Recherche de nos Morts pour la France:
http://www.genearmee.com/?p=2778

http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/article.php?laref=1

Peut-être y trouverez-vous les noms de nos Morts d'Alger, effacés par le béton fellouze..

 
http://www.senat.fr/rap/r07-065/r07-0651.html

Regardez les poilus d'Orient morts jusqu'en 1919, quasi ignorés des Français, dont Seddul Bahr aux Dardanelles où les Pns sont majoritaires ( pas de musulmans sur ordre de Joffre): Skopje, Bitola , Zeiltnick , Corfou ...et j'en oublie ! Des océans de croix blanches.

 
 
Les Français d'Algérie dans l'Armée d'Orient
 
Les Français d'Algérie dans la Guerre du RIF
 
Les Français d'Algérie et les Poilus
 
Il faut lire: les poilus d'Orient de Pierre Miquel ( Fayard), la bataille des Dardanelles de Michel Hérubel ( Presses de la cité) et l'expédition des Dardanelles au jour le jour de Fr. Charles-Roux ( Armand Colin).

Mon oncle a débarqué sur la presqu'ile le 5 mai 1915 et s'est retrouvé en première ligne du 5 au 11.. Il l'a quittée le 1er Octobre 1915 pour Salonique. Il est mort le 8 décembre à Rabrovo ( Macédoine)


Aux Dardanelles ( 25 avril au 19 décembre 1915), expédition catastrophique imaginée par Churchill ( l'homme de Mers el Kébir), il n'y avait pas de musulmans dans les troupes françaises, par la volonté de Joffre qui ne voulait pas opposer des musulmans aux Turcs eux aussi musulmans ( sauf certains gradés et les sénégalais). Les Zouaves avec leurs chechias étaient donc des chrétiens ou des juifs, d'où l'hécatombe de PNs dans la presqu'ile de Gallipoli ( avec les Anglais et les Anzacs). Il y avait aussi la Légion et les Marsouins. En Serbie et en Macédoine, après l'évacuation des Dardanelles, ce ne fut pas aussi strict.

Aux Dardanelles, le désastre des Anglais atteint aussi les Français: sur 225.000 morts ( 125.000 par le feu et 100.000 de maladie) la France a eu 40.000 tués et autant de malades ou blessés.

Les Anglais, comme d'habitude, ne nous témoigneront aucune reconnaissance et traitérent en 1918 directement avec les Turcs en nous tenant à l'écart.

N'oublions pas que les troupes victorieuses à USKUB en 1918 étaient commandées par Franchet d'Espérey, né à Mostaganem, et qui devint Maréchal ( comme Juin). Clemenceau détestait les Poilus d'Orient qu'il appelait les "jardiniers de Salonique" alors qu'ils mouraient comme des mouches, face aux Turcs puis aux Bulgares, Autrichiens et partisans ( Comitadjis) qui leur coupaient la tête,( comme en Syrie actuellement), mais aussi de maladies ( Dysenterie, choléra, palu, typhoïde, tuberculose et grippe espagnole ,misère) Ils firent même du rab jusqu'à Odessa, après le 11 novembre en raison de la révolution russe, d'où les "mutins de la mer noire" etc....

A noter que USKUB pris ( Skopje) , Franchet voulait foncer sur Vienne et prendre l'Aurtriche, ce qui eut raccourci la guerre de au moins un mois sinon plus. Mais Clemenceau qui le détestait car Franchet était catholique et monarchiste et qui l'avait mis là pour qu'il se casse les dents, lui donna l'ordre d'arrêter, car il voulait la victoire sur le front français d'abord. D'où les morts inutiles après le 24 septembre 1918.

la manoeuvre géniale du général Tranié et du Jouniot-Gambetta ( à cheval !) étaient executées par le 42 RIC ( infanterie coloniale) et 1er régiment de spahis marocains, 1er régiment de chasseurs d'Afrique, 4e régiment de chasseurs d'Afrique.

La région est parsemée de cimetières militaires français gigantesques que j'ai visités, dont d'innombrables PNs. A noter un petit cimetière émouvant dans l'Ile de Corfou: GASTOURI, de 209 PNs malades, contaminés et morts dans le palais Achilléon transformé en hopital par la France.

Le cimetière militaire français de SKOPJE (ex- Uskub) comprend 930 tombes et 2 ossuaires d' environ 1000 corps chacun.
La troisiième est à BITOLA (ex-Monastir) au sud de la Macédoine. Ce cimetière militaire français abrite 6.262 tombes et un ossuaire de 7.000 corps
. Le cimetière militaire français de ZEITENLICK est près de Salonique (ex- Thessalonique) en Grèce. Ce cimetière abrite 8.000 tombes dont 2.000 tombes de soldats de notre ancien Empire colonial, et un ossuaire d' environ 200 corps. Dans la même enceinte se trouvent des soldats du Commonwealth, serbes, italiens, et russes.

 

Pierre Barisain

 
Tableau récapitulatif des P.N. MORTS POUR LA FRANCE 14/18.
 
 
 
Les Régiments de Marche d'Afrique
Un bataillon mixte d'étapes fut constitué dans les premiers mois de 1917 avec des éléments provenant du dépôt du 8e Tirailleurs à Bizerte et embarqué à destination de Salonique. Il assura le service des étapes sur la ligne d'Albanie
1er RMA :
Bataillon C du 4e zouaves : Cdt Benoit, puis Cdt Vinchon
bat du 3e z passe au 2e RMA par la suite.
Bat E du 4e Zouaves passe du 2e RMA au 1er RMA
1 bat formé par 1e REI et 2e REI

2e RMA :
bat du 1e z Cdt Dumont
bat du 2e z Ducas
bat du 4e z Pinchon

1er RMA
Le 1er février 1915, un régiment de marche d'Afrique fut formé d'abord sous le nom de « régiment d'Algérie-Tunisie » avec des éléments tirés des dépôts de Tunis, Constantine, Philippeville, Sidi-bel-Abbês et Oran le bataillon « C » du 4e zouaves, commandant Benoît; un bataillon du 3e zouaves sans numéro, commandant Franchot; un bataillon de Légion étrangère, commandant Geay. Il fut placé sous les ordres du lieutenant-colonel Desruelles, du 4e zouaves. Embarqués à proximité de leurs lieux de formation, les bataillons furent regroupés a Malte le 5 mars. Ils étaient destinés à faire partie du Corps expéditionnaire des Dardanalles. Sur les transports Vinh-Long, Carthage, Chaouia, ils parvinrent dans l'île de Samos, le 11 mars. Tout le corps expéditionnaire se concentrait en rade de Moudros. Il était placé sous le commandement du général d'Amade, lui-même subordonné au général anglais sir Ian Hamilton, commandant en chef. Le régiment de marche d'Afrique fut rattaché à la brigade métropolitaine, général Vandenberg. La plus grande partie des troupes, du corps expéditionnaire fut dirigée sur Alexandrie le 3o mars. Le 5 avril, au cours d'une revue, à Ramleh, le régiment reçut son drapeau (qui est aujourd'hui aux Invalides). Le lieutenant-colonel Desruelles, victime d'un accident de cheval fut remplacé par le lieutenant-colonel Foulon. Après un séjour de plus d'un mois en Egypte, le régiment avec les autres corps de troupe de la division d'infanterie (175e Rl, deux régiments mixtes d'infanterie coloniale) fut amené à l'entrée du détroit des Dardanelles. Le débarquement eut lieu le 27 avril au soir, à Sedd-ul-Bahr. La campagne extrêmement meurtrière devait durer jusqu'au 4 octobre 1915. Les Turcs avaient accumulé des défenses accessoires inouïes, ils avaient poussé les précautions jusqu'a tendre des réseau, de fils de fer barbelés très en avant dans la mer.

LE 1er R.M.A.
Dès la débarquement, le régiment prit place derrière le 175e Rl, puis le bataillon Franchot se déploya face à Krithia et Achi-Baba. Les troupes anglaises et françaises débarquées reçurent l'ordre de s'emparer de Krithia puis de marcher vers les hauteurs qu'elles devaient occuper dans la journée du 28 avril. Le mouvement commença à 8 heures du matin, l'attaque fut menée par un bataillon du 175e et par les bataillons Geay et Franchot. Les vagues d'assaut parvinrent assez rapidement au bas des pentes de la cote 300. Zouaves et légionnaires recevaient pour la plupart le baptême du feu, ils étaient chargés de tout l'équipement réglementaire, les hommes portant en plus 300 cartouches, un outil de parc, des sacs à terre, des piquets ou un réseau Brun. A midi la progression continuait, les deux bataillons du régiment de marche d'Afrique étaient en première ligne, la droite appuyée à la mer, la gauche en liaison avec le 175e. Le ravin de Kerevês-Déré fut atteint à 16 heures. Là, les troupes se trouvèrent en présence d'organisations défensives garnies de mitrailleuses et protégées par d'épais réseaux de fils de fer. Le feu de l'artillerie ennemie s'était considérablement accru. Seule, l'artillerie de la flotte alliée était en action, l'artillerie de campagne de la division n'ayant pu être encore débarquée, Les deux bataillons d'attaque furent obligés de céder du terrain et ce mouvement s'exécuta sous un feu violent et sous la pression de l'infanterie turque. La ligne se maintint à la hauteur des cotes 236 et 300 qui constituèrent le gain de la journée. Le combat s'arrêta à la nuit. Le bataillon Benoît qui avait débarqué à son tour vint relever le bataillon Franchot. On s'en tint là jusqu'au mois de mai.

Le 1er mai, vers 20 heures, les Turcs déclenchèrent une violente attaque, afin de rejeter à la mer les éléments alliés débarqués. Ces mouvements accompagnés d'un feu violent d'artillerie persistèrent jusque vers 22 heures. mais se brisèrent devant la résistance des zouaves et de la Légion, qui contre-attaquèrent à la baïonnette. Le lendemain, 2 mai, la lutte se poursuivit et les Turcs subirent de lourdes pertes. Une contre-attaque générale de toutes les troupes, brigade métropolitaine et brigade coloniale, fut menée au son des clairons. Les Turcs furent reconduits sur leurs positions de départ, mais il fut impossible de dépasser les Organisations de Kerevès-Déré. Presque tous les officiers étaient tombés : le lieutenant-colonel Foulon, les trois chefs de bataillon étaient blessés, tous les capitaines tués ou blessés, sauf le capitaine Squinet qui prit le commandement du régiment qu'il s'efforça de réorganiser. Le bataillon de la Légion et celui du 3e zouaves comptaient à peine 120 hommes valides, le bataillon du 4e zouaves s'était regroupé en deux compagnies. Le 5 mai, le régiment reçut des renforts et se reconstitua sous le commandement du lieutenant-colonel Niéger.

Les 6 et 8 mai. on se battit encore pour la possession du Kerevès-Déré. Des tranchées furent prises et reprises. Encore une fois, les éléments de la division durent battre en retraite. Dans la nuit du 9 au 10, le bataillon du 4e zouaves, commandé par le lieutenant Vinchon, abandonna la rage au coeur, le terrain conquis, mais intenable désormais. Ce bataillon fut cité à I’ordre du corps expéditionnaire le 11 mai. Le régiment l’appelation de 1er régiment de marche. à la suite de l'arrivée d'un deuxieme régiment et, dans le but de simplifier les opérations de comptabilité, le bataillon du 3e zouaves passa au 2e régiment et fut remplacé par le bataillon « E » du 4e zouave. Le 30 mai, une opération de détail eut lieu sur le fortin le Gouez, ouvrage avancé battant le ravin du Kéreves-Deré.
Le 4 juin, des attaques plus sérieuses se produisirent dans le même secteur. La bataille se ralluma du 21 au 27 juin pour la possession de quelques réseaux de tranchée et le Lieutenant-colonel Niéger entraîna lui même les vagues d’assaut, criant «En avant les zouaves... » Les Turcs furent rejetés des positions qu'ils avaient occupées. Des sections franches se battirent sur le mouvement de terrain dit «Le Rognon». D'autres combats eurent lieu les 12 et 13 juillet. Le général Gouraud, qui avait succédé au général d'Amade dans le commandement du corps expéditionnaire avait été grièvement blessés au début du mois de juillet. Le général Masnou fut mortellement atteint le 12. Les Turcs contre attaquaient sans cesse. De terribles corps à corps eurent lieu à l'arme blanche et à la grenade. Puis la lutte s’apaisa, les combattants des deux armées étant exténués. Le lieutenant-Colonel Schneider avait pris le commandement à la place de Niéger, terrassé par la maladie.
Le 1er octobre, le 1er RMA abandonna ce bout de terrain de la presqu'île de Gallipoli où il avait subi de terribles pertes et fut débarqué à Salonique du 6 au 8. Une nouvelle campagne allait commencer.
Regroupé au camp de Zeitenlick, reconstitué grâce à I'arrivée de renfort, il gagna Guevguel et Stroumitza-Station le 18, essayant de recueillir les éléments Serbes étroitement pressés par les Allemands et les Bulgares. Les pertes furent sévères au combat du 22 octobre 1915 à Hudovo, Kalukovo, Gradec, Kalkova. La 156e division à laquelle appartenait le 1er R.M.A. se replia sur la Bodjumia et se battit à Cernika les 8 et 9 décembre, et à Gjavato-Bogdanci les il et 12. La campagne de Serbie était terminée, le 1er régiment prit part à l'organisation du camp retranché de Salonique, du 16 décembre 1915 au 18 mars 1916.
Des opérations dans la région des lacs se déroulèrent au printemps, puis ce fut l'offensive sur Florina et Monastir d'août 1916 à janvier 1917 cote 633, Spanca, Pétorak, Negocani, Medzidli. La chute de Monastir se produisit le 19 novembre 1916 et le 1er RMA y pris une part glorieuse. De janvier à août 1917, les opérations se déplacèrent vers la Baba-Planina et la Cervena-Stena, à la crête dite « des Légionnaires ». En septembre 1917, le bataillon de la Légion fut dissous à l'exception d'une compagnie et le régiment fut composé exclusivement de zouaves, le 3e bataillon provenant du 2e R.M.A dissous également. Ainsi reconstitué, le régiment participa aux opérations offensives de 1918, dans le secteur de Skra-di-Legen, puis au nord de Monastir, enfin à l'avance victorieuse du mois de septembre. Il livra des combats à Kukurecani, au Mamelon de Cernobok, à la cote 1200. Les hostilités cessèrent le 30 septembre, le 1er R.M.A. revint à Salonique, son 3e bataillon fut dissous et il fut reconstitué à deux bataillons de quatre compagnies dont une CM.
Mais son périple n'était pas terminé, il fut envoyé en Russie méridionale avec la 156e Dl, Odessa et la Crimée (décembre 1918 à juin 1919), occupa Koloswska et Radzelnaïa, sous le commandement du lieutenant-colonel Geay, livra combat à Tiraspol le 17 février 1919, à Vosniziensk-Martinowska le 18, à Vassilinovo le 7 mars, à Berezowska le 18 mars. Ce fut, en avril, l'évacuation d'Odessa. Le 1er RMA fut dissous le 9 juin 1919. L'état-major (lieutenant-colonel Laucagne) et la C.H.R. passèrent au 17e régiment de tirailleurs algériens, les autres éléments formèrent le 3e bataillon du « régiment de marche métropolitain » lieutenant-colonel Gros, et portèrent l'écusson du 4e zouaves. Ce RMM. fut lui-même dissous le 19 août 1919. Le drapeau du 1er R.M.A. fut déposé à la caserne Saussier à Tunis, défila à Paris le 14 juillet 1919 et fut versé au Musée de l'Armée le 13 juillet 1920. La dernière garde du drapeau fut composée du lieutenant Germain, du sergent Gouny et du zouave Allain.

En 51 mois de Campagne, le régiment avait perdu 58 officiers, 2181 sous-officiers, caporaux et zouaves, morts au champ d'honneur.

LE 2e R.M.A.
Le 2e régiment de marche d'Afrique, à trois bataillons fournis par les dépôts dès 1e, 2e et 4e zouaves, fut commandé par le lieutenant-colonel Bernadotte, rassemblé à Bizerte d'où il partit le 8 mai 1915, sur la Provence et la Lorraine. Il parvint sur le front des Dardanelles le 12 mai et se trouva en face de la redoute d'Achi Baba. Il livra ses premiers combats le 22 mai, partant de la redoute Bouchet. Ses trois bataillons étaient sous les ordres des commandants Dumont, Ducas et Pinchon. Dumont et Ducas furent tués au cours de l'attaque dans la tranchée dite « des Cadavres ».
Après avoir échangé son bataillon du 4e zouaves contre celui du 3e zouaves du 1er RMA, le régiment reprit contact avec l'ennemi le 21 juin 1915, au cours d'une attaque qu'il mena de concerve avec le 176e RI toujours au ravin de Kerevês-Déré. Le 5 juillet une puissante contre-attaque turque fut repoussée. Les pertes furent très sérieuses. Les zouaves se comportèrent héroïquement et les actions d'éclat ne se comptèrent plus. Aux attaques des 12 et 13 juillet 1915, les bataillons étaient commandés par les chefs de bataillons Rivet, Boll et Franchot. Les objectifs furent atteints. Le 18 juillet, le lieutenant-colonel Carlier fut placé à la tête du régiment, puis fut lui-même remplacé par le lieutenant-colonel Nautille. Les derniers engagements aux Dardanelles eurent lieu sur le front de Gaba Tépé. Puis les deux brigades métropolitaines des deux divisions du corps expéditionnaire formèrent la 156e Dl. qui fut envoyée à Salonique, pour constituer, avec la 57e Dl venue de France, l'embryon de l'armée d'Orient. Par deux fois, le peuple serbe avait eu raison des 500 000 Autrichiens qui s'étaient succédé sur la Drina et sur la Save, mais, les pertes ayant été importantes et le typhus ayant décimé les combattants, la petite armée du roi Pierre, ne comptait plus guère que 180 000 hommmes assaillie par les Allemands et les Bulgares, dut battre en retraite et les troupes françaises, à peine débarquées, furent jetées sur le flanc des Bulgares. La 156e Dl poussa jusqu’à Guevgueli, en Serbie, jusqu'à Stroumitza, livra combat à Tatarli, en novembre, avec des contingents britanniques. Le 2e RMA se signala en tenant tete aux assauts des Bulgares en décembre, puis se replia sur Doiran par des sentiers muletiers à travers la montagnene. Il gagna ainsi le camp retranché de Salonique. Il prit part, en janvier 1916, à l’opération contre les forts de Kara Bourum tenus par les Grecs. C'est à partir de mai 1916 que le régiment reprit l'offensive contre les germano-bulgares et remonta vers Doiran. Il opèra sur la Vardar pendant l'été, livra le combat de Vrbenik en septembre, participa à la prise de Monastir en novembre. Puis, son 3e bataillon fut transporté en Albanie au cours du 1er trimestre de 1917. Les autres bataillons l’y suivirent et furent affectés à un groupement provisoire commandé par le Général Jacquemot et comprenant les 312e (176e RI et 2e RMA) et 314e (175e RI et 372e RI) brigades.
Il fut dissout le 1er octobre 1917 et tous ses éléments passés au 1er RMA. Pendant la campagne, il avait perdu deux Chefs de corps (Lt Cl Mignerot et Nautile), deux Chefs de bataillons, douze Capitaines, quarante trois Lieutenants et Sous-Lieutenant, tués à l’ennemi et près de
1500 zouaves

 
Gilles BONNIER
 
 
Je viens de retrouver ce précieux document appartenant a mon Pere dans un vieux dossier
cela me donne une raison supplemtaire si il en était besoin, de la valeur de nos anciens et de leur engagement pour la Patrie.

Je suis fier de le montrer

PAT DE CASTRO

 
 
 
4° de couverture du magazine du CDHA N° 56
http://www.les-tirailleurs.fr/
 
Joseph GARCIA - 2° Zouaves
Frères jumeaux GASPERINI 3° Zouaves
 
4 Sapeurs de la 1° DB morts au combat à l'automne 1944.
   
Henri LAMY
Alfred CASSAR 4° Zouave de Marche
   
 
http://www.clan-r.org/portail/Les-Regiments-de-Marche-d-Afrique
 
 
Louis DERRIEN
Diego HERNANDEZ
 
 
 
Samuel-Henri BEN CHEMOUL
Joseph Felix AICARDI
 
 
LES DARDANNELLES
 
 
 
 
http://exode1962.fr/exode1962/en-savoir-plus/metropole/dardanelles
 
 
 
100 ANS APRÈS
 
Exemple à suivre!
Pour ne pas oublier:

Hier 10 octobre, 100 ans jour pour jour après sa mort dans un hôpital temporaire, nous avons sorti de l'oubli Louis GUIDA un Poilu de Bougie inhumé dans un petit carré militaire à Biarritz.
Pas sectaires, nous avons dit un mot des quelques Poilus Métros les plus proches et aussi fleuri leurs tombes...
La municipalité d'Anglet avait envoyé quelqu'un mais ni Biarritz ni Bayonne!
2 drapeaux (en plus du nôtre) étaient présents: les Anciens de la Police nationale et celui des A-C des Douanes.
Si cela pouvait inspirer et inciter d'autres associations de PN...
Clément Charrut Bayonne