé si notre bon Monsieur Valls avait interdit aux Français issus de l’immigration, comme on dit, d’éprouver quelque nostalgie en songeant au pays de leur enfance?


Et en définitive, c’est sans doute là que se trouve le véritable scandale. Non point dans le fait de rebaptiser une petite rue d’une petite ville du sud-ouest de la France, mais en ce que le Premier ministre se soit publiquement scandalisé de ce qu’une certaine catégorie de Français refuse de renoncer à la mémoire.

Frédéric Rouvillois est né en 1964. Il est professeur de droit public à l’université Paris Descartes.

 

 
 
https://www.youtube.com/watch?v=OPx6hcWJofM&feature=player_detailpage#t=254
 
 
Relevé dans les commentaires d'un article des “4 Vérités“ à propos de l'initiative de Ménard…

“le 16 Juin 1940 il y a eu un cessez le feu.… on ne le fête pas que je sache!

signé: MARQUAIS

Réflexion tout à fait intéressante… on peut même ajouter que l'on n'a pas baptisé ensuite à tour de bras “ 16 Juin 1940 “ des rues françaises…

Bien cordialement

Christian GREGORI

 
 
 

Inauguration rue du Commandant Denoix de Saint Marc Béziers 14 Mars 2015

https://www.youtube.com/watch?v=bvFLXDOyj5Q

 
 

La France n’a pas à célébrer le 19 mars 1962 !


Vouloir commémorer cette date comme la fin d’une guerre que nous avons honteusement perdue alors que nous étions vainqueurs sur le terrain est insensé.
Article paru dans «Boulevard Voltaire» du 14 mars 2015.


En ce samedi 14 mars, Robert Ménard, maire de Béziers, débaptise la rue du 19 mars 1962. Cette date ne commémorant absolument rien, il a donc parfaitement raison de
le faire. Des rapports officiels révélés récemment apportent la preuve qu’après le 19 mars 1962, des centaines d’êtres humains ont été réduits à l’esclavage dans les mines de fer de Miliana et de nombreuses femmes livrées comme chair à soldat dans les bordels militaires.
Cependant, cette décision crée polémique par certains Français de gauche et d’extrême gauche qui se sont distingués comme ennemis de notre nation lors de cette
guerre d’Algérie.


Nous célébrons le 11 Novembre 1918, nous fêtons le 8 Mai 1945, qui, elles, sont des dates de victoires de la France. Je n’ai vu nulle part en France une place, une avenue,
une rue, un chemin ni même une impasse qui commémore le 22 juin 1940 ! Cette date est pourtant la fin d’une guerre que la France a perdue devant un ennemi et une armée qui nous occupaient. Alors, pourquoi vouloir célébrer le 19 mars 1962 ?

Cette date marque pour certains la fin des hostilités alors qu’il n’en est rien car les tueries, enlèvements, assassinats et massacres ont continué encore plus virulents.
Vouloir la commémorer comme la fin d’une guerre que nous avons honteusement perdue alors que nous étions vainqueurs sur le terrain est insensé.
Cette date est un mensonge et veut cacher une réalité, ce que nous ne pouvons accepter.


Par ces accords, le gouvernement français a décrété un « cessez-le-feu » unilatéral et a donné permission à nos ennemis d’assassiner des militaires et des civils français en toute impunité.
Dès le jour même, le 19 mars et les suivants, et je parle sous le contrôle de M. Eugène-Jean Duval, inspecteur général des armées, 18 jeunes soldats français ont été assassinés par le FLN et 39 ont été blessés qui, pour la plupart, décèderont dans les jours qui suivent.


90 autres ont disparu et les 239 qui étaient retenus prisonniers par l’ALN ne nous ont jamais été rendus. Nous sommes toujours, 53 ans plus tard, sans aucune nouvelle de ces jeunes militaires français… nos enfants, vos enfants !

Depuis ce 19 mars 1962, la France a abandonné une grande partie de son territoire et de ses richesses, trois départements, plus le Sahara, et l’armée française a connu la plus ignoble forfaiture de son histoire : être restée l’arme au pied et avoir laissé assassiner sous ses yeux, et par ordre, des dizaines de milliers de pieds-noirs et de harkis. Est-ce qu’une telle date peut convenir alors que les cicatrices sont encore, et pour longtemps, visibles et douloureuses ?


Je m’adresse donc aux maires des communes dans lesquelles vivaient ces quelques centaines de jeunes soldats afin de leur demander comment ils vont pouvoir les inscrire un jour sur les monuments qui commémorent leurs morts ? Pas « morts pour la France » puisque la guerre était finie. Alors, morts pour qui ? Pour quoi ? Morts pour rien ! Enterrés nulle part ! Honorés par personne ! Regrettés et pleurés que par leurs proches !

Ils rejoignent ainsi les 1.165 civils assassinés et les 1.773 disparus dans les semaines qui ont suivi ce 19 mars 1962. Sans comptabiliser les plus de 60.000 harkis, et leurs familles, mutilés, exécutés, massacrés. Arrêtons là ce martyrologe. Et il y a, en France, des maires, des fédérations, des associations, des Français qui soutiennent encore que cette date a marqué la fin d’une guerre, la fin des atrocités !


Qu’ils se souviennent de cette longue liste. Ils les entendront hurler leur mépris et leur colère lorsqu’ils garderont le silence durant une minute, ce 19 mars 2015.

Manuel Gomez
Ecrivain

 
 
14 mars 2015 Discours de Robert MENARD
 
Mesdames et Messieurs les élus,
Mesdames et Messieurs les présidents,
Mesdames, Messieurs,
Et surtout, chers, très chers amis,

D'abord, merci ! Merci d'être là. Merci d'être venus au rendez-vous de la justice et de la fidélité. Honneur à vous qui, parfois, avez parcouru 500 kilomètres, 1000 kilomètres pour être ici. Votre présence, votre nombre, prouvent combien cette cérémonie répond à un impérieux besoin de réparation et de reconnaissance. Et puis, pourquoi ne pas le dire, votre présence me touche infiniment. Oui, merci d'être là. Pour nous, pour tous ceux qui nous ont quittés et, aussi, pour ceux qui viennent.
Il y a des moments, il y a des gestes, il y a des paroles qui vous engagent totalement. Qui disent d’où vous venez. Qui disent ce qui est essentiel à vos yeux. Qui disent ce que vous êtes. Qui vous donnent l’occasion – rare, précieuse – de vous replacer dans une lignée, de rendre hommage aux vôtres, de saluer un père, une mère, une famille, de saluer votre famille.
Il y a des moments où il faut se rassembler, se retrouver, se souvenir, se tenir chaud les uns les autres. Il y a des moments où il faut dire non aux mensonges, à l’histoire trafiquée, réécrite, bafouée. Il y a des moments où trop c’est trop, où nos plus âgés meurent sans que jamais l’on ait reconnu leur travail, leur mérite, en un mot, leur vie.
Oser dire, oser laisser penser que la guerre, oui la guerre d’Algérie s’est terminée le 19 mars, le jour de la signature des accords d’Evian, n’est pas seulement un mensonge, c’est une ignominie, une insulte à la mémoire de tous ceux – pieds-noirs, harkis, jeunes du contingent – qui ont été torturés, qui ont été émasculés, qui ont été tués, qui ont disparu après cette date, après cette capitulation, après cet abandon, après ce renoncement à ce que fut la France, à ce que fut la grandeur de ce pays, de notre pays.
À cela, nous ne pouvons nous résigner. À cela je ne peux me résigner. Parce que je pense à ma famille, à nos familles. Parce que je pense à mon père, à nos pères. Parce que je pense à ces cimetières abandonnés, saccagés, rayés de la carte, comme gommés de l’histoire officielle, expurgés des manuels scolaires qu’on impose à nos enfants, à nos petits-enfants.
Voilà pourquoi je suis là aujourd’hui. Voilà pourquoi nous sommes là aujourd’hui. Pour rappeler à ceux qui nous ont trahis qu’ils ne pourront pas, éternellement, mentir, tromper, falsifier. L’Algérie de notre enfance, l’Algérie de nos aïeux, notre Algérie, ce n’est pas ce que certains veulent nous faire croire, ce n’est pas ce qu’un Benjamin Stora ne cesse d’écrire, ce n’est pas aux renégats, aux porteurs de valises d’en imposer l’image. De cela, nous ne voulons pas, nous ne voudrons jamais.
Je le dis à l'adresse de ceux qui s'agitent là-bas, plein d'une haine titubante, enveloppés dans de vieux mensonges qui s'effilochent : le communisme est mort et ses derniers militants sont des spectres errant dans le dédale de leur rancœur et de leur ignorance. Ils ont voulu hier l'Algérie algérienne, ils ne veulent pas aujourd'hui de la France française. La traîtrise est leur patrie. Nos victoires leur châtiment.
« À lire une certaine presse, écrivait Albert Camus en 1955, il semblerait vraiment que l’Algérie soit peuplée d’un million de colons à cravache et à cigare, montés sur Cadillac… »
60 ans plus tard, rien n’a vraiment changé. Alors, si nous sommes ici aujourd’hui, c’est pour dire « assez ! ». Assez de ces contre-vérités sur les pieds-noirs qui n’étaient pas tous des colons roulant en décapotables américaines. Assez des mensonges sur le bilan de la colonisation. Assez de cette perpétuelle repentance !

Oui, nous pataugeons dans une perpétuelle contrition. Honteux de ce que nous avons été. Honteux même, parfois, de ce que nous sommes. Quand la France intervient en 1830 en Algérie, elle mène une guerre de conquête longue et impitoyable, c’est vrai ! Mais, faut-il le rappeler, il s’agissait de mettre hors d’état de nuire les pirates qui sévissaient depuis la côte algéroise. Ces forbans n’étaient pas des pirates d’opérette : ils enlevaient, suppliciaient, réduisaient les chrétiens en esclavage. Le rappeler, est-ce se transformer en avocat inconditionnel de l’épopée coloniale ? Bien sûr que non !
Faut-il le redire aux révisionnistes de tout poil, la présence française en Algérie, ce sont des ports, des aéroports, des routes, des écoles, des hôpitaux. Ce sont des marais asséchés, des maladies éradiquées. Mais aussi du soleil sur la peau, des éclats de rire sur les plages, des filles à la peau suave, un ciel comme il n’en existe nulle part ailleurs. L’Algérie, disait ma mère, c’est notre paradis à nous, ce paradis qu’on nous a enlevé, ce paradis qui hante, toujours, plus de cinquante ans plus tard, nos cœurs et nos mémoires.
Après nous avoir pris notre pays, certains voudraient maintenant nous priver de nos souvenirs. Et nous faire croire que les combats ont cessé le jour où des traîtres signaient un cessez-le-feu qui n’était rien d’autre qu’un lâche abandon, un vil renoncement.
Demandez aux Algérois de la rue d’Isly ! Demandez aux Oranais du 5 juillet ! Demandez aux milliers, aux dizaines de milliers de harkis ! Demandez à nos martyrs ! Demandez-leur ce que furent les jours, les semaines, les mois qui ont suivi cette véritable capitulation ! On voudrait les faire disparaître une seconde fois ! On voudrait les oublier, les nier.

Les oublier ? C’est hors de question. Comment oublier ces Européens enlevés par le FLN afin de récupérer le sang dont il avait besoin pour soigner ses combattants ? Vidés, oui vidés de leur sang, au sens clinique du terme… Et dire que certains continuent de se vanter d’avoir été les « porteurs de valises » de ces terroristes qu’on applaudit dans la bonne presse.
C’est raté. Nous sommes ici des milliers pour porter témoignage. Nous sommes ici pour dire haut et fort notre vérité, la vérité. Pour la jeter à la figure de tous ceux qui nous font la morale, qui nous parlent du sens de l’histoire, des accommodements auxquels nous devrions nous résigner. Nous sommes ici pour dire tout cela à ceux qui armaient le bras des assassins, des bourreaux des Français d’Algérie.
Des assassins, des bourreaux qui nourrissent encore aujourd’hui une haine à l’égard de la France, de ses valeurs, de son histoire, de ses combats, de sa civilisation. Une haine qui pousse certains à abattre des journalistes parce qu’ils sont journalistes, à abattre des policiers parce qu’ils sont policiers, à abattre des Juifs parce qu’ils sont juifs.

Cette haine de la France est comme une insulte, comme une gifle pour d’autres musulmans, pour nos amis musulmans, pour nos frères harkis, eux qui ont choisi la France, qui sont morts pour la France. Eux qui ont été massacrés, certains écorchés vifs, ébouillantés. Eux qui ont été abandonnés sur ordre de l’État français, livrés à la vindicte du FLN.
Mais que s’est-il donc passé ? Que s’est-il passé pour qu’aujourd’hui, dans notre pays, on occulte à ce point la réalité de notre histoire ? Tout simplement que, alors qu’on obligeait un million de Français à quitter leur Algérie natale, on ouvrait la France - quasi simultanément - à des millions d’immigrés bien décidés pour certains à ne jamais se sentir, à ne jamais devenir des Français à part entière.
Colonisation de peuplement, disait-on de la présence française en Algérie. Il faut parler aujourd’hui, en France, d’immigration de peuplement, d’immigration de remplacement. Un chassé-croisé dont l’histoire a le tragique secret et dont je redoute que nous ne cessions de mesurer les funestes, les dramatiques conséquences. Je voudrais me tromper. Je crains d’avoir raison.
Face aux drames d’hier, il est des hommes qui ont su dire non. Des hommes qui n’ont pas hésité à tout risquer, à tout perdre pour des valeurs qui étaient, qui faisaient toute leur vie, au point d’être prêts à mourir pour elles. Hélie de Saint Marc était de ceux-là. On les appelle des héros. Un mot qui sonne comme un anachronisme à une époque, la nôtre, où l’on nous serine qu’on ne va quand même pas mourir pour des idées, où la vie, son confort, ses petites habitudes justifient tous les compromis, toutes les compromissions.
Je ne vais pas avoir l’outrecuidance de rappeler les états de service, les engagements, le prix payé par Hélie de Saint Marc devant les membres de sa famille qui nous font l’immense honneur d’être aujourd’hui parmi nous.
« Se tenir à la pointe de soi-même. » Voilà une phrase du commandant de Saint Marc qui dit, avec la plus grande justesse, l'exigence de sa vie, de toute sa vie. De l'Occupation à la perte de l'Algérie, rien n'a pu anéantir ce cœur vif, ce cœur exemplaire. Né mille ans plus tôt, son histoire serait celle d'une chanson de geste. Hélie de Saint Marc est un preux, un orphelin d'un ordre spirituel et guerrier, tenant sa vie comme une lance.
Henry de Montherlant écrivait : « Il y a le réel et il y a l'irréel. Au-delà du réel et au-delà de l'irréel, il y a le profond ». La vie et les livres d'Hélie de Saint Marc sont un périple vers les profondeurs de l’être, dans le fond sans fond de son âme. Comme Ulysse, jamais les épreuves ne le détournèrent de sa destination, j’allais dire de sa destinée. Voyages des camps et des prisons, voyages des batailles et des carnages. Voyage vers ce qu'il appelait « le tremblement sacré des choses invisibles ».
Je citerai encore le commandant de Saint Marc, et il faut le citer souvent, car il ne fut pas seulement un chef mais aussi un remarquable éducateur. Non pas un donneur de leçons, ni un « coach de vie » comme l'on dit aujourd'hui, mais un homme qui a beaucoup vécu, beaucoup vu, immensément ressenti.
Le commandant écrivait, et son petit-fils nous l’a rappelé à l’instant : « La vie est un combat, le métier d’homme est un rude métier. Ceux qui vivent sont ceux qui se battent. » Et il ajoutait : « Vivre, ce n’est pas exister à n’importe quel prix. »

Dire comme lui que la vie est un combat n'est pas faire l’apologie de la guerre, n’est pas faire de la guerre sa profession de foi. C'est un simple constat : si une vie, c’est aimer, partager, éduquer, c’est aussi une somme d'épreuves, de contrariétés, d'oppositions, d'expériences et d'engendrements. C’est cette somme qui fait une vie. Et celui qui refuse ce combat ne vit pas. Dire que vie et combat sont de la même substance est une adresse d'espoir. Voilà ce que nous dit le rescapé de Buchenwald. Il faut espérer et faire de son espoir un bélier qui fracasse toutes les murailles. Il faut même espérer au-delà de toute raison. C'est Héraclite qui disait : « Qui n'espère pas l'inespérable ne le découvrira pas. »
Ici, je le sais, nous espérons, nous n'avons jamais cessé d'espérer. Nos espoirs sont nos fidélités. Et nos fidélités comme nos espoirs trouvent en ce jour leur récompense, comme elles trouveront demain, en d'autres lieux et sur d'autres plans, des satisfactions encore plus décisives pour notre nation et notre peuple.
Le commandant de Saint Marc est l'homme d'une génération. Une génération qui, de septembre 1939 à juillet 62, ne connut jamais le répit et la paix. Une génération qui, entre la débâcle et l'abandon, connut cent victoires. Une génération qui nous a laissés seuls avec les souvenirs de sa gloire. C'est elle, aussi, qu'en ce jour nous célébrons. Gloire à eux ! Gloire aux compagnons du Commandant de Saint Marc, gloire à ceux d'Indochine, à ceux d'Algérie, gloire à ceux des prisons qui étaient alors les garnisons de l’honneur.
Oui, comme vous, comme beaucoup d’entre vous, j’ai lu les livres de celui dont cette rue portera dorénavant le nom. Et je n’ai pas honte de vous le dire : j’en ai eu les larmes aux yeux, regrettant presque d’avoir été trop jeune pour être confronté à des choix qui forcent le destin et font de vous un homme.
Et puis, je me suis dit que j’avais tort. Que chacun, à son époque, est face à des engagements qui, sans avoir le caractère dramatique de ces années algériennes, n’en sont pas moins cruciaux, vitaux.
Aujourd’hui, notre pays est face à une crise qui engage son avenir, sa vie, sa survie. Et face à ces dangers, Hélie de Saint Marc, son courage, son panache, sont d’une actualité brûlante, d’une force existentielle.
Allons-nous abandonner la France, laisser faire, nous réfugier dans des slogans aussi creux, aussi vides qu’une rengaine publicitaire, qu’un discours de politicien censés nous faire oublier les responsabilités des uns et des autres ?
Il y a 50 ans, je m’en souviens, vous vous en souvenez, nous tapions sur des casseroles en scandant « Al-gé-rie fran-çaise ». Il faudrait aujourd’hui, avec la même ardeur, avec la même détermination, dire non à cette France métissée qu’on nous promet, qu’on nous annonce, qu’on nous vante. Dire non à cette France multiculturelle qu’on nous impose. Mais dire oui à une France fière d’elle-même, de son histoire, de ses racines judéo-chrétiennes. Cette France que pieds-noirs et harkis ont admirablement incarnée, cette France pour laquelle un Hélie de Saint Marc s’est battu pendant la résistance, en Indochine et en Algérie. Cette France que nous voulons transmettre, intacte, à nos enfants.
Alors, pour Hélie de Saint Marc, pour tous ceux qui sont morts en Algérie, persuadés que nous étions en France, que nous nous battions pour la France, pour tous ceux qui l’ont quittée, définitivement orphelins d’une partie d’eux-mêmes, je voudrais avant que nous entonnions « Le chant des Africains », je voudrais, en votre nom à tous, je le sais, dire, redire, répéter ce qui est notre viatique, notre credo, notre passé et, je l’espère, notre avenir : « Vive la France », « Vive la France française ! »

 
 
http://nice.algerianiste.free.fr/pages/beziers14mars/beziers14mars.html
 
 
Maurice CALMEIN Villefranche de Lauragais, le 14 mars 2015.
13 Faubourg Sébastopol
31290 Villefranche de Lauragais


Monsieur le Premier ministre,

Vous avez déclaré à propos de l'initiative du maire de Béziers de changer le nom de la "Rue du 19 mars 1962" de sa ville que "la nostalgie de l'Algérie française n'apportera rien de bon".

Ces propos confirment, s'il en était besoin, le mépris de votre gouvernement pour les Français d'Algérie et leur mémoire.

Ce qui n'apporte rien de bon pour la cohésion nationale, c'est la décision de votre majorité d'avoir osé faire ce que tous les Présidents de la Vème république avaient jusque là refusé, à savoir officialiser cette date du 19 mars 1962 comme celle de la fin officielle de la guerre d'Algérie.

Je doute que vous ignoriez qu'il y eut après le 19 mars 1962 davantage de morts que pendant toute cette guerre et qu'elle marqua le début du martyre des Pieds-Noirs et des Harkis dont des dizaines de milliers furent massacrés dans des conditions abominables.

Que diriez-vous si l'on déclarait que cultiver le souvenir des victimes républicaines de la guerre d'Espagne ou de l'horrible massacre d'Oradour sur Glane n'apportera rien de bon ? Vous seriez choqué et vous auriez raison.

Mais permettez-moi d'insister sur une différence importante entre le souvenir de ces tristes épisodes historiques et ce qui pousse encore les Français d'Algérie et de nombreux anciens combattants à refuser la commémoration du 19 mars 1962: les premiers ont fait l'objet d'une large information, d'un travail historique, d'une forte communication et d'un large consensus. Or, la France politicienne et médiatique dénie toujours aux Français d'Algérie la reconnaissance des souffrances qu'ils ont endurées et une désinformation idéologique continue d'entourer l'histoire de l'Algérie française et de sa fin tragique, notamment en ce qui concerne le calvaire et l'exode d'un million de Français de toutes confessions dont vous savez fort bien que, selon le mot d'Albert Camus, ils n'étaient pas majoritairement "de gros colons à cigare montés sur Cadillac".

Ce sont des propos sectaires et méprisants comme ceux que vous avez tenus qui n'apporteront rien de bon mais, en tout cas, ils nous auront appris que nous, Français d'Algérie, n'avons rien de bon à attendre de vous, comme hier du pouvoir gaulliste.

En revanche, nous remercions chaleureusement M. Ménard de nous avoir rendu justice et d'avoir accompli un geste de réconciliation nationale en remplaçant le nom infâme de la "rue du 19 mars 1962" de sa ville par celui du héros national que fut le commandant Hélie Denoix de Saint Marc, depuis la Résistance jusqu'à l'Algérie, en passant par Buchenvald et les geôles du Vietminh... avant de connaître celles de De Gaulle.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier ministre, l'expression de la haute considération due à votre charge.


Maurice CALMEIN

 
 
http://www.heliedesaintmarc.com/declaration.pdf
 
 

 

MENARD ON AURA TA PEAU !

« Pan pan l’arbi les chacals sont par ici… »

Ils étaient là, les 200 chacals, réfugiés derrière une barrière policière brandissant des drapeaux dont ils ne connaissent que leur histoire.

Nous entendions les aboiements contre les « Pieds-Noirs nostalgiques de l’Algérie française », leurs vociférations « Ménard on aura ta peau », leurs cris de haine contre un officier de l’armée française « Saint-Marc assassin ».

Ils étaient là ces 200 chacals, dressant un drapeau algérien du FLN, deux drapeaux rouges du Parti Communiste et trois drapeaux français souillé par leurs mains trempées dans du sang français, du sang versés par nos enfants, vos enfants, tous ces civils, ces innocents et ces jeunes soldats du contingent frappés par les armes offertes à l’ennemi FLN par l’aspirant communiste Maillot, déchiquetés par les bombes fabriquées par le comptable communiste Timsit et tués par les balles payées par les porteurs de valises gauchistes du réseau Jeanson.

Ils étaient là ces 200 chacals soutenus par la FNACA, le Parti Communiste et ces associations anti-France subventionnées par l’Etat.

**Saint-Marc assassin ! Oui, il a certainement du sang sur les mains le commandant Denoix de Saint-Marc, car c’était un soldat et son métier était de défendre sa Patrie contre des ennemis et, le cas échéant, de mourir pour elle.

Ce sang sur ses mains c’est le sang des ennemis de la France, le sang des nazis lorsqu’à 17 ans il était devenu résistant et avant de se retrouver dans le camp de la mort de Buchenwald.

Le sang des « Viets » en Indochine et le sang des ennemis FLN en Algérie.

Son honneur est d’avoir obéi, d’avoir défendu sa Patrie, mais pas jusqu’au point de se parjurer sur ordre d’un traître, d’un complice de crimes contre l’humanité, d’un De Gaulle.

**Nostalgique de l’Algérie Française ? Non, nous ne sommes pas nostalgiques de ce pays perdu par des politiciens, nous sommes nostalgiques de ce pays que nous avons bâti avec notre sueur et notre sang en 130 années de colonisation. Et de ces territoires voués à la piraterie, barbares, incultes, marécageux, est née cette Algérie, l’un des plus beaux fleurons de la Méditerranée. Cette partie de la France était multiculturelle

Nous ne sommes pas nostalgiques de ce pays qui est devenu une « poubelle » (Dixit Kamel Daoud), que ses enfants abandonnent par centaines de milliers pour se réfugier dans ce pays « honni » qui les a « colonisé », la France.

**On aura ta peau Ménard ! Ils auront peut-être sa peau ! Mais ce sera celle du courage quand, dressé sur l’estrade, il a dénoncé les assassins, les traitres, les falsificateurs de notre histoire : les De Gaulle, Benjamin Stora et les porteurs de valises communistes…et leurs héritiers qui continuent à hurler leur haine à 200 mètres.

Nous étions très nombreux (plus de 1500 c’est certain) à l’applaudir, à le soutenir, à l’aimer, et nous sommes rentrés chez nous, après quelquefois de très longs trajets, remettre nos « charentaises ».

Lui, Ménard, reste à Béziers, sa ville, face à cette meute haineuse, à ses insultes, à ses menaces !

Il a un courage redoutable Robert, ce « grand homme » de petite taille. Il a de la race et il est digne de défendre les mémoires de ceux qui ne sont plus parmi nous : les Denoix de Saint-Marc, Bastien-Thiry, Degueldre, Salan, Jouhaux, Zeller et tant d’autres qui ont eu le privilège et le courage de défendre la France, leur Patrie, envers et contre tous, en mettant leurs vies au bout de leur honneur.

Manu GOMEZ


 
 
J’y étais. C’était émouvant, certes, des larmes incontrôlables sont tombées. Les gens aux cheveux blancs essuyaient leurs yeux. « Marseillaise » et chant des Africains ont été repris à pleins poumons à l’unisson.

Pendant ce temps, on percevait les cris de la meute retenue par la police. Depuis une fenêtre ouverte, un haut-parleur aux potentiomètres réglés au maximum de leurs puissances ne parvenaient pas à couvrir les discours.

Les premiers mots ont été prononcés dès 14h30 comme prévu et les derniers soixante minutes plus tard.

Tous les intervenants ont été applaudis chaudement, longuement. La communion entre les personnes sur l’estrade et la foule était totale, parfaite, touchante.

Dès que nous sommes rentrés chez nous, quelle déception en entendant les distorsions de l’ information récente.

France, je ne te reconnais plus !

France, où vas-tu ?
France, réveille-toi vite, demain sera trop tard !

JP PALICER

 
 
http://www.choisir-beziers.fr/?p=1317
 
 
Le drapeau de l'AACR à Béziers pour l'inauguration de la rue du Commandant Hélie DENOIX de SAINT MARC
 
 
 
NON à la trahison gaulliste
 
 
Rue Commandant de Saint Marc à Béziers

Monsieur,

Vous en prendre à ce baptême de rue est assez ignoble...

1-n’avez-vous pas assez de rues au nom du 19 mars alors que cette date relève de l’imposture ? "19 mars: cessez le feu en Algérie" dites-vous? Mensonge! Que faites-vous des milliers de victimes après cette date? Visiblement elles ne comptent pas. C'est donc non seulement du mensonge mais du négationnisme. Comme l’a écrit quelqu’un au maire de Toulouse à propos du pont Bayard devenu 19 mars, vous devriez aussi nommer des lieux «22 juin 1940» puisqu’il s’agissait aussi d’une décision légale et du lâche soulagement d’une majorité de Français…

2-Des lieux ont été consacrés ici à la mémoire de membres du FLN, organisation terroriste en guerre contre la France, on glorifie ses collabos d’alors et on invite son drapeau au défilé du 14 juillet! Mais cela ne vous gêne pas plus que les rues Lénine !

3-En 1939 M. Thorez a déserté en temps de guerre. Il a été amnistié par de Gaulle et son nom orne des plaques de rues.... Cela m’écœure mais je suis obligé de m’y soumettre. Les membres de l’OAS ont été amnistiés aussi puis furent réintégrés dans leurs droits en 82 sous un gouvernement de gauche. Hélie de Saint Marc a été amnistié sous CDG. Alors fichez lui la paix, et soumettez vous aussi à la loi!

3-les adversaires du maire de Béziers invoquent l’OAS à propos de H. de Saint Marc. Mensonge encore par anachronisme! L’OAS ne s’est développée qu’après l’échec du 22 avril 1961. Le Cdt de Saint Marc n’en était donc pas puisqu’il était … en prison! D’autre part cette organisation n’a existé qu’un peu plus d’un an contre 8 années pour les crimes et massacres du FLN (dont vous faites semblant d’ignorer que les communistes de 1954 n’étaient pas du tout les amis) Le drame algérien est assez complexe pour que vous nous dispensiez des simplifications et caricatures de style néostalinien.

4-Les communistes sont assez mal placés pour donner des leçons d’histoire et de morale. Ainsi, l’OAS ayant eu une base très populaire, elle a compté dans ses rangs de nombreux ex-communistes et cela devrait vous mettre mal à l’aise… Ainsi, si les authentiques résistants de 39-45 sont admirables, on n’oublie pas que «vous» n’en avez été qu’après Barbarossa, à l’exception notable de quelques éléments communistes précurseurs : G.Guingouin, J.Pastor et d’autres, du reste souvent désavoués alors par la direction du Parti et parfois même cibles de l’O.S. N’est-ce pas l’Humanité clandestine de 1940 qui se félicitait «de voir de nombreux travailleurs parisiens s’entretenir amicalement avec des soldats allemands» ? Qui a saboté du matériel de guerre dans les usines en 1939? Qui qualifiait de «sale guerre» le combat contre l’Allemagne nazie à la même époque ? Une lettre d'un des vôtres qualifiait de Gaulle de «soi-disant libérateur de la France», l’accusait d’avoir «bafoué les Français» et d’avoir conduit «aujourd’hui à la France algérienne» (Intéressante, cette dernière remarque sous la plume d’un communiste!)

En conclusion, devant tant d’incohérence et de manipulations, je vous suggère de consacrer plutôt votre mandat au règlement des nombreux problèmes actuels des Français au lieu de donner sans cesse des leçons. Vous êtes trop mal placés ! Finalement, on a bien compris que pour vous certaines catégories de Français doivent non seulement être privées d’expression mais aussi de toute forme de mémoire. Votre «cher et grand Staline» n’est pas vraiment mort…

Clément Charrut, membre d’une famille victime du terrorisme FLN.

 
 
http://magoturf.over-blog.com/2015/03/19-mars-1962-capitulation-de-la-france-en-algerie.html
 
 
Monseigneur Francis Bestion
Évêché
Avenue de la Bastille
19000 Tulle

Monseigneur,

La nouvelle de la clôture de l'enquête diocésaine pour la cause de la béatification d'Edmond Michelet le 15 février m'a beaucoup surprise.

Est-il possible que l'attitude certes courageuse d'Edmond Michelet pendant la guerre et à Dachau fasse oublier sa cruelle position à propos de l'Algérie Française ?

Après avoir déclaré que le F.L.N. était “raciste”, il le défendit alors qu'il était ministre de la Justice, pas une prise de position contre les bombes qui tuaient les enfants dans les rues d'Alger ! Où est le sens de la responsabilité et de la justice d'Edmond Michelet ?
Il signa l'ordonnance de Juin 1960 rétablissant la peine de mort en matière politique et exigea qu'elle soit requise contre les généraux Challe et Zeller ! Où est la charité d'Edmond Michelet durant cette période douloureuse ?
De plus il ne manifesta aucun soutien, aucune sympathie pour les populations subissant un terrorisme aveugle. Un chrétien digne de ce nom aurait du protester contre les massacres de harkis fidèles à la France et les enlèvements d'européens par le F.L.N.

Au lieu de cela, pas une déclaration, pas un geste de pitié, pas une demande d'apaisement, est-ce l'attitude que l'on est en droit d'attendre d'un vrai chrétien qui a des responsabilités importantes et peut être écouté ? L'indifférence dont il a fait preuve montre qu'il n'était pas capable d'une vraie charité chrétienne.

Née en Algérie et représentant une famille dont quatre générations sont nées en Algérie, je considère comme une insulte douloureuse que l’Église catholique dont je fais partie puisse vouloir béatifier un homme aussi coupable d'indifférence et de cruauté.
On peut pardonner à un homme pareil mais pas oublier qu'il a volontairement ajouté aux souffrances de tout un peuple sans jamais une parole ou un geste de compassion.

Merci de bien vouloir tenir compte de mon témoignage et de mon avis sur cette grave question et de me tenir au courant de votre décision pour la suite de cette malheureuse affaire.
Bien respectueusement à vous,

Solange Dietsch

 
 
Infos pratiques pour se rendre à Béziers, samedi 14 mars 2015
 
 
http://www.bvoltaire.fr/robertmenard/le-19-mars-est-un-symbole-de-reniement-dabandon-et-de-defaite,164012
 
 
http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/l-eloge-funebre-d-helie-saint-marc-3501
 
 
 
http://youtu.be/-BT-RYnaIew
 
 
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=xqEdGMM5hmw
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=puJN9Aqo36Y
 
 
Encore toutes nos félicitations pour ton excellent travail et la mobilisation pour le 14 mars à BEZIERS. Nous avons repris tes infos sur notre site pour les cars et mis une annonce dans le AU FORUM 3 dans les Actualités
 
 
Histoire dénaturée...
 
 
Extrait de "Les Aurès à 20 ans" de Philippe ROUSSEL
 
 
http://www.clan-r.org/portail/
 
 
Monsieur le Sénateur,

Dans un courrier en date du 26 février 2015, vous vous indignez auprès de Monsieurle Secrétaire d'Etat aux Anciens combattants de la décision du maire de Béziers de rebaptiser la rue du 19 mars 1962, rue du Commandant Hélie Denoix de Saint Marc.
Vous ne retenez de cette grande figure de notre Histoire, Grand Croix de la Légion d'Honneur, que sa participation au putsch des généraux en avril 1961 et vous vous gardez bien d'évoquer son passé de Résistant, dès février 1941, et de déporté au
cours de la seconde guerre mondiale, à une époque où le parti communiste, dont vous êtes secrétaire national, soutenait le régime nazi en défendant le pacte germano-soviétique, à une époque toujours où l'ancien premier secrétaire du PCF, Georges Marchais, partait comme travailleur volontaire dans les usines d'armement allemandes Messerschmitt.

Un peu de pudeur Monsieur le Sénateur ! Un peu de pudeur également Monsieur l'ancien directeur de publication de L'Humanité, vous dont le journal étalait en première page sa douleur suite au décès de Staline, l'un des plus grands criminels de toute l'Histoire. Vous reprochez à Hélie Denoix de Saint Marc sa proximité avec l'OAS (responsable de 2600 morts) alors que, dernier des Mohicans d'une idéologie moribonde, vous feignez d'oublier que cette même idéologie fut responsable au XXème siècle de plus de 120 millions de morts !

Et pour en revenir à l'Algérie, vous n'ignorez sans doute pas que les prémices de la guerre remonte à 1945 avec le soulèvement d'indépendantistes à Sétif. Soulèvement qui fut violemment condamné par... L'Humanité ! L'Humanité qui écrivit qu'il fallait "châtier impitoyablement les fauteurs de troubles". Vous n'ignorez sans doute pas que l'un des artisans de la répression fut un certain Millon... ministre communiste ! Tout comme vous n'ignorez sans doute pas que des milices furent créées pour mater la rébellion des indépendantistes, milices créées par... le parti communiste algérien !

Alors de grâce, Monsieur le Sénateur, avant de parler de "crimes de masse" comme vous le faites dans votre courrier, balayez devant votre porte ! En ce qui concerne les crimes de masse, l'idéologie communiste surpasse, et de loin, toutes les autres.

Lionel VIVES-DIAZ

 
 

Assia Djebar et Roger Hanin : la valise et le cercueil !


Quelle aberrance, quel surréalisme dans le destin de ces hommes et de ces femmes qui n’ont eu d’autre choix que celui de prendre la valise afin d’échapper au cercueil pour revenir 50 années plus tard empaquetés dans des corbillards !
Quel que soit le regard que l’on jette à cette journée funéraire, on y décèle indéniablement quelque chose de pervers et de surréaliste à la fois. Pervers, quand on sait que c’est ce même pouvoir, celui qui a semé les graines de l’exclusion pour chasser les vivants de la surface de nos terres, hier, qui les accueille aujourd’hui pour leur offrir la petite parcelle tant désirée, sous terre. Surréaliste, avec ce jeu du hasard qui a vu s’étreindre les cercueils d’un juif et d’une musulmane dans cette procession synchronique du dernier voyage vers la demeure éternelle, ultime offrande de leurs corps à cette terre qui les a tous deux vu naître à une époque où tout le monde rêvait d’une Algérie meilleure, chacun un peu trop pour soi mais pas assez pour les autres, ces autochtones originels que l’histoire et les envahisseurs de tous bords ne cessent de ballotter pour les greffer de force à des boutures contre-nature.
Comment ne pas être perplexe et dubitatif devant cette curieuse symétrie qui a fait converger ces deux destins, à l’origine quasiment antithétiques, pour les fusionner un vendredi 13 à l’aéroport d’Alger ? Roger Hanin a quitté l’Algérie bien avant le funeste et célèbre ultimatum «la valise ou le cercueil» adressé par le FLN à tous les non musulmans d’Algérie. Assia Djebar s’exile quelques années seulement après l’indépendance, prématurément étouffée par une arabisation empressé et insensée, présageant de l’actuel sort du pays, transformé en cercueil à ciel ouvert par la grâce d’une bande d’aventuriers sans foi ni loi.
Quand on jette un regard neutre et lucide sur notre Histoire récente, on s’aperçoit bien que nul autre choix que celui de la valise ou du cercueil n’est donné à tous les algériens depuis l’indépendance, qu’ils fussent pieds noirs, harkis, chrétiens juifs ou musulmans, qu’ils appartiennent à des lignées récentes ou issus de souches millénaires, celles de nos seuls ancêtres, les berbères. Au lendemain de l’indépendance, les pieds noirs, sous une menace cruelle, ont préféré prendre la valise pour éviter le cercueil. Après l’indépendance, c’est la même forme de violence dissuasive et de chantage qui a poussé les Algériens du terroir à préférer la valise au cercueil à ciel ouvert qu’est devenu le pays. La barbarie islamiste aidant, ceux sont des centaines de milliers d’hommes et de femmes qui ont fui, par la grâce d’un pouvoir de petits truands immatures, inaptes et mesquins, imposés depuis 1962 par des militaires intellectuellement restreints.
On peut bien invoquer la malédiction ou tout autre cause naturelle ou surnaturelle à cet exil de masse, mais comment se réfugier derrière telle niaiserie et ne pas pointer la responsabilité des hommes aux commandes quand des milliers de "haragas" s’empilent dans des embarcations de fortune pour défier la mer et ses dangers, préférant mourir et finir dans la gueule des gros poissons que de supporter le poids d’un avenir oppressif, avec des années de mal-vie sous ce ciel miséreux des FLiN-tox ? Un ciel bleu sous lequel ne règne, dans le moindre de ses recoins, que des nuées d’islamisme étouffant une société formatée à avoir un pied dans la tombe à longueur de journée, tout au fil des saisons, y compris le printemps, au lieu de cultiver ce merveilleux verger au mille-et-une «thivhirines» que nous enviaient tant de pays lointains.
Cette journée du 13 février 2015 aura aussi dévoilé le caractère hautement inhumain du dédain que voue le pouvoir d’Alger envers tous les autochtones qui ne marchent pas dans ses combines. Car comment ne pas relever la différence de traitement, même dans la mort, entre la fastueuse procession réservée à Roger Hanin, avec une présence affirmée d’officiels, et celui d’un enterrement bien plus sobre réservé à Assia Djebar dans son petit patelin de Chenoua ?
Telle irrévérence n’est pas sans rappeler celle dont fut victime, de son vivant, cheikha Remitti, laquelle avait eu la malchance d’atterrir à l’aéroport d’Alger en même temps qu’une bimbo de la télé réalité française pour laquelle de hauts responsables politiques avaient déroulé le tapis rouge, pendant que notre cheikha fut allègrement ignorée.
Ainsi fonctionne le pouvoir, de Boumediène à Bouteflika : La valise ou le cercueil pour ceux, musulmans juifs ou chrétiens, qui ne rentrent pas dans leurs combines de petits dictateurs, le tapis rouge et les honneurs pour tous ceux qui ne tarissent pas d’éloge envers un p’tit cancre transformé en «fakhamatouhou» par la grâce d’une servilité maligne qui a gangrené chaque homme et chaque femme du pouvoir algérien.
D’Assia à Yacine et Roger, des hommes et des femmes ont aimé l’Algérie, chacun à sa façon, et il faut une sacrée dose de passion pour lui offrir sa sépulture ! Les voir ainsi partir, c’est une bonne partie de nos rêves qui s’effrite, le rêve de cette Algérie de fraternité qui fout le camp obstinément, génération après génération. Emportée par ceux qui lui vouent un amour des plus vils, ceux qui sans vergogne la pillent. Ceux-là ont des funérailles nationales, mais nous ne les pleurons jamais !
Tout comme nous n’avons pas pleuré Boumediene hier, nous ne pleurerons pas Bouteflika demain, car de cette terre berbère, ils n’ont aimé que les trésors et les perles, et noyé ses peuples dans l’Islam des ténèbres pour le dépouiller à perpète sous l’œil bienveillant d’un monde et d’une France enclins à sacrifier chaque homme, chaque femme indigène pour quelques gouttes de pétrole nécessaires au fonctionnement de sociétés qui ne savent plus verser dans l'émotion et les sentiments, ces «machins» regroupés sous l’appellation sordide de civilisation!
Quels Dieux, quels Saints peuvent souscrire à telles horribles bénédictions ?
Quant à nous, universalistes convaincus, nous ne nous bousculerons pas pour quémander une petite place sous terre ! Nous avons déjà choisi l’habitacle pour notre dernier voyage ; celui du crématorium, pour un retour instantané à notre état naturel de poussière, celui que nous avons été et serons pendant des milliards d’années encore. Ainsi nous allégerons la tâche à Belzebuth et laisserons plus d’espace au paradis d’Allah pour nos frères. Comment ne pas s’attendrir sur cette course au mérite d’une vie meilleure là-haut, une vie éternelle remplie de créatures aguichantes, de fruits délicieux, de ruisseaux de vin exquis pour récompenser l’abstinence ici-bas? Abstinence pratiquée par le pauvre, encouragée par le riche, lequel se goinfre tous les jours à dégoût, comptes HSBC en cerise sur le gâteau! Sacrés Terriens !
Sallam Assia ! Shallum Roger ! Reposez en paix !
Kacem Madani

 


Pieds-rouges et islamistes


Je me demande bien si les socialistes sont conscients du mal que leur idéologie passéiste, imprégnée de cette fausse décision que fut la loi de 1905 ne provoque pas encore les remous qui font qu’aujourd’hui ce n’est pas d’un amalgame ou d’une ghettoïsation dont il faut se méfier mais simplement de cet humanisme angélique, ce rêve à la Rousseau d’un monde sans tâche qui nous fait plonger dans les méandres des pièges que notre innocence a engendré.
Souvenons-nous de ces pieds-rouges dans les années de sang de l’Algérie française. Quels rôles jouaient-ils vis-à-vis de la Nation, sinon ceux d’un traître ? Ils étaient en général jeunes, imprégnés de l’intoxication socialo-communiste encore vivace avec un Georges Marchais au faîte de sa gloire et ils y croyaient certainement à ce monde socialo-progressif qui les poussa à un déni de France ou à jouer les porteurs de valises et de bombes en soutien à une engeance terroriste qui tuait des innocents. Ils étaient dans un monde à part, le pire, celui qui se croit capable de construire un rêve qui se transforma en cauchemar.
Qu’ont-ils réussi à incarner ces pieds-rouges ? Une honte française et ils sont en partie coupables des crimes du FLN sans obtenir d’autre avantage que celui de se voir renvoyer dans leur foyer, en France, lors de la récupération du pouvoir par Boumediene et de l’islamisation du pays. Ils avaient cru à un faux idéal et provoqué des crimes atroces, et ils eurent la chance qu’une France toujours faible et souhaitant camoufler les mensonges du gaullisme et de forces de gauche toutes puissantes, leur ouvre leurs bras sans leur demander de compte.
Je crois que beaucoup de ces gens là se sentent encore mal dans leur peau de renégat. Mais la France est généreuse. Elle a pardonné plus facilement des traîtres que des Pieds-Noirs ou des héros de la défense d’une plus grande France au cœur français qui combattaient l’abandon ce cette province française d’Algérie.
Que se passe-t-il aujourd'hui ? Une bande de jeunes islamistes, poussé par une autre idéologie sectaire, arrogante et religieuse, observe les mêmes travers et se croit à nouveau porteur
d’une grande mission. Mettre l’Europe à terre et reconstituer le royaume des califs en France. Pour cela, à travers une propagande de sang et de crimes, ces déracinés de la république n’ont qu’un objectif, celui de massacre des innocents. Je retrouve dans ce système la même attirance du mal qui a animé les pieds-rouges. Se battre pour un ordre nouveau sans se rendre compte, tellement la propagande, la mansuétude, l’imbécillité de nos dirigeants et de la presse est immense qu’ils donnent des arguments à ce rejet de la France et à ce besoin de jouer les meurtriers de l’Europe ou les assassins d’esclaves.
Notre monde depuis plus de cinquante ans vit sur les mensonges de l’indépendance de l’Algérie. Un faux résultat toujours soutenu par les hommes politiques qui cachent les turpitudes d’un temps pas si ancien que cela et d’où est partie toute cette période néfaste au

pays qui ne sait pas être une terre d’ordre et de bon sens. Au contraire, tout est fait pour que cette fameuse loi de 1905 ne soit plus laïque et qu’elle permette des dérogations qui profitent à une religion déformée de ses principes de paix pour entretenir la haine du « roumi » et de toute religion étrangère à l’Islam.
De plus et c’est le but de ma démonstration, souligner combien l’identité nationale est bafouée au profit d’une mixité, un mélange des genres dont nous subissons les excès dans notre vie courante sans que la Loi française n’intervienne. Tout est contesté, et principalement le socle de la Nation, ses traditions et ses fêtes dont le caractère religieux à beaucoup évolué pour devenir un rassemblement des personnes de bonne volonté défendant la pérennité de notre pays face aux charges instrumentalisées de prophètes destructeurs de la République.
Il faut une véritable remise en cause de nos lois et de notre intégrité nationale.
Qui réussira ce tour de force ? Ni la gauche actuelle, ni la droite UMP ne sont capables d’un véritable coup de force républicain et démocratique poussant à l’émergence d’une autre façon de sortir le pays de son endormissement soporifique où les politiciens UMPS nous entraînent.

Robert Charles PUIG / février 2015

 
 
ASSIA DJEBAR DE L’ACADÉMIE FELLOUZE

Assia Djebar de l’Académie fellouze

Par Alain Sanders

A l’occasion de la disparition d’Assia Djebar de l’Académie française, nous avons eu droit aux hommages compassés et dévots des pleureuses officielles. De Hollande, bien sûr, de Valls, de Fleur Pellerin (ce ministre de la Culture qui ferait passer son prédécesseur, Aurélie Filippetti, pour Pic de La Mirandole), des pépés en vert du quai Conti, etc.

Comme nous le faisons généralement, nous laissons le temps au temps. En signe de respect pour le grand mystère de la mort. Mais le moment est venu de dire, ici et maintenant, qui était vraiment cette Assia Djebar accueillie chez les Immortels (si on peut dire…).

Née Fatma-Zohra Imalhayène à Cherchell (Algérie française) en 1936, elle fit ses études au lycée de filles de Blida, puis deux années de khâgne à Bugeaud à Alger, puis à Fénelon à Paris. En 1955, elle est admise à l’Ecole normale supérieure de Sèvres. Pas vraiment le parcours d’une victime de la colonisation…

N’ayant même pas la reconnaissance du ventre elle déclarera, lors de son discours de réception à l’Académie française, que la France a fait subir à l’Algérie « un siècle et demi durant, une dépossession de ses richesses naturelles, une déstructuration de ses assises sociales et une exclusion de l’enseignement de ses deux langues héréditaires, le berbère séculaire et l’arabe ».

Dans la foulée, et sans que les pépés verdâtres bronchent, elle exaltera « l’héroïsme de la guerre de libération » qui permit « de sortir de la déchéance de la nuit coloniale ». Une nuit coloniale à qui elle devait tant, pourtant.

Elève de l’ENS, elle suivra l’ordre de grève lancé par l’UGEMA (Union générale des étudiants musulmans algériens). Selon ses propres dires, elle quittera l’école, avant la fin de son cursus, pour rejoindre le FLN. L’ENS prit acte de sa démission. Elle ne fut donc pas « chassée » de l’ENS comme elle le prétendit par la suite.

En 1956, elle enseigne à Rabat. Puis à la faculté d’Alger de 1962 à 1965. En 1980, elle choisit de replonger dans la nuit coloniale et s’installe en France. De 1985 à 2001, elle enseigne la… francophonie aux Etats-Unis. A savoir le français qui fut, selon elle, « la langue adverse, le sarcophage des miens ». Va comprendre, Charles…

Elle disait aussi avoir été exclue de l’enseignement de l’arabe en Algérie. Alors qu’au lycée de filles de Blida, deux professeurs enseignaient l’arabe littéral et l’arabe dialectal. Mais Fatma-Zohra, future Assia, choisira, elle, d’étudier le latin, le grec et l’anglais…

Le pire fut qu’à l’Académie française elle exalta deux terroristes sanguinaires, les deux Djamila, poseuses de bombes, tueuses d’enfants, en qui elle voyait des « porteuses de feu ». Une insulte à nos morts. Mais aussi à son grand-père paternel, qu’elle n’évoquait qu’avec dédain : engagé dans les spahis, sous-officier, il arborait fièrement sa décoration gagnée sur les champs de bataille du Tonkin. Mais aussi à son père, Tahar Imalhayène, instituteur issu de l’Ecole normale d’instituteurs de Bouzaréah. Et encore à sa mère, Bahia Sahraoui, de la grande famille amazigh des Berkani (1).

Elle aura bien mérité de l’Académie fellouze. Et on nous permettra de ne pas la regretter plus que ça.

(1) Elle avait d’ailleurs choisi son nom de plume, Assia (« la consolation ») et Djebar (« l’intransigeance ») pour ne pas « choquer » sa famille.

 
 

Bien entendu mon style et je le revendique, a une certaine résonance pied-noir par mes mots, mes expressions. J'écris trop vite, à l'instinct, comme un coeur qui bat soudain plus vite parce qu'un souvenir ou les propos de la presse ou des politicards socialistes soudain, provoquent une réaction épidermique et psychique à mon esprit, ou ce qu'il en reste.

Alors, je prends la plume ou le piano de l'ordi pour quelques lignes que je vous envoie. Et c'est à partir de ce moment là que j'ai besoin de votre sollicitude. En effet, écrivant vite, parfois je tronque un mot, j'écartèle un verbe, je déforme un participe. Je suis un drôle d'étourdi, je le revendique, mais ce qui compte, c'est l'idée et cette rébellion qui m'habite et que j'appelle la défense du passé, le nôtre, et l'envie de clamer : nous sommes toujours là !

Pour revenir au présent, à aujourd'hui, et aux coups d'arnaques, de poker menteur des socialistes, véritablement ils se foutent de nous à coups d'intox, de pub achetée aux médias et de fausses nouvelles enrobées de vaseline. Observons notre endettement qui nous a fait perdre un "A". Avec l'écotaxe votée en son temps par aussi les socialistes et maintenant annulée, coût : 1 Md. Avec les "Mistral" le contrat annulé nous coûtera 1 Md ou plus. Avec les "Rafale" vendus avec une garantie de l'Etat français... nous risquons 5, 5 Mds à notre charge. En effet, quelle idée de vendre à l'Egypte super endettée des avions ? N'oublions pas, malgré les cris d'orfraie des médias qu'une garantie vaut paiement si les échéances ne sont pas respectées ! Cela me rappelle les 15 Mds donnés à la Grèce par Sarkozy... avec notre caution, celle des cochons de contribuables que nous sommes.

C'est une aberration comptable de ces hommes politiques qui veulent avec du vent faire des affaires sur notre dos.

Avec toutes les garanties et cautions que la France a données... Je me demande vraiment à quel niveau est notre dette ! Pas vous ?

Cordialement . Robert C Puig


 
 
http://www.politiquemagazine.fr/genevieve-dormann-bretteur-charmant-des-idees-recues/
 
 
L’Association C.E.SE.GU.MO.
(Centre d’Etudes sur la Seconde Guerre Mondiale)
présente le :

MERCREDI 18 FEVRIER 2015 à 16H30

Maison du Combattant et des associations patriotiques
36, bis boulevard Risso - Nice

« L’ARMEE D’AFRIQUE, ARMEE DE LIBERATION »
Une conférence de Monsieur Jean-Raoul MOTA

Les faits d’armes de l’Armée d’Afrique de 1943 à 1945 marquent incontestablement la renaissance de l’armée française meurtrie par la défaite de 1940. Campagne de Tunisie, campagne d’Italie, débarquements de Normandie et de Provence, libération de la France et campagne d’Allemagne sont autant de théâtres d’opérations qui ont mis en lumière des hommes d’exception et des unités légendaires. Cette armée née en Afrique a ainsi permit à la France d’être à la table des vainqueurs à l’heure de la victoire.

Pour tout renseignement : cesegumo@free.fr ou tél.06.71.89.30.01

 
 
BIEN COMPRENDRE
UNE FOIS POUR TOUTES
LE RAPPELER
LE RAPPELER
LE RAPPELER
LE SERMENT PASSE PAR L'UMP
ET SES DIRIGEANTS
EN 1988
A NEW YORK
ENTRE LES MAINS DES DIRIGEANTS DES
B'NAI BRITH
DE NE S'ALLIER JAMAIS
EN AUCUN CAS
AU FRONT NATIONAL

LIBRE AU MIMILE
DE BASE
- JE SUIS CHARLIE -
OU NON
DE NE PAS
SE CROIRE
MANIPULE

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Les célébrations incantatoires de l'Islam par Sarkozy, Hollande,
Peillon, Cazeneuve, et Juppé,
sauf victoire universelle et finale de l'islam sur le monde,
conduiront ces criminels à devoir
inévitablement
rendre judiciairement des comptes aux peuples ....


VITUS

 
 
 
 

Je vous confirme la rediffusion de ce documentaire ce samedi 7 février à 15h20 sur France 3 Provence-Alpes et sur France 3 Côte d'Azur.

Voici également les numéros de canaux qui permettent aux téléspectateurs équipés de box ou ADSL de suivre nos programmes régionaux où qu'ils soient en France :

France 3 Provence-Alpes partout en France sur :

Bbox : 192

Darty : 302

Fransat 311

Orange - SFR - Free : 323

TNT SAT : 323

Canal Sat 372

Numericable (HD) : 400

Bouygues : 492

Numericable (LaBox) : 932

France 3 Côte d’Azur partout en France sur

Bbox : 180

Darty : 303

Orange - SFR - Free : 311

TNT SAT : 311

Fransat : 315

Canal Sat : 360

Numericable (HD) : 400

Bouygues : 480

Numericable (LaBox) : 920

Enfin, voici le lien vers la page de notre site où ce documentaire sera disponible en replay après sa diffusion (durant un mois) :

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/emissions/doc-24-provence-alpes

J'espère que ces précisions vous seront utiles et reste à votre disposition pour toute autre information.

Bien cordialement,

Florence BRUN

 
 
INFORMATION IMPORTANTE FR3
Date : 04/02/2015 13:46:02 CET

Bonjour !

La chaine FR 3 annonce que ce samedi à 15h25, elle diffusera un
reportage sur les disparus après le 19 mars 1962 en Algérie.

Je pense que ce reportage se réfère à l'ouvrage de l'historien
écrivain pied noir Jean Jacques JORDI qui s'intitule "LES SILENCES D'ETAT".

En 2013, au cours d'une dédicace, j'ai pu rencontrer cet historien
(très sympa) qui m'a remis son livre, lequel fait des révélations
hallucinantes, révoltantes que nous-mêmes pieds noirs qui avons vécu
certains évènements n'imaginons pas.

J.J. JORDI, qui n'est bien évidemment quasi jamais invité sur les
plateaux de télé car il ferait de l'ombre à notre historien national,
Benjamin STORA, traitre adulé de tous les médias, a écrit ce livre qui
n'est pas un roman mais une succession de vérités tirées de documents
que l'auteur a réussi non sans mal, à consulter.

Vous aurez compris que je vous invite à regarder cette chaine (FR 3)
samedi prochain à 15h25.

Amitiés à vous toutes et tous.

 
 

De l’islam modéré à l’européanité française.

J’entends, parmi ceux qui n’en nient pas le danger, que l’islam « modérée » existe, que des musulmans « modérés » sont de ce monde, et nous faut donc les inciter, puis les aider à « réformer » ce que ces hommes de bonne volonté persistent à désigner par le terme de « religion ».

J’entends aussi qu’il faut supprimer des sourates, ne garder que les « Mecquoises » (C’est à dire les abrogées), que les hadiths devraient être expurgés, voire censurés en totalité, et donc, qu’en gardant le nom de « soumission » que signifie « islam » on jouerait au « prophète » en constituant un corpus qui rendrait agneau qui est loup.

Ceux qui pensent ainsi ne se rendent pas compte qu’en « terre d’islam », les peuples qui y vivent ont des pulsions qui peuvent mener à la transe en quelques heures. Ce terreau de l’impulsivité, qui vit même en nous européens de Méditerranée bien qu’adoucit pas des millénaires de romanité, ne permet pas d’assurer qu’un « modéré » du matin ne deviendra pas un « enragé » à la nuit.

Je précise que la masse ajoute au problème. Quelques musulmans travaillant dans un pays européen seront cernés par la « constance » et s’y conformeront ; mais dés que le nombre s’installe, les connexions se rétablissent et leur fidélité à l’Ouma requise.

Or, nous en sommes à 10 millions de musulmans sur notre sol qui seront le double dans 15 ans. Que pèsera la notion de « modérés » face à ce magma ? Et la discrimination entre « modérés » et « fondamentalistes » ?

L’histoire doit nous aider à mieux comprendre le présent et le futur. Dans l’Espagne arabe, les « purs » venus d’Afrique du Nord durent régulièrement raviver par la force les royaumes à l’islam affadi de la péninsule. Cette surveillance et la remise en ordre qui s’en suit sont inhérentes à l’islam.

C’est donc la masse qu’il faut considérer et les risques qu’elle fait et fera peser sur ceux qui n’en sont pas.

Toujours au chapitre de l’histoire il est intéressant de prendre connaissance d’une adresse de Théodore Roosevelt, président des Etats-Unis, à « The American Sociological Congress » reproduite dans « Fear God and take your own part » en 1916.

Le président écrivit alors : « La civilisation de l’Europe, de l’Amérique et de l’Australie existe aujourd’hui…seulement grâce aux victoires de l’homme civilisé sur les ennemis de la civilisation…s’étendant de Charles Martel au 8ième siècle à Jean Sobiesky au 17ième siècle ». Plus loin il poursuivit : « Pendant le millier d’années qui courent de la vie du guerrier Franc à celle du roi de Pologne, les chrétiens d’Asie et d’Afrique s’avérèrent incapable de faire la guerre aux conquérants musulmans ; en conséquence de quoi le christianisme a pratiquement disparu de ces deux continents ; et aujourd’hui personne ne peut y trouver de « valeurs de société », au sens que nous donnons à ces mots, parce que l’influence musulmane y règne ». Il conclut enfin par ces mots : « Il n’y a de telles « valeurs sociales » de nos jours en Europe, en Amérique et en Australie que parce que les chrétiens d’Europe possédaient la capacité guerrière qui faisait défaut à ceux d’Asie et d’Afrique, c’est à dire de combattre l’envahisseur musulman. Si l’Europe n’avait pas été capable de se défendre elle-même, il n’y aurait eu aucune « valeurs de civilisation »…et aucun sociologue pour en parler. »

Cet état de fait et le dilemme qu’il impose seront au cœur des élections de 2017, la présidentielle comme les législatives.

Il est possible que des changements politiques se produisent alors si les chrétiens de France apprennent les leçons du passé. Mais même si le Front national arrivait à gouverner, le poids de la population immigrée, et de la musulmane en son sein, constituera un frein aux tentatives de « réformes ».

Le peuple français d’origine européenne, porteur de ces « valeurs de civilisation » devra pouvoir peser de son coté pour que la dérive islamique de notre pays n’accélère pas.

En s’organisant, pour l’éducation et l’instruction de ses enfants, pour défendre son patrimoine et le transmettre, pour assurer la sécurité de ses membres, les Européens de France deviendraient un corps politique unie sans lequel nul ne pourrait gouverner.

Cette communautarisation est rejetée par certains comme le Mal en soi, et par d’autres car ils croient pouvoir revenir rapidement à la situation d’avant les grandes migrations.

La quête d’un territoire où pourra se déployer à nouveau notre civilisation qui a tant apporté au monde et dans laquelle seule nous pouvons nous épanouir, est un but légitime voire sacré. Mais elle ne doit pas occulter la situation présente ni celle, probable, à moyen terme, durant laquelle il faudra éviter que des lois d’ordre public votée par des majorités allogènes s’imposent à nous, anéantissant avec notre mode de vie tout espoir d’avenir.

Cette organisation des européens de France de culture chrétienne pourra être fédérale, regroupant des réseaux d’écoles et d’universités, des regroupement d’entreprises, des cercles religieux catholiques, protestants ou orthodoxes, des cercles culturels, des mouvements de défense politique, des sociétés savantes, toutes composées d’européens d’expression française et de culture chrétienne.

Mais rien n’empêcherait que des personnes privées s’y adjoignent directement qui fonderaient par la suite des associations spécifiques.

Les seuls maître-mots pour ceux qui oseront cette aventure devront être « Solidarité et fidélité ». Solidarité avec qui nous ressemble, fidélité à ce que nous sommes et nous fûmes.

 
 
 
 
 

Pour les Pieds-Noirs amnésiques, voici le discours de Nicolas SARKOSY du 5 décembre 2007 à Constantine. Soit 7 mois après avoir été élu massivement par les Pieds-Noirs. Une façon gaulliste de les remercier...

HC

 
 
 
 

Chers amis,
Le 13 janvier, le discours du Premier ministre constitue une avancée notable.
Pour la première fois, il définit l'ennemi de la guerre engagée contre la France et l'Occident.
Les terroristes ne sont plus seulement des extrémistes, des déséquilibrés ou des loups solitaires. Ce sont des djihadistes et des islamistes radicaux.
Des mesures sont nécessaires pour améliorer la sécurité des citoyens, mais combien de temps pourra-t-on
maintenir 10.000 soldats dans les missions fastidieuses de Vigipirate, réconfortantes sans doute pour l'opinion ?
Il faut donc aller plus loin et engager contre les ennemis dénoncés une action culturelle ( psychologique !) pour décourager ceux qui seraient tentés de les suivre, et montrer aux Français toute leur nocivité.
Cette action suppose une connaissance scientifique de leur idéologie obscurantiste, que l'on peut demander à des spécialistes reconnus : Gilles Kepel, Michelle Tribalat, ou Malika Sorel-Sutter, et non aux idéologues de l'anticléricalisme.
Cette dénonciation suppose la connaissance :
- des deux définitions du djihad : effort sur le chemin de Dieu, ou guerre sainte contre les infidèles, c'est-à-dire les non-musulmans,
Boualem Sansal souligne ces deux aspects dans "Gouverner au nom d'Allah".
- des deux rédactions du Coran, la première de la Mecque, tolérante et religieuse, la seconde de Médine , qui appelle parfois la violence.
Cette dualité a été reconnue par l'Université Al Azhar, et publiée en Suisse par un savant palestinien (P.J.), avec l'approbation de Christian Delorme.
Dans cet esprit, le maréchal Sissi a incité le 28 décembre dernier l'Université Al Azhar à révolutionner notre religion.
Les experts de la DRM doivent également être consultés pour rappeler les comportements barbares des islamistes de Deish et de Boko Haram :
égorgements publics et crucifixions, filles-esclaves vendues à des vieillards, conversions forcées, églises détruites, biens saisis.
Parallèlement doivent être refusées les pratiques contraires aux lois de la République et à la dignité de l'homme : mariages forcés, excision,
interdiction de changer de religion, polygamie, antisémitisme (noter qu'il est actuellement le fait des islamistes radicaux et des gauchistes,
et non des extrémistes de droite). Il y a donc bien une crise de civilisation.
L'argument de l'amalgame doit enfin être remis en cause. Ne pas identifier quelques fanatiques avec une religion toute entière,
c'est ce que prescrit le cardinal Vingt-Trois, et ce que veut éviter madame Merkel. Cependant cet argument ne tient pas compte du risque, qui est celui de l'adhésion d'une majorité à une minorité agissante. Les exemples de la révolution bolchevique, du nazisme et du FLN algérien montrent comment une minorité organisée impose sa propagande totalitaire à un peuple entier. Le risque est donc que l'idéologie djihadiste s'étende parmi des jeunes désœuvrés et incultes. Ce serait alors une guerre de civilisation.
Combien sont-ils actuellement , 3%, 20% ? Les avis sont partagés. Quelle est leur influence dans les familles et les cités?
Quels sont leurs leaders, en France et dans les pays arabes ?
Ce problème appelle sans nul doute la recherche des services de renseignement, en même temps que l'action culturelle préconisée plus haut.


Maurice Faivre, expert du renseignement, le 14 janvier 2015

 
 
Monsieur VALLS avec sa tête de grand Recteur de la Mosquée de Médine demanderait-il une telle prosternation autour de son boss Hollande si l'attentat avait décimé 12 journalistes du Journal PRESENT que l'UMPS extermine à sa manière en faisant depuis 40 ans le blocus du silence autour ?

Alors on se console comme on peut quand on voit les faces contrites des benêts de l'UMP défiler avec le petit carton des défenseurs de la liberté d'expression, si cette liberté c'est de dessiner le Pape en train de sodomiser un petit garçon, et si cette liberté c'est de hurler à la répression judiciaire si Dieudonné raconte que Anne Franck a écrit son livre avec un stylo-bille de marque Bic.

L'impunité de CHARLIE BOBO à diffamer et à salir toujours les mêmes avec la bénédiction de la Raie Publique qui ne réserve ses Juges et ses amendes que pour les seuls contestataires des dogmes gravés dans le marbre défendu par les Grands Prêtres Valls, Hollande, Bergé, Cazeneuve ... est tombée sur un bec que ces profanateurs fanatiques n'avaient pas prévu.


Luz trouve le moyen de venir encore salir Marine Le Pen en
enterrant Charb, le fossile du PCF et les religieux du blasphème - petite foule présente - d'applaudir en se croyant encore iconoclaste alors qu'elle est piteusement bigote. Que craignent-ils ces iconoclastes falsificateurs à salir Marine Le Pen au moment d'enterrer les victimes de tireurs dont le FN annonçait le danger depuis 40 ans ? Et ces défenseurs du blasphème de hurler avec les loups de la république au premier blasphème, interdit lui, de Dieudonné ! Ce serait à pleurer de rire si ce n'était aussi abject.

Vitus

 
 
Chers amis,

Comme vous le savez, le Samedi 14 mars prochain à 14H. 30, se déroulera à Béziers, sous l'égide de son maire Robert Ménard, la manifestation de débaptisation de la rue " 19 mars 1962 ", qui sera nommée rue " Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc ".

La famille du Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc devrait être présente, à cette occasion. Il est bien évidemment souhaitable que tous les algérianistes qui le peuvent, prennent part à cette cérémonie.

Nombre de responsables nationaux et locaux, du Cercle, m'ont déjà fait savoir qu'ils envisageaient d' y participer.

Nous nous retrouverons donc sous la bannière du Cercle algérianiste, qui sera déployée, afin de marquer notre soutien à l'initiative courageuse de la commune de Béziers.

Je remercie tous ceux d'entre vous qui ne l'ont pas encore fait, de m'informer de leur présence éventuelle, seuls ou accompagnés d'adhérents, lors de cette journée.

Je demeure bien évidemment en contact permanent avec le maire de Béziers, et son directeur de cabinet, et ne manquerai pas de vous fournir toutes les précisions utiles, sur le déroulement de cet événement.

Bien fraternellement à tous,

Thierry Rolando

 
 

Un an et demi après les journées de mai 1958, où les Français d'Algérie de toutes confessions, en communion totale avec son Armée, ont montré à la France que l'Algérie française était une réalité et que les partisans de l'indépendance n'étaient qu'une minorité, il y eut les barricades à Alger.

De Gaulle venait de muter le Général Massu qui s'était fait piéger par un journaliste allemand. Pour mâter les insurgés, la grande Zohra demanda au colonel Debrosse et à ses gardes mobiles de faire usage de leurs armes. Ce fut une hécatombe, des Français tirant sur des Français.

Un an après les barricades, ce fut le "putsch" des généraux". Un an après, c'était le début de la fin : les "accords" d'Evian, les derniers sursauts de la résistance, la répression impitoyable et sanguinaire (blocus de Bab-el-Oued et 26 mars rue d'Isly) les forces gaulliennes alliées au FLN, l'indépendance et la tuerie du 5 juillet à Oran.

En survolant ces péripéties tragiques qui ont marqué cette période mouvementée de notre histoire et de notre jeunesse, j'ai repris mon texte "Dans les rues de ma jeunesse" et je l'ai modifié afin qu'elles y figurent.

 

DANS LES RUES DE MA JEUNESSE

Dans les rues de ma jeunesse,
Les Driss, Cohen, Hernandez,
Main dans la main, cœur à cœur,
Pour un treize mai dans la ferveur.

Dans Alger de ma jeunesse,
Un certain mois de janvier,
Des barricades qui se dressent,
Contre ceux qui ont tout renié.

Dans Alger de ma jeunesse,
Ils avaient des "cojonès",
Les officiers révoltés
Contre l'abandon projeté.

Sur les routes de ma jeunesse,
Gardes mobiles et C.R.S.,
En nous persécutant sans cesse,
Nous entraînaient vers l'O.A.S.

Dans les rues de ma jeunesse,
Les forces de la scélératesse,
Avec la plus grande des bassesses,
Nous contrôlaient avec rudesse.

Dans la maison de ma jeunesse,
Nous écoutions dans l'allégresse
Les émissions pirates du soir
Qui nous donnaient tant d'espoir.

Dans la ville de mon enfance,
Chaque nuit, grand branle-bas,
Des explosions d'une grande puissance,
C'était "la nuit bleue" des "stroungas".

Dans les journaux de ma jeunesse,
Il y avait la censure
Appliquée outre mesure,
Pour bien museler la presse.

Furieuse était notre jeunesse.
Notre province était en guerre.
Notre patrie devenue traîtresse,
Nous a fait connaître l'enfer.

Dans Alger de ma jeunesse,
Un satané vingt-six mars,
Le Grand Traître et ses comparses
Ont commis une tuerie express.

Dans Oran de ma jeunesse,
Un dramatique cinq juillet,
Des pieds-noirs furent zigouillés
Lors d'une boucherie au faciès.

Jean-Paul RUIZ
24/012015

Texte écrit en parallèle et en écho à celui de la chanson
de Gérard Darmon "Dans les rue de ma jeunesse".

 
 

MESSAGE AUX CHARLOTS / Á DIFFUSER ET FAIRE CONNAITRE

Quant à inénarrable J-Michel Ribes, faut-il lui rappeler que les cathos protestant et priant dans les rues d'Avignon contre l'ignoble œuvre blasphématoire "PISS CHRIST" n'ont jamais utilisé des kalachnikovs pour faire taire définitivement ceux qui les blessaient, et que ces mêmes cathos n'ont jamais incendié ni
bombardé les locaux de Charlie-Hebdo qui pourtant ne s'est jamais gêné, pendant des décennies, de les trainer dans la boue et de leur cracher dessus..?!

NG


Objet : Non, vous n’êtes pas Charlie …

Même si nous commençons à avoir une certaine overdose de "Charlie", cette diatribe du général Delaunay, ancien CEMAT, vaut la peine...

Gal MQ

 

Alors, comme ça, vous êtes des Charlie ? Vous, la meute tirant à vue depuis des années sur tous ceux qui vous dérangent, vous vous émouvez maintenant que la mitraille retentit contre votre camp ?

Maintenant que les cadavres ont refroidi, passons aux choses sérieuses. Le choc et le recueillement s’estompant, il est déjà temps, avant qu’il ne soit trop tard, de sortir les plumes des fourreaux, de dégainer les idées brûlantes, enfin, de battre le fer tant qu’il est chaud.

« Je suis Charlie », dites-vous d’une seule et même voix. « Je suis Charlie" annoncent les pancartes que vous brandissez dans les rédactions.

« Je suis Charlie », scandent vos avatars et vos hashtags sur les réseaux sociaux. Et vous avez bien raison.

Seulement…

Vous êtes Charlie aujourd’hui, mais vous n’étiez pas Éric Zemmour hier, quand il s’est fait virer d’i Télé pour raisons politiques. Pire encore :

vous pétitionniez à tour de bras pour l’évincer du service public.

Vous êtes Charlie, mais vous n’étiez pas Robert Redeker en 2006, quand un papier critiquant l’islam dans Le Figaro lui valut une tornade de haine :

graves menaces de mort qui le gardent encore aujourd’hui sous protection policière, désaveu et silence de la classe intellectuelle et journalistique, lynchage dans les règles de l’art sur le plateau d’« ONPC ».

Vous êtes Charlie, mais vous n’étiez pas Clément Weill-Raynal, mis à pied de France 3 pour avoir révélé l’affaire du « mur des cons » dont il fut le plus triste fusillé.

Vous êtes Charlie, mais vous n’étiez pas Robert Ménard à son licenciement, Michel Houellebecq, Renaud Camus ou Christine Tasin à leurs procès respectifs pour avoir critiqué l’islam.

Vous êtes Charlie, mais vous soutenez toutes les lois mémorielles qui empêchent les intellectuels de faire leur travail, pour le bien de l’Histoire et de la vérité.

Vous êtes Charlie, mais vous n’êtes pas Richard Millet face à la meute, vous n’êtes pas Alain Finkielkraut ou encore Ivan Rioufol, brillant d’intransigeance mais déchiqueté comme un gigot jeté aux lions sur le plateau d’« On refait le monde » ce jeudi 8 janvier.

Vous êtes Charlie, mais vous n’êtes rien de ce qui sentirait trop le soufre, vous êtes les dénonciateurs de tous ceux qu’on abat sur l’autel du politiquement correct, vous êtes ceux qui tenez le fusil, les bourreaux objectifs de tous les indésirables de la liberté, de votre liberté à vous et à vous seuls.

Pourtant, la liberté n’a qu’un seul visage. C’est la liberté pour les sains d’esprit, la liberté pour les fous, la liberté pour les noirs, la liberté pour les jaunes, la liberté pour les blancs, la liberté pour ceux qu’on désapprouve peut-être mais qui font la diversité et la santé intellectuelle d’un pays.

Vous n’étiez pas ces gens, et aujourd’hui vous êtes Charlie ? Vous vous mentez, vous nous mentez. Vous êtes ce qui vous arrange, quand cela vous arrange. Vous n’êtes pas Charlie, vous êtes Charlot Et tant que vous ne défendrez pas les principes que vous dites avoir au cœur jusqu’au bout, vous le resterez.

Une chose encore, l e summum de la connerie a été atteint par Jean-Michel Ribes, qui s’est livré sur BFMTV à un amalgame entre les intégristes musulmans et les intégristes catholiques qui, comme chacun le sait, trouvent dans l’Évangile la justification des actes terroristes qu’ils commettent chaque jour.

C’est vrai que c’est courant de voir aux actualités des catholiques intégristes, couper des têtes, crucifier des hommes, violer des femmes, tuer des enfants juifs, tirer au lance-roquette dans un journal ... !


Les mots manquent pour dénoncer une telle débilité intellectuelle.....

Comme quoi la preuve est faite, à chaque drame, que les gens dits intelligents sont souvent beaucoup plus crétins que le commun des mortels.

Mais ça nous le savions déjà…

Général DELAUNAY

ancien chef d'Etat -Major

 
 
Il y a 21 ans.
L'’ancien ministre giscardien, Michel Poniatowski, écrivait dans son livre-testament une conclusion dont on ne voit pas quelle ligne on pourrait changer 21 ans plus tard.

"Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri- ethnique et pluri-culturelle que l'’on s'’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…) Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l'’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n'’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du «cher et vieux pays» et celui du campement avancé du tiers monde africain. Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes. Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l'’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d'’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu'’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux. Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’état sa place normale. Les libéraux l’'ont affaibli, les socialistes l'’ont détruit. "Où sont les grandes tâches dévolues à l'’État ? La Justice, l’'Armée, l'’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ? En miettes. La France est à l'’abandon, et en décomposition à travers le monde. Sa recomposition est dans un retour énergique à l'’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l'’État."

"Si la vérité vous choque, faites en sorte qu'elle devienne acceptable, mais ne bâillonnez pas celui qui en dénonce l'absurdité, l'injustice ou l'horreur."

 
 
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Bonjour,

Oranie mars 1962

Voici une histoire qui se passe pendant de retour des Français d’Algérie en mars 1962.

Jean-Michel Le Chanjour est un militaire du Groupe de bombardement GB2/91 Guyenne sur la base aérienne de la SENIA depuis octobre 1961. Il est affecté à la maintenance des avions sur la base maritime de Mers el-Kebir, à une encablure du port d’Oran.

Début de l’exode en mars 1962.

La plupart des gens partaient en bateau depuis le port d’Oran, seul un petit contingent prenait l’avion. Il y avait des milliers de civils en attente et il n’y avait que 2 vols par jour (une Caravelle et un Boeing 707). L’attente pour partir était de quelques jours à une semaine maximum, Jean-Michel a pour mission de faire le tri des urgences.

Une famille de 4 enfants (une fille de 15 ans et 3 garçons) habite à proximité de la base.

Cette famille est un couple de fonctionnaires garde-barrière pour les transports qui traversaient la base. Ils ne peuvent quitter leurs fonctions et leur fille a reçu des menaces.

Fin mars 1962 en soirée, Jean-Michel, revenant d’une partie de foot, est interpellé par les parents de cette jeune fille :

« S’il vous plait, mettez notre fille dans un avion !

- Dites-moi quand ?

- Demain à la même heure

- Ok »

Le lendemain soir, la fille est là !

Jean-Michel la conduit dans le hangar d’embarquement d’où elle partira rapidement grâce à lui. Jean-Michel continue sa mission d’assistance aux réfugiés jusqu’en juillet 1962. Il ne reverra jamais cette fille et n’aura jamais de nouvelles de la famille.

L’objectif insensé de Jean-Michel aujourd’hui est de retrouver cette fille qu’il n’a connu que quelques heures en mars 1962 sur la base de Mers el-Kebir.

Il ne connait ni son nom, ni son prénom et pourtant elle a toujours hanté sa mémoire depuis.

Si cette histoire vous fait penser à une personne vous racontant son retour d’Oranie dans ces circonstances, merci de me contacter pour en parler.

Je vous mettrai en contact avec Jean-Michel, qui est un cousin.

Merci de diffuser ce message autour de vous.


Bonne journée

Cordialement

--
Gildas Le Clerc
06 51 66 53 52
gildas.le-clerc@agyl33.fr



 
 
Les Français ont la mémoire courte:

> Pour 95 % des Français qui ont tout oublié, voici la liste des attentats du FLN pour la seule métropole durant un mois et demi en 1958, De Gaulle régnant ( 110 morts !)

> http://exode1962.fr/exode1962/en-savoir-plus/metropole/attentats-fln.html

> Fin août 1958 le FLN porte la guerre en métropole
Dans l’intention de s’opposer au référendum sur l’établissement de la cinquième république ; pour mobiliser la communauté algérienne en métropole et afin d’inciter la France à garder ses soldats sur le sol métropolitain pour alléger la charge des combattants sur le sol algérien ; le FLN a réalisé de nombreux attentats en métropole.

> Chronologie des différentes actions du 25 Août au 30 Septembre 1958 en Métropole

> 25 Août 1958 à 0 heure :
* Marseille et Narbonne : incendie des dépôts pétroliers à Lavéra, La Mède, Saint-Louis, les Aygalades, Cap Pinède, Port de Marseille, Mourepiane.
* Paris : attaque du garage de la Préfecture de police : 3 gardiens de la paix tués.
– Attaque d’une fabrique de munitions dans les faubourgs de la ville : 4 policiers tués.
* Vincennes : 1 brigadier de police tué
* Toulouse : 2 cuves de supercarburant incendiées soit 1.200.000 litres.
* Port La Nouvelle: 10 cuves contenants 8 millions millions de litres de fuel sont la proie des flammes.
* Frontignan : tentative d’incendie de la raffinerie Mobil Oil. 5 bombes découvertes.
* Le Havre : sabotage et incendie à la raffinerie ESSO de Notre Dame de Gravenchon.
* Alès (Gard) : incendie de dépôt de carburant.
* Cagnes sur Mer: sabotage de la voie ferrée, un train déraille.
* Var : incendie de la forêt pour disperser les moyens de secours.
* Paris : voiture de police attaquée. – 03 policiers blessés.
27 Août 1958 :
* Martigues-Lavéra : 1 jeep est attaquée – 1 brûlé.
* Mourepiane : nouvelle explosion – un quatorzième réservoir menace d’exploser. A Mourepiane, plusieurs jours après, des bacs brûlent encore, et l’un d’eux explose. On compte dix-sept blessés ou disparus parmi les sauveteurs.
http://fresques.ina.fr/reperes-mediterraneens/fiche-media/Repmed00224/spectaculaire-attentat-fln-a-marseille.html
* Narbonne : une douzaine de réservoirs de carburant en flammes.
* Paris :
– Ivry incendie du dépôt de véhicules militaires. 3 policiers tués, un blessé.
– Gennevilliers : incendie du dépôt de carburant.
– Porte des Lilas : un commando tente de forcer un barrage de police.
– Villa Coublay : tentative de sabotage du terrain d’aviation.
– Un sous officier en permission est assassiné dans le métro.
* Salbris : sabotage de la voie ferrée Paris – Vierzon.

> * Vincennes : échec du sabotage de la cartoucherie, un policier tué.

> – 28 Août 1958 :
* Rouen : 4 bases d’essence sous la proie des flammes au Petit Quevilly.
– La raffinerie du Grand Quevilly est incendiée.
* Mourepiane : nouvelle menace, le dépôt toujours en flammes.
* Paris : 1 sous-officier tué, trois autres blessés.
– Une bombe, posée par le F.L.N. algérien, est découverte sur la Tour Eiffel.

> 29 Août 1958 :
* Conflans (seine et Oise) : une usine de papiers abrasifs incendiés.
* Saint Pierre du Perai : Etablissement de forage entièrement détruit.
* Tentative de sabotage du Port du HAVRE.

> 30 Août 1958 :
* Incendie aux usines SIMCA à Poissy
* 1 militaire tué au métro Montparnasse
* Paris : 2 soldats français assassinés dont un égorgé. Une passante est blessée.
– Tentative de sabotage de l’office d’action économique et touristique.
* Port-Saint-Louis du Rhône- tentative du sabotage contre un dépôt de carburant
* Saint-Maur – une voiture de secours routier attaqué.
* Ales (Gard) : nouvelle tentative de sabotage contre les cuves de stockage de fuel. le dépôt de fuel d’Alés est saboté, mais la tentative de destruction du gazomètre échoue.
* Le Havre : tentative de sabotage de l’usine Des Marais.
* Saint Pierre du Perray : un chantier de forage est détruit.

> 1er Septembre 1958 :
* Tentative de faire sauter le Rapide. Paris – Toulouse.
* Aérodromes d’ORLY et du BOURGET placés sous haute surveillance.
* Paris : un militaire est assassiné métro Montparnasse.
– Un autre poignardé rue d’Alésia.
– Un dépôt de matériel militaire est incendié rue des Poissonniers.

> 2 Septembre 1958 :
* Mesures exceptionnelles à Paris ; le Ministre de l’intérieur interdit de circuler aux Nord Africains de 21 h30 à 5h30.
* Incendie criminelle aux usines Simca de Poissy.
* Assassinat à Paris d’un para.
* Un avion est saboté à Orly.

> 3 Septembre 1958 :
* Melun – Villaradu – Tentative de sabotage de la base aéronautique d’essais.
* Paris : un soldat français est assassiné rue de Metz.
– Une voiture de police est mitraillée.
* Des explosifs découverts à Marseille.
* Nouveau sabotage d’un entrepôt d’essence à ALES (Gard).

> 4 Septembre 1958 :
* Lyon : deux postes de polices attaquées – un gardien de la paix blessé.
* Marseille : violente explosion à bord du paquebot » Président CAZALET « , sept blessés. 1 un mort des suites de ses blesures

> 6 Septembre 1958 :
* Lyon : le gardien de la paix blessé est décédé à l’hôpital.
– Troisième tentative d’attentat sur un autre commissariat de police à Lyon.
* Bordeaux (gironde) : attentat à la bombe à Bègles à la société Puzfina.
* Paris – Rue de Charenton ( XIIe arrêt) : deux soldats français appelés tués.
* La Boisse (Ain) : attentat manqué contre un centre de E.D.F.
* Echange de coups de feu à la base aérienne de VILLACOUBLAY.
* Lyon : un gardien de la paix tué.
* Drôme : sabotage sur la voie ferrée.
* Grenoble : le sabotage de la poudrière et de l’usine Pechiney est empêché.
8 Septembre 1958 :

> * Marseille – Mitraillage contre un dépôt d’essence à la rue de Rove.
* Saint-Etienne : agression contre un policier.
* Paris : deux sous officiers assassinés
* Bégles : des bombes non explosées découvertes au dépôt de carburant.
9 Septembre 1958 :

> * Lyon : trois incendies.
* Sabotage d’une voie ferrée dans la Drôme, mitraillages de cafés en région parisienne. * Marseille : explosif aux Ayglades, grenade et dynamite (qui fort heureusement n’explose pas) à l’usine à gaz.
– Charge d’explosifs découverte aux Aygalades.
– Engin explosif découvert dans une autre usine à Gaz.
* Knutange : deux européens égorgés.
* Lyon : la tentative de sabotage de la centrale électrique échoue.
* Villacoublay : la tentative de sabotage de l’aéroport échoue.
* Roanne : deux policiers blessés.
* Elbeuf : 1 policier blessé.
10 Septembre 1958 :
* Découverte de plastic sur les rails de train Roussillon.
11 Septembre 1958 :
* Paris : Fusillade boulevard de Belleville – 2 gardiens de la paix blessés.
– Faubourg Montparnasse : 1 brigadier poignardé blessé gravement.
* Metz : Un capitaine blessé.
* Paris – Joinville le Pont : 3 militaires blessés.
* Tentative de sabotage sur l’express Lyon – Bordeaux en gare De BROTTEAUX.
* Sabotage en gare de Nimes – Courbessac.
* Lyon : deux agents de police attaqués.
* Sabotage sur la voie ferrée Lyon- Paris.
* Nimes : trois attentats manqués.
* Martigues : deux gendarmes mitraillés.
* Marseille : nombe à la préfecture des bouches du Rhône, trois blessés.
* Paris : 4 Cars de police mitraillés, nombreux blessés.
* Pont sur Sambre et Bussière sur Sambre (Nord) : deux fermes incendiées.
* Entre Milhaud et BERNIS (gard) sabotage signalisation de la ligne de chemin de fer.
12 Septembre 1958 :
* La voie Lyon Genève sabotée.
15 Septembre 1958 :
* Paris : attentat contre le Ministre de l’Information Jacques Soustelle. Un passant tué et trois autres blessés.
16 Septembre 1958 :
* Marseille : 3 attentats – 1 char d’assaut sauté au camp militaire Furon – 1 mort – 5 blessés.
– Le commissariat de police commissariat de la Capelete mitraillé.
– Tentative de sabotage d’un dépôt de pétrole.
– Une bombe dans un colis postal.
* Compiègne : incendies.
* Lyon : attentat à la mitraillette.
* Havre : sabotage des usines Saint-Gobain.
* Paris : fusillade à la rue de Rivoli
– 1 militaire blessé à Ville Parisis.
* Sèvres : attentat contre le commissariat de police – Incendie.
* Auteuil : un car de police attaqué.
* Offlarde (Nord) :incendie de forêt.
* Mourges (Pas de Calais) : mitraillage d’un camion.
* Cour neuve : sabotage contre un camion de gaz butane contenant 35 00 000 litres.
* Pont sur Sambre : incendie de la scierie Hulin.

> 18 Septembre 1958 :
* Marseille : une bombe découverte.
* Martigues : découverte d’une caisse de munitions dans le port.
* Saint Etienne : un ouvrier est assassiné à coup de pioche.
* Paris : un gardien de la paix tué rue Didot dans le 14 ème arrondissement à coup de revolver.
19 Septembre 1958 :
* Courrières (Pas de CALAIS) : incendie devant le pont de la batterie.
* Toulon : tentative de sabotage 9 navires de l’escadre de la méditerranée. Les sous-marins (DAUPHIN) et le cuirassé (JEAN BART) objectifs des sabotages.
* Paris : une voiture de police mitraillée rue de gravillers.
– Deux blessés par balle avenue de la grande armée.

> 20 Septembre 1958 :
* Paris : Explosion aux usines Kléber – Colombes à Colombes – 2 ouvriers tués et 28 blessés, dont 7 graves.
* Havre : tentative de sabotage du relais de télévision et des PTT.
– Un car de police attaqué – 1 policier blessé.
* L’Hay les Roses : un car de police attaqué à deux reprises.
* Aulnay sous bois : un inspecteur de police assassiné.
* Lyon : un poste de police mitraillé, 5 policiers et 2 civils blessés.
* Paris : un commissaire de police tué. Le commissaire de police Chenine est découvert dans sa voiture, dans le 7ème arrondissement. Il est ligoté, il a été torturé puis étranglé.
22 Septembre 1958 :
* Paris : une bombe à retardement à la Tour Eiffel et de la RTF.
* Nanterre : attaque de l’usine SIMCA.
* Vitry : alerte à la centrale électrique.
* Aubervilliers : 1 car de police attaqué – 1 policier blessé.
* Metz : 1 sous officier tué.
23 Septembre 1958 :
* Boulogne sur mer : Un car de police attaqué – 1 policier blessé * Marseille : tentative de sabotage contre un dépôt de matériel militaire.
24 Septembre 1958 :
* Alsace : sabotage voie ferrée (rails déboulonnés). * Turin : bombe dans un chargement de voitures en provenance de France. * Boulogne : mitraillage d’un car – 1 policier tué * Bordeaux : 1 brigadier de police blessé
25 Septembre 1958 :
* Chaville : bombe dans le central téléphonique.
* Rouen : attentat manqué contre l’usine à gaz du Grand Quevilly.
26 Septembre 1958 :
* Bourg-Saint-André Andeol Saint-Remetz ( Ardèche) : tentative de sabotage contre la station radar.
* Rouen : commissariat central mitraillé – 2 policiers tués – 3 blessés.
* Paris-Montargis : sabotage de la voie ferrée.
27 Septembre 1958 :
* La Courneuve : attentat à l’usine d’éthylène.
* Bombe dans le train paris Turin.
* Marseille : Une patrouille de gendarmes attaquée.

Ce premier mois de l’attaque du F.L.N. en métropole se solde par 110 morts guère plus que les mois précédents, mais les morts ont changé de nature, il ne s’agit plus des règlements de compte entre FLN et MNA ou de liquidation de récalcitrants, il s’agit de soldats, gendarmes, policiers. Et passants. Sans compter les sabotages
Le 27 aout, le ministre de l’intérieur crée un « service de coordination des affaires musulmanes » ; Il aura fallu deux ans et demi de guerre civile, de meurtres pour qu’enfin le gouvernement mette en place une structure adaptée en métropole.
Sans vouloir jouer les Cassandre, il faut relire les pages journalières de cette époque pour comprendre ce qui nous attend et voir les erreurs ( identiques) de nos gouvernants en attendant la trahison ultime.
De Gaulle ose déclarer le 19 septembre 1958 ( un an avant son revirement honteux):
« Je ne comprends pas que certains puissent encore croire en la vertu de chimériques négociations, comme si le meurtre et la terreur étaient des titres suffisants pour devenir un interlocuteur valable, comme si l’indépendance une fois reconnue, il resterait quelque chose sur quoi négocier ».

 

 
 
http://www.kader-hamiche.fr/2015/01/ce-sont-les-immigres-les-responsables-des-ghettos-pas-la-france/
 
 
http://www.saint-cyr.org/fr/le-general-lalanne-berdouticq-a-l-i-h-e-d-n-,article-534.html
 
 
Subject: L'Afrique n'est pas "Charlie"

Vu d'Afrique, l' "affaire Charlie hebdo" illustre les limites de l'universalisme européo-centré. Vendredi 16 janvier, alors que les sociétés de l'hémisphère nord communiaient dans le culte de la liberté d'expression, une partie de l'Afrique s' insurgeait contre la France des "Charlie". Du Sénégal à la Mauritanie, du Mali au Niger, de l'Algérie à la Tunisie et au Soudan, le drapeau français a été brûlé, des bâtiments français incendiés et en "prime", des églises détruites. Quant aux imprudents chefs d'Etat africains qui participèrent à la marche des "Charlie", dont Ibrahim Boubacar Keita du Mali, les voilà désormais désignés ennemis de l'islam.

Aveuglés par la légitime émotion et noyés sous l'immédiateté, nos responsables politiques n'ont pas songé à se demander comment l'Afrique percevait les événements. Or, alors que pour nous, il s'agit d'un ignoble attentat contre la liberté d'expression commis contre des journalistes, personnes sacrées dans nos sociétés de la communication, pour une grande partie de l'Afrique, il s'agit tout au contraire de la "juste punition de blasphémateurs". Qui plus est ces derniers n'en étaient pas à leur coup d'essai et ils avaient même été solennellement mis en garde. Voilà pourquoi leurs assassins sont considérés comme des "héros". Quant aux foules de "Charlie", elles sont vues comme complices des insultes faites au Prophète. De plus, comme le président de la République a marché à leur tête, cela signifie que la France et les Français sont coupables.

Les conséquences géopolitiques qui vont découler de cette situation ne peuvent encore être mesurées, notamment dans les pays du Sahel en raison du jihadisme récurrent contre lequel nos troupes sont engagées. Le plus grave est ce qui s'est passé au Niger où Boko Haram qui, jusqu'à présent ne s'était pas manifesté, a pris le prétexte de la nouvelle livraison de Charlie Hebdo pour lancer les foules contre le centre culturel français de Zinder; au même moment, nos postes militaires avancés veillent aux frontières du pays...

Personne n'a dit ou vu que l' "affaire Charlie Hebdo" n'est que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase des impératifs politiques et moraux que nous imposons à l'Afrique: démocratie, droits de l'homme, avortement, mariage homosexuel, anthropomorphisme etc. Tous y sont considérés avec dédain ou même comme de "diaboliques déviances".

C'est donc dans les larmes et dans le sang que les bonnes âmes et les idéologues vont devoir constater que le "village Terre" n'existait que dans leurs fantasmes universalistes. Ce qui est bon ou juste aux yeux de leur branchitude est en effet une abomination pour une grande partie de l'Afrique et même de la planète.
En plus de cela, pour nombre d'Africains, l'Europe est devenue une terre à prendre : ses habitants ne croient plus en Dieu, ses femmes à la vertu volage ne font plus d'enfants, les homosexuels s'y marient et la féminisation y a dévirilisé ses mâles. Paradoxe cruel, ceux qui, depuis des décennies, ont permis cette révolution en tournant systématiquement en dérision les valeurs fondatrices et le socle social (famille, travail, discipline, ordre, effort, armée, police etc.) ont été odieusement assassinés par les enfants de ceux auxquels ils ont si largement ouvert les portes...

Nous voilà donc au terme du processus. Désormais, la contradiction est telle que seul un "saut qualitatif brusque", comme le disaient les marxistes, permettrait de la surmonter. L'obsolète méthode "soustellienne" de l'intégration ou celle du "radeau de la Méduse" de la laïcité n'y suffiront sans doute pas...

Bernard Lugan
17/01/2015

 
 
Lilian Silva et James Pipeau (photo), jeunes appellés ont porté secours à des civils blessés dans l'attentat du Milk-Bar, le 30 septembre 1956.
Retour en arrière: les attentats FLN durant la Bataille d'Alger en 1956.
 
 
 
 
Lettre d’un ancien para, qui les évènements récents n’ont pas aveuglé.

Amicalement, J-M H

Je reconnais cependant que l'affaire Charlie Hebdo m'a traumatisé. En effet, ce matin, mes chers camarades, je me suis réveillé angoissé. Je me suis immédiatement ausculté avec attention (et une certaine appréhension), pour vérifier si, comme je le lis partout et comme il se doit, je n'étais pas devenu un Charlie...Cet examen m'a rassuré, je ne suis définitivement pas un Charlie! ? En effet, je ne considère pas que la mort de ces quatre dessinateurs est plus tragique ou plus injuste que celle de nos 102 camarades tombés en Afghanistan, Mali et Centrafrique. Chacun faisait son boulot, avec les risques qui y étaient liés. J'aurais aimé voir une telle mobilisation de nos bien-pensants sur le pont Alexandre III ou dans la cour des Invalides à chaque rapatriement de la dépouille d'un de nos soldats. Ce jour là, oui, je suis un Para, un COS, un Marsouin, un Légio. Pas besoin de m'ausculter au réveil. (Je n'ai pas compté mais je pense que nos quatre zozos cumulent plus de jours de deuil national que nos 102 héros réunis)?

Deux différences majeures toutefois:?- nos camarades soldats n'avaient jamais craché sur la France, son histoire et ses institutions comme l'ont fait avec gourmandise nos quatre dessinateurs pendant les 50 dernières années.?- Nos soldats étaient préparés à leur fin tragique, qui fait malheureusement partie du contrat. Nos dessinateurs, après cinquante ans passés à insulter et traîner dans la boue les démocrates purs et mous, les Catholiques, les militaires, les policiers, les patriotes sans aucune réaction à part tendre l'autre joue, ne pouvaient imaginer à quel point certains partisans du prophète pouvaient manquer d'humour face à leurs "innocentes" caricatures. Confortablement vautrés dans leur fosse d'aisance depuis tant de temps, ils ne pouvaient donc être au top lorsque deux mauvais coucheurs sont entrés de fort mauvaise humeur dans la salle de rédaction. C'est ballot ! ?Comme me le faisait remarquer un de nos camarades en diffusion, l'extrème-gauche vient de découvrir avec stupéfaction qu'elle n'avait plus le monopole de l'attentat et de l'assassinat ciblé. Tout se perd, ma bonne dame ! C'est la faute à la mondialisation et à l'hyper-libéralisme. Ayons à cette occasion une pensée pour l'Ingénieur Général Audran, François Besse, Gabriel Chahine, Aldo Moro, Hanns-Martin Schleyer et toutes les autres victimes d'Action Directe, Brigades Rouges et autre Rote Armee Fraktion. ?

Certes, m'explique-t-on, mais, au-delà de l'assassinat de ces quatre (auto-proclamés) journalistes, c'est la liberté d'expression qu'on attaque et donc la démocratie. Oui ça, j'en conviens aisément. D'ailleurs, l'indignation générale n'est-elle pas aussi bruyante que celle à laquelle nous avons failli assister lors du limogeage d'Eric Zemmour, notamment de la part de ses collègues journalistes? Liberté d'expression me disiez-vous? Hein, quoi, ha, ce n'est pas comparable? Je n'ai donc rien compris. Moi qui croyais qu'il s'agissait d'un principe intangible hérité des Lumières, j'apprends que, comme en aviation, la liberté d'expression dispose de la géométrie variable...?

2015 s'annonce donc passionnante ! Je vous engage donc, mes chers camarades, comme chaque fois que la situation tactique devient confuse, à rester "groupire", prendre les dispositions qui vont bien et poster vos sonnettes tous azimuthes. Et n'oubliez pas, si nous devions un jour en arriver là, de viser juste mais de tirer sans haine, car ce sont nos frères... ?Que Saint Michel veille sur notre Patrie, Elle en a bien besoin.? ?

 

 
 
Extrait d’une lettre prémonitoire du Maréchal

De Lattre de Tassigny au Général Salan (1952)

« Si nous perdons ici (en Indochine), tout s’écroulera ; nous avons en face de nous des adversaires qui ne se contentent pas de tuer des soldats, ils font la guerre aux âmes.

C’est une guerre qu’il ne faut pas perdre, sinon le jeu maudit continuera en Tunisie, en Algérie, dans toute l’Afrique et peut être même un jour en France... »

 

 
 
http://www.siwel.info/Le-DRS-derriere-l-assassinat-des-moines-de-Tibhirine-_a5742.html
 
 
Édito du 11 janvier 2015:

Les Français d'Algérie sont ulcérés, abasourdis, outrés par les images et sons retransmis par la TV à partir du 7 janvier 2015. Beaucoup ont des cauchemars, car ils revivent dans leur Mémoire ce qu'ils voulaient oublier à jamais: la barbarie Islamique que le F.L.N. leur a fait subir à partir de 1954, jusqu'à plusieurs années après ce triste et faux armistice du 19 mars 1962... (Pourquoi la FNACA veut-elle obtenir la carte du Combattant jusqu’à la date du 31 décembre 1964??)

Aucun des media de cette république n'a fait un parallèle entre les crimes djihadistes d'aujourd'hui, et ceux du F.L.N. durant la guerre d'Algérie..
Quel est le PN qui comme moi, n'a jamais vu sur les murs d'Algérie ces mots dès 1954: "F.L.N. vaincra, Islam Vaincra!"..
Nous savons TOUS que l'Islam était derrière cette guerre d'Algérie, et sa barbarie sur un sol Français, ne date pas du 7 janvier 2015!

Mais PIRE, Le Monde (journal de référence, pour certains) et Michel ONFRAY, au lieu de parler des attentats meurtriers et barbares, causés en Algérie (province Française), par le F.L.N. (armé par l’Étranger et par les communistes du Monde entier), font référence à un attentat soit-disant de l' O.A.S. (pourquoi pas des Barbouzes??) le 18 juin 1961 sur la voix ferrée Strasbourg-Paris
Affaire classée comme "accident" par les polices de l'époque: aucune perquisition, ni arrestation!

Cette allusion est minable et pue la signature des éternels ennemis des Français d'Algérie: les communistes...

Cette France là, ne mérite pas l'Amour, la Fidélité et le Patriotisme des Pieds-Noirs et Harkis...

Hervé CUESTA

 
 
COMMUNIQUE

Le comité VERITAS est actuellement assailli de demandes de renseignements concernant « l’attentat » contre le train Strasbourg-Paris qui s’est produit le 18 juin 1961 vers 15 h.10 à la hauteur du petit village de Blacy (Marne), entre les gares de Vitry-le-François et Loisy-sur-Marne, causant la mort de 27 personnes.

Dès le début de l’enquête concernant cette tragédie, Jacques Duclos, un des principaux dirigeants du parti communiste français, tenta de faire peser sur ce déplorable accident la suspicion d’un « attentat » fomenté et réalisé par l’Organisation Armée Secrète (O.A.S.), c’est-à-dire par les RESISTANTS de l’Algérie Française, organisation qui, à cette date, peu après l’échec du dit « putsch » des plus grands Généraux français, n’en était qu’à ses premiers balbutiements en Algérie et que l’O.R.O. n’existait pas encore.

Rappelons tout d’abord pourquoi les plus valeureux des officiers français s’étaient soulevés contre le totalitariste du Chef de l’Etat français : Ce dernier avait arbitrairement décidé l’abandon des départements français d’Algérie entre les mains des précurseurs des Djihadistes actuels, pactisant avec les ascendants de ceux qui viennent de démontrer, au cœur de Paris, à quel point ils haïssent l’Occident, en général, et la France en particulier.

Nous rappelons que, malgré les accusations communistes, et même si certains « historiens » remettent celles-ci au goût du jour, il n’a jamais été prouvé que LES RESISTANTS DE L’ALGERIE FRANCAISE aient eu la moindre responsabilité dans cette affaire. Certains ont attribué ce déraillement à une déformation de la voie suite à la dilatation non contenue d'un long rail soudé, d’autres à une vitesse excessive du train.

L’enquête réalisée par la Sureté de Paris s’est orientée vers l’accident, écartant la thèse de l’attentat et les autorités judiciaires se sont rangées à cette version.

Nous relevons aussi que les jugements pénaux sont revêtus de l'autorité absolue de chose jugée, c'est-à-dire à l'égard de tous, indépendamment des parties initiales : toute personne peut s'en prévaloir, et elle est opposable à toute personne.

Comité VERITAS

 
 

Ce n'est simplement que la prophétie du Maréchal JUIN qui se concrétise. Mais comment en effet ne pas faire de parallèle entre nos drames et ceux qui surviennent en France depuis la lâcheté Gaullienne? Mais pour nous, aucune journée de deuil n'a été décrétée, aucune bougie ne s'est consumée et l'appel qui a été fait : "Français aidez-moi" de sinistre mémoire, cette aide était demandée pour nous combattre en aidant les ascendants de ceux qui ensanglantent la France aujourd'hui.

Mais voilà, nous nous avons un cœur et compatissons pour les familles de ceux qui pourtant, à Charlie Hebdo", était les suppôts du FLN pendant la guerre d'Algérie, et leur soutien principal, Jean-Paul SARTRE, appelait le FLN au meurtre de nos compatriotes pour "faire d'une pierre deux coups, supprimer un oppresseur et un opprimé !!"

Ceci dit j'ai mis ce matin les drapeaux en berne sur notre stèle au cimetière neuf de BÉZIERS en pensant fortement à ces policiers assassinés et leurs familles dont on parle si peu.
A.ALGUDO

 
 

Et ça vous étonne ?

 

Oui ! Cette horreur qui s’est produite hier dans les locaux de Charlie Hebdo a bouleversé, à juste titre, des millions de Français. Oui ! On peut dire, à juste titre, que l’obscurantisme veut assassiner l’esprit français. Oui ! Il est anormal d’être tué à cause de dessins humoristiques. Oui ! Cent fois Oui !

Mais d’abord, nous nous attendions, nous, Français d’Algérie, à une attaque de ce genre.
J’imaginais, il est vrai, que ce serait plutôt dans un lieu chrétien ou républicain ou touristique emblématique mais, à la réflexion, Charlie Hebdo, ce n’est pas étonnant.
Même si les convictions politiques de ce journal sont à l’opposé des miennes, j’ai souvent bien ri des dessins publiés. Ils dézinguaient à tout va, souvent au marteau-piqueur plutôt que dans la dentelle mais c’était drôle et si nos amis ont maintes fois porté plainte contre des attaques par trop ciblées contre la religion catholique, cela n’empêchait pas qu’on se dise : « C’est faux, c’est moche, mais c’est drôle ! »
Pourtant, jamais les plaignants déboutés par des magistrats très indulgents n’ont eu l’idée de s’armer de kalachnikov. Seul Charlie Hebdo avait (ou a encore) le culot de plaisanter d’autre chose que des Auvergnats et des Belges, comme dit Philippe Bouvard. Quand tout est interdit, Charlie Hebdo est une soupape de décompression.

Je n’ai pas voulu, hier, réagir à chaud car trop de souvenirs douloureux remontaient dans ma mémoire, trop de chagrins, trop de regrets.
Car enfin, si l’attentat d’hier est ressenti comme hors du commun, ne pouvait-on auparavant réagir avec force lors des exploits de Mohamed Merah contre des juifs innocents, des soldats, bref des Français ? Ne pouvait-on museler les imams incendiaires, les réseaux sociaux asociaux ? Ne pouvait-on infiltrer les canaux d’armements ?

Qu’a-t-on fait de notre système de renseignements et de police qui voit les gens qu’ils arrêtent remis dans la nature par une justice laxiste et des lois inadaptées ?

Lorsque les terroristes assassinaient en Algérie, il fallait que les faits soient soumis à enquête sur place avec un juge ce qui faisait perdre un temps précieux. En a-t-on tiré les leçons ? Il semble qu’en l’espèce l’enquête avance très vite, c’est heureux. Mais va-t-on encore déclarer les tueurs comme des fous qu’il faut soigner ou comme des malades incurables qu’il faut éliminer ?
Je l’écrivais, il y a peu : Lien ou pas lien ? Quand par Internet, tout est lié...

Il y a en France, officiellement six millions de Musulmans nous dit-on. La plupart sont gens paisibles comme ils l’étaient du temps de l’Algérie heureuse. C’est à eux que je crie aujourd’hui l’exhortation de Saint Jean-Paul II : « N’ayez pas peur ! » N’ayez pas peur car c’est vous qui êtes aujourd’hui les plus menacés. C’est de votre peur que se nourrit la haine. C’est de votre faiblesse que l’extrémisme tire sa force.
Peut-être ces mots seront-ils mal compris. Alors, allons jusqu’au bout.
Je ne suis pas ravie de la présence de six ou sans doute bien davantage millions, de Musulmans en France après que leurs pères ou leurs grand pères ont chassé le peuple pied-noir de cette Algérie qui leur était chère, mais ils sont là et nous devons faire avec.
Je ne me fais aucune illusion. Dans les banlieues, les tueurs sont considérés comme des héros. Qui peut renverser cette opinion délétère ? Ceux de chez eux qui voient plus loin que la haine. Il n’y a aucune autre solution que ça plaise ou non. A part la répression aveugle qui serait guerre civile, ce que personne ne peut vouloir.
On dira qu’une fois de plus je ramène les choses à notre drame. Comment faire autrement ? Mais si cela aide à réfléchir, à donner au moins un répit à nos enfants, c’est cela de gagné. Car, en toute honnêteté, je vois l’avenir sous un jour bien sombre pour la France, pour l’Europe... J’espère me tromper.
Geneviève de Ternant
8 janvier 2015

 
 


ATTENTAT

 


Ainsi « Charlie Hebdo » paie son humour anti islamiste en cette journée du 7 janvier 2015.
Il faut d’abord penser à ces morts, morts de la haine qui anime des terroristes qui ont fait d’une religion déformée de ses principes de consensus et de fraternité prônés par Atatürk ou Bourguiba comme ils existaient en Algérie avant la tragédie des événements et de la fin de l’Algérie française, un étendard radical de mort.
Ces terroristes de l’ombre et du crime ont puisé leur idéologie dans le jihad et le communautarisme que l’Europe et en Europe, la France, ont laissé se développer avec l’aide de nombreux médias. Ces derniers qui aboient comme des hyènes contre eux qui élèvent la voix ou écrivent le danger qu’il y a, à ne pas se prémunir contre une culture du meurtre des « infidèles » ou avec cette envie d’illuminés fanatisés de reprendre Poitiers.
Si je compatis à la mort de ces journalistes, dessinateurs et écrivains, je ne peux oublier combien lors de la guerre d’Algérie, ils étaient bien plus des défenseurs des terroristes du FLN que des soutiens à l’armée française et aux Harkis qui défendaient une plus grande France. Ils sont aujourd’hui ces gens de » Charlie Hebdo » des martyrs de la liberté. Je veux bien l’admettre mais, et Eric Zemmour qui revendique une liberté de langage et d’expression ou Houellebecq, avec son livre « Soumission » qui rejoint, dans son approche du danger islamiste et du jihad le roman de Jean Raspail : « Le camp des Saints » Que peuvent ressentir les journalistes de Libération » ou France inter qui sont les voix et les plumes d’une gauche caviar et du gouvernement socialiste ? Un gouvernement qui veut le vote des étrangers ! Encore merci que d’entrée de « jeu » la droite extrême ne soit pas montrée du doigt comme avaient su l’écrire « Match » et « le Canard enchaîné » lors des attentats de Toulouse ! Toulouse dont le maire de l’époque voulait changer le nom du pont Bayard en pont de la honte du 19 mars ! La France se fourvoie dans un humanisme obscur et destructeur et le dire l’écrire est tabou malheureusement !
Bien entendu c’est bien ces rassemblements de soutien ; c’est bien tous ces gens qui descendent dans la rue en signe de protestation contre un attentat horrible et je compatis ! J’approuve pour une fois que le pays se sente concerné contre un jihad honnis, présent sur notre sol... Mais n’est-ce pas trop tard ces morts qui imprègnent de leur sang... Toulouse.... Nantes... Paris ?
Je me rappelle « Charlie Hebdo »... « Le Canard enchaîné »... les journaux gauchisants... les radios d’État ! Tous contre l’Algérie française. Tous contre les Pieds-noirs et les Harkis qu’il fallait renvoyer se faire assassiner sur une terre qui était la leur, la nôtre aussi et qui allaient mourir d’avoir cru en la République française. Par contre, tous pour la révolution terroriste et le FLN. Nous n’avons eu le droit ni a la compassion ni à la solidarité. Nous étions seuls et le sommes restés longtemps.
Les drapeaux sont en berne à Paris et un Président parle... En mars 1962, en juillet 1962, il n’y a pas eu un drapeau en berne, pas un discours de président pour combattre et stigmatiser les assassinats, les blessés achevés, les disparus... Aujourd’hui, un Président évoque la liberté d’expression... sauf pour les rescapés de l’Exode ; sauf pour Eric Zemmour, et qui veulent « autodafer » le livre de Houellebecq.


Se rendront-ils compte ces élus de la République et cette grande masse des gens de la presse qu’ils défendent un droit d’écrire de s’exprimer pour les uns, mais le refuse à d’autres ?
Paix à l’âme des morts qui avaient trop souvent des convictions « orientées », et espérons que les esprits des vivants s’ouvrent véritablement à la liberté d’écrire et de pouvoir parler librement, sans frontière idéologique de gauche.
Robert Charles PUIG / janvier 2015

 
 
 
 
Les Harkis ont été trompés par Hollande, comme les Pieds-Noirs, par Sarkosy...
 
 
Lettre de Robert MENARD.
 
 
https://www.icrc.org/fre/assets/files/other/irrc_856_perret.pdf
 
 
01_01_2015
Général SALAN
 
31/01/2014
 
 

Je vous retransmets la lettre ouverte qu'un général (2s) de l'armée de l'Air, le général Martinez, vient d'adresser au Président de la République.

Elle fait suite à son discours prononcé à l'occasion de l'inauguration du musée de l'immigration. Aura-t-il le temps de la lire ???

 
 

https://www.icrc.org/fre/assets/files/other/irrc_856_perret.pdf

 
 
Voici la lettre d'information du site "Comité de liaison (CLAN-R)"
http://www.clan-r.org/portail
 
 
Lien ou pas lien ?

En France la politique est devenue tellement dingue qu’on appelle dérapage le fait de rester sur la bonne route ! La route de l’histoire réelle. Lorsque Éric Zemmour dit la vérité, on l’accuse des pires projets, on lui impute des mots qu’il n’a jamais dits, et, de là, le procès inquisitorial peut commencer, s’envoler sur les ailes de la rumeur !
Mais quand des « jeunes » imbibés des plus sanglantes idées tuent, violent, alors ce ne sont même pas des dérapages, les pauvres choux, ils sont seulement un peu malades. Et « il n’y a aucun lien entre ces événements ! » A Tours, à Dijon, à Nantes, aucun lien voyons, des déséquilibrés, et certes, ils le sont, mais « fous de Dieu », ou fous tout court ?
Comme l’écrit Natacha Polony (Figaro samedi 27-dimanche 28 décembre 2014) « Si les schizophrènes décompensent désormais leur psychose en assassinant les gens au cri d’ « Allah akbar », cela nous raconte quelque chose de l’époque »... Et pour nous d’une autre époque, pas si lointaine...
Qui oserait évoquer les vidéos de l’État islamique appelant les fanatiques de France et d’Europe à frapper les « infidèles » en se jetant sur eux avec leur voiture ? Ou à les tuer au hasard, dans la rue, avec un couteau ? Qui oserait rappeler que les « événements » d’Algérie ont commencé en frappant au hasard sur ordre les Européens, les « Roumis », les Musulmans attachés à la France ; Anciens Combattants puis Harkis, puis leurs familles, leurs douars... Des fous ? Mais derrière les fous, des pas si fous que ça...
Il me semble que les Maîtres de l’Ombre ont compris que les vocations suicidaires de ceux qui se font sauter avec leur charge de mort en tuant le maximum de personnes innocentes ne sont pas aussi nombreuses que les déséquilibrés qui avec leur voiture peuvent faire beaucoup de victimes mais ont une chance d’échapper à la mort. S’il survivent à l’accident provoqué, ils peuvent être simplement internés et une fois réputés guéris, reprendre leur vie d’avant mais avec l’auréole du héros islamique. Si ils sont emprisonnés, les lois de la République leur permettront de sortir rapidement et de reprendre leur travail de mort. C’est un peu une sorte de pari. Le Musulman est joueur, nous le savons, nous d’Algérie. Pile ou face avec la mort, mais avec une chance d’en sortir.
Aucun lien entre ces dramatiques « faits divers » ? Oui, la propagande démentielle des vidéos et des appels au Djihad que ces gens, déséquilibrés ou pas mais décérébrés à coup sûr, ingurgitent chaque jour, chaque nuit, jusqu’à ne plus distinguer qu’une seule « logique » de mort. Ceux qui partent en Syrie ou ailleurs vont au bout de leur rêve, de leur cauchemar, au moins en ont-ils le courage, mais ceux qui tuent ici sont des lâches. Et ceux qui leur trouvent des excuses sont aussi lâches qu’eux. Ils abdiquent devant « l’unité langagière, le plus puissant anxiolytique qui soit : la langue : Il n’y a aucun lien entre ces événements » La phrase répétée à l’envie par les dirigeants, les politiques, les journalistes, devient un mantra qu’on ne saurait remettre en cause, remarque Natacha Polony qui ajoute drôlement, « kit de survie pour repas de famille à discussion politique ».
Nous sommes en dictature, dictature du langage, dictature des idées, dictatures des média aux ordres ou même qui n’ont plus besoin de recevoir des ordres car le processus d’analyse mentale ne fait plus partie de leur « kit de survie ». Trop dangereux !
Ne demandez pas pourquoi Éric Zémmour est ostracisé ! IL PENSE !

Geneviève de Ternant
Décembre 2014

 
 
 
 
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&cad=rja&uact=8&ved=0CDwQFjAD&url=http%3A%2F%2F
www.causeur.fr%2F&ei=nW6YVOzTHpSxadDXgKgP&usg=AFQjCNHLbGvygpUawvkpeVyyP9SV_Pfzlw
 
 
Enfin une pétition qui ira jusqu'au bout !!!

Les journaleux "démocrates" à la solde d' hollande ont réussi à torpiller les précédentes !!!
Incroyable mais vrai!
Merci de bien vouloir la signer:

http://www.bvoltaire.fr/boulevardvoltaire/la-liberte-est-en-danger-soutien-eric-zemmour,147345?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=d6c2f8e20c-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-d6c2f8e20c-30233629&mc_cid=d6c2f8e20c&mc_eid=a579d4cd3d

 
 
Une fin d'année torride. Torride à cause du matraquage de la presse aux ordres du clan socialiste et essayant à coups de propagande de remettre en selle un président de la République tombé si bas. Il n'y a pas un journal télévisé qui ne loue pas ce président et son oeuvre, sa distribution d'une prébende qu'il n'a plus et sa largesse a distribuer des fonds virtuels ! 5 milliards aux banlieues avaleuses d'euros qui permettent de "former" des jihadistes et des touristes pour la Syrie ou l'Irak; des millions aux bonnets rouges et à une bretagne contestataire pour récupérer des voix aux prochaines élections et éviter une faillite politique de la gauche... Puis le gouvernement baisse les bras face aux taxis parisiens mais pour montrer une sorte de volonté d'être "le chef" Valls promet une "piste" d'atterrissage à Nantes... Comme quoi ce gouvernement continue à jouer à pile ou face... sur les deux faces. IL se déculotte et retourne sa veste autant de fois que nécessaire !

Par contre le matraquage anti opposition est encore plus agressif que jamais... Si Nicolas Sarkozy est toujours présenté comme l'épouvantail, le FN a sa part de procès et d'attaques, mais le plus grave, c'est cette façon de traiter Éric Zemmour et de réussir à l'interdire de parler dans les médias. Une première dans le genre façon "torquemadesque". Il faut brûler ceux qui demandent un droit à s'exprimer et pour cela la LDH est la première dans ce concours de la haine et sa capacité à faire étouffer la Vérité. Cela me rappelle la guerre d'Algérie et son rôle anti pied-noir. Sa façon de faire passer tous les Pieds-noirs pour des colons et des fascistes et à critiquer l'armée.... Aucun démenti n'est venu une fois seulement réfuter les mensonges de la LDH et des communistes, les plus agissants pour nous accuser de tous les maux de la terre.

Sans doute faut-il croire que ce voile qui obscurcit la vision du peuple de français est important et je pense que c'est la raison qui fait que des jeunes sans éducation ni instruction car la France ne sait plus instruire "partent" en croisade contre l'occident ! Ils sont élevés dans le dénigrement de la Nation ! C'est pour cette raison que d'autres forces vives du pays s'expatrient... Elles n'ont plus confiance en une terre qui se vend à l'Orient et qui efface de sa mémoire son Histoire de France.

Espérons autre chose en 2015. R C Puig

 

 
 
 
 

Edito de Benoît Rayski
Benoit Rayski est historien, écrivain et journaliste.
Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme.


Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.


Mal nommer les choses c'est ajouter aux malheurs du monde" écrivait Camus. 
Vous devriez lire Camus, monsieur le président, et comme vous aimez beaucoup les immigrés vous devriez lire aussi la magnifique déclaration d’amour faite à la France par le fils d'un immigré juif polonais (Alain Finkielkraut). Il parle de notre pays tellement mieux que vous, français de souche pourtant ce qui, manifestement, ne vous confère aucune compétence en la matière.
Passons rapidement sur vos petits accommodements avec la vérité, domaine dans lequel vous excellez.
Vous déplorez, monsieur le président, qu'il ait fallut attendre 7 ans - "c'est long" - pour que soit inauguré ce musée dont votre très méchant prédécesseur ne voulait pas.
Et vous, monsieur le président, vous êtes au pouvoir depuis quand ? Plus de 2 ans et demi ! Et vous n'avez pas, jusqu'à maintenant, trouvé les quelques minutes nécessaires pour faire un saut Porte Dorée ?
Comme vous raffolez de la déploration vous avez versé quelques larmes en regrettant que les temps ne soit pas murs pour le droit de vote des étrangers aux élections municipales.
Il est vrai que pour réformer la loi dans ce sens vous n'avez pas la majorité requise des 3/5 des députés et sénateurs réunis. Mais vous n’ignorez pas, monsieur le président, que vous est accordé le droit d'organiser un référendum sur cette réforme qui vous tient tant à cœur. 
Allô quoi ? Ah oui j'entends... "Je ne suis pas suicidaire", avez-vous dit.

Mais il ne s'agit là que de gamineries de bac à sable sans grande importance.
Vous avez dit et répété : "immigrés je vous aime". Le mot "immigré" fait partie de la panoplie utilisée par ceux qui aiment la mélasse où tout est broyé pour que plus rien ne sois reconnaissable. Vous connaissez la recette. Un peu de mineurs polonais venus travailler dans les charbonnages du Nord. Un chouia de Juifs de l'Est, une dose d’Espagnols fuyant Franco, un zeste d'Italiens hostiles à Mussolini et une proportion d'Arabes et d'Africains que la prudence nous incite à ne pas spécifier ici.
Et vous avez grossièrement touillé tout ça. Tous pareils, tous égaux, tous se valent.
Allons, monsieur le président, vous aimez psalmodier la Déclaration des Droits de l'Homme : "tous les hommes naissent et demeurent etc...". Certes "tous naissent" mais tous ne "demeurent pas" ! 
Un badigeonneur de Sacré Cœur qui vend ses croûtes place du Tertre n'est pas l'égal de Picasso. Et le djihadiste français parti égorger en Syrie et en Irak n'est pas non plus mon semblable.

Vous avez dit, toujours dans le registre du mensonge compassionnel, que les immigrés étaient une chance pour la France. On comprend bien que vous vouliez porter la bonne et consolatrice parole aux populations souffrantes que le racisme français humilie tous les jours.
Et donc, après vous avoir écouté, on a pleuré d'émotion dans les chaumières de la Courneuve, de Trappes et du Mirail. Et, spectacle bouleversant, des centaines de "jeunes" sont venus déposer dans les commissariats kalachnikov, couteaux et battes de base-ball.
Grâce à vos paroles le sublime a été atteint par une procession d'hommes en chemise (comme les bourgeois de Calais) se frappant la poitrine en signe de contrition et criant avec des sanglots dans la voix : "Nous ne dhjihadirons plus".
Savez vous, monsieur le président, que je suis moi-même issu de l'immigration ? Je n'en tire ni fierté ni honte. Mais de ce monde j'ai quelques connaissances. Aucun de ces immigrés que vous piétinez en les noyant dans le mélange indigeste que vous nous servez comme soupe n’aurait dit qu'il est une chance pour la France. 
Tous, toutes origines et toute opinions politiques confondues, pensaient que la France était une chance pour eux. Ils ont donné des choses à la France. Mais ils ne lui ont rien pris.

Mon père - vous m’obligez M. Hollande à parler de lui - fut un des responsables de la MOI (Main d'Oeuvre Immigrée), une organisation communisante qui regroupait des ouvriers et des artisans juifs, polonais, roumains, espagnols, italiens, arméniens. C'est dans cette mouvance qu'on alla chercher des centaines de jeunes (sans guillemets) pour faire le coup de feu contre les nazis. Quelques uns d’entre eux, Juifs pour la plupart, furent plus connus que d'autres grâce à l'Affiche Rouge.
Comme j'avais écris un livre sur la question, je fus invité pour en parler dans un lycée professionnel de Sarcelles. 
Pensez donc ils étaient "immigrés, étrangers" ! Ça allait plaire aux jeunes "issus de la diversité..."
Avant que je n'entre dans la classe ou j'étais attendu la prof me prit à part. "Pourriez-vous, s'il vous plaît, vous abstenir de dire que les héros de l'Affiche Rouge étaient Juifs car la plupart de mes élèves sont musulmans. Vous comprenez n'est-ce pas ?".
"Non, madame, je ne souhaite pas comprendre".
Et j'ai tourné les talons. 
Je ne voulais pas que mon père soit insulté.

C'est ce que, d'une certaine façon, vous avez fait hier, monsieur le président

 
 
RAPPEL
http://videosonar.com/2/video/levez%20vous/x7c60d.html
 
 
 

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